Sophie, enfin
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sophie, enfin
Enfin, aux premiers jours de Mars, alors que le printemps pointait le bout de son nez après un hiver trop froid, Sophie et moi nous retrouvâmes dans son appartement.
Nous avions convenu de nous retrouver dans notre bar, celui qui abritait la plupart de nos rendez-vous. Pour une fois Sophie était là avant moi, elle m’attendait au fond de la salle. Même si le temps avait changé et que le soleil avait largement réchauffé l’atmosphère, elle portait la même tenue que lors de notre première rencontre.
Je traversais la salle et allais la rejoindre. Elle se leva, je l’embrassais retrouvant avec plaisir la chaleur de sa bouche, sa langue contre la mienne. Je m’installais et commandais un café.
— Besoin d’énergie, dit-elle en souriant ?
— On n’est jamais assez prévoyant.
Juste après que le serveur eut déposé ma commande sur la table, je sentis le pied de Sophie venir de poser sur ma braguette.
— Oh, déjà en condition, c’est flatteur. Est-ce que tu tiendras la distance& ?
— Je ne savais pas que c’était une compétition. Ne t’inquiète pas. J’ai de l’endurance, et de l’énergie.
Sophie but une gorgée de mon café et se leva.
— Je crois qu’on peut y aller, dit-elle, je ne voudrais pas que tu souilles son jean par anticipation.
Je la suivis, profitant du spectacle de son petit cul bien moulé dans son pantalon noir. J’avalais mon café et laissais un billet sur la table.
Dans la rue, elle me prit par le bras comme elle le faisait à chaque fois que nous marchions ensemble. Je me tournais vers elle et l’embrassais. Je devinais son sexe bandé sous sa culotte.
— Moi aussi j’ai très envie, dit-elle, mais on ne va pas se jeter l’un sur l’autre dans la rue, comme des animaux. On peut attendre d’être chez moi. Et se jeter l’un sur l’autre comme des animaux.
Jamais le trajet jusque chez Sophie ne me parut aussi long. Je ne pouvais détacher mon esprit de ce moment tant attendu, de cet instant où Sophie se révèlerait à moi, dans toute sa nudité, dans toute son ambivalence. Elle du le deviner et ralenti son allure.
Après ce qui me parut une éternité, nous arrivâmes enfin. Elle monta les escaliers, balançant ses hanches étroites sous mon nez pour faire monter d’un cran supplémentaire mon excitation, se retournant régulièrement pour me narguer.
Elle habitait un petit appartement au troisième étage d’un immeuble. Elle l’avait décoré avec soin et simplicité. Je m’installais dans le canapé comme elle me le demanda. Elle me laissa un moment seul, avec un verre de vin. Elle revint après s’être changée. Son pull moulant et son pantalon noir avaient cédé la place à une petite robe rouge moulante qui soulignait ses courbes avec gout. Elle s’approcha, se pencha vers moi, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté, et m’embrassa. Se mettant à genou elle défit ma ceinture, les boutons de ma braguette, et sortit ma bite de mon caleçon. Je bandais comme un âne.
— Bel engin, et tu bandes ferme. Je vais bien m’amuser, dit-elle avant de se mettre à me sucer.
Sa langue épousait ma queue, mes couilles me procurant des frissons de plaisir. Je fis voler le reste de mes vêtements, et laissais Sophie prendre soin de moi. Elle garda sa petite robe tout le long de sa fellation. Ne s’inquiétant pas le moins du monde quand j’éjaculais entre ses lèvres, et répandais mon sperme sur elle.
Elle se releva. S’essuya la bouche du revers de la main. Je vis une trainée de foutre couler sur sa robe qu’elle fit descendre lentement. Ses petits seins ronds apparurent en premier. Ils étaient comme je les imaginais. Doucement, Sophie fit glisser sa robe s’arrêtant au niveau de ses hanches. Elle plongea son regard dans le mien, resta un moment immobile puis d’un coup sec ôta en même temps sa culotte et sa robe qui tombèrent sur le sol, me dévoilant son sexe masculin.
Je restais un moment concentré sur ce pénis de belle taille, entièrement épilé. Puis observait Sophie dans son ensemble. Je la trouvais belle. Certes cette bite en érection pouvait paraitre déplacée sur ce corps si féminin, mais je ne la trouvais pas du tout incongrue. Au contraire.
— Je te plais toujours, me demanda-t-elle ?
Pour toute réponse je me levais et vins l’embrasser. Je sentis ses seins contre mon torse en même temps que sa bite contre la mienne. Cette sensation inédite était des plus agréable. Et si je ne venais pas de jouir, je suis certain que j’aurais bandé sur le champ.
— Assieds toi, que je te suce, j’en ai envie depuis si longtemps.
Je pris la bite toute lisse de Sophie dans ma main. Bien dure, je la caressais tendrement avant de la prendre dans ma bouche. Sophie gémit. Un petit râle de plaisir. Sa queue bien dure glissait sous mes lèvres. Ma langue goutait sa peau douce, son gland gorgé de désir sur lequel je recueillais les premières gouttes de son jus salé. Ma main caressait ses couilles épilées. Sophie se tortillait de plaisir. Alors que je la suçais, ma bite se réveilla et je bandais de nouveau.
— Tu suces bien, me dit-elle. Je vois que tu as l’habitude des bites.
— J’adore les bites, lui répondis-je.
Sophie éjacula dans ma bouche. Je gardais sa bite entre mes lèvres pendant qu’elle se vidait, et avalais son foutre chaud. Elle m’embrassa et découvrant que je bandais se tourna pour m’offrir son cul.
— Baise-moi maintenant, je sais que tu en rêves depuis longtemps. Je te veux en moi.
J’attrapais une capote sur la table la déroulais sur mon sexe. Écartant les fesses de Sophie je lui lubrifiais son petit trou de ma langue. Elle soupira d’aise, m’encouragea à lui lécher la rondelle avant de la prendre.
— Tu sais t’y prendre mon salaud, j’adore qu’on me lèche le cul comme ça. Tu vas être un de mes meilleurs amants.
— Tu en as eu beaucoup ?
— Un certain nombre, mais tu ne vas pas être jaloux ? Tu n’es pas non plus en reste cote cul.
— Je crois que nous sommes tous les deux des experts.
— Profitons-en, et baise-moi maintenant.
Le cul de Sophie m’accueillit sans effort. Elle avait l’habitude et aimait ça autant que moi. Je l’enculais d’abord doucement, puis alors qu’elle m’encourageait plus fermement. Plus vigoureusement. Mes couilles venaient frapper ses fesses rondes. Je me retirais et la fit mettre sur le dos.
— Je veux voir ta bite, tes seins, tes yeux pendant que je te ferais jouir, lui dis-je avant de lui reprendre le cul.
Sa bite ballotait sous mes coups de boutoir, ses petits seins se balançaient aussi. Elle se prit la queue en main et se branla.
— Vas-y, plus fort, plus fort, hurla-t-elle avant de jouir.
Sur le point de jouir aussi, je quittais son petit trou, jetait ma capote et lâchait mon sperme sur ses seins. Sophie les caressa, étalant mon foutre chaud sur toute sa poitrine.
— Tu es un bon niqueur, dit-elle, très bon même.
Je l’embrassais, ses seins collants de sperme s’écrasèrent sur ma poitrine.
— Je veux que tu m’encules à ton tour, lui dis je en caressant son sexe pour lui redonner de la vigueur.
— Tu es un gourmand, mais il va falloir attendre un peu, viens, on va prendre une douche, et qui sait, peut être que je retrouverais un peu d’énergie pour de faire jouir par le cul.
Sophie me guida jusqu’à sa salle de bain. Elle écarta le rideau de la douche, fit couler l’eau, attendit qu’elle soit chaude pour se glisser sous le jet. Je la rejoignis. Je lui savonnais les seins, éprouvant pour la première fois sous mes doigts leur fermeté. Nous nous embrassâmes sous l’eau ruisselante.
— Tu vois, je n’ai pas été longue à rebander, me dit-elle en souriant.
— Alors qu’est ce que tu attends pour profiter de moi ?
Après nous être essuyé nous allâmes dans sa chambre, elle écarta les draps, me fit allonger sur le ventre, et se coucha sur moi. Sa bite s’écrasa sur mon dos, sa main se glissa entre mes fesses et elle introduit un doigt dans mon anus. Elle me branla, me prépara pour l’accueillir.
— Tu es prêt, me demanda-t-elle à l’oreille et sans attendre m’encula d’un coup sec ?
Je poussais un petit cri de surprise. Sophie aussi savait s’y prendre. Elle prit son temps, y alla en douceur, m’embrassant dans le cou, léchant mes lobes. Elle allait et venait en moi, faisant monter le plaisir.
— Tourne-toi, moi aussi je veux te voir quand je vais jouir dans ton petit cul.
Je me mis sur le dos, relevant les jambes pour lui faciliter l’accès et la regardais me baiser. CE n’était pas la première fois qu’une femme m’enculait, mais cette fois-ci c’était une vraie bite, chaude, pulsant dans mes entrailles. Sophie était magnifique. Ses cheveux mouillés se balançant au rythme de ses coups de reins. Ses petits seins fiers pointaient leurs tétons. Elle me fit jouir et comme je l’avais fait avec elle se retira de mon cul pour se branler au-dessus de moi et répandre son foutre sur mon torse.
Elle vint s’allonger à côté de moi. Nous restâmes face à face sans rien dire, et nous nous plongeâmes dans le sommeil doucement.
Nous avions convenu de nous retrouver dans notre bar, celui qui abritait la plupart de nos rendez-vous. Pour une fois Sophie était là avant moi, elle m’attendait au fond de la salle. Même si le temps avait changé et que le soleil avait largement réchauffé l’atmosphère, elle portait la même tenue que lors de notre première rencontre.
Je traversais la salle et allais la rejoindre. Elle se leva, je l’embrassais retrouvant avec plaisir la chaleur de sa bouche, sa langue contre la mienne. Je m’installais et commandais un café.
— Besoin d’énergie, dit-elle en souriant ?
— On n’est jamais assez prévoyant.
Juste après que le serveur eut déposé ma commande sur la table, je sentis le pied de Sophie venir de poser sur ma braguette.
— Oh, déjà en condition, c’est flatteur. Est-ce que tu tiendras la distance& ?
— Je ne savais pas que c’était une compétition. Ne t’inquiète pas. J’ai de l’endurance, et de l’énergie.
Sophie but une gorgée de mon café et se leva.
— Je crois qu’on peut y aller, dit-elle, je ne voudrais pas que tu souilles son jean par anticipation.
Je la suivis, profitant du spectacle de son petit cul bien moulé dans son pantalon noir. J’avalais mon café et laissais un billet sur la table.
Dans la rue, elle me prit par le bras comme elle le faisait à chaque fois que nous marchions ensemble. Je me tournais vers elle et l’embrassais. Je devinais son sexe bandé sous sa culotte.
— Moi aussi j’ai très envie, dit-elle, mais on ne va pas se jeter l’un sur l’autre dans la rue, comme des animaux. On peut attendre d’être chez moi. Et se jeter l’un sur l’autre comme des animaux.
Jamais le trajet jusque chez Sophie ne me parut aussi long. Je ne pouvais détacher mon esprit de ce moment tant attendu, de cet instant où Sophie se révèlerait à moi, dans toute sa nudité, dans toute son ambivalence. Elle du le deviner et ralenti son allure.
Après ce qui me parut une éternité, nous arrivâmes enfin. Elle monta les escaliers, balançant ses hanches étroites sous mon nez pour faire monter d’un cran supplémentaire mon excitation, se retournant régulièrement pour me narguer.
Elle habitait un petit appartement au troisième étage d’un immeuble. Elle l’avait décoré avec soin et simplicité. Je m’installais dans le canapé comme elle me le demanda. Elle me laissa un moment seul, avec un verre de vin. Elle revint après s’être changée. Son pull moulant et son pantalon noir avaient cédé la place à une petite robe rouge moulante qui soulignait ses courbes avec gout. Elle s’approcha, se pencha vers moi, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté, et m’embrassa. Se mettant à genou elle défit ma ceinture, les boutons de ma braguette, et sortit ma bite de mon caleçon. Je bandais comme un âne.
— Bel engin, et tu bandes ferme. Je vais bien m’amuser, dit-elle avant de se mettre à me sucer.
Sa langue épousait ma queue, mes couilles me procurant des frissons de plaisir. Je fis voler le reste de mes vêtements, et laissais Sophie prendre soin de moi. Elle garda sa petite robe tout le long de sa fellation. Ne s’inquiétant pas le moins du monde quand j’éjaculais entre ses lèvres, et répandais mon sperme sur elle.
Elle se releva. S’essuya la bouche du revers de la main. Je vis une trainée de foutre couler sur sa robe qu’elle fit descendre lentement. Ses petits seins ronds apparurent en premier. Ils étaient comme je les imaginais. Doucement, Sophie fit glisser sa robe s’arrêtant au niveau de ses hanches. Elle plongea son regard dans le mien, resta un moment immobile puis d’un coup sec ôta en même temps sa culotte et sa robe qui tombèrent sur le sol, me dévoilant son sexe masculin.
Je restais un moment concentré sur ce pénis de belle taille, entièrement épilé. Puis observait Sophie dans son ensemble. Je la trouvais belle. Certes cette bite en érection pouvait paraitre déplacée sur ce corps si féminin, mais je ne la trouvais pas du tout incongrue. Au contraire.
— Je te plais toujours, me demanda-t-elle ?
Pour toute réponse je me levais et vins l’embrasser. Je sentis ses seins contre mon torse en même temps que sa bite contre la mienne. Cette sensation inédite était des plus agréable. Et si je ne venais pas de jouir, je suis certain que j’aurais bandé sur le champ.
— Assieds toi, que je te suce, j’en ai envie depuis si longtemps.
Je pris la bite toute lisse de Sophie dans ma main. Bien dure, je la caressais tendrement avant de la prendre dans ma bouche. Sophie gémit. Un petit râle de plaisir. Sa queue bien dure glissait sous mes lèvres. Ma langue goutait sa peau douce, son gland gorgé de désir sur lequel je recueillais les premières gouttes de son jus salé. Ma main caressait ses couilles épilées. Sophie se tortillait de plaisir. Alors que je la suçais, ma bite se réveilla et je bandais de nouveau.
— Tu suces bien, me dit-elle. Je vois que tu as l’habitude des bites.
— J’adore les bites, lui répondis-je.
Sophie éjacula dans ma bouche. Je gardais sa bite entre mes lèvres pendant qu’elle se vidait, et avalais son foutre chaud. Elle m’embrassa et découvrant que je bandais se tourna pour m’offrir son cul.
— Baise-moi maintenant, je sais que tu en rêves depuis longtemps. Je te veux en moi.
J’attrapais une capote sur la table la déroulais sur mon sexe. Écartant les fesses de Sophie je lui lubrifiais son petit trou de ma langue. Elle soupira d’aise, m’encouragea à lui lécher la rondelle avant de la prendre.
— Tu sais t’y prendre mon salaud, j’adore qu’on me lèche le cul comme ça. Tu vas être un de mes meilleurs amants.
— Tu en as eu beaucoup ?
— Un certain nombre, mais tu ne vas pas être jaloux ? Tu n’es pas non plus en reste cote cul.
— Je crois que nous sommes tous les deux des experts.
— Profitons-en, et baise-moi maintenant.
Le cul de Sophie m’accueillit sans effort. Elle avait l’habitude et aimait ça autant que moi. Je l’enculais d’abord doucement, puis alors qu’elle m’encourageait plus fermement. Plus vigoureusement. Mes couilles venaient frapper ses fesses rondes. Je me retirais et la fit mettre sur le dos.
— Je veux voir ta bite, tes seins, tes yeux pendant que je te ferais jouir, lui dis-je avant de lui reprendre le cul.
Sa bite ballotait sous mes coups de boutoir, ses petits seins se balançaient aussi. Elle se prit la queue en main et se branla.
— Vas-y, plus fort, plus fort, hurla-t-elle avant de jouir.
Sur le point de jouir aussi, je quittais son petit trou, jetait ma capote et lâchait mon sperme sur ses seins. Sophie les caressa, étalant mon foutre chaud sur toute sa poitrine.
— Tu es un bon niqueur, dit-elle, très bon même.
Je l’embrassais, ses seins collants de sperme s’écrasèrent sur ma poitrine.
— Je veux que tu m’encules à ton tour, lui dis je en caressant son sexe pour lui redonner de la vigueur.
— Tu es un gourmand, mais il va falloir attendre un peu, viens, on va prendre une douche, et qui sait, peut être que je retrouverais un peu d’énergie pour de faire jouir par le cul.
Sophie me guida jusqu’à sa salle de bain. Elle écarta le rideau de la douche, fit couler l’eau, attendit qu’elle soit chaude pour se glisser sous le jet. Je la rejoignis. Je lui savonnais les seins, éprouvant pour la première fois sous mes doigts leur fermeté. Nous nous embrassâmes sous l’eau ruisselante.
— Tu vois, je n’ai pas été longue à rebander, me dit-elle en souriant.
— Alors qu’est ce que tu attends pour profiter de moi ?
Après nous être essuyé nous allâmes dans sa chambre, elle écarta les draps, me fit allonger sur le ventre, et se coucha sur moi. Sa bite s’écrasa sur mon dos, sa main se glissa entre mes fesses et elle introduit un doigt dans mon anus. Elle me branla, me prépara pour l’accueillir.
— Tu es prêt, me demanda-t-elle à l’oreille et sans attendre m’encula d’un coup sec ?
Je poussais un petit cri de surprise. Sophie aussi savait s’y prendre. Elle prit son temps, y alla en douceur, m’embrassant dans le cou, léchant mes lobes. Elle allait et venait en moi, faisant monter le plaisir.
— Tourne-toi, moi aussi je veux te voir quand je vais jouir dans ton petit cul.
Je me mis sur le dos, relevant les jambes pour lui faciliter l’accès et la regardais me baiser. CE n’était pas la première fois qu’une femme m’enculait, mais cette fois-ci c’était une vraie bite, chaude, pulsant dans mes entrailles. Sophie était magnifique. Ses cheveux mouillés se balançant au rythme de ses coups de reins. Ses petits seins fiers pointaient leurs tétons. Elle me fit jouir et comme je l’avais fait avec elle se retira de mon cul pour se branler au-dessus de moi et répandre son foutre sur mon torse.
Elle vint s’allonger à côté de moi. Nous restâmes face à face sans rien dire, et nous nous plongeâmes dans le sommeil doucement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore un magnifique récit, moi qui suis marié et qui a des relations avec des hommes aussi j'aimerai connaitre ce plaisir d'avoir une femme avec une belle queue, peut-être un jour qui sait..... en tout cas à très vite pour une nouvelle histoire tout aussi croustillante. Bisous Bisous.
C'est toujours un plaisir de lire tes récits et comme avec Leslie, je les attends toujours avec impatience. Merci. Benoit