Sophie et Alice, 1
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Sophie et Alice, 1
Sophie roulait tranquillement vers son travail. Elle rêvassait dans sa voiture, à la queue leu leu de l’embouteillage habituel du matin à cet endroit là.
Il était déjà plus de huit heures et la circulation était à son summum. Il faisait un temps assez doux ce jour là et elle était vêtue d’un petit tailleur cintré qui permettait de mettre en avant sa poitrine.
Ce matin là, lorsqu’elle s’était habillée, elle avait apprécié la vue de son corps dans le miroir. Elle avait mis, juste pour son plaisir, des dessous de soie bleue dont elle adorait la caresse.
En plus la veille, elle s’était faite épiler le maillot, laissant juste une petite touffe de poils sur son pubis autrement tellement lisse que c’avait été un plaisir de se caresser le soir même...
Actuellement Sophie était seule: depuis trop longtemps à son avis... âgée de 28 ans, ses formes entièrement naturelles, attiraient le regard concupiscent des hommes mais, même si elle appréciait la gent masculine de temps en temps, elle préférait amplement les caresses d’une femme aux mains douces et à la peau si sucrée...
Une pétarade se fit entendre qui sortit Sophie de sa rêverie. Elle vit dans son rétroviseur qu’une grosse moto remontait par la droite la file des véhicules au pas sans prêter attention aux autres.
Dans le même temps, une jeune femme en vélo déboucha d’une ruelle: la collision était inévitable.
Sophie, dans un réflexe , décala sa voiture ce qui obligea la moto à monter sur le trottoir évitant ainsi le vélo qui pila devant sa voiture.
La jeune femme sur le vélo, paniquée, glissa et tomba devant la voiture.
Sophie ouvrit la portière et alla aider cette jolie brune à se relever.
-Mais quel con celui là! fit la jeune femme en regardant la moto s’éloigner sans demander son reste.
La circulation avança un peu et Sophie, après s’être assurée que la jeune femme était en sécurité, gara sa voiture sur le bas côté.
Une fois garée, elle rejoignit la jeune femme qui regardait son vélo d’un air dépité. La roue avant était voilée et le guidon de travers.
-C’est moi qui fait ça? s’exclama Sophie-Non. La jeune femme sourit. Le vélo était vieux et puis c’est tout...
Sophie fut immédiatement charmée par les yeux bleus délavés de la jeune femme. Celle ci lui dit s’appeler Alice. Elle était vêtue d’une robe courte de couleur bleue et de simples sandalettes. Elle avait de magnifiques cheveux bruns mi longs qui encadraient un visage aux traits harmonieux. Ses yeux étaient légèrement en forme d’amande ce qui accentuait l’hypnotisme de son regard.
Sophie lui proposa de l’amener à son travail.
-Ah, je veux bien madame, -Appelez moi Sophie, voyons...
Alice rit, ce qui permit à Sophie d’entendre un son cristallin... Elle sentait qu’elle était en train de tomber amoureuse...
Alice attacha ce qui restait de son vélo à un pilonne et monta aux côtés de Sophie.
-Oh, mais vous saignez! S’exclama SophieEn effet du sang coulait du genou droit d’Alice.
Alors Sophie attrapa un sparadrap dans sa boîte à gants . Au passage elle eut une pensée pour son neveu casse cou qui l’avait obligée à être prête à toute éventualité cet été!
Elle nettoya le sang avec un Kleenex et posa le pansement sur le genou d’Alice. Troublée, elle ne put s’empêcher de laisser sa main traîner un peu plus longtemps que nécessaire sur la jolie peau bronzée de sa passagère. Elle se reprit après quelques secondes et entra dans la circulation.
Alice lui indiqua la route et quelques minutes plus tard, la voiture s’arrêtait devant une école primaire. C’était là que travaillait Alice, comme institutrice.
Avant qu’elle ne descende Sophie lui remit sa carte de visite.
Elle caressa une dernière fois la douce main d’Alice et elles se firent la bise.
-Alice, appelez-moi pour me dire comment ça va... votre blessure...
Sophie rougit violemment en disant cela. Quel prétexte idiot!
Alice la regarda droit dans les yeux, elle rougit un peu à son tour.
Elle sortit sans un mot de plus, disparaissant dans un tourbillon de couleur bleue.
Au travail, Sophie ne put penser qu’à cette rencontre. Elle n’arrivait pas à fixer son attention et ne cessait de repasser le film de ces moments dans sa tête.
Alice avait de jolis bras, une taille de guépe, des jambes fines, un visage...
Merde: ça y est, je suis amoureuse! Conclut Sophie.
Ce midi là, au lieu d’aller manger, enfermée dans son bureau, Sophie alla sur le site internet de l’école pour trouver une photo mais surtout les coordonnées de celle qui avait allumé ce feu qui la dévorait.
Elle trouva la photo mais hélas aucune coordonnée...
Zut alors...
Elle prit alors ses aises, mettant la photo d’Alice sur son écran d’ordinateur et commença à se caresser, doucement.
Mmmhhh elle devait avoir les seins en poire cette coquine, et une croupe probablement bien bombée... et ces yeux...
Tandis que sa main droite trouvait le chemin de son clitoris gonflé, sa main gauche pinçait légèrement ses tétons l’un après l’autre. Elle ferma les yeux, s’imaginant caresser les hanches et les seins d’Alice en l’embrassant à pleine bouche.
Elle se sentit partir et se retint de crier sa jouissance, son plaisir lui coulant entre les doigts. Jamais elle n’avait joui si rapidement...
Le téléphone sonna.
Haletante, elle prit deux secondes pour se reprendre et attrapa le combiné, de sa main droite...
C’était Alice...
Ravie Sophie essayait de se nettoyer la main en parlant avec la jeune femme.
-Sophie, je crois qu’on devrait se revoir vous savez... vous travaillez cet après-midi?
La voix était douce au téléphone. Sophie ne réfléchit pas et lui dis que non, elle ne travaillait pas.
-Cool, répondit Alice, parce que vous savez, je saigne encore un peu...
Elles convinrent de se revoir à l’entrée de l’école dès que possible.
Dés qu’elles eurent raccrochés, Sophie appela son adjoint, pris son après midi, et alla vite se laver les mains...
Un quart d’heure plus tard Alice reprenait sa place dans la voiture. Elle releva un peu sa jupe.
-Regardez Sophie, je saigne encore, non?
Sa voix était plaintive et Sophie se courba et déposa un baiser sur le pansement. Elle sentit la main d’Alice sur son cou..
-Je crois que c’est plus haut...
Doucement Sophie repoussa la jupe et enfonça son visage entre ces jolies jambes: elle trouva d’autant plus vite le chemin de son bonheur qu’Alice ne portait pas de culotte... le vagin d’Alice était très serré et son clitoris tout petit. Sophie se fit un plaisir de le titiller jusqu’à entendre sa tendre amie gémir de plaisir. Pendant ce temps, celle-ci lui caressait la nuque et le dos, lui procurant des frissons d’une intensité totale.
Sophie jouit en même temps qu’Alice...
Quelques instants après, les deux jeunes femmes étaient assises normalement et reprenaient leur souffle, satisfaites.
-Merci Sophie ma chérie... j’en ai rêvé toute la matinée...
Sophie sourit: et elle donc!
Elle sentait son jus couler doucement entre ses jambes.
Elle amena la belle Alice chez elle:celle ci ne protesta pas lorsque Sophie la déshabilla.
Elle prit même le relais et retira les vêtements de Sophie.
Elle s’arrêta un long moment sur sa poitrine, lui suçant les tétons en lui caressant ses hanches et son cul.
Elle s’embrassèrent enfin longuement toutes les deux, se découvrant l’une l’autre, gardant leurs regards dardés l’un dans l’autre. Chacune avait le main sur le vagin de l’autre, un doigt entrant dans leurs fentes humides et se faisant ainsi mutuellement plaisir.
Elles tombèrent sur le canapé et Sophie se fit une joie de découvrir chaque cm carré de la peau nacrée de sa partenaire.
Celle-ci se laissait faire, prenant son plaisir sans compter et en donnant autant qu’elle le pouvait à la belle Sophie.
Enfin ce fut au tour d’Alice de goûter au vagin de son amie: elle se fit un devoir d’en caresser de sa langue chaque recoin, retardant au possible le moment de l’orgasme.
A un moment, ce ne fut plus possible et les deux jeunes femmes jouirent ensembles l’une blottie contre l’autre...
Après une bonne douche qui fut le prétexte à de nouvelles caresses humides, Alice et Sophie s’allongèrent sur le lit.
Alice expliqua alors à Sophie que, si elle avait toujours eu envie de faire cela avec une femme, elle était la toute première... en plus, Alice venait de rompre avec Arthur, son petit copain, qui était allé voir une autre fille...
Sophie buvait les paroles de son amante et continuait à caresser ce corps si parfait. Elle adorait les petits seins d’Alice dont les tétons, bien durs, restaient dressés au milieu de leurs aréoles... sa petite chatte si serrée qu’au début elle l’avait crue pucelle était d’une douceur étonnante et, à chaque fois qu’elle mettait un ou plusieurs doigts dedans, elle sentait la jouissance de son amie.
Sophie attrapa un gode sous son oreiller et le mit devant la bouche d’Alice qui sursauta.
Elle fixa Sophie de son regard bleu si pâle et se mit à sucer l’objet d’abord lentement, puis avec entrain.
Sophie était heureuse: elle sortit un second gode et le donna à son amie qui le lui mit dans la bouche. Après avoir bien sucé ces deux membres artificiels elle se les introduisirent mutuellement et doucement dans leurs vagins.
D’une main, chacune travaillait l’autre, allant de plus en plus vite dans leurs mouvements de va et vient: de l’autre main, elles se tenaient chacune par le cou, leurs bouches se touchant tandis qu’elles gémissaient....
Enfin, elles jouirent toutes les deux, retirant leurs godes comme à regret et se remettants à les lécher pour goûter, encore une fois, chacune le jus adoré de l’autre...
Une heure plus tard, elles étaient en train de boire un thé autour de la table de la cuisine, toujours nues et se tenant d’une main.
-Tu sais ma chérie, fit Sophie, il va falloir que je te présente quelqu’un...
La main d’Alice se resserra sur celle de Sophie.
-Ah bon, qui?
-Et bien, c’est un homme pas très jeune, gentil, il écrit, et il voudrait être mon soumis... qu’en dis-tu?
Il était déjà plus de huit heures et la circulation était à son summum. Il faisait un temps assez doux ce jour là et elle était vêtue d’un petit tailleur cintré qui permettait de mettre en avant sa poitrine.
Ce matin là, lorsqu’elle s’était habillée, elle avait apprécié la vue de son corps dans le miroir. Elle avait mis, juste pour son plaisir, des dessous de soie bleue dont elle adorait la caresse.
En plus la veille, elle s’était faite épiler le maillot, laissant juste une petite touffe de poils sur son pubis autrement tellement lisse que c’avait été un plaisir de se caresser le soir même...
Actuellement Sophie était seule: depuis trop longtemps à son avis... âgée de 28 ans, ses formes entièrement naturelles, attiraient le regard concupiscent des hommes mais, même si elle appréciait la gent masculine de temps en temps, elle préférait amplement les caresses d’une femme aux mains douces et à la peau si sucrée...
Une pétarade se fit entendre qui sortit Sophie de sa rêverie. Elle vit dans son rétroviseur qu’une grosse moto remontait par la droite la file des véhicules au pas sans prêter attention aux autres.
Dans le même temps, une jeune femme en vélo déboucha d’une ruelle: la collision était inévitable.
Sophie, dans un réflexe , décala sa voiture ce qui obligea la moto à monter sur le trottoir évitant ainsi le vélo qui pila devant sa voiture.
La jeune femme sur le vélo, paniquée, glissa et tomba devant la voiture.
Sophie ouvrit la portière et alla aider cette jolie brune à se relever.
-Mais quel con celui là! fit la jeune femme en regardant la moto s’éloigner sans demander son reste.
La circulation avança un peu et Sophie, après s’être assurée que la jeune femme était en sécurité, gara sa voiture sur le bas côté.
Une fois garée, elle rejoignit la jeune femme qui regardait son vélo d’un air dépité. La roue avant était voilée et le guidon de travers.
-C’est moi qui fait ça? s’exclama Sophie-Non. La jeune femme sourit. Le vélo était vieux et puis c’est tout...
Sophie fut immédiatement charmée par les yeux bleus délavés de la jeune femme. Celle ci lui dit s’appeler Alice. Elle était vêtue d’une robe courte de couleur bleue et de simples sandalettes. Elle avait de magnifiques cheveux bruns mi longs qui encadraient un visage aux traits harmonieux. Ses yeux étaient légèrement en forme d’amande ce qui accentuait l’hypnotisme de son regard.
Sophie lui proposa de l’amener à son travail.
-Ah, je veux bien madame, -Appelez moi Sophie, voyons...
Alice rit, ce qui permit à Sophie d’entendre un son cristallin... Elle sentait qu’elle était en train de tomber amoureuse...
Alice attacha ce qui restait de son vélo à un pilonne et monta aux côtés de Sophie.
-Oh, mais vous saignez! S’exclama SophieEn effet du sang coulait du genou droit d’Alice.
Alors Sophie attrapa un sparadrap dans sa boîte à gants . Au passage elle eut une pensée pour son neveu casse cou qui l’avait obligée à être prête à toute éventualité cet été!
Elle nettoya le sang avec un Kleenex et posa le pansement sur le genou d’Alice. Troublée, elle ne put s’empêcher de laisser sa main traîner un peu plus longtemps que nécessaire sur la jolie peau bronzée de sa passagère. Elle se reprit après quelques secondes et entra dans la circulation.
Alice lui indiqua la route et quelques minutes plus tard, la voiture s’arrêtait devant une école primaire. C’était là que travaillait Alice, comme institutrice.
Avant qu’elle ne descende Sophie lui remit sa carte de visite.
Elle caressa une dernière fois la douce main d’Alice et elles se firent la bise.
-Alice, appelez-moi pour me dire comment ça va... votre blessure...
Sophie rougit violemment en disant cela. Quel prétexte idiot!
Alice la regarda droit dans les yeux, elle rougit un peu à son tour.
Elle sortit sans un mot de plus, disparaissant dans un tourbillon de couleur bleue.
Au travail, Sophie ne put penser qu’à cette rencontre. Elle n’arrivait pas à fixer son attention et ne cessait de repasser le film de ces moments dans sa tête.
Alice avait de jolis bras, une taille de guépe, des jambes fines, un visage...
Merde: ça y est, je suis amoureuse! Conclut Sophie.
Ce midi là, au lieu d’aller manger, enfermée dans son bureau, Sophie alla sur le site internet de l’école pour trouver une photo mais surtout les coordonnées de celle qui avait allumé ce feu qui la dévorait.
Elle trouva la photo mais hélas aucune coordonnée...
Zut alors...
Elle prit alors ses aises, mettant la photo d’Alice sur son écran d’ordinateur et commença à se caresser, doucement.
Mmmhhh elle devait avoir les seins en poire cette coquine, et une croupe probablement bien bombée... et ces yeux...
Tandis que sa main droite trouvait le chemin de son clitoris gonflé, sa main gauche pinçait légèrement ses tétons l’un après l’autre. Elle ferma les yeux, s’imaginant caresser les hanches et les seins d’Alice en l’embrassant à pleine bouche.
Elle se sentit partir et se retint de crier sa jouissance, son plaisir lui coulant entre les doigts. Jamais elle n’avait joui si rapidement...
Le téléphone sonna.
Haletante, elle prit deux secondes pour se reprendre et attrapa le combiné, de sa main droite...
C’était Alice...
Ravie Sophie essayait de se nettoyer la main en parlant avec la jeune femme.
-Sophie, je crois qu’on devrait se revoir vous savez... vous travaillez cet après-midi?
La voix était douce au téléphone. Sophie ne réfléchit pas et lui dis que non, elle ne travaillait pas.
-Cool, répondit Alice, parce que vous savez, je saigne encore un peu...
Elles convinrent de se revoir à l’entrée de l’école dès que possible.
Dés qu’elles eurent raccrochés, Sophie appela son adjoint, pris son après midi, et alla vite se laver les mains...
Un quart d’heure plus tard Alice reprenait sa place dans la voiture. Elle releva un peu sa jupe.
-Regardez Sophie, je saigne encore, non?
Sa voix était plaintive et Sophie se courba et déposa un baiser sur le pansement. Elle sentit la main d’Alice sur son cou..
-Je crois que c’est plus haut...
Doucement Sophie repoussa la jupe et enfonça son visage entre ces jolies jambes: elle trouva d’autant plus vite le chemin de son bonheur qu’Alice ne portait pas de culotte... le vagin d’Alice était très serré et son clitoris tout petit. Sophie se fit un plaisir de le titiller jusqu’à entendre sa tendre amie gémir de plaisir. Pendant ce temps, celle-ci lui caressait la nuque et le dos, lui procurant des frissons d’une intensité totale.
Sophie jouit en même temps qu’Alice...
Quelques instants après, les deux jeunes femmes étaient assises normalement et reprenaient leur souffle, satisfaites.
-Merci Sophie ma chérie... j’en ai rêvé toute la matinée...
Sophie sourit: et elle donc!
Elle sentait son jus couler doucement entre ses jambes.
Elle amena la belle Alice chez elle:celle ci ne protesta pas lorsque Sophie la déshabilla.
Elle prit même le relais et retira les vêtements de Sophie.
Elle s’arrêta un long moment sur sa poitrine, lui suçant les tétons en lui caressant ses hanches et son cul.
Elle s’embrassèrent enfin longuement toutes les deux, se découvrant l’une l’autre, gardant leurs regards dardés l’un dans l’autre. Chacune avait le main sur le vagin de l’autre, un doigt entrant dans leurs fentes humides et se faisant ainsi mutuellement plaisir.
Elles tombèrent sur le canapé et Sophie se fit une joie de découvrir chaque cm carré de la peau nacrée de sa partenaire.
Celle-ci se laissait faire, prenant son plaisir sans compter et en donnant autant qu’elle le pouvait à la belle Sophie.
Enfin ce fut au tour d’Alice de goûter au vagin de son amie: elle se fit un devoir d’en caresser de sa langue chaque recoin, retardant au possible le moment de l’orgasme.
A un moment, ce ne fut plus possible et les deux jeunes femmes jouirent ensembles l’une blottie contre l’autre...
Après une bonne douche qui fut le prétexte à de nouvelles caresses humides, Alice et Sophie s’allongèrent sur le lit.
Alice expliqua alors à Sophie que, si elle avait toujours eu envie de faire cela avec une femme, elle était la toute première... en plus, Alice venait de rompre avec Arthur, son petit copain, qui était allé voir une autre fille...
Sophie buvait les paroles de son amante et continuait à caresser ce corps si parfait. Elle adorait les petits seins d’Alice dont les tétons, bien durs, restaient dressés au milieu de leurs aréoles... sa petite chatte si serrée qu’au début elle l’avait crue pucelle était d’une douceur étonnante et, à chaque fois qu’elle mettait un ou plusieurs doigts dedans, elle sentait la jouissance de son amie.
Sophie attrapa un gode sous son oreiller et le mit devant la bouche d’Alice qui sursauta.
Elle fixa Sophie de son regard bleu si pâle et se mit à sucer l’objet d’abord lentement, puis avec entrain.
Sophie était heureuse: elle sortit un second gode et le donna à son amie qui le lui mit dans la bouche. Après avoir bien sucé ces deux membres artificiels elle se les introduisirent mutuellement et doucement dans leurs vagins.
D’une main, chacune travaillait l’autre, allant de plus en plus vite dans leurs mouvements de va et vient: de l’autre main, elles se tenaient chacune par le cou, leurs bouches se touchant tandis qu’elles gémissaient....
Enfin, elles jouirent toutes les deux, retirant leurs godes comme à regret et se remettants à les lécher pour goûter, encore une fois, chacune le jus adoré de l’autre...
Une heure plus tard, elles étaient en train de boire un thé autour de la table de la cuisine, toujours nues et se tenant d’une main.
-Tu sais ma chérie, fit Sophie, il va falloir que je te présente quelqu’un...
La main d’Alice se resserra sur celle de Sophie.
-Ah bon, qui?
-Et bien, c’est un homme pas très jeune, gentil, il écrit, et il voudrait être mon soumis... qu’en dis-tu?
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