Sophie et les abeilles

- Par l'auteur HDS PLUME77 -
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Récit libertin : Sophie et les abeilles Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Sophie et les abeilles
J’avais passé presque une année à glander à la fac dans la nouvelle section environnement de Montpellier. De nature timide et introvertie, bien que très bien notée par le corps enseignant, je ne me sentais pas à l’aise dans la société. Ça venait probablement de mon enfance et du peu de crédit que me donnait mes parents.

Les cours, les professeurs, les autres étudiants, me paraissaient tellement arrogants, que je restais dans ma bulle, insatisfaite et stressée de la vie de la grande ville. Mais j’avais eu un coup de cœur pour ce qui touchait à l’écologie et à la nature en générale.
Ma mère m'avait prévenue que je n'étais pas faite pour ce type de matière elle me voyait dans la petite enfance, mon père parti depuis longtemps de la maison, avait râlé mécontent de devoir mettre la main à la poche pour que sa fille puisse continuer ses études. A l'approche de l'inscription de la seconde année, je renonçai et cherchais soit une formation, soit un petit job plus près des racines de l’homme et des animaux, qui ressemblait à mes aspirations profondes.
Sentimentalement rien ne me créait l'obligation de rester en milieu urbain, j’avais eu un seul petit copain et ça n’avait pas duré, manque de confiance en moi, j’étais passive alors qu’il attendait sûrement une fille plus experte et prête à faire des expériences que je ne connaissais pas.

De petite taille, tout juste 1.55 mètre, menue avec des attributs mammaires très en dessous des autres filles que je côtoyais, j’avais peu de chance de rencontrer un garçon qui s’intéresse à moi. La seule chose que je possédais et qui me différenciais était mes tétons très longs, des tétines de chèvre disait maman. Mes cheveux blonds et mes yeux bleus me faisaient passer pour plus jeune que je n’étais, mes 19 ans étaient pourtant passés depuis un moment.

Je rencontrais tout à fait par hasard à une exposition de produits régionaux et écologiques, un apiculteur qui cherchait un apprenti pour perpétrer son savoir-faire. Je passais une partie de la matinée à tourner autour de son stand sans oser l’approcher. Un homme immense, un géant. Il m’avait repéré et c’est lui qui entrait en contact avec moi. Nous discutions un long moment, mais visiblement il cherchait plutôt un garçon.

Je ressentais une bonne vibration en sa présence et me prenais d'amitié pour lui. Un de ses clients assistait à une de nos discutions(il me présentait « gros bourdon » je pouffais de rire, ce qui paraissait ne pas leur plaire) et je crois que c’est lui qui en fin de salon, poussait l’apiculteur à me prendre à l’essai, bien que mon cursus ne correspondent pas à sa recherche, il acceptait faute de mieux, de me prendre dans son exploitation, ‘’ La Rucherie’’ disait-il. Les questions auxquelles je répondais étaient plutôt orientée personnelles, voir intime, mais je trouvais que c’était juste d’essayer de connaître une personne avant de l’embaucher.

Trois jours après, je faisais ma valise pour partir au fin fond du nord de l'Hérault. Un minimum de bagage avait-il dit, je n'avais pas besoin de prendre beaucoup d'affaires car le métier exigeait que l'on soit protégé des insectes par une tenue adéquate, le restant du temps je devrais être habillé en style camouflage pour ne pas effrayer les animaux et bien entendu c'était lui qui fournissait les tenues.

Je prenais donc un train qui m'emmenait au plus près des forêts et un bus pour arriver non loin de l'exploitation dans un village où il ne devait pas y avoir plus d'une cinquantaine d'habitants. J'étais ravie d'être près de la nature, car en fait c'est ce qui me correspondait le mieux. Le grand homme, il avait plus d'une tête et demie que moi, mais ce n'était pas difficile avec 1,55 et mes 45 kg, de paraître gigantesque à côté de moi. L'homme devait bien avoir dans les 55 ans avec des poils partout, cheveux longs, moustache, barbe et même dans l'échancrure de sa chemise apparaissait une toison poivre et sel très fournie, un peu le genre soixante-huitard, baba cool .

Il me mettait à l'aise dès que nous montions dans son vieux 4 x4 en me déclarant que je devais l'appeler monsieur et que lui m'appelait par mon prénom. Un contrat avait été signé et m'obligeait au titre d'apprenti à une totale dépendance à mon formateur. Je touchais 150 € par mois, j'étais blanchie, nourrie et obligation m'était faite de suivre la formation technique et théorique, ainsi que d’aider aux menus travaux de la tenue de la maison. C'était à peu près tout ce que contenait ce contrat.

Nous roulions pendant près d'une demi-heure à travers bois dans des sentiers défoncés et empierrés, remués de tout part, avant d'atteindre un chalet qui ressemblait à un refuge de bois avec un socle de pierre et une dépendance faite de rondins à côté de la maison, des ruches étaient derrière la construction et nombre d'outils de toutes sortes se trouvaient devant l'appentis.
Jean-Marie, c’était son prénom, me faisait visiter le chalet constitué, d’une grande pièce qui servait de salon, salle à manger, bureau et cuisine. Il y avait des photos d’abeilles sur les murs et une peluche aussi grande que moi en forme d’abeille également.

-« Ma reine « dit-il »en guise de présentation.

Un autre espace avait le nom de salle d’eau, fermé par un rideau constitué de bande de plastique (sûrement contre les insectes volants) mais en fait ne contenait qu'une douche sommaire qui suivant les dires de Jean-Marie avec l'eau chaude, grâce à deux panneaux solaires placés sur le toit.

Derrière une porte sa chambre et pour moi un coin dans la salle commune ou un lit était aménagé avec des rondins de bois et un matelas dessus. Je m'étonnais auprès de l'homme de si peu d’intimité.

-« Tu devras t'y habituer ma petite Sophie, c’est comme ça la vie dans les bois ! »

Sans plus d'explication et devant la teneur grave de sa voix, je n’osais pas insister et je baissais la tête. Après tout, ce qui m'intéressait c'était la vie près de la nature et le voyage m'avait fatiguée, je n'avais pas envie de discuter les ordres de mon nouveau professeur et risquer de mettre un terme à ma nouvelle aventure pour si peu de chose.

Il avait réanimé le feu dans la cheminée et le chaudron commençait à fumer en dégageant une agréable odeur de légumes et je me surprenais à avoir faim, moi qui rechignais toujours au moment de passer à table.

-« Bon va te laver maintenant avant de manger, je suis responsable également de ta bonne santé et comme chacun sait une bonne santé commence par la propreté ».

C’était sans discussion et je m’exécutais. Il avait des proverbes bien à lui, mais ça me faisait sourire et je gagnais ‘’la salle d’eau’ ’. Je me déshabillais en tournant le dos au rideau succinct, mais comme je le voyais, il me voyait aussi. Nue dans cet espace réduit avec un homme a quelques mètres, je n’étais pas trop rassurée. J’ouvrais le robinet et poussais un cri de surprise, l’eau était gelée.

Il rentrait dans la pièce et entreprit de régler le robinet, pas gêné que je me trouve complètement à poil, il me dit –« Tiens regarde, c’est chaud maintenant » et il restait à me regarder pendant que je passais la main sous l’eau pour apprécier la chaleur. Je me disais qu’il allait ressortir, mais non il était planté là à me regarder.

J’étais perplexe et ne savais que faire. Je prenais le partie de me laver en lui tournant le dos, je passais le gros morceau de savon qui était au sol et m’en frottait le corps. Il sorti quand même de la salle d’eau et je me tournais pour plus de faciliter, mais en fait il n’était parti que pour revenir avec une serviette. Il continuait donc à me mater jusqu’à la fin de ma toilette.

-« Tourne toi pour je t’essuie le dos, tu es trempée ».

Est-ce que je devais prendre ça comme un service ou comme une tentative de me pelleter. En fait il me frottait le dos avec la serviette rêche et je finissais moi-même de me sécher. Je voulais récupérer mes vêtements, mais il les avait déjà fait disparaître et me proposait un long tee-shirt couleur kaki avec des motifs de camouflage. De toutes les façons je ne pouvais rester nue, je passais les vêtements, qui cachait à peine mes fesses arrivait au ras de ma fente et dont l’absence d’emmanchure très large, laissait mes seins libres de chaque côté. Je me disais qu’il avait sûrement préparé son coup.

Il me désignait un placard et me faisait découvrir ce qu'il renfermait, j'avais le droit à un treillis et deux autres tee-shirt kaki, une paire de rangers et deux paires de chaussettes montantes terminaient ma future tenue.

Il m'a indiqué qu'une tenue d'isolement était également à ma disposition dans l'appentis à côté de la maison.

Il s’était débarrassé de ma tenue « de parisienne » c'est ainsi qu'il définissait ma jupe, mon chemisier et ma petite doudoune matelassée. Si je comprenais bien il avait tout jeté au feu !

D’un ton péremptoire et autoritaire, Jean-Marie m’ordonnait de mettre la table et de servir le repas, lui s’était assis, je faisais ce qu’il me demandait. Il me faisait peur. Cet homme avait plus que l'âge de mon père et je lui obéissais comme je n’avais jamais fait avec mon géniteur. Je m’employais donc à vaquer à faire ce qu’il m’avait ordonné et je sentais son regard sur mes seins et surtout mes tétines développées qui surprenaient tout le monde. Ses yeux me brûlaient presque la peau, tellement ils étaient intenses.

Je n'avais plus de petit ami depuis plusieurs mois, mais je continuais à me raser la chatte au plus près, c’était ma façon à moi d'être propre et quand je me baissais sans plier les genoux pour prendre les assiettes dans le meuble bas, il ne pouvait que découvrir ma fente parfaitement lisse et bombée en forme d’abricot. J’avais chaud et le feu n’était pas le seul responsable.

Je continuais mon travail en nous servant la potée de légumes et de viande bouillie que contenait la marmite. Je passais à table face à ce géant, que même assis je devais regarder en levant la tête. Nous mangions en silence, c’était délicieux et je ne prenais pas garde à son regard dans mon décolleté. Jean-Marie me posait des tas de questions lorsque nous terminions le repas par un fruit. Je lui répondais aussi franchement que possible et en profitais pour lui dire que je comprenais la promiscuité dans laquelle je devais vivre, mais que je ne souhaitais pas entretenir une relation sexuelle. Il me rassurait et me jurait qu’il me considérait comme une apprentie et que le fait de vivre ensemble ne devait pas me gêner. Ça me rassurais pour ma formation, je voulais absolument pouvoir m’occuper des abeilles. La conversation était à mon sens quand même un peu déplacée, il voulait des détails sur ma vie intime une nouvelle fois, mais je comprenais qu’un homme vivant seul dans les bois ai besoin d’un peu de stimulation sexuelle. Je me livrais, sans pour autant donner le fond de mes pensées et de mes phantasmes. Lui décrivais les échanges avec mon ex petit ami.

Je faisais la vaisselle et il me regardait tout le temps qu’il me fallait pour la laver, l’essuyer et la ranger. Bien sur je devais lever les bras et m’accroupir pour ranger tous les éléments et il ne se gênait pas pour reluquer les parties de mon corps qui à ce moment-là étaient visibles par les mouvements que je devais faire.

Je décidais de me laver les dents et je passais dans la salle d’eau. J ‘avais à peine déposer une noix de dentifrice sur ma brosse, qu’il entrait à son tour, nu comme un ver. Son sexe était long et épais, d’un diamètre que je ne soupçonnais même pas. Il ne bandait pas, mais sa bite était hors normes, elle pendait entre ses cuisses musclées, bougeait comme il bougeait. C’était beau et à la fois ça me faisait peur Il prenait sa douche et je le regardais avec plaisir, quand il se lavais la bite, c’était comme si il se masturbait. Il le faisait exprès je pense, s’exhibait pour que je le regarde. Je terminais mon brossage et rejoignais l’endroit où je devais dormir. Il respectait sa parole et je dormais comme un bébé avec comme bruit de fond le crépitement du feu et la bonne odeur du bois qui brûle.

C’est l’odeur du café qui me réveillait, par la fenêtre je voyais qu’il faisait encore nuit, aucune pendule dans la maison pour savoir l’heure qu’il était.

-« Allez ouste petite feignante debout, petit déjeuner et au boulot ».

J’avais dormi nue bien au chaud sous la couette.-« Viens déjeuner comme tu es, pas de temps pour la frime ».

Pour lui les vêtements étaient de la ‘’frime’ ’drôle de conception vestimentaire. Je déjeunais donc nue mes tétines pointaient, lui était déjà habillé.

Le petit déjeuner avalé, pas de passage à la douche, pas de brossage dents, directement le treillis (pantalon et veste), pas de slip pas de soutien-gorge, des chaussettes, un tee-shirt et ma paire de rangers (un peu trop grande).

De la dépendance à côté de la maison, il sortait un quad et chargeait des outils dans la remorque. Il me portait pour me le faire enfourcher, il montait devant moi et nous montions la montagne en passant entre les sapins pour atteindre une petite clairière en hauteur, je m’accrochais a sa taille avec mes deux bras pour ne pas basculer par-dessus bord, c’était chaud.

Le travail consistait à creuser des troncs d’arbres mort, mais encore debout, pour faire des cavités, afin que les abeilles puissent y vivre et faire du miel. Des ruches naturelles en sorte. Celle sur laquelle nous travaillons était presque terminée et j’étais en charge de bien gratter l’intérieur pour qu’il soit le plus lisse possible.

Jean marie couvrait d’un mélange de cire et de goudron à l’extérieur les interstices du bois pour rendre la ruche étanche.

-« J’ai envie de pisser Sophie, sort ma bite, j’ai les mains prisent ».

J’étais effarée par la demande et restais sans voix.

-« Grouille, je vais me faire dessus ».

Le ton péremptoire avait raison de moi et j’entreprenais de déboutonner le pantalon de treillis, bouton après bouton, il n’avait pas de slip non plus. J’attrapais sa bite et la tirais de la braguette, elle était raide et j’avais toutes les peines du monde à la plier pour la sortir. Je terminais pas l’extraire, elle mesurait au moins 25 cm, je m’extasiais en la regardant.

-« Dirige vers le sapin ou tu vas prendre une douche » dit-il en rigolant.

Je sentais la chair palpiter sous ma main et l’urine courir et finir en jet que je dirigeais tant bien que mal en retroussant la peau sur le gland. Au final je la tenais à deux mains. Jean marie faisait exprès de la bouger, elle était vivante entre mes mains. J’adorais ça.

-« Secoue la bien, sinon je vais tremper mon pantalon ! »

Je faisais aller le prépuce de bas en haut de son sexe d’une main tremblante pour faire sortir les dernières gouttes, ce qui avait pour effet de la durcir encore d’avantage. Je n’avais jamais vue un homme uriner et j’étais fascinée par cette petite fente au bout par ou s’échappait le liquide chaud.

Le midi nous cassions la croûte, Jean marie avait préparé ce qu’il fallait et comme il n’y avait pas d’eau, j’acceptais de boire du vin directement au goulot de la bouteille, c’était frais et bon, j’en abusais.

L’après-midi était consacrée à la recherche d’un essaim et nous avons marchés longtemps avant d’en trouver un assez important pour remplir la niche que nous avions terminée dans l’arbre mort. Il fallait passer nos combinaisons de « cosmonautes » avec la fenêtre grillagée (comme une burka blanche), qui nous protégeaient des piqûres d’abeilles. Jean marie me faisait mettre nue, pour une meilleur protection, disait-il.

Assez curieusement, il ne cherchait pas à me toucher, mais multipliait les occasions de me mettre à poil. Il fallait enfumer les abeilles et les faire tomber dans un grand sac en toile pour les emmener dans l’arbre mort. Il ne fallait pas perdre de temps et pouvoir identifier s’il y avait bien une reine dans toutes les abeilles de l’essaim. Nous retirions nos protections, ce qui n’était pas du luxe, car il faisait très chaud la dedans. Du coup il désirait que je reste nue pour assurer l’ensemencement de la ruche. Je n’y comprenais pas grand-chose, les effets de l’alcool du midi aidant, et vu la chaleur j’acceptais de rester à poil. Nous marchions jusqu’à l’arbre, pas très fière de pouvoir rencontrer des gens, mais enfin libre dans mon corps. Arrivés à l’arbre, Jean marie y déposais les abeilles.

Il me demandait de sortir sa bite pour le baptême (c’était devenue une habitude !). Je devais le masturber pour que sa semence nourrice la reine et donne du miel. C’était parait-il le secret des apiculteurs pour conjurer le mauvais sort. Une sorte de rituel, de messe expiatoire. Devant mon hésitation, il dit que normalement ça doit être fait par une main vierge, mais qu’au vue de mon inexpérience, je ferais l’affaire. Piquée au vif, je m’exécutais malgré le grand jour et la pleine nature.

Je n’avais fait l’amour que dans le noir et je n’avais jamais vue une masturbation que j’avais faite, ni le sperme sortir. Jean marie était debout et le sexe dirigé vers l’arbre, je m’étais mise à genoux et faisais aller ma main de son ventre vers le bout de sa bite. J’avais automatiquement placée ma seconde main sous ses couilles que je caressais.

-« Accélère voyons, tu vas tout faire rater ».

Vue de l’extérieur, nous devions présenter un tableau peu banal, moi la petite jeune fille entièrement nue à genoux et lui le géant velu, bite à l’air en train de se faire branler pour jeter son sperme sur l’essaim d’abeilles.

Les poils de ses couilles étaient drus et je m’étonnais qu’il ne se rase pas, je l’astiquais du mieux que je pouvais, mon bras droit me faisait mal et je changeais de main.

-« Mets-y les deux mains si tu veux ».

C’est vrai que c’était plus commode de cette façon, la peau glissait bien et faisait un bruit d’eau qui glisse, j’accélérais le mouvement et je regardais Jean marie dans les yeux. Il était rouge et ses yeux mi-clos battaient la chamade. Son corps s’arc-boutait, il lançait son ventre en avant. Il tremblait et le sperme giclait d’un seul coup, j’avais du mal à maintenir le direction. Plusieurs spasmes faisaient des jets de jute brûlante, j’en avais sur la main mais je tenais sa bite jusqu’à la fin. Il repoussait ma main et rentra son service trois pièces dans son pantalon .

-« Assez rigolé maintenant, il faut rentrer, il y a risque d’orage ».

A peine à la maison, il se mettait à poil pour prendre sa douche.

-« Allez viens, on va économiser l’eau, il y a de la place pour deux ».

Je ne savais pas trop comment je devais prendre son invitation, mais avais-je vraiment le choix ? Je me mettais nue et passais sous la douche, je devais lui frotter le dos avec le savon et il me rendait la pareil en faisant de même.

Il restait nu un moment avant d’enfiler son pantalon, son sexe pendait comme la veille et l’éjaculation n’avais pas d’incidence sur sa bite qui dansait au rythme de ses mouvements. Je choisissais de rester nue de peur de le mécontenter et faisais le tour de la pièce. Je détaillais l’énorme peluche et restait bouche bée devant la découverte que je faisais.

-« C’est ma femelle, avec elle pas de reproche et pas de larme ».

Un trou en bas de l’abdomen de l’abeille, présentait un appareillage en latex rose pour qu’un homme puisse entrer son pénis et jouir à son aise. Ainsi Jean marie préférait se masturber dans une espèce de poupée gonflable, plutôt que faire l’amour avec une femme. Ceci m’expliquait le peu d’intérêt que je semblais représenter pour lui. Il ne semblait pas gêné de ma découverte.

Il s’affairait à préparer, une entrée, un plat à base de riz de miel et de chevreuil (qu’il avait tué lui-même), du fromage de chèvre et des fruits rouges des bois. Je comprenais que c’était un jour particulier, sûrement à cause de la fécondation de la ruche de l’arbre mort.

Mais je comprenais que je faisais une erreur quand j’entendais un bruit de moteur venir vers la maison. Un vent de panique me prenait, Jean marie me saisissait au vol alors que je me précipitais vers mes affaires.

-« Non, non petite Sophie, ce n’est que mon ami « le gros bourdon »’, cool, il ne mange pas les petites filles».

Une image me revenait à la mémoire, le symbole de Laguiole, celui des francs-maçons, le sceau royal et les légendes Basques, tout ceci étaient en relation avec les abeilles !! Il s’agissait sûrement d’une secte…

Le client que j’avais vu sur le stand lors de l’exposition faisait son entrée dans la maison, pas surpris de me voir entièrement nue. Il disait bonjour à la volée sans me quitter des yeux. Il embrassait Jean marie et me prenait dans ses bras pour m’asseoir sur mon lit. Il attaquait directement mes tétines en les faisant rouler entre ses doigts boudinés et continuait à discuter avec Jean marie du miel et des abeilles comme si rien n’était. Mes seins étaient durs et me faisaient mal, j’étais à la fois révoltée et consentante d’être traitée comme il faisait. Sans ma permission, comme si tout cela était naturel et ne nécessitait pas de s’occuper de moi autrement qu’en jouant avec mon corps. Il avait disposé mon dos contre son torse, mes jambes par-dessus les siennes pendaient de chaque côté. Mon sexe offert au regard de Jean marie qui n’en perdait pas une miette tout en préparant le repas. Je n’osais pas bouger et « gros bourdon » continuait son tripotage en maltraitant ma poitrine.

Jean marie nous servait un apéritif fait à base de miel et d’eau de vie, très alcoolisée. Assis en face de moi sur une chaise il trinquait avec, « le gros bourdon » qui avait fait passer mes pieds bien à plat sur ses cuisses, la vue sur l’intérieur de ma chatte était assurée pour le géant qui me faisait face. Je me sentais comme une poupée pour les deux hommes. Plus exposée que chez le gynécologue. Jean marie m’ordonnait d’écarter mes lèvres avec mes doigts qu’il voit clair « la dedans ». Bien sur j’obtempérais, je devenais folle dans cette exhibition forcée, je sentais l’humidité gagner mon vagin, mes tétines à force d’être étirée, bandaient comme jamais, elles ressemblaient vraiment à des pis de chèvres, maman avait donc raison. J’attendais la main de « gros bourdon » dans ma fente, mais elle ne venait pas, j’avais envie de me toucher le clitoris, mais devant l’absence de permission, je ne bougeais pas et continuais à écarter ma chatte pour le plus grand bonheur de Jean marie qui avait sorti son sexe et se caressait doucement en me reluquant.

J’étais tout à mon rôle et n’avais pas vue que le géant qui se masturbait et fixait mon sexe, avait déposé une boite au pied de sa chaise. Sans cesser son mouvement il avait saisi le couvercle de ce récipient, un pot de miel et ce qui me faisait le remarqué, étaient les mains de « gros bourdon » qui avaient quittées mes seins pour mes bras qui me ceinturaient le haut du corps. Une cuillère à miel dans la main, il étalait le liquide doré sur mes lèvres et mon anus. Je demandais à « gros bourdon » de ne pas m’écraser et lui jurais que je ne bougerais pas. Il m’allongeait sur le dos et relevait mes cuisses pour offrir plus de visibilité au géant et à lui-même. Le miel coulait le long de ma fente vers mon trou du cul, c’était agréable, quoiqu’un peu poisseux.J’en étais là de mes réflexions, quand Jean marie portait près de mon sexe un morceau d’alvéole avec des abeilles dessus.

Il les faisait descendre sur mes lèvres « gros bourdon » qui les écartaient, faisait rentrer les insectes dans les replis de mes lèvres intimes. Le géant munit de la cuillère à miel me masturbait faisant pénétrer dans mon vagin les abeilles encollées par le miel. Le pire était à venir et je commençais à penser qu’ils étaient un peu fous tous les deux. Des pensées de messes noires et de vaudou me venaient en tête.

C’est toujours Jean marie, le géant, qui menait l’opération, il avait au bout d’une pince de bois un bourdon qu’il maintenait pour le présenter à mon clitoris, immobilisée par ma promesse et surtout par « gros bourdon » , l’insecte frôlait mon clitoris et finissait par planter son dard dedans. Je criais à tout rompre et je sentais le venin me pénétrer, générant d’entré une espèce de fourmillement. Mon clitoris grossissait, les hommes étaient scotchés devant le spectacle. Le bourdon s’échappait, mais je sentais encore le dard que Jean marie essayait d’ôter.

Le moindre frôlement de mon clitoris me déclenchait un orgasme, j’en avais des dizaines et les deux hommes avaient bien comprit comment les faire venir, j’étais exténuée. Ils se masturbaient devant mon sexe grand ouvert en voyant les quelques abeilles encore présentent et le miel qui coulait. Je n’étais qu’un fétu de paille entre leurs mains.

Jean marie éjaculait rapidement sur mon vagin, suivit par « le gros bourdon » et je continuais à avoir orgasme sur orgasme. Le géant mélangeait sperme et miel avec la cuillère en touillant dans mon vagin comme dans une casserole. J’étais anéantie, les hommes le comprenaient et ils décidaient que l’on devait passer à table.

Pour ma part une douche m’aurait suffi, mais je mangeais dans un état second, buvais le mélange d’eau de vie et de miel. A la fin du repas les deux hommes devaient me porter pour me faire prendre ma douche, Jean marie me soutenait alors que « gros bourdon » me lavait, fouillant mon sexe pour en faire sortir le miel, le sperme et les abeilles mortes. J’avais encore des spasmes de jouissance à chaque fois qu’il frôlait mon clitoris gros comme une jeune fraise, les effets du venin commençaient à diminuer.

Je passais une nuit tourmentée, je prenais connaissance le lendemain de la « messe sucrée » la aussi tradition des apiculteurs de la région, mon clitoris avait retrouvé une taille normal.

Les semaines passaient et à chaque occasion, un nouveau rite m’était dévoilé. Mon ventre ne tardait pas à s’arrondir : j’étais enceinte…

De Jean marie, de « gros bourdon », des abeilles, ou bien des trois en même temps ?

Toujours est-il que j’étais très malade et que Jean marie décidait de me ramener sous le toit de maman.

Je devais affronter la dictature de ma mère et rentrais piteuse. Je promettais d’inviter les deux hommes à mon accouchement…

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