Sophie, la chipie...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sophie, la chipie...
Elle me dévisage avec un air malicieux. Elle tient par le bout des doigts un collant très sexy, qu’elle balance d’avant en arrière.
Elle est venue me rejoindre dans la cave alors que je ne l’attendais pas.
-A qui appartient cette belle chose ?
-A ma maman !
Elle le porte à son nez, fait la grimace, se bouche les narines.
-Ça sent fort ! ça te dit ?
-Donne !
-J’ai quoi en échange ?
-Ce que tu veux, aller donne !
-Vraiment tout ?
-Oui tout, aller donne…
Elle tend son bras, et je me saisis du collant. Je le flaire pour vérifier ses dires. J’aspire de longues bouffées comme pour s’enivrer des relents malodorants que dégage le collant. Les yeux clos, je prends un énorme plaisir.
-Alors ? Me fait Sophie.
-Je ne sais pas si je dois te l’avouer, mais c’est ce que j’ai humé de mieux ses derniers temps.
-J’ai bien fait alors ?
J’observe le collant. Il est tout raide. Le collant couleur pêche est imbibé de sueur. Et il s’en dégage une puissante odeur de pieds qui ont bien sué. Je porte la pointe du collant pollué sous le nez et j’absorbe l’odeur sans m’arrêter. Je prends soin de me recouvrir tout le nez de manière que je puisse expirer autrement qu’en inspirant des relents pestilentiels. L’odeur dense, vinaigrée, qui imprègne le nylon m’envahit, me saoule. J’hume à petites bouffées pour ne pas étouffer et la chaleur de mes inhalations amplifie l’épouvantable odeur que dégage le collant.
La puissante odeur aphrodisiaque qui s’en dégage me procure une érection. Plus l’émanation m’envahit et m’imprègne plus je bande fort.
Sophie, s’apercevant de la bosse que forme mon érection sous la toile de mon pantalon, elle se met à me tâter la bite.
-C’est l’odeur de maman qui te fait autant d’effet ?
Je suis comme en transe.
-J’aime son odeur !
-Bien ! Dit-elle en sortant du local.
Quand elle revient, c’est en tenant en main un sac avec l’emblème du supermarché du coin, pour ne pas le citer. Elle plonge sa main dedans et la ressors avec au bout des doigts une culotte.
-Elle appartient à maman, cela t’intéresse ?
Et là, elle me la lance. Je la retourne et en inspecter le fond. Celui-ci est vraiment négligé. Ce qui suscite mon inspiration. Toute la fourche est maculée par une ahurissante couche de sécrétion vaginale, blanchâtre comme du yaourt séché. Je la scrute, la tourne, la retourne.
-Regarde ? Fais-je à Sophie. La mouille remonte jusqu’à la raie.
-Et alors ? Répond-t-elle.
-Rien, je remarque c’est tout.
Après l’avoir inspectée, je flaire la culotte en inspirant à fond pour m’enivrer des puissants fumets de sexe et de pisse. C’est sale et excitant. -Tu es vraiment un sacré cochon ! Fait-elle, en faisant disparaître sa main sous sa jupette.
Tout en me fixant, elle se contorsionne pousse un cri. Elle plonge sa main libre à l’aveuglette dans le sac et en ressort une culotte rose en coton.
-Elle appartient à Sheila !
-Donne, lui fais-je en tendant le bras.
-J’en es une qui appartient à Marie-Chantal.
-Vas-y donne.
Marie-Chantal est la copine de son frère. Qui habite avec eux.
-Attend me fait-elle, soit patient !
Elle renifle la culotte portée avec un sourire qui en dit long puis après s’être bien imprégnée de l’odeur elle me le met sous le nez. Elle insiste pour la tenir. Elle me fait respirer le devant, puis derrière. Je m’exécute. La fourche souillée dégage une odeur iodée, capiteuse. Puis je flaire la partie la plus fine de la culotte. Là où est en contact avec le trou du cul. Le parfum est plus consistant. Elle a dû le porter plusieurs jours de suite.
-C’est excitant, non ?
Nous formons elle et moi, une drôle de paire de pervers. Devant son regard je me mets à pourlécher. Je lape la fourche du slip. La mouille séchée redevient visqueuse au contact de ma salive. Sophie me regarde avec satisfaction. Elle concentre son regard sur ma langue pataugé dans les sécrétions intimes qui se liquéfient.
Pendant ce temps là elle se masturbe. De me voir laper le contenue sale de la culotte de sa belle-sœur lui font de drôle d’effet. Au point de la faire se lever d’où elle se tenait. Elle trousse sa jupette et m’exhibe devant mon visage une petite culotte en dentelle. Pas sûr qu’elle lui appartenait ! Puisqu’elle est loin d'être à sa taille. Une odeur de crustacé me monte aux narines.
-Comment tu la trouves celle-là ?
-Elle est sexy, je peux voir ta chatte tant est est transparente. Elle est à toi ?
-Non ! A maman ! Tu veux la sentir celle-là aussi ?
-Je ne dis pas non !
Et là, contre toute attente, la voilà, elle se pose à califourchon sur mon visage. Me plaque sa chatte gainée dans le slip à maman sur la bouche.
L’humidité poisseuse de la dentelle me macule les lèvres. Je tire la langue. Une odeur de crustacé me monte aux narines. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je me mets à haleter d ‘excitation. Je prends son sexe à pleine bouche, me mets à le téter à travers le filet. J’aspire toute la mouille qui dégouline. Elle me fixe d’un regard dur, écarte le slip sur un côté me tire les cheveux en dirigeant ma langue dans les replis de son sexe.
-Broute-moi. Lèche-moi bien la fente.
J’obéis tout heureux d’être son jouet de plaisir. Je lape à grands coups de langue. Son bouton gonfle. Je le mordille du bout des incisives, puis je le tète comme un bébé. Elle respire vite, elle frotte son pubis d’avant en arrière, se servant de ma figure pour se branler. Ses poils, par leur frottement, irritent mes lèvres. Sa chatte poisseuse, odorante, remonte vers mon nez, répandant une mouille onctueuse. Elle se frotte de plus en plus fort en fléchissant les jambes. La coquine me baise la bouche.
Elle galope sur ma bouche. Fait passer mes lèvres de sa chatte à son petit trou fripé, dont lodeur fauve imprègne maintenant tout mon visage. J’ai le nez empli d’effluves de cul. La coquine se crispe, serre mon visage entre ses cuisses, écrase ma bouche contre sa chatte. Son anus palpite comme si elle allait faire la grosse commission. Elle se frotte encore contre ma langue et elle soupire :
-Oh là là…. C’est trop bon…
Ma bouche reste comme ventousée à ses deux grandes lèvres, tandis que son sexe dégorge sur ma langue son trop-plein de sécrétions vaginales. Je déglutis. La saveur est salée. Elle desserre enfin son étreinte. Me voyant tout souillé de bave elle me jette un regard amusé puis dépose un baiser sur mes lèvres.
-J’ai jouis avec ta bouche !
Un sourire éclaire son visage. J’ai la moitié du visage qui pu le cul et la moule. J’ai l’impression d’être un slip de femme. Cependant la lueur qui anime son regard n’a pas disparu. Qu’a-t-elle encore dans la tête.
Elle continue à mener le jeu. A ses yeux, je ne suis qu’un bon garçon qui obéit à ses moindres caprices.
Je lui prends la main. Elle semble murmurait un reproche, mais se laisse faire. Sa main se referme sur ma queue tendue. Je me mords l’intérieur de la joue pour ne pas gémir. Elle commence à me branler doucement. Ses joues ont pris des couleurs tout comme son cou et le haut de sa poitrine. Elle est en nage. Elle lâche quelques instants ma verge pour soupeser mes couilles. Puis elle recommence à aller et venir, la main refermée sur mon membre palpitant.
Je me cambre. Je ne peux me retenir longtemps. Une crampe terrible s’empare de mon bas-ventre et ma bite enfle encore plus, mon gland parait doubler de volume. Le sperme jaillit et le premier jet le plus puissant éclabousse la main de Sophie. Le second tombe sur ses jambes, le reste s’écoule sur le sol de terre battue. Elle branle jusqu’au bout jusqu’à la dernière goutte suinte du méat dilaté sur ses doigts.
Mon regard se fixe sur la vulve totalement ouverte de Sophie qui étale les replis roses et humides de ses nymphes. Entre ses doigts, ma queue s’étire d’un seul coup jusqu’à sa longueur maximale.
- Comment tu me trouves? Demande Sophie d’un ton doux.
Elle se met à rire. Elle fait glisser la dentelle de sa mère à mi-cuisses, et avec les mains, elle étire sa vulve sur les côtés, faisant saillir, au centre les petites lèvres gonflées et hérissées de pointes. Du bout de l’index, elle caresse le rebord rougeâtre du con. Sous son tee-shirt, ses seins se soulèvent au rythme précipité de sa respiration. Elle laisse échapper une plainte étouffée.
Fasciné, des yeux je suis la lente progression du doigt de Sophie enfoncé dans son con gluant. La bouche ouverte et le souffle court, elle masse en tournant l’intérieur de son vagin. Avec sa main libre, elle pince son clitoris congestionné, presque violacé, qui pointe hors des replis de peau brune. Ses mamelons semblent prêts à crever l’étoffe mince de son tee-shirt rose.
- Branle-toi toi aussi, bafouille-t-elle et regarde moi encore.
En haletant, moi aussi, je commence à me masturber. Très vite, je lâche un petit jet de sperme qui va se répandre sur le sol de terre battue. La nuque renversée, le ventre en avant, Sophie jouit en même temps et ne peut retenir un râle sourd.
Je vais pour me redresser, mais voilà qu’elle me contraint à ne pas bouger.
Elle approche son ventre de ma figure et, en m’appuyant avec douceur sur la tête, elle m’oblige de nouveau à coller ma bouche contre la chatte humide. Je sors la langue. De la pointe, j’effleure le contour des grandes lèvres, essuyant la mouille qui les couvre.
Après l’avoir fait jouir, je me lève et commence à me rajuster. Au moment où je me dirige vers la porte, Sophie se précipite vers moi, m’embrasse sur la bouche et me glisse dans la poche de son pantalon le collant de sa mère.
-Cadeau !
Elle est venue me rejoindre dans la cave alors que je ne l’attendais pas.
-A qui appartient cette belle chose ?
-A ma maman !
Elle le porte à son nez, fait la grimace, se bouche les narines.
-Ça sent fort ! ça te dit ?
-Donne !
-J’ai quoi en échange ?
-Ce que tu veux, aller donne !
-Vraiment tout ?
-Oui tout, aller donne…
Elle tend son bras, et je me saisis du collant. Je le flaire pour vérifier ses dires. J’aspire de longues bouffées comme pour s’enivrer des relents malodorants que dégage le collant. Les yeux clos, je prends un énorme plaisir.
-Alors ? Me fait Sophie.
-Je ne sais pas si je dois te l’avouer, mais c’est ce que j’ai humé de mieux ses derniers temps.
-J’ai bien fait alors ?
J’observe le collant. Il est tout raide. Le collant couleur pêche est imbibé de sueur. Et il s’en dégage une puissante odeur de pieds qui ont bien sué. Je porte la pointe du collant pollué sous le nez et j’absorbe l’odeur sans m’arrêter. Je prends soin de me recouvrir tout le nez de manière que je puisse expirer autrement qu’en inspirant des relents pestilentiels. L’odeur dense, vinaigrée, qui imprègne le nylon m’envahit, me saoule. J’hume à petites bouffées pour ne pas étouffer et la chaleur de mes inhalations amplifie l’épouvantable odeur que dégage le collant.
La puissante odeur aphrodisiaque qui s’en dégage me procure une érection. Plus l’émanation m’envahit et m’imprègne plus je bande fort.
Sophie, s’apercevant de la bosse que forme mon érection sous la toile de mon pantalon, elle se met à me tâter la bite.
-C’est l’odeur de maman qui te fait autant d’effet ?
Je suis comme en transe.
-J’aime son odeur !
-Bien ! Dit-elle en sortant du local.
Quand elle revient, c’est en tenant en main un sac avec l’emblème du supermarché du coin, pour ne pas le citer. Elle plonge sa main dedans et la ressors avec au bout des doigts une culotte.
-Elle appartient à maman, cela t’intéresse ?
Et là, elle me la lance. Je la retourne et en inspecter le fond. Celui-ci est vraiment négligé. Ce qui suscite mon inspiration. Toute la fourche est maculée par une ahurissante couche de sécrétion vaginale, blanchâtre comme du yaourt séché. Je la scrute, la tourne, la retourne.
-Regarde ? Fais-je à Sophie. La mouille remonte jusqu’à la raie.
-Et alors ? Répond-t-elle.
-Rien, je remarque c’est tout.
Après l’avoir inspectée, je flaire la culotte en inspirant à fond pour m’enivrer des puissants fumets de sexe et de pisse. C’est sale et excitant. -Tu es vraiment un sacré cochon ! Fait-elle, en faisant disparaître sa main sous sa jupette.
Tout en me fixant, elle se contorsionne pousse un cri. Elle plonge sa main libre à l’aveuglette dans le sac et en ressort une culotte rose en coton.
-Elle appartient à Sheila !
-Donne, lui fais-je en tendant le bras.
-J’en es une qui appartient à Marie-Chantal.
-Vas-y donne.
Marie-Chantal est la copine de son frère. Qui habite avec eux.
-Attend me fait-elle, soit patient !
Elle renifle la culotte portée avec un sourire qui en dit long puis après s’être bien imprégnée de l’odeur elle me le met sous le nez. Elle insiste pour la tenir. Elle me fait respirer le devant, puis derrière. Je m’exécute. La fourche souillée dégage une odeur iodée, capiteuse. Puis je flaire la partie la plus fine de la culotte. Là où est en contact avec le trou du cul. Le parfum est plus consistant. Elle a dû le porter plusieurs jours de suite.
-C’est excitant, non ?
Nous formons elle et moi, une drôle de paire de pervers. Devant son regard je me mets à pourlécher. Je lape la fourche du slip. La mouille séchée redevient visqueuse au contact de ma salive. Sophie me regarde avec satisfaction. Elle concentre son regard sur ma langue pataugé dans les sécrétions intimes qui se liquéfient.
Pendant ce temps là elle se masturbe. De me voir laper le contenue sale de la culotte de sa belle-sœur lui font de drôle d’effet. Au point de la faire se lever d’où elle se tenait. Elle trousse sa jupette et m’exhibe devant mon visage une petite culotte en dentelle. Pas sûr qu’elle lui appartenait ! Puisqu’elle est loin d'être à sa taille. Une odeur de crustacé me monte aux narines.
-Comment tu la trouves celle-là ?
-Elle est sexy, je peux voir ta chatte tant est est transparente. Elle est à toi ?
-Non ! A maman ! Tu veux la sentir celle-là aussi ?
-Je ne dis pas non !
Et là, contre toute attente, la voilà, elle se pose à califourchon sur mon visage. Me plaque sa chatte gainée dans le slip à maman sur la bouche.
L’humidité poisseuse de la dentelle me macule les lèvres. Je tire la langue. Une odeur de crustacé me monte aux narines. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je me mets à haleter d ‘excitation. Je prends son sexe à pleine bouche, me mets à le téter à travers le filet. J’aspire toute la mouille qui dégouline. Elle me fixe d’un regard dur, écarte le slip sur un côté me tire les cheveux en dirigeant ma langue dans les replis de son sexe.
-Broute-moi. Lèche-moi bien la fente.
J’obéis tout heureux d’être son jouet de plaisir. Je lape à grands coups de langue. Son bouton gonfle. Je le mordille du bout des incisives, puis je le tète comme un bébé. Elle respire vite, elle frotte son pubis d’avant en arrière, se servant de ma figure pour se branler. Ses poils, par leur frottement, irritent mes lèvres. Sa chatte poisseuse, odorante, remonte vers mon nez, répandant une mouille onctueuse. Elle se frotte de plus en plus fort en fléchissant les jambes. La coquine me baise la bouche.
Elle galope sur ma bouche. Fait passer mes lèvres de sa chatte à son petit trou fripé, dont lodeur fauve imprègne maintenant tout mon visage. J’ai le nez empli d’effluves de cul. La coquine se crispe, serre mon visage entre ses cuisses, écrase ma bouche contre sa chatte. Son anus palpite comme si elle allait faire la grosse commission. Elle se frotte encore contre ma langue et elle soupire :
-Oh là là…. C’est trop bon…
Ma bouche reste comme ventousée à ses deux grandes lèvres, tandis que son sexe dégorge sur ma langue son trop-plein de sécrétions vaginales. Je déglutis. La saveur est salée. Elle desserre enfin son étreinte. Me voyant tout souillé de bave elle me jette un regard amusé puis dépose un baiser sur mes lèvres.
-J’ai jouis avec ta bouche !
Un sourire éclaire son visage. J’ai la moitié du visage qui pu le cul et la moule. J’ai l’impression d’être un slip de femme. Cependant la lueur qui anime son regard n’a pas disparu. Qu’a-t-elle encore dans la tête.
Elle continue à mener le jeu. A ses yeux, je ne suis qu’un bon garçon qui obéit à ses moindres caprices.
Je lui prends la main. Elle semble murmurait un reproche, mais se laisse faire. Sa main se referme sur ma queue tendue. Je me mords l’intérieur de la joue pour ne pas gémir. Elle commence à me branler doucement. Ses joues ont pris des couleurs tout comme son cou et le haut de sa poitrine. Elle est en nage. Elle lâche quelques instants ma verge pour soupeser mes couilles. Puis elle recommence à aller et venir, la main refermée sur mon membre palpitant.
Je me cambre. Je ne peux me retenir longtemps. Une crampe terrible s’empare de mon bas-ventre et ma bite enfle encore plus, mon gland parait doubler de volume. Le sperme jaillit et le premier jet le plus puissant éclabousse la main de Sophie. Le second tombe sur ses jambes, le reste s’écoule sur le sol de terre battue. Elle branle jusqu’au bout jusqu’à la dernière goutte suinte du méat dilaté sur ses doigts.
Mon regard se fixe sur la vulve totalement ouverte de Sophie qui étale les replis roses et humides de ses nymphes. Entre ses doigts, ma queue s’étire d’un seul coup jusqu’à sa longueur maximale.
- Comment tu me trouves? Demande Sophie d’un ton doux.
Elle se met à rire. Elle fait glisser la dentelle de sa mère à mi-cuisses, et avec les mains, elle étire sa vulve sur les côtés, faisant saillir, au centre les petites lèvres gonflées et hérissées de pointes. Du bout de l’index, elle caresse le rebord rougeâtre du con. Sous son tee-shirt, ses seins se soulèvent au rythme précipité de sa respiration. Elle laisse échapper une plainte étouffée.
Fasciné, des yeux je suis la lente progression du doigt de Sophie enfoncé dans son con gluant. La bouche ouverte et le souffle court, elle masse en tournant l’intérieur de son vagin. Avec sa main libre, elle pince son clitoris congestionné, presque violacé, qui pointe hors des replis de peau brune. Ses mamelons semblent prêts à crever l’étoffe mince de son tee-shirt rose.
- Branle-toi toi aussi, bafouille-t-elle et regarde moi encore.
En haletant, moi aussi, je commence à me masturber. Très vite, je lâche un petit jet de sperme qui va se répandre sur le sol de terre battue. La nuque renversée, le ventre en avant, Sophie jouit en même temps et ne peut retenir un râle sourd.
Je vais pour me redresser, mais voilà qu’elle me contraint à ne pas bouger.
Elle approche son ventre de ma figure et, en m’appuyant avec douceur sur la tête, elle m’oblige de nouveau à coller ma bouche contre la chatte humide. Je sors la langue. De la pointe, j’effleure le contour des grandes lèvres, essuyant la mouille qui les couvre.
Après l’avoir fait jouir, je me lève et commence à me rajuster. Au moment où je me dirige vers la porte, Sophie se précipite vers moi, m’embrasse sur la bouche et me glisse dans la poche de son pantalon le collant de sa mère.
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