Sophie ou une nouvelle vie épisode 1
Récit érotique écrit par Alain Chalaye [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sophie ou une nouvelle vie épisode 1
“ Jeune femme très agréable à vivre, expérience, cherche place d’employée de maison, nourrie logée, salaire à convenir.”
Cette petite annonce, je la connais encore par cœur et pour cause ! Dans une période pour le moins délicate, elle fût en effet à l’origine…disons…de quelques changements dans notre vie à deux, annonce passée par une épouse faisant preuve de beaucoup d’habileté et approuvée par un mari faisant preuve… d’une naïveté certaine ! Mais je m’emballe quelque peu ! Pour la bonne compréhension de l’histoire, il serait préférable de tout reprendre au commencement, au moment où nous décidons de prendre les choses en main avant qu’il ne soit trop tard.
Notre couple ? Mon épouse Claire, attachée commerciale et moi, Alain, cadre technique dans une petite boite d’ingénierie, tous deux la quarantaine. Un couple qui fonctionnait bien, avec ses qualités et ses défauts jusqu’à ce que survienne une période difficile, en grande partie due à des activités professionnelles envahissantes et à des horaires impossibles. Claire, faute de temps, a du mal à faire face en ce moment dans notre trop grande maison, je ne la seconde pas autant qu’il ne le faudrait et il n’en faut pas plus pour détériorer le climat. Elle se plaint très souvent de mon manque de coopération, notre entente se dégrade progressivement et les problèmes les plus ordinaires prennent tout de suite des proportions excessives. Même notre sexualité s’en trouve affectée et pourtant, nous avions l’impression d’être épanouis de ce côté-là. Petit à petit, les relations se tendent, la cohabitation devient difficile et lorsque nous faisons l’amour, par hasard j’allais dire, c’est sans passion, par habitude!
Et puis un soir, Claire me fait part de son inquiétude au sujet de notre couple et me propose d’en discuter avant qu’il ne soit trop tard. Je rejoins évidemment son point de vue et après une franche discussion, le constat est plutôt rassurant : le mal n’est pas très profond, quelques efforts de la part de chacun et une aide pour les tâches domestiques seront probablement suffisants pour revenir à un meilleur climat.
- Il nous faudrait une aide à plein temps. Suggère fermement Claire.
Je me montre quelque peu sceptique :
- A condition de trouver une personne vraiment sérieuse…et ça, ce n’est pas gagné d’avance !
- On peut toujours essayer les petites annonces, on ne sait jamais !
Avant même de pouvoir exprimer mon point de vue sur la fiabilité de ce genre d’annonces, elle a déjà le journal en mains, à la page des employés de maison.
- Regarde celle-là, on peut dire qu’on a de la chance ! Bondit-elle en me mettant presque le journal sous le nez :
“ Jeune femme très agréable à vivre, expérience, cherche place d’employée de maison, nourrie logée, salaire à convenir.”
- Les choses sont claires, il faudra la loger. Lui dis-je avec un zeste d’irritation.
- On a une chambre d’amis indépendante, ça ira très bien ! Me fait-elle remarquer toute excitée.
- Tu ne sais même pas si elle conviendra ! Lui répons-je du tac au tac.
- Mais Alain, on ne le saura jamais si on n’essaye pas !
Décidément, elle a réponse à tout et je dois m’incliner devant sa logique, finissant par admettre qu’une employée à plein temps serait un vrai plus. Elle se chargerait de la tenue complète de la maison et nous aurions ainsi un maximum de temps libre pour penser un peu à nous. Claire semble très satisfaite de la tournure des événements :
- Et si on téléphonait tout de suite ?
Le numéro de l’agence est composé à la hâte et c’est une charmante voix grave qui prend nos coordonnées en nous promettant un rendez-vous rapide, “ si la personne est disponible ”
- Voilà, il ne nous reste plus qu’à attendre. Dis-je d’un ton prudent.
Le reste de la journée se déroule sans histoire…. mais sans nouvelle de l’agence. Je me plonge sans conviction dans quelques comptes de fin de mois mais n’arrive pas à me concentrer. Je suis en effet trop préoccupé par la décision que nous venons de prendre et crains pour nos petites habitudes...surtout pour moi d’ailleurs ! Lorsque j’observe Claire à la dérobée, je remarque également chez elle une certaine nervosité. J’essaie en vain d’en comprendre la raison puis me replonge sans joie dans les chiffres jusqu’à l’heure du dîner, lassé par toutes ces questions sans réponses.
C’est pendant le petit déjeuner du lendemain que le téléphone retentit. La directrice de l’agence de placement nous annonce que la jeune femme est libre de suite et nous propose aimablement un premier contact “ en fin de matinée…à notre domicile…si ça nous convient ”. Claire, qui a tout suivi en écoute amplifiée, me fait une mimique de contentement et nous acceptons la proposition.
- Pourvu qu’elle soit bien ! Me lance-t-elle les yeux brillants.
- Tu sembles très motivée ! Lui réponds-je avec un petit sourire inquisiteur.
Elle marque un léger trouble puis se reprend rapidement, comme pour couper court à toute réflexion.
- Normal, tu te rends compte du changement pour moi…enfin…. pour nous deux ! Se reprend-elle rapidement. Maintenant, on va préparer la chambre sans perdre de temps, on ne sait jamais !
En s’y mettant à deux, la chambre est vite prête. Quelques roses sur la petite table ajoutent une touche finale à un cadre contemporain très agréable, avec salle de bains attenante tout confort. Nous sommes fiers du résultat et prêts à recevoir notre visite.
Notre empressement était plus que justifié car la sonnette retentit presque aussitôt. Le temps d’un petit coup de peigne histoire de parfaire la présentation et nous ouvrons la porte à nos visiteuses.
- Monsieur et madame T…. ? Je suis Madame Mercier, de l’agence N… Je viens vous présenter Sophie.
Elle s’efface légèrement et fait place à la jeune femme qui se tenait timidement en retrait.
- Bonjour, Mademoiselle, soyez la bienvenue !
Son bonjour est aussi chaleureux que notre accueil et notre première impression est favorable. Joli visage, bien qu’un peu durci par des lunettes d’écaille, chignon très professionnel, l’ensemble serait quelque peu sévère sans un bon sourire illuminant sa physionomie. Elle est d’un abord sympathique et si ses états de service sont corrects, le terrain d’entente sera probablement vite trouvé. D’ailleurs, en observant Claire à la dérobée, je pense lire les mêmes conclusions dans ses yeux brillants.
Nous nous retrouvons très vite tous les quatre dans le salon autour d’un bon café. La chaleur de la pièce aidant, l’ambiance se décontracte très vite et notre conversation à bâtons rompus nous laisse tout le loisir d’observer discrètement la jeune femme. Au fil des minutes, celle-ci se révèle agréable, avec un solide bon sens et une intelligence vive, ce qui ne gâte rien ! Son habillement est sobre mais chic : jupe longue de bonne coupe et pull griffé assez ample, certainement pour atténuer ses formes rondes, bien portées par une taille au-dessus de la moyenne.
- Voudriez-vous visiter le logement de service ? Lui propose finalement mon épouse.
Elle accepte avec plaisir et nous lui montrons la chambre. De toute évidence, les lieux lui plaisent, avec semble-t-il un petit faible pour la salle de bain et elle nous en fait compliment :
- C’est adorable, vraiment !
- C’était la chambre d’amis. Lui répond gentiment Caire.
L’usage de l’imparfait amène aussitôt un léger sourire sur son joli visage. Décidément, elle ne manque pas de vivacité !
La suite n’est évidemment qu’une formalité et le contrat vite finalisé à la satisfaction générale.
- Quand pouvez-vous commencer ? Lui demande Claire.
- Tout de suite si vous le voulez, je suis complètement libre.
- Disons…le temps d’aller chercher vos affaires personnelles, est-ce que ça vous convient ?
- Alors ce sera vite fait, elles sont dans la voiture de Madame Mercier. Nous répond-elle en souriant. J’ai pensé que ça pourrait vous rendre service.
Elle a dit cela tranquillement, sans fausse modestie ni forfanterie et nous apprécions beaucoup le ton. Elle cherche ses bagages et avec notre permission, commence à s’installer dans “sa” chambre.
Nous prenons congé de Madame Mercier et réalisons soudain que nous ne sommes plus seuls dans notre grande demeure !
Après une période d’adaptation quelque peu hésitante, chacun prend progressivement ses marques et Sophie se révèle très vite comme une vraie perle, disponible, pleine d’initiative. Notre vie s’en trouve changée du tout au tout, Claire est enchantée de ses services et me vante très souvent ses compétences. Bref, le climat conjugal s’améliore de jour en jour.
C’est un changement plutôt agréable et notre vie s’écoule maintenant comme un long fleuve tranquille. Peu d’imprévus, pas de conflits, je trouverais presque que c’est trop parfait…jusqu’à ce fameux soir…Voyons, quel était le point de départ ? Oui…c’est ça…Sophie est de sortie ce soir-là, nous regardons la télévision sans conviction, en bavardant de tout et de rien mais immanquablement la conversation revient sur notre employée et comme par hasard, c’est Claire qui amène à chaque fois le sujet. C’est évident, en ce moment Claire me parle de plus en plus souvent de Sophie, en se troublant d’ailleurs et d’un ton toujours plus chaleureux. Ce soir, en plus du côté professionnel, elle me parle de son caractère, de ses goûts et même de son physique «agréable» C’est vrai qu’elle a une silhouette très attirante mais venant de Claire, je suis quelque peu surpris !
Soudain, son visage s’assombrit imperceptiblement :
- Alain, il faut que je te raconte quelque chose…
- Je t’écoute. Lui dis je un peu inquiet.
- Un matin j’ai surpris Sophie presque nue dans sa salle de bains…sa porte était grande ouverte et elle n’a même pas semblée gênée quand elle m’a vue la regarder ! J’ai même eu l’impression qu’elle l’avait fait exprès. Qu’en penses-tu ?
Ce que j’en pense, ma petite Claire, c’est que d’abord, tu rougis beaucoup en me le racontant et qu’ensuite, j’aurais bien voulu être à ta place mais je ne peux quand même pas te dire le fond de ma pensée ! Alors, je décide d’adopter la langue de bois :
- Je pense que ça ne veut pas dire grand-chose, les femmes ne sont pas très pudiques entre elles ! De plus, elle fait peut-être du sport et ce genre de situation est courant dans les salles de gym’, tu ne penses pas ?
- Tu as certainement raison, je me fais sans doute des idées !
Je pense lui avoir donné le change mais je partage largement ses doutes ! Dans de telles circonstances, il aurait été normal qu’elle essaie de cacher sa nudité...Alors pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Etait-ce pour provoquer et si oui dans quel but ?….J’observe Claire un peu plus attentivement et lui trouve les joues bien rouges ! Est-ce que cela a un rapport avec Sophie ! Prudemment, je décide de taire mes soupçons et la conversation repart enfin…ou plutôt le monologue car Claire semble bloquée et m’observe discrètement.
Elle semble plus nerveuse que tout à l’heure, croise puis décroise plusieurs fois les jambes en passant négligemment une main sur ses cuisses pleines…sa jupe remonte de plus en plus, laissant presque voir sa petite culotte. A quel jeu joue-t-elle, veut-elle éviter des questions gênantes, au sujet de Sophie par exemple ? En tous cas, le but est atteint car mes préoccupations laissent peu à peu place à une sourde excitation. Cette jupe qui remonte bien trop lentement me fascine, j’avais oublié qu’elle pouvait être si désirable et ce n’est pas un coup d’œil vers sa poitrine qui me calme, bien au contraire ! On dirait que ses seins ont encore grossi, elle est dans la plénitude de sa quarantaine et pour tout dire, je la trouve terriblement attirante !
Nos yeux se croisent, mon regard lascif ne lui a pas échappé pas et elle poursuit ce nouveau jeu en écartant lentement les cuisses puis en posant un pied sur l’assise. Je ressens immédiatement une lourdeur agréable dans le bas-ventre et trouve qu’une petite sauterie ne serait pas pour me déplaire !
Alors que j’ébauche un mouvement pour aller la rejoindre, à mon grand étonnement elle m’arrête aussitôt :
- Reste à ta place…s’il te plaît!
Malgré le sourire, le ton est plutôt autoritaire et je reste prudemment assis. Où veut-elle en venir ?
Décidément, la soirée sort de l’ordinaire et le meilleur est peut-être à venir !
Elle a déjà relevé l’autre jambe, puis l’écarte lentement, en ouvrant grand le compas de ses jolies cuisses. Bon dieu qu’elle est bandante dans cette position, offerte sans aucune pudeur ! Le bombé de son entre jambes me fascine.
- Continue ! Lui dis je dans un souffle.
Alors en me regardant droit dans les yeux, elle saisit délicatement sa petite culotte à la taille puis tire l’étoffe vers le haut, toujours plus loin...
- Comme ça ?
Le tissu moule si étroitement sa chatte qu’il ne cache absolument plus rien ! Au contraire, il épouse si bien le sillon de ses lèvres intimes que la vérité m’apparaît soudain : sa chatte est rasée de prés ! Pourquoi aujourd’hui alors qu’elle m’a toujours refusé ce plaisir, malgré mes demandes répétées, depuis des années ! Mon sexe de plus en plus douloureux soulève mon pantalon léger par saccades. J’esquisse un geste pour l’empoigner lorsqu’elle me lance en riant :
- N’y pense même pas !
Le ton est toujours aussi ferme mais c’est sa clairvoyance qui m’irrite. Une fois de plus, elle m’a devancé et ça me vexe :
- Garce !
Elle est sûre de son pouvoir, cela se lit dans ses yeux. Elle ne relève même pas cette insulte dérisoire et se contente d’un léger sourire :
- C’est ma règle du jeu…si tu te touches, j’arrête tout !
Elle en serait parfaitement capable et je me garde bien de tenter quoique ce soit ! La détermination de son regard m’incite à essayer autre chose :
- Aller, quoi, juste une petite sauterie, tu verras, tu vas aimer !
La maladresse de ma proposition ne lui inspire qu’un sourire moqueur. Non seulement elle ne cède pas un pouce de terrain mais elle en rajoute encore en promenant tout doucement son index sur sa fente, grattant délicatement le tissu avec ses ongles parfaits.
- Je suis sûre que tu m’imagines toute nue, hein, petit cochon, avec ma chatte tout rasée, comme dans tes rêves les plus coquins ! Avoue-le et je t’en montre encore plus !
Cette soudaine impudeur m’étonne et me fascine à la fois ! Cela ne lui ressemble pas trop mais ce n’est pas le moment d’approfondir le sujet, elle me plait comme ça et je décide de rentrer dans son jeu.
- Ce ne serait pas la première fois que je te verrais nue ! Dis-je ironiquement.
- Tu ne sais pas ce que je te réserve ! Me lance-t-elle comme un défi.
Alors, en me regardant droit dans les yeux, elle commence à faire sauter les premiers boutons de son chemisier.
- Ca risque d’être un peu juste ! Lui dis-je, quand même un peu inquiet.
Elle se contente d’un nouveau sourire ironique en poursuivant imperturbablement le déboutonnage de son corsage et lorsqu’elle a terminé, je suis bien obligé d’admettre qu’elle ne manque pas…d’arguments ! Ce n’est sûrement pas par hasard qu’elle a mis un soutien gorge trop petit, histoire de faire gonfler ses gros seins et d’amplifier la profonde vallée qui les sépare ! Tout d’un coup, j’ai bien du mal à avaler…
- Toujours insuffisant ? Murmure-t-elle, me défiant du regard.
- Je suis sûr que tu peux mieux faire ! Lui répons-je d’une voix cassée en jouant mon va-tout.
Alors progressivement, ses dernières inhibitions volent en éclat. Les effleurements deviennent caresses puis empoignades, sa respiration s’accélère, ses gestes sont de plus en plus violents tant et si bien que son soutien-gorge remonté….ne soutient bientôt plus rien. Ses seins débordent généreusement sous l’armature et lorsqu’elle se débarrasse enfin du sous-vêtement devenu inutile, sa poitrine s’affaisse à peine, avec des mamelons pointés vers moi comme pour une provocation supplémentaire !
Je suis sans voix devant la beauté de cette scène mais je n’ai même pas le temps d’en profiter car elle saisit soudain ses seins par les mamelons, les soulève tous les deux très lentement en les étirant vers son visage pour les laisser retomber brusquement de tout leur poids ! Ces masses tressautantes me laissent bouche bée et ma fascination devient brusquement supplice lorsqu’elle se prend un sein à deux mains et l’étire vers sa bouche pour en sucer la pointe. Ma queue tétanisée tressaute dangereusement, je suis au bord de la rupture, je voudrais hurler, mais c’est un gémissement qui sort de ma bouche :
- Tu n’as pas le droit !
- Mais si, j’ai tous les droits, d’ailleurs ça ne fait que commencer ! Me répond-elle dans un état second.
Devant mon regard incrédule, elle se lève lentement, dégrafe sa jupe en la laissant tomber à terre puis la dégage négligemment du pied.
- Tu ne trouves pas qu’elle serait plus excitante, ma petite chatte, si je tirais sur le tissu, comme tout à l’heure ?
Cette fois-ci, elle tire si bien sur l’étoffe que celle-ci disparaît presque entièrement entre ses lèvres pulpeuses, rasées aussi loin que je puisse voir. Elle ne semble pas complètement satisfaite du résultat car elle saisit délicatement ses lèvres l’un après l’autre pour les étirer au maximum et enfouir sa petite culotte devenue ficelle au plus profond de son intimité.
- C’est encore plus obscène comme ça, tu ne trouves pas ?
J’essaie de donner le change mais je suis en sursis et Claire n’est pas dupe. Alors elle abat ses dernières cartes en se débarrassant en un clin d’œil de sa petite culotte. Je n’ai même pas le temps de profiter du lourd balancement de ses seins qu’elle s’est déjà rassise, les fesses cette fois-ci tout au bord du canapé. Alors sans cesser de me regarder dans les yeux, elle s’adosse confortablement, très en arrière et remonte ses jambes lentement, les mains sous les genoux qui touchent bientôt sa poitrine. Cette fois-ci, il n’y a pas de slip pour m’empêcher de mater sa chatte totalement épilée et son petit anus entouré d’une légère pilosité collée par le désir. La tension monte d’un cran lorsqu’elle saisit délicatement ses grandes lèvres en les écartant doucement, faisant apparaître le cratère rose de son vagin et dégageant son clitoris gonflé. Pendant tout ce temps, sa langue s’agite et me provoque, comme pour dire : “avoue que tu as perdu et que tu n’es pas de taille !”
Elle a raison la garce, ma défaite est consommée et je n’ai même plus envie de lutter. Même plus envie de sauver la face, de faire semblant! Cuit, qu’il est, le mâle de service ! En ce moment, je n’ai plus qu’une seule idée en tête, c’est la sauter, le plus vite possible, pour soulager mon sexe douloureux.
- Je t’accorde une défaite honorable !
- Accepté d’avance !
Ma réponse a très vite fusé, comme un aveu mais elle prend volontairement tout son temps pour me lancer :
- Je te propose un marché : tu auras bientôt le droit de me baiser mais si par malheur tu ne tiens pas la distance, ce sera un gage immédiat, à ma façon. Tu t’engages à jouer le jeu ?
Je suis trop heureux d’accepter un marché qui ne présente pas trop de risques. En effet, j’ai rarement eu de tels soucis et en général, c’est elle qui cède en premier.
- Promis juré! Lui répons je solennellement.
- Tu accepterais le gage ?
- Evidemment !
- Alors place-toi debout devant moi !
Je me lève et me plante devant elle, le cœur battant en attendant ses instructions.
- Baisse ton pantalon !
Celui-ci se retrouve vite en tas à mes pieds, je suis entièrement nu devant elle, le sexe à l’horizontale.
- Tu mouilles déjà, c’est mal parti ! Me dit-elle sarcastique.
Elle a effectivement raison, une grosse larme transparente est en train de sourdre au bout du gland.
- Recueille ta mouille avec ton doigt et suce-le !
C’est très habile de sa part, elle sait que ce genre de truc m’excite terriblement. Par forfanterie, je décide d’en rajouter en décalottant largement ma bitte de la main gauche puis en massant consciencieusement le gland avec mon index droit avant de recueillir les sécrétions transparentes qui en sortent toujours. Mon gland est hypersensible d’excitation, le moindre attouchement est un réel supplice mais à tout prendre, c’est mieux que rien, même sous contrôle.
- N’oublie pas de sucer !
Qu’est ce que je disais à propos de contrôle !
- Ca ne risque pas avec toi !
L’échange a eu beau se faire avec le sourire, je dois quand même m’incliner et je suce mon doigt sans déplaisir, retrouvant un goût poivré que je connaissais déjà.
- C’est mieux ! Maintenant, mets-toi à genoux devant le canapé !
Son autorité m’excite et je m’exécute en présentant ma queue raide à quelques centimètres de sa chatte. Quelle tentation de la fourrer d’un seul coup mais j’ai trop envie de connaître la suite pour y succomber !
- Maintenant, tu vas te servir de ta queue pour me branler le bouton, très lentement et très longtemps !
J’admire cette trouvaille étonnante, surtout venant d’elle et à haut risque pour moi : plus je masserai son clitoris, plus je sensibiliserai mon gland et plus j’aurai de chances d’y laisser du sperme dans l’affaire ! Peu importe, le jeu en vaut la chandelle et j’accepte le risque avec un frisson de bonheur !
- N’oublie pas de mouiller le bout de ton gland dans ma chatte…mais seulement le bout, n’oublies pas !
On entre dans le vif du sujet si j’ose dire et je profite de cette petite liberté pour fourrer l’extrémité de mon sexe dans son vagin et le ressortir à regret, tout luisant de mouille. Si seulement elle avait profité de cette brève pénétration pour me prendre par les hanches et pour m’attirer vers elle…. Seulement voilà, elle a eu la force de résister et elle s’empresse de décapuchonner son clitoris gonflé. Elle est terriblement bandante depuis un moment, je ne vais pas m’en plaindre mais je ne peux pas m’empêcher de me poser des questions sur son attitude. Qu’est-ce qui a changé en elle et pourquoi ?
- Branle-moi maintenant !
J’y suis maintenant : son langage est nettement plus crû que d’habitude et elle fait preuve de plus d’imagination, c’est ça qui a changé en elle, c’est une évidence ! Alors mon cœur fait un bond dans ma poitrine en pensant à la tournure très intéressante que pourraient prendre nos ébats amoureux, les pensées les plus folles tourbillonnent dans ma tête et tout ça me redonne immédiatement le sourire.
- Quelque chose de drôle ?
Décidément, c’est le contrôle continu et je m’en tire avec une pirouette :
- Tu sais, chérie, le monde est merveilleux !
Elle me regarde d’un air de pitié amusée, feignant de douter de ma bonne santé mentale puis me lance :
- Et ma chatte, elle n’est pas merveilleuse ?
En plus, elle a de la répartie ! Décidément, elle a bien mérité que je m’occupe enfin d’elle et que je pose délicatement mon sexe décalotté sur son bouton. Elle tressaille au contact chaud et doux de mon gland puis donne très vite des signes d’impatience en se frottant elle-même, très vite, en imprimant son propre rythme.
- Plus fort, gémit-elle.
Je suis sur la bonne voie, c’est sûr et ce n’est pas le moment de la décevoir ! Alors je redouble d’imagination pour varier mes caresses, pour m’appliquer comme jamais, jusqu’à ce qu’elle gémisse pour de bon et qu’elle me supplie :
- Je n’en peux plus, baise-moi!
Enfin les mots que j’attendais, juste à temps pour mon self contrôle mal en point !
- Tiens, prends ça ! Dis-je en lui enfonçant d’un seul coup toute la longueur de ma bitte.
Elle pousse un long feulement de plaisir tout en pétrissant violement ses gros seins :
- Elle est bonne, ta queue…Pour une petite salope comme moi…vas-y, mets-la moi très profond, fourre moi la bien !
Oh ! Quel supplice et surtout quelle ironie car c’est au moment où nous sommes enfin sexuellement au diapason que je dois tout faire pour résister au plaisir ! Et ce langage crû qui me rend dingue...ces mots qui me pénètrent, qui entament peu à peu ma volonté...Je n’ai plus qu’un seul but : tenir...tenir encore...elle doit jouir avant moi...j’ai ma fierté tout de même...et puis ce maudit vertige qui me prend brutalement...cette chaleur qui irradie mon corps tout entier...Je n’ai même pas le temps de me maudire que j’explose déjà en longues giclées au plus profond de son intimité.
Bien plus tard, lorsque le calme est revenu, Claire tout sourire me demande innocemment :
- C’était bon ?
- Jamais joui comme aujourd’hui…et toi ?
Aïe...La gaffe…c’était la question à ne pas poser avec notre petit contrat en cours et immédiatement, la réponse fuse !
- Il m’a manqué quelques secondes ! Je suis désolée mais tu sais ce que ça veut dire ?
Tu parles qu’elle est désolée, l’hypocrite, elle n’en a pas du tout l’air ! J’essaye de noyer le poisson :
- Je ne vois pas !
- Un petit effort !
Je prends mon air de chien battu :
- Le gage ?
- Tu vois que tu sais ! Me lance-t-elle triomphante.
Je dois avoir l’air inquiet car elle sourit. Je parviens à murmurer d’une voix qui se veut détachée :
- Raconte !
- Voilà ce que j’ai décidé : non seulement tu ne m’as pas fait jouir mais en plus tu m’as inondée la chatte de sperme, tu es d’accord ?
- Jusque là, oui.
- Donc je mérite compensation sur ces deux points, OK ?
- Si tu veux, lui dis-je prudemment.
- Alors voilà comment je vois les choses : d’abord tu fais très soigneusement ma toilette intime et ensuite tu me fais jouir avec ta jolie petite langue, seulement…
- Seulement ? ….
- … Seulement, pas de kleenex pour la toilette intime, ce sera la même petite langue qui remplacera les mouchoirs ! Ce serait trop facile et en plus il n’y aurait pas de gage, tu penses bien !
Nous y voilà ! La garce avait bien pensé son affaire et en m’excitant comme elle l’a fait, elle était certaine du résultat.
- La toilette intime, c’est un vieux fantasme à toi ? Lui dis-je un peu crispé.
Après un long silence, elle finit par avouer :
- Un film porno, il y a quelques jours…
- Tu regardes des films pornos, maintenant ? Où ça ?
- Prêté par une amie…répond-elle évasivement.
Je tombe des nues à l’idée qu’elle ait de telles amies mais décide de reporter l’explication :
- Alors ce fantasme ?
Elle hésite encore une fois puis finit par poursuivre :
- C’était un couple…la femme était dominatrice…l’homme était sur une table, attaché sur le dos et les yeux bandés….
- Alors ? Lui dis-je à l’oreille.
Elle hésite de nouveau puis se lance :
- Elle lui fait d’abord toutes sortes de sévices, avec des accessoires, des cordelettes, des poulies, des pinces et tout… Bon, ça, à la limite, ça n’est pas trop mon truc mais c’est la fin qui m’a fait craquer !
- Raconte…
- A la fin, elle s’empale sur lui et il éjacule longuement dans sa chatte…
Elle respire très fort et continue avec peine :
- Alors quand il a eu fini de jouir, elle s’est relevée très vite...en maintenant ses lèvres serrées avec deux doigts… puis elle a été s’accroupir sur le visage du mec en posant son sexe rasé sur sa bouche.
Mon cœur bat plus fort en imaginant la suite.
- Tu ne vas pas me dire que….
- Si…je t’assure…cette vicieuse l’a obligé à avaler tout le sperme qui sortait de sa chatte !
- Et il l’a fait ? Dis-je d’une voix blanche.
- Bien sûr, il était encore plus vicieux qu’elle et en plus il était totalement soumis ! Alors elle a libéré sa chatte et il a tout léché au fur et à mesure que le sperme s’en écoulait, c’était extraordinaire comme scène, il avait l’air d’aimer ça, ce cochon ! La preuve, c’est qu’il a rebandé en un rien de temps !
- Et ça t’a plu ?
- Tu ne t’imagines pas, j’ai joui presque sans me toucher, en me pinçant deux ou trois fois le bouton !
Je la regarde avec étonnement :
- Tu es devenue une belle petite salope ! Lui dis-je tout bas.
Ses yeux sont brillants en me répondant :
- M’en fout, ça me plaît ! D’ailleurs, je suis sûre que ça t’excite aussi, hein, ose dire le contraire !
Elle a évidemment raison et ça me coupe presque le souffle. Je fais une ultime tentative :
- Qu’est-ce qui te fait dire que je vais accepter ça ?
- Quelque chose me dit...que tu es aussi cochon que le type du film, ai-je raison ?
C’est finement joué et je me retrouve dos au mur : je lui donne raison et je suis bon pour le gage ou je refuse et je me saborde sexuellement pour un bon moment, avec tant de promesses entrevues !
Je résiste encore un peu, pour la forme mais finis par lâcher :
- Si je comprends bien, je dois faire comme le type du film ?
- Tu as très bien compris ! Alors si tu acceptes, allonges toi par terre ! Me souffle-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
A moins de perdre la face, je n’ai pas le choix…D’ailleurs, pour être tout à fait honnête, je n’ai pas beaucoup à me forcer pour m’allonger sur la moquette, le sexe de nouveau dressé par l’excitation.
- Serait-il possible que tu soies réellement aussi cochon que ce type ? Me souffle-t-elle, les yeux brillants d’excitation.
En un clin d’œil, elle enjambe mon visage en se plaçant tête-bêche au-dessus de moi, le sexe maintenu clos par deux doigts puis elle descend lentement vers ma bouche.
- Tu es prêt ? Me glisse-t-elle d’une voix étranglée par l’excitation.
Sa chatte libérée laisse immédiatement échapper un long trait de semence directement sur ma langue tendue. Elle se penche pour mieux voir :
- Tu ne peux pas savoir comme ça m’excite, ton propre sperme sur ta langue...mais tu dois tout avaler...tu te rappelles...hein...petit cochon !
Je suis si excité qu’elle pourrait me demander n’importe quoi ! Alors je m’exécute sans hésiter, retrouvant le goût épicé de tout à l’heure.
Tu vois, ça sort toujours, ne laisse surtout rien perdre ! S’enhardit-elle en constatant ma docilité.
Alors comme le type du film, j’avale tout au fur et à mesure ! La source semble inépuisable et je n’en perds pas une miette. A la fin, j’écarte largement sa vulve, histoire de bien nettoyer tout au fond.
- Tu es sûr qu’il n’y en a plus ? Gémit-elle en se frottant sur ma bouche.
Je fais alors semblant de recueillir les dernières gouttes, juste pour lui faire plaisir et je me jette avidement sur son clitoris.
- Tu me rends folle ! Souffle-t-elle avant d’engloutir ma queue.
A partir de cet instant, nous perdons tous les deux la notion du temps ! Cette fois, plus de gage, plus de calculs, que du plaisir, pur sucre. Elle ne m’a jamais aussi bien sucé et je ne me suis jamais aussi bien appliqué sur son bouton mouillé de plaisir ! Sa respiration s’alourdit déjà, ses déhanchements se font plus amples et son doux feulement presque animal devient gémissement.
- Continue…! Souffle-t-elle en haletant.
L’instant d’après, le plaisir la foudroie sans prévenir, violent, intense, comme décuplé par tant de débauche. Mon sexe se crispe à son tour et s’abandonne aussitôt dans sa bouche gourmande en longues saccades. C’est une véritable déferlante qui nous submerge tous les deux et nous entraîne très longtemps, comme dans un rêve. Longtemps après, nous finissons pourtant par nous réveiller, tout engourdis de plaisir et c’est Claire qui rompt timidement le silence :
- Alain… ?
- Oui ? Lui dis-je d’une voix endormie.
- Tu m’aimes très fort ?
- Bien sûr, pourquoi me demande-tu cela ?
- Parce que j’ai un truc délicat à te dire.
- Grave ?
- Je ne sais pas…peut-être....en fait ça dépend de toi.
- C’est à dire....
J’essaie de rester zen mais mon cœur s’emballe un peu.
- Voilà, quand je t’ai parlé du film porno prêté par une amie… eh bien je n’étais pas seule pour le regarder…
Je suis de moins en moins zen, mon cœur est maintenant en surrégime.
- Raconte....
- J’étais avec Sophie ! …..
A SUIVRE
Cette petite annonce, je la connais encore par cœur et pour cause ! Dans une période pour le moins délicate, elle fût en effet à l’origine…disons…de quelques changements dans notre vie à deux, annonce passée par une épouse faisant preuve de beaucoup d’habileté et approuvée par un mari faisant preuve… d’une naïveté certaine ! Mais je m’emballe quelque peu ! Pour la bonne compréhension de l’histoire, il serait préférable de tout reprendre au commencement, au moment où nous décidons de prendre les choses en main avant qu’il ne soit trop tard.
Notre couple ? Mon épouse Claire, attachée commerciale et moi, Alain, cadre technique dans une petite boite d’ingénierie, tous deux la quarantaine. Un couple qui fonctionnait bien, avec ses qualités et ses défauts jusqu’à ce que survienne une période difficile, en grande partie due à des activités professionnelles envahissantes et à des horaires impossibles. Claire, faute de temps, a du mal à faire face en ce moment dans notre trop grande maison, je ne la seconde pas autant qu’il ne le faudrait et il n’en faut pas plus pour détériorer le climat. Elle se plaint très souvent de mon manque de coopération, notre entente se dégrade progressivement et les problèmes les plus ordinaires prennent tout de suite des proportions excessives. Même notre sexualité s’en trouve affectée et pourtant, nous avions l’impression d’être épanouis de ce côté-là. Petit à petit, les relations se tendent, la cohabitation devient difficile et lorsque nous faisons l’amour, par hasard j’allais dire, c’est sans passion, par habitude!
Et puis un soir, Claire me fait part de son inquiétude au sujet de notre couple et me propose d’en discuter avant qu’il ne soit trop tard. Je rejoins évidemment son point de vue et après une franche discussion, le constat est plutôt rassurant : le mal n’est pas très profond, quelques efforts de la part de chacun et une aide pour les tâches domestiques seront probablement suffisants pour revenir à un meilleur climat.
- Il nous faudrait une aide à plein temps. Suggère fermement Claire.
Je me montre quelque peu sceptique :
- A condition de trouver une personne vraiment sérieuse…et ça, ce n’est pas gagné d’avance !
- On peut toujours essayer les petites annonces, on ne sait jamais !
Avant même de pouvoir exprimer mon point de vue sur la fiabilité de ce genre d’annonces, elle a déjà le journal en mains, à la page des employés de maison.
- Regarde celle-là, on peut dire qu’on a de la chance ! Bondit-elle en me mettant presque le journal sous le nez :
“ Jeune femme très agréable à vivre, expérience, cherche place d’employée de maison, nourrie logée, salaire à convenir.”
- Les choses sont claires, il faudra la loger. Lui dis-je avec un zeste d’irritation.
- On a une chambre d’amis indépendante, ça ira très bien ! Me fait-elle remarquer toute excitée.
- Tu ne sais même pas si elle conviendra ! Lui répons-je du tac au tac.
- Mais Alain, on ne le saura jamais si on n’essaye pas !
Décidément, elle a réponse à tout et je dois m’incliner devant sa logique, finissant par admettre qu’une employée à plein temps serait un vrai plus. Elle se chargerait de la tenue complète de la maison et nous aurions ainsi un maximum de temps libre pour penser un peu à nous. Claire semble très satisfaite de la tournure des événements :
- Et si on téléphonait tout de suite ?
Le numéro de l’agence est composé à la hâte et c’est une charmante voix grave qui prend nos coordonnées en nous promettant un rendez-vous rapide, “ si la personne est disponible ”
- Voilà, il ne nous reste plus qu’à attendre. Dis-je d’un ton prudent.
Le reste de la journée se déroule sans histoire…. mais sans nouvelle de l’agence. Je me plonge sans conviction dans quelques comptes de fin de mois mais n’arrive pas à me concentrer. Je suis en effet trop préoccupé par la décision que nous venons de prendre et crains pour nos petites habitudes...surtout pour moi d’ailleurs ! Lorsque j’observe Claire à la dérobée, je remarque également chez elle une certaine nervosité. J’essaie en vain d’en comprendre la raison puis me replonge sans joie dans les chiffres jusqu’à l’heure du dîner, lassé par toutes ces questions sans réponses.
C’est pendant le petit déjeuner du lendemain que le téléphone retentit. La directrice de l’agence de placement nous annonce que la jeune femme est libre de suite et nous propose aimablement un premier contact “ en fin de matinée…à notre domicile…si ça nous convient ”. Claire, qui a tout suivi en écoute amplifiée, me fait une mimique de contentement et nous acceptons la proposition.
- Pourvu qu’elle soit bien ! Me lance-t-elle les yeux brillants.
- Tu sembles très motivée ! Lui réponds-je avec un petit sourire inquisiteur.
Elle marque un léger trouble puis se reprend rapidement, comme pour couper court à toute réflexion.
- Normal, tu te rends compte du changement pour moi…enfin…. pour nous deux ! Se reprend-elle rapidement. Maintenant, on va préparer la chambre sans perdre de temps, on ne sait jamais !
En s’y mettant à deux, la chambre est vite prête. Quelques roses sur la petite table ajoutent une touche finale à un cadre contemporain très agréable, avec salle de bains attenante tout confort. Nous sommes fiers du résultat et prêts à recevoir notre visite.
Notre empressement était plus que justifié car la sonnette retentit presque aussitôt. Le temps d’un petit coup de peigne histoire de parfaire la présentation et nous ouvrons la porte à nos visiteuses.
- Monsieur et madame T…. ? Je suis Madame Mercier, de l’agence N… Je viens vous présenter Sophie.
Elle s’efface légèrement et fait place à la jeune femme qui se tenait timidement en retrait.
- Bonjour, Mademoiselle, soyez la bienvenue !
Son bonjour est aussi chaleureux que notre accueil et notre première impression est favorable. Joli visage, bien qu’un peu durci par des lunettes d’écaille, chignon très professionnel, l’ensemble serait quelque peu sévère sans un bon sourire illuminant sa physionomie. Elle est d’un abord sympathique et si ses états de service sont corrects, le terrain d’entente sera probablement vite trouvé. D’ailleurs, en observant Claire à la dérobée, je pense lire les mêmes conclusions dans ses yeux brillants.
Nous nous retrouvons très vite tous les quatre dans le salon autour d’un bon café. La chaleur de la pièce aidant, l’ambiance se décontracte très vite et notre conversation à bâtons rompus nous laisse tout le loisir d’observer discrètement la jeune femme. Au fil des minutes, celle-ci se révèle agréable, avec un solide bon sens et une intelligence vive, ce qui ne gâte rien ! Son habillement est sobre mais chic : jupe longue de bonne coupe et pull griffé assez ample, certainement pour atténuer ses formes rondes, bien portées par une taille au-dessus de la moyenne.
- Voudriez-vous visiter le logement de service ? Lui propose finalement mon épouse.
Elle accepte avec plaisir et nous lui montrons la chambre. De toute évidence, les lieux lui plaisent, avec semble-t-il un petit faible pour la salle de bain et elle nous en fait compliment :
- C’est adorable, vraiment !
- C’était la chambre d’amis. Lui répond gentiment Caire.
L’usage de l’imparfait amène aussitôt un léger sourire sur son joli visage. Décidément, elle ne manque pas de vivacité !
La suite n’est évidemment qu’une formalité et le contrat vite finalisé à la satisfaction générale.
- Quand pouvez-vous commencer ? Lui demande Claire.
- Tout de suite si vous le voulez, je suis complètement libre.
- Disons…le temps d’aller chercher vos affaires personnelles, est-ce que ça vous convient ?
- Alors ce sera vite fait, elles sont dans la voiture de Madame Mercier. Nous répond-elle en souriant. J’ai pensé que ça pourrait vous rendre service.
Elle a dit cela tranquillement, sans fausse modestie ni forfanterie et nous apprécions beaucoup le ton. Elle cherche ses bagages et avec notre permission, commence à s’installer dans “sa” chambre.
Nous prenons congé de Madame Mercier et réalisons soudain que nous ne sommes plus seuls dans notre grande demeure !
Après une période d’adaptation quelque peu hésitante, chacun prend progressivement ses marques et Sophie se révèle très vite comme une vraie perle, disponible, pleine d’initiative. Notre vie s’en trouve changée du tout au tout, Claire est enchantée de ses services et me vante très souvent ses compétences. Bref, le climat conjugal s’améliore de jour en jour.
C’est un changement plutôt agréable et notre vie s’écoule maintenant comme un long fleuve tranquille. Peu d’imprévus, pas de conflits, je trouverais presque que c’est trop parfait…jusqu’à ce fameux soir…Voyons, quel était le point de départ ? Oui…c’est ça…Sophie est de sortie ce soir-là, nous regardons la télévision sans conviction, en bavardant de tout et de rien mais immanquablement la conversation revient sur notre employée et comme par hasard, c’est Claire qui amène à chaque fois le sujet. C’est évident, en ce moment Claire me parle de plus en plus souvent de Sophie, en se troublant d’ailleurs et d’un ton toujours plus chaleureux. Ce soir, en plus du côté professionnel, elle me parle de son caractère, de ses goûts et même de son physique «agréable» C’est vrai qu’elle a une silhouette très attirante mais venant de Claire, je suis quelque peu surpris !
Soudain, son visage s’assombrit imperceptiblement :
- Alain, il faut que je te raconte quelque chose…
- Je t’écoute. Lui dis je un peu inquiet.
- Un matin j’ai surpris Sophie presque nue dans sa salle de bains…sa porte était grande ouverte et elle n’a même pas semblée gênée quand elle m’a vue la regarder ! J’ai même eu l’impression qu’elle l’avait fait exprès. Qu’en penses-tu ?
Ce que j’en pense, ma petite Claire, c’est que d’abord, tu rougis beaucoup en me le racontant et qu’ensuite, j’aurais bien voulu être à ta place mais je ne peux quand même pas te dire le fond de ma pensée ! Alors, je décide d’adopter la langue de bois :
- Je pense que ça ne veut pas dire grand-chose, les femmes ne sont pas très pudiques entre elles ! De plus, elle fait peut-être du sport et ce genre de situation est courant dans les salles de gym’, tu ne penses pas ?
- Tu as certainement raison, je me fais sans doute des idées !
Je pense lui avoir donné le change mais je partage largement ses doutes ! Dans de telles circonstances, il aurait été normal qu’elle essaie de cacher sa nudité...Alors pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Etait-ce pour provoquer et si oui dans quel but ?….J’observe Claire un peu plus attentivement et lui trouve les joues bien rouges ! Est-ce que cela a un rapport avec Sophie ! Prudemment, je décide de taire mes soupçons et la conversation repart enfin…ou plutôt le monologue car Claire semble bloquée et m’observe discrètement.
Elle semble plus nerveuse que tout à l’heure, croise puis décroise plusieurs fois les jambes en passant négligemment une main sur ses cuisses pleines…sa jupe remonte de plus en plus, laissant presque voir sa petite culotte. A quel jeu joue-t-elle, veut-elle éviter des questions gênantes, au sujet de Sophie par exemple ? En tous cas, le but est atteint car mes préoccupations laissent peu à peu place à une sourde excitation. Cette jupe qui remonte bien trop lentement me fascine, j’avais oublié qu’elle pouvait être si désirable et ce n’est pas un coup d’œil vers sa poitrine qui me calme, bien au contraire ! On dirait que ses seins ont encore grossi, elle est dans la plénitude de sa quarantaine et pour tout dire, je la trouve terriblement attirante !
Nos yeux se croisent, mon regard lascif ne lui a pas échappé pas et elle poursuit ce nouveau jeu en écartant lentement les cuisses puis en posant un pied sur l’assise. Je ressens immédiatement une lourdeur agréable dans le bas-ventre et trouve qu’une petite sauterie ne serait pas pour me déplaire !
Alors que j’ébauche un mouvement pour aller la rejoindre, à mon grand étonnement elle m’arrête aussitôt :
- Reste à ta place…s’il te plaît!
Malgré le sourire, le ton est plutôt autoritaire et je reste prudemment assis. Où veut-elle en venir ?
Décidément, la soirée sort de l’ordinaire et le meilleur est peut-être à venir !
Elle a déjà relevé l’autre jambe, puis l’écarte lentement, en ouvrant grand le compas de ses jolies cuisses. Bon dieu qu’elle est bandante dans cette position, offerte sans aucune pudeur ! Le bombé de son entre jambes me fascine.
- Continue ! Lui dis je dans un souffle.
Alors en me regardant droit dans les yeux, elle saisit délicatement sa petite culotte à la taille puis tire l’étoffe vers le haut, toujours plus loin...
- Comme ça ?
Le tissu moule si étroitement sa chatte qu’il ne cache absolument plus rien ! Au contraire, il épouse si bien le sillon de ses lèvres intimes que la vérité m’apparaît soudain : sa chatte est rasée de prés ! Pourquoi aujourd’hui alors qu’elle m’a toujours refusé ce plaisir, malgré mes demandes répétées, depuis des années ! Mon sexe de plus en plus douloureux soulève mon pantalon léger par saccades. J’esquisse un geste pour l’empoigner lorsqu’elle me lance en riant :
- N’y pense même pas !
Le ton est toujours aussi ferme mais c’est sa clairvoyance qui m’irrite. Une fois de plus, elle m’a devancé et ça me vexe :
- Garce !
Elle est sûre de son pouvoir, cela se lit dans ses yeux. Elle ne relève même pas cette insulte dérisoire et se contente d’un léger sourire :
- C’est ma règle du jeu…si tu te touches, j’arrête tout !
Elle en serait parfaitement capable et je me garde bien de tenter quoique ce soit ! La détermination de son regard m’incite à essayer autre chose :
- Aller, quoi, juste une petite sauterie, tu verras, tu vas aimer !
La maladresse de ma proposition ne lui inspire qu’un sourire moqueur. Non seulement elle ne cède pas un pouce de terrain mais elle en rajoute encore en promenant tout doucement son index sur sa fente, grattant délicatement le tissu avec ses ongles parfaits.
- Je suis sûre que tu m’imagines toute nue, hein, petit cochon, avec ma chatte tout rasée, comme dans tes rêves les plus coquins ! Avoue-le et je t’en montre encore plus !
Cette soudaine impudeur m’étonne et me fascine à la fois ! Cela ne lui ressemble pas trop mais ce n’est pas le moment d’approfondir le sujet, elle me plait comme ça et je décide de rentrer dans son jeu.
- Ce ne serait pas la première fois que je te verrais nue ! Dis-je ironiquement.
- Tu ne sais pas ce que je te réserve ! Me lance-t-elle comme un défi.
Alors, en me regardant droit dans les yeux, elle commence à faire sauter les premiers boutons de son chemisier.
- Ca risque d’être un peu juste ! Lui dis-je, quand même un peu inquiet.
Elle se contente d’un nouveau sourire ironique en poursuivant imperturbablement le déboutonnage de son corsage et lorsqu’elle a terminé, je suis bien obligé d’admettre qu’elle ne manque pas…d’arguments ! Ce n’est sûrement pas par hasard qu’elle a mis un soutien gorge trop petit, histoire de faire gonfler ses gros seins et d’amplifier la profonde vallée qui les sépare ! Tout d’un coup, j’ai bien du mal à avaler…
- Toujours insuffisant ? Murmure-t-elle, me défiant du regard.
- Je suis sûr que tu peux mieux faire ! Lui répons-je d’une voix cassée en jouant mon va-tout.
Alors progressivement, ses dernières inhibitions volent en éclat. Les effleurements deviennent caresses puis empoignades, sa respiration s’accélère, ses gestes sont de plus en plus violents tant et si bien que son soutien-gorge remonté….ne soutient bientôt plus rien. Ses seins débordent généreusement sous l’armature et lorsqu’elle se débarrasse enfin du sous-vêtement devenu inutile, sa poitrine s’affaisse à peine, avec des mamelons pointés vers moi comme pour une provocation supplémentaire !
Je suis sans voix devant la beauté de cette scène mais je n’ai même pas le temps d’en profiter car elle saisit soudain ses seins par les mamelons, les soulève tous les deux très lentement en les étirant vers son visage pour les laisser retomber brusquement de tout leur poids ! Ces masses tressautantes me laissent bouche bée et ma fascination devient brusquement supplice lorsqu’elle se prend un sein à deux mains et l’étire vers sa bouche pour en sucer la pointe. Ma queue tétanisée tressaute dangereusement, je suis au bord de la rupture, je voudrais hurler, mais c’est un gémissement qui sort de ma bouche :
- Tu n’as pas le droit !
- Mais si, j’ai tous les droits, d’ailleurs ça ne fait que commencer ! Me répond-elle dans un état second.
Devant mon regard incrédule, elle se lève lentement, dégrafe sa jupe en la laissant tomber à terre puis la dégage négligemment du pied.
- Tu ne trouves pas qu’elle serait plus excitante, ma petite chatte, si je tirais sur le tissu, comme tout à l’heure ?
Cette fois-ci, elle tire si bien sur l’étoffe que celle-ci disparaît presque entièrement entre ses lèvres pulpeuses, rasées aussi loin que je puisse voir. Elle ne semble pas complètement satisfaite du résultat car elle saisit délicatement ses lèvres l’un après l’autre pour les étirer au maximum et enfouir sa petite culotte devenue ficelle au plus profond de son intimité.
- C’est encore plus obscène comme ça, tu ne trouves pas ?
J’essaie de donner le change mais je suis en sursis et Claire n’est pas dupe. Alors elle abat ses dernières cartes en se débarrassant en un clin d’œil de sa petite culotte. Je n’ai même pas le temps de profiter du lourd balancement de ses seins qu’elle s’est déjà rassise, les fesses cette fois-ci tout au bord du canapé. Alors sans cesser de me regarder dans les yeux, elle s’adosse confortablement, très en arrière et remonte ses jambes lentement, les mains sous les genoux qui touchent bientôt sa poitrine. Cette fois-ci, il n’y a pas de slip pour m’empêcher de mater sa chatte totalement épilée et son petit anus entouré d’une légère pilosité collée par le désir. La tension monte d’un cran lorsqu’elle saisit délicatement ses grandes lèvres en les écartant doucement, faisant apparaître le cratère rose de son vagin et dégageant son clitoris gonflé. Pendant tout ce temps, sa langue s’agite et me provoque, comme pour dire : “avoue que tu as perdu et que tu n’es pas de taille !”
Elle a raison la garce, ma défaite est consommée et je n’ai même plus envie de lutter. Même plus envie de sauver la face, de faire semblant! Cuit, qu’il est, le mâle de service ! En ce moment, je n’ai plus qu’une seule idée en tête, c’est la sauter, le plus vite possible, pour soulager mon sexe douloureux.
- Je t’accorde une défaite honorable !
- Accepté d’avance !
Ma réponse a très vite fusé, comme un aveu mais elle prend volontairement tout son temps pour me lancer :
- Je te propose un marché : tu auras bientôt le droit de me baiser mais si par malheur tu ne tiens pas la distance, ce sera un gage immédiat, à ma façon. Tu t’engages à jouer le jeu ?
Je suis trop heureux d’accepter un marché qui ne présente pas trop de risques. En effet, j’ai rarement eu de tels soucis et en général, c’est elle qui cède en premier.
- Promis juré! Lui répons je solennellement.
- Tu accepterais le gage ?
- Evidemment !
- Alors place-toi debout devant moi !
Je me lève et me plante devant elle, le cœur battant en attendant ses instructions.
- Baisse ton pantalon !
Celui-ci se retrouve vite en tas à mes pieds, je suis entièrement nu devant elle, le sexe à l’horizontale.
- Tu mouilles déjà, c’est mal parti ! Me dit-elle sarcastique.
Elle a effectivement raison, une grosse larme transparente est en train de sourdre au bout du gland.
- Recueille ta mouille avec ton doigt et suce-le !
C’est très habile de sa part, elle sait que ce genre de truc m’excite terriblement. Par forfanterie, je décide d’en rajouter en décalottant largement ma bitte de la main gauche puis en massant consciencieusement le gland avec mon index droit avant de recueillir les sécrétions transparentes qui en sortent toujours. Mon gland est hypersensible d’excitation, le moindre attouchement est un réel supplice mais à tout prendre, c’est mieux que rien, même sous contrôle.
- N’oublie pas de sucer !
Qu’est ce que je disais à propos de contrôle !
- Ca ne risque pas avec toi !
L’échange a eu beau se faire avec le sourire, je dois quand même m’incliner et je suce mon doigt sans déplaisir, retrouvant un goût poivré que je connaissais déjà.
- C’est mieux ! Maintenant, mets-toi à genoux devant le canapé !
Son autorité m’excite et je m’exécute en présentant ma queue raide à quelques centimètres de sa chatte. Quelle tentation de la fourrer d’un seul coup mais j’ai trop envie de connaître la suite pour y succomber !
- Maintenant, tu vas te servir de ta queue pour me branler le bouton, très lentement et très longtemps !
J’admire cette trouvaille étonnante, surtout venant d’elle et à haut risque pour moi : plus je masserai son clitoris, plus je sensibiliserai mon gland et plus j’aurai de chances d’y laisser du sperme dans l’affaire ! Peu importe, le jeu en vaut la chandelle et j’accepte le risque avec un frisson de bonheur !
- N’oublie pas de mouiller le bout de ton gland dans ma chatte…mais seulement le bout, n’oublies pas !
On entre dans le vif du sujet si j’ose dire et je profite de cette petite liberté pour fourrer l’extrémité de mon sexe dans son vagin et le ressortir à regret, tout luisant de mouille. Si seulement elle avait profité de cette brève pénétration pour me prendre par les hanches et pour m’attirer vers elle…. Seulement voilà, elle a eu la force de résister et elle s’empresse de décapuchonner son clitoris gonflé. Elle est terriblement bandante depuis un moment, je ne vais pas m’en plaindre mais je ne peux pas m’empêcher de me poser des questions sur son attitude. Qu’est-ce qui a changé en elle et pourquoi ?
- Branle-moi maintenant !
J’y suis maintenant : son langage est nettement plus crû que d’habitude et elle fait preuve de plus d’imagination, c’est ça qui a changé en elle, c’est une évidence ! Alors mon cœur fait un bond dans ma poitrine en pensant à la tournure très intéressante que pourraient prendre nos ébats amoureux, les pensées les plus folles tourbillonnent dans ma tête et tout ça me redonne immédiatement le sourire.
- Quelque chose de drôle ?
Décidément, c’est le contrôle continu et je m’en tire avec une pirouette :
- Tu sais, chérie, le monde est merveilleux !
Elle me regarde d’un air de pitié amusée, feignant de douter de ma bonne santé mentale puis me lance :
- Et ma chatte, elle n’est pas merveilleuse ?
En plus, elle a de la répartie ! Décidément, elle a bien mérité que je m’occupe enfin d’elle et que je pose délicatement mon sexe décalotté sur son bouton. Elle tressaille au contact chaud et doux de mon gland puis donne très vite des signes d’impatience en se frottant elle-même, très vite, en imprimant son propre rythme.
- Plus fort, gémit-elle.
Je suis sur la bonne voie, c’est sûr et ce n’est pas le moment de la décevoir ! Alors je redouble d’imagination pour varier mes caresses, pour m’appliquer comme jamais, jusqu’à ce qu’elle gémisse pour de bon et qu’elle me supplie :
- Je n’en peux plus, baise-moi!
Enfin les mots que j’attendais, juste à temps pour mon self contrôle mal en point !
- Tiens, prends ça ! Dis-je en lui enfonçant d’un seul coup toute la longueur de ma bitte.
Elle pousse un long feulement de plaisir tout en pétrissant violement ses gros seins :
- Elle est bonne, ta queue…Pour une petite salope comme moi…vas-y, mets-la moi très profond, fourre moi la bien !
Oh ! Quel supplice et surtout quelle ironie car c’est au moment où nous sommes enfin sexuellement au diapason que je dois tout faire pour résister au plaisir ! Et ce langage crû qui me rend dingue...ces mots qui me pénètrent, qui entament peu à peu ma volonté...Je n’ai plus qu’un seul but : tenir...tenir encore...elle doit jouir avant moi...j’ai ma fierté tout de même...et puis ce maudit vertige qui me prend brutalement...cette chaleur qui irradie mon corps tout entier...Je n’ai même pas le temps de me maudire que j’explose déjà en longues giclées au plus profond de son intimité.
Bien plus tard, lorsque le calme est revenu, Claire tout sourire me demande innocemment :
- C’était bon ?
- Jamais joui comme aujourd’hui…et toi ?
Aïe...La gaffe…c’était la question à ne pas poser avec notre petit contrat en cours et immédiatement, la réponse fuse !
- Il m’a manqué quelques secondes ! Je suis désolée mais tu sais ce que ça veut dire ?
Tu parles qu’elle est désolée, l’hypocrite, elle n’en a pas du tout l’air ! J’essaye de noyer le poisson :
- Je ne vois pas !
- Un petit effort !
Je prends mon air de chien battu :
- Le gage ?
- Tu vois que tu sais ! Me lance-t-elle triomphante.
Je dois avoir l’air inquiet car elle sourit. Je parviens à murmurer d’une voix qui se veut détachée :
- Raconte !
- Voilà ce que j’ai décidé : non seulement tu ne m’as pas fait jouir mais en plus tu m’as inondée la chatte de sperme, tu es d’accord ?
- Jusque là, oui.
- Donc je mérite compensation sur ces deux points, OK ?
- Si tu veux, lui dis-je prudemment.
- Alors voilà comment je vois les choses : d’abord tu fais très soigneusement ma toilette intime et ensuite tu me fais jouir avec ta jolie petite langue, seulement…
- Seulement ? ….
- … Seulement, pas de kleenex pour la toilette intime, ce sera la même petite langue qui remplacera les mouchoirs ! Ce serait trop facile et en plus il n’y aurait pas de gage, tu penses bien !
Nous y voilà ! La garce avait bien pensé son affaire et en m’excitant comme elle l’a fait, elle était certaine du résultat.
- La toilette intime, c’est un vieux fantasme à toi ? Lui dis-je un peu crispé.
Après un long silence, elle finit par avouer :
- Un film porno, il y a quelques jours…
- Tu regardes des films pornos, maintenant ? Où ça ?
- Prêté par une amie…répond-elle évasivement.
Je tombe des nues à l’idée qu’elle ait de telles amies mais décide de reporter l’explication :
- Alors ce fantasme ?
Elle hésite encore une fois puis finit par poursuivre :
- C’était un couple…la femme était dominatrice…l’homme était sur une table, attaché sur le dos et les yeux bandés….
- Alors ? Lui dis-je à l’oreille.
Elle hésite de nouveau puis se lance :
- Elle lui fait d’abord toutes sortes de sévices, avec des accessoires, des cordelettes, des poulies, des pinces et tout… Bon, ça, à la limite, ça n’est pas trop mon truc mais c’est la fin qui m’a fait craquer !
- Raconte…
- A la fin, elle s’empale sur lui et il éjacule longuement dans sa chatte…
Elle respire très fort et continue avec peine :
- Alors quand il a eu fini de jouir, elle s’est relevée très vite...en maintenant ses lèvres serrées avec deux doigts… puis elle a été s’accroupir sur le visage du mec en posant son sexe rasé sur sa bouche.
Mon cœur bat plus fort en imaginant la suite.
- Tu ne vas pas me dire que….
- Si…je t’assure…cette vicieuse l’a obligé à avaler tout le sperme qui sortait de sa chatte !
- Et il l’a fait ? Dis-je d’une voix blanche.
- Bien sûr, il était encore plus vicieux qu’elle et en plus il était totalement soumis ! Alors elle a libéré sa chatte et il a tout léché au fur et à mesure que le sperme s’en écoulait, c’était extraordinaire comme scène, il avait l’air d’aimer ça, ce cochon ! La preuve, c’est qu’il a rebandé en un rien de temps !
- Et ça t’a plu ?
- Tu ne t’imagines pas, j’ai joui presque sans me toucher, en me pinçant deux ou trois fois le bouton !
Je la regarde avec étonnement :
- Tu es devenue une belle petite salope ! Lui dis-je tout bas.
Ses yeux sont brillants en me répondant :
- M’en fout, ça me plaît ! D’ailleurs, je suis sûre que ça t’excite aussi, hein, ose dire le contraire !
Elle a évidemment raison et ça me coupe presque le souffle. Je fais une ultime tentative :
- Qu’est-ce qui te fait dire que je vais accepter ça ?
- Quelque chose me dit...que tu es aussi cochon que le type du film, ai-je raison ?
C’est finement joué et je me retrouve dos au mur : je lui donne raison et je suis bon pour le gage ou je refuse et je me saborde sexuellement pour un bon moment, avec tant de promesses entrevues !
Je résiste encore un peu, pour la forme mais finis par lâcher :
- Si je comprends bien, je dois faire comme le type du film ?
- Tu as très bien compris ! Alors si tu acceptes, allonges toi par terre ! Me souffle-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
A moins de perdre la face, je n’ai pas le choix…D’ailleurs, pour être tout à fait honnête, je n’ai pas beaucoup à me forcer pour m’allonger sur la moquette, le sexe de nouveau dressé par l’excitation.
- Serait-il possible que tu soies réellement aussi cochon que ce type ? Me souffle-t-elle, les yeux brillants d’excitation.
En un clin d’œil, elle enjambe mon visage en se plaçant tête-bêche au-dessus de moi, le sexe maintenu clos par deux doigts puis elle descend lentement vers ma bouche.
- Tu es prêt ? Me glisse-t-elle d’une voix étranglée par l’excitation.
Sa chatte libérée laisse immédiatement échapper un long trait de semence directement sur ma langue tendue. Elle se penche pour mieux voir :
- Tu ne peux pas savoir comme ça m’excite, ton propre sperme sur ta langue...mais tu dois tout avaler...tu te rappelles...hein...petit cochon !
Je suis si excité qu’elle pourrait me demander n’importe quoi ! Alors je m’exécute sans hésiter, retrouvant le goût épicé de tout à l’heure.
Tu vois, ça sort toujours, ne laisse surtout rien perdre ! S’enhardit-elle en constatant ma docilité.
Alors comme le type du film, j’avale tout au fur et à mesure ! La source semble inépuisable et je n’en perds pas une miette. A la fin, j’écarte largement sa vulve, histoire de bien nettoyer tout au fond.
- Tu es sûr qu’il n’y en a plus ? Gémit-elle en se frottant sur ma bouche.
Je fais alors semblant de recueillir les dernières gouttes, juste pour lui faire plaisir et je me jette avidement sur son clitoris.
- Tu me rends folle ! Souffle-t-elle avant d’engloutir ma queue.
A partir de cet instant, nous perdons tous les deux la notion du temps ! Cette fois, plus de gage, plus de calculs, que du plaisir, pur sucre. Elle ne m’a jamais aussi bien sucé et je ne me suis jamais aussi bien appliqué sur son bouton mouillé de plaisir ! Sa respiration s’alourdit déjà, ses déhanchements se font plus amples et son doux feulement presque animal devient gémissement.
- Continue…! Souffle-t-elle en haletant.
L’instant d’après, le plaisir la foudroie sans prévenir, violent, intense, comme décuplé par tant de débauche. Mon sexe se crispe à son tour et s’abandonne aussitôt dans sa bouche gourmande en longues saccades. C’est une véritable déferlante qui nous submerge tous les deux et nous entraîne très longtemps, comme dans un rêve. Longtemps après, nous finissons pourtant par nous réveiller, tout engourdis de plaisir et c’est Claire qui rompt timidement le silence :
- Alain… ?
- Oui ? Lui dis-je d’une voix endormie.
- Tu m’aimes très fort ?
- Bien sûr, pourquoi me demande-tu cela ?
- Parce que j’ai un truc délicat à te dire.
- Grave ?
- Je ne sais pas…peut-être....en fait ça dépend de toi.
- C’est à dire....
J’essaie de rester zen mais mon cœur s’emballe un peu.
- Voilà, quand je t’ai parlé du film porno prêté par une amie… eh bien je n’étais pas seule pour le regarder…
Je suis de moins en moins zen, mon cœur est maintenant en surrégime.
- Raconte....
- J’étais avec Sophie ! …..
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