Sortie au restaurant
Récit érotique écrit par Jolie Fée [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sortie au restaurant
Comme souvent lorsque je passe quelques jours avec A, mon Homme, mon Monsieur, mon Amour, je prends toujours un plaisir infini à lui faire de petites surprises lorsqu’il rentre du travail.
Jamais de façon systématique et toujours de façon différente, oui, je ne souhaite pas ni ne laisserai s’installer la routine dans notre histoire, car je pars de ce principe : que l’on se voit que quelques jours par mois ou que l’on vive ensemble, quand on s’aime, on fait ce qu’il faut pour mettre du piment de façon quotidienne dans sa relation. Nous avons chacun de notre côté eu l’expérience que dans un couple il faut vouloir les choses à deux, sinon cela ne fonctionne pas… ou plus… Et nous sommes deux à le vouloir, avec une force indécente.
Ce soir-là, A doit rentrer aux alentours de dix-sept heures trente, je sais également qu’il a réservé une table dans un restaurant pour le dîner, je ne sais pas lequel c’est une surprise.
Je connais une partie des fantasmes, désirs ou envies de mon bel amour, ce qu’il affectionne en matière de maquillage ou de tenues et pour ce que je ne sais pas, je le devine, c’est un livre ouvert à qui mérite sa confiance et sait lire en lui…
C’est dans cet état d’esprit, de lui faire un plaisir fou, que je me prépare pour l’accueillir. Douchée et maquillée avec beaucoup de soins comme chaque jour, j’applique avec délicatesse et au pinceau le rouge à lèvres carmin qu’il aime tant me voir porter. J’enfile un à un des bas noirs délicats que je fixe avec les attaches de mon porte-jarretelles. Je termine en agrafant un superbe corset noir en dentelle et satin, qui marque ma taille et emprisonne mes seins généreux qui, ainsi comprimés, jaillissent de façon indécente pour laisser la vision de deux monts débordants d’une vallée de frou-frou dentelé.
Ainsi parée, je m’assois dans un fauteuil, cuisses écartées au maximum, comme se doit une bonne soumise et reprends mon ordinateur afin de continuer le travail commencé quelques heures plus tôt. J’ai beaucoup de mal à me concentrer, pressée que je suis de le voir franchir la porte, mon esprit vagabonde et mon envie de lui se fait violente au fur et à mesure que les minutes passent…
Je l’entends ouvrir la porte et j’ai juste le temps qu’il entre pour poser mon ordinateur afin de le regarder pendant qu’il se dirige vers moi. Il ne me quitte pas du regard, pas même lorsqu’il dépose son sac à dos et ôte manteau, écharpe et chaussures.
Il s’arrête à quelques pas de moi, dans son regard une émotion intense passe, profonde…
— Ma chérie… ma soumise, sais-tu seulement que tu viens une fois de plus de réaliser l’un de mes fantasmes ? À quel point j’affectionne cette tenue ? Bas et corset ?
— Oui mon chéri, je sais à quel point tu aimes cette tenue, je l’ai mise pour toi
S’approchant, il se met à genoux en face de moi, effleure de ses lèvres ma bouche écarlate, embrasse un à un les dômes débordants du corset et me serre très fort dans ses bras.
Dès lors qu’il s’écarte, j’entreprends de lui remonter le pull et sa chemise blanche que je ne voudrais pas marquer de rouge et lui embrasse le ventre, remontant mes mains vers ses tétons sensibles sur lesquels mes pouces dessinent des cercles réguliers qui font sortir le Maître en lui en même temps que le désir.
Je voulais ôter sa ceinture afin de baisser son pantalon, mais en ayant décidé autrement, il me dit :
— Non, ma soumise, juste la braguette…
Je descends donc la fermeture éclair et extirpe délicatement son beau sexe viril afin que ma bouche gourmande ourlée de rouge puisse s’en occuper. Dieu sait que j’aime en prendre soin, la lécher, la caresser, l’aspirer, oui j’éprouve un véritable plaisir à faire des fellations à l’Homme que j’aime, à m’occuper de lui aussi bien qu’il s’occupe de moi…
Je l’aspire délicatement tout d’abord, fait quelques va-et-vient sans pression, puis une fois bien dur et me remplissant la bouche j’accentue alors la pression de mes lèvres afin de serrer le plus possible… les sensations sont décuplées pour lui, il râle et soupir puis il empoigne mes cheveux à l’arrière de ma tête pour prendre le contrôle sur la vitesse et la profondeur… après quelques va et viens il s’arrête et se retire de ma bouche, m’embrasse et se met à genoux ; positionne mes pieds sur ses épaules, les genoux bien écartés… il a une vue plongeante sur mon intimité tout entière et la chaleur du désir envahit mon corps, car je sais ce qu’il va faire.
Il plonge la tête entre mes cuisses très largement ouvertes et commence à me lécher le clitoris avec délectation, l’alternance de ses petits coups de langue et de ses aspirations provoque de petites décharges électriques à mesure que mon clito sort de son capuchon. Je commence à mouiller abondement et me tortille dans tous les sens, je gémis et attrape sa tête tout en faisant des mouvements de va et viens avec mon bassin pour accompagner ses insatiables coups de langue… Il s’interrompt un instant pour me dire d’un œil malicieux qu’il faut environ trente minutes pour aller au restaurant…
— Veux-tu jouir tout de suite ou tout à l’heure, ma soumise ? me demande-t-il.
Par égoïsme, j’aurais pu répondre « tout de suite », ou bien « tout de suite et tout à l’heure »… Mais si j’ai des défauts, l’égoïsme n’en fait pas partie et je savais que s’il avait le temps pour me faire jouir de façon merveilleuse, moi je n’en aurais pas assez pour lui…
— Je préfère attendre tout à l’heure, Monsieur.
Il se redresse alors et me prend dans ses bras puissants pour un câlin vanille que nous affectionnons tous les deux, puis avec une claque sur les fesses, m’envoie me changer pour le dîner.
Pour ma tenue de ce soir, j’ai ma petite idée qui devrait lui plaire, j’en mets ma main au feu. Je garde les bas et le porte-jarretelles, mais j’enfile un joli boxer noir en lingerie fine transparente et dont l’échancrure sur le haut des fesses laisse apparaître au creux de mes reins le tatouage d’une soumise assise sur ses talons, les mains liées… pour une fois, mon soutien-gorge ne sera pas assorti à mon dessous, car pour sortir ce soir je prévois de mettre celui qui est découpé au niveau des tétons afin qu’ils sortent par ces deux petits trous et restent continuellement en alerte grâce aux frottements de la blouse légère que je vais porter par-dessus. Pour finir, une jupe noire très échancrée sur la cuisse gauche, mais qui ne laisse apparaître la cuisse que si je marche ou que je croise les jambes… A va adorer cette jupe… une petite retouche à mon maquillage que je veux toujours parfait puis j’enfile mes bottes.
Cependant, Monsieur est coquin et sait que j’ai ramené avec moi un nouveau jouet dans notre sac à malice… et souhaite que je le porte ce soir… me voilà donc à placer dans ma culotte le joli vibromasseur clitoridien connecté et au vu du regard malicieux de A, il a vraiment très envie de jouer ce soir.
Enfin prêts, nous nous dirigeons vers la voiture, installation beaucoup moins sexy que d’habitude. En effet, pour ses déplacements, l’entreprise de A met à sa disposition un véhicule de fonction, bas et plutôt sport, ainsi, chaque montée ou descente est prétexte à plonger son regard entre mes cuisses qu’il me défend de serrer bien au contraire. Malheureusement le véhicule de fonction étant indisponible, il se retrouve avec un SUV bien haut ! Adieu entrées et sorties sensuelles… je dois presque sauter sur le siège, et pareil pour descendre ! Pas grave, il se rattrape en faisant glisser une bonne partie du trajet ses doigts joueurs sur ma cuisse découverte, sensation délicieuse et enivrante faisant monter la douce chaleur du désir en moi.
Nous arrivons en ville, garons la voiture sur le parking et nous dirigeons vers le restaurant, il s’agit d’un restaurant japonais ! J’en suis ravie, lui et moi adorons les sushis et il me fait cette surprise ce soir.
Nous sommes placés au premier étage, au fond de la salle aux lumières tamisées, il me place, dos aux autres convives, mais face à lui. La commande passée, il entreprend de me caresser la jambe en attrapant ma cheville, la calant entre ses cuisses et ouvrant ma botte ; entre massages et caresses, la chaleur entre mes cuisses se fait humide, mais au bout d’un certain temps, la position devenant inconfortable pour moi il finit par me libérer… Pour mieux attraper le téléphone sur lequel il lance le jouet placé au fond de ma culotte. Il nous prend presque un fou rire lorsque je me rends compte que je vais devoir allumer le fameux jouet ! Eh oui… Il va falloir que je me fasse discrète pour soulever ma jupe (heureusement, elle est ouverte sur le côté !), glisser ma main dans la culotte, trouver le bouton en tâtonnant de mes doigts, trouvé ! La situation a déclenché en moi une profonde excitation, aurais-je une part exhibitionniste en moi ? …
Ses doigts prennent possession de l’écran comme ils les prendraient de ma vulve et de mon clitoris, bougent tantôt rapidement, tantôt doucement, tapotent, glissent, font des cercles ; chaque geste provoque des sensations différentes soit des petits à coups, soit des vibrations de différentes intensités. Je me retiens violemment de ne pas gémir tant la chaleur en moi est forte ; je mouille de désir et d’envie, j’aimerai son doigt en plus du jouet, mais nous ne sommes pas assez près pour cela, et mon regret à ce moment-là est de ne pas avoir le Rosebud et les boules de geisha insérées en moi, je me serais laissé aller à jouir dans le restaurant…
Au bout d’un certain temps et afin de pouvoir me laisser manger, il éteint le vibreur, mais avec ses baguettes il vient attraper mes tétons à travers le fin tissu de mon chemisier, pince légèrement… Humm, oui, que cette sensation est délicieuse ! Tout est prétexte au jeu avec lui et aucun objet du quotidien n’est épargné pour mon plus grand plaisir… et le sien.
Le dîner était absolument délicieux, mais une fois terminé, il nous tarde de rentrer terminer la soirée dans notre petit nid à nous. À peine arrivé dans la chambre, il me demande de retirer jupe, chemisier et culotte, puis approche de moi et vient m’aspirer les tétons sortis par les trous de mon soutien-gorge, je gémis de plaisir et appuie sa tête pour qu’il accentue la succion, il retire ensuite le tissu de mes seins, les pince et les vrille, ce qui me fait gémir encore plus fort, les reprend en bouche et les tète tout en malaxant vigoureusement mes deux seins tenus fermement dans ses mains puis m’attrape par le cou et me penche en avant sur le lit… J’ai dû mériter une petite fessée… du plat de sa main il m’assène deux bonnes claques sur la partie la plus charnue puis caresse ensuite et recommence.
Il me retourne sur le dos et me demande de remonter en haut du lit, attrape mes jambes et les pose sur ses épaules, caresse délicatement avec son pouce mon clito déjà entièrement sorti de son capuchon et trempé de ma cyprine, puis se glisse entre mes jambes, toujours très hautes sur lui, et entreprend de me lécher la vulve, de m’aspirer le clitoris, il insère deux doigts en moi, le combo des deux fait monter l’excitation à un niveau supérieur et je roule les hanches, je bouge en cadence, geins, gémis avec des cris plus ou moins aigus. J’en veux plus, je veux jouir, je le veux, lui, en moi. Il se redresse, mais me maintient toujours les pieds sur ses épaules, je ne peux avoir les jambes plus relevées, et d’un coup me pénètre avec force, je suis trempée, il rentre comme dans du beurre, dieu comme c’est bon ! Il me remplit toute entière jusqu’à la garde, et à chaque va-et-vient, je sens la jouissance arriver, mais il attrape d’une main le womenyser et me le temps pour jouer avec mon clitoris pendant qu’il me pilonne avec force, il sait que je suis une vraie clitoridienne et que ma jouissance sera décuplée ainsi.
Je positionne le jouet en le mettant en marche, je gémis de plus en plus fort, mais il veut me voir jouir en utilisant le jouet alors il se retire de moi, et à la place de son sexe me mets deux doigts qui vont chercher et appuyer sur mon point G, j’augmente la vitesse du womenyser, je vais jouir, je viens, mon cri de jouissance déchire le silence de la chambre tant le plaisir est immense et après quelques minutes pour récupérer, je m’occupe de A qui s’est allongé sur le lit, je lui caresse la verge et ses jolis bijoux qu’il fait tout lisse pour moi et les prends dans ma bouche, les roule sous la langue délicatement. Je prends ensuite son sexe à pleine bouche, le lèche, le suce, joue avec le frein, aspire en faisant des va-et-vient réguliers et bien serrés autour de sa verge tendue et virile tout en le regardant dans les yeux qui ont changé de couleur et viré au noir…
— Ma salope ! C’est bon ce que tu me fais là !
Afin de pouvoir le faire jouir le plus fort possible, je le laisse prendre le contrôle, car il sait se masturber d’une façon particulière, que j’apprends, mais que je ne sais pas encore faire de façon parfaite, et je m’occupe de ses tétons qui sont aussi sensibles que les miens et lui procure un plaisir infini.
Je les pince et les caresse du bout de mes pouces tandis qu’il accentue son rythme, plonge son regard dans le mien
— Tu es ma salope à moi, tu es sous mon collier ! me crie-t-il avant le râle rauque de sa jouissance et le tressaillement de son corps entier…
Jamais de façon systématique et toujours de façon différente, oui, je ne souhaite pas ni ne laisserai s’installer la routine dans notre histoire, car je pars de ce principe : que l’on se voit que quelques jours par mois ou que l’on vive ensemble, quand on s’aime, on fait ce qu’il faut pour mettre du piment de façon quotidienne dans sa relation. Nous avons chacun de notre côté eu l’expérience que dans un couple il faut vouloir les choses à deux, sinon cela ne fonctionne pas… ou plus… Et nous sommes deux à le vouloir, avec une force indécente.
Ce soir-là, A doit rentrer aux alentours de dix-sept heures trente, je sais également qu’il a réservé une table dans un restaurant pour le dîner, je ne sais pas lequel c’est une surprise.
Je connais une partie des fantasmes, désirs ou envies de mon bel amour, ce qu’il affectionne en matière de maquillage ou de tenues et pour ce que je ne sais pas, je le devine, c’est un livre ouvert à qui mérite sa confiance et sait lire en lui…
C’est dans cet état d’esprit, de lui faire un plaisir fou, que je me prépare pour l’accueillir. Douchée et maquillée avec beaucoup de soins comme chaque jour, j’applique avec délicatesse et au pinceau le rouge à lèvres carmin qu’il aime tant me voir porter. J’enfile un à un des bas noirs délicats que je fixe avec les attaches de mon porte-jarretelles. Je termine en agrafant un superbe corset noir en dentelle et satin, qui marque ma taille et emprisonne mes seins généreux qui, ainsi comprimés, jaillissent de façon indécente pour laisser la vision de deux monts débordants d’une vallée de frou-frou dentelé.
Ainsi parée, je m’assois dans un fauteuil, cuisses écartées au maximum, comme se doit une bonne soumise et reprends mon ordinateur afin de continuer le travail commencé quelques heures plus tôt. J’ai beaucoup de mal à me concentrer, pressée que je suis de le voir franchir la porte, mon esprit vagabonde et mon envie de lui se fait violente au fur et à mesure que les minutes passent…
Je l’entends ouvrir la porte et j’ai juste le temps qu’il entre pour poser mon ordinateur afin de le regarder pendant qu’il se dirige vers moi. Il ne me quitte pas du regard, pas même lorsqu’il dépose son sac à dos et ôte manteau, écharpe et chaussures.
Il s’arrête à quelques pas de moi, dans son regard une émotion intense passe, profonde…
— Ma chérie… ma soumise, sais-tu seulement que tu viens une fois de plus de réaliser l’un de mes fantasmes ? À quel point j’affectionne cette tenue ? Bas et corset ?
— Oui mon chéri, je sais à quel point tu aimes cette tenue, je l’ai mise pour toi
S’approchant, il se met à genoux en face de moi, effleure de ses lèvres ma bouche écarlate, embrasse un à un les dômes débordants du corset et me serre très fort dans ses bras.
Dès lors qu’il s’écarte, j’entreprends de lui remonter le pull et sa chemise blanche que je ne voudrais pas marquer de rouge et lui embrasse le ventre, remontant mes mains vers ses tétons sensibles sur lesquels mes pouces dessinent des cercles réguliers qui font sortir le Maître en lui en même temps que le désir.
Je voulais ôter sa ceinture afin de baisser son pantalon, mais en ayant décidé autrement, il me dit :
— Non, ma soumise, juste la braguette…
Je descends donc la fermeture éclair et extirpe délicatement son beau sexe viril afin que ma bouche gourmande ourlée de rouge puisse s’en occuper. Dieu sait que j’aime en prendre soin, la lécher, la caresser, l’aspirer, oui j’éprouve un véritable plaisir à faire des fellations à l’Homme que j’aime, à m’occuper de lui aussi bien qu’il s’occupe de moi…
Je l’aspire délicatement tout d’abord, fait quelques va-et-vient sans pression, puis une fois bien dur et me remplissant la bouche j’accentue alors la pression de mes lèvres afin de serrer le plus possible… les sensations sont décuplées pour lui, il râle et soupir puis il empoigne mes cheveux à l’arrière de ma tête pour prendre le contrôle sur la vitesse et la profondeur… après quelques va et viens il s’arrête et se retire de ma bouche, m’embrasse et se met à genoux ; positionne mes pieds sur ses épaules, les genoux bien écartés… il a une vue plongeante sur mon intimité tout entière et la chaleur du désir envahit mon corps, car je sais ce qu’il va faire.
Il plonge la tête entre mes cuisses très largement ouvertes et commence à me lécher le clitoris avec délectation, l’alternance de ses petits coups de langue et de ses aspirations provoque de petites décharges électriques à mesure que mon clito sort de son capuchon. Je commence à mouiller abondement et me tortille dans tous les sens, je gémis et attrape sa tête tout en faisant des mouvements de va et viens avec mon bassin pour accompagner ses insatiables coups de langue… Il s’interrompt un instant pour me dire d’un œil malicieux qu’il faut environ trente minutes pour aller au restaurant…
— Veux-tu jouir tout de suite ou tout à l’heure, ma soumise ? me demande-t-il.
Par égoïsme, j’aurais pu répondre « tout de suite », ou bien « tout de suite et tout à l’heure »… Mais si j’ai des défauts, l’égoïsme n’en fait pas partie et je savais que s’il avait le temps pour me faire jouir de façon merveilleuse, moi je n’en aurais pas assez pour lui…
— Je préfère attendre tout à l’heure, Monsieur.
Il se redresse alors et me prend dans ses bras puissants pour un câlin vanille que nous affectionnons tous les deux, puis avec une claque sur les fesses, m’envoie me changer pour le dîner.
Pour ma tenue de ce soir, j’ai ma petite idée qui devrait lui plaire, j’en mets ma main au feu. Je garde les bas et le porte-jarretelles, mais j’enfile un joli boxer noir en lingerie fine transparente et dont l’échancrure sur le haut des fesses laisse apparaître au creux de mes reins le tatouage d’une soumise assise sur ses talons, les mains liées… pour une fois, mon soutien-gorge ne sera pas assorti à mon dessous, car pour sortir ce soir je prévois de mettre celui qui est découpé au niveau des tétons afin qu’ils sortent par ces deux petits trous et restent continuellement en alerte grâce aux frottements de la blouse légère que je vais porter par-dessus. Pour finir, une jupe noire très échancrée sur la cuisse gauche, mais qui ne laisse apparaître la cuisse que si je marche ou que je croise les jambes… A va adorer cette jupe… une petite retouche à mon maquillage que je veux toujours parfait puis j’enfile mes bottes.
Cependant, Monsieur est coquin et sait que j’ai ramené avec moi un nouveau jouet dans notre sac à malice… et souhaite que je le porte ce soir… me voilà donc à placer dans ma culotte le joli vibromasseur clitoridien connecté et au vu du regard malicieux de A, il a vraiment très envie de jouer ce soir.
Enfin prêts, nous nous dirigeons vers la voiture, installation beaucoup moins sexy que d’habitude. En effet, pour ses déplacements, l’entreprise de A met à sa disposition un véhicule de fonction, bas et plutôt sport, ainsi, chaque montée ou descente est prétexte à plonger son regard entre mes cuisses qu’il me défend de serrer bien au contraire. Malheureusement le véhicule de fonction étant indisponible, il se retrouve avec un SUV bien haut ! Adieu entrées et sorties sensuelles… je dois presque sauter sur le siège, et pareil pour descendre ! Pas grave, il se rattrape en faisant glisser une bonne partie du trajet ses doigts joueurs sur ma cuisse découverte, sensation délicieuse et enivrante faisant monter la douce chaleur du désir en moi.
Nous arrivons en ville, garons la voiture sur le parking et nous dirigeons vers le restaurant, il s’agit d’un restaurant japonais ! J’en suis ravie, lui et moi adorons les sushis et il me fait cette surprise ce soir.
Nous sommes placés au premier étage, au fond de la salle aux lumières tamisées, il me place, dos aux autres convives, mais face à lui. La commande passée, il entreprend de me caresser la jambe en attrapant ma cheville, la calant entre ses cuisses et ouvrant ma botte ; entre massages et caresses, la chaleur entre mes cuisses se fait humide, mais au bout d’un certain temps, la position devenant inconfortable pour moi il finit par me libérer… Pour mieux attraper le téléphone sur lequel il lance le jouet placé au fond de ma culotte. Il nous prend presque un fou rire lorsque je me rends compte que je vais devoir allumer le fameux jouet ! Eh oui… Il va falloir que je me fasse discrète pour soulever ma jupe (heureusement, elle est ouverte sur le côté !), glisser ma main dans la culotte, trouver le bouton en tâtonnant de mes doigts, trouvé ! La situation a déclenché en moi une profonde excitation, aurais-je une part exhibitionniste en moi ? …
Ses doigts prennent possession de l’écran comme ils les prendraient de ma vulve et de mon clitoris, bougent tantôt rapidement, tantôt doucement, tapotent, glissent, font des cercles ; chaque geste provoque des sensations différentes soit des petits à coups, soit des vibrations de différentes intensités. Je me retiens violemment de ne pas gémir tant la chaleur en moi est forte ; je mouille de désir et d’envie, j’aimerai son doigt en plus du jouet, mais nous ne sommes pas assez près pour cela, et mon regret à ce moment-là est de ne pas avoir le Rosebud et les boules de geisha insérées en moi, je me serais laissé aller à jouir dans le restaurant…
Au bout d’un certain temps et afin de pouvoir me laisser manger, il éteint le vibreur, mais avec ses baguettes il vient attraper mes tétons à travers le fin tissu de mon chemisier, pince légèrement… Humm, oui, que cette sensation est délicieuse ! Tout est prétexte au jeu avec lui et aucun objet du quotidien n’est épargné pour mon plus grand plaisir… et le sien.
Le dîner était absolument délicieux, mais une fois terminé, il nous tarde de rentrer terminer la soirée dans notre petit nid à nous. À peine arrivé dans la chambre, il me demande de retirer jupe, chemisier et culotte, puis approche de moi et vient m’aspirer les tétons sortis par les trous de mon soutien-gorge, je gémis de plaisir et appuie sa tête pour qu’il accentue la succion, il retire ensuite le tissu de mes seins, les pince et les vrille, ce qui me fait gémir encore plus fort, les reprend en bouche et les tète tout en malaxant vigoureusement mes deux seins tenus fermement dans ses mains puis m’attrape par le cou et me penche en avant sur le lit… J’ai dû mériter une petite fessée… du plat de sa main il m’assène deux bonnes claques sur la partie la plus charnue puis caresse ensuite et recommence.
Il me retourne sur le dos et me demande de remonter en haut du lit, attrape mes jambes et les pose sur ses épaules, caresse délicatement avec son pouce mon clito déjà entièrement sorti de son capuchon et trempé de ma cyprine, puis se glisse entre mes jambes, toujours très hautes sur lui, et entreprend de me lécher la vulve, de m’aspirer le clitoris, il insère deux doigts en moi, le combo des deux fait monter l’excitation à un niveau supérieur et je roule les hanches, je bouge en cadence, geins, gémis avec des cris plus ou moins aigus. J’en veux plus, je veux jouir, je le veux, lui, en moi. Il se redresse, mais me maintient toujours les pieds sur ses épaules, je ne peux avoir les jambes plus relevées, et d’un coup me pénètre avec force, je suis trempée, il rentre comme dans du beurre, dieu comme c’est bon ! Il me remplit toute entière jusqu’à la garde, et à chaque va-et-vient, je sens la jouissance arriver, mais il attrape d’une main le womenyser et me le temps pour jouer avec mon clitoris pendant qu’il me pilonne avec force, il sait que je suis une vraie clitoridienne et que ma jouissance sera décuplée ainsi.
Je positionne le jouet en le mettant en marche, je gémis de plus en plus fort, mais il veut me voir jouir en utilisant le jouet alors il se retire de moi, et à la place de son sexe me mets deux doigts qui vont chercher et appuyer sur mon point G, j’augmente la vitesse du womenyser, je vais jouir, je viens, mon cri de jouissance déchire le silence de la chambre tant le plaisir est immense et après quelques minutes pour récupérer, je m’occupe de A qui s’est allongé sur le lit, je lui caresse la verge et ses jolis bijoux qu’il fait tout lisse pour moi et les prends dans ma bouche, les roule sous la langue délicatement. Je prends ensuite son sexe à pleine bouche, le lèche, le suce, joue avec le frein, aspire en faisant des va-et-vient réguliers et bien serrés autour de sa verge tendue et virile tout en le regardant dans les yeux qui ont changé de couleur et viré au noir…
— Ma salope ! C’est bon ce que tu me fais là !
Afin de pouvoir le faire jouir le plus fort possible, je le laisse prendre le contrôle, car il sait se masturber d’une façon particulière, que j’apprends, mais que je ne sais pas encore faire de façon parfaite, et je m’occupe de ses tétons qui sont aussi sensibles que les miens et lui procure un plaisir infini.
Je les pince et les caresse du bout de mes pouces tandis qu’il accentue son rythme, plonge son regard dans le mien
— Tu es ma salope à moi, tu es sous mon collier ! me crie-t-il avant le râle rauque de sa jouissance et le tressaillement de son corps entier…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vus avez le don de vous faire jouir au gré de vos imaginations. Bravo. Continuez.
Je n'ai qu'une envie me retrouver au lit avec ton homme pour qu'il me fasse l'amour comme bon lui semble et me donne une petite fessée si je la mérite.