Sortie de boite
Récit érotique écrit par Magic2310 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2005 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sortie de boite
Sortie de boite..
Je n’ai jamais trop aimé les boites de nuit, ni fréquenté ces lieux bruyants.
Tout ce qui s’y trouve me fait généralement fuir, la musique que je qualifie personnellement de bruit, l’ambiance que je trouve surfaite et pleine de sous entendus foireux, les gens qui les fréquentent assez frustrés…
Bref, pas mon genre… Et pourtant…
Fêtant l’anniversaire d’un vieil ami, nous avions été conviés à un repas chez lui et à finir la soirée en boite de nuit. L’établissement était principalement fréquenté par des noctambules de nos âges et diffusait de la musique d’époque..
(70/80.. ) Les convives étaient presque tous quadras, voire quinquas.
Dès l’accès, nous fûmes dirigés vers le vestiaire tenu par ce que j’appellerai une forte femme. Du haut de son mètre quatre vingt et de son quintal passé, elle nous sourit et nous annonça les tarifs. Très professionnelle, elle nous débarrassa de nos vêtements et nous prodigua ses conseils pour passer une bonne soirée..
S’agissant d’un anniversaire historique (50 ans..) mon ami avait mit les petits plats dans les grands et nous gratifia de plusieurs bouteilles de champagne qui se multiplièrent bientôt, chacun voulant y aller de sa tournée. Notre table devint une des plus animées de l’endroit et nous fûmes bientôt intimes des barmans.. Le contre coup ne se fit pas attendre et un couple s’excusa pour sortir prendre l’air.. Les autres s’excitaient sur la piste de danse et je restais seul assis à table, mélancolique comme souvent.
Plongé dans mes pensées, je n’ai remarqué la présence de la dame des vestiaires que lorsqu’elle me mit la main sur l’épaule en me faisant sursauter.
« Je crois que vos amis sont partis sans prendre leurs affaires » me dit elle.
Tout en lui affirmant qu’ils allaient revenir, je me suis levé machinalement pour aller m’assurer qu’ils allaient bien et que leur voiture était toujours là. Elle me suivit et resta sur le pas de porte. Sur le parking, entre deux voitures, enlacés, mon couple d’amis s’embrassait. Je décidais de ne pas les déranger et revint confirmer qu’ils étaient toujours là.
La préposée au vestiaire m’accueillit avec un étrange regard et un sourire qui avait du mal à percer sur ses lèvres. Visiblement dérangée par quelque chose, elle s’écarta toutefois et me laissa entrer. Manifestement gênée, elle me demanda si nous nous amusions bien. N’étant pas accompagné, je lui dis qu’à part les cavalières et la musique, tout allait bien.. Etonnée, elle protesta et toujours presque souriante, elle me demanda mon age. Nous avions le même à quelques mois près.
Dans la salle, l’ambiance allait crescendo . Mes amis monopolisaient la piste et étaient à l’origine des titres diffusés. Les bouteilles s’entassaient sur la table. Il était alors deux heures du matin et la nuit ne faisait que commencer. J’ai perdu le contrôle vers trois heures. A quatre heures, la fatigue s’est fait sentir et nous décidâmes de rentrer, non sans avoir réglé une note plutôt salée au bar.
Devant les vestiaires, nous aperçûmes encore l’employée qui avait revêtu ses habits civils.. Un tailleur chic et un chemisier blanc à décolleté plongeant.
Je n’ai pas remarqué tout de suite qu’elle m’adressait exclusivement la parole et semblait ignorer mes amis. Rhabillés, au lieu de nous souhaiter un bon retour, elle me demanda discrètement à petite voix un service.
Finissant son service bientôt et également seule, elle me demanda de la raccompagner chez elle à proximité.. Sans réfléchir, je dis au revoir à mes amis qui esquissèrent un sourire entendu. Surtout un de mes amis d’enfance.. il savait.. J’attendis au bar la fin de son service.
Après une bonne demi heure, elle vint me rejoindre. Nous bûmes un dernier verre en faisant connaissance.
Elle était physiquement grande et forte mais son visage , sa voix, ses manières, sa sympathie.. et surtout mon état d’ébriété .. la rendait attirante.
Dans la conversation, elle me laissa entendre qu’elle était assez attirée par les hommes de mon genre et se permettait quelque fois de joindre l’utile à l’agréable en se faisant raccompagner. Je sentais qu’elle portait sur moi un regard inquisiteur et, profitant de notre position assise au bar, elle fit glisser une ou deux fois sa main sur ma cuisse, réveillant mes ardeurs. Bien qu’excité et pour le moins visible à travers mon pantalon, je feignis de ne rien remarquer.
C’est elle qui souleva le sujet.
« Tout à l’heure, lorsque tu es sorti dehors, tu avais quelque chose de caché dans ton pantalon ? J’ai furtivement vu quelque chose le long de ta jambe. »
Surpris d’abord, j’ai franchement répondu..
« Je sais ce que tu as vu. C’est un secret ».
Elle rit de toutes ses dents et son visage s’empourpra, du moins c’est ce que j’ai remarqué dans la pénombre de l’endroit.
Nous devisions depuis une bonne demi heure lorsqu’elle mit franchement sa main sur ma cuisse et s’aperçu que j’avais toujours quelque chose de caché dans mon pantalon que je dissimulait maintenant avec la plus grande peine.
Son expression changea brusquement, ne sachant quel comportement adopter. Elle continua à me regarder sans rien dire , laissant sa main immobile sur ma cuisse et cherchant à deviner ce qu’elle ressentait. Je me tus aussi et la regarda fixement, le visage impassible malgré l’excitation qui commençait sérieusement à limiter mes mouvements.
J’ai vu une lueur au fond de ses yeux. Elle repris son souffle et me dit avec sa voix aux sonorités agréables :
« Qu’est ce que tu cache dans ton pantalon depuis que tu es arrivé ? »
Toujours naturel.. (euh naturellement saoul..) je me suis approché de son oreille et lui ai susurré :
« Je te l’ai dis, je cache un grand secret »
Elle rit encore et chercha mieux avec sa main qui parcouru la cuisse jusqu’à mon entre jambe. J’ai vu progressivement son visage s’illuminer et son regard s’enflammer :
« Ne me dis pas que.. » sursauta t’elle soudain.
« Oui » dis je simplement.
Elle continua à me caresser , lentement et plus fermement. Elle ne détachait plus son regard de mon visage, cherchant encore à voir si j’étais sérieux.
« Tu me charries ! C’est impossible ! montre moi ce que tu as là ! »
Je lui pris la main et nous parcourûmes ensembles mon anatomie. Je lui décris tout ce qu’elle ressentais à travers mon pantalon. Elle sentis mes testicules à la base de mon pénis et nous descendîmes de tout son long jusqu’au gland qui était maintenant aussi dur que l’ensemble et se trouvait au niveau de mon genou. Sceptique, elle insista pour glisser sa main discrètement à l’intérieur. Elle n’en pouvait plus et semblait très sérieuse. Je l‘arrêtais, gêné par la présence de nombreuses personnes autour du bar. Mais personne ne prêtait attention à nous.
Ne pouvant pas faire mieux assis côte à côte, elle se mit debout contre moi et glissa son bras sous le mien, parcouru ma ceinture, glissa sur mon ventre et pénétra dans mon pantalon par l’aine. Ses doigts me caressèrent d’abord le pubis puis descendirent doucement vers mon sexe. Arrivé à sa base, elle les promena sur le côté et alla directement vers mes testicules. Ce n’est qu’arrivé là qu’elle exprima sa surprise, comme si elle n’y avait pas cru jusqu’à l’instant :
« Mon dieu, c’est vrai !.. c’est incroyable.. je n’arrive pas à faire le tour avec mes doigts.. on dirais un bras.. elle est comme ça tout du long ? quelle taille
a-t-elle ? comment arrive tu à vivre avec ça entre les jambes ? c’est dingue ! »
Ces mots avaient été prononcés d’une traite.. ne me laissant pas le temps de répondre.
Je me suis contenté de sourire et d’acquiescer. Elle rencontra ma première attache en cuir mais n’y prêta pas attention.(euh, voir épisodes précédents… faut suivre ! lol) Sa main descendait alors le long de ma verge et son bras, arrivé au coude, me serrait la ceinture. Elle était penchée, le bras dans mon pantalon et son regard fixé sur le bar affectait la surprise, la découverte, le mystère enfin percé.. Sa bouche était entrouverte, ses yeux ronds... Elle continua à descendre et arriva à la base de mon gland. Là, ma deuxième sécurité était tendue et maintenait le tout le long de ma jambe. Elle s’étonna alors.. « C’est quoi ? tu t’attache ? t’es obligé ? »
Mon regard croisa le sien :
« D’après toi, comment veux tu que je sois discret sans ça ? Imagine moi excité sans ces liens ! Une énorme boule devant moi, obligé de me pencher vers l’avant, sortir les fesses.. de trouver à m’asseoir en attendant que ça passe…en posant tout ce que je pouvais trouver autour de moi pour cacher mon érection…j’ai depuis longtemps pris mes dispositions. »
Elle essayé d’entourer mon gland de ses doigts et serra pour pouvoir les rejoindre. Son visage se tourna vers moi et subitement elle m‘embrassa farouchement tout en me caressant plus fermement. Un long et fougueux baisé..
« Je n’arrive toujours pas à faire le tour! tu est vraiment énorme ! très très long et trop gros ! quelle taille fais tu ? 40/50 cm ? et quel diamètre ? »
Je lui ai donné les réponses dans un souffle. Elle sembla satisfaite. (35/11,5)
« Tu as dû en faire monter au ciel avec ça ! Elles ont toutes pu t’accepter ? »
« Non, peu comparé au nombre d’occasions qui se sont présentées » lui dis je, toujours haletant et terriblement excité par les mouvements de son bras le long de mon membre. Nous ne faisions plus attention à ce qui se passait dans la salle. L’ambiance retombait et une dizaine de personnes seulement occupait la piste.
« J’ai eu beaucoup de refus et d’échecs à cause de ça.. mais le peu qui a accepté me suffit et de toute façon, vu le nombre qui me remarque, comme toi, je suis assez satisfait. »
Elle sourit et retira progressivement son bras de mon pantalon, non sans passer ses ongles le long de mon pénis et le caresser encore.
« Tu me raccompagne ? » me dit elle.
Son studio était à 10 mn de là, dans une banlieue rouge.
Dans la voiture, elle a voulu encore me toucher et passa son temps à caresser ma cuisse et mon sexe. Elle ne parlait que très peu, se contentant de m’indiquer le chemin.
Son appartement était assez bien meublé et sentait le frais. Son lit, sous une alcôve, était grand et douillet. Nous ne fîmes rien d’autre, à peine entrés et sans un mot, que nous déshabiller mutuellement. Nous nous me découvrîmes alors.
Elle était bien proportionnée et sa grande taille la faisait paraître moins grosse. Ses seins étaient ronds et une large couronne sombre entourait ses tétons.
Son ventre proéminent retombait un peu sur son pubis rasé. Ses lèvres charnues laissaient apparaître une vulve rose humide.
Elle commença par m’ôter le haut. Son regard était de braise et je sentis dans ses gestes une certaine nervosité et de la précipitation.
Ma ceinture débouclée, elle fit glisser mon pantalon sur mes cuisses avec frénésie. Elle recula alors et m’examina longuement.
« Détache là ! je n’arrive toujours pas à la mesurer vraiment. »
Je m’exécutais.
La deuxième attache retirée, ma verge se redressa brusquement à la verticale et palpita devant elle, parcourue des soubresauts habituels dus aux battements de mon cœur.
Elle se précipita alors dessus et essaya de l’enfourner dans sa bouche avec des bruits de sucions. Ses mains parcouraient mon pénis sur sa longueur et s’arrêtait sur ses détails, le bord de mon gland tel une crête rougi par excitation, les marques que laissent mes liens de cuir sur ma peau, les longues et grosses veines qui le parcourent.. Ses doigts venaient aussi me caresser les bourses.
S’arrêtant brusquement, elle releva son visage et me regarda..
« J’ai l’impression de vivre un rêve ! Tu es un vrai fantasme ! C’est tellement incroyable que j’ai l’impression de ne pas arrêter de te découvrir, comme si on faisait l’amour à plusieurs.. c’est tendre et dur à la fois, j’en peux plus.. mais j’ai peur de ne pas pouvoir.. mais j’ai trop envie d’essayer ! Caresse moi d’abord, prépare moi ! »
Elle s’allongea sur le dos dans son lit et m’invita entre ses jambes.
Mes mains s’affairaient sur ses seins et son ventre tandis que ma langue fouillait son sexe. Son clitoris bien dur et rouge vif était enfoui dans l’épaisseur de ses lèvres. Ma langue le dégagea et je pu le saisir avec mes lèvres. Je l’ai fait passer entre mes dents tout en l’aspirant. Elle fut saisie d’un violent tremblement et serra légèrement ses cuisses. Ses mains se promenaient sur son corps dans des mouvements désordonnés. Elle émis un long soupir et se figea. Puis, hoquetant, elle releva le visage et me demanda de la caresser encore. Elle mis ses doigts sur son sexe et m’invita à lécher son anus. Elle fit pénétrer immédiatement deux doigts dans sa fente tandis que les autres écartaient ses lèvres intimes. Tous ses doigts se retrouvèrent rapidement humides et ses gestes se firent plus incisifs.
Elle glissait alternativement deux, trois ou quatre doigts en elle. Son visage, toujours relevé, m’observait et détaillait encore mon anatomie.
Allongé, mon pénis sur le côté, elle pouvait le voir écrasé sur les draps, toujours monstrueux et gonflé, dépassant ma hanche d’une quinzaine de cm. Elle tendis son autre bras et me demanda d’approcher. Elle se saisit de moi, me tira vers elle et essaya encore, sans succès, de m’enfourner dans sa bouche. Ses lèvres étaient tendues et elle n’arrivait pas à l’agrandir suffisamment. Elle poussait fortement pour faire pénétrer ne fus ce qu’un début.. Elle s’acharnait et faisait beaucoup de bruit, gémissant sous l’action de ses caresses de plus en plus profondes. Elle tentait maintenant d’introduire son pouce, dernier doigt de sa main encore dehors. Le visage crispé par l’effort, elle poussa fortement sur son sexe et commença à introduire sa paume.. Elle avait presque abandonné ma verge, se contentant de promener sa main entre mes jambes, alors que mon gland venait frotter contre son épaule. Longtemps, elle força sur sa main et pu arriver à l’enfoncer jusqu’au poignet. Son bras était alors trop court pour aller plus loin.. Elle jouait dessus pour tenter de s’élargir plus et émettait des grognements sourds. Ses yeux étaient fermés et son attention toute entière portée sur sa tâche.
L’encourageant, j’ai promené mon pénis sur son corps, partout. Sa bouche venait l’embrasser, sa langue le lécher à chaque fois qu’il était à sa portée.
Elle me demanda alors de l’aider, retirant lentement sa main dans un rictus de douleur. Elle alla chercher un tube de lubrifiant dans sa commode et s’en enduit les mains. Prenant la mienne, elle la lubrifia également et la dirigea vers son sexe. Son regard coquin et entendu croisa le mien et nous nous sourîmes mutuellement. Elle fit glisser un à un mes doigts dans son sexe et imprima à ma main un geste de va et vient de plus en plus nerveux. Mon pouce entré, je me suis retrouvé rapidement coincé en elle jusqu’au poignet. Elle avait ouvert la bouche et de ses lèvres sortait un long feulement. Ses mains huilées forçaient sur mon bras pour une plus profonde pénétration. Ses doigts courraient sur son sexe et allaient s’immiscer entre mon poignet et ses lèvres distendues. Elle arriva à passer le bout de ses doigts et commença à s’écarter plus, relâchant la pression de son sexe sur ma main. Elle m’invita à entrer plus. Depuis longtemps, je sentais mes doigts buter au fond d’elle. Parvenant maintenant à refermer ma main en elle, je pus continuer à pousser. Elle hurlait presque mais insistait autant pour que je pousse. Mon bras s’engagea petit à petit. J’ai commencé à plier mon poignet vers son ventre et pu encore introduire une partie de mon avant bras.
Nous sommes restés longtemps ainsi. Elle, haletant à chacun de mes moindres mouvements et moi terriblement excité par la situation et toujours raide depuis nos attouchements au bar de la boite de nuit.
Elle finit pas me faire sortir d’elle et enfourna mes doigts encore chauds dans sa bouche. Ses yeux roulaient dans leurs orbites et elle m’invita à m’allonger sur elle.
Accroupi entre ses jambes, j’ai enduit mon sexe de lubrifiant. Elle me regarda faire avec envie, se dandinant en m’attendant. J’ai écarté sa vulve brillante de sécrétions et placé mon gland au dessus de son périnée. Son vagin était béant et accueillant, ses grosses lèvres charnues distendues.
Les yeux clos, elle m’attira vers elle et remua son bassin pour faciliter la première intromission. Mon gland pénétra brusquement en elle et elle se retrouva vite empalée d’un vingtaine de cm. Ses yeux étaient grand ouverts et ses lèvres pincées. Ses ongles me griffaient le dos. Elle temporisa un peu.
Imprimant un mouvement à mon bassin, elle me retira un peu pour mieux me reprendre. Un cri sourd s’échappa de sa bouche maintenant grande ouverte.
Ses jambes se sont repliées sur moi et, poussant sur mes fesses, elle s’enfila progressivement la presque totalité de mon sexe. Mes anches venaient buter sur l’intérieur de ses cuisses et me procurait une douce et rare sensation.
Je ne ressent cela que lorsque j’arrive à pénétrer mes partenaires. C’est doux et chaud, terriblement excitant.
Elle préféra éviter de trop bouger avec mon membre à l’intérieur mais me demanda de rester. Ses jambes passèrent sous les miennes et elles pu les joindre.
Elle resserra son emprise sur moi et je me suis senti « planté » en elle.
« Tu me remplie entièrement… c’est bizarre cette sensation.. je te sens tout entier en moi.. dans mon ventre .. mon dos.. mon bassin.. c’est dur et doux à la fois.. , j’ai l’impression que tu m’as déformée.. complètement défoncée clouée sur mon lit.. c’est trop bon .. extraordinaire.. immense.. puissant.. surtout ne bouge pas.. laisse moi faire..»
Son bassin remuait doucement et je sentais les muscles son vagin agir sur mon sexe, le comprimant et le tordant fermement. Son excitation remonta progressivement et ses gestes se firent de plus en plus rapides.
Soudain, elle me repoussa et se mit sur le ventre, à quatre pattes. Tendant ses fesses vers moi, elle me demanda de la prendre encore. Ses seins lourds pendaient à toucher les draps. Sa tête, tournée vers moi, m’implorait.
« Défonce moi encore ! vite, avant que je me resserre ! Vas y, je te veux tout entier maintenant. Enfonce toi encore ! encore.. »
Je glissait petit à petit dans son sexe, me retirant de quelque cm pour revenir plus profondément à chaque fois. Son anus, devant moi, semblait aussi subir la déformation que mon gros sexe imprimait à ses chairs. Il formait comme un triangle élargi sur sa base au dessus du périnée qui n’était plus qu’une mince pellicule de peau étirée à l’extrême. Ses petites lèvres maintenant distendues sur mes 36 cm de diamètre, étaient rouge vif. Lorsque je ressortais, j’ai plusieurs fois eu l’impression qu’elles allaient se retourner.. comme une chaussette..
(euh.. lol… désolé..) Mais j’ai trouvé ça excitant..
J’ai alors joué avec elle. Me retirant brusquement, je lui ai demandé si elle en voulait encore.. elle m’a regardé et m’a supplié de continuer. Je suis alors entré en forçant un peu plus mon étreinte. Je sentais bien son utérus buter sur le haut de mon gland mais il se présentait comme une cavité plus bas et sur le côté qui me permettait de m’enfoncer d’une dizaine de cm supplémentaires.
(bon, suis pas médecin, faut leur demander… moi, je parle de mes sensations.. je dis cavité… on va dire que c’était plus mou..)
Ressortant encore entièrement, j’ai posé mon vit sur son anus et attendu sa réaction. Sa main vint se poser sur son sexe, comme pour constater les dégâts et ses doigts constatèrent que les parois de son vagin laissaient apparaître un trou béant. Son index fit doucement le tour des ses lèvres et elle me dit..
« Je ne me reconnais plus.. tu m’a complètement défoncée.. c’est devenu
un vrai garage.. mes lèvres ne se touchent plus, je sens comme un courant d’air maintenant.. c’est drôle et agréable… jamais ressenti cette impression. Mais j’espère que ça se remettra.. met moi encore de la crème.. »
J’ai profité de l’occasion pour venir immiscer un doigt dans son anus.
Son accueil fut encourageant. Elle se pressa sur moi et cambra ses reins.
Prends moi encore, comme tout à l’heure.. je ne pourrait pas t’accepter par derrière, ça me fait peur et je n’ai pas l’habitude. Mais tu peux y aller avec les doigts..
Cette dernière remarque m’a fait sursauté et, toujours accroupis, je me suis relevé et l’ai placée à quatre pattes sur le bord du lit.
Après avoir promené mon sexe sous son ventre je l’ai de nouveau pénétré… plus fougueusement. La position debout nous permet, (n’est ce pas les hommes ?) de gagner en érection.. Elle gémit et me dit qu’elle ne s ‘habituerait jamais à un engin comme ça, mais qu’elle aimait que je la prenne sauvagement en m’enfonçant au maximum en elle et en écartant ses chairs.
J’ai joué à m’introduire brusquement. Mes coups de boutoir s’écrasaient au fond de son sexe. Elle tendait ses fesses pour mieux me prendre en hurlant maintenant. « plus fort, oh c’est immense ! Ca n’en fini plus ! Force moi ! »
Ses cris m’excitèrent et j’ai redoublé d’agitation. J’ai fait aller mon pénis de gauche à droite dans son corps, son ventre. J’ai senti que je pouvais pousser encore, forcer sur mes reins et me tendre vers elle. Je me suis contracté et j’ai appuyé de plus en plus sur le fond de son sexe. Dans un hoquet, elle se tendit également et releva une jambe. C’est son sexe qui m’a avalé. Tout entier.
Elle se retourna vers moi et me dit :
« Je t’ai eu… je n’aurai jamais imaginé pouvoir faire ça… c’est une formidable aventure sexuelle que je vis avec toi. Tu es incroyable.. c’est gigantesque dans mon ventre. il me brûle.. et c’est tellement raide et serré que je sens ses palpitation dans mon vagin.. ton sexe, c’est un double fist pour moi. Et dire que j’imaginais le plus grand des hommes deux fois plus court que toi ce matin encore ! Et cette grosseur.. , c’est surtout ça qui est dingue.. touche mon ventre, je crois la sentir là.. , au dessus de mon nombril.. c’est incroyable.. j’ai l’impression d’être enceinte.. c’est vraiment dans mon ventre tout ça. ».
Je suis resté fiché en elle tout mon long quelques minutes et j’ai décidé de conclure. Je me suis retiré à moitié et j’ai eu peur de ne pouvoir re rentrer. J’ai senti son vagin venir avec moi tellement c’était serré. J’ai préféré ne plus ressortir avec cette excitation qui faisait apparaître mon pénis encore plus énorme qu’à l’accoutumée, de peur de lui faire mal. J’ai joué au fond d’elle, poussant, frottant de gauche à droite et la rendant hystérique une nouvelle fois.
L’extase arrivant, je me suis retiré sur une quinzaine de cm pour pouvoir libérer ma semence.. je restais immobile, à moitié fiché en elle, pendant que mon pénis, secoué de contractions, sécrétait en longs et puissants jets.
« Oh, c’est trop comme sensation, tu est en train de me remplir! un vrai robinet ! je sens ton urètre se gonfler et ton sperme pousser dedans. Ca vient encore ! c’est dingue ! tu es trop en tout toi ? oh continue ! oui encore! »
Presque au bout, j’ai encore poussé sur mes reins et par pression mon sperme a enfin pu passer la paroi tendu de son sexe et venir suinter autour de ses lèvres jusqu’à s’écouler le long de ses cuisses.
J’ai ensuite présenté mon pénis devant son visage et lui ai posé les quelques gouttes de sperme qui restaient encore dans mon urètre sur sa joue, au bord de ses lèvres. Elle ronronnait de plaisir et sentait maintenant son sexe se vider de mon jus.
« J’ai comme un poids dans le ventre.. je me vide on dirait.. c’est quand même important la quantité que tu as ! jamais vu ça encore.. je crois rêver.. mais comment ferais je maintenant pour fantasmer sur un autre homme ? Trop gros, beaucoup trop.. très long.. très très long.. et dur comme du bois.. en plus, tu inonde tes partenaires comme si on était des jerricanes… (lol) une vraie station service ! C’est normal ce qu’il m’arrive ? Comment j’ai pu faire ça ?
Oh, maintenant j’ai froid entre les jambes ! Et je ne me referme toujours pas.. regarde ! »
Elle passait ses mains sur son vagin et inspectait l’énorme trou sombre qui écartait encore ses lèvres.. On y voyait encore assez de sperme à l’intérieur pour remarquer sa couleur blanche.
« Elle fait combien de cm de circonférence ta verge ? »
Je n’ai voulu la laisser calculer et lui annonça le chiffre. Elle s’affola…
« Tu m’avait dit 11,5 mais je n’ai pas fait la multiplication ! 36 cm de tour ? mais comment j’ai pu entrer ça ? je ne l’aurai jamais fait si ce n’était avec un homme. J’espère que je vais me remettre… ça me brûle maintenant… j’ai du mal à me lever.. »
Je l’ai rassurée en lui parlant de mes anciennes conquêtes et de celles qui m’avaient utilisé plusieurs fois. Toutes se sont dites trop satisfaites par mon anatomie et s’en sont remises parfaitement.. enfin je le crois.. Je lui ai toutefois caché qu’elle pouvait difficilement ensuite avoir d’autres expériences plus jouissives physiquement et aussi extrêmes.
Elle pris mon pénis dans ses bras et l’embrassa encore. Ramolli par le plaisir passé mais toujours de belle taille, elle s‘amusa avec à le faire passer d’une main à l’autre.. (à se faire des passes quoi !)
Le jour pointait déjà et avec lui le moment où il fallait que je parte ..
Elle ne m’a lâché le sexe qu’au dernier moment, lorsque j’ai commencé à enfiler mon pantalon. Elle me regarda en souriant plaquer mon engin contre ma cuisse quand j’ai dû remonter mon froc jusqu’à la taille. Elle me mit de profil et remarqua que cela ne se voyait pratiquement pas. De face, elle reconnu que je n’étais pas trop symétrique.. avec ma grosse cuisse gauche.
Il fut convenu que je pouvais revenir quand il me plairait dans cette boite.
Elle me confia qu’elle n’oublierait jamais de sa vie une nuit comme celle qu’elle
avait vécu.. un rêve éveillé, allant de surprises en étonnement, d’extrême envie de sexe à de multiples orgasmes, de tentations effrénée en plaisir comblé.
Elle m’attendrait tous les soirs, guettant mon arrivée.. espérant me revoir et pouvoir de nouveau abuser de mon corps. Elle me dit aussi qu’elle penserait à moi à chaque fois qu’elle sera excitée, quand elle se masturbera.. seule dans son petit appartement. Mais qu’elle pensait pour l’instant ne pas trop en faire parce qu’elle attendrait que son corps se soit remis de mes assauts. Elle m’embrassa sur la pas de porte et passant une dernière fois encore son bras sur mon pénis et le saisit fermement au niveau de mon gland..
« Je me souviendrai toujours de ton gros serpent… et en plus, tu sait super bien t’en servir! Reviens vite ! Ne m’oublies pas.. j’en ai besoin maintenant. .. je suis accro.. »
Ce n’est qu’arrivant devant ma voiture que je me suis rendu compte que j’avais oublié mes lanières de cuir. Je n’ai pas osé remonter et je les lui ai laissées.. en souvenir de notre rencontre. Une preuve en quelque sorte attestant de la réalité de son aventure avec moi… et en plus, calibré au diamètre réel de mon anatomie..
Je n’ai jamais trop aimé les boites de nuit, ni fréquenté ces lieux bruyants.
Tout ce qui s’y trouve me fait généralement fuir, la musique que je qualifie personnellement de bruit, l’ambiance que je trouve surfaite et pleine de sous entendus foireux, les gens qui les fréquentent assez frustrés…
Bref, pas mon genre… Et pourtant…
Fêtant l’anniversaire d’un vieil ami, nous avions été conviés à un repas chez lui et à finir la soirée en boite de nuit. L’établissement était principalement fréquenté par des noctambules de nos âges et diffusait de la musique d’époque..
(70/80.. ) Les convives étaient presque tous quadras, voire quinquas.
Dès l’accès, nous fûmes dirigés vers le vestiaire tenu par ce que j’appellerai une forte femme. Du haut de son mètre quatre vingt et de son quintal passé, elle nous sourit et nous annonça les tarifs. Très professionnelle, elle nous débarrassa de nos vêtements et nous prodigua ses conseils pour passer une bonne soirée..
S’agissant d’un anniversaire historique (50 ans..) mon ami avait mit les petits plats dans les grands et nous gratifia de plusieurs bouteilles de champagne qui se multiplièrent bientôt, chacun voulant y aller de sa tournée. Notre table devint une des plus animées de l’endroit et nous fûmes bientôt intimes des barmans.. Le contre coup ne se fit pas attendre et un couple s’excusa pour sortir prendre l’air.. Les autres s’excitaient sur la piste de danse et je restais seul assis à table, mélancolique comme souvent.
Plongé dans mes pensées, je n’ai remarqué la présence de la dame des vestiaires que lorsqu’elle me mit la main sur l’épaule en me faisant sursauter.
« Je crois que vos amis sont partis sans prendre leurs affaires » me dit elle.
Tout en lui affirmant qu’ils allaient revenir, je me suis levé machinalement pour aller m’assurer qu’ils allaient bien et que leur voiture était toujours là. Elle me suivit et resta sur le pas de porte. Sur le parking, entre deux voitures, enlacés, mon couple d’amis s’embrassait. Je décidais de ne pas les déranger et revint confirmer qu’ils étaient toujours là.
La préposée au vestiaire m’accueillit avec un étrange regard et un sourire qui avait du mal à percer sur ses lèvres. Visiblement dérangée par quelque chose, elle s’écarta toutefois et me laissa entrer. Manifestement gênée, elle me demanda si nous nous amusions bien. N’étant pas accompagné, je lui dis qu’à part les cavalières et la musique, tout allait bien.. Etonnée, elle protesta et toujours presque souriante, elle me demanda mon age. Nous avions le même à quelques mois près.
Dans la salle, l’ambiance allait crescendo . Mes amis monopolisaient la piste et étaient à l’origine des titres diffusés. Les bouteilles s’entassaient sur la table. Il était alors deux heures du matin et la nuit ne faisait que commencer. J’ai perdu le contrôle vers trois heures. A quatre heures, la fatigue s’est fait sentir et nous décidâmes de rentrer, non sans avoir réglé une note plutôt salée au bar.
Devant les vestiaires, nous aperçûmes encore l’employée qui avait revêtu ses habits civils.. Un tailleur chic et un chemisier blanc à décolleté plongeant.
Je n’ai pas remarqué tout de suite qu’elle m’adressait exclusivement la parole et semblait ignorer mes amis. Rhabillés, au lieu de nous souhaiter un bon retour, elle me demanda discrètement à petite voix un service.
Finissant son service bientôt et également seule, elle me demanda de la raccompagner chez elle à proximité.. Sans réfléchir, je dis au revoir à mes amis qui esquissèrent un sourire entendu. Surtout un de mes amis d’enfance.. il savait.. J’attendis au bar la fin de son service.
Après une bonne demi heure, elle vint me rejoindre. Nous bûmes un dernier verre en faisant connaissance.
Elle était physiquement grande et forte mais son visage , sa voix, ses manières, sa sympathie.. et surtout mon état d’ébriété .. la rendait attirante.
Dans la conversation, elle me laissa entendre qu’elle était assez attirée par les hommes de mon genre et se permettait quelque fois de joindre l’utile à l’agréable en se faisant raccompagner. Je sentais qu’elle portait sur moi un regard inquisiteur et, profitant de notre position assise au bar, elle fit glisser une ou deux fois sa main sur ma cuisse, réveillant mes ardeurs. Bien qu’excité et pour le moins visible à travers mon pantalon, je feignis de ne rien remarquer.
C’est elle qui souleva le sujet.
« Tout à l’heure, lorsque tu es sorti dehors, tu avais quelque chose de caché dans ton pantalon ? J’ai furtivement vu quelque chose le long de ta jambe. »
Surpris d’abord, j’ai franchement répondu..
« Je sais ce que tu as vu. C’est un secret ».
Elle rit de toutes ses dents et son visage s’empourpra, du moins c’est ce que j’ai remarqué dans la pénombre de l’endroit.
Nous devisions depuis une bonne demi heure lorsqu’elle mit franchement sa main sur ma cuisse et s’aperçu que j’avais toujours quelque chose de caché dans mon pantalon que je dissimulait maintenant avec la plus grande peine.
Son expression changea brusquement, ne sachant quel comportement adopter. Elle continua à me regarder sans rien dire , laissant sa main immobile sur ma cuisse et cherchant à deviner ce qu’elle ressentait. Je me tus aussi et la regarda fixement, le visage impassible malgré l’excitation qui commençait sérieusement à limiter mes mouvements.
J’ai vu une lueur au fond de ses yeux. Elle repris son souffle et me dit avec sa voix aux sonorités agréables :
« Qu’est ce que tu cache dans ton pantalon depuis que tu es arrivé ? »
Toujours naturel.. (euh naturellement saoul..) je me suis approché de son oreille et lui ai susurré :
« Je te l’ai dis, je cache un grand secret »
Elle rit encore et chercha mieux avec sa main qui parcouru la cuisse jusqu’à mon entre jambe. J’ai vu progressivement son visage s’illuminer et son regard s’enflammer :
« Ne me dis pas que.. » sursauta t’elle soudain.
« Oui » dis je simplement.
Elle continua à me caresser , lentement et plus fermement. Elle ne détachait plus son regard de mon visage, cherchant encore à voir si j’étais sérieux.
« Tu me charries ! C’est impossible ! montre moi ce que tu as là ! »
Je lui pris la main et nous parcourûmes ensembles mon anatomie. Je lui décris tout ce qu’elle ressentais à travers mon pantalon. Elle sentis mes testicules à la base de mon pénis et nous descendîmes de tout son long jusqu’au gland qui était maintenant aussi dur que l’ensemble et se trouvait au niveau de mon genou. Sceptique, elle insista pour glisser sa main discrètement à l’intérieur. Elle n’en pouvait plus et semblait très sérieuse. Je l‘arrêtais, gêné par la présence de nombreuses personnes autour du bar. Mais personne ne prêtait attention à nous.
Ne pouvant pas faire mieux assis côte à côte, elle se mit debout contre moi et glissa son bras sous le mien, parcouru ma ceinture, glissa sur mon ventre et pénétra dans mon pantalon par l’aine. Ses doigts me caressèrent d’abord le pubis puis descendirent doucement vers mon sexe. Arrivé à sa base, elle les promena sur le côté et alla directement vers mes testicules. Ce n’est qu’arrivé là qu’elle exprima sa surprise, comme si elle n’y avait pas cru jusqu’à l’instant :
« Mon dieu, c’est vrai !.. c’est incroyable.. je n’arrive pas à faire le tour avec mes doigts.. on dirais un bras.. elle est comme ça tout du long ? quelle taille
a-t-elle ? comment arrive tu à vivre avec ça entre les jambes ? c’est dingue ! »
Ces mots avaient été prononcés d’une traite.. ne me laissant pas le temps de répondre.
Je me suis contenté de sourire et d’acquiescer. Elle rencontra ma première attache en cuir mais n’y prêta pas attention.(euh, voir épisodes précédents… faut suivre ! lol) Sa main descendait alors le long de ma verge et son bras, arrivé au coude, me serrait la ceinture. Elle était penchée, le bras dans mon pantalon et son regard fixé sur le bar affectait la surprise, la découverte, le mystère enfin percé.. Sa bouche était entrouverte, ses yeux ronds... Elle continua à descendre et arriva à la base de mon gland. Là, ma deuxième sécurité était tendue et maintenait le tout le long de ma jambe. Elle s’étonna alors.. « C’est quoi ? tu t’attache ? t’es obligé ? »
Mon regard croisa le sien :
« D’après toi, comment veux tu que je sois discret sans ça ? Imagine moi excité sans ces liens ! Une énorme boule devant moi, obligé de me pencher vers l’avant, sortir les fesses.. de trouver à m’asseoir en attendant que ça passe…en posant tout ce que je pouvais trouver autour de moi pour cacher mon érection…j’ai depuis longtemps pris mes dispositions. »
Elle essayé d’entourer mon gland de ses doigts et serra pour pouvoir les rejoindre. Son visage se tourna vers moi et subitement elle m‘embrassa farouchement tout en me caressant plus fermement. Un long et fougueux baisé..
« Je n’arrive toujours pas à faire le tour! tu est vraiment énorme ! très très long et trop gros ! quelle taille fais tu ? 40/50 cm ? et quel diamètre ? »
Je lui ai donné les réponses dans un souffle. Elle sembla satisfaite. (35/11,5)
« Tu as dû en faire monter au ciel avec ça ! Elles ont toutes pu t’accepter ? »
« Non, peu comparé au nombre d’occasions qui se sont présentées » lui dis je, toujours haletant et terriblement excité par les mouvements de son bras le long de mon membre. Nous ne faisions plus attention à ce qui se passait dans la salle. L’ambiance retombait et une dizaine de personnes seulement occupait la piste.
« J’ai eu beaucoup de refus et d’échecs à cause de ça.. mais le peu qui a accepté me suffit et de toute façon, vu le nombre qui me remarque, comme toi, je suis assez satisfait. »
Elle sourit et retira progressivement son bras de mon pantalon, non sans passer ses ongles le long de mon pénis et le caresser encore.
« Tu me raccompagne ? » me dit elle.
Son studio était à 10 mn de là, dans une banlieue rouge.
Dans la voiture, elle a voulu encore me toucher et passa son temps à caresser ma cuisse et mon sexe. Elle ne parlait que très peu, se contentant de m’indiquer le chemin.
Son appartement était assez bien meublé et sentait le frais. Son lit, sous une alcôve, était grand et douillet. Nous ne fîmes rien d’autre, à peine entrés et sans un mot, que nous déshabiller mutuellement. Nous nous me découvrîmes alors.
Elle était bien proportionnée et sa grande taille la faisait paraître moins grosse. Ses seins étaient ronds et une large couronne sombre entourait ses tétons.
Son ventre proéminent retombait un peu sur son pubis rasé. Ses lèvres charnues laissaient apparaître une vulve rose humide.
Elle commença par m’ôter le haut. Son regard était de braise et je sentis dans ses gestes une certaine nervosité et de la précipitation.
Ma ceinture débouclée, elle fit glisser mon pantalon sur mes cuisses avec frénésie. Elle recula alors et m’examina longuement.
« Détache là ! je n’arrive toujours pas à la mesurer vraiment. »
Je m’exécutais.
La deuxième attache retirée, ma verge se redressa brusquement à la verticale et palpita devant elle, parcourue des soubresauts habituels dus aux battements de mon cœur.
Elle se précipita alors dessus et essaya de l’enfourner dans sa bouche avec des bruits de sucions. Ses mains parcouraient mon pénis sur sa longueur et s’arrêtait sur ses détails, le bord de mon gland tel une crête rougi par excitation, les marques que laissent mes liens de cuir sur ma peau, les longues et grosses veines qui le parcourent.. Ses doigts venaient aussi me caresser les bourses.
S’arrêtant brusquement, elle releva son visage et me regarda..
« J’ai l’impression de vivre un rêve ! Tu es un vrai fantasme ! C’est tellement incroyable que j’ai l’impression de ne pas arrêter de te découvrir, comme si on faisait l’amour à plusieurs.. c’est tendre et dur à la fois, j’en peux plus.. mais j’ai peur de ne pas pouvoir.. mais j’ai trop envie d’essayer ! Caresse moi d’abord, prépare moi ! »
Elle s’allongea sur le dos dans son lit et m’invita entre ses jambes.
Mes mains s’affairaient sur ses seins et son ventre tandis que ma langue fouillait son sexe. Son clitoris bien dur et rouge vif était enfoui dans l’épaisseur de ses lèvres. Ma langue le dégagea et je pu le saisir avec mes lèvres. Je l’ai fait passer entre mes dents tout en l’aspirant. Elle fut saisie d’un violent tremblement et serra légèrement ses cuisses. Ses mains se promenaient sur son corps dans des mouvements désordonnés. Elle émis un long soupir et se figea. Puis, hoquetant, elle releva le visage et me demanda de la caresser encore. Elle mis ses doigts sur son sexe et m’invita à lécher son anus. Elle fit pénétrer immédiatement deux doigts dans sa fente tandis que les autres écartaient ses lèvres intimes. Tous ses doigts se retrouvèrent rapidement humides et ses gestes se firent plus incisifs.
Elle glissait alternativement deux, trois ou quatre doigts en elle. Son visage, toujours relevé, m’observait et détaillait encore mon anatomie.
Allongé, mon pénis sur le côté, elle pouvait le voir écrasé sur les draps, toujours monstrueux et gonflé, dépassant ma hanche d’une quinzaine de cm. Elle tendis son autre bras et me demanda d’approcher. Elle se saisit de moi, me tira vers elle et essaya encore, sans succès, de m’enfourner dans sa bouche. Ses lèvres étaient tendues et elle n’arrivait pas à l’agrandir suffisamment. Elle poussait fortement pour faire pénétrer ne fus ce qu’un début.. Elle s’acharnait et faisait beaucoup de bruit, gémissant sous l’action de ses caresses de plus en plus profondes. Elle tentait maintenant d’introduire son pouce, dernier doigt de sa main encore dehors. Le visage crispé par l’effort, elle poussa fortement sur son sexe et commença à introduire sa paume.. Elle avait presque abandonné ma verge, se contentant de promener sa main entre mes jambes, alors que mon gland venait frotter contre son épaule. Longtemps, elle força sur sa main et pu arriver à l’enfoncer jusqu’au poignet. Son bras était alors trop court pour aller plus loin.. Elle jouait dessus pour tenter de s’élargir plus et émettait des grognements sourds. Ses yeux étaient fermés et son attention toute entière portée sur sa tâche.
L’encourageant, j’ai promené mon pénis sur son corps, partout. Sa bouche venait l’embrasser, sa langue le lécher à chaque fois qu’il était à sa portée.
Elle me demanda alors de l’aider, retirant lentement sa main dans un rictus de douleur. Elle alla chercher un tube de lubrifiant dans sa commode et s’en enduit les mains. Prenant la mienne, elle la lubrifia également et la dirigea vers son sexe. Son regard coquin et entendu croisa le mien et nous nous sourîmes mutuellement. Elle fit glisser un à un mes doigts dans son sexe et imprima à ma main un geste de va et vient de plus en plus nerveux. Mon pouce entré, je me suis retrouvé rapidement coincé en elle jusqu’au poignet. Elle avait ouvert la bouche et de ses lèvres sortait un long feulement. Ses mains huilées forçaient sur mon bras pour une plus profonde pénétration. Ses doigts courraient sur son sexe et allaient s’immiscer entre mon poignet et ses lèvres distendues. Elle arriva à passer le bout de ses doigts et commença à s’écarter plus, relâchant la pression de son sexe sur ma main. Elle m’invita à entrer plus. Depuis longtemps, je sentais mes doigts buter au fond d’elle. Parvenant maintenant à refermer ma main en elle, je pus continuer à pousser. Elle hurlait presque mais insistait autant pour que je pousse. Mon bras s’engagea petit à petit. J’ai commencé à plier mon poignet vers son ventre et pu encore introduire une partie de mon avant bras.
Nous sommes restés longtemps ainsi. Elle, haletant à chacun de mes moindres mouvements et moi terriblement excité par la situation et toujours raide depuis nos attouchements au bar de la boite de nuit.
Elle finit pas me faire sortir d’elle et enfourna mes doigts encore chauds dans sa bouche. Ses yeux roulaient dans leurs orbites et elle m’invita à m’allonger sur elle.
Accroupi entre ses jambes, j’ai enduit mon sexe de lubrifiant. Elle me regarda faire avec envie, se dandinant en m’attendant. J’ai écarté sa vulve brillante de sécrétions et placé mon gland au dessus de son périnée. Son vagin était béant et accueillant, ses grosses lèvres charnues distendues.
Les yeux clos, elle m’attira vers elle et remua son bassin pour faciliter la première intromission. Mon gland pénétra brusquement en elle et elle se retrouva vite empalée d’un vingtaine de cm. Ses yeux étaient grand ouverts et ses lèvres pincées. Ses ongles me griffaient le dos. Elle temporisa un peu.
Imprimant un mouvement à mon bassin, elle me retira un peu pour mieux me reprendre. Un cri sourd s’échappa de sa bouche maintenant grande ouverte.
Ses jambes se sont repliées sur moi et, poussant sur mes fesses, elle s’enfila progressivement la presque totalité de mon sexe. Mes anches venaient buter sur l’intérieur de ses cuisses et me procurait une douce et rare sensation.
Je ne ressent cela que lorsque j’arrive à pénétrer mes partenaires. C’est doux et chaud, terriblement excitant.
Elle préféra éviter de trop bouger avec mon membre à l’intérieur mais me demanda de rester. Ses jambes passèrent sous les miennes et elles pu les joindre.
Elle resserra son emprise sur moi et je me suis senti « planté » en elle.
« Tu me remplie entièrement… c’est bizarre cette sensation.. je te sens tout entier en moi.. dans mon ventre .. mon dos.. mon bassin.. c’est dur et doux à la fois.. , j’ai l’impression que tu m’as déformée.. complètement défoncée clouée sur mon lit.. c’est trop bon .. extraordinaire.. immense.. puissant.. surtout ne bouge pas.. laisse moi faire..»
Son bassin remuait doucement et je sentais les muscles son vagin agir sur mon sexe, le comprimant et le tordant fermement. Son excitation remonta progressivement et ses gestes se firent de plus en plus rapides.
Soudain, elle me repoussa et se mit sur le ventre, à quatre pattes. Tendant ses fesses vers moi, elle me demanda de la prendre encore. Ses seins lourds pendaient à toucher les draps. Sa tête, tournée vers moi, m’implorait.
« Défonce moi encore ! vite, avant que je me resserre ! Vas y, je te veux tout entier maintenant. Enfonce toi encore ! encore.. »
Je glissait petit à petit dans son sexe, me retirant de quelque cm pour revenir plus profondément à chaque fois. Son anus, devant moi, semblait aussi subir la déformation que mon gros sexe imprimait à ses chairs. Il formait comme un triangle élargi sur sa base au dessus du périnée qui n’était plus qu’une mince pellicule de peau étirée à l’extrême. Ses petites lèvres maintenant distendues sur mes 36 cm de diamètre, étaient rouge vif. Lorsque je ressortais, j’ai plusieurs fois eu l’impression qu’elles allaient se retourner.. comme une chaussette..
(euh.. lol… désolé..) Mais j’ai trouvé ça excitant..
J’ai alors joué avec elle. Me retirant brusquement, je lui ai demandé si elle en voulait encore.. elle m’a regardé et m’a supplié de continuer. Je suis alors entré en forçant un peu plus mon étreinte. Je sentais bien son utérus buter sur le haut de mon gland mais il se présentait comme une cavité plus bas et sur le côté qui me permettait de m’enfoncer d’une dizaine de cm supplémentaires.
(bon, suis pas médecin, faut leur demander… moi, je parle de mes sensations.. je dis cavité… on va dire que c’était plus mou..)
Ressortant encore entièrement, j’ai posé mon vit sur son anus et attendu sa réaction. Sa main vint se poser sur son sexe, comme pour constater les dégâts et ses doigts constatèrent que les parois de son vagin laissaient apparaître un trou béant. Son index fit doucement le tour des ses lèvres et elle me dit..
« Je ne me reconnais plus.. tu m’a complètement défoncée.. c’est devenu
un vrai garage.. mes lèvres ne se touchent plus, je sens comme un courant d’air maintenant.. c’est drôle et agréable… jamais ressenti cette impression. Mais j’espère que ça se remettra.. met moi encore de la crème.. »
J’ai profité de l’occasion pour venir immiscer un doigt dans son anus.
Son accueil fut encourageant. Elle se pressa sur moi et cambra ses reins.
Prends moi encore, comme tout à l’heure.. je ne pourrait pas t’accepter par derrière, ça me fait peur et je n’ai pas l’habitude. Mais tu peux y aller avec les doigts..
Cette dernière remarque m’a fait sursauté et, toujours accroupis, je me suis relevé et l’ai placée à quatre pattes sur le bord du lit.
Après avoir promené mon sexe sous son ventre je l’ai de nouveau pénétré… plus fougueusement. La position debout nous permet, (n’est ce pas les hommes ?) de gagner en érection.. Elle gémit et me dit qu’elle ne s ‘habituerait jamais à un engin comme ça, mais qu’elle aimait que je la prenne sauvagement en m’enfonçant au maximum en elle et en écartant ses chairs.
J’ai joué à m’introduire brusquement. Mes coups de boutoir s’écrasaient au fond de son sexe. Elle tendait ses fesses pour mieux me prendre en hurlant maintenant. « plus fort, oh c’est immense ! Ca n’en fini plus ! Force moi ! »
Ses cris m’excitèrent et j’ai redoublé d’agitation. J’ai fait aller mon pénis de gauche à droite dans son corps, son ventre. J’ai senti que je pouvais pousser encore, forcer sur mes reins et me tendre vers elle. Je me suis contracté et j’ai appuyé de plus en plus sur le fond de son sexe. Dans un hoquet, elle se tendit également et releva une jambe. C’est son sexe qui m’a avalé. Tout entier.
Elle se retourna vers moi et me dit :
« Je t’ai eu… je n’aurai jamais imaginé pouvoir faire ça… c’est une formidable aventure sexuelle que je vis avec toi. Tu es incroyable.. c’est gigantesque dans mon ventre. il me brûle.. et c’est tellement raide et serré que je sens ses palpitation dans mon vagin.. ton sexe, c’est un double fist pour moi. Et dire que j’imaginais le plus grand des hommes deux fois plus court que toi ce matin encore ! Et cette grosseur.. , c’est surtout ça qui est dingue.. touche mon ventre, je crois la sentir là.. , au dessus de mon nombril.. c’est incroyable.. j’ai l’impression d’être enceinte.. c’est vraiment dans mon ventre tout ça. ».
Je suis resté fiché en elle tout mon long quelques minutes et j’ai décidé de conclure. Je me suis retiré à moitié et j’ai eu peur de ne pouvoir re rentrer. J’ai senti son vagin venir avec moi tellement c’était serré. J’ai préféré ne plus ressortir avec cette excitation qui faisait apparaître mon pénis encore plus énorme qu’à l’accoutumée, de peur de lui faire mal. J’ai joué au fond d’elle, poussant, frottant de gauche à droite et la rendant hystérique une nouvelle fois.
L’extase arrivant, je me suis retiré sur une quinzaine de cm pour pouvoir libérer ma semence.. je restais immobile, à moitié fiché en elle, pendant que mon pénis, secoué de contractions, sécrétait en longs et puissants jets.
« Oh, c’est trop comme sensation, tu est en train de me remplir! un vrai robinet ! je sens ton urètre se gonfler et ton sperme pousser dedans. Ca vient encore ! c’est dingue ! tu es trop en tout toi ? oh continue ! oui encore! »
Presque au bout, j’ai encore poussé sur mes reins et par pression mon sperme a enfin pu passer la paroi tendu de son sexe et venir suinter autour de ses lèvres jusqu’à s’écouler le long de ses cuisses.
J’ai ensuite présenté mon pénis devant son visage et lui ai posé les quelques gouttes de sperme qui restaient encore dans mon urètre sur sa joue, au bord de ses lèvres. Elle ronronnait de plaisir et sentait maintenant son sexe se vider de mon jus.
« J’ai comme un poids dans le ventre.. je me vide on dirait.. c’est quand même important la quantité que tu as ! jamais vu ça encore.. je crois rêver.. mais comment ferais je maintenant pour fantasmer sur un autre homme ? Trop gros, beaucoup trop.. très long.. très très long.. et dur comme du bois.. en plus, tu inonde tes partenaires comme si on était des jerricanes… (lol) une vraie station service ! C’est normal ce qu’il m’arrive ? Comment j’ai pu faire ça ?
Oh, maintenant j’ai froid entre les jambes ! Et je ne me referme toujours pas.. regarde ! »
Elle passait ses mains sur son vagin et inspectait l’énorme trou sombre qui écartait encore ses lèvres.. On y voyait encore assez de sperme à l’intérieur pour remarquer sa couleur blanche.
« Elle fait combien de cm de circonférence ta verge ? »
Je n’ai voulu la laisser calculer et lui annonça le chiffre. Elle s’affola…
« Tu m’avait dit 11,5 mais je n’ai pas fait la multiplication ! 36 cm de tour ? mais comment j’ai pu entrer ça ? je ne l’aurai jamais fait si ce n’était avec un homme. J’espère que je vais me remettre… ça me brûle maintenant… j’ai du mal à me lever.. »
Je l’ai rassurée en lui parlant de mes anciennes conquêtes et de celles qui m’avaient utilisé plusieurs fois. Toutes se sont dites trop satisfaites par mon anatomie et s’en sont remises parfaitement.. enfin je le crois.. Je lui ai toutefois caché qu’elle pouvait difficilement ensuite avoir d’autres expériences plus jouissives physiquement et aussi extrêmes.
Elle pris mon pénis dans ses bras et l’embrassa encore. Ramolli par le plaisir passé mais toujours de belle taille, elle s‘amusa avec à le faire passer d’une main à l’autre.. (à se faire des passes quoi !)
Le jour pointait déjà et avec lui le moment où il fallait que je parte ..
Elle ne m’a lâché le sexe qu’au dernier moment, lorsque j’ai commencé à enfiler mon pantalon. Elle me regarda en souriant plaquer mon engin contre ma cuisse quand j’ai dû remonter mon froc jusqu’à la taille. Elle me mit de profil et remarqua que cela ne se voyait pratiquement pas. De face, elle reconnu que je n’étais pas trop symétrique.. avec ma grosse cuisse gauche.
Il fut convenu que je pouvais revenir quand il me plairait dans cette boite.
Elle me confia qu’elle n’oublierait jamais de sa vie une nuit comme celle qu’elle
avait vécu.. un rêve éveillé, allant de surprises en étonnement, d’extrême envie de sexe à de multiples orgasmes, de tentations effrénée en plaisir comblé.
Elle m’attendrait tous les soirs, guettant mon arrivée.. espérant me revoir et pouvoir de nouveau abuser de mon corps. Elle me dit aussi qu’elle penserait à moi à chaque fois qu’elle sera excitée, quand elle se masturbera.. seule dans son petit appartement. Mais qu’elle pensait pour l’instant ne pas trop en faire parce qu’elle attendrait que son corps se soit remis de mes assauts. Elle m’embrassa sur la pas de porte et passant une dernière fois encore son bras sur mon pénis et le saisit fermement au niveau de mon gland..
« Je me souviendrai toujours de ton gros serpent… et en plus, tu sait super bien t’en servir! Reviens vite ! Ne m’oublies pas.. j’en ai besoin maintenant. .. je suis accro.. »
Ce n’est qu’arrivant devant ma voiture que je me suis rendu compte que j’avais oublié mes lanières de cuir. Je n’ai pas osé remonter et je les lui ai laissées.. en souvenir de notre rencontre. Une preuve en quelque sorte attestant de la réalité de son aventure avec moi… et en plus, calibré au diamètre réel de mon anatomie..
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