Sortie des Ecoles 3
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sortie des Ecoles 3
Je voyais bien que je leur faisais de l’effet.
Un jour au cours d’une déjeuner, j’étais installée en bout de table, une main s’est posée sur mon genoux.
Cela à durer 5 minutes puis elle s’est retirée.
Je les regardais tous bien, et aucun ne bougeait
La fois suivante, j’avais des hauts talons, pour accentuer mon coté femme fatale, une main s’est encore posée sur mon genoux en le caressant. Je décidais de planter un talon sur la chaussure de l’un d’eux pour voir s’il allait réagir.
J’ai planté le talon sur l’un des pieds de Nicolas, il n’a pas réagi, tout en contenant la douleur. Il a retiré sa main immédiatement.
Il prenait des initiatives, ça me plaisait.
La fois suivantes, j’ai décidé de les exciter un peu plus, en raccourcissant ma jupe et en choisissant une jupe droite, pour avoir le moins d’amplitude pour écarter les cuisses.
Je suis arrivée lorsque la brasserie était complète, Nicolas m’a fait un petit signe pour m’inviter à leur table tout en se levant pour être certain que je vienne.
Ils m’ont fait de la place pour que je m’installe en bout de table à l’intérieur de l’arrondi de la banquette, celle où il y a le moins de place entre la table et la banquette. J’étais assise entre Nicolas et Hugo qui était pas mal non plus
Nous avons commencé à échanger, j’ai commandé à déjeuner avec eux, qui m’attendaient plus ou moins .
Pendant que je mangeais, j’ai senti de nouveau une main sur mon genoux, je n’ai eu aucune réaction, la main à commencer à me caresser la genoux avec des mouvements circulaires. Mes jambes étaient serrées.
Je faisais comme si de rien n’était.
Nous continuons à échanger normalement. Comme mes jambes étaient serrées, il me caressait les deux genoux.
Pour accentuer mon coté salope, j’ai légèrement ouvert les jambes. J’ai pu apercevoir un grand sourire de la part de Nicolas.
Il a continué et s’est même aventurer à me remonter ma cuisse jusqu’à la hauteur de mes bas. Il a procédé de la même façon à plusieurs reprises à travers ma jupe.
Je mouillais comme une chienne. J’ai retiré ma chaussure pour lui remonter les mollets avec mon pied. Il devint tout rouge. Il ne s’y attendais pas.
J’ai pu apercevoir que Nicolas et Hugo se sont échangés un regard furtif.
Quelques minutes plus tard je sentis la main d’Hugo sur mon autre genoux.
Comme j’ai les jambes légèrement écartées, il avait une petite l’amplitude pour me caresser, après le genoux il a remonté mes jambes jusqu’en haut des bas à travers ma jupe sur l’extérieur de mes cuisses. Ils ont dû sentir que je portais des bas.
Je dégoulinais.
Je finassais mon plat assez rapidement tout en me faisant caresser, commanda un café pour m’en aller au plus vite.
Ils étaient un peu surpris par mon empressement.
Une fois mon café terminé « Je vais vous abandonner, car j’ai du travail qui m’attends »
Nicolas « Vous n’allez pas déjà partir »
Moi « bien évidemment, je travaille, je ne suis pas étudiante »
Hugo « j’aimerai avoir une étudiante comme vous dans ma promo »
Moi « vous êtes gentils, mais il faut que j’y aille »
Ils se levèrent, je me suis décalée sur le cote de la table pour mettre mon imperméable »
Nicolas « si vous partez comme ça nous pouvons vous inviter à déjeuner »
Moi « non pas du tout, je vais régler ma note au comptoir » « bon après midi »
J’avais à peine parcouru une vingtaine de mètres que Nicolas est arrivé à ma hauteur « Helen, pourquoi êtes vous partie aussi rapidement »
Moi « je travaille, je ne peux me permettre des pauses déjeuner à rallonge »
Nicolas « pourtant nous étions bien tous ensembles »
Moi « je ne vous dis pas le contraire, mais cela ne me donne aucune excuse pour arriver en retard »
Nicolas « je peux vous demander quelque chose »
Moi « oui quoi »
Nicolas « votre numéro pour que je puisse vous envoyer des messages »
Moi « je n’en vois pas l’utilité »
Nicolas « je ne vous embêterai pas souvent, juste….. allez Helen soyez sympa avec un homme qui vous trouve ravissante »
Moi « un jeune homme, même très jeune »
Nicolas « juste pour moi, personne d’autre »
Je finis pas lui donner mon numéro.
Je ne suis pas allée à la brasserie deux semaines de suite.
Nicolas m’envoyait des SMS.
Je le faisais languir.
Je ne répondais qu’à environ un message sur trois.
Je lui envoyais des messages en disant d’être sage.
Sans rien dire, je retournais déjeuner dans la fameuse brasserie.
A suivre
Un jour au cours d’une déjeuner, j’étais installée en bout de table, une main s’est posée sur mon genoux.
Cela à durer 5 minutes puis elle s’est retirée.
Je les regardais tous bien, et aucun ne bougeait
La fois suivante, j’avais des hauts talons, pour accentuer mon coté femme fatale, une main s’est encore posée sur mon genoux en le caressant. Je décidais de planter un talon sur la chaussure de l’un d’eux pour voir s’il allait réagir.
J’ai planté le talon sur l’un des pieds de Nicolas, il n’a pas réagi, tout en contenant la douleur. Il a retiré sa main immédiatement.
Il prenait des initiatives, ça me plaisait.
La fois suivantes, j’ai décidé de les exciter un peu plus, en raccourcissant ma jupe et en choisissant une jupe droite, pour avoir le moins d’amplitude pour écarter les cuisses.
Je suis arrivée lorsque la brasserie était complète, Nicolas m’a fait un petit signe pour m’inviter à leur table tout en se levant pour être certain que je vienne.
Ils m’ont fait de la place pour que je m’installe en bout de table à l’intérieur de l’arrondi de la banquette, celle où il y a le moins de place entre la table et la banquette. J’étais assise entre Nicolas et Hugo qui était pas mal non plus
Nous avons commencé à échanger, j’ai commandé à déjeuner avec eux, qui m’attendaient plus ou moins .
Pendant que je mangeais, j’ai senti de nouveau une main sur mon genoux, je n’ai eu aucune réaction, la main à commencer à me caresser la genoux avec des mouvements circulaires. Mes jambes étaient serrées.
Je faisais comme si de rien n’était.
Nous continuons à échanger normalement. Comme mes jambes étaient serrées, il me caressait les deux genoux.
Pour accentuer mon coté salope, j’ai légèrement ouvert les jambes. J’ai pu apercevoir un grand sourire de la part de Nicolas.
Il a continué et s’est même aventurer à me remonter ma cuisse jusqu’à la hauteur de mes bas. Il a procédé de la même façon à plusieurs reprises à travers ma jupe.
Je mouillais comme une chienne. J’ai retiré ma chaussure pour lui remonter les mollets avec mon pied. Il devint tout rouge. Il ne s’y attendais pas.
J’ai pu apercevoir que Nicolas et Hugo se sont échangés un regard furtif.
Quelques minutes plus tard je sentis la main d’Hugo sur mon autre genoux.
Comme j’ai les jambes légèrement écartées, il avait une petite l’amplitude pour me caresser, après le genoux il a remonté mes jambes jusqu’en haut des bas à travers ma jupe sur l’extérieur de mes cuisses. Ils ont dû sentir que je portais des bas.
Je dégoulinais.
Je finassais mon plat assez rapidement tout en me faisant caresser, commanda un café pour m’en aller au plus vite.
Ils étaient un peu surpris par mon empressement.
Une fois mon café terminé « Je vais vous abandonner, car j’ai du travail qui m’attends »
Nicolas « Vous n’allez pas déjà partir »
Moi « bien évidemment, je travaille, je ne suis pas étudiante »
Hugo « j’aimerai avoir une étudiante comme vous dans ma promo »
Moi « vous êtes gentils, mais il faut que j’y aille »
Ils se levèrent, je me suis décalée sur le cote de la table pour mettre mon imperméable »
Nicolas « si vous partez comme ça nous pouvons vous inviter à déjeuner »
Moi « non pas du tout, je vais régler ma note au comptoir » « bon après midi »
J’avais à peine parcouru une vingtaine de mètres que Nicolas est arrivé à ma hauteur « Helen, pourquoi êtes vous partie aussi rapidement »
Moi « je travaille, je ne peux me permettre des pauses déjeuner à rallonge »
Nicolas « pourtant nous étions bien tous ensembles »
Moi « je ne vous dis pas le contraire, mais cela ne me donne aucune excuse pour arriver en retard »
Nicolas « je peux vous demander quelque chose »
Moi « oui quoi »
Nicolas « votre numéro pour que je puisse vous envoyer des messages »
Moi « je n’en vois pas l’utilité »
Nicolas « je ne vous embêterai pas souvent, juste….. allez Helen soyez sympa avec un homme qui vous trouve ravissante »
Moi « un jeune homme, même très jeune »
Nicolas « juste pour moi, personne d’autre »
Je finis pas lui donner mon numéro.
Je ne suis pas allée à la brasserie deux semaines de suite.
Nicolas m’envoyait des SMS.
Je le faisais languir.
Je ne répondais qu’à environ un message sur trois.
Je lui envoyais des messages en disant d’être sage.
Sans rien dire, je retournais déjeuner dans la fameuse brasserie.
A suivre
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La chasseresse continue son plan et commence à attirer deux jeunes dans ses filets. On a hâte de savoir la suite. Daniel
Les chiennes mouillent ?.. Première nouvelle...
Très bien amené, hâte d'en savoir plus !
