Sortie en bateau - histoire érotique

Sortie en mer

Dix huit ans, je traine sur les panes du port de plaisance de la ville voisine, il fait beau et déjà chaud à cette heure en ce mois de septembre.

Un plaisancier porte un moteur hors bord et peine pour le hisser sur un petit voilier. Je l'aide instinctivement en rapprochant le bateau du quai puis à faire passer le moteur.
Je l'aide également à l'installation sur sa chaise ce qui prend un bon moment.

Nos corps se touchent à plusieurs reprises , il s'appuie sur moi, je sens ses effluves chargées d'un mélange de sueur et d'after-shave bon marché. J'aime ces sensations viriles. De son côté, il ne se gêne pas.

Une petite cinquantaine poivre et sel, bien bronzé, l'œil pétillant, il m'est apparu très vite sympathique, malicieux.

Il me remercie et me propose une bière bien méritée que j'accepte très volontiers.
Il s'enquiert de ma situation puis me propose une sortie en mer car il veut s'assurer que tout fonctionne.

Justement, une petite brise se lève et le voilier répond joyeusement. Nous tirons quelques bords puis nous abordons une crique déserte.
Nous partageons son pique-nique composé de tomates, pan bagnat, saucisson, pain , fruits et une bouteille de vin ouverte pour l'occasion.

J'apprends qu'il est divorcé, sans enfants et vit de petits boulots. Nous discutons de nos vies à bâtons rompus.

A la fin du repas, je le vois se lever, enlever son short et son tee shirt sous lequel, Il est nu, bronzé intégralement. Ses fesses sont fermes. Il monte sur le tableau arrière, enjambe le balcon et se jette à l'eau.

Il s'ébroue et m'invite à le rejoindre.

Il fait chaud, et l'eau est très tentante. Je me déshabille à mon tour et plonge. L'eau est délicieuse. Il me rejoins et nous nageons de concert autour du bateau. Nous plongeons sous la coque et je peux admirer son corps puissant. Nous nageons un bon moment.

Pour remonter à bord, je m'approche de l'échelle de bain et la saisis. Il est derrière moi et se colle contre mon dos. Au moment où mon pied s'appuie sur le dernier barreau de l'échelle, mon dos se cambre et mes fesses reculent. Ses mains me saisissent pour m'accompagner dans mon élan et son bras glisse dans mon entrejambe.

Quand je suis debout, il met à son tour un pied sur le bas de l'échelle et se hisse dans mon dos. Il est plaqué contre moi, je ne bouge plus et accentue ma pression. Je sens sa verge contre ma raie culière. Nous restons ainsi quelques secondes. Je sens son souffle contre mon cou, ses lèvres m'effleurent, sa langue me lèche l'oreille , sa main caresse mon ventre et descend quand je reprends ma remontée.

Il me regarde enjamber le dernier obstacle.

Je vais aussitôt dans la cabine prendre les serviettes, je m'enroule dans la première et lui tend la seconde. Il est maintenant droit comme une statue grecque, la verge en érection .
Il s'avance vers moi, la serviette autour de la taille, je recule et redescends dans la cabine, il vient se coller devant l'entrée, le corps appuyé sur le roof, jambes écartées.

J'ai le visage à la hauteur de son bassin , et je vois sa verge sous le drap de bain qui bouge ostensiblement. J'ai chaud, je n'ai que dix huit ans et mes sens sont en ébullition.
Sans vraiment le désirer, ma main écarte un pan, se saisit de sa verge et mes doigts en font le tour.

Je fais quelques va et vient puis ma bouche les remplace. Je goûte le fruit salé, la serviette tombe et mes mains saisissent ses fesses que je comprime.

Je sens ses mains sur mes tempes qui accompagnent ma succion. Je joue de la langue, des lèvres, son gland s'enfonce dans ma gorge, j'essaie de ne pas vomir, ses mains me tiennent très fort la tête et m'impriment un rythme rapide.

Je sens que sa jouissance est proche, je voudrais arrêter là quand il me plaque la tête sur son pubis.

Je sens plusieurs longues giclées de sperme épais tapisser mon palais et glisser dans mon œsophage .

j'ai un réflexe de répulsion, je bondis et recrache tout ce que je peux dans l'évier.

Je suis furieux mais il m'attrape par les épaules, me force à m'agenouiller dans la cabine et m'ordonne de le nettoyer avec ma bouche.

Je pleure mais je me soumets. Je le lèche avec application, ma langue recueillant les dernières traces.

J'ai perdu toute volonté, heureux de lui plaire et de lui faire plaisir. Il me redresse et il m'étale de la crème puis nous étendons nos serviettes à l'avant pour bronzer nus.

Plus tard, il m’enduira le corps à nouveau avec une crème apaisante.

Il se montre très doux, me masturbe doucement puis me suce longuement avant de me faire éjaculer dans sa main.

Il me dit des mots gentils et me remercie du plaisir reçu. Je ne dis rien, honteux, dépassé, meurtri ?

Mes sentiments sont partagés même si la découverte de ma sexualité a fait un bond prodigieux.

Arrivé au port, il me donne un papier avec son adresse et son téléphone.

A suivre.