sortie en boite - histoire érotique

Le souvenir de notre aventure sur le bateau avec Fred a alimenté de nombreux et ardents moments de baise torride et ma petite Mico me promettait souvent un retour sur investissement, car disait-elle cette aventure nous avait tellement apporté et soudé qu’elle méritait de se reproduire.
Nos diverses activités et notre vie familiale ont pendant plusieurs mois mis cette promesse en attente et il a fallut une soirée d’anniversaire pour qu’arrive ce moment tant attendu.
Pour mon anniversaire nous avons fait un peu voyage sur Bordeaux et après une journée de promenade et un très bon repas arrosé, nous avons décidé de découvrir un club libertin, avec l’idée non pas d’une partouze, mais de voir ; mico avait mis une jolie petite jupe noire ultra courte, à la limite de ses jolies fesses, un string en dentelle noir, et un joli petit corsage ultra transparent sous lequel deux beaux seins (85c) vivaient en pleine liberté
23 h, un peu tendus nous arrivons au Vip, où un cerbère nous accueil et nous demande si nous connaissons la tendance de la boite ;nous voilà mis directement au parfum de l’ambiance et il nous fait rentrer dans une pièce où siègent autour du bar trois ou quatre personnes et un peu plus loin, une piste de dance vide ! Un peu déçus nous nous installons à une table, près du bar, avec deux cocktails, costauds ;peu à peu quelques personnes arrivent et le patron nous explique que c’est une soirée ouverte non seulement aux couples ,mais aussi aux hommes seuls ; peu importe, nous nous installons sur la piste de danse, et devant la glace, j’en profite pour caresser les seins et les fesses de mico ; à coté deux ou trois couples et quelques hommes dont deux discrètement d’abord, puis de façon plus coquine promènent leurs mains sur mico ; devant l’accueil positif de notre part ,un métisse fort élégant en dehors d’un léger embonpoint, se plante derrière mico et après approbation de ma part, se met à découvrir la poitrine de Mico et à ploter généreusement les pointes de plus en plus saillantes ; je connais ma mico, c’est un endroit qui déclenche rapidement sa jouissance et le résultat ne tarde pas, ces yeux brillent ,sa respiration s’accélère et de petits gémissements font se retourner les voisins ;de plus en plus hardi, notre homme glisse une main sous la jupette et manifestement passe sous le string ; la serrant contre moi, je suis avec plaisir les événements sans chercher à intervenir si ce n’est par des petits bisous encourageants ; la main doit avoir progresser dans sa chatte car rapidement ma femme s’appuie contre moi et sa jouissance éclate à grand cri, je m’écarte et dans la glace ,je constate que la jupe remontée ne cache plus rien de la main qui s’active sur le clitoris et dans la chatte ; autour plusieurs mains en profitent pour la peloter et ses seins sont durement malaxer ;mon pied est énorme et ma queue forme une grosse bosse visible dans la glace ; après plusieurs minutes de râles , ma petite mico s’écarte et me prenant par la main, vient s’assoir pour récupérer, son visage est raviné de plaisir et ses yeux sont brillants ;un verre à la main nous bavardons gentiment et après un petit câlin affectueux, ma main caressant la poitrine toujours à l’air Mico me prend la main et me dit « aujourd’hui, c’est moi qui décide » surpris mais sentant que le piquant n’en sera que plus grand, je lui promis de me mettre à sa disposition ;
De retour sur la piste, mico fut de nouveau accostée, mais son choix se porta sur une femme, jupe de cuir et comme elle les seins découverts ; je savais que mico , plus jeune, avait eu des contacts homo, et je me glissais près d’elles , cependant sans participer ; baisers ardents , danse seins contre seins, mains flottantes sur tout le corps, nos deux comparses ont rapidement quitté la salle pour se refugier dans un box, et d’un signe de tête ma mico me fit rester à l’entrée ; je bandais et pendant leurs ébats, je restais à les regarder ; l’amie pris mico par les épaules la coucha sur le divan,, lui fit sauter la jupe et lui planta sa bouche sur le sexe, lui écartant, les petites lèvres , lui aspirant le clito, puis alternant la position lui enfonçant deux, puis trois doigts dans la chatte, sa main devient de plus en plus rapide et mico sous cette masturbation ne tarda pas à jouir ; autour de moi, plusieurs personnes regardaient avec envie le spectacle en se caressant et une main ne tarda pas à me branler la queue, croisant mon regard mico vit le tableau et se déchaîna, ses cris retentissaient dans la pièce et son corps ne tarda pas à se cabrer, puis retomba sur le divan, manifestement comblée ;grimpant sur le divan et mon sexe force sa bouche, se branle entres les lèvres encore chargées de ciprine, sa langue joue avec ma queue et sans avoir le temps de la prévenir, je jouis au fond de sa gorge ; je me retire et sa langue joue avec mon méat et récupère jusqu’à la dernière goutte ; un peu de repos devient nécessaire et nous retournons nous asseoir une coupe de champagne en guise de remontant ; ma main caresse tendrement la cuisse de ma Mico, et entre deux soupirs de contentement, elle vient poser un delicat baiser sur mes lèvres ; je suis ivre de bonheur de la voir aussi épanouie ; « es-tu heureux me dit-elle » , ma réponse la rassura ; « si je peux ,dit-elle en me serrant la main, je te réserve une surprise ! » Je n’ai pas pu lui en faire dire plus, et à nouveau une chaleur de bonheur m’envahit ; « je vais rester un peu ici, mais va sur la piste et amuse toi » ; je m’en n’avais pas trop envie, mais cela m’apparu comme un ordre, gentil, mais ferme
Devant la glace je m’amusais un peu avec l’entourage de deux femmes, très dénudées, mais le cœur n’y était pas , surtout quand je vis Mico en grande discussion avec le gars du début de soirée, sa main n’était inactive et passait de sa jambe à ses seins toujours découverts ; un sentiment de jalousie vint me piquer et afin de ne pas gâcher la soirée, je décidais d’aller faire un tour dans les salons, mais l’esprit était resté dans l’autre salle et je revins bientôt près deux ; nous allons partir me dit-elle, rentrons à l’hôtel ; j’avais envie d’elle et je ne tardais à reprendre nos vêtements ; le retour fut rapide tant mon désir de la baiser avec ardeur me tenait .

Avant de descendre, elle me prit la tête entre ses deux petites menottes et me dit « tu n’as fait avoir plein de plaisir et je sais que le tien est tout aussi fort, mais souvient toi dans le bateau, je t’ai fait une promesse et je vais la tenir ce soir, c’est moi qui serait ta petite cocue » j’étais complètement perdu car je ne comprenais pas le sens de ses paroles ; à ce moment une voiture se gara à coté de nous et nous l’appellerons José, descendit de la voiture ; je compris alors que la soirée n’était pas terminée.

Fred avait bien fait les choses, à la main, deux bouteilles de champagne, et trois verres ,récupérés sans doute au club ; l’avantage des nouveaux hôtels est leur libre accès par carte et c’est sans encombre que nous rejoignons notre chambre ; déjà un peu chauffés par l’alcool au club, mais bien décidés à bien finir la nuit ; nous nous mettons à l’aise, les deux hommes en pantalon, ma Mico en string ; un verre à la main, , nous caressons tantôt une jambe, tantôt un sein mais ma Mico ne l’entend pas ainsi et rapidement ses mains viennent se poser sur nos sexes encore au repos, les frottant doucement sous sa paume, le résultat ne tarde guère et je voie la bosse chez Fred devenir de plus en plus grosse, la mienne ne tardant pas à suivre ; en un tour de main, elle ouvre nos braguettes et nos sexes, majestueux jaillissent de leurs cachettes ; je jette un coup d’œil sur Fred : sa verge est spendide,charnue ,longue, une grosse veine sur le dessus, il en est fier et cela se voit ; pour moi pas de problème ,je n’ai pas à rougir de la comparaison et de plus cela n’a pas d’importance ; sans retenue mico plonge sur nos sexes, léchant de sa petite langue tantôt Fred tantôt moi, puis elle enfourne Fred dans sa bouche pendant que sa main me masturbe, elle alterne, puis recommence ; notre respiration s’accélère et nous lui pressons les seins sans retenue, lui pinçant les mamelons, les tordant doucement afin de lui faire monter le plaisir et cela marche ; ses sucettes s’accélèrent, son bassin commence à onduler ; nos mains quittent ses seins et descendent vers ce sexe qui nous attend ; nos doigts se croisent dans sa chatte, pincent son clitoris puis repartent à la charge ; ma femme peine à continuer, la respiration courte, son cœur bat la chamade ; puis nos doigts cherchent son petit trou et mes mains écartent ses fesses pendant que Fred investit l’antre ; nos mains maintenant alternent chatte et cul et soudain elle pousse un cri et jouit bruyamment et sous nos va et viens sa chatte laisse couler son plaisir ; « ah mes salauds, vous m’avez vidée « nous regardons la chatte d’où écoule le nectar ; nos queues sont toujours tendues et l’envie de me branler me tiraille le ventre ;
Une petite pause s’il vous plait ;avec regret , mais compréhensif , nous la laissons récupérer et doucement nos sexes se calment
« Allez mon chéri ne laisse pas sa bite prendre froid, caresse le ! »
Je suis surpris et je regarde Fred qui m’offre en retour un grand sourire ; mon cœur chavire, je ne sais plus quoi faire ; si étant jeune en pension, j’avais eu des contacts avec des copains caresse, masturbation et même sucette, il ne n’était jamais venu à l’idée de le faire avec un adulte
« allez mon chéri, vas y tu vas voir comme c’est bon »sa main me pousse alors vers son sexe et Fred se rapproche ; ma main avec hésitation se pose lentement sur son mat, timidement je flatte le gland et glisse doucement vers ses boules, gonflées par le désir, puis peu à peu, je m’enhardis et ma main commence un va-et-vient de plus en plus précis ; mon sexe commence à réagir ; mico me regarde avec un sourire et se recule et s’assoie dans un fauteuil. Notre ami alors me prends la tête et doucement me fait comprendre qu’il aimerait une autre caresse
« Obéis mon cœur, suce le »
La phrase claque dans le silence et je comprends rapidement que mico a décidé de m’offrir à cet homme ; je me décide à obéir et je pose mes lèvres sur cette bite et pour la première fois j’ai brutalement envie de lui, je lèche, je titille , j’aspire son sexe avec avidité ;je coulisse et ma bouche, le pompe avec vigueur ; son gémissement m’avertit que ma bouche lui fait de l’effet et dans son fauteuil, mico se caresse ; cela décuple mes envies ; Fred me masturbe doucement , entretenant mon excitation mais sans plus ; la queue de Fred commence à frémir et son corps se tend, je me survolte afin de faire jouir notre ami car je suppose que c’est le désir de Mico ; dans ma bouche sa queue est agitée de soubresauts, ses boules se contractent et je sens qu’il va jouir
« Je vais jouir ! C’est bon continue »
Je ne cède pas, ma succion continue et bientôt des jets viennent frapper mon palais ; je parviens à ne pas suffoquer, et le sperme coule sur le bord de mes lèvres, et Fred vient poser ses lèvres sur les miennes et m’embrassa avec sa langue, léchant par la même occasion les restes de son jus et sa main me masturbe vigoureusement m’amenant rapidement à la jouissance ; une coupe de champagne rétablit rapidement la situation et c’est très détendu que nous reprenons notre souffle ; Mico de son perchoir sourit, fière des événements ;Fred en profite pour me caresser, ses mains s se promenant nonchalamment sur mon corps, ses doigts ne titillant les mamelons, puis descendant sous mon ventre ; il me caresse le sexe , qui ne tarde pas à se redresser, montrant fièrement à ma mico mes envies de Fred, puis sa bouche se plaqua sur la mienne et son baiser me transperça ; sa langue cherchait la mienne et se mélangeait, sa bouche glissa sur mon corps ,s’attarda sur mes tétons , les mordillant, les aspirant avec volupté ; mon corps était traversé de mille aiguilles et aspirait à un corps à corps ; sa bouche prit possession de ma verge tendue, et me rendit au centuple les bienfaits de tout à l’heure sur sa bite ; pendant ce temps sa main avait investi mon sillon et caressait ma raie et mon petit trou ; ma mico se déplaça et lui tendit un tube de lubrifiant et elle repris sa place les doigts dans sa cramouille, s’astiquant le bourgeon, et attendant avec patience la suite. Fred vida un peu de crème sur mon sillon après m’avoir mis sur le ventre, son doigt tourna à l’entrée puis doucement s’enfonçant dans ma cavité ;il tournait lentement sur les bords, puis s’enfonçait ,puis ressortait pour mieux y retourner ; le résultat ne se fit pas attendre et ce fut 2 puis 3 doigts qui me pénétraient ; ma queue , plaquée sur le lit me faisait mal tant mon excitation était grande, je redoutais la suite mais mon ventre la réclamait ; j’avais envie de sa bite et je cambrais mes reins pour le montrer ; Fred remis du gel et il présenta son gland sur mon orifice, doucement la pression se fit plus forte et le gland pénétra ,puis ressortit pour mieux pousser ;sa lente pénétration , douloureuse ,au début, se fit plus douce, puis d’un corps sec il s’enfonça ; je hurlais ,pas de douleur mais de plaisir ; soulevant mes riens et me mettant à genoux, il me pilonna , sa main venant me branler, jusqu’à l’éjaculation ; mais lui continuait me bourrant sans retenue et maintenant je serrais les dents dans le drap pour ne pas hurler de plaisirs trop fort ; soudain s’un violent coup de rein il s’enfonça et son corps se cabra ; je sentis ses jets puissants me remplir le ventre et une nouvelle vague de plaisir me transperça et j’eus la sensation de planer tellement sa force était grande.
Repus tous les deux, nous regardions mico qui sur son fauteuil finissait de se faire jouir, puis nous sommes restés ainsi au repos pendant quelque temps finissant le champagne ; ma mico nous avait rejoint et me posant un baiser sur le sexe, et me dit combien elle était heureuse d’avoir vu mon plaisir et surtout d’avoir maté comme moi au bateau et se tournant vers Fred elle eut ses mots « tu as devant toi les deux cocus les plus amoureux du monde ; la suite fut une courte nuit de repos avant une reprise au petit matin. Après de nombreux jeux, nous possédâmes mico en double, inversant les positions, investissant avec force et amour son sexe et son anus avant de finir par une purée de sperme dans sa bouche
Inutile de dire combien le retour à la maison fut agrémenté de commentaires, tous deux plus voyeurs les uns que les autres, tous très érotiques et amoureux