Sortie kayak qui dérive en sexe sauvage avec une mature

- Par l'auteur HDS Smilee -
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Récit libertin : Sortie kayak qui dérive en sexe sauvage avec une mature Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sortie kayak qui dérive en sexe sauvage avec une mature
Je viens d’arriver à Minorque pour quelques jours de vacances. Au programme beaucoup de randonnées mais aussi une sortie kayak pour visiter des grottes. J’arrive au lieu de rendez-vous. Passé le sketch de l’arrivée demandée 30 minutes à l’avance pour qu’eux soient en retard nous voilà briefé sur l’activité du jour. En tout 20 personnes, en majorité des couples. Sachant que je suis seul je vais forcément me retrouver avec quelqu’un que je ne connais pas. Il y a une jeune femme seule avec un très joli cul dont je ferais bien mon quatre heure. Manque de pot je me retrouve avec une anglaise de la soixantaine qui se prénomme Suzan. Elle est en vacances avec 2 couples d’amis donc se retrouve aussi seule pour l’activité. Elle est grande, a plutôt un joli visage avec quelques taches de rousseur. Des cheveux courts noirs et blancs et de belles formes. Elle est plutôt bien conservée pour son âge si ce n’est son opulente poitrine qui semble tomber.

Nous voici partis en mer. La mer est un peu agitée mais comme j’ai fait du kayak en club aucune difficulté pour moi. Nous discutons beaucoup durant la sortie. Heureusement que je parle anglais couramment. Elle est veuve depuis 12 ans et profite de sa retraite pour voyager et s’occuper de ses petits-enfants. L’eau à l’intérieur des grottes est époustouflante. D’un bleu presque fluorescent. Le moment est très agréable.

Nous continuons de voguer sur la mer de grottes en grottes. Nous discutons de nos passions. Pour elle les civilisations romaines et précolombiennes et pour moi les voyages et le canyoning. J’évite de parler de ma passion pour les femmes notamment avec de belles formes comme elle.

Nous n’arrêtons pas de parler quand vient le moment d’une pause à Calas Coves. Nous débarquons et les guides nous montrent des vestiges datant de l’époque romaine. Suzan est ravie de cette découverte qui n’était pas annoncée au programme. Puis nous partons sur l’autre rive pour voir des grottes qui ont été utilisé par les hippies il y a une vingtaine d’années avant qu’ils ne soient expulsés. La guide nous indique que plus loin il y a d’autres vestiges romains mais plus difficiles d’accès. Suzan souhaiterait y aller mais ses copines sont moins en forme qu’elle. Toutes les autres personnes du groupe préfèrent aller faire du snorkeling. Vu que le courant passe bien je décide de l’accompagner. En chemin nous continuons de discuter. Elle me dit qu’elle s’essaye aussi à l’écriture sur la vie de Marc Aurèle. Inconsciemment (ou pas) je lâche un son avec un petit sourire en pensant à mon écriture. Elle le voit et me demande :
- Ne te moque pas !
- Pardon je ne me moque pas. Promis
- Alors quoi
- Rien, je marque un blanc. Cela m’a fait penser à quelque chose c’est tout
- Et à quoi ?
- À… j’hésite à continuer. Non rien
- Allez dis-moi tu m’intrigues
- Allez après tout nous ne nous reverrons jamais. Voilà moi aussi j’ai la passion de l’écriture
- Ah oui et tu écris quoi ?
- De la littérature pour adultes
- Pour adultes… type 50 nuances de Grey ?
- Oui c’est ça
- D’accord. Et quel est le thème ?
- Ma vie en 2 tomes. Le tome 1 concerne ma vie de couple avec mon ex-femme. Le Tome 2 les découvertes toutes plus folles les unes que les autres
- Et ce sont des histoires réelles ?
- Les personnages sont réels, les situations aussi mais très romancées et parfois très exagérées type fantasmes. Toute situation de la vie courante peut générer une histoire
- Trop bien. Et tu as publié un livre ?
- Non je publie sur des sites spécialisés
- Passion inédite. Et alors si tu devais écrire une histoire sur aujourd’hui tu dirais quoi ?
- Sur aujourd’hui ? Avec toi ?
- Oui par exemple
- Particulier… mais j’accepte le défi, j’attaque tout en continuant à marcher. Alors je dirais que la journée se passe comme jusqu’avant que nous parlions d’écriture. Nous continuons la journée à discuter de tout et de rien. En rentrant au port je dis qu'il va falloir que je m’active pour trouver un logement pour ce soir. Tu me demandes dans quel coin et je réponds Ciutadella. Tu me dis que c’est là que vous séjournez. Tu me dis que tu vas en parler avec tes amis mais que vous avez une chambre de libre à votre logement donc que vous pouvez m’héberger. Je réponds qu’il ne faut pas vous déranger. Tu rétorques que je ne dérange pas et que comme ça nous serions un nombre pair car souvent tes couples d’amis sont entre eux et tu es un peu exclue. Après tout cela m’évitera d’être seul et en plus de payer quelque chose donc j’accepte. Arrivés à terre tu en parles à tes amis qui valident. Tu me donnes l’adresse et nous convenons que j’arriverais vers 19h30 après le coucher du soleil que je souhaite voir à Port d’en Gil. Tu me dis que toi aussi tu aimerais aller le voir mais tes amis ne sont pas très chauds. Je te propose de passer la fin d’après-midi ensemble où je souhaite aller d’abord à Cala en Brut. C’est OK pour toi. Le reste de la journée se continue sur le même ton, décontracté et fluide. Le coucher du soleil est magnifique. Nous rentrons à l’appartement et tu me montres ma chambre. Chaque chambre a sa salle de bain ce qui est très pratique. Une fois la douche prise je descends pour l’apéro. Tu as changé de tenue et porte une robe printanière qui met en valeur ta belle poitrine et s’arrête en dessous des genoux. Pour l’apéro vous avez prévu sangria et tapas. Parfait pour moi. Nous discutons avec tes amis et sans vraiment nous en rendre compte, les bouteilles descendent plutôt bien. Pour le repas vous avez prévu des choses simples mais qui sont bien mieux que le sandwich vers lequel je me destinais. Le vin blanc ouvert pour l’occasion est bon mais monte vite à la tête. Le repas fini nous faisons un petit jeu de cartes puis sur les coups de 22 heures tes amis vont se coucher, fatigués de la journée de kayak. Je me pose sur le canapé pour finir mon verre même si j’ai un peu de mal car je suis un peu pompette. Tu te poses à côté de moi. Juste sur ma droite. Collée à moi alors que le canapé est large. La très belle journée en ta compagnie, l’état d’ivresse avancé et la proximité de nos corps font que machinalement je pose ma main droite sur le tissu de ta robe sur ta cuisse. Tu relèves le tissu et ma main vient en contact avec ta peau. Je prends ce geste comme une invitation. Je bouge ma main sur ta peau puis la monte sur ton visage. Je m’approche de toi pour t’embrasser. Mes lèvres sont bientôt en contact avec les tiennes. Tu entrouvres les tiennes. Tu es mûre à point. Le contact est imminent. Nos lèvres se touchent. Puis nos langues s’entrelacent. Ma main gauche vient reprendre les caresses sur ta cuisse. Elle remonte doucement pendant que je continue de t’embrasser. Tu écartes légèrement les cuisses me laissant passer sous ta robe. J’atteins ton entrejambe que je découvre nu. Tu me souris. Je comprends que tu avais tout planifié. Sous mes doigts tes lèvres sont déjà humides. Je glisse un doigt en toi tout en te regardant droit dans les yeux. Tu soupires. De mon pouce et mon petit doigt j’exerce une pression sur tes cuisses pour te les faire ouvrir. Je peux maintenant accéder à ton antre humide plus facilement. Tu mets ta tête en arrière avançant un peu ton bassin. Je rentre un deuxième doigt. Tu me dis que cela fait plus de 15 ans que personne d’autre que toi ne te touches. Je te dis que tu es presque redevenue vierge. Tu souris puis lâches un fort gémissement quand je glisse un troisième doigt. Je te pénètre ainsi jusqu’à sentir la cyprine recouvrir mes doigts. Je me relève tout en gardant les doigts en toi et me mets à genoux entre tes jambes. Je vois ton regard interrogatif. Je viens glisser ma langue sur tes lèvres. Tu refermes les jambes m’expliquant que ce n'est pas une chose que tu pratiques, que ton mari n’aimait pas ça donc cela fait plus de 30 ans que ce n'est pas arrivé. Je te dis de te laisser faire que c’est une de mes spécialités et qu'il n’est jamais trop tard pour faire des découvertes. Je te sens hésitante mais la curiosité l’emporte. Timidement tu me laisses m’installer entre tes jambes. Je commence par embrasser tendrement tes cuisses, ton aine, tes lèvres puis ton clitoris. Puis ma langue vient le titiller. Je m’amuse un peu avant de glisser sur tes lèvres. Je te sens tendue. Je pose mes mains sur toi sans jamais relâcher le contact de ma langue. Je sens ta cyprine qui se remet à couler. C'est bon, le verrou a sauté. Tu vas pouvoir te relâcher et prendre ton pied. Je reprends alors mes caresses manuelles sur tes cuisses et remonte sous tes fesses. Je les serre fortement contre moi et appuie mon front contre tes monts de vénus. Tu es entièrement sous mon emprise mais je ne crois pas que tu souhaites t’en extraire. Tes gémissements se font plus rapprochés, plus forts. Je te serre encore plus fort et accélère le rythme de ma langue sur ton bouton. Ça y est tu atteins l’orgasme. Celui-ci est puissant, intense. Tu cries ton bonheur enfoui depuis de si longues années. Tes amis ont dû t’entendre mais cela fait tellement longtemps qu’ils te voient seule qu’ils ne t’en tiendront pas rigueur. Je finis de t’embrasser tendrement avant de passer à la suite. Veux-tu que je continue de te raconter la suite ? Mon histoire te plaît elle ?
- Oh oui je m’y croirais. C’est la première fois que l’on me raconte une histoire. Et je suis quelqu’un qui visualise tout
- Alors je continue dis-je alors que nous continuons de progresser dans les fourrés. Je te laisse reprendre un peu tes esprits puis je me relève pour venir t’embrasser. Tu passes tes mains sur ma chemise et vient la retirer bouton après bouton. Me voici torse nu. Mais tu ne t’arrêtes pas là. Tu enchaînes avec le bouton de mon pantalon. Je le retire et me retrouve en caleçon devant toi. Bizarrement je ne suis pas en pleine érection comme d’habitude. Tu caresses mon sexe par-dessus mon caleçon tout en continuant de m’embrasser puis attrapes les deux côtés et tire vers le bas jusqu’à mes chevilles. Tu plonges délicatement ta bouche sur mon pénis pendant. Tu fais glisser ta langue sur sa peau. Petit à petit il se redresse. Cela te motive à continuer. Cela faisait une éternité que tu n’avais pas senti un membre gonflé sous ta langue. Ou même gonfler tout court. Le voilà à sa taille maximale. Tu souris en te disant que c’est toi qui fais dresser ce sexe de quasi la moitié de ton âge. Cela te flatte. Tu essaies de te rappeler les mouvements à faire que ce soit de ta langue ou de tes mains. Je pose ma jambe sur le canapé pour te donner un meilleur accès à mes parties génitales. Tu soupèses mes testicules tout en continuant de caresser de ta langue et de ta bouche mon membre dressé. Cela se ressent que tu manques d’expérience. Cela me fait parfois mal. Mais je vois que tu essaies de donner le meilleur de toi-même donc je ne peux t’en vouloir. Je te demande de continuer seulement avec ta langue. Tu t’exécutes. Tu passes ta langue sur mon gland alors que je m’occupe des caresses manuelles. C’est nettement plus agréable. Tu descends le long de ma tige alors que je me caresse. Puis tu viens lécher mes testicules. Ça tombe bien j’adore ça. Tu t’en amuses puis remontes et viens me reprendre en bouche. C’est bon tu m’as excité maintenant j’ai envie de te prendre. Je te stoppe, me penche pour t’embrasser et te fais reculer sur le canapé. Je me glisse entre tes jambes et pose mon sexe sur le tien. Je me frotte à tes lèvres détrempées. Je lis dans tes yeux un mélange de sentiments. Du désir de cette soirée qui sera à jamais inoubliable. De l’impatience de te sentir remplie à nouveau. De l’appréhension aussi d’une pénétration que tu ne connais plus depuis si longtemps, trop longtemps. Mais surtout une étincelle de reconnaissance, la reconnaissance de t’avoir fait sentir de nouveau désirable, de nouveau femme. Je plonge mes yeux dans les tiens, te souris tendrement et entre lentement en toi. Je glisse tout seul mais je prends mon temps. J’entre petit à petit en toi. Tout en t’embrassant. Tout en te caressant. Ta bouche s’ouvre au fur et à mesure de mon insertion. Tu expires ton bonheur. Je continue de te prendre en douceur. Puis avec un peu plus de virilité. Tu sembles toujours apprécier. Me voici maintenant au fond. J’accélère encore le mouvement. Tu parais aux anges. Je continue et peu de temps après je te sens te crisper. Tu t’agrippes à mon dos et lâches un cri libératoire. Tu vis pleinement ton orgasme. Le premier depuis longtemps. Trop longtemps. A tiens nous arrivons au sanctuaire, dis-je en cassant brutalement l’histoire pour revenir à la réalité.
- Oh non j’étais bien dedans
- Moi aussi bien au fond je réponds avec un air coquin. Après je te l’a fait brève : nous continuons de faire l’amour. Puis nous montons dans la chambre et dormons ensemble et le lendemain matin nous remettons ça. Tu jouiras plusieurs fois et moi je prendrais beaucoup de plaisir
- Dommage de bâcler comme ça la fin. Mais je peux te dire que tu as du talent dans le comptage d’histoires. J’en suis toute…. Tu marques une pause, toute retournée
- Ah oui tant que ça ? je réponds avec un ton plein de coquinerie
- Tu n’imagines même pas, tu répliques sur le même ton
- Regardons ce sanctuaire pour lequel nous avons fait tant de route, je coupe avant que cela dérape

Le sanctuaire est une ancienne grotte où étaient entreposées les sépultures. Nous pénétrons dans la grotte. Suzan marche devant moi. Je regarde son fessier et le trouve plutôt sympa pour une femme de cet âge-là. Je me rapproche d’elle. Elle sent mon souffle sur son cou. Je vois qu’elle frissonne et déclenche une chair de poule. Je sens que j’ai une belle emprise sur elle. Alors pourquoi pas en profiter ? Après tout je suis célibataire et une petite baise en pleine nature est toujours agréable. Je pose ma main sur sa taille. Elle s’arrête mais ne me repousse pas. Je glisse sur son ventre et me rapproche de son maillot. Son souffle est haché. Je viens poser mes lèvres sur son cou. Nouveaux frissons. Puis ma main file sous son maillot. Je suis surpris de trouver une toison plutôt faible. Elle s’entretient malgré cette longue période d’inactivité. J’arrive en contact avec ses lèvres qui sont humides à souhait. Effectivement mon histoire lui a fait de l’effet. Elle reste figée sans me repousser, ni m’encourager. Je fais glisser un doigt en elle. Elle soupire. Puis un deuxième. Elle gémit. Je baisse son bas de maillot dévoilant ses fesses blanches. Je pose mon pied dessus et elle soulève un pied puis l’autre. La voici fesse nue devant moi. Je murmure à son oreille :
- Je te vois que tu es toute mouillée petite coquine. Tu as envie de moi
- Oui, dit-elle dans un souffle
- Tu as envie que je le fasse en douceur ou que je prenne fort
- Fort
- Ah je vois que tu es prête, je rajoute en glissant un troisième doigt. Dis-moi comment tu veux que je te prenne ?
- Fort
- Oui mais dans quelle position
- Peu importe… but fuck me

Je sens que le besoin physique est devenu trop intense pour elle. Je ne veux pas trop la faire languir donc je sors mon sexe déjà dur et baveux de mon maillot et le glisse entre ses fesses. Suzan se penche en avant pour m'ouvrir l'accès et se met sur la pointe des pieds. Je prends position devant son vagin et entre sans coup férir en elle, lui faisant lâcher un son teinté de surprise mais aussi de libération. Je donne immédiatement de grands coups de reins pour la prendre bien profondément. Les cris qui s'en suivent montrent que Suzan prend son pied. Plus je tape fort et plus elle semble apprécier. J'y ajoute quelques fessées qui résonnent bien fort. Aucune protestation ne s'en suit m'encourageant à continuer. Elle est tellement humide que je glisse tout seul sans beaucoup de résistance donc de plaisir pour moi. Par contre j'adore baiser cette mamie comme sans doute jamais elle n’a jamais été baisée avant. Ses fesses deviennent rouges à force des claques que je lui assène. Elle doit avoir mal mais ne dit toujours rien. Je sens sa cyprine qui me coule sur les testicules. Je passe ma main dessus et me retrouve avec les doigts gluants. Sans trop me poser de question j'essuie mes doigts sur sa rondelle et y entre mon index. Toujours pas de réactions si ce n'est ses cris toujours intenses. Je continue alors mais l'envie de la sodomiser devient de plus en plus forte. Il faut que je l'assouvisse.

Je sors mon sexe et je le retrouve couvert de cyprine blanche et visqueuse. Je le place devant son anus et commence à pousser. Suzan réagit enfin en me disant qu'elle n'a jamais fait ça. Je la rassure en lui disant que moi oui et que je vais y aller en douceur. Je force l'entrée mais je la sens crispée. Je lui conseille de se laisser aller et de profiter pleinement de cette expérience. Tout en continuant de lui parler je rentre à chaque mouvement un peu plus en elle. Je vois Suzan toujours un peu tendue. Mais cette tension s'évanouie au fur et à mesure que j'approche du bout. Me voilà en butée. Je continue doucement le temps que son corps s'acclimate. Pas facile de se prendre quelque chose dans le cul pour la première fois. Mais après le bonheur est intense. Je parle en connaissance de cause.

Aux gémissements que poussent Suzan je comprends que cette phase d'acclimatation est passée. Je peux maintenant aller librement dans ses fesses. C’est tellement serré que je dois me concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Mais je veux d’abord la prendre un peu avant de finir en elle. Mes testicules tapent de plus en plus fort sur son sexe. Je la prends avec vigueur. Elle commence à lâcher des cris de plus en plus forts. A force des personnes risquent de nous entendre. Je lui dis de faire moins de bruit. Elle me demande de ne surtout pas arrêter. Que jamais elle n’avait ressenti une sensation comme ça. J’aime produire ce type de réaction aux femmes notamment aux plus jeunes à initier ou au plus âgées à dérider. Je sens Suzan qui frotte énergiquement entre ses jambes alors que je l’encule. Puis elle ondule de plus en plus et bientôt elle jouit dans une flaque de cyprine. Cette vision me fait venir instantanément et je me déverse dans son cul. Je jouis une grande quantité de par l’excitation et une période d’abstinence qui commençait à faire long. Rapidement Suzan s’extraie et tombe sur les mains. Son anus est encore grand ouvert et du sperme s’en échappe, tombant au sol au milieu de sa cyprine. J’ai un peu de traces sur mon sexe. Pas étonnant pour une première mais jamais très agréable. Je sors de mon sac des mouchoirs pour m’essuyer le temps de retrouver l’eau et de pouvoir mieux me laver. Suzan retrouve enfin ses esprits et se relève difficilement. Je la laisse se rhabiller puis lui dis :
- Allons retrouver les autres cela fait un moment maintenant que nous sommes partis
- Quelle expérience. Jamais je n’avais ressenti ça et pris autant de plaisir
- Merci du compliment
- On peut dire que tu sais y faire avec les femmes
- J’ai un peu d’expérience effectivement maintenant
- Merci en tout cas. C’était exceptionnel pour moi
- Ravi d’avoir pu te donner un peu de bonheur
- Un peu ? Je n’avais jamais joui comme ça. Je ne savais même pas que je pouvais éjaculer
- C’est une de mes spécialités mais tu y es arrivée toute seule
- Je n’oublierais jamais ce moment
- J’espère bien. Tu pourras même te caresser en y pensant
- Sans aucun doute. Ce n’est pas pour plagier ton histoire mais tu veux venir dormir chez nous ce soir ? Je serais ravie de passer une soirée ou une nuit avec toi
- C’est gentil mais cette expérience doit rester courte et unique pour être encore plus belle
- Pourtant je suis sûre que j’ai quelques talents qui pourraient te plaire et que je n’ai pas eu la chance de te montrer
- Je n’en doute pas mais je vais tout de même décliner ton invitation
- Dommage j’aurais vraiment voulu profiter de ce moment avec toi
- Restons sur cette aventure impromptue. Tiens, nous revenons à la calanque. Je vais profiter pour faire un plouf pour me nettoyer un peu. Tu devrais en faire de même
- Oui je sens aussi que j’en ai besoin

Arrivés au bord de l’eau je plonge dedans et profite d’un recoin tranquille pour sortir mon sexe et le nettoyer. Puis je rejoins les autres et un peu plus tard c’est Suzan qui rejoint le groupe. Nous repartons tous en canoë vers notre point de départ. Je sens dans le trajet retour que Suzan n’a pas très bien pris mon refus. Mais autant un coup vite fait avec une mature est toujours plaisant, autant ce soir je compte bien sortir et essayer de draguer une femme plus de mon âge. Le futur me dira que ce soir-là je rentrerais bredouille. Nous finissons d’arriver, je dis au revoir à Suzan et pars assez rapidement vers de nouvelles aventures…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Smiley encore une bonne histoire erotique bien racontée. Daniel



Texte coquin : Sortie kayak qui dérive en sexe sauvage avec une mature
Histoire sexe : Une rose rouge
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