Sortie Nocturne Humide
Récit érotique écrit par Lord of Sitges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Sortie Nocturne Humide
Nous avions été invités ma copine et moi à un apéritif dinatoire par une cousine à elle. Elle n’avait pas de motif précis pour cette soirée, si ce n’est de rendre des invitations en retard à un maximum de gens et de présenter officiellement son nouveau mec.
Quasiment tout le monde le connaissait déjà, mais chacun était convaincu d’être dans le secret et n’osait en parler aux autres. Nous étions donc un peu emprunts, ne nous connaissant pas, et les présentations se sont faites un verre de cocktail à la main.
De mon côté j’étais troublé par le fait que ma copine s’était faite excuser au motif qu’elle avait été conviée à l’autre bout du pays pour une réunion client qu’il lui était impossible de reporter. Pour ma part, je n’avais eu ni le courage d’annuler, ni de me présenter seul au milieu d’inconnus, et j’avais appelé à la rescousse une vieille copine d’école de commerce pour m’accompagner.
Quand je dis « vieille », ne nous méprenons pas ! Elle n’avait que 27 ans, mais nous avions passé déjà de longues années d’études à réviser et à faire les 400 coups ensemble.
Elle avait pour l’occasion gardé une tenue très professionnelle, avec tailleur et talons hauts. Son chemisier de satin tombait sans un pli et mettait en valeur sa silhouette élancée et son mètre soixante-quinze, talons inclus.
Passées les présentations foireuses puisqu’elle n’avait aucun lien avec qui que ce soit, nous avons papoté avec tout le monde et liquidé, cocktails, verres de vin et autres parts de quiche.
Les bouteilles se vidaient et les conversations étaient gaies et plutôt intellectuelles, (nous étions dans le 6eme Arrondissement), et il faut reconnaitre que tout ce petit monde était bien éduqué.
Quand est venue l’heure de partir nous avons remercié nos hôtes, salué les attardés et pris l’escalier de sortie. J’ai vite repéré que Céline avait un peu abusé des boissons, doutant fort que ses talons aiguille soient les seuls responsables de sa démarche peu assurée. La nuit commençait à être humide et j’ai proposé d’appeler un UBER pour raccompagner mon amie.
La réservation n’a pas été aussi simple que prévu et quelle surprise de constater sur mon écran que la voiture qui avait pris la course s’éloignait au lieu de nous rejoindre. Isolé dans notre rue sombre et sans passage, je pense que la commande ne devait pas l’intéresser malgré le tarif exorbitant qui m’était demandé.
Comme la, facilité n’était pas de notre côté, nous avons conclu qu’il était préférable après 20 minutes d’attente, de poursuivre à pied vers une hypothétique tête de taxis.
Notre rythme était faible et l’évidence s’imposait : Céline était cuite, et re-cuite. Après 400 mètres, elle m’annonça qu’elle avait un urgent besoin de faire pipi, ce qui ne me parut ni surprenant, ni aisé à organiser.
Qu’à cela ne tienne, tout en me disant « attend » elle a regardé à droite et à gauche et a commencé à relever sa robe et à plonger ses deux mains de chaque côté de ses hanches pour baisser culotte en pleine rue. J’étais surpris de son audace, mais aussi émoustillé d’en être le témoin privilégié.
Respectueux et en pensant à ma chérie, je ne la regardais pas, jouant avec sérieux mon rôle de vigile, mais la scène durait et un long ruisseau coulait maintenant sur le trottoir jusqu’à moi. Le pervers enfoui en moi s’est réveillé et j’ai remonté le courant vers la source pour y trouver une fente comme je les adore. Une jolie chatte toute nue, sans aucun poil, avec des lèvres épaisses entourant un vagin presque sans petites lèvres. J’avais déjà eu l’occasion de voir Céline nue une autre soirée de beuverie, mais à l’époque elle était comme beaucoup dotée d’un large triangle sombre, à la couleur de ses cheveux.
Ma queue était en alerte et je sentais immédiatement une érection qui rend fier, de celle qui ne permettent plus de tenir dans le pantalon et qui exige une solution rapide de sortie. L’érotisme terrible dégagé par Céline pissant nuitamment sur le trottoir parisien me donnait une pression artérielle limite.
Proche du voile rouge, j’ai dû faiblir dans ma veille et je n’ai pas vu arriver deux garçons un peu plus jeunes que nous. Ils étaient déjà à quelques mètres de nous quand leur pas ralenti et qu’ils ont ostensiblement reluqué la trainée qui pissait cuisses écartées. Contrairement à mon attente, Céline ne s’est ni relevée ni dissimulée. Elle a juste gueulé pour leur demander si cela ne les dérangeait pas de se rincer l’œil comme ça. Elle n’avait plus rien à uriner, mais toujours cuisses largement écartées et malgré l’éclairage blafard de la rue, on ne pouvait ignorer ni la forme de sa moule ni l’humidité qui recouvrait la peau nue de son sexe et de ses cuisses.
L’un des deux lui a répondu qu’il profitait effectivement d’une très jolie vue, et que pour se rincer, il faudrait déjà qu’il s’approche. Tout en le faisant il approchait sa main alors que Céline se relevait enfin, robe sur le buste et culotte aux chevilles. Céline lui a proposé de l’essuyer pendant qu’il y était et la main du type délicatement est passée entre ses jambes, glanant depuis ses fesses jusqu’au haut de sa fente tout ce qui pouvait subsister de son envie pressante.
La situation m’échappait déjà, mais là, je restais encore plus sans voix quand Céline a levé les chevilles pour dégager sa petite culotte et rester cul nu devant les deux autres. Elle a ensuite enchainé en leur demandant si cela ne les gênait pas qu’elle aussi leur sèche l’entre-jambe.
Bêtement j’ai pensé « ben ? Ils n’ont pas fait pipi eux… » et puis j’ai vite compris que l’analogie n’avait que pour objectif de leur faire baisser leur pantalon pour plonger dans leur froc. Céline avait pris la queue du premier en main et cette dernière était comme la mienne, d’un bois très dur. Le second n’est pas resté en retrait longtemps et a profité de l’occasion pour rejoindre son pote.
En deux minutes peut être, Céline avait les deux dards tour à tour dans la bouche et caressait leurs couilles.
Quasiment tout le monde le connaissait déjà, mais chacun était convaincu d’être dans le secret et n’osait en parler aux autres. Nous étions donc un peu emprunts, ne nous connaissant pas, et les présentations se sont faites un verre de cocktail à la main.
De mon côté j’étais troublé par le fait que ma copine s’était faite excuser au motif qu’elle avait été conviée à l’autre bout du pays pour une réunion client qu’il lui était impossible de reporter. Pour ma part, je n’avais eu ni le courage d’annuler, ni de me présenter seul au milieu d’inconnus, et j’avais appelé à la rescousse une vieille copine d’école de commerce pour m’accompagner.
Quand je dis « vieille », ne nous méprenons pas ! Elle n’avait que 27 ans, mais nous avions passé déjà de longues années d’études à réviser et à faire les 400 coups ensemble.
Elle avait pour l’occasion gardé une tenue très professionnelle, avec tailleur et talons hauts. Son chemisier de satin tombait sans un pli et mettait en valeur sa silhouette élancée et son mètre soixante-quinze, talons inclus.
Passées les présentations foireuses puisqu’elle n’avait aucun lien avec qui que ce soit, nous avons papoté avec tout le monde et liquidé, cocktails, verres de vin et autres parts de quiche.
Les bouteilles se vidaient et les conversations étaient gaies et plutôt intellectuelles, (nous étions dans le 6eme Arrondissement), et il faut reconnaitre que tout ce petit monde était bien éduqué.
Quand est venue l’heure de partir nous avons remercié nos hôtes, salué les attardés et pris l’escalier de sortie. J’ai vite repéré que Céline avait un peu abusé des boissons, doutant fort que ses talons aiguille soient les seuls responsables de sa démarche peu assurée. La nuit commençait à être humide et j’ai proposé d’appeler un UBER pour raccompagner mon amie.
La réservation n’a pas été aussi simple que prévu et quelle surprise de constater sur mon écran que la voiture qui avait pris la course s’éloignait au lieu de nous rejoindre. Isolé dans notre rue sombre et sans passage, je pense que la commande ne devait pas l’intéresser malgré le tarif exorbitant qui m’était demandé.
Comme la, facilité n’était pas de notre côté, nous avons conclu qu’il était préférable après 20 minutes d’attente, de poursuivre à pied vers une hypothétique tête de taxis.
Notre rythme était faible et l’évidence s’imposait : Céline était cuite, et re-cuite. Après 400 mètres, elle m’annonça qu’elle avait un urgent besoin de faire pipi, ce qui ne me parut ni surprenant, ni aisé à organiser.
Qu’à cela ne tienne, tout en me disant « attend » elle a regardé à droite et à gauche et a commencé à relever sa robe et à plonger ses deux mains de chaque côté de ses hanches pour baisser culotte en pleine rue. J’étais surpris de son audace, mais aussi émoustillé d’en être le témoin privilégié.
Respectueux et en pensant à ma chérie, je ne la regardais pas, jouant avec sérieux mon rôle de vigile, mais la scène durait et un long ruisseau coulait maintenant sur le trottoir jusqu’à moi. Le pervers enfoui en moi s’est réveillé et j’ai remonté le courant vers la source pour y trouver une fente comme je les adore. Une jolie chatte toute nue, sans aucun poil, avec des lèvres épaisses entourant un vagin presque sans petites lèvres. J’avais déjà eu l’occasion de voir Céline nue une autre soirée de beuverie, mais à l’époque elle était comme beaucoup dotée d’un large triangle sombre, à la couleur de ses cheveux.
Ma queue était en alerte et je sentais immédiatement une érection qui rend fier, de celle qui ne permettent plus de tenir dans le pantalon et qui exige une solution rapide de sortie. L’érotisme terrible dégagé par Céline pissant nuitamment sur le trottoir parisien me donnait une pression artérielle limite.
Proche du voile rouge, j’ai dû faiblir dans ma veille et je n’ai pas vu arriver deux garçons un peu plus jeunes que nous. Ils étaient déjà à quelques mètres de nous quand leur pas ralenti et qu’ils ont ostensiblement reluqué la trainée qui pissait cuisses écartées. Contrairement à mon attente, Céline ne s’est ni relevée ni dissimulée. Elle a juste gueulé pour leur demander si cela ne les dérangeait pas de se rincer l’œil comme ça. Elle n’avait plus rien à uriner, mais toujours cuisses largement écartées et malgré l’éclairage blafard de la rue, on ne pouvait ignorer ni la forme de sa moule ni l’humidité qui recouvrait la peau nue de son sexe et de ses cuisses.
L’un des deux lui a répondu qu’il profitait effectivement d’une très jolie vue, et que pour se rincer, il faudrait déjà qu’il s’approche. Tout en le faisant il approchait sa main alors que Céline se relevait enfin, robe sur le buste et culotte aux chevilles. Céline lui a proposé de l’essuyer pendant qu’il y était et la main du type délicatement est passée entre ses jambes, glanant depuis ses fesses jusqu’au haut de sa fente tout ce qui pouvait subsister de son envie pressante.
La situation m’échappait déjà, mais là, je restais encore plus sans voix quand Céline a levé les chevilles pour dégager sa petite culotte et rester cul nu devant les deux autres. Elle a ensuite enchainé en leur demandant si cela ne les gênait pas qu’elle aussi leur sèche l’entre-jambe.
Bêtement j’ai pensé « ben ? Ils n’ont pas fait pipi eux… » et puis j’ai vite compris que l’analogie n’avait que pour objectif de leur faire baisser leur pantalon pour plonger dans leur froc. Céline avait pris la queue du premier en main et cette dernière était comme la mienne, d’un bois très dur. Le second n’est pas resté en retrait longtemps et a profité de l’occasion pour rejoindre son pote.
En deux minutes peut être, Céline avait les deux dards tour à tour dans la bouche et caressait leurs couilles.
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