Soso avec black ttbm
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soso avec black ttbm
Cette histoire m'est arrivée il y a quelques années, j'avais à l'époque 30 ans et j'avais rejoint mon mari en Côte-d'Ivoire.
Un soir, en rentrant de son travail, il m'annonce que son patron lui demande de remplir une mission de quelques jours au Sénégal, à Dakar et que, si je veux, je peux venir avec lui. Je pourrais m'occuper à visiter la ville et à faire de la bronzette. J'accepte avec plaisir, d'autant que rester seule à Abidjan ne m'enchante guère. La semaine suivante, nous nous retrouvons à Dakar, logés dans un hôtel de luxe avec galerie marchande, piscine, et plage à deux pas. À côté, la Place de l'Indépendance et le centre-ville.
Je passe des moments agréables à ne rien faire. Mon mari se lève très tôt car il commence son travail dès 7h30 le matin, pendant qu'il fait encore frais. Je descends à la salle à manger vers 9h30 pour y prendre mon petit-déjeuner. Ensuite c'est plage, piscine, grillade-salade et à nouveau plage, balade en ville dès qu'il fait plus frais. Puis, lorsque mon mari rentre, dîner et soirée en tête à tête et dodo. En fait, je suis souvent seule et après quatre jours, je commence à m'ennuyer.
Ce matin là, je devais avoir la tête de quelqu'un qui s'ennuie ferme, car un des maîtres d'hôtel que je voyais tous les jours, un type très baraqué, 1,90m, 80 kg, Yousouf, s'inquiète de ma tête. Commence alors une longue conversation, qui se prolongera sur plusieurs jours encore. Il est sympathique, il me donne des conseils : où me promener, quoi voir. Il a de l'humour et nous sympathisons, une complicité amicale s'instaure.
Un soir mon mari m'annonce qu'il est obligé de rester dîner avec un client et que je dois me débrouiller seule parce qu'il ne rentrera que vers 23 heures. Je suis partagée entre la déception et la colère de rester seule pour la soirée, mais enfin, c'est mieux que d'être toute seule à Abidjan.
Je descends au restaurant de l'hôtel sous l'œil amical de Yousouf qui me fait servir un bon repas. Je remonte ensuite dans notre chambre vers 21 heures pour prendre ma douche et regarder la télé locale.
Il me vient alors l'idée de faire monter une demi-bouteille de champagne pour me consoler d'être seule. J'appelle la réception et je passe ma commande. Comme je connais les délais de prestation dans les hôtels, je décide que j'ai le temps de passer en vitesse sous la douche, ce que je fais en un quart d'heure. Je passe un string de dentelles et un soutien-gorge assorti pour attendre mon mari. Lorsque je sors de la salle de bain, je pousse un cri : Yousouf est là, un plateau à la main, avec ma bouteille de champagne. Il me dit :
— N'ayez pas peur, j'ai vu votre commande et j'ai décidé de vous la porter moi même.
Il pose le plateau sur le guéridon se retourne et s'approche de moi. Je suis toute gourde, tétanisée, à moitié nue au milieu de la pièce !
J'essaie de cacher une partie de moi-même avec mes bras, mais il n'y en aura jamais assez.
— Que tu es belle Madame, me dit-il.
Le tutoiement m'étonne beaucoup. Il approche encore de moi, ses mains touchent mes épaules, m'agrippent, me tirent vers lui, j'avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller :
— Mais je suis mariée ! Laissez-moi !
— Tu as déjà eu un amant noir ? demande-t-il.
— Non ! Et non, je n'en veux pas. Attention je vais crier !
Il continu sa manœuvre et je me retrouve collée à lui. Sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi. Ma résistance faiblit.
Sentant que je deviens consentante, il s'enhardit et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment puis s'attarde sur le soutien-gorge qu'il dégrafe et fait tomber. Il recule d'un pas pour admirer ma poitrine, ferme et tendue, du 95 C. Ses mains prennent possession de mes mamelons qu'il pétrit.
Sa langue est toujours fichée dans ma bouche, ses lèvres étouffent ma rébellion qui est de plus en plus discrète. Il me pousse vers le lit où je m'écroule sur le dos, la masse imposante du Sénégalais sur moi. Je sens son pubis se frotter sur le mien et c'est sans ambiguïté qu'il exprime à travers les duretés de son bas-ventre le désir que je suscite en lui !
Il me caresse, m'embrasse, suce mes seins, s'attaque à mon entrecuisse, lève mes jambes et fait glisser mon string, dernier et fragile rempart de ma fidélité ! Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue s'active sur ma chatte et mon clitoris. Je ne peux résister plus longtemps aux caresses, mes reins ondulent, je commence à gémir.
Il voit mon accord implicite pour cet accouplement qu'il veut m'imposer. J'essaie pourtant de résister encore un peu pour le principe peut-être :
— Non arrêtez Yousouf, laissez-moi, je ne dirai rien à personne.
— Si Madame, laisse-toi faire, tu as envie de connaître une queue de noir, tu vas adorer, comme toutes les blanches.
Je ne peux que gémir pour toute réponse et il en profite pour accentuer sa prise de possession. Il se redresse, tenant mes jambes levées à 90°, d'une main, pendant que de l'autre, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis de me lâcher et de se déshabiller normalement, il lâche mes chevilles et me demande de garder les cuisses écartelées afin de pouvoir admirer ma chatte. Il ne s'en prive pas, impudique offrande au désir du mâle. Je vois tomber le pantalon et bientôt le slip, libérant un sexe tendu et disproportionné par rapport à ce que je connaissais. Mon mari est pourtant bien membré, mais là, sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 5 ou 6 cm de diamètre, toute noire velouté. Ses couilles, très grosses semblent bien lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin :
— Alors Madame, je n'avais pas raison ? Tu vas aimer !
Je ne sais pas quoi répondre, je suis surtout inquiète pour l'introduction. Il se coule sur moi, fait glisser son engin sur mes poils pubiens et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils s'accrocher aux miens, il continu à embrasser mes seins, à les pétrir, à prendre ma bouche. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes et glisse doucement sur mon bas ventre où je sens glisser son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma féminité. D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con, que je sens se déplisser sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins prend entièrement possession de moi. Je ne peux que pousser un : "Oh ! ouiiii" outragé. Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et de me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et je me livre, esclave consentante, au Sénégalais ravi.
— Oui vas-y, bourre-moi, pistonne-moi à fond. Ensemence-moi !
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi totalement, il se retire, me retourne et me prend en levrette en m'arrachant un cri. La pénétration est encore plus violente et longue que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s'allonge à coté. Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession, je lui dis que mon mari risque de rentrer, mais il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore, que pourrais-je faire ? Au bout d'un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :
— Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Je m'exécute en lui administrant une savante fellation, j'insiste sur le méat, le gland, la hampe, il se remet à bander comme un buffle. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir faire et bientôt j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme.
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Mais Yousouf ne veut pas jouir, pas encore...
Il me fait mettre en levrette m'empoigne par les cheveux, son autre main agrippant mes hanches. Il s'enfonce en moi pour me besogner longuement.
C'est un amant infatigable, rien à voir avec les éjaculateurs précoces auxquels je suis, hélas, habituée. Cette manière animale de me prendre m'excite au plus haut point. Voilà un mâle qui sait me dominer...
Bientôt, mon corps est parcouru de tremblements convulsifs, j'halète, un soupir rauque annonce un autre orgasme, je jouis comme une folle.
Youssouf, lui, n'a pas joui, quel maîtrise !
Il se retire lentement de moi en disant :
— Humm, super ! J'adore faire jouir les femmes, tout spécialement les blanches comme toi.
Mais je comprends vite qu'il en veut maintenant à mon anus. Je lui dis :
— Youssouf, ton sexe est trop gros, pas par là, ce n'est pas possible.
De plus, je n'ai jamais été prise par l'anus. Je tiens à réserver la virginité de mon œillet à mon mari.
— Si, je veux par là aussi. Tu seras à moi, complètement. Je te prendrai comme toutes les autres, par ta bouche, par ta chatte et par ton cul, je te veux toute à moi !
Je n'ai guère le temps de discuter davantage. Il me maintient fermement, je ne peux pas me débattre. Il me viole le cul. Il trempe son index dans ma chatte pleine de son foutre et commence à me dilater l'œillet en entrant de plus en plus profondément son doigt. Au bout de quelques instants, il fait passer son gland sur mon anus et commence à pousser. A mon grand étonnement, mon anus accepte la pénétration, il se dilate et je sens son mandrin continuer la progression, me dilatant encore plus. Bientôt il est installé en moi, victorieux.
Il commence à me labourer de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris de plaisir plus que de douleur ! Ses couilles battent sur mes grandes lèvres dilatées par le précédent assaut. Dépucelée du cul par mon amant noir, je jouis encore une fois en toute impunité, sous le joug de ce maudit Sénégalais.
Je sens enfin les battements de sa queue qui annoncent que ses couilles se vident en moi, je sens les longs jets chaud de son foutre au fond de mes intestins. Nous restons liés un moment, puis il se libère de moi et va se laver dans la salle de bain. Il revient et se rhabille, satisfait d'avoir maté une blanche de plus. Il m'embrasse encore une fois
— Tu verras Madame Solange. Tu ne pourras plus te passer des bites noires...
Un soir, en rentrant de son travail, il m'annonce que son patron lui demande de remplir une mission de quelques jours au Sénégal, à Dakar et que, si je veux, je peux venir avec lui. Je pourrais m'occuper à visiter la ville et à faire de la bronzette. J'accepte avec plaisir, d'autant que rester seule à Abidjan ne m'enchante guère. La semaine suivante, nous nous retrouvons à Dakar, logés dans un hôtel de luxe avec galerie marchande, piscine, et plage à deux pas. À côté, la Place de l'Indépendance et le centre-ville.
Je passe des moments agréables à ne rien faire. Mon mari se lève très tôt car il commence son travail dès 7h30 le matin, pendant qu'il fait encore frais. Je descends à la salle à manger vers 9h30 pour y prendre mon petit-déjeuner. Ensuite c'est plage, piscine, grillade-salade et à nouveau plage, balade en ville dès qu'il fait plus frais. Puis, lorsque mon mari rentre, dîner et soirée en tête à tête et dodo. En fait, je suis souvent seule et après quatre jours, je commence à m'ennuyer.
Ce matin là, je devais avoir la tête de quelqu'un qui s'ennuie ferme, car un des maîtres d'hôtel que je voyais tous les jours, un type très baraqué, 1,90m, 80 kg, Yousouf, s'inquiète de ma tête. Commence alors une longue conversation, qui se prolongera sur plusieurs jours encore. Il est sympathique, il me donne des conseils : où me promener, quoi voir. Il a de l'humour et nous sympathisons, une complicité amicale s'instaure.
Un soir mon mari m'annonce qu'il est obligé de rester dîner avec un client et que je dois me débrouiller seule parce qu'il ne rentrera que vers 23 heures. Je suis partagée entre la déception et la colère de rester seule pour la soirée, mais enfin, c'est mieux que d'être toute seule à Abidjan.
Je descends au restaurant de l'hôtel sous l'œil amical de Yousouf qui me fait servir un bon repas. Je remonte ensuite dans notre chambre vers 21 heures pour prendre ma douche et regarder la télé locale.
Il me vient alors l'idée de faire monter une demi-bouteille de champagne pour me consoler d'être seule. J'appelle la réception et je passe ma commande. Comme je connais les délais de prestation dans les hôtels, je décide que j'ai le temps de passer en vitesse sous la douche, ce que je fais en un quart d'heure. Je passe un string de dentelles et un soutien-gorge assorti pour attendre mon mari. Lorsque je sors de la salle de bain, je pousse un cri : Yousouf est là, un plateau à la main, avec ma bouteille de champagne. Il me dit :
— N'ayez pas peur, j'ai vu votre commande et j'ai décidé de vous la porter moi même.
Il pose le plateau sur le guéridon se retourne et s'approche de moi. Je suis toute gourde, tétanisée, à moitié nue au milieu de la pièce !
J'essaie de cacher une partie de moi-même avec mes bras, mais il n'y en aura jamais assez.
— Que tu es belle Madame, me dit-il.
Le tutoiement m'étonne beaucoup. Il approche encore de moi, ses mains touchent mes épaules, m'agrippent, me tirent vers lui, j'avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller :
— Mais je suis mariée ! Laissez-moi !
— Tu as déjà eu un amant noir ? demande-t-il.
— Non ! Et non, je n'en veux pas. Attention je vais crier !
Il continu sa manœuvre et je me retrouve collée à lui. Sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi. Ma résistance faiblit.
Sentant que je deviens consentante, il s'enhardit et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment puis s'attarde sur le soutien-gorge qu'il dégrafe et fait tomber. Il recule d'un pas pour admirer ma poitrine, ferme et tendue, du 95 C. Ses mains prennent possession de mes mamelons qu'il pétrit.
Sa langue est toujours fichée dans ma bouche, ses lèvres étouffent ma rébellion qui est de plus en plus discrète. Il me pousse vers le lit où je m'écroule sur le dos, la masse imposante du Sénégalais sur moi. Je sens son pubis se frotter sur le mien et c'est sans ambiguïté qu'il exprime à travers les duretés de son bas-ventre le désir que je suscite en lui !
Il me caresse, m'embrasse, suce mes seins, s'attaque à mon entrecuisse, lève mes jambes et fait glisser mon string, dernier et fragile rempart de ma fidélité ! Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue s'active sur ma chatte et mon clitoris. Je ne peux résister plus longtemps aux caresses, mes reins ondulent, je commence à gémir.
Il voit mon accord implicite pour cet accouplement qu'il veut m'imposer. J'essaie pourtant de résister encore un peu pour le principe peut-être :
— Non arrêtez Yousouf, laissez-moi, je ne dirai rien à personne.
— Si Madame, laisse-toi faire, tu as envie de connaître une queue de noir, tu vas adorer, comme toutes les blanches.
Je ne peux que gémir pour toute réponse et il en profite pour accentuer sa prise de possession. Il se redresse, tenant mes jambes levées à 90°, d'une main, pendant que de l'autre, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis de me lâcher et de se déshabiller normalement, il lâche mes chevilles et me demande de garder les cuisses écartelées afin de pouvoir admirer ma chatte. Il ne s'en prive pas, impudique offrande au désir du mâle. Je vois tomber le pantalon et bientôt le slip, libérant un sexe tendu et disproportionné par rapport à ce que je connaissais. Mon mari est pourtant bien membré, mais là, sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 5 ou 6 cm de diamètre, toute noire velouté. Ses couilles, très grosses semblent bien lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin :
— Alors Madame, je n'avais pas raison ? Tu vas aimer !
Je ne sais pas quoi répondre, je suis surtout inquiète pour l'introduction. Il se coule sur moi, fait glisser son engin sur mes poils pubiens et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils s'accrocher aux miens, il continu à embrasser mes seins, à les pétrir, à prendre ma bouche. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes et glisse doucement sur mon bas ventre où je sens glisser son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma féminité. D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con, que je sens se déplisser sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins prend entièrement possession de moi. Je ne peux que pousser un : "Oh ! ouiiii" outragé. Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et de me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et je me livre, esclave consentante, au Sénégalais ravi.
— Oui vas-y, bourre-moi, pistonne-moi à fond. Ensemence-moi !
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi totalement, il se retire, me retourne et me prend en levrette en m'arrachant un cri. La pénétration est encore plus violente et longue que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s'allonge à coté. Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession, je lui dis que mon mari risque de rentrer, mais il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore, que pourrais-je faire ? Au bout d'un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :
— Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Je m'exécute en lui administrant une savante fellation, j'insiste sur le méat, le gland, la hampe, il se remet à bander comme un buffle. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir faire et bientôt j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme.
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Mais Yousouf ne veut pas jouir, pas encore...
Il me fait mettre en levrette m'empoigne par les cheveux, son autre main agrippant mes hanches. Il s'enfonce en moi pour me besogner longuement.
C'est un amant infatigable, rien à voir avec les éjaculateurs précoces auxquels je suis, hélas, habituée. Cette manière animale de me prendre m'excite au plus haut point. Voilà un mâle qui sait me dominer...
Bientôt, mon corps est parcouru de tremblements convulsifs, j'halète, un soupir rauque annonce un autre orgasme, je jouis comme une folle.
Youssouf, lui, n'a pas joui, quel maîtrise !
Il se retire lentement de moi en disant :
— Humm, super ! J'adore faire jouir les femmes, tout spécialement les blanches comme toi.
Mais je comprends vite qu'il en veut maintenant à mon anus. Je lui dis :
— Youssouf, ton sexe est trop gros, pas par là, ce n'est pas possible.
De plus, je n'ai jamais été prise par l'anus. Je tiens à réserver la virginité de mon œillet à mon mari.
— Si, je veux par là aussi. Tu seras à moi, complètement. Je te prendrai comme toutes les autres, par ta bouche, par ta chatte et par ton cul, je te veux toute à moi !
Je n'ai guère le temps de discuter davantage. Il me maintient fermement, je ne peux pas me débattre. Il me viole le cul. Il trempe son index dans ma chatte pleine de son foutre et commence à me dilater l'œillet en entrant de plus en plus profondément son doigt. Au bout de quelques instants, il fait passer son gland sur mon anus et commence à pousser. A mon grand étonnement, mon anus accepte la pénétration, il se dilate et je sens son mandrin continuer la progression, me dilatant encore plus. Bientôt il est installé en moi, victorieux.
Il commence à me labourer de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris de plaisir plus que de douleur ! Ses couilles battent sur mes grandes lèvres dilatées par le précédent assaut. Dépucelée du cul par mon amant noir, je jouis encore une fois en toute impunité, sous le joug de ce maudit Sénégalais.
Je sens enfin les battements de sa queue qui annoncent que ses couilles se vident en moi, je sens les longs jets chaud de son foutre au fond de mes intestins. Nous restons liés un moment, puis il se libère de moi et va se laver dans la salle de bain. Il revient et se rhabille, satisfait d'avoir maté une blanche de plus. Il m'embrasse encore une fois
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire ou la queue énorme d'un black comble complètement la chatte d'une blanche avec de longs jets de sperme tiède sur l'utérus. Je conseille à cette blanche 2 bites dans sa chatte et une dans son cul.