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Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un quart d’heure plus tard attablé, dans le fameux bistrot, je la vois arriver. Olivia, est tout le contraire de Samantha, Grande, blonde élancée, avec des jambes interminables, et de touts petits seins. Vétue d’un jean et d’un crop-top qui laisse ses abdos à l’air, elle traverse la rue en courant, et me cherche de ses immenses yeux bleus. Un sourire éclaire son visage quand elle me repère, et elle vient s’installer face à moi, après m’avoir claqué deux grosses bises.
-Alors ! qu’est ce que tu as de si important à me dire ?
Je lui propose de commander. Je prends un café, et elle, un Perrier tranche.
- Comme tu sais, nous devons nous voir demain., et les Saint Martin aussi
- Oui, je sais, mais si vous avez un souci, on annule.
- C’est plus compliqué que ça.
Elle me dévisage, l’air interrogatif.
-Dis moi ! Tu ne m’as pas fait venir pour ne rien me dire…
- Je sais, mais c’est un peu génant.
Tant pis, je me lance.
-Tout va bien avec Philippe ?
Son sourire s’efface, je vois ses traits se tirer, et ses épaules s’affaisser.
- Tu es donc au courant. Constate t’elle
- En effet.
- En sachant ce que je sais, j’aurais dû refuser votre invitation, mais je n’en ai pas eu le courage. Pourtant, je sais que de la croiser risque de me faire exploser.
- Je te comprends. Moi aussi j’ai pensé annuler, mais ça paraitrait bizarre pour
Les autres.
- Quand j’ai appris qu’ils venaient, j’ai tout de suite su que c’était une mauvaise idée.
- Tu penses que ce serait mieux sans les Saint-Martin ? dis-je incrédule
- Evidemment ! comment tu veux que je le prenne ?
- Mais tu n’en veux pas à Sam ?
- A Sam ? mais ce n’est pas de sa faute. C’est bien l’autre pouffiasse de Véro qui a couché avec Philippe !
Alors, là ! je suis au bord de tomber de ma chaise. Philippe coucherait aussi avec Véronique Saint-Martin ?
Incapable de rassembler mes pensées, je bredouille.
- Mais, il y a longtemps ?
- Ça fait six mois que ça dure, Le pire c’est qu’ils se cachent à peine. Je les ai fimés en train de baiser dans la voiture (tiens, c’est une habitude). Ils vont à l’hotel, ou le font en forêt, et même à la maison.
Devant ces révélations, je reste sans voix. Comment lui dire qu’elle ne sait qu’une partie de la vérité.
- Tu ne peux pas savoir, toi, avec Samantha, vous formez un si beau couple.
- Ben, justement…
Elle me regarde alors, surprise.
- Quoi ? tu l’as trompée ?
- Moi, non.
- C’est elle qui… ?
J’acquièsce doucement.
- Tu sais avec qui ? reprend elle
J’opine du chef.
- Je le connais ?
Je la regarde, en mettant toute la compassion possible dans mes yeux.
- Oh, non. Pas lui. Dis moi que ce n’est pas Philippe !
Je me contente de la regarder. Elle a déjà compris.
- Oh, quelle honte ! gémit elle. Tu es sur ?
De nouveau, je me contente d’acquiescer.
- Quand ça ?
- Cet après-midi, à la maison.
- Oh comme je suis désolée, me dit elle, les yeux embués de larmes, en me prenant les mains.
- Tu n’es responsable de rien Olivia. Tout comme moi, tu as été trompée. Depuis que je l’ai appris, je n’arrête pas de me demander pourquoi. Il y a certainement des raisons.
- De mon côté, j’ai fait tout ce que je pouvais pour qu’il se sente heureux et n’aille pas voir ailleurs. J’ai tout accepté, mais plus j’acceptais, plus il en voulait, et il poussait les limites de plus en plus loin. Au final ça n’a rien changé. Philippe a toujours été un coureur. Il ne peut pas croiser une jolie femme sans essayer de la séduire. Je pensais, qu’au moins, il respecterait nos amis.
- Je pensais aussi que Sam ne me ferait pas ça. Elle n’a jamais été très demandeuse de sexe, et moi, je respectais ça, en me disant que c’était comme ça, mais il y avait autre chose. Elle s’est détachée de moi, au moins sexuellement. Peut-être la routine a-t-elle abimé notre relation. Que faire alors ?
- Je suis comme toi, me dit Olivia, jusqu’à présent j’ai laissé passer l’orage. Il est toujours revenu.
- Tu crois que c’est ce qu’il faut faire ?
- A moins de provoquer un esclandre, ou de les quitter, je ne vois que ça.
- Je dois t’avouer une chose. Quand je les ai vu faire l’amour, j’étais en colère, bien sur, mais au fond de moi, j’étais aussi excité par ce que j’ai vu.
- Je n’ai jamais vu Philippe baiser une autre femme, mais je ne crois pas que ça puisse faire autre chose que m’énerver.
- Revenons en à ce week-end. Je te propose de faire comme si rien n’était, et de voir ensuite si ce n’était qu’un égarement passager.
- Je ne sais pas si je pourrais me contenir face à Véro, et Sam.
- Il faut faire un effort, et essayer de comprendre.
Le lendemain matin, je sirote mon café, tout en ressassant des pensées moroses. Samantha, est passée à la salle de bain, et arrive, fraiche, vétue d’une robe légère assez courte. Je ne réalise pas tout de suite qu’elle me parle.
Hier soir, elle est rentrée assez tard, prétextant une surcharge de travail. Après un diner frugal, elle est partie se coucher, fatiguée, me laissant seul devant la télé ; un film policier à l’intrigue trop compliquée quand on pense à autre chose.
Ce n’est donc pas Olivia qui m’a téléphoné. Ce détail n’a que peu d’importance, si ce n’est que, forcément, quelqu’un d’autre que les principaux concernés, est au courant de ses infidélités. Mais qui donc.
- J’y vais !
- Hein ? Où ça ?
- Je viens de te le dire, je vais chez le boucher pour les grillades, et je passe chercher le pain. Tu m’as l’air de rêver, ce matin. Me dit elle avec un sourire.
- Essaie de t’occuper du vin et de préparer le barbecue. Ajoute t’elle avant de filer.
Je rêve ? non, je cauchemarde plutôt. Je m’ébroue, et m’occupe à préparer le barbecue, après avoir remonté de la cave quelques vins légers, que je mets au frais. Puis je file à la douche.
Je suis sous le jet tiède, toujours morose, quand j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir. Samantha est de retour.
J’arrête l’eau et sors de la cabine, pour me retrouver face à notre amie Véronique.
Nu comme un ver, je la vois me détailler en riant.
-On a sonné, mais personne ne répondait, me dit elle, sans cesser de me mater. Comme la porte était ouverte on est entrés.
-Désolé Véro, dis-je , mais pourrais. Tu me passer le peignoir derrière toi.
Elle est plantée entre moi et le vêtement suspendu à un crochet.
-Ah oui, bien sur, répond elle en se retournant.
Elle me tend le vêtement,
-Tu sais que tu n’es pas si mal.
Commente Véro, pendant que j’enfile le peignoir, et le ferme du mieux que je peux.
- On va peut-être aller retrouver Robert, dis-je en la poussant vers la sortie
- Tu ne me dis pas bonjour ?
Elle se colle à moi et se pend à mon cou. Je sens ses seins, libre sous le débardeur noir, et son bassin s’appuie plus que nécessaire contre moi, pour me faire la bise.
Je me dégage, et nous sortons. Nous retrouvons Robert dans le séjour.
- Ah, Elle t’a trouvé ! s’exclame t’il en me voyant
Je le salue, et explique ma tenue.
- En fait elle en a profité pour se rincer l’œil, me fait il.
A ce moment là, Sam revient, avec Olivia et Philippe qu’elle a trouvés devant la porte.
Je profite des embrassades pour m’esquiver et aller enfiler un bermuda et un tee-shirt.
La journée s’annonce ensoleillée, tout le monde se retrouve sur la terrasse.
Pendant que je prépare le barbecue, Philippe et Robert, se sont débarrassés de leurs vêtements et plongent dans l’eau déjà turquoise.
Les filles, plus frileuses, se contentent de s’allonger sur les transats pour profiter des rayons du soleil.
Le feu lancé, je vais cueillir un peu de menthe fraiche pour préparer des mojitos pour tout le monde.
Galanterie oblige, je commence par ces dames, et vais leur remettre leurs verres. Véronique est serrée dans un short, si mini qu’il moule les détails de son anatomie, ses fesses rebondies débordant largement du tissu effrangé. Son débardeur, au contraire, est si large, que lorsque elle se soulève sur les coudes pour prendre sa boisson, l’échancrure latérale me dévoile ses seins. Elle ne manque pas de s’en apercevoir, et me fait un clin d’œil,. Je me tourne vers Olivia pour la servir à son tour.
Son crop-top chamarré boutonné par devant s’arrête sous sa modeste poitrine, et laisse à l’air son ventre plat aux abdos bien bronzés, une courte jupe croisée ne couvre que le haut de ses cuisses mettant en valeur la ligne élancée de sa silhouette.
Samantha s’assied au bord du transat pour prendre son apéro. Dans le mouvement, sa robe printanière déjà courte, remonte et je découvre son sexe épilé, libre de culotte. Elle aussi remarque mon regard, et me sourit en écartant légèrement les genoux.
Décidément, quel changement ! Moi qui connaissais Samantha pudique je suis surpris. Elle ne fait du topless que lorsque nous sommes seuls et pour elle, pas question de sortir sans culotte, sauf avec une robe fourreau longue sous laquelle le moindre sous vêtement se voit.
-« ça va ? tu n’as pas froid ? » je lui demande faussement innocent.
-« Non, je pense que nous allons avoir très chaud » répond elle en glissant sa main entre ses cuisses.
Robert et Philippe nous rejoignent et se joignent à nous pour un premier toast.
Les apéros s’enchainent et les mignardises ajoutées à l’alcool nous font percevoir la chaleur de plus en plus. Régulièrement, Robert et Philippe vont sauter dans l’eau pour se rafraichir. Coincé, entre les verres à remplir et la cuisson des viandes, je les envie un peu.
Les filles ne restent pas sur la réserve trop longtemps. Après quelques allers retours des gars, Véro se lève et lance :
-Moi aussi, je commence à crever de chaud. On va se tremper les filles.
- Tu as pris un maillot ? lui demande Samantha.
- Oups, j’ai oublié, fait Véronique dans un sourire.
- Suis moi. Dit Samantha en se levant ; je vais bien trouver quelque chose à te prêter.
Les deux filles s’engouffrent dans la maison.
- Tu ne te baignes pas ? lance Robert à Olivia.
Celle-ci se lève, et dégraffe sa courte jupe qui tombe à ses pieds, dévoilant un bas de maillot blanc assorti à son haut.
- De mon côté, j’avais prévu, nous dit elle avec un sourire, avant de s’élancer et de plonger dans la piscine.
Quelques minutes plus tard, Véronique et Samantha reparaissent. La première uniquement vétue d’un mini slip noir s’avance sans pudeur, ondulant légèrement, ses obus fermes et bronzés la précedant.
Après avoir échangé un regard, les hommes sifflent copieusement cette arrivée. Derrière elle Samantha est plus discrète dans un maillot une pièce, mais quand elle passe devant moi, je constate qu’il est largement échancré au niveau du postérieur. Le décolleté plonge entre les seins jusqu’au nombril, seins que les deux triangles ont bien du mal à contenir et qui débordent sur les côtés.
Tout le monde se retrouve à l’eau et chahute joyeusement. J’ai eu le temps de réserver mes plats au chaud, et après m’être débarrassé de mon bermuda, sous lequel je porte déjà mon maillot boxer noir, je cours les rejoindre.
A partir de ce moment là, tout le monde joua à couler l’un ou l’autre ou a venir tirer le maillot. Les mains se faisaient baladeuses, mais dans l’euphorie du jeu, personne ne s’en offusquait.
Je remarquais, quand même qu’Olivia, venais se frotter à moi assez ostensiblement, ses doigts longs venant caresser mes fesses, ou effleurer mon sexe. A deux reprises, après m’avoir mis la tête sous l’eau, elle vint m’embrasser légèrement sur les lèvres pour se faire pardonner.
Nos estomacs commençant à crier famine, et le bain ayant un peu calmé les effets de l’alcool, il fut bientôt temps d’aller déjeuner. Tandis que les hommes restaient en maillot de bain, les femmes préférèrent se changer, pour ne pas garder sur elles leur maillot mouillé. Véronique, après s’être essuyée, fit rapidement descendre son mini slip, et l’enjamba pour enfiler son short, nous laissant apprécier, l’espace de quelques secondes, son derrière rebondi. Samantha, à mon étonnement, roula sur ses hanches son maillot, dévoilant sa poitrine ferme aux pointes érigées, avant d’enfiler sa courte robe, et de faire glisser à terre son maillot. Pendant ce temps, Olivia était sortie du bassin, et tout le mon s’était rendu compte que son maillot blanc, rendu transparent par l’eau révélait sa fente, manifestement épilée. Devant cette évidence, elle défit les attaches de son haut sous lequel on voyait clairement ses petits seins pointus, pour mettre au jour ces deux jumeaux. Elle enfila ensuite sa jupe et un petit top rose, et, comme l’avait fait Samantha, passa les mains sous la jupe pour délacer les ficelles de son bas, qui chuta à ses pieds.
Nous passâmes à table, bien émoustillés de savoir nos épouses sans culotte, pour deux d’entre elles, alors que Véronique restait seins nus, comme un défi.
Le repas fut joyeux et arrosé de vin rosé bien frais. Les commentaires égrillards sur la poitrine de Véronique, n’entamèrent pas la bonne humeur, et Samantha, comme Olivia indiquèrent que leurs atouts ne pouvaient lutter avec les seins de Véro. Robert leur demanda, si c’était une compensation d’être restées sans culotte. Olivia
Lui répondit que c’était juste pour éviter de garder un maillot mouillé, et que des
Gentlemen auraient dû faire comme s’ils n’avaient rien vu.
Je m’empressai alors de dire que nos femmes étaient si jolies et si attirantes, que le moindre de leur geste captait notre regard, et nous émoustillait. Je complétais mon commentaire en leur disant que nous les avions déjà vues bien plus déshabillées, à la plage.
Les autres hommes m’approuvèrent d’autant que Roberto, avait une main sous la table alors que Véronique semblait être distante, comme si elle se concentrait sur autre chose. Olivia avait rougi, et Samantha, assise de côté, entrouvrait ses cuisses, comme pour me faire apprécier la vue.
-Contrairement à nous, les hommes ont une imagination toujours orientée sexe, commenta Véronique, Un rien les excite
- Et vous savez bien comment faire ; répondit Robert ; en nous laissant voir peu de choses mais qui en suggèrent d’autres.
Le repas s’acheva sur un ton légèrement égrillard, où tout le monde y allait de ses impressions, dévoilant à mots, à peine couverts , ses désirs avoués ou non.
Le café, pris, les femmes partirent s’étendre sur les transats au soleil, après avoir remis leur maillot, déjà sec, pour celles qui l’avaient oté. Suivant l’exemple de Véronique, Samantha et Olivia avaient opté pour le topless, ce qui était une évolution de la part de ces deux jeunes femmes qui ne s’exposaient que rarement.
Nous en étions au digestif, et Philippe, s’excusa et partit pour une sieste, à l’intérieur, craignant les rayons solaires sur sa peau.
Samantha nous interpella,
- Un de ces messieurs pourrait il venir nous passer de la crème solaire ?
Aussitôt, Robert se leva pour proposer ses services, et vint s’asseoir au bord du bain de soleil de mon épouse. Il versa un peu d’onguent dans ses mains et commença à masser doucement, les épaules et le dos de Sam, qui, à plat ventre, les yeux fermés, la tête sur ses bras, semblait dormir.
Je me proposais, à mon tour, et Véronique, à la peau brune, refusa l’onction, mais me conseilla de m’occuper d’Olivia, dont la peau blanche, plus fragile, avait besoin de protection. Son mari ayant déserté, il ne restait que moi.
Je m’installai donc auprès d’Olivia et entrepris de lui enduire le dos, en commençant par le cou. Je descendais ensuite sur son dos, mes mains venant effleurer le côté de ses seins. Je sentais Olivia, légèrement crispée au début, accepter peu à peu mes mains et ses muscles se détendaient sous mes doigts.
A quelques mêtres, Robert était arrivé au bas du dos de Sam, et avait délicatement descendu le slip,pour ne pas le tâcher, laissant apparaître le début des fesses, et la marque plus claire de son hâle. Il passa ensuite sur les jambes, en partant du bas, malaxant les mollets longuement avant de remonter sur les cuisses.
Je fis de même, sans descendre le maillot, et massai les longues jambes d’Olivia, remontant progressivement sur ses cuisses jusqu’à la naissance de ses fesses. Olivia écarta complaisamment les jambes, pour que je puisse enduire l’intérieur des cuisses. Je remarquais que Samantha en avait fait autant. Elle tira sur son maillot pour le faire rentrer dans ses fesses, à la manière d’un string, appel implicite à s’occuper de son postérieur ainsi dévoilé. Robert vont aussitôt masser les globes, ses doigts effleurant l’intimité de Sam quand ils replongeaient entre ses jambes.
Alors que je massais l’arrière de ses cuisses, Olivia descendit ses bras, et d’un geste, vint dénouer les ficelles retenant son slip de bain, avant de reprendre sa position alanguie. Ses flancs étaient maintenant dénudés et seul, un petit triangle de tissu restait posé sur des fesses que j’entrepris d’enduire. Mes doigts longeant le maillot repoussaient le triangle qui n’était plus tenu et finit par glisser entre ses jambes, dévoilant son petit cul bien rond, et son abricot épilé.
Du côté de Robert, son massage avait pris un tour plus sensuel et Sam laissait échapper quelques soupirs de plaisir, ce qu’il parut ignorer.
Je m’appliquais à enduire les jolies fesses d’Olivia, en longeant le sillon fessier, mais constatais rapidement que sa chatte s’entrouvrait et s’humidifiait. Après une courte hésitation je laissai mes doigts suivre le sillon et vis s’ouvrir sa fleur que j’explorais du bout des doigts en remontant une trainée humide jusqu’à son anus, bien révélé par l’ouverture, encore accentuée de ses cuisses. Son bassin venait au devant de ma main et mon doigt fut aspiré par son sexe gourmand dans lequel je m’enfonçais. J’agitais mon médius dans son antre titillant le point G sans trop remuer. Elle avança le bassin, me faisant sortir, mais le repoussa vers moi venant poser son petit trou sur l’extrémité de mon doigt, qui s’enfonça sans effort dans l’anneau plissé, arrachant à la belle un long soupir. Aussitôt elle me repoussa et se retourna face à moi, les yeux rivés dans les miens en rattachant son bas de maillot
Samantha se retourna également,et la dévisagea d’un air suspicieux.
Les deux femmes allongées sur le dos nous offraient leurs poitrines aux tétons bien érigés.
Après avoir repris de la crème, mon regard croisa celui de Robert, et je battis des paupières, donnant mon accord. Il repartit des épaules pour arriver très vite aux seins, qu’il empauma sans hésiter, puis les malaxa longuement provoquant un gémissement de bonheur. Le même traitement fut appliqué à Olivia. Après avoir torturé ses seins, je descendis sur son ventre et son bas ventre, contournant le triangle de tissu, pour suivre l’aine et agacer ainsi son pubis qui se soulevait de manière incontrôlée au devant de ma main.
Samantha, heureusement gardait les yeux fermés. Je terminais rapidement le devant des deux jambes au moment où elle rouvrit les yeux et remercia Robert.
Robert partit se rafraichir dans la piscine. Véronique s’était éclipsée. Après m’être baigné à mon tour, je me prélassais sur un bain de soleil. Une demi-heure plus tard,
J’émergeais, réalisant que je m’étais assoupi. Un peu plus loin, Robert ronflait comme un bienheureux, et Samantha et Olivia, immobiles, l’une sur le dos, et l’autre à plat-ventre lézardaient.
Véronique n’était pas revenue, et je décidai d’aller faire un tour à l’intérieur pour voir où elle était. Après avoir fait le tour du séjouret constaté qu’elle n’était pas dans un des canapés, je ne la trouvai, ni dans la cuisine, ni dans le bureau, et me dirigeai vers la partie nuit. Je longeai le couloir pour aller vérifier si elle n’était pas dans une des chambres d’amis. Philippe m’avait dit qu’il prenait celle du fond ; je ne trouvais Véro dans aucune des trois autres, mais j’entendis du bruit veant de la chambre du fond. Je m’approchai doucement de la porte légèrement entrebaillée qui laissait passer des bruits de gémissements évocateurs. Arrivé derrière la porte, je la poussai un peu, et découvris la confirmation de ce qu’Olivia m’avait dit.
A genoux entre les jambes de Philippe, Véro lui prodiguait une fellation ardente, lui arrachant des soupirs et des gémissements de plaisir. Je voyais clairement sa grande bouche butinant le gland de son mat bien tendu, et l’engoufrant en gorge profonde, tout en lui caressant les testicules. Philippe lui appuyait sur la tête régulièrement, imprimant un rythme plus rapide aux mouvements de Véro, qui, visiblement comprit le message et faufilant sa main sous ses fesses, lui planta un doigt dans le cul, le faisant décoller du lit.
Elle se dégagea ensuite, et remonta sur lui, s’empalant sur sa queue d’un mouvement, avant de le chevaucher à grands coups de reins. De son côté, Philippe, lui malaxait les seins, l’encourageant de la voix :
-Oh oui, vas y bebe, donne tout, je sens ta chatte bien chaude !
- Ah, baise moi, je vais t’essorer les couille jusqu’à ce que tu n’aies plus une goutte à me donner. Allez ! remplis moi bien ! répondait celle-ci
A ce moment, je sentis une présence derrière moi. En me retournant, je découvris Olivia, en maillot de bain, dans la pénombre du couloir, les yeux grands ouverts. Elle se rapprocha de moi, et regardant par-dessus mon épaule, se figea, la main sur sa bouche pour s’empêcher de crier, et les yeux se remplissant de larmes.
Je la pris par les épaules et l’entrainais dans la salle de bain, toute proche. Elle se laissa emmener tandis que je lui murmurais que ça allait aller, que c’était une passade.
A ce moment, alors qu’elle était tout contre moi, elle se recula d’un coup, et son regard se dirigea vers mon bermuda, bien déformé par une puissante érection
-Tu bandes en regardant Philippe baiser cette salope ! me lança t’elle horifiée
-Non, Olivia, la scène de sexe m’a excité un peu, mais je réprouve ce que j’ai vu. Ensuite, le contact avec ton corps a fait le reste.
-Oh ! c’est moi qui… je suis désolée ; je ne voulais pas…
-Je sais bien, mais je ne suis qu’un homme.
-Excuse moi. Je ne suis pas comme Véro. Te provoquer n’était pas mon idée.
-Je sais Olivia
- Que puis-je faire, maintenant ?
-Rien, rassure toi, ça va passer.
- Tu es si gentil. Dit elle en se collant à moi
-Si tu te colles à moi, comme ça, ça ne va pas s’arranger
-Oh, pardon, s’excusa t’elle en reculant un peu
Son regard se fixa sur mon short, copieusement déformé, et sa main vint se plaquer sur ma queue.
-ce n’est pas une bonne idée.
-Ce n’est pas pire que ce qu’ils font, à côté. Murmura t’elle en faisant coulisser sa main sur mon sexe par-dessus le tissu. Ses doigts se faufilèrent sous le tissu pour
Empoigner mon membre. Je sentis sa main se refermer sur moi et commencer à me branler doucement.
-Mais, je…
-Chhhht, ne dis rien. Mon mari est en partie responsable de mon état. Je vais juste t’aider un peu. N’y vois aucun sentiment.
A ces mot, elle s’agenouilla devant moi, et tira mon bermuda vers le bas, libérant mon sexe tendu. Sans attendre, elle emboucha mon gland, l’agaçant de sa langue, puis elle enfourna d’un coup ma queue toute entière qu’elle se mit à pomper vigoureusement, en me caressant les boules. Seul le bruit de sucion résonnait dans la pièce. Sa tête allait et venait sous moi, exacerbant mes sens. Ne pouvant me retenir, je la saisis et me mis à baiser sa bouche sans retenue jusqu’à ce que je sente le plaisir enflammer mes reins. La maintenant contre moi, j’inondais sa bouche en continuant d’aller et venir, et l’entendis déglutir bruyament. Repu, et un peu confus, je la libérai, mais elle continua à me sucer, sa langue enveloppant mon sexe qui rapetissait jusqu’à ce qu’il soit nettoyé.
Elle remit mon bermuda en place et se releva, me fixant de ses yeux clairs.
- Je n’avale pas d’habitude. Tu m’as carrément violé la bouche, mais je suppose que j’aurais dû m’y attendre. Commenta t’elle, avant de s’enfuir.
-Alors ! qu’est ce que tu as de si important à me dire ?
Je lui propose de commander. Je prends un café, et elle, un Perrier tranche.
- Comme tu sais, nous devons nous voir demain., et les Saint Martin aussi
- Oui, je sais, mais si vous avez un souci, on annule.
- C’est plus compliqué que ça.
Elle me dévisage, l’air interrogatif.
-Dis moi ! Tu ne m’as pas fait venir pour ne rien me dire…
- Je sais, mais c’est un peu génant.
Tant pis, je me lance.
-Tout va bien avec Philippe ?
Son sourire s’efface, je vois ses traits se tirer, et ses épaules s’affaisser.
- Tu es donc au courant. Constate t’elle
- En effet.
- En sachant ce que je sais, j’aurais dû refuser votre invitation, mais je n’en ai pas eu le courage. Pourtant, je sais que de la croiser risque de me faire exploser.
- Je te comprends. Moi aussi j’ai pensé annuler, mais ça paraitrait bizarre pour
Les autres.
- Quand j’ai appris qu’ils venaient, j’ai tout de suite su que c’était une mauvaise idée.
- Tu penses que ce serait mieux sans les Saint-Martin ? dis-je incrédule
- Evidemment ! comment tu veux que je le prenne ?
- Mais tu n’en veux pas à Sam ?
- A Sam ? mais ce n’est pas de sa faute. C’est bien l’autre pouffiasse de Véro qui a couché avec Philippe !
Alors, là ! je suis au bord de tomber de ma chaise. Philippe coucherait aussi avec Véronique Saint-Martin ?
Incapable de rassembler mes pensées, je bredouille.
- Mais, il y a longtemps ?
- Ça fait six mois que ça dure, Le pire c’est qu’ils se cachent à peine. Je les ai fimés en train de baiser dans la voiture (tiens, c’est une habitude). Ils vont à l’hotel, ou le font en forêt, et même à la maison.
Devant ces révélations, je reste sans voix. Comment lui dire qu’elle ne sait qu’une partie de la vérité.
- Tu ne peux pas savoir, toi, avec Samantha, vous formez un si beau couple.
- Ben, justement…
Elle me regarde alors, surprise.
- Quoi ? tu l’as trompée ?
- Moi, non.
- C’est elle qui… ?
J’acquièsce doucement.
- Tu sais avec qui ? reprend elle
J’opine du chef.
- Je le connais ?
Je la regarde, en mettant toute la compassion possible dans mes yeux.
- Oh, non. Pas lui. Dis moi que ce n’est pas Philippe !
Je me contente de la regarder. Elle a déjà compris.
- Oh, quelle honte ! gémit elle. Tu es sur ?
De nouveau, je me contente d’acquiescer.
- Quand ça ?
- Cet après-midi, à la maison.
- Oh comme je suis désolée, me dit elle, les yeux embués de larmes, en me prenant les mains.
- Tu n’es responsable de rien Olivia. Tout comme moi, tu as été trompée. Depuis que je l’ai appris, je n’arrête pas de me demander pourquoi. Il y a certainement des raisons.
- De mon côté, j’ai fait tout ce que je pouvais pour qu’il se sente heureux et n’aille pas voir ailleurs. J’ai tout accepté, mais plus j’acceptais, plus il en voulait, et il poussait les limites de plus en plus loin. Au final ça n’a rien changé. Philippe a toujours été un coureur. Il ne peut pas croiser une jolie femme sans essayer de la séduire. Je pensais, qu’au moins, il respecterait nos amis.
- Je pensais aussi que Sam ne me ferait pas ça. Elle n’a jamais été très demandeuse de sexe, et moi, je respectais ça, en me disant que c’était comme ça, mais il y avait autre chose. Elle s’est détachée de moi, au moins sexuellement. Peut-être la routine a-t-elle abimé notre relation. Que faire alors ?
- Je suis comme toi, me dit Olivia, jusqu’à présent j’ai laissé passer l’orage. Il est toujours revenu.
- Tu crois que c’est ce qu’il faut faire ?
- A moins de provoquer un esclandre, ou de les quitter, je ne vois que ça.
- Je dois t’avouer une chose. Quand je les ai vu faire l’amour, j’étais en colère, bien sur, mais au fond de moi, j’étais aussi excité par ce que j’ai vu.
- Je n’ai jamais vu Philippe baiser une autre femme, mais je ne crois pas que ça puisse faire autre chose que m’énerver.
- Revenons en à ce week-end. Je te propose de faire comme si rien n’était, et de voir ensuite si ce n’était qu’un égarement passager.
- Je ne sais pas si je pourrais me contenir face à Véro, et Sam.
- Il faut faire un effort, et essayer de comprendre.
Le lendemain matin, je sirote mon café, tout en ressassant des pensées moroses. Samantha, est passée à la salle de bain, et arrive, fraiche, vétue d’une robe légère assez courte. Je ne réalise pas tout de suite qu’elle me parle.
Hier soir, elle est rentrée assez tard, prétextant une surcharge de travail. Après un diner frugal, elle est partie se coucher, fatiguée, me laissant seul devant la télé ; un film policier à l’intrigue trop compliquée quand on pense à autre chose.
Ce n’est donc pas Olivia qui m’a téléphoné. Ce détail n’a que peu d’importance, si ce n’est que, forcément, quelqu’un d’autre que les principaux concernés, est au courant de ses infidélités. Mais qui donc.
- J’y vais !
- Hein ? Où ça ?
- Je viens de te le dire, je vais chez le boucher pour les grillades, et je passe chercher le pain. Tu m’as l’air de rêver, ce matin. Me dit elle avec un sourire.
- Essaie de t’occuper du vin et de préparer le barbecue. Ajoute t’elle avant de filer.
Je rêve ? non, je cauchemarde plutôt. Je m’ébroue, et m’occupe à préparer le barbecue, après avoir remonté de la cave quelques vins légers, que je mets au frais. Puis je file à la douche.
Je suis sous le jet tiède, toujours morose, quand j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir. Samantha est de retour.
J’arrête l’eau et sors de la cabine, pour me retrouver face à notre amie Véronique.
Nu comme un ver, je la vois me détailler en riant.
-On a sonné, mais personne ne répondait, me dit elle, sans cesser de me mater. Comme la porte était ouverte on est entrés.
-Désolé Véro, dis-je , mais pourrais. Tu me passer le peignoir derrière toi.
Elle est plantée entre moi et le vêtement suspendu à un crochet.
-Ah oui, bien sur, répond elle en se retournant.
Elle me tend le vêtement,
-Tu sais que tu n’es pas si mal.
Commente Véro, pendant que j’enfile le peignoir, et le ferme du mieux que je peux.
- On va peut-être aller retrouver Robert, dis-je en la poussant vers la sortie
- Tu ne me dis pas bonjour ?
Elle se colle à moi et se pend à mon cou. Je sens ses seins, libre sous le débardeur noir, et son bassin s’appuie plus que nécessaire contre moi, pour me faire la bise.
Je me dégage, et nous sortons. Nous retrouvons Robert dans le séjour.
- Ah, Elle t’a trouvé ! s’exclame t’il en me voyant
Je le salue, et explique ma tenue.
- En fait elle en a profité pour se rincer l’œil, me fait il.
A ce moment là, Sam revient, avec Olivia et Philippe qu’elle a trouvés devant la porte.
Je profite des embrassades pour m’esquiver et aller enfiler un bermuda et un tee-shirt.
La journée s’annonce ensoleillée, tout le monde se retrouve sur la terrasse.
Pendant que je prépare le barbecue, Philippe et Robert, se sont débarrassés de leurs vêtements et plongent dans l’eau déjà turquoise.
Les filles, plus frileuses, se contentent de s’allonger sur les transats pour profiter des rayons du soleil.
Le feu lancé, je vais cueillir un peu de menthe fraiche pour préparer des mojitos pour tout le monde.
Galanterie oblige, je commence par ces dames, et vais leur remettre leurs verres. Véronique est serrée dans un short, si mini qu’il moule les détails de son anatomie, ses fesses rebondies débordant largement du tissu effrangé. Son débardeur, au contraire, est si large, que lorsque elle se soulève sur les coudes pour prendre sa boisson, l’échancrure latérale me dévoile ses seins. Elle ne manque pas de s’en apercevoir, et me fait un clin d’œil,. Je me tourne vers Olivia pour la servir à son tour.
Son crop-top chamarré boutonné par devant s’arrête sous sa modeste poitrine, et laisse à l’air son ventre plat aux abdos bien bronzés, une courte jupe croisée ne couvre que le haut de ses cuisses mettant en valeur la ligne élancée de sa silhouette.
Samantha s’assied au bord du transat pour prendre son apéro. Dans le mouvement, sa robe printanière déjà courte, remonte et je découvre son sexe épilé, libre de culotte. Elle aussi remarque mon regard, et me sourit en écartant légèrement les genoux.
Décidément, quel changement ! Moi qui connaissais Samantha pudique je suis surpris. Elle ne fait du topless que lorsque nous sommes seuls et pour elle, pas question de sortir sans culotte, sauf avec une robe fourreau longue sous laquelle le moindre sous vêtement se voit.
-« ça va ? tu n’as pas froid ? » je lui demande faussement innocent.
-« Non, je pense que nous allons avoir très chaud » répond elle en glissant sa main entre ses cuisses.
Robert et Philippe nous rejoignent et se joignent à nous pour un premier toast.
Les apéros s’enchainent et les mignardises ajoutées à l’alcool nous font percevoir la chaleur de plus en plus. Régulièrement, Robert et Philippe vont sauter dans l’eau pour se rafraichir. Coincé, entre les verres à remplir et la cuisson des viandes, je les envie un peu.
Les filles ne restent pas sur la réserve trop longtemps. Après quelques allers retours des gars, Véro se lève et lance :
-Moi aussi, je commence à crever de chaud. On va se tremper les filles.
- Tu as pris un maillot ? lui demande Samantha.
- Oups, j’ai oublié, fait Véronique dans un sourire.
- Suis moi. Dit Samantha en se levant ; je vais bien trouver quelque chose à te prêter.
Les deux filles s’engouffrent dans la maison.
- Tu ne te baignes pas ? lance Robert à Olivia.
Celle-ci se lève, et dégraffe sa courte jupe qui tombe à ses pieds, dévoilant un bas de maillot blanc assorti à son haut.
- De mon côté, j’avais prévu, nous dit elle avec un sourire, avant de s’élancer et de plonger dans la piscine.
Quelques minutes plus tard, Véronique et Samantha reparaissent. La première uniquement vétue d’un mini slip noir s’avance sans pudeur, ondulant légèrement, ses obus fermes et bronzés la précedant.
Après avoir échangé un regard, les hommes sifflent copieusement cette arrivée. Derrière elle Samantha est plus discrète dans un maillot une pièce, mais quand elle passe devant moi, je constate qu’il est largement échancré au niveau du postérieur. Le décolleté plonge entre les seins jusqu’au nombril, seins que les deux triangles ont bien du mal à contenir et qui débordent sur les côtés.
Tout le monde se retrouve à l’eau et chahute joyeusement. J’ai eu le temps de réserver mes plats au chaud, et après m’être débarrassé de mon bermuda, sous lequel je porte déjà mon maillot boxer noir, je cours les rejoindre.
A partir de ce moment là, tout le monde joua à couler l’un ou l’autre ou a venir tirer le maillot. Les mains se faisaient baladeuses, mais dans l’euphorie du jeu, personne ne s’en offusquait.
Je remarquais, quand même qu’Olivia, venais se frotter à moi assez ostensiblement, ses doigts longs venant caresser mes fesses, ou effleurer mon sexe. A deux reprises, après m’avoir mis la tête sous l’eau, elle vint m’embrasser légèrement sur les lèvres pour se faire pardonner.
Nos estomacs commençant à crier famine, et le bain ayant un peu calmé les effets de l’alcool, il fut bientôt temps d’aller déjeuner. Tandis que les hommes restaient en maillot de bain, les femmes préférèrent se changer, pour ne pas garder sur elles leur maillot mouillé. Véronique, après s’être essuyée, fit rapidement descendre son mini slip, et l’enjamba pour enfiler son short, nous laissant apprécier, l’espace de quelques secondes, son derrière rebondi. Samantha, à mon étonnement, roula sur ses hanches son maillot, dévoilant sa poitrine ferme aux pointes érigées, avant d’enfiler sa courte robe, et de faire glisser à terre son maillot. Pendant ce temps, Olivia était sortie du bassin, et tout le mon s’était rendu compte que son maillot blanc, rendu transparent par l’eau révélait sa fente, manifestement épilée. Devant cette évidence, elle défit les attaches de son haut sous lequel on voyait clairement ses petits seins pointus, pour mettre au jour ces deux jumeaux. Elle enfila ensuite sa jupe et un petit top rose, et, comme l’avait fait Samantha, passa les mains sous la jupe pour délacer les ficelles de son bas, qui chuta à ses pieds.
Nous passâmes à table, bien émoustillés de savoir nos épouses sans culotte, pour deux d’entre elles, alors que Véronique restait seins nus, comme un défi.
Le repas fut joyeux et arrosé de vin rosé bien frais. Les commentaires égrillards sur la poitrine de Véronique, n’entamèrent pas la bonne humeur, et Samantha, comme Olivia indiquèrent que leurs atouts ne pouvaient lutter avec les seins de Véro. Robert leur demanda, si c’était une compensation d’être restées sans culotte. Olivia
Lui répondit que c’était juste pour éviter de garder un maillot mouillé, et que des
Gentlemen auraient dû faire comme s’ils n’avaient rien vu.
Je m’empressai alors de dire que nos femmes étaient si jolies et si attirantes, que le moindre de leur geste captait notre regard, et nous émoustillait. Je complétais mon commentaire en leur disant que nous les avions déjà vues bien plus déshabillées, à la plage.
Les autres hommes m’approuvèrent d’autant que Roberto, avait une main sous la table alors que Véronique semblait être distante, comme si elle se concentrait sur autre chose. Olivia avait rougi, et Samantha, assise de côté, entrouvrait ses cuisses, comme pour me faire apprécier la vue.
-Contrairement à nous, les hommes ont une imagination toujours orientée sexe, commenta Véronique, Un rien les excite
- Et vous savez bien comment faire ; répondit Robert ; en nous laissant voir peu de choses mais qui en suggèrent d’autres.
Le repas s’acheva sur un ton légèrement égrillard, où tout le monde y allait de ses impressions, dévoilant à mots, à peine couverts , ses désirs avoués ou non.
Le café, pris, les femmes partirent s’étendre sur les transats au soleil, après avoir remis leur maillot, déjà sec, pour celles qui l’avaient oté. Suivant l’exemple de Véronique, Samantha et Olivia avaient opté pour le topless, ce qui était une évolution de la part de ces deux jeunes femmes qui ne s’exposaient que rarement.
Nous en étions au digestif, et Philippe, s’excusa et partit pour une sieste, à l’intérieur, craignant les rayons solaires sur sa peau.
Samantha nous interpella,
- Un de ces messieurs pourrait il venir nous passer de la crème solaire ?
Aussitôt, Robert se leva pour proposer ses services, et vint s’asseoir au bord du bain de soleil de mon épouse. Il versa un peu d’onguent dans ses mains et commença à masser doucement, les épaules et le dos de Sam, qui, à plat ventre, les yeux fermés, la tête sur ses bras, semblait dormir.
Je me proposais, à mon tour, et Véronique, à la peau brune, refusa l’onction, mais me conseilla de m’occuper d’Olivia, dont la peau blanche, plus fragile, avait besoin de protection. Son mari ayant déserté, il ne restait que moi.
Je m’installai donc auprès d’Olivia et entrepris de lui enduire le dos, en commençant par le cou. Je descendais ensuite sur son dos, mes mains venant effleurer le côté de ses seins. Je sentais Olivia, légèrement crispée au début, accepter peu à peu mes mains et ses muscles se détendaient sous mes doigts.
A quelques mêtres, Robert était arrivé au bas du dos de Sam, et avait délicatement descendu le slip,pour ne pas le tâcher, laissant apparaître le début des fesses, et la marque plus claire de son hâle. Il passa ensuite sur les jambes, en partant du bas, malaxant les mollets longuement avant de remonter sur les cuisses.
Je fis de même, sans descendre le maillot, et massai les longues jambes d’Olivia, remontant progressivement sur ses cuisses jusqu’à la naissance de ses fesses. Olivia écarta complaisamment les jambes, pour que je puisse enduire l’intérieur des cuisses. Je remarquais que Samantha en avait fait autant. Elle tira sur son maillot pour le faire rentrer dans ses fesses, à la manière d’un string, appel implicite à s’occuper de son postérieur ainsi dévoilé. Robert vont aussitôt masser les globes, ses doigts effleurant l’intimité de Sam quand ils replongeaient entre ses jambes.
Alors que je massais l’arrière de ses cuisses, Olivia descendit ses bras, et d’un geste, vint dénouer les ficelles retenant son slip de bain, avant de reprendre sa position alanguie. Ses flancs étaient maintenant dénudés et seul, un petit triangle de tissu restait posé sur des fesses que j’entrepris d’enduire. Mes doigts longeant le maillot repoussaient le triangle qui n’était plus tenu et finit par glisser entre ses jambes, dévoilant son petit cul bien rond, et son abricot épilé.
Du côté de Robert, son massage avait pris un tour plus sensuel et Sam laissait échapper quelques soupirs de plaisir, ce qu’il parut ignorer.
Je m’appliquais à enduire les jolies fesses d’Olivia, en longeant le sillon fessier, mais constatais rapidement que sa chatte s’entrouvrait et s’humidifiait. Après une courte hésitation je laissai mes doigts suivre le sillon et vis s’ouvrir sa fleur que j’explorais du bout des doigts en remontant une trainée humide jusqu’à son anus, bien révélé par l’ouverture, encore accentuée de ses cuisses. Son bassin venait au devant de ma main et mon doigt fut aspiré par son sexe gourmand dans lequel je m’enfonçais. J’agitais mon médius dans son antre titillant le point G sans trop remuer. Elle avança le bassin, me faisant sortir, mais le repoussa vers moi venant poser son petit trou sur l’extrémité de mon doigt, qui s’enfonça sans effort dans l’anneau plissé, arrachant à la belle un long soupir. Aussitôt elle me repoussa et se retourna face à moi, les yeux rivés dans les miens en rattachant son bas de maillot
Samantha se retourna également,et la dévisagea d’un air suspicieux.
Les deux femmes allongées sur le dos nous offraient leurs poitrines aux tétons bien érigés.
Après avoir repris de la crème, mon regard croisa celui de Robert, et je battis des paupières, donnant mon accord. Il repartit des épaules pour arriver très vite aux seins, qu’il empauma sans hésiter, puis les malaxa longuement provoquant un gémissement de bonheur. Le même traitement fut appliqué à Olivia. Après avoir torturé ses seins, je descendis sur son ventre et son bas ventre, contournant le triangle de tissu, pour suivre l’aine et agacer ainsi son pubis qui se soulevait de manière incontrôlée au devant de ma main.
Samantha, heureusement gardait les yeux fermés. Je terminais rapidement le devant des deux jambes au moment où elle rouvrit les yeux et remercia Robert.
Robert partit se rafraichir dans la piscine. Véronique s’était éclipsée. Après m’être baigné à mon tour, je me prélassais sur un bain de soleil. Une demi-heure plus tard,
J’émergeais, réalisant que je m’étais assoupi. Un peu plus loin, Robert ronflait comme un bienheureux, et Samantha et Olivia, immobiles, l’une sur le dos, et l’autre à plat-ventre lézardaient.
Véronique n’était pas revenue, et je décidai d’aller faire un tour à l’intérieur pour voir où elle était. Après avoir fait le tour du séjouret constaté qu’elle n’était pas dans un des canapés, je ne la trouvai, ni dans la cuisine, ni dans le bureau, et me dirigeai vers la partie nuit. Je longeai le couloir pour aller vérifier si elle n’était pas dans une des chambres d’amis. Philippe m’avait dit qu’il prenait celle du fond ; je ne trouvais Véro dans aucune des trois autres, mais j’entendis du bruit veant de la chambre du fond. Je m’approchai doucement de la porte légèrement entrebaillée qui laissait passer des bruits de gémissements évocateurs. Arrivé derrière la porte, je la poussai un peu, et découvris la confirmation de ce qu’Olivia m’avait dit.
A genoux entre les jambes de Philippe, Véro lui prodiguait une fellation ardente, lui arrachant des soupirs et des gémissements de plaisir. Je voyais clairement sa grande bouche butinant le gland de son mat bien tendu, et l’engoufrant en gorge profonde, tout en lui caressant les testicules. Philippe lui appuyait sur la tête régulièrement, imprimant un rythme plus rapide aux mouvements de Véro, qui, visiblement comprit le message et faufilant sa main sous ses fesses, lui planta un doigt dans le cul, le faisant décoller du lit.
Elle se dégagea ensuite, et remonta sur lui, s’empalant sur sa queue d’un mouvement, avant de le chevaucher à grands coups de reins. De son côté, Philippe, lui malaxait les seins, l’encourageant de la voix :
-Oh oui, vas y bebe, donne tout, je sens ta chatte bien chaude !
- Ah, baise moi, je vais t’essorer les couille jusqu’à ce que tu n’aies plus une goutte à me donner. Allez ! remplis moi bien ! répondait celle-ci
A ce moment, je sentis une présence derrière moi. En me retournant, je découvris Olivia, en maillot de bain, dans la pénombre du couloir, les yeux grands ouverts. Elle se rapprocha de moi, et regardant par-dessus mon épaule, se figea, la main sur sa bouche pour s’empêcher de crier, et les yeux se remplissant de larmes.
Je la pris par les épaules et l’entrainais dans la salle de bain, toute proche. Elle se laissa emmener tandis que je lui murmurais que ça allait aller, que c’était une passade.
A ce moment, alors qu’elle était tout contre moi, elle se recula d’un coup, et son regard se dirigea vers mon bermuda, bien déformé par une puissante érection
-Tu bandes en regardant Philippe baiser cette salope ! me lança t’elle horifiée
-Non, Olivia, la scène de sexe m’a excité un peu, mais je réprouve ce que j’ai vu. Ensuite, le contact avec ton corps a fait le reste.
-Oh ! c’est moi qui… je suis désolée ; je ne voulais pas…
-Je sais bien, mais je ne suis qu’un homme.
-Excuse moi. Je ne suis pas comme Véro. Te provoquer n’était pas mon idée.
-Je sais Olivia
- Que puis-je faire, maintenant ?
-Rien, rassure toi, ça va passer.
- Tu es si gentil. Dit elle en se collant à moi
-Si tu te colles à moi, comme ça, ça ne va pas s’arranger
-Oh, pardon, s’excusa t’elle en reculant un peu
Son regard se fixa sur mon short, copieusement déformé, et sa main vint se plaquer sur ma queue.
-ce n’est pas une bonne idée.
-Ce n’est pas pire que ce qu’ils font, à côté. Murmura t’elle en faisant coulisser sa main sur mon sexe par-dessus le tissu. Ses doigts se faufilèrent sous le tissu pour
Empoigner mon membre. Je sentis sa main se refermer sur moi et commencer à me branler doucement.
-Mais, je…
-Chhhht, ne dis rien. Mon mari est en partie responsable de mon état. Je vais juste t’aider un peu. N’y vois aucun sentiment.
A ces mot, elle s’agenouilla devant moi, et tira mon bermuda vers le bas, libérant mon sexe tendu. Sans attendre, elle emboucha mon gland, l’agaçant de sa langue, puis elle enfourna d’un coup ma queue toute entière qu’elle se mit à pomper vigoureusement, en me caressant les boules. Seul le bruit de sucion résonnait dans la pièce. Sa tête allait et venait sous moi, exacerbant mes sens. Ne pouvant me retenir, je la saisis et me mis à baiser sa bouche sans retenue jusqu’à ce que je sente le plaisir enflammer mes reins. La maintenant contre moi, j’inondais sa bouche en continuant d’aller et venir, et l’entendis déglutir bruyament. Repu, et un peu confus, je la libérai, mais elle continua à me sucer, sa langue enveloppant mon sexe qui rapetissait jusqu’à ce qu’il soit nettoyé.
Elle remit mon bermuda en place et se releva, me fixant de ses yeux clairs.
- Je n’avale pas d’habitude. Tu m’as carrément violé la bouche, mais je suppose que j’aurais dû m’y attendre. Commenta t’elle, avant de s’enfuir.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le message anonyme ne viendrait-il pas de Samantha elle même ?
Une entreprise de manipulation pour amener le "cocu" à devanir partageur ?
Une entreprise de manipulation pour amener le "cocu" à devanir partageur ?
il y a quand même eu trahison les cocufieurs sont parti pour bien s'en sortir !
Je resume les suites : ca finit en partouze et tous le monde est cocu et heureux de l’etre … ah zut j’ai tué l’intrigue !
Que le cocufieur degage
Peut-être que Samantha ne serait pas capable de cacher sa déception lorsque qu’elle vera Philippe dans les bras de Veronique. Une crise de jalousie peut émerger tandis que Robert pourrait peter un câble.
Philippe et Olivia pourraient voguer ensemble vers des cieux plus heureux.
C’est le fun parce que la publication des suites ne prend pas une éternité.
J’attends donc la suite avec impatience.
Philippe et Olivia pourraient voguer ensemble vers des cieux plus heureux.
C’est le fun parce que la publication des suites ne prend pas une éternité.
J’attends donc la suite avec impatience.
.le drame n’existe plus. La réception d’amis tourne a l’orgie. Samantha et Philippe n’en seront que plus content.
La vie continue quoi!
La vie continue quoi!
Ce n'est plus une simple tromperie, le mari y prend gout.
Cette suite devient de plus en plus chaude... que nous réserve l'auteur ?
Cette suite devient de plus en plus chaude... que nous réserve l'auteur ?
Les choses prennent une toute autre dimension. Le mari trompé s'y met à son tour!
Impatiente de connaître la suite!
Impatiente de connaître la suite!