Soumis à ma cousine 3/?
Récit érotique écrit par Nedan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Soumis à ma cousine 3/?
Aussitôt je sentis quelque chose d’énorme venir presser sur mon anus. Quoi que ce fut,
cela n’allait jamais entrer !
- Je comptais utiliser du lubrifiant. Mais ça, c’était avant… chuchota-t-elle.
Je la sentis appuyer davantage, et le gigantesque gland s’enfonça de quelques
centimètres dans mes entrailles. Elle força, ce qui me fit gémir un peu plus.
- Tais-toi, petite salope !
Et elle me donna ses doigts à sucer. Je les léchai avec avidité tandis que son autre
main allait et venait sur mon sexe.
- Oh mon cher cousin, ton clito est tout tendu. Et si je continuais à rentrer ma
grosse bite dans ta chatte ?
Je lâchai un râle en réponse à sa demande, et elle s’enfila d’un coup sec. Je crus
recracher son string d’un coup sous le choc, mais me retint de crainte de son
courroux. C’est alors que ma cousine se mit à bouger dans mes entrailles. La bête
devait bien faire vingt ou vingt-cinq centimètres de long, et cinq de large. Je jouis
soudain sur mon ventre, un, deux, trois courts jets blancs ; j’arrivais à court de
jus. Ma cousine réagit violemment dans mon ventre, et ses ongles vinrent se planter
dans ma bite :
- Sale chienne ! Je t’avais interdit de jouir ! Tu vas me payer ça !
Sérieusement, comment m’empêcher ? Ce qu’elle me faisait était si bon. Mais à
présent, la douleur me faisait me tordre. Elle me gifla, en me disant de lui rendre
son string. Elle enfila ses doigts dans ma gorge pour aller le rechercher, et me
détacha un instant, le temps de m’enfiler le sous-vêtement trempé. Elle le fit rentrer
dans ma fente et cacher mon sexe débandé, puis revint m’enjamber et poser son
entrejambe sur ma bouche. Je me mis à lécher son clitoris avec avidité tandis que son
jus coulait entre ses cuisses, et directement dans ma bouche. Je me délectais bien
volontiers de son jus de chatte, puis je continuai de plus belle à faire tournoyer ma
langue sur son bouton, pour venir ensuite caresser ses petites lèvres gorgées de
désir. C’est alors que ma cousine se pencha en arrière pour faire glisser son anus sur
ma bouche, et ma langue entreprit de pourlécher son petit trou qui palpitait et qui
s’ouvrit naturellement pour que j’y entre. Elle gémit dans un long râle de plaisir,
avant de revenir me planter sa chatter entre les lèvres. J’entrai ma langue dans sa
fente et la fouillai longuement. Elle jouit plusieurs fois, laissant à chaque fois
échapper un torrent de cyprine que je m’efforçais de récupérer au mieux, ainsi qu’un
lent gémissement d’extase tremblant. Dans mon string, ma queue avait repris de la
vigueur et disparut à nouveau dans la bouche de ma cousine.
- Donne-moi tout ton sperme, cousin.
Elle lécha alors ma verge de haut en bas, soupesant mes couilles, alors qu’un de ses
doigts se faufilait à nouveau dans mon boyau. Elle me reprit dans sa bouche, et me fit
bientôt éjaculer d’une technique d’experte. Elle recueillit ainsi mon sperme et vint
le partager avec moi dans un long baiser.
- Tu aimes le sperme ma belle ? Tu aimes les grosses queues qui viennent te déchirer
le cul ? T’aimes ta grosse cochonne de cousine ?
J’étais bien trop exténué pour lui répondre. Alors ses mains passèrent derrière ma
tête, et elle défit le bandeau.
- Regarde-toi, et dis-moi ce qui ne va pas.
La réponse était frappante, et je vis tout de suite où elle voulait en venir. Ma
cousine détacha mes liens, et sans dire un mot je la suivis jusque dans la salle de
bain, où elle se munit d’un rasoir et de mousse à raser. Dans un premier temps, elle
me fit bander à nouveau, puis elle entreprit de me raser complétement l’entrejambe,
jusqu’à ce que je sois complétement imberbe. Lorsqu’elle eut fini sa tâche, elle me
contempla d’un air satisfaite, et revint mettre un doigt dans mon anus rasé.
- Voilà qui est beaucoup mieux, murmura-t-elle.
J’avais honte de dire que j’étais d’accord avec elle. Cela faisait bizarre, j’avais
l’impression d’être encore plus nu. C’était frais.
- C’est bien, petite pute. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? Ça te dirait de
baiser Lucie ?
Je sentis ma queue se tendre légèrement en entendant ce nom.
- Je lui ai parlé de toi. Elle est d’accord de passer.
Dans la demi-heure d’attente qui suivit, ma cousine ne chôma pas. Elle s’attela à
m’attacher fermement sur la table de la cuisine, sur le dos. Je me retrouvai à nouveau
immobilisé, et elle vint compléter le tout du vibromasseur qu’elle alluma dans mon
cul. Puis elle disparut dix minutes. L’attente était interminable : l’envie de me
branler me rendait fou. Ma cousine revint habillée d’une petite robe, qui recouvrait
avec grand peine la totalité de ses fesses. Dos nu, un grand décolleté dévoilait la
majeure partie de sa poitrine sur le devant. C’était tout juste si on ne voyait pas
ses tétons jaillir du tissu. Ses longues jambes étaient restées nues. A vrai dire, la
robe était sans doute le seul vêtement qu’elle avait enfilé. Mon cœur manqua un
battement lorsque la sonnerie mit fin à mon attente. Lucie pénétra dans l’appartement,
arborant une tenue toute similaire à celle de ma cousine. Elle se dirigea intriguée
vers moi. « Appétissant », déclara-t-elle.
- J’ai tout ce que tu veux en plus, déclara ma cousine. Nutella, miel, confiture,
chantilly. Oh Lucie, tu sais que j’ai réussi à lui enfiler ton gros gode noir ? C’est
une sacrée pute, mon cousin hein.
Les yeux de la jolie Lucie s’écarquillèrent.
- Mon Dieu ! Je le mets à peine dans ma chatte ! Quelle salope ! Dis-moi, tu portes un
jouet là ?
Elle avait sans doute demandé ça à force de voir ma cousine se tortiller en essayant
de rassembler les divers bocaux.
- Mes boules de geisha. C’est tellement bon.
- Ah toi aussi ? Je dégouline de plaisir.
Et toutes les deux partirent dans un éclat de rire. Du coin de l’œil, je pus admirer
Lucie dégager sa poitrine de sa robe et donner ses tétons à lécher à ma cousine, qui
s’en donna à cœur joie. Mais bientôt elles revinrent toutes les deux vers moi. On
gicla de la crème chantilly sur mes yeux, sur mes tétons et sur le bout de mon gland ;
c’était froid. Puis les deux filles ajoutèrent du Nutella sur ma bouche, en étalèrent
sur mon torse et en tartinèrent ma verge, puis elles finirent par enduire mes bourses
de miel. Le festin était prêt.
Je sentis alors deux bouches venir se poser sur mon visage. Deux langues vinrent gober
la crème sur mes paupières, puis Lucie vint poser ses lèvres sur ma bouche. Tout en
léchant le Nutella, elle fit passer sa langue entre mes lèvres. Ma cousine n’était pas
en reste, en aspirant le miel sur mes bourses toutes rasées.
- Au fait, petite pute, je t’interdis de jouir dans la crème.
Lucie choisit ce moment pour quitter ma bouche et venir s’intéresser de plus près à ma
verge. Elle me goba entièrement d’un coup, léchant mon sexe comme s’il s’agissait
d’une glace, pendant que ma cousine jouait avec le vibromasseur. Lorsque je fus
entièrement nettoyé, on me délia, mais je ne restai pas bien longtemps libre de mes
mouvements, car Lucie désirait me voir en train de prendre son gode gigantesque en
moi. Ma cousine s’en alla dans sa chambre pour aller le chercher, et je devinai
qu’elle fit exprès de rallonger son absence. La belle Lucie s’arma alors du gode
ceinture, et m’invita avec douceur à venir m’empaler sur elle. Je ne me fis pas prier,
et à nouveau mes chairs s’écartèrent pour prendre la queue en moi. Dans cette
position, je pouvais entièrement contrôler les caresses du jouet contre mes parois. Je
gigotai à la manière d’une pute sur ce sexe, sans me soucier de l’humiliation que je
subissais alors qu’elle me regardait. Je savais qu’elle n’était pas en reste, le gode
interne lui fouillant la chatte à cet instant précis. Mais bientôt ma cousine revint,
et je pus enfin voir le fameux gode, dont la taille me laissa bouche bée : j’avais
vraiment pris ça en moi ? Il était si gros. Je fus invité à me mettre à quatre pattes,
et ma cousine vint se positionner derrière moi après avoir enduit le sextoy d’une
bonne dose de lubrifiant. Lucie regardait d’un air intéressé. Je criai de douleur et
de plaisir alors que le sexe glissait en moi. Je me retrouvai bientôt empalé
complétement. J’aurais été incapable de faire le moindre pas. Mais ma cousine en
décida autrement. Lorsque le gode fut enfoncé en moi jusqu’à la garde, elle me fit me
relever d’une tape sur les fesses .
- Tu vois comme il a une chatte accueillante, mon cousin ?
- Oui, j’ai pu y goûter avant…
Nous passâmes le reste de la nuit dans les bras l’un de l’autre. Je jouis un nombre
incroyable de fois, par le cul également, et au matin nous nous réveillâmes dans le
lit de ma cousine, les corps enduits de sperme et de cyprine séchés. Lucie partit
travailler après une douche rapide, tandis que ma cousine m’avait à nouveau attaché
avec ses menottes. En partant, son amie vint déposer un baiser sur mon gland, puis
elle s’en fut.
- Qu’est-ce qu’on pourrait bien encore mettre dans ton cul, mon cousin chéri ? Oh
tiens, j’ai une idée.
C’est en disant cela, que je la vis en train d’appliquer du lubrifiant sur les doigts,
avant qu’elle ne vienne remettre le bandeau sur mes yeux. Elle posa ensuite le majeur
sur ma rondelle, et l’enfonça d’un coup. Son doigt fut bientôt rejoint de deux autres,
mais l’auriculaire eut du mal à rentrer. Ma cousine força quelques secondes, et
finalement ma rondelle lâcha pour laisser passer son doigt. Elle refit alors couler du
lubrifiant entre mes fesses et sur son pouce, qui tenta de venir trouver de la place
dans mon trou. Ma queue était tendue à son maximum. Soudain, la main toute entière de
ma cousine fut dans mon boyau. Je sentais avec discernement chacun de ses doigts
caresser mes parois et ma prostate. C’était divin. Si divin que je criai dans un
ultime râle de jouissance, en laissant de longs jets de sperme venir sur mon ventre.
Ma cousine vint aussitôt lécher et avaler mon jus, et retira lentement sa main de mon
cul.
Lorsque je sortis de chez elle, j’étais exténué, mais heureux. Je ne pourrais sans
doute plus m’asseoir pendant des heures, et pour cause, j’étais reparti avec l’immense
gode au fond des entrailles, prêté pour un temps indéterminé. Je déposai les vêtements
que le couple m’avait prêtés devant leur porte, trop fatigué pour oser sonner – on ne
sait jamais. Mais je laissai tout de même mon numéro de téléphone sur un bout de
papier, espérant bien que le jeune couple me recontacterait l’un de ces jours
prochains.
cela n’allait jamais entrer !
- Je comptais utiliser du lubrifiant. Mais ça, c’était avant… chuchota-t-elle.
Je la sentis appuyer davantage, et le gigantesque gland s’enfonça de quelques
centimètres dans mes entrailles. Elle força, ce qui me fit gémir un peu plus.
- Tais-toi, petite salope !
Et elle me donna ses doigts à sucer. Je les léchai avec avidité tandis que son autre
main allait et venait sur mon sexe.
- Oh mon cher cousin, ton clito est tout tendu. Et si je continuais à rentrer ma
grosse bite dans ta chatte ?
Je lâchai un râle en réponse à sa demande, et elle s’enfila d’un coup sec. Je crus
recracher son string d’un coup sous le choc, mais me retint de crainte de son
courroux. C’est alors que ma cousine se mit à bouger dans mes entrailles. La bête
devait bien faire vingt ou vingt-cinq centimètres de long, et cinq de large. Je jouis
soudain sur mon ventre, un, deux, trois courts jets blancs ; j’arrivais à court de
jus. Ma cousine réagit violemment dans mon ventre, et ses ongles vinrent se planter
dans ma bite :
- Sale chienne ! Je t’avais interdit de jouir ! Tu vas me payer ça !
Sérieusement, comment m’empêcher ? Ce qu’elle me faisait était si bon. Mais à
présent, la douleur me faisait me tordre. Elle me gifla, en me disant de lui rendre
son string. Elle enfila ses doigts dans ma gorge pour aller le rechercher, et me
détacha un instant, le temps de m’enfiler le sous-vêtement trempé. Elle le fit rentrer
dans ma fente et cacher mon sexe débandé, puis revint m’enjamber et poser son
entrejambe sur ma bouche. Je me mis à lécher son clitoris avec avidité tandis que son
jus coulait entre ses cuisses, et directement dans ma bouche. Je me délectais bien
volontiers de son jus de chatte, puis je continuai de plus belle à faire tournoyer ma
langue sur son bouton, pour venir ensuite caresser ses petites lèvres gorgées de
désir. C’est alors que ma cousine se pencha en arrière pour faire glisser son anus sur
ma bouche, et ma langue entreprit de pourlécher son petit trou qui palpitait et qui
s’ouvrit naturellement pour que j’y entre. Elle gémit dans un long râle de plaisir,
avant de revenir me planter sa chatter entre les lèvres. J’entrai ma langue dans sa
fente et la fouillai longuement. Elle jouit plusieurs fois, laissant à chaque fois
échapper un torrent de cyprine que je m’efforçais de récupérer au mieux, ainsi qu’un
lent gémissement d’extase tremblant. Dans mon string, ma queue avait repris de la
vigueur et disparut à nouveau dans la bouche de ma cousine.
- Donne-moi tout ton sperme, cousin.
Elle lécha alors ma verge de haut en bas, soupesant mes couilles, alors qu’un de ses
doigts se faufilait à nouveau dans mon boyau. Elle me reprit dans sa bouche, et me fit
bientôt éjaculer d’une technique d’experte. Elle recueillit ainsi mon sperme et vint
le partager avec moi dans un long baiser.
- Tu aimes le sperme ma belle ? Tu aimes les grosses queues qui viennent te déchirer
le cul ? T’aimes ta grosse cochonne de cousine ?
J’étais bien trop exténué pour lui répondre. Alors ses mains passèrent derrière ma
tête, et elle défit le bandeau.
- Regarde-toi, et dis-moi ce qui ne va pas.
La réponse était frappante, et je vis tout de suite où elle voulait en venir. Ma
cousine détacha mes liens, et sans dire un mot je la suivis jusque dans la salle de
bain, où elle se munit d’un rasoir et de mousse à raser. Dans un premier temps, elle
me fit bander à nouveau, puis elle entreprit de me raser complétement l’entrejambe,
jusqu’à ce que je sois complétement imberbe. Lorsqu’elle eut fini sa tâche, elle me
contempla d’un air satisfaite, et revint mettre un doigt dans mon anus rasé.
- Voilà qui est beaucoup mieux, murmura-t-elle.
J’avais honte de dire que j’étais d’accord avec elle. Cela faisait bizarre, j’avais
l’impression d’être encore plus nu. C’était frais.
- C’est bien, petite pute. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? Ça te dirait de
baiser Lucie ?
Je sentis ma queue se tendre légèrement en entendant ce nom.
- Je lui ai parlé de toi. Elle est d’accord de passer.
Dans la demi-heure d’attente qui suivit, ma cousine ne chôma pas. Elle s’attela à
m’attacher fermement sur la table de la cuisine, sur le dos. Je me retrouvai à nouveau
immobilisé, et elle vint compléter le tout du vibromasseur qu’elle alluma dans mon
cul. Puis elle disparut dix minutes. L’attente était interminable : l’envie de me
branler me rendait fou. Ma cousine revint habillée d’une petite robe, qui recouvrait
avec grand peine la totalité de ses fesses. Dos nu, un grand décolleté dévoilait la
majeure partie de sa poitrine sur le devant. C’était tout juste si on ne voyait pas
ses tétons jaillir du tissu. Ses longues jambes étaient restées nues. A vrai dire, la
robe était sans doute le seul vêtement qu’elle avait enfilé. Mon cœur manqua un
battement lorsque la sonnerie mit fin à mon attente. Lucie pénétra dans l’appartement,
arborant une tenue toute similaire à celle de ma cousine. Elle se dirigea intriguée
vers moi. « Appétissant », déclara-t-elle.
- J’ai tout ce que tu veux en plus, déclara ma cousine. Nutella, miel, confiture,
chantilly. Oh Lucie, tu sais que j’ai réussi à lui enfiler ton gros gode noir ? C’est
une sacrée pute, mon cousin hein.
Les yeux de la jolie Lucie s’écarquillèrent.
- Mon Dieu ! Je le mets à peine dans ma chatte ! Quelle salope ! Dis-moi, tu portes un
jouet là ?
Elle avait sans doute demandé ça à force de voir ma cousine se tortiller en essayant
de rassembler les divers bocaux.
- Mes boules de geisha. C’est tellement bon.
- Ah toi aussi ? Je dégouline de plaisir.
Et toutes les deux partirent dans un éclat de rire. Du coin de l’œil, je pus admirer
Lucie dégager sa poitrine de sa robe et donner ses tétons à lécher à ma cousine, qui
s’en donna à cœur joie. Mais bientôt elles revinrent toutes les deux vers moi. On
gicla de la crème chantilly sur mes yeux, sur mes tétons et sur le bout de mon gland ;
c’était froid. Puis les deux filles ajoutèrent du Nutella sur ma bouche, en étalèrent
sur mon torse et en tartinèrent ma verge, puis elles finirent par enduire mes bourses
de miel. Le festin était prêt.
Je sentis alors deux bouches venir se poser sur mon visage. Deux langues vinrent gober
la crème sur mes paupières, puis Lucie vint poser ses lèvres sur ma bouche. Tout en
léchant le Nutella, elle fit passer sa langue entre mes lèvres. Ma cousine n’était pas
en reste, en aspirant le miel sur mes bourses toutes rasées.
- Au fait, petite pute, je t’interdis de jouir dans la crème.
Lucie choisit ce moment pour quitter ma bouche et venir s’intéresser de plus près à ma
verge. Elle me goba entièrement d’un coup, léchant mon sexe comme s’il s’agissait
d’une glace, pendant que ma cousine jouait avec le vibromasseur. Lorsque je fus
entièrement nettoyé, on me délia, mais je ne restai pas bien longtemps libre de mes
mouvements, car Lucie désirait me voir en train de prendre son gode gigantesque en
moi. Ma cousine s’en alla dans sa chambre pour aller le chercher, et je devinai
qu’elle fit exprès de rallonger son absence. La belle Lucie s’arma alors du gode
ceinture, et m’invita avec douceur à venir m’empaler sur elle. Je ne me fis pas prier,
et à nouveau mes chairs s’écartèrent pour prendre la queue en moi. Dans cette
position, je pouvais entièrement contrôler les caresses du jouet contre mes parois. Je
gigotai à la manière d’une pute sur ce sexe, sans me soucier de l’humiliation que je
subissais alors qu’elle me regardait. Je savais qu’elle n’était pas en reste, le gode
interne lui fouillant la chatte à cet instant précis. Mais bientôt ma cousine revint,
et je pus enfin voir le fameux gode, dont la taille me laissa bouche bée : j’avais
vraiment pris ça en moi ? Il était si gros. Je fus invité à me mettre à quatre pattes,
et ma cousine vint se positionner derrière moi après avoir enduit le sextoy d’une
bonne dose de lubrifiant. Lucie regardait d’un air intéressé. Je criai de douleur et
de plaisir alors que le sexe glissait en moi. Je me retrouvai bientôt empalé
complétement. J’aurais été incapable de faire le moindre pas. Mais ma cousine en
décida autrement. Lorsque le gode fut enfoncé en moi jusqu’à la garde, elle me fit me
relever d’une tape sur les fesses .
- Tu vois comme il a une chatte accueillante, mon cousin ?
- Oui, j’ai pu y goûter avant…
Nous passâmes le reste de la nuit dans les bras l’un de l’autre. Je jouis un nombre
incroyable de fois, par le cul également, et au matin nous nous réveillâmes dans le
lit de ma cousine, les corps enduits de sperme et de cyprine séchés. Lucie partit
travailler après une douche rapide, tandis que ma cousine m’avait à nouveau attaché
avec ses menottes. En partant, son amie vint déposer un baiser sur mon gland, puis
elle s’en fut.
- Qu’est-ce qu’on pourrait bien encore mettre dans ton cul, mon cousin chéri ? Oh
tiens, j’ai une idée.
C’est en disant cela, que je la vis en train d’appliquer du lubrifiant sur les doigts,
avant qu’elle ne vienne remettre le bandeau sur mes yeux. Elle posa ensuite le majeur
sur ma rondelle, et l’enfonça d’un coup. Son doigt fut bientôt rejoint de deux autres,
mais l’auriculaire eut du mal à rentrer. Ma cousine força quelques secondes, et
finalement ma rondelle lâcha pour laisser passer son doigt. Elle refit alors couler du
lubrifiant entre mes fesses et sur son pouce, qui tenta de venir trouver de la place
dans mon trou. Ma queue était tendue à son maximum. Soudain, la main toute entière de
ma cousine fut dans mon boyau. Je sentais avec discernement chacun de ses doigts
caresser mes parois et ma prostate. C’était divin. Si divin que je criai dans un
ultime râle de jouissance, en laissant de longs jets de sperme venir sur mon ventre.
Ma cousine vint aussitôt lécher et avaler mon jus, et retira lentement sa main de mon
cul.
Lorsque je sortis de chez elle, j’étais exténué, mais heureux. Je ne pourrais sans
doute plus m’asseoir pendant des heures, et pour cause, j’étais reparti avec l’immense
gode au fond des entrailles, prêté pour un temps indéterminé. Je déposai les vêtements
que le couple m’avait prêtés devant leur porte, trop fatigué pour oser sonner – on ne
sait jamais. Mais je laissai tout de même mon numéro de téléphone sur un bout de
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Se faire fister par une femme, le gode, j'ai déjà eu,,c'était déjà magnifique alors, un fist... hummm !!!
J'aimerais bien avoir ta cousine ! A quand la suite ? :D