soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°571)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°571)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°571) -
Après la sévère et si excitante correction administrée par Monsieur le Marquis d’Evans, celui-ci imposa à soumis Endymion MDE de rester allongé sur le lit. Il lui mit une cagoule parfaitement opaque sur le visage après lui avoir installé dans chaque oreille des boules Quiès. Puis Il oublia volontairement Son esclave, toujours enfermé dans sa camisole de force, dans le silence et l’obscurité… Monsieur le Marquis d’Evans savait très bien que l’oubli donnait de loin en loin, un rebond dans un monde neuf, une capacité à renaître, une renaissance à la disposition du futur. Il savait qu’à la nuit froide succédait souvent le clair matin. Et c’était pour cette raison sans doute qu’il laissa soumis Endymion MDE dans l’effacement, la confusion, le déni et le trouble. Son savoir, Monsieur le Marquis le tenait de ses lectures de philosophie de toutes les cultures et plus spécialement Grecque via celle de Socrate et Platon, mais également de l’Odyssée d’Homère dans les débuts de l’histoire de l’Occident, Lui ce passionné de Mythologie et de Grèce Antique… Pensait-il à cette déesse Léthé qui partageait son nom avec le Léthé, l’un des cinq Fleuves des Enfers, appelé aussi le fleuve de l’Oubli, qui s’écoulait paisiblement et sans murmure, où les âmes venaient s’abreuver afin d’oublier leur vie passée ? Oui, Monsieur le Marquis avait bel et bien l’intention de conduire Son chien soumis MDE vers ce monde de soumission… Il souhaitait le construire, le fabriquer, le modeler, le pétrir, le plier, le sculpter pour l’élever et lui faire accepter cette nouvelle vie en lui faisant oublier son vécu. Il fallait en passer par là !
Et l’esclave MDE resta là, longtemps, très longtemps, sans vraiment comprendre au départ, l’enseignement voulu et imposé par le Maître. Lui, soumis MDE se sentait plus dévoué et obéissant que jamais comme dans un véritable monde parallèle, un espace-temps où les réalités étaient altérées, une dimension où les pensées étaient biaisées, où l’obéissance régnait, où seuls comptaient les mots et actes de Monsieur le Marquis d’Evans. Et de cela il en jouissait, une jouissance forte sinon exceptionnelle, toute à fait particulière, si personnelle, si cérébrale, si difficile à communiquer. Point d’orgasme non ! Mais un instant purement cérébral où il sentait sa conscience perdre équilibre où sa soumission devenait volupté, lui permettant d’effleurer voire même atteindre ce sentiment à la fois magique et effrayant. Non point d’orgasme ! Mais ses pensées commençaient à basculer, s’altérer, où la soumission semblait ne plus supporter d’alternative, quoi qu’on puisse lui dire ou faire.
Mille choses lui passait en tête : L’accord consensuel de perte de liberté pour lui soumis, le pouvoir laisser au Maître pour toutes décisions ; demeurer lui-même tout en se sentant à la permanente merci de Celui qui le dominait ; ne plus rien oser faire qui aurait déplus à Monsieur le Marquis d’Evans ; mais aussi, éprouver tout le poids de sa propre impuissance. Son rêve était bel et bien devenu réalité au moment où il s’y attendait le moins !
Mille choses encore, sa progression sur ce chemin de soumission, cette domination bien veillante, l’empêchant parfois d’avancer trop vite, lui permettant de tempérer son approche pour faire en sorte que lui, soumis MDE, ne manque rien du paysage aussi magnifique fusse-t-il parfois douloureux.
Mille choses, lorsqu’un ordre tombait, confirmé sévèrement par un simple regard, lui permettant de sceller sur l’instant le passage de pouvoir, et sa descente vers l’asservissement.
Mille choses passaient encore dans sa tête, comme ces temps où il se faisait punir, fouetter, fesser… La punition, c’était un peu le « j’y tiens » du Maître, la preuve que oui, il désirait voir Son chien soumis vraiment obéissant. Pour soumis Endymion MDE, cette sorte de mandat qu’il donnait au Maître était aussi, immanquablement, une motivation de plus pour obéir, une référence qui l’aidait à rapidement trouver réponse à ses questions intérieures, des réponses totalement biaisées, dans un jeu aux règles absolument injustes, qui de fait, le conduisaient à ne plus pouvoir penser objectivement, et ne lui laissaient d’autre choix que l’obéissance. Ces moments où il venait potentiellement à oublier que la situation était consensuelle, que c’était de son plein gré qu’il conférait au Maitre une si large autorité sur son corps et son âme, cet instant où, perdant le souvenir du contexte, il allait presque se surprendre à le craindre et où il était prêt à tout pour Le satisfaire !
Toujours tenu entravé, contraint à l’aveuglement et à la perte de l’audition, une pensée lui traversait l’esprit. Pouvait-il se détacher seul ? La réponse était évidente, non il ne pouvait le faire ! Soumis Endymion MDE s’interrogea encore « si je demande au Maître de me libérer, le fera-t-il ? » Ce genre d’interrogation en amenait d’autres, en cascade… Et à toutes ses questions, une seule réponse : non, soumis Endymion MDE ne réclamerait rien, trop heureux ainsi parce que pleinement conscient de son impuissance et du pouvoir du Maître qu’il détenait sur lui….
Perdu dans toutes ses pensées par ces mille choses et questionnement, soumis Endymion MDE sursauta quand une main venait de glisser sur ses cuisses, une autre se posait sur son thorax l’empêchant de se relever. Inconsciemment, presque mécaniquement, il écarta les jambes pour laisser librement accès à son intimité. La main d’ailleurs happait ses couilles, les caressait tendrement avant de les tordre douloureusement. La pression exercée sur ses testicules s’arrêta uniquement lorsque cessèrent les plaintes et les gémissements de l’esclave MDE vaincu. Alors, il fut retourné brusquement et positionné, tête sur le lit, cul relevé, reins cambrés, cuisses écartées. Sans perdre une seule seconde, celui qui le manipulait, posait son sexe érigé sur la corolle flétrie de soumis Endymion MDE et l’enfournait d’un trait jusqu’à la garde sans aucun préambule. Son enculeur lui tenait fermement les hanches et glissait entre ses entrailles, par des vas et viens déterminés et puissants à grands coups de reins, comme si cette bite le fouraillant voulait en découdre rapidement. Et ce fut le cas, le chien soumis MDE sentit un jet chaud et dru lui envahir le rectum, par saccades successives, au bout de deux ou trois minutes seulement. La sodomie avait été pour le moins rapide, comme s’il y avait une réelle urgence, pour l’enculeur, de se vider les couilles au plus vite. Et le chien soumis MDE resta là, sans bouger, tenant la posture, longuement, longtemps après que son cul ait été libéré de cette intrusion qui resterait sans nom et sans visage. Rien de tel pour soumis Endymion MDE de réaliser qu’il n’était plus qu’un trou, qu’un vide-couilles pour queues avides et affamées ! Et cette sodomie plus que sauvage, hyper bestiale l’excitait fortement, il banda aisément lors de cette subite pénétration sans ménagement
soumise Phryné MDE, en présence du Maître avait enfin détaché son frère de soumission, lui avait ôté la camisole de force, la cagoule et les boules Quiès. Elle repartit, tête basse, avec ce lourd matériel, tel un lourd fardeau, posé sur ses avant-bras, sur un simple claquement de doigts du Maître. soumis Endymion MDE hésita un instant, un tout petit moment au-delà des mots et du temps, puis il obtempérait. Ce genre d’hésitations, de par leur nature incontrôlée n’échappait pas au Maitre. Mais il savait, dans ces moments là, que Son chien-mâle soumis ne pensait pas, trop occupé par ses luttes intérieures pour pouvoir exprimer sciemment ses sentiments. Le corps du chien soumis MDE communiquait. Une fraction de seconde pour ouvrir la bouche et ne rien dire, une autre pour baisser le regard, le laisser fuir ailleurs, il se relevait en un geste de crainte contenue. C’était assez pour que le Maître sache, au-delà des mots que Son chien soumis venait de lui dire « je vous appartiens Maitre, quoi que vous exigiez en cette seconde, mon corps le fera sans même que je puisse y réfléchir ». Ce total lâcher-prise, le Maître le savait, soumis Endymion MDE le savait lui aussi qu’il était l’aboutissement de sa quête vers la soumission absolue, aboutissement et paradoxalement le début aussi d’une nouvelle vie, et cette réalisation elle-même, soudaine, plongea alors l’esclave MDE dans un état d’humilité profonde… Le Maître avait approché une chaise près de l’esclave MDE et s’était assis :
- A plat ventre sur Mes cuisses, Mon chien ! Ordonna-t-il en se tapotant les jambes
L’esclave MDE s’exécuta dans l’instant, se laissa nouer soigneusement les mains dans le dos, puis le Maître le fessa, de ses mains nues et larges. Cette fessée était très érotique, soumis Endymion MDE aimait cela mais doucement la douleur vint remplacer le sentiment de caresses… l’humiliation ensuite. Les dents serrés, soumis Endymion MDE tenta un geste de protection, lorsque la douleur commençait à se faire trop forte, mais ces mêmes liens qu’il aimait pourtant venaient de le trahir, en lui interdisant tout mouvement. Seuls ses doigts, loin, bien trop loin, avaient pu esquisser un vain geste de défense, tandis que les coups tombaient encore et toujours. Et plus le Maître fessait à faire abondement rougir la peau du fessier, plus l’esclave bandait
- A genoux ! Exigea le Maître.
L’esclave MDE obtempéra, la brûlure, la sensation de chaleur sur ses fesses, la douleur, excitante mais bien présente, et le regard Dominant du Maître sur sa petite existence le fit bander encore plus fort. Le Maître, sans un mot, regardait Son chien soumis et asservi et pour autant excité, il se pencha un peu de sa chaise et lui attrapa les couilles, les lui tira vers l’avant, jusqu’à lui faire perdre l’équilibre.
- A genoux salope, t’ai-je ordonné !
L’esclave MDE se redressa en grimaçant et en geignant, la douleur était terrible autant que jouissive, sa queue ne débanda pas… A cet instant particulièrement laborieux pour le chien soumis MDE, Monsieur Walter, accompagné de deux esclaves mâles firent irruption dans cette immense et luxueuse chambre allouée à soumis Endymion MDE, le temps de sa convalescence du marquage, et quelle convalescence pensa-t-il ! Les deux mâles, tous les deux nus et enchainés tiraient sur un charriot à roulette, une cage en fer, telle un cube, lourde et massive autant qu’étroite et de faible hauteur, on eut dit ce que l’on appela au temps du Moyen-Age, des « fillettes » ces cages, fameuses cages utilisées sous le règne de Louis XI.
- Enfermez-le là-dedans ! exigea le Maître en s’adressant aux deux chiens mâles.
Ils empoignèrent soumis Endymion MDE, le soulevèrent du sol brutalement et l’enfermèrent à l’intérieur de cette cage sans doute ancestrale. Ils bouclèrent les verrous du couvercle à l’aide de barres en fer. Au même moment, un câble métallique avec à son bout trois lourdes attaches, sortait et descendait du haut plafond de la pièce, juste au-dessus de la cage. Les attaches furent fixées aux barreaux d’acier du dessus et la cage fut soulevée à plus d’un mètre cinquante du sol et resta ainsi suspendue dans le vide. Le moindre mouvement faisait basculer d’avant en arrière la cage mais en aucun cas, elle ne pouvait se renverser, ni même s’écraser au sol. soumis Endymion MDE comprit qu’une nouvelle épreuve l’attendait. Les barreaux d’acier formant le sol de cette cage, s’imprimaient sur ses fesses, il était obligé de baisser la tête, d’arrondir le dos, de plier les genoux tant l’espace était réduit, et toujours les mains liées dans le dos ! En parlant de mains, ce fut celles de Monsieur Walter, qui fouillaient l’entrejambe du chien soumis MDE à la recherche de ses génitaux. Avec habileté, le Majordome installa, sur le collet des couilles de soumis Endymion MDE, une pièce métallique enserrant ses burnes fermement. De cet anneau il attacha une chaine qu’il passa entre les barreaux de la cage, à son extrémité, il fit pendre un poids. Monsieur le Marquis d’Evans souleva la chaine de quelques centimètres et la relâcha d’un seul coup… La douleur fut subite, le chien soumis MDE hurla d’abord quand il faillit à ce même moment éjaculer tant la douleur irradiait de spasmes tout son corps… La douleur et la jouissance avait failli éclater en même temps …
- A plus tard, Mon chien.
Lui, Son Majordome et Ses deux esclaves, laissèrent soumis Endymion MDE souffrant et gémissant de plaisirs mais toujours animé par ses désirs pervers et ses délices masochistes ! Pour preuve, il bandait encore, une belle et forte érection, une queue raide et drue pointait entre ces jambes...
(A suivre…)
Après la sévère et si excitante correction administrée par Monsieur le Marquis d’Evans, celui-ci imposa à soumis Endymion MDE de rester allongé sur le lit. Il lui mit une cagoule parfaitement opaque sur le visage après lui avoir installé dans chaque oreille des boules Quiès. Puis Il oublia volontairement Son esclave, toujours enfermé dans sa camisole de force, dans le silence et l’obscurité… Monsieur le Marquis d’Evans savait très bien que l’oubli donnait de loin en loin, un rebond dans un monde neuf, une capacité à renaître, une renaissance à la disposition du futur. Il savait qu’à la nuit froide succédait souvent le clair matin. Et c’était pour cette raison sans doute qu’il laissa soumis Endymion MDE dans l’effacement, la confusion, le déni et le trouble. Son savoir, Monsieur le Marquis le tenait de ses lectures de philosophie de toutes les cultures et plus spécialement Grecque via celle de Socrate et Platon, mais également de l’Odyssée d’Homère dans les débuts de l’histoire de l’Occident, Lui ce passionné de Mythologie et de Grèce Antique… Pensait-il à cette déesse Léthé qui partageait son nom avec le Léthé, l’un des cinq Fleuves des Enfers, appelé aussi le fleuve de l’Oubli, qui s’écoulait paisiblement et sans murmure, où les âmes venaient s’abreuver afin d’oublier leur vie passée ? Oui, Monsieur le Marquis avait bel et bien l’intention de conduire Son chien soumis MDE vers ce monde de soumission… Il souhaitait le construire, le fabriquer, le modeler, le pétrir, le plier, le sculpter pour l’élever et lui faire accepter cette nouvelle vie en lui faisant oublier son vécu. Il fallait en passer par là !
Et l’esclave MDE resta là, longtemps, très longtemps, sans vraiment comprendre au départ, l’enseignement voulu et imposé par le Maître. Lui, soumis MDE se sentait plus dévoué et obéissant que jamais comme dans un véritable monde parallèle, un espace-temps où les réalités étaient altérées, une dimension où les pensées étaient biaisées, où l’obéissance régnait, où seuls comptaient les mots et actes de Monsieur le Marquis d’Evans. Et de cela il en jouissait, une jouissance forte sinon exceptionnelle, toute à fait particulière, si personnelle, si cérébrale, si difficile à communiquer. Point d’orgasme non ! Mais un instant purement cérébral où il sentait sa conscience perdre équilibre où sa soumission devenait volupté, lui permettant d’effleurer voire même atteindre ce sentiment à la fois magique et effrayant. Non point d’orgasme ! Mais ses pensées commençaient à basculer, s’altérer, où la soumission semblait ne plus supporter d’alternative, quoi qu’on puisse lui dire ou faire.
Mille choses lui passait en tête : L’accord consensuel de perte de liberté pour lui soumis, le pouvoir laisser au Maître pour toutes décisions ; demeurer lui-même tout en se sentant à la permanente merci de Celui qui le dominait ; ne plus rien oser faire qui aurait déplus à Monsieur le Marquis d’Evans ; mais aussi, éprouver tout le poids de sa propre impuissance. Son rêve était bel et bien devenu réalité au moment où il s’y attendait le moins !
Mille choses encore, sa progression sur ce chemin de soumission, cette domination bien veillante, l’empêchant parfois d’avancer trop vite, lui permettant de tempérer son approche pour faire en sorte que lui, soumis MDE, ne manque rien du paysage aussi magnifique fusse-t-il parfois douloureux.
Mille choses, lorsqu’un ordre tombait, confirmé sévèrement par un simple regard, lui permettant de sceller sur l’instant le passage de pouvoir, et sa descente vers l’asservissement.
Mille choses passaient encore dans sa tête, comme ces temps où il se faisait punir, fouetter, fesser… La punition, c’était un peu le « j’y tiens » du Maître, la preuve que oui, il désirait voir Son chien soumis vraiment obéissant. Pour soumis Endymion MDE, cette sorte de mandat qu’il donnait au Maître était aussi, immanquablement, une motivation de plus pour obéir, une référence qui l’aidait à rapidement trouver réponse à ses questions intérieures, des réponses totalement biaisées, dans un jeu aux règles absolument injustes, qui de fait, le conduisaient à ne plus pouvoir penser objectivement, et ne lui laissaient d’autre choix que l’obéissance. Ces moments où il venait potentiellement à oublier que la situation était consensuelle, que c’était de son plein gré qu’il conférait au Maitre une si large autorité sur son corps et son âme, cet instant où, perdant le souvenir du contexte, il allait presque se surprendre à le craindre et où il était prêt à tout pour Le satisfaire !
Toujours tenu entravé, contraint à l’aveuglement et à la perte de l’audition, une pensée lui traversait l’esprit. Pouvait-il se détacher seul ? La réponse était évidente, non il ne pouvait le faire ! Soumis Endymion MDE s’interrogea encore « si je demande au Maître de me libérer, le fera-t-il ? » Ce genre d’interrogation en amenait d’autres, en cascade… Et à toutes ses questions, une seule réponse : non, soumis Endymion MDE ne réclamerait rien, trop heureux ainsi parce que pleinement conscient de son impuissance et du pouvoir du Maître qu’il détenait sur lui….
Perdu dans toutes ses pensées par ces mille choses et questionnement, soumis Endymion MDE sursauta quand une main venait de glisser sur ses cuisses, une autre se posait sur son thorax l’empêchant de se relever. Inconsciemment, presque mécaniquement, il écarta les jambes pour laisser librement accès à son intimité. La main d’ailleurs happait ses couilles, les caressait tendrement avant de les tordre douloureusement. La pression exercée sur ses testicules s’arrêta uniquement lorsque cessèrent les plaintes et les gémissements de l’esclave MDE vaincu. Alors, il fut retourné brusquement et positionné, tête sur le lit, cul relevé, reins cambrés, cuisses écartées. Sans perdre une seule seconde, celui qui le manipulait, posait son sexe érigé sur la corolle flétrie de soumis Endymion MDE et l’enfournait d’un trait jusqu’à la garde sans aucun préambule. Son enculeur lui tenait fermement les hanches et glissait entre ses entrailles, par des vas et viens déterminés et puissants à grands coups de reins, comme si cette bite le fouraillant voulait en découdre rapidement. Et ce fut le cas, le chien soumis MDE sentit un jet chaud et dru lui envahir le rectum, par saccades successives, au bout de deux ou trois minutes seulement. La sodomie avait été pour le moins rapide, comme s’il y avait une réelle urgence, pour l’enculeur, de se vider les couilles au plus vite. Et le chien soumis MDE resta là, sans bouger, tenant la posture, longuement, longtemps après que son cul ait été libéré de cette intrusion qui resterait sans nom et sans visage. Rien de tel pour soumis Endymion MDE de réaliser qu’il n’était plus qu’un trou, qu’un vide-couilles pour queues avides et affamées ! Et cette sodomie plus que sauvage, hyper bestiale l’excitait fortement, il banda aisément lors de cette subite pénétration sans ménagement
soumise Phryné MDE, en présence du Maître avait enfin détaché son frère de soumission, lui avait ôté la camisole de force, la cagoule et les boules Quiès. Elle repartit, tête basse, avec ce lourd matériel, tel un lourd fardeau, posé sur ses avant-bras, sur un simple claquement de doigts du Maître. soumis Endymion MDE hésita un instant, un tout petit moment au-delà des mots et du temps, puis il obtempérait. Ce genre d’hésitations, de par leur nature incontrôlée n’échappait pas au Maitre. Mais il savait, dans ces moments là, que Son chien-mâle soumis ne pensait pas, trop occupé par ses luttes intérieures pour pouvoir exprimer sciemment ses sentiments. Le corps du chien soumis MDE communiquait. Une fraction de seconde pour ouvrir la bouche et ne rien dire, une autre pour baisser le regard, le laisser fuir ailleurs, il se relevait en un geste de crainte contenue. C’était assez pour que le Maître sache, au-delà des mots que Son chien soumis venait de lui dire « je vous appartiens Maitre, quoi que vous exigiez en cette seconde, mon corps le fera sans même que je puisse y réfléchir ». Ce total lâcher-prise, le Maître le savait, soumis Endymion MDE le savait lui aussi qu’il était l’aboutissement de sa quête vers la soumission absolue, aboutissement et paradoxalement le début aussi d’une nouvelle vie, et cette réalisation elle-même, soudaine, plongea alors l’esclave MDE dans un état d’humilité profonde… Le Maître avait approché une chaise près de l’esclave MDE et s’était assis :
- A plat ventre sur Mes cuisses, Mon chien ! Ordonna-t-il en se tapotant les jambes
L’esclave MDE s’exécuta dans l’instant, se laissa nouer soigneusement les mains dans le dos, puis le Maître le fessa, de ses mains nues et larges. Cette fessée était très érotique, soumis Endymion MDE aimait cela mais doucement la douleur vint remplacer le sentiment de caresses… l’humiliation ensuite. Les dents serrés, soumis Endymion MDE tenta un geste de protection, lorsque la douleur commençait à se faire trop forte, mais ces mêmes liens qu’il aimait pourtant venaient de le trahir, en lui interdisant tout mouvement. Seuls ses doigts, loin, bien trop loin, avaient pu esquisser un vain geste de défense, tandis que les coups tombaient encore et toujours. Et plus le Maître fessait à faire abondement rougir la peau du fessier, plus l’esclave bandait
- A genoux ! Exigea le Maître.
L’esclave MDE obtempéra, la brûlure, la sensation de chaleur sur ses fesses, la douleur, excitante mais bien présente, et le regard Dominant du Maître sur sa petite existence le fit bander encore plus fort. Le Maître, sans un mot, regardait Son chien soumis et asservi et pour autant excité, il se pencha un peu de sa chaise et lui attrapa les couilles, les lui tira vers l’avant, jusqu’à lui faire perdre l’équilibre.
- A genoux salope, t’ai-je ordonné !
L’esclave MDE se redressa en grimaçant et en geignant, la douleur était terrible autant que jouissive, sa queue ne débanda pas… A cet instant particulièrement laborieux pour le chien soumis MDE, Monsieur Walter, accompagné de deux esclaves mâles firent irruption dans cette immense et luxueuse chambre allouée à soumis Endymion MDE, le temps de sa convalescence du marquage, et quelle convalescence pensa-t-il ! Les deux mâles, tous les deux nus et enchainés tiraient sur un charriot à roulette, une cage en fer, telle un cube, lourde et massive autant qu’étroite et de faible hauteur, on eut dit ce que l’on appela au temps du Moyen-Age, des « fillettes » ces cages, fameuses cages utilisées sous le règne de Louis XI.
- Enfermez-le là-dedans ! exigea le Maître en s’adressant aux deux chiens mâles.
Ils empoignèrent soumis Endymion MDE, le soulevèrent du sol brutalement et l’enfermèrent à l’intérieur de cette cage sans doute ancestrale. Ils bouclèrent les verrous du couvercle à l’aide de barres en fer. Au même moment, un câble métallique avec à son bout trois lourdes attaches, sortait et descendait du haut plafond de la pièce, juste au-dessus de la cage. Les attaches furent fixées aux barreaux d’acier du dessus et la cage fut soulevée à plus d’un mètre cinquante du sol et resta ainsi suspendue dans le vide. Le moindre mouvement faisait basculer d’avant en arrière la cage mais en aucun cas, elle ne pouvait se renverser, ni même s’écraser au sol. soumis Endymion MDE comprit qu’une nouvelle épreuve l’attendait. Les barreaux d’acier formant le sol de cette cage, s’imprimaient sur ses fesses, il était obligé de baisser la tête, d’arrondir le dos, de plier les genoux tant l’espace était réduit, et toujours les mains liées dans le dos ! En parlant de mains, ce fut celles de Monsieur Walter, qui fouillaient l’entrejambe du chien soumis MDE à la recherche de ses génitaux. Avec habileté, le Majordome installa, sur le collet des couilles de soumis Endymion MDE, une pièce métallique enserrant ses burnes fermement. De cet anneau il attacha une chaine qu’il passa entre les barreaux de la cage, à son extrémité, il fit pendre un poids. Monsieur le Marquis d’Evans souleva la chaine de quelques centimètres et la relâcha d’un seul coup… La douleur fut subite, le chien soumis MDE hurla d’abord quand il faillit à ce même moment éjaculer tant la douleur irradiait de spasmes tout son corps… La douleur et la jouissance avait failli éclater en même temps …
- A plus tard, Mon chien.
Lui, Son Majordome et Ses deux esclaves, laissèrent soumis Endymion MDE souffrant et gémissant de plaisirs mais toujours animé par ses désirs pervers et ses délices masochistes ! Pour preuve, il bandait encore, une belle et forte érection, une queue raide et drue pointait entre ces jambes...
(A suivre…)
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