Soumis heureux, partie 6
Récit érotique écrit par Pierre Brosta [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumis heureux, partie 6
Je me prodigue un lavement, en pensant autant à Noémie qu’à Fanny et son amant… J’écris sur une feuille blanche le texte, bien écrit, et m’habille uniquement d’un pantalon et d’un polo. Mon sexe en cage se balade dans mon pantalon, sensation très érotique. A 19h, je monte dans ma voiture, direction chez Fanny.
Je gare la voiture, et regarde sa maison. La lumière est allumée, elle doit être chez elle. J’hésite… Comment va-t-elle réagir ? Et si elle m’envoie balader ? Après tout, rien ne l’oblige à accepter mon service ce week-end… J’envoie un SMS à Noémie : « Je suis devant chez Fanny… Je vais faire ce que tu m’as demandé… J’ignore quand est-ce que je pourrai te répondre, mais je t’obéis… Merci pour tout ce que tu fais… »
Sans attendre la réponse, je me lève, prends l’enveloppe, et me dirige vers la porte d’entrée. Je me mets à genoux, bras tendus avec la lettre sur mes mains, et toque à la porte.
J’entends des pas, très légèrement. Un instant plus tard, un bruit de clé dans la serrure, la poignée de la porte qui se baisse et la porte qui s’ouvre. Je reconnais les pieds de Fanny, je sens son regard sur moi.
« Qu’est-ce que tu fous là toi ! Je t’ai pas convoqué ! Oh, tu as écrit une lettre, voyons voir ! », dit-elle avec un ton méprisant, mais moins agressif que d’ordinaire.
Elle saisit la lettre de mes mains, je les mets dans mon dos, en fixant toujours ses pieds, nus. Ils sont beaux… Je voudrais me baisser et les embrasser en signe de respect, mais je préfère rester à genoux, mains dans le dos, tête baissée. La situation m’excite, mon sexe durcit dans sa cage… Va-t-elle m’accepter ?
Les secondes passent alors qu’elle lit la lettre. Sans dire un mot, elle rentre dans la maison, laissant la porte ouverte. Que dois-je faire ?
J’attends quelques instants qui doivent durer quelques minutes, et je l’entends revenir. Elle me fixe tout de suite autour du cou le collier à cadenas que j’ai déjà expérimenté, y fixe une chaîne attachée avec un autre cadenas, et me tire à l’intérieur. Je me mets à 4 pattes, et entre dans sa maison, heureux qu’elle m’accepte ainsi.
Elle s’arrête dans le salon, se retourne : « tu veux m’obéir tout le week-end ? Parfait ! J’avais besoin d’une femme de ménage. Tu vas nettoyer la maison et faire tout ce que je t’ordonne ! Mais je n’ai pas besoin de le dire ma petite soumise, puisque de toutes façons tu m’appartiens. Je vais te réserver un endroit où dormir, le peu que tu dormiras, mais prépare toi à un week-end très dur ! ». Je n’en rêvais pas moins ! La raison me revient, fulgurante, et Noémie qui m’a demandé des photos. J’ose sortir mon téléphone de ma poche et lui tendre, sans la regarder : « Si vous voulez bien prendre des photos de tout ce que vous me ferez subir… ».
Elle s’empare de mon téléphone « Bonne idée ça !! Tu pourras te remémorer à quel point tu es ma soumise, et de cette façon, tu ne pourras pas appeler ou écrire à je ne sais qui ! Maintenant à poils ! »
Elle a accepté !!! Je n’en demandais vraiment pas tant ! Je me déshabille prestement, et me remets en position à genoux, tête baissée, les mains dans le dos.
« Bien, tu vas commencer par balayer, aspirer et passer la serpillière dans le salon, le bureau et la cuisine. Je ne veux pas t’entendre ! ».
Fanny va se poser sur le canapé devant un film. Je reconnais Harry Potter. Je la regarde s’éloigner de moi, avec son pantalon ample et son t-shirt… Que cache-t-elle en dessous… ? Mes yeux osent remonter, et j’aperçois sur son cou le même collier que le mien, avec un cadenas bien fixé dessus. Son amant, à priori absent, la domine aussi lorsqu’il n’est pas là ? Comme j’aime cette situation !
Je marche à pas feutrés vers le petit cagibi, où elle range ses affaires de ménage, et prends le balai. Je commence par le bureau, puis fais la cuisine, et arrive dans le salon. Je fais de nombreux tas de saletés au sol, car ce n’est pas vraiment une fée du logis. Dans le salon, je passe derrière le canapé, bouge les chaises aussi doucement que possible pour balayer sous la table, et je vais devoir passer devant elle. Pour éviter de la gêner, je me mets à 4 pattes, et essaye de balayer avec une main. Du coin de l’œil, j’aperçois une main entre ses jambes, qui bouge doucement, appuyant fermement entre ses jambes. La situation semble l’exciter… Me sentant très soumise, j’ondule de la croupe et me cambre bien, espérant que ça l’excite encore un peu plus. Tenter de balayer pendant ce temps n’est pas facile, mais j’y parvient tant bien que mal. Je passe sous la télé, faisant attention à ce que le manche à balai ne tombe pas dans son champ de vision.
Je vois du coin de l’œil Fanny prendre son téléphone, pianoter rapidement dessus et le mettre à son oreille. « Maître, je vous attends impatiemment… Votre chatte est trempée… Et votre chatte a une belle surprise pour vous… C’est une surprise Maître, je ne peux pas vous la dire. D’accord, merci Maître, à tout à l’heure ! ».
Elle semble très excitée… Et mouillée… J’aime le nom qu’elle s’est donnée, chatte. Elle a parlé de moi en me désignant comme une surprise, et ça m’excite tellement !
« Tu as de la chance petite souillon, mon amant va venir me rejoindre un peu plus tard, et je compte bien t’humilier avec lui ! Il m’excite tellement, et quand il me fait l’amour, ou plutôt quand il me baise, quand il me prend, quand il me monte car je suis sa chienne, j’adore le sentir au fond de moi, heurter mon col, entrer dans mes entrailles, et s’y déverser ! Mais toi aussi tu aimes ça n’est-ce pas soumise ? »
« Oui Fanny… »
« Oui quoi soumise, je veux que tu le dises ! »
« Oui Fanny, j’aime qu’il se déverse en toi, qu’il te prenne, qu’il te fasse l’amour, qu’il remplisse tous tes trous… »
Fanny joue de plus en plus avec sa main entre ses jambes, et tout en me regardant : « Tu sais que je l’aime n’est-ce pas ? C’est lui mon mâle alpha, mon homme. Toi tu n’es rien, tu n’es qu’un chien qui ne récupère que les miettes de notre plaisir. Alors pourquoi tu aimes qu’il me prenne et se déverse en moi ? »
« Car je t’aime Fanny… »
Elle se lève très rapidement, me prends la tête dans les mains, la soulève vers son visage, et me crache dans la bouche. « Menteur ! Tu aimes ça mais pas car tu m’aimes, alors dis le !! »
Où veut-elle en venir ? Souhaite-t-elle que j’avoue y trouver de l’excitation à la voir me faire cocu d’une certaine manière ? Je tente cette réponse « pardon… Car je suis soumise, et que j’aime que tu fasses l’amour à un autre homme ».
Elle met sa tête à la verticale au dessus de la mienne, me relève la tête, m’ouvre la bouche, et laisse couler un crachat dans ma bouche tout doucement. Je le sens atterrir sur ma langue que je tire pour bien le récupérer. Il glisse dans ma bouche et dans ma gorge, je ne l’avale pas tout de suite.
« C’est mieux, mais ce n’est pas encore pour ça. Alors avoue tes fantasmes ! »
« Oui Fanny… Car j’aime être soumis, j’aime être dominé et humilié, ça m’excite, et c’est pour cette raison que j’aime que tu fasses l’amour à ton amant… »
« Tu vois quand tu veux. Tu as des penchants de soumise, et je vais bien te les développer ce week-end tu verras ! ». Sur ces mots, elle approche son visage de moi, et me lèche du menton, en remontant sur mes lèvres, tout doucement, mon nez, mon front. « Bonne salope… Aller, continu le ménage maintenant, ton Maître ne va pas tarder » me dit-elle presque avec tendresse.
Elle me relâche et retourne dans le canapé, s’asseyant jambes écartées, mais toujours habillée de son pantalon ample.
Je termine ma tâche, et m’excuse auprès d’elle de devoir faire du bruit avec l’aspirateur. Elle ne dit rien, mettant juste son film en pause.
Je prends l’aspirateur et me dépèche autant que possible. Quand j’arrive au niveau du canapé, elle a retiré son t-shirt, laissant apparaître ses seins magnifiques, habillés d’une magnifique chaîne argentée reliant deux pinces à seins. Quelle coquine, je sais qu’elle aime tellement ça. Mais elle a aussi retiré son pantalon. Elle porte la même ceinture que lorsqu’ils m’avaient accompagnés en voiture, celle qui verrouille une sangle qui passe entre les jambes, et maintient en place un gode dans le vagin et un dans l’anus. Elle est si excitante ! Je ne peux m’empêcher de m’arrêter et de bien observer tout cet attirail… Fanny, alanguie sur son canapé, avec un collier de soumise verrouillé par un cadenas, des pinces à seins, et cette ceinture maintenant deux godes… J’adore la vue… Mon sexe grossit tant qu’il peut dans sa cage.
« Tu aimes ce que tu voies soumise ? » me dit-elle en se passant la langue sur les lèvres.
« Pardon Fanny… » dis-je en me remettant au travail.
« Arrête soumise ! Ce n’est pas ce que je t’ai demandé !!! Aimes-tu ce que tu vois ?!! »
« Oh euh… Oui… oui Fanny… J’aime beaucoup… »
« Si tu savais le bonheur que c’est d’être rempli de deux godes alors que c’est mon amant qui possède les clés… Je les ai depuis minuit la nuit dernière… Mon Maître les a placés juste après m’avoir baisé par tous les trous, et éjaculé dans ma chatte… Ils sont rentrés tout seul, et j’en redemandais… Mon amant sait exactement comment me maintenir excitée, chose que tu n’as jamais su… Ils doivent être bien remplis de mes sécrétions et du sperme de mon amant maintenant… Peut-être que tu pourras en profiter si tu es sage… »
Elle m’excite c’est dingue ! Je voudrais lui sauter dessus maintenant, la serrer dans mes bras, lui rouler la pelle du siècle ! Mais je suis à sa merci et plus encore, je pense à Noémie et à ses pelles, à ce qu’elle m’a ordonné…
« Merci Fanny de m’exciter ainsi, et de me dominer… Je ne suis que ta soumise… »
« Il est trop tard pour la serpillière, finis l’aspirateur et viens à genoux devant moi ».
Je termine rapidement de passer l’aspirateur, et me mets dans la position exigée, devant le canapé de Fanny. Elle se lève, prend ma chaîne, et me tire vers la porte d’entrée. Elle me force à me mettre à genoux, assez cambré en avant, et attache la chaîne à la poutre au plafond, de façon à ce que je me tienne bien droit.
Elle passe ensuite une sangle au niveau de ma cheville, et la serre fort contre le haut de ma cuise. Ma jambe droite est pliée et très serrée. Elle fait pareil avec la gauche. Mes deux jambes sont pliées, je ne peux plus me relever. Elle attache ensuite mes mains dans mon dos avec des menottes, qu’elle verrouille avec une chaîne autour de ma taille pour que je puisse plus les bouger du tout, le tout maintenu par un cadenas.
« Tu vas être très sage avec mon amant. Je veux que quand il arrive, tu le regardes bien dans les yeux dans la position dans laquelle tu es, avec la bouche grande ouverte, et la langue bien sortie. Je n’aime pas sucer sa bite, tu me connais, même si je le fais car il me l’ordonne, mais toi, je veux que tu vénères sa bite, que tu sois prêt à tout pour avoir le plaisir de la sucer. Tu as bien compris ? »
« Oui Fanny… je vais adorer sa bite… Je te promets. »
Elle rapproche son visage, et me roule une pelle. Une vraie pelle, amoureuse, langoureuse, profonde, qui ne m’excite que davantage. Depuis combien de temps ne m’a-t-elle pas embrassé comme ça ? J’en rêvais, mais ne suis-je pas en train de tromper Noémie ? Sa pelle est moins agréable que celle de Noémie, mais je l’adore malgré tout… Ses mains me caressent le dos, et d’un coup, quelque chose s’enfonce dans mon anus, qui s’ouvre, et se referme dessus. Je reconnais un plug en acier. Elle me l’a enfilé pendant qu’elle m’embrassait.
« J’ai toujours aimé embrasser, et tu embrasses bien, mais tu n’en n’auras plus très souvent de mes baisers ! »
Sur ces mots, elle se place à côté de moi, dans la même position, à genoux, mais sans attaches. Elle prend la laisse en tissu qui est accrochée à son collier et à laquelle je n’avais pas prêté attention, en prend le bout entre ses dents, et met ses mains dans son dos. On dirait une chienne qui quémande une balade…
J’ai encore son goût et son odeur en bouche…
Nous patientons… Je la regarde régulièrement, elle aussi. Un filet de bave commence à couler de sa bouche, mais elle ne bouge pas. Je voudrais pourtant le récupérer…
Nous patientons, peut-être 20 minutes, dans le silence… Puis une clé s’insère dans la serrure. Son amant arrive.
En ouvrant la porte, il tombe sur son amante, nue, à genoux, arnachée par ses délicatesses préférées, et son regard se pose sur moi, interrogatif.
« Qu’est-ce que ton ex fait là Fanny, tu l’as invité ? ». Fanny laissa tomber sa laisse en ouvrant la bouche.
« Oui Maître, je me disais qu’on pouvait l’utiliser pendant tout le week-end. Il y a des tâches à faire, et ça nous laissera le temps de nous amuser. On pourra aussi s’en servir autant qu’on voudra »
Il sourit, pose son regard sur moi, et reprit « excellente idée Fanny ! J’adore ! Tu vas bien obéir pendant tout ce week-end le cocu ! »
J’ai un rictus de contentement tout en gardant la tête aussi droite que possible. Fanny s’en aperçoit.
« Tu vois, il est ravi de cette situation, et je lui ai déjà demandé de passer le balai et l’aspirateur. Maintenant, on peut faire ce qu’on veut de la soirée… »
L’amant de mon ex l’attrapa par la laisse de Fanny, et la leva avec, la forçant à se mettre sur ses jambes. Il lui roula une pelle, en la caressant, et en appuyant sur les godes fichés en elle, ce qui ne manqua pas de la faire émettre un petit soupir. Tout en l’embrassant, Fanny lui déboutonna son pantalon, et lui baissa avec son slip, libérant son sexe déjà durcit. Il finit de le retirer et se mit nu, puis reprit son étreinte avec Fanny. Je voyais du coin de l’œil leurs langues danser ensemble dans une danse formidablement érotique, me durcissant le sexe autant que possible.
Ils se séparent, l’amant de Fanny se présentant juste devant moi. A genoux comme je suis, son sexe durcit arrive pile en face de ma bouche. Je sais ce qu’il va se passer…
Fanny prend le sexe de son amant en main, et le dirige vers ma bouche, pendant que les mains de son amant me maintiennent bien la tête. J’ouvre grand la bouche et tire la langue le plus possible pour montrer ma soumission et mon envie de son sexe. A 2 cm de celui-ci, je le sens, il sent assez fort, comme s’il ne s’était pas lavé depuis la veille et après une journée de travail. Mais qu’à cela ne tienne, j’adore les odeurs sexuelles, et encore plus dans mon état hyper excité. J’ai à cœur de faire plaisir à Fanny, pour espérer être libéré de ma cage…
Son sexe entre dans ma bouche, juste le gland, je le lèche, me délecte du goût et de l’odeur de la queue de celui qui fait l’amour à mon ex, et avec qui elle m’avait trompé. Je suis vraiment soumis… Et j’aime ça.
Il se sert de ma bouche pour se masturber quelques minutes, puis stoppe.
Tandis qu’il s’en va dans la cuisine, Fanny me détache les cuisses, et la chaîne du plafond, me permettant de me relever, mais tout en gardant mes mains menottées dans le dos et attachées par la chaîne à ma taille.
Son amant finit un verre d’eau « ahhh un peu d’eau fraîche ça fait du bien et ça prépare. Fanny tu as beaucoup bu j’espère ? »
Fanny aquiesça.
« Bien, alors on va l’installer dans la chambre, sur notre nouveau banc », dit il en lançant un clin d’œil à Fanny. Un sourire s’étira sur son visage, et elle me regarda « Tu vas adorer salope ! ».
Elle passa devant moi dans l’escalier, toujours en me tirant par la laisse, et j’étais suivi par son amant. Sur le pas de la porte, elle ouvrit la porte de la chambre, et m’y tira, me laissant découvrir le « nouveau banc ».
Celui-ci est constitué de 3 planches, recouvertes d’une protection molletonnée, certainement très confortable. Sur les côtés, se situent plusieurs anneaux fixés sur le cadre, et plusieurs verrains semblent permettre à l’ensemble de bouger. Actuellement, la planche du milieu est à l’horizontale, celle du bas est à la verticale, ainsi que celle du haut, faisant ressembler l’ensemble à une chaise. Le banc est situé à côté du lit, entre celui-ci et le coin où j’avais passé quelques heures attaché. Voir cet outil sexuel m’excite encore plus… Je sais que je vais y passer du temps, et cela me ravit !
« Ca te plaît on dirait soumise ? » me demande Fanny. J’acquiesce, et celle-ci m’y tire. Elle me fait m’installer devant, debout, la chaîne de mon collier passée au plafond, me forçant à rester bien droit, et tourné vers le lit.
Son amant se rapproche de Fanny : « Maintenant que la salope est attachée, je vais te libérer juste ce qu’il faut pour lui remplir son trou, qu’en dis-tu ? »
« Oh oui Maître, il va aimer j’en suis sûr ! ».
Sur ces mots, elle se met à 4 pattes sur le lit. Son amant prend la clé attachée à son cou, et déverrouille le cadenas reliant la sangle entre ses fesses à la ceinture. Elle se détache, tombant mollement sur le lit, et me laissant voir directement les deux godes, bien fichés au fond d’elle. Même de là où je suis, je vois qu’elle est trempée, et je sens l’odeur de sexe qui s’en dégage. Mon sexe veut grossir dans sa cage, mais n’y parviens pas plus, et mon cœur ainsi que ma respiration s’accélèrent.
L’amant de mon ex prend le gode fiché dans les fesses de Fanny, et le sort doucement, puis le rentre. Il le ressort, et recommence, finissant par masturber l’anus de Fanny qui va à la rencontre du gode et émet quelques gémissements. Il le ressort entièrement, laissant l’anus de Fanny bien ouvert.
« Reste dans cette position Fanny, on n’en n’a pas fini ».
« Oui mon Maître ».
« Toi le cocu, tu vas commencer par bien lécher ce gode. Fanny avait fait un bon lavement, tu n’auras que le goût de son cul ».
La situation m’excite à mort !! J’ouvre grand la bouche et tire la langue, alors que l’amant essuie le gode contre ma langue, passant sur chaque recoin. Je rentre la langue dans ma bouche régulièrement pour me délecter du goût du cul de mon ex, et avaler sa mouille anale. Une fois bien propre, il le rentre dans ma bouche, et me la baise un peu avec. Il le retire, se met derrière moi, prend mon plug anal et le retire sans trop de ménagement, et le remplace immédiatement par le gode. Il le fait rentrer doucement, je sens mes chairs s’écarter sur son passage. Il passe mon deuxième sphincter, mesurant entre 30 et 40cm à vue de nez, et je sens la base qui vient toucher mes fesses.
« Serre les fesses et ne bouge pas salope ».
Je m’exécute. L’amant retourne vers Fanny, retire la ceinture qu’elle porte attachée à la sangle, et revient vers moi. Je comprends ce qu’il va faire…
Il attache la ceinture à mes hanches, bien serrée, puis vient tendre la sangle entre mes jambes. Il la remonte derrière, et la verrouille avec le cadenas. La sangle appuie bien sur le gode, et l’empêche de ressortir. Je me sens bien, arnaché ainsi.
Il retire la laisse du plafond, et m’emmène vers Fanny.
« Lèche lui le cul maintenant salope, je veux que ça brille ! »
Je m’approche doucement, emplit mes poumons de sa merveilleuse odeur de sexe, et commence doucement à lui lécher le pourtour de l’anus. Elle est trempée… J’adore ! Ma langue s’aventure un peu plus vers le centre, et je tente de la faire rentrer au maximum dans son cul pour lui procurer du plaisir, et récupérer toute la mouille anale possible.
Elle gémit tout doucement. Son amant tire la laisse en arrière, me forçant à m’écarter, puis m’ordonne de me mettre à genoux. Je m’exécute, ce qui tend un peu plus la sangle passant entre mes fesses, et fait entrer un peu plus le gode dans mon cul, me prodiguant de merveilleuses sensations.
Je suis toujours le nez à 30cm de la chatte remplie du gode, et du cul de Fanny.
L’amant prend le gode dans la chatte, et le sort tout doucement. « Retiens tout Fanny ! »
Le gode sort complètement, il me le tend, et me l’enfourne directement dans la bouche. J’y reconnais un goût de mouille et de sperme, ce qui ne manque pas de m’exciter. C’est incroyable le plaisir que je prends. Il n’aurait certainement pas été possible si je n’avais pas été en cage de chasteté depuis aussi longtemps !
Il récupère le gode, le pose sur le lit, et penche ma tête vers le chatte trempée de Fanny.
« Nettoie la bien maintenant ! Fanny, laisse toi aller, mais retiens ta pisse. »
Je la vois se détendre, et je colle ma bouche à sa fente. Mon nez arrive pile dans son anus, je me régale. Sa mouille est très présente, rendant le toucher avec ma langue très agréable. Je sens aussi du sperme bien liquide qui s’écoule, et que je récupère, m’en délectant. Je commence à vraiment aimer le sperme de son amant, à tel point que j’aimerais qu’il s’écoule directement en moi. Fanny avait raison : je suis une salope, je suis une soumise !
Je la lèche encore, tandis qu’elle commence à se trémousser et à pousser de nombreux gémissements. Soumis, mon rôle n’est pas de l’amener à l’orgasme tant qu’elle ne me l’a pas ordonné ou que son maître ne me l’a pas ordonné non plus. Je le vois ainsi, souhaitant laisser cet honneur à son Maître, l’amant avec lequel elle m’avait trompé, et dont je ramasse le sperme avec la langue…
Je fais donc très attention à ne pas la faire jouir, et au bout d’un temps long, mais trop court, je suis tiré en arrière par l’amant.
Je me mets spontanément à genoux, les mains toujours attachées dans le dos.
« Fanny, vient mettre le banc en position allongée. »
Fanny se lève, la chaînette reliant ses têtons pend légèrement. Elle se met sur le côté et, très simplement, place les trois planches en position allongée. L’amant me tire par la laisse, me forçant à me lever et à venir près de lui. Fanny passe dans mon dos, et me retire les menottes avec la clé qui pend à son cou, puis m’intime de m’allonger sur le banc, sur le dos.
Je m’exécute et, comme je l’avais anticipé, les planches, bien que pas très larges, sont très confortables. Fanny et son amant me tirent les bras sous le banc, les passent dans des espaces, que je sens se serrer sur mes poignets. Mes bras sont maintenant solidement fixés sons le banc. Mes pieds sont mis dans des espaces similaires, maintenant mes jambes légèrement écartées, et je sens les espaces se serrer autour de mes chevilles. La sensation n’est à aucun moment désagréable, au contraire. Enfin, mon collier est attaché avec un mousqueton au banc, et une sangle me passe sur le front, et serrée de sorte que ma tête ne puisse plus bouger. Deux sangles m’enserrent le torse, et deux sangles supplémentaires par jambe. Je ne peux plus faire un seul mouvement, et… Ca me plaît.
Je suis là, allongé sur le banc destiné à des pratiques sexuelles, un long gode enfoncé dans mon anus et bien maintenu par une sangle, la cage de chasteté sur le sexe, le goût de la mouille de mon ex et du sperme de son amant en bouche, l’odeur de toutes ces sécrétions autour de la bouche, et attaché de telle sorte que je ne puisse faire un seul mouvement. C’est tellement confortable et excitant !
« Fanny, vas te vider, mais n’en mets pas une seule goutte à côté. Toi le soumis, tu as intérêt à bien tout avaler ! »
Je vois du coin de l’œil Fanny venir vers moi. Elle enjambe ma tête et se baisse un peu, de sorte que son vagin soit à quelques centimètres à peine de ma bouche. Je sais ce qu’il va arriver, et j’en suis hyper excité !
« J’ai très envie Maître, je vais essayer d’y aller doucement… »
J’ouvre grand ma bouche et tire un peu la langue pour accueillir ce divin nectar. Quelques secondes passent, puis un premier jet, timide, arrive dans ma bouche. J’adore ce goût et cette odeur. Avec tout ce qu’elle a bu, c’est assez léger, mais je n’en aime que davantage. J’apprécie de sentir ce jet chaud, directement du producteur au consommateur, arriver dans le fond de ma bouche. Sans plus attendre, j’avale, rouvrant la bouche et tirant la langue pour en demander davantage.
Fanny sourit en me regardant, puis laisse échapper un flot un peu plus important, qui me remplit la bouche, avant de stopper son jet. J’ai la bouche archi pleine, j’avale en trois fois, et rouvre encore la bouche.
« Tu aimes vraiment ça soumise ! J’en ai encore pour toi » dit elle en me toisant du regard. Son amant lui caresse les fesses pendant ce temps.
Elle recommence, me remplissant la bouche entièrement, puis se stoppe. J’avale encore, puis rouvre la bouche. Elle recommence ceci 5 fois avant que sa source délicieuse ne soit tarie.
Elle se baisse un peu plus, de façon à ce que sa chatte entre en contact avec ma bouche. Je tire la langue, et lui nettoie les quelques gouttes supplémentaires, me délectant une fois de plus de son délicieux goût. Elle se relève, puis penche sa tête vers moi. J’ouvre spontanément la bouche. Elle me crache dans la bouche, puis me passe un bâillon en forme de petit pénis, celui avec un trou au milieu. Elle l’attache derrière le banc grâce à une sangle bien conçue, me plaquant un peu plus le bas du visage au banc.
« Maintenant salope, tu vas dormir ici, pendant que mon amant avec qui je t’avais trompé et moi allons nous amuser dans le lit juste à côté. Bonne nuit ! » me dit-elle, avant de me déposer un baiser sur le bâillon. Elle place alors un protège yeux, comme dans les avions, sur les yeux, qu’elle fixe à des anneaux disposés sur le côté du banc, me laissant dans le noir, son goût et son odeur dans la bouche, le sexe encagé, et le long gode dans l’anus.
Sans qu’ils ne parlent, je les entends faire l’amour. Je ne sais ni comment, ni dans quel orifice, mais Fanny semble jouir encore et encore, tandis que son amant prend également énormément de plaisir.
D’être rendu aveugle, avec ces bruits à côté, me fait imaginer les scènes, ce qui les rend encore plus excitantes. Je me demande si je pourrai participer avec ma langue, mais j’ai le sentiment qu’ils ne me laisseront pas jouer plus avec eux ce soir…
Les minutes, dizaines de minutes, et probablement heures passent, je suis tellement bien attaché ainsi, avec mon ex et son amant qui font l’amour juste à côté… Fanny n’a jamais été aussi endurante avec moi…
Ils finissent par s’arrêter, et je n’entends guère plus de bruit que ceux de leur respiration, et de draps qui bougent.
C’est calme… Je me calme aussi, sens mon sexe qui se repose. Le sommeil me gagne…
Je gare la voiture, et regarde sa maison. La lumière est allumée, elle doit être chez elle. J’hésite… Comment va-t-elle réagir ? Et si elle m’envoie balader ? Après tout, rien ne l’oblige à accepter mon service ce week-end… J’envoie un SMS à Noémie : « Je suis devant chez Fanny… Je vais faire ce que tu m’as demandé… J’ignore quand est-ce que je pourrai te répondre, mais je t’obéis… Merci pour tout ce que tu fais… »
Sans attendre la réponse, je me lève, prends l’enveloppe, et me dirige vers la porte d’entrée. Je me mets à genoux, bras tendus avec la lettre sur mes mains, et toque à la porte.
J’entends des pas, très légèrement. Un instant plus tard, un bruit de clé dans la serrure, la poignée de la porte qui se baisse et la porte qui s’ouvre. Je reconnais les pieds de Fanny, je sens son regard sur moi.
« Qu’est-ce que tu fous là toi ! Je t’ai pas convoqué ! Oh, tu as écrit une lettre, voyons voir ! », dit-elle avec un ton méprisant, mais moins agressif que d’ordinaire.
Elle saisit la lettre de mes mains, je les mets dans mon dos, en fixant toujours ses pieds, nus. Ils sont beaux… Je voudrais me baisser et les embrasser en signe de respect, mais je préfère rester à genoux, mains dans le dos, tête baissée. La situation m’excite, mon sexe durcit dans sa cage… Va-t-elle m’accepter ?
Les secondes passent alors qu’elle lit la lettre. Sans dire un mot, elle rentre dans la maison, laissant la porte ouverte. Que dois-je faire ?
J’attends quelques instants qui doivent durer quelques minutes, et je l’entends revenir. Elle me fixe tout de suite autour du cou le collier à cadenas que j’ai déjà expérimenté, y fixe une chaîne attachée avec un autre cadenas, et me tire à l’intérieur. Je me mets à 4 pattes, et entre dans sa maison, heureux qu’elle m’accepte ainsi.
Elle s’arrête dans le salon, se retourne : « tu veux m’obéir tout le week-end ? Parfait ! J’avais besoin d’une femme de ménage. Tu vas nettoyer la maison et faire tout ce que je t’ordonne ! Mais je n’ai pas besoin de le dire ma petite soumise, puisque de toutes façons tu m’appartiens. Je vais te réserver un endroit où dormir, le peu que tu dormiras, mais prépare toi à un week-end très dur ! ». Je n’en rêvais pas moins ! La raison me revient, fulgurante, et Noémie qui m’a demandé des photos. J’ose sortir mon téléphone de ma poche et lui tendre, sans la regarder : « Si vous voulez bien prendre des photos de tout ce que vous me ferez subir… ».
Elle s’empare de mon téléphone « Bonne idée ça !! Tu pourras te remémorer à quel point tu es ma soumise, et de cette façon, tu ne pourras pas appeler ou écrire à je ne sais qui ! Maintenant à poils ! »
Elle a accepté !!! Je n’en demandais vraiment pas tant ! Je me déshabille prestement, et me remets en position à genoux, tête baissée, les mains dans le dos.
« Bien, tu vas commencer par balayer, aspirer et passer la serpillière dans le salon, le bureau et la cuisine. Je ne veux pas t’entendre ! ».
Fanny va se poser sur le canapé devant un film. Je reconnais Harry Potter. Je la regarde s’éloigner de moi, avec son pantalon ample et son t-shirt… Que cache-t-elle en dessous… ? Mes yeux osent remonter, et j’aperçois sur son cou le même collier que le mien, avec un cadenas bien fixé dessus. Son amant, à priori absent, la domine aussi lorsqu’il n’est pas là ? Comme j’aime cette situation !
Je marche à pas feutrés vers le petit cagibi, où elle range ses affaires de ménage, et prends le balai. Je commence par le bureau, puis fais la cuisine, et arrive dans le salon. Je fais de nombreux tas de saletés au sol, car ce n’est pas vraiment une fée du logis. Dans le salon, je passe derrière le canapé, bouge les chaises aussi doucement que possible pour balayer sous la table, et je vais devoir passer devant elle. Pour éviter de la gêner, je me mets à 4 pattes, et essaye de balayer avec une main. Du coin de l’œil, j’aperçois une main entre ses jambes, qui bouge doucement, appuyant fermement entre ses jambes. La situation semble l’exciter… Me sentant très soumise, j’ondule de la croupe et me cambre bien, espérant que ça l’excite encore un peu plus. Tenter de balayer pendant ce temps n’est pas facile, mais j’y parvient tant bien que mal. Je passe sous la télé, faisant attention à ce que le manche à balai ne tombe pas dans son champ de vision.
Je vois du coin de l’œil Fanny prendre son téléphone, pianoter rapidement dessus et le mettre à son oreille. « Maître, je vous attends impatiemment… Votre chatte est trempée… Et votre chatte a une belle surprise pour vous… C’est une surprise Maître, je ne peux pas vous la dire. D’accord, merci Maître, à tout à l’heure ! ».
Elle semble très excitée… Et mouillée… J’aime le nom qu’elle s’est donnée, chatte. Elle a parlé de moi en me désignant comme une surprise, et ça m’excite tellement !
« Tu as de la chance petite souillon, mon amant va venir me rejoindre un peu plus tard, et je compte bien t’humilier avec lui ! Il m’excite tellement, et quand il me fait l’amour, ou plutôt quand il me baise, quand il me prend, quand il me monte car je suis sa chienne, j’adore le sentir au fond de moi, heurter mon col, entrer dans mes entrailles, et s’y déverser ! Mais toi aussi tu aimes ça n’est-ce pas soumise ? »
« Oui Fanny… »
« Oui quoi soumise, je veux que tu le dises ! »
« Oui Fanny, j’aime qu’il se déverse en toi, qu’il te prenne, qu’il te fasse l’amour, qu’il remplisse tous tes trous… »
Fanny joue de plus en plus avec sa main entre ses jambes, et tout en me regardant : « Tu sais que je l’aime n’est-ce pas ? C’est lui mon mâle alpha, mon homme. Toi tu n’es rien, tu n’es qu’un chien qui ne récupère que les miettes de notre plaisir. Alors pourquoi tu aimes qu’il me prenne et se déverse en moi ? »
« Car je t’aime Fanny… »
Elle se lève très rapidement, me prends la tête dans les mains, la soulève vers son visage, et me crache dans la bouche. « Menteur ! Tu aimes ça mais pas car tu m’aimes, alors dis le !! »
Où veut-elle en venir ? Souhaite-t-elle que j’avoue y trouver de l’excitation à la voir me faire cocu d’une certaine manière ? Je tente cette réponse « pardon… Car je suis soumise, et que j’aime que tu fasses l’amour à un autre homme ».
Elle met sa tête à la verticale au dessus de la mienne, me relève la tête, m’ouvre la bouche, et laisse couler un crachat dans ma bouche tout doucement. Je le sens atterrir sur ma langue que je tire pour bien le récupérer. Il glisse dans ma bouche et dans ma gorge, je ne l’avale pas tout de suite.
« C’est mieux, mais ce n’est pas encore pour ça. Alors avoue tes fantasmes ! »
« Oui Fanny… Car j’aime être soumis, j’aime être dominé et humilié, ça m’excite, et c’est pour cette raison que j’aime que tu fasses l’amour à ton amant… »
« Tu vois quand tu veux. Tu as des penchants de soumise, et je vais bien te les développer ce week-end tu verras ! ». Sur ces mots, elle approche son visage de moi, et me lèche du menton, en remontant sur mes lèvres, tout doucement, mon nez, mon front. « Bonne salope… Aller, continu le ménage maintenant, ton Maître ne va pas tarder » me dit-elle presque avec tendresse.
Elle me relâche et retourne dans le canapé, s’asseyant jambes écartées, mais toujours habillée de son pantalon ample.
Je termine ma tâche, et m’excuse auprès d’elle de devoir faire du bruit avec l’aspirateur. Elle ne dit rien, mettant juste son film en pause.
Je prends l’aspirateur et me dépèche autant que possible. Quand j’arrive au niveau du canapé, elle a retiré son t-shirt, laissant apparaître ses seins magnifiques, habillés d’une magnifique chaîne argentée reliant deux pinces à seins. Quelle coquine, je sais qu’elle aime tellement ça. Mais elle a aussi retiré son pantalon. Elle porte la même ceinture que lorsqu’ils m’avaient accompagnés en voiture, celle qui verrouille une sangle qui passe entre les jambes, et maintient en place un gode dans le vagin et un dans l’anus. Elle est si excitante ! Je ne peux m’empêcher de m’arrêter et de bien observer tout cet attirail… Fanny, alanguie sur son canapé, avec un collier de soumise verrouillé par un cadenas, des pinces à seins, et cette ceinture maintenant deux godes… J’adore la vue… Mon sexe grossit tant qu’il peut dans sa cage.
« Tu aimes ce que tu voies soumise ? » me dit-elle en se passant la langue sur les lèvres.
« Pardon Fanny… » dis-je en me remettant au travail.
« Arrête soumise ! Ce n’est pas ce que je t’ai demandé !!! Aimes-tu ce que tu vois ?!! »
« Oh euh… Oui… oui Fanny… J’aime beaucoup… »
« Si tu savais le bonheur que c’est d’être rempli de deux godes alors que c’est mon amant qui possède les clés… Je les ai depuis minuit la nuit dernière… Mon Maître les a placés juste après m’avoir baisé par tous les trous, et éjaculé dans ma chatte… Ils sont rentrés tout seul, et j’en redemandais… Mon amant sait exactement comment me maintenir excitée, chose que tu n’as jamais su… Ils doivent être bien remplis de mes sécrétions et du sperme de mon amant maintenant… Peut-être que tu pourras en profiter si tu es sage… »
Elle m’excite c’est dingue ! Je voudrais lui sauter dessus maintenant, la serrer dans mes bras, lui rouler la pelle du siècle ! Mais je suis à sa merci et plus encore, je pense à Noémie et à ses pelles, à ce qu’elle m’a ordonné…
« Merci Fanny de m’exciter ainsi, et de me dominer… Je ne suis que ta soumise… »
« Il est trop tard pour la serpillière, finis l’aspirateur et viens à genoux devant moi ».
Je termine rapidement de passer l’aspirateur, et me mets dans la position exigée, devant le canapé de Fanny. Elle se lève, prend ma chaîne, et me tire vers la porte d’entrée. Elle me force à me mettre à genoux, assez cambré en avant, et attache la chaîne à la poutre au plafond, de façon à ce que je me tienne bien droit.
Elle passe ensuite une sangle au niveau de ma cheville, et la serre fort contre le haut de ma cuise. Ma jambe droite est pliée et très serrée. Elle fait pareil avec la gauche. Mes deux jambes sont pliées, je ne peux plus me relever. Elle attache ensuite mes mains dans mon dos avec des menottes, qu’elle verrouille avec une chaîne autour de ma taille pour que je puisse plus les bouger du tout, le tout maintenu par un cadenas.
« Tu vas être très sage avec mon amant. Je veux que quand il arrive, tu le regardes bien dans les yeux dans la position dans laquelle tu es, avec la bouche grande ouverte, et la langue bien sortie. Je n’aime pas sucer sa bite, tu me connais, même si je le fais car il me l’ordonne, mais toi, je veux que tu vénères sa bite, que tu sois prêt à tout pour avoir le plaisir de la sucer. Tu as bien compris ? »
« Oui Fanny… je vais adorer sa bite… Je te promets. »
Elle rapproche son visage, et me roule une pelle. Une vraie pelle, amoureuse, langoureuse, profonde, qui ne m’excite que davantage. Depuis combien de temps ne m’a-t-elle pas embrassé comme ça ? J’en rêvais, mais ne suis-je pas en train de tromper Noémie ? Sa pelle est moins agréable que celle de Noémie, mais je l’adore malgré tout… Ses mains me caressent le dos, et d’un coup, quelque chose s’enfonce dans mon anus, qui s’ouvre, et se referme dessus. Je reconnais un plug en acier. Elle me l’a enfilé pendant qu’elle m’embrassait.
« J’ai toujours aimé embrasser, et tu embrasses bien, mais tu n’en n’auras plus très souvent de mes baisers ! »
Sur ces mots, elle se place à côté de moi, dans la même position, à genoux, mais sans attaches. Elle prend la laisse en tissu qui est accrochée à son collier et à laquelle je n’avais pas prêté attention, en prend le bout entre ses dents, et met ses mains dans son dos. On dirait une chienne qui quémande une balade…
J’ai encore son goût et son odeur en bouche…
Nous patientons… Je la regarde régulièrement, elle aussi. Un filet de bave commence à couler de sa bouche, mais elle ne bouge pas. Je voudrais pourtant le récupérer…
Nous patientons, peut-être 20 minutes, dans le silence… Puis une clé s’insère dans la serrure. Son amant arrive.
En ouvrant la porte, il tombe sur son amante, nue, à genoux, arnachée par ses délicatesses préférées, et son regard se pose sur moi, interrogatif.
« Qu’est-ce que ton ex fait là Fanny, tu l’as invité ? ». Fanny laissa tomber sa laisse en ouvrant la bouche.
« Oui Maître, je me disais qu’on pouvait l’utiliser pendant tout le week-end. Il y a des tâches à faire, et ça nous laissera le temps de nous amuser. On pourra aussi s’en servir autant qu’on voudra »
Il sourit, pose son regard sur moi, et reprit « excellente idée Fanny ! J’adore ! Tu vas bien obéir pendant tout ce week-end le cocu ! »
J’ai un rictus de contentement tout en gardant la tête aussi droite que possible. Fanny s’en aperçoit.
« Tu vois, il est ravi de cette situation, et je lui ai déjà demandé de passer le balai et l’aspirateur. Maintenant, on peut faire ce qu’on veut de la soirée… »
L’amant de mon ex l’attrapa par la laisse de Fanny, et la leva avec, la forçant à se mettre sur ses jambes. Il lui roula une pelle, en la caressant, et en appuyant sur les godes fichés en elle, ce qui ne manqua pas de la faire émettre un petit soupir. Tout en l’embrassant, Fanny lui déboutonna son pantalon, et lui baissa avec son slip, libérant son sexe déjà durcit. Il finit de le retirer et se mit nu, puis reprit son étreinte avec Fanny. Je voyais du coin de l’œil leurs langues danser ensemble dans une danse formidablement érotique, me durcissant le sexe autant que possible.
Ils se séparent, l’amant de Fanny se présentant juste devant moi. A genoux comme je suis, son sexe durcit arrive pile en face de ma bouche. Je sais ce qu’il va se passer…
Fanny prend le sexe de son amant en main, et le dirige vers ma bouche, pendant que les mains de son amant me maintiennent bien la tête. J’ouvre grand la bouche et tire la langue le plus possible pour montrer ma soumission et mon envie de son sexe. A 2 cm de celui-ci, je le sens, il sent assez fort, comme s’il ne s’était pas lavé depuis la veille et après une journée de travail. Mais qu’à cela ne tienne, j’adore les odeurs sexuelles, et encore plus dans mon état hyper excité. J’ai à cœur de faire plaisir à Fanny, pour espérer être libéré de ma cage…
Son sexe entre dans ma bouche, juste le gland, je le lèche, me délecte du goût et de l’odeur de la queue de celui qui fait l’amour à mon ex, et avec qui elle m’avait trompé. Je suis vraiment soumis… Et j’aime ça.
Il se sert de ma bouche pour se masturber quelques minutes, puis stoppe.
Tandis qu’il s’en va dans la cuisine, Fanny me détache les cuisses, et la chaîne du plafond, me permettant de me relever, mais tout en gardant mes mains menottées dans le dos et attachées par la chaîne à ma taille.
Son amant finit un verre d’eau « ahhh un peu d’eau fraîche ça fait du bien et ça prépare. Fanny tu as beaucoup bu j’espère ? »
Fanny aquiesça.
« Bien, alors on va l’installer dans la chambre, sur notre nouveau banc », dit il en lançant un clin d’œil à Fanny. Un sourire s’étira sur son visage, et elle me regarda « Tu vas adorer salope ! ».
Elle passa devant moi dans l’escalier, toujours en me tirant par la laisse, et j’étais suivi par son amant. Sur le pas de la porte, elle ouvrit la porte de la chambre, et m’y tira, me laissant découvrir le « nouveau banc ».
Celui-ci est constitué de 3 planches, recouvertes d’une protection molletonnée, certainement très confortable. Sur les côtés, se situent plusieurs anneaux fixés sur le cadre, et plusieurs verrains semblent permettre à l’ensemble de bouger. Actuellement, la planche du milieu est à l’horizontale, celle du bas est à la verticale, ainsi que celle du haut, faisant ressembler l’ensemble à une chaise. Le banc est situé à côté du lit, entre celui-ci et le coin où j’avais passé quelques heures attaché. Voir cet outil sexuel m’excite encore plus… Je sais que je vais y passer du temps, et cela me ravit !
« Ca te plaît on dirait soumise ? » me demande Fanny. J’acquiesce, et celle-ci m’y tire. Elle me fait m’installer devant, debout, la chaîne de mon collier passée au plafond, me forçant à rester bien droit, et tourné vers le lit.
Son amant se rapproche de Fanny : « Maintenant que la salope est attachée, je vais te libérer juste ce qu’il faut pour lui remplir son trou, qu’en dis-tu ? »
« Oh oui Maître, il va aimer j’en suis sûr ! ».
Sur ces mots, elle se met à 4 pattes sur le lit. Son amant prend la clé attachée à son cou, et déverrouille le cadenas reliant la sangle entre ses fesses à la ceinture. Elle se détache, tombant mollement sur le lit, et me laissant voir directement les deux godes, bien fichés au fond d’elle. Même de là où je suis, je vois qu’elle est trempée, et je sens l’odeur de sexe qui s’en dégage. Mon sexe veut grossir dans sa cage, mais n’y parviens pas plus, et mon cœur ainsi que ma respiration s’accélèrent.
L’amant de mon ex prend le gode fiché dans les fesses de Fanny, et le sort doucement, puis le rentre. Il le ressort, et recommence, finissant par masturber l’anus de Fanny qui va à la rencontre du gode et émet quelques gémissements. Il le ressort entièrement, laissant l’anus de Fanny bien ouvert.
« Reste dans cette position Fanny, on n’en n’a pas fini ».
« Oui mon Maître ».
« Toi le cocu, tu vas commencer par bien lécher ce gode. Fanny avait fait un bon lavement, tu n’auras que le goût de son cul ».
La situation m’excite à mort !! J’ouvre grand la bouche et tire la langue, alors que l’amant essuie le gode contre ma langue, passant sur chaque recoin. Je rentre la langue dans ma bouche régulièrement pour me délecter du goût du cul de mon ex, et avaler sa mouille anale. Une fois bien propre, il le rentre dans ma bouche, et me la baise un peu avec. Il le retire, se met derrière moi, prend mon plug anal et le retire sans trop de ménagement, et le remplace immédiatement par le gode. Il le fait rentrer doucement, je sens mes chairs s’écarter sur son passage. Il passe mon deuxième sphincter, mesurant entre 30 et 40cm à vue de nez, et je sens la base qui vient toucher mes fesses.
« Serre les fesses et ne bouge pas salope ».
Je m’exécute. L’amant retourne vers Fanny, retire la ceinture qu’elle porte attachée à la sangle, et revient vers moi. Je comprends ce qu’il va faire…
Il attache la ceinture à mes hanches, bien serrée, puis vient tendre la sangle entre mes jambes. Il la remonte derrière, et la verrouille avec le cadenas. La sangle appuie bien sur le gode, et l’empêche de ressortir. Je me sens bien, arnaché ainsi.
Il retire la laisse du plafond, et m’emmène vers Fanny.
« Lèche lui le cul maintenant salope, je veux que ça brille ! »
Je m’approche doucement, emplit mes poumons de sa merveilleuse odeur de sexe, et commence doucement à lui lécher le pourtour de l’anus. Elle est trempée… J’adore ! Ma langue s’aventure un peu plus vers le centre, et je tente de la faire rentrer au maximum dans son cul pour lui procurer du plaisir, et récupérer toute la mouille anale possible.
Elle gémit tout doucement. Son amant tire la laisse en arrière, me forçant à m’écarter, puis m’ordonne de me mettre à genoux. Je m’exécute, ce qui tend un peu plus la sangle passant entre mes fesses, et fait entrer un peu plus le gode dans mon cul, me prodiguant de merveilleuses sensations.
Je suis toujours le nez à 30cm de la chatte remplie du gode, et du cul de Fanny.
L’amant prend le gode dans la chatte, et le sort tout doucement. « Retiens tout Fanny ! »
Le gode sort complètement, il me le tend, et me l’enfourne directement dans la bouche. J’y reconnais un goût de mouille et de sperme, ce qui ne manque pas de m’exciter. C’est incroyable le plaisir que je prends. Il n’aurait certainement pas été possible si je n’avais pas été en cage de chasteté depuis aussi longtemps !
Il récupère le gode, le pose sur le lit, et penche ma tête vers le chatte trempée de Fanny.
« Nettoie la bien maintenant ! Fanny, laisse toi aller, mais retiens ta pisse. »
Je la vois se détendre, et je colle ma bouche à sa fente. Mon nez arrive pile dans son anus, je me régale. Sa mouille est très présente, rendant le toucher avec ma langue très agréable. Je sens aussi du sperme bien liquide qui s’écoule, et que je récupère, m’en délectant. Je commence à vraiment aimer le sperme de son amant, à tel point que j’aimerais qu’il s’écoule directement en moi. Fanny avait raison : je suis une salope, je suis une soumise !
Je la lèche encore, tandis qu’elle commence à se trémousser et à pousser de nombreux gémissements. Soumis, mon rôle n’est pas de l’amener à l’orgasme tant qu’elle ne me l’a pas ordonné ou que son maître ne me l’a pas ordonné non plus. Je le vois ainsi, souhaitant laisser cet honneur à son Maître, l’amant avec lequel elle m’avait trompé, et dont je ramasse le sperme avec la langue…
Je fais donc très attention à ne pas la faire jouir, et au bout d’un temps long, mais trop court, je suis tiré en arrière par l’amant.
Je me mets spontanément à genoux, les mains toujours attachées dans le dos.
« Fanny, vient mettre le banc en position allongée. »
Fanny se lève, la chaînette reliant ses têtons pend légèrement. Elle se met sur le côté et, très simplement, place les trois planches en position allongée. L’amant me tire par la laisse, me forçant à me lever et à venir près de lui. Fanny passe dans mon dos, et me retire les menottes avec la clé qui pend à son cou, puis m’intime de m’allonger sur le banc, sur le dos.
Je m’exécute et, comme je l’avais anticipé, les planches, bien que pas très larges, sont très confortables. Fanny et son amant me tirent les bras sous le banc, les passent dans des espaces, que je sens se serrer sur mes poignets. Mes bras sont maintenant solidement fixés sons le banc. Mes pieds sont mis dans des espaces similaires, maintenant mes jambes légèrement écartées, et je sens les espaces se serrer autour de mes chevilles. La sensation n’est à aucun moment désagréable, au contraire. Enfin, mon collier est attaché avec un mousqueton au banc, et une sangle me passe sur le front, et serrée de sorte que ma tête ne puisse plus bouger. Deux sangles m’enserrent le torse, et deux sangles supplémentaires par jambe. Je ne peux plus faire un seul mouvement, et… Ca me plaît.
Je suis là, allongé sur le banc destiné à des pratiques sexuelles, un long gode enfoncé dans mon anus et bien maintenu par une sangle, la cage de chasteté sur le sexe, le goût de la mouille de mon ex et du sperme de son amant en bouche, l’odeur de toutes ces sécrétions autour de la bouche, et attaché de telle sorte que je ne puisse faire un seul mouvement. C’est tellement confortable et excitant !
« Fanny, vas te vider, mais n’en mets pas une seule goutte à côté. Toi le soumis, tu as intérêt à bien tout avaler ! »
Je vois du coin de l’œil Fanny venir vers moi. Elle enjambe ma tête et se baisse un peu, de sorte que son vagin soit à quelques centimètres à peine de ma bouche. Je sais ce qu’il va arriver, et j’en suis hyper excité !
« J’ai très envie Maître, je vais essayer d’y aller doucement… »
J’ouvre grand ma bouche et tire un peu la langue pour accueillir ce divin nectar. Quelques secondes passent, puis un premier jet, timide, arrive dans ma bouche. J’adore ce goût et cette odeur. Avec tout ce qu’elle a bu, c’est assez léger, mais je n’en aime que davantage. J’apprécie de sentir ce jet chaud, directement du producteur au consommateur, arriver dans le fond de ma bouche. Sans plus attendre, j’avale, rouvrant la bouche et tirant la langue pour en demander davantage.
Fanny sourit en me regardant, puis laisse échapper un flot un peu plus important, qui me remplit la bouche, avant de stopper son jet. J’ai la bouche archi pleine, j’avale en trois fois, et rouvre encore la bouche.
« Tu aimes vraiment ça soumise ! J’en ai encore pour toi » dit elle en me toisant du regard. Son amant lui caresse les fesses pendant ce temps.
Elle recommence, me remplissant la bouche entièrement, puis se stoppe. J’avale encore, puis rouvre la bouche. Elle recommence ceci 5 fois avant que sa source délicieuse ne soit tarie.
Elle se baisse un peu plus, de façon à ce que sa chatte entre en contact avec ma bouche. Je tire la langue, et lui nettoie les quelques gouttes supplémentaires, me délectant une fois de plus de son délicieux goût. Elle se relève, puis penche sa tête vers moi. J’ouvre spontanément la bouche. Elle me crache dans la bouche, puis me passe un bâillon en forme de petit pénis, celui avec un trou au milieu. Elle l’attache derrière le banc grâce à une sangle bien conçue, me plaquant un peu plus le bas du visage au banc.
« Maintenant salope, tu vas dormir ici, pendant que mon amant avec qui je t’avais trompé et moi allons nous amuser dans le lit juste à côté. Bonne nuit ! » me dit-elle, avant de me déposer un baiser sur le bâillon. Elle place alors un protège yeux, comme dans les avions, sur les yeux, qu’elle fixe à des anneaux disposés sur le côté du banc, me laissant dans le noir, son goût et son odeur dans la bouche, le sexe encagé, et le long gode dans l’anus.
Sans qu’ils ne parlent, je les entends faire l’amour. Je ne sais ni comment, ni dans quel orifice, mais Fanny semble jouir encore et encore, tandis que son amant prend également énormément de plaisir.
D’être rendu aveugle, avec ces bruits à côté, me fait imaginer les scènes, ce qui les rend encore plus excitantes. Je me demande si je pourrai participer avec ma langue, mais j’ai le sentiment qu’ils ne me laisseront pas jouer plus avec eux ce soir…
Les minutes, dizaines de minutes, et probablement heures passent, je suis tellement bien attaché ainsi, avec mon ex et son amant qui font l’amour juste à côté… Fanny n’a jamais été aussi endurante avec moi…
Ils finissent par s’arrêter, et je n’entends guère plus de bruit que ceux de leur respiration, et de draps qui bougent.
C’est calme… Je me calme aussi, sens mon sexe qui se repose. Le sommeil me gagne…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite avec noemie quoique fanny voudra le garder à moins que les vrais dominants l’amant de fanny et noemie ne soient de mèches à suivre
Tellement heureux de voir la suite enfin ! L'un de mes récit préféré, j'ai adoré celui ci, et j'ai toujours aussi hâte de découvrir plus tard la suite avec noemie !