Soumis heureux, partie 7
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Récit érotique écrit par Pierre Brosta [→ Accès à sa fiche auteur]
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Soumis heureux, partie 7
J’ouvre les yeux, il fait nuit… Où suis-je ? Je me sens bien… Je veux me retourner, mais je ne peux pas… Je suis bloqué, mes mains… Mes jambes, ma tête, rien ne bouge ! Je veux parler mais j’ai quelque chose dans la bouche. Ce goût… Cette odeur… Tellement excitant !
En moins d’une seconde, je passe par toutes ces pensées, et la raison fait suite au réveil : mon ex et son amant m’ont attaché sur ce banc après avoir utilisé ma bouche pour leur plaisir, et ont fait l’amour juste à côté de moi. Je ne saurais dire, finalement, s’il fait jour ou nuit car j’ai ce bandeau redoutable sur les yeux.
« On dirait que ton ex est réveillé Fanny, vas donc lui dire bonjour ! », entends-je de la part de l’amant de mon ex. Ils semblent réveillés…
J’entends des bruits de draps, des pieds qui se posent par terre et qui se rapprochent. Je sens des mains sur les côtés de ma tête, puis une langue qui me lèche du menton jusqu’au nez, et reste sur mes narines. Elle se retire quelques instants plus tard, me permettant de reprendre ma respiration, inspirant à pleins poumons l’odeur de la salive et de l’haleine de Fanny, au petit matin.
« Je vais te faire du bouche à nez, tu vas inspirer quand j’expirerai… Ma délicieuse haleine va t’emplir soumise ! ».
J’expire autant que possible avant que Fanny ne colle sa bouche autour de mon nez, puis elle expire. Je respire, m’emplis les poumons de son haleine du matin qui, tellement excité je suis, me rend complètement fou. Je voudrais lui dire, lui rouler une pelle magistrale, mais le bâillon m’en empêche.
Elle retire sa bouche, j’expire, puis la recolle et expire de nouveau dans mon nez. Je me délecte de son haleine, j’adore, c’est incroyable.
Après 6 ou 7 fois, elle se retire, et je l’entends sucer quelque chose. Je me doute bien de ce dont il doit s’agir… Puis elle recolle sa bouche à mon nez, et expire. Je sens cette fois-ci, mélangé à son haleine, l’odeur du sexe de son amant. J’aime vraiment cette odeur… Je crois devenir de plus en plus soumise, et commence à rêver d’avoir ce sexe en bouche. Mais à bien y réfléchir, Fanny, hier, m’a ordonné de vénérer le sexe de son amant… Je n’aurai pas besoin de me forcer je crois !
Tellement dur dans ma cage, mon sexe palpite, et l’amant s’en rend compte. « Je crois qu’il aime l’odeur de ma bite Fanny, tu lui as bien expliqué ce qu’on attendait de lui ! »
« Oui mon Maître. J’ai bien envie de faire mon pipi du matin maintenant, je me suis retenu toute la nuit après tout ce que j’ai bu hier soir… »
Je l’entends fouiller dans ses affaires, et sens que quelque chose appuie sur mon bâillon.
« Laisse toi aller Fanny, il va adorer servir d’urinoir ce week-end ! Toi le soumis, tu n’auras que ça à boire, alors j’espère que tu vas apprécier ! »
« Hummm hummmmmm » dis-je dans mon bâillon, avec une attitude cochonne, pour bien leur faire comprendre que je n’attends que ça.
J’entends de l’urine couler, mais rien n’arrive dans ma bouche. Presque déçu, je commence à aspirer, espérant en avoir des gouttes, et le flot arrive enfin, comme si j’avais une grosse paille dans la bouche. L’amant retire mon bandeau, me permettant de le voir, de voir son sexe dressé au-dessus de ma tête, puis de voir Fanny en train d’uriner dans un entonnoir, relié par un tuyau au plug dans ma bouche. J’aspire encore et encore, et me délecte du goût assez délicat de l’urine de Fanny descendant dans mon estomac.
La journée commence bien !!!
L’entonnoir se vide, la source est tarie. Fanny lève aussi haut que possible l’entonnoir pour me permettre d’apprécier les dernières gouttes, puis me retire le bâillon, et me colle directement son minou magnifique sur la bouche. Je me délecte des dernières gouttes d’urine, mais apprécie également un goût très prononcé de mouille mélangé à du sperme. J’ai la réponse à ma question d’hier, il lui a jouit dans le vagin !
Fanny se trémousse de plus en plus sur mon visage, je sais qu’elle est au bord…
« Arrête, tu ne jouiras que quand je t’en donnerai l’autorisation ! », lui dit son amant.
A regret, elle quitte mon visage, puis défait tous mes liens.
Je peux me redresser et me retrouve libéré de toute entrave, uniquement en cage de chasteté, un long gode dans l’anus, toujours aussi confortable, et un collier de soumise attaché au cou, avec une laisse qui en pend.
« Bien, il est 9h du matin, tu vas terminer de nettoyer la maison en faisant le haut et en passant la serpillière que tu n’as pas eu le temps de passer hier. Ensuite, tu iras dans la cuisine pour préparer le déjeuner, nous te sortirons ce qu’il faut. Tu peux aller aux toilettes pendant 2 minutes maximum si tu souhaites. Pendant ce temps, nous allons faire un tour avec Fanny ». Les consignes de l’amant de Fanny sont claires. Je me dirige vers les toilettes et veille bien à respecter les 2 minutes données. J’en sors, et me dirige vers le petit vestibule dans lequel se trouvent les affaires de ménage.
Fanny et son amant sont dans l’entrée. Fanny est nue, penchée en avant sur la table. Son amant insère dans son vagin un œuf vibrant très puissant, et un plus anal en acier dans son anus.
Elle se retourne, son amant lui fixe alors ses pinces à seins préférées, reliées par une chaînette. Elle enfile une robe, sans rien d’autre en dessous, puis, toujours avec son collier verrouillé par un cadenas, sort en premier suivie par son amant. Celui-ci me lance un clin d’œil, et referme la porte derrière lui. Je me retrouve seul.
Hyper excité d’être traité comme une soubrette, relégué à faire les tâches ménagères, harnaché comme je le suis, mon sexe est hyper dur dans sa cage. Je pense à Noémie, et aux photos qu’elle souhaite, j’espère que Fanny en a pris beaucoup… Peut-être réussirai-je à retrouver mon téléphone ?
Je retourne dans la chambre, et observe avec beaucoup d’attention ce banc de plaisir. Il est très ingénieux, je me demande où ils l’ont acheté. Mon regard se dirige vers le lit, ce lit où mon ex dort et fait l’amour à son amant… Ce lit où nous avons, rarement mais quelques fois quand même, fait l’amour lorsque nous étions ensemble… Je m’y allonge, savourant le contact encore chaud des draps sur mon corps. Il sent bon. Je renifle vers le milieu du lit, et y trouve une délicieuse odeur de sexe sur une tâche d’humidité. Comme ça me rend fou ! Mais pas de traces de mon téléphone.
Je redescends, car j’ai des tâches à faire. Commençons par la serpillière, ce qui laissera au rez de chaussée le temps de sécher pendant que je m’occuperai de l’étage. Je m’applique à la tâche, puis une fois terminé remonte à l’étage, fais les poussières, balaye et aspire. Je m’enhardis même et fais les vitres tant je suis investi dans ma tâche.
Je redescends, le sol est sec et propre. Parfait. 11h30, ça me laisse le temps de préparer un bon déjeuner. Dans le frigo, il y a quelques légumes et du poisson blanc. Je vais leur faire mijoter le poisson dans du pesto vert, et faire revenir les légumes à la poêle, très simplement.
J’épluche et découpe les légumes puis les mets à mijoter dans une noisette de beurre, et vais dresser la table. J’y mets un chemin de table, et sors plusieurs couverts et verres afin de les servir au mieux, dans mon rôle de soumise.
Je retourne m’affairer dans la cuisine quand j’entends un bruit de clé dans la serrure. Sans y réfléchir, je me précipite derrière la porte, à genoux, mains dans le dos, la tête relevée, bouche ouverte et langue sortie, afin de leur montrer mon obéissance et ma volonté de quémander leur sexe.
L’amant rentre en premier, sourit en me voyant. « Regarde ça si c’est pas mignon. Tu veux sucer soumise ? »
J’opine du chef. C’est vrai que je rêve de le sucer de nouveau…
« Il serait cruel de te laisser comme ça… »
Fanny entre à son tour et me voit. Elle me sourit, et après avoir fermé la porte, pose un sac, et défait la ceinture et baisse le pantalon de son amant. Son sexe apparaît, mou. Il s’approche de moi, je le saisis en bouche tout de suite, avec beaucoup d’avidité.
« Ouah, tu avais très faim toi !! Vas-y régale toi ! Ca sent super bon ici ! »
« Oui ça sent trop bon, et Maître regarde, il a dressé la table. La maison est super propre. Tu es une bonne soumise » rajoute Fanny en passant derrière moi. Elle se met à croupi, et me caresse le torse, pince mes têtons, et descend vers mon sexe encagé. Elle le caresse, pendant que je suce son amant qui a trouvé de la vigueur. C’est très bon de sucer ce sexe qui prend mon ex…
Il se retire, Fanny me penche la tête en arrière, et, tête bêche, me roule une pelle absolument délicieuse. En relevant la tête, elle me crache un peu dans la bouche, et me sourit à nouveau.
Ils passent à table. Je comprends le message, et vais les servir, en étant un hôte très prévenant.
Pendant le plat principal, Fanny prend ma laisse, et me tire vers le bas, sous la table. Elle écarte grand ses jambes, je vois dépasser la queue rose de son œuf vibrant, et m’approche de son sexe. Elle sent délicieusement bon. Pendant qu’elle mange, sous la table, je m’applique à lui prodiguer un cunnilingus comme elle les aime, en insistant sur le clitoris, et en lapant toute la mouille qui sort. Elle gémit de plus en plus, je la maintiens au bord de l’orgasme. Elle se lache un peu, un jet d’urine arrive dans ma bouche, dont je me délecte avec plaisir. Elle me repousse, et me demande de poursuivre le service, une fois que les assiettes sont vides. J’ai bien dû passer 10 minutes sous la table à lui lécher le sexe… Mon propre sexe est d’une dureté incroyable. En me relevant, je vois mon téléphone sur la table, appareil photo en route. Elle a bien pris des photos, Noémie va être contente !
Elle s’aperçoit que je le regarde. « Depuis hier, je dois être à une centaine de photos déjà, tu pourras t’exciter en les regardant, mais avec ta cage, je doute que tu puisses faire grand-chose soumise ! »
Si seulement elle savait que ces photos sont pour Noémie…
Fanny et son amant rigolent et continuent de parler de tout et de rien, comme si je n’étais pas là. Je débarrasse la table et sers le fromage, puis le dessert. L’amant de Fanny m’indique qu’ils ont terminé et que je peux débarrasser, mais avant de me laisser commencer, il retire les cadenas de la ceinture bloquant le gode dans mon anus.
Fanny disparaît de mon champ de vision pendant ce temps. « Retire ça et va le nettoyer ».
Je fais sortir le long gode de mon anus, qui se retrouve vide. La sensation est étrange d’avoir le rectum vide après avoir maintenu un gode une nuit entière et quelques heures de plus en son sein. Tant est si bien que je n’ai qu’une envie : avoir à nouveau le cul rempli avec un gode. L’envie est énorme d’enfoncer de nouveau ce gode en moi…
Le lavement a été efficace, il est propre et n’est parsemé que de ma mouille anale, transparente.
Je vais à l’évier de la cuisine, et commence à le nettoyer. Une main prend ma laisse et, tout en appuyant sur le bas de mon dos, tire mon cou en arrière. Je me retrouve cambré. Je reconnais les mains de Fanny, ainsi que son odeur. Je sens un gode de bonne taille sur mon anus. Il n’a même pas besoin de forcer tant je suis ouvert et affamé. Il s’insère tout seul, assez rapidement mais pas violemment. Il passe mon second sphincter et se retrouve dans mon colon. La sensation est si bonne que je laisse échapper un soupir lorsque le pubis de Fanny vient s’écraser contre mes fesses. Elle a mis un gode ceinture, et me prends avec. Elle est bien au fond de moi, et j’aime ça…
Elle y reste un moment, alors que je recommence à faire la vaisselle. Ses mains me caressent les tétons, les pincent, puis elle agrippe mes hanches et commence à me sodomiser, alors que je m’affaire à nettoyer les plats et couverts. Difficile de me concentrer. Fanny alterne les mouvements, tantôt lents, tantôt rapides, et j’envoie mes fesses à sa rencontre. Chaque coup de butoir est plus intense que le précédent, je sens que je vais avoir un orgasme anal.
« Fanny… C’est si bon… Encore… Encore… Plus fort… Oui, oui, ouiiiiii, je vais jouir Fanny je vais jouir !!!! »
Entendant ces mots, Fanny s’arrête immédiatement. J’essaye d’aller à sa rencontre pour continuer à me faire défoncer l’anus, mais elle me claque les fesses et se retire d’un coup, laissant un grand vide en moi. « Hors de question que tu jouisses, même du cul soumise ! Tu n’es pas là pour ça ! Mais tu as été très sage, et tu as bien fait la cuisine. La maison est propre. Avec mon amant, on veut te récompenser. Tu auras donc le droit, si tu continues à être bien sage, demain, de me faire l’amour, en plantant ton sexe dans le mien. Tu es d’accord ? » me glisse-t-elle dans l’oreille en me caressant le sexe à travers la cage. Bien sûr que je suis d’accord !!!! Mais j’aurai l’impression de tromper Noémie… Ma situation est tellement compliquée : je suis encore amoureux de Fanny et ai tellement envie qu’elle me libère de cette cage de malheur (et de bonheur), et lui faire l’amour, mais en même temps je me suis offert à Noémie. Elle m’a dit d’obéir à Fanny… Si c’est un ordre…
« Si tel est ton désir Fanny, et que tu me l’ordonnes, je serai heureux de t’obéir… »
« Bien sûr que tu seras heureux ! Mais avant, tu dois être vraiment très sage, et bien continuer d’obéir ! Un petit sourire ? » demanda-t-elle en pointant mon smartphone vers moi. Elle prend quelques photos, et entreprend de retirer son gode ceinture. Je vois qu’il s’agit d’un double gode ceinture, avec un petit gode qui lui rentrait dans le vagin. Elle a du prendre du plaisir à me défoncer le cul…
« Soumise, nettoie ça avec ta langue, je veux qu’il soit propre ». Je ne me fais pas prier. Je me remets à genoux spontanément, m’avance vers ce gode ceinture, et commence à sucer la partie ayant servi à me sodomiser. J’apprécie mon goût. Je lèche bien sur toute la hampe, et en viens à renifler le petit gode étant entré dans les entrailles de Fanny. Il sent si bon, son odeur est tellement délicieuse ! Je le lèche, sa mouille abondante a laissé de nombreuses traces blanches dessus, que je m’empresse de nettoyer. Je m’en délecte…
« Bien, on a prévu après midi film avec Fanny. Pendant ce temps, je veux que tu t’occupes de nous. Tu vas nous masser à tour de rôle, utiliser tout ton savoir pour nous détendre. Tu auras le droit d’utiliser tes mains et ta langue. On te laisse la liberté d’utiliser les mains et/ou la langue, mais si ce que tu fais ne nous plaît pas, tu seras puni. Est-ce bien clair ? »
« Oui Monsieur », répondis-je.
Je dois commencer par son amant, alors que Fanny s’alanguit sur le fauteuil, et son amant s’allonge sur le canapé. Je vais chercher une petite bouteille d’huile de massage dans la salle de douche à l’étage, et m’installe près de lui. Il est nu, allongé sur le ventre, la tête tournée vers la télé. Fanny me regarde, me fait un clin d’œil et me sourit. Je lui rends son sourire, en murmurant un « merci ». Elle sourit, et se tourne vers Harry Potter. Je commence à masser son amant. Les épaules, le dos, les bras, les fesses, les cuisses, les pieds, puis je lui demande tout doucement de se retourner. Je m’applique car la récompense est à la hauteur de la qualité du massage : le droit de faire l’amour à Fanny !
Je reprends au niveau de ses pieds, et remonte. Les tibias, les cuisses… Mon regard se perd sur son sexe. Je passe mes mains proches de lui, il ne réagit pas. Je remonte jusqu’à toucher ses testicules, il ne réagit pas, toujours concentré sur la télé. Je m’enhardis et me place sur le côté du canapé, sans lui obstruer la vue. Je suis le visage juste au-dessus de son sexe, qui commence à grossir. Je caresse plus que je masse le bas de son ventre, passe aux cuisses, et très timidement, commence à effleurer, puis caresser son sexe. Il a atteint une bonne taille, et il ne réagit toujours pas. Je le prends bien en main, et le masturbe carrément. Il semble apprécier. Je jette un coup d’œil à Fanny, qui me regarde. Elle mime une fellation, je comprends l’ordre. Je regarde ce sexe que je dois vénérer, et que je vénère effectivement, je le décalotte, laissant apparaître un gland luisant de pré-sperme, et le gobe directement. Ma langue s’affaire dessus, sans que mes lèvres ne bougent. J’aspire autant que je peux, puis relâche, lèche, aspire, relâche, lèche, et recommence ce manège plusieurs fois. Il prend ma tête avec une main et appuie dessus. Le message est clair, je commence à le sucer, de plus en plus profondément. Son sexe est trop grand, je ne peux pas le prendre en entier dans la bouche, mais vais aussi loin que possible. J’apprécie vraiment cette fellation, et mon sexe commence à palpiter.
Fanny me rejoint alors que son amant nous regarde. Elle colle sa tête à la mienne, et me pousse avec, pour me signifier qu’elle en veut aussi. Bien qu’elle n’aime pas ça, elle a du apprécier la vue et la trouver excitante. Elle se retrouve, à côté de moi, à sucer son amant, faisant des bruits de bouche que je ne lui connaissais pas. Elle quitte le sexe quelques instants plus tard et me le tend, je l’embouche à mon tour, le suçant avidement, et me régalant de la salive de Fanny. Le sexe est de plus en plus dur, je suis sûr qu’il est sur le point de jouir, mais d’un coup, il me repousse et sort son sexe de ma bouche.
« Putain tu es une bonne suceuse ! Je ne pensais pas. Fanny, tu devrais prendre exemple sur ton ex ! Il suce comme une experte ! »
Fanny me regarde, puis prend ma tête entre ses mains, et me roule une pelle incroyable. Sauvage, langoureuse à souhait, baveuse à souhait, elle dure bien 5 minutes, pendant lesquelles elle « m’impose » cette pelle.
« Tu m’apprendras », me dit-elle en quittant mon visage. Je lui souris, puis son amant se lève, laissant le canapé à Fanny. Elle se déshabille et s’allonge, nue, sur le ventre. J’ai pu voir qu’elle porte toujours ses pinces à seins, son œuf vibrant, et son plug anal.
Le film s’est terminé, mais ils en lancent le suivant. Je vais avoir le temps de bien m’occuper de Fanny, et cette perspective me ravit !
Je commence doucement par lui masser les épaules, à l’écoute de ses réactions. Je passe au dos, et en profite pour lui déposer un baiser sur la joue. Pas de réaction de sa part. Jusqu’où puis-je aller dans l’audace ?
Je descends sur ses fesses, que je masse affectueusement, tout en les écartant bien à chaque cercle. Je mets mon visage juste au dessus, et inspire à pleins poumons. Elle sent bon le sexe, comme j’aime. Je commence à lui embrasser les fesses, puis embrasse le plug qu’elle tient dans son anus.
Ma langue sort de ma bouche, et vient commencer à lécher au dessus, en dessous, puis autour de ce plug anal. Le goût est bon, j’adorerais pouvoir enfoncer ma langue dans son anus !
Je continu un peu, puis je vois qu’elle pousse doucement avec ses fesses. Son plug sort légèrement. Je l’attrape avec ma bouche, et entreprends de tirer dessus pour le faire sortir. Elle m’aide en continuant à pousser, jusqu’à ce qu’il sorte. Je le prends avec une main, il est tout chaud. Je le regarde, il est propre, avec un peu de mouille anale de Fanny. Je le retourne alors, et l’enfourne dans ma bouche, pour continuer à la masser avec ce plug sortant à peine du cul de mon ex dans la bouche. Mon doigt s’égare sur son œillet, en caresse le contour, puis rentre entièrement à l’intérieur. Je le laisse ainsi, et le bouge à l’intérieur, appréciant le contact des chaudes parois de son anus. D’un coup, je sens l’œuf vibrant se mettre en route. Un coup d’œil à son amant, je le vois avec son téléphone dans la main, contrôlant l’œuf. Fanny pousse un léger soupir, et je peux sentir, au travers de la paroi, la puissance de cet œuf vibrant. Il doit lui procurer un plaisir incroyable.
Je prends avec ma main libre le plug dans ma bouche, puis entreprends de le glisser entre mes fesses. L’amant me voir faire, et me sourit, m’encourageant à continuer. Il rentre tout seul, me libérant donc la bouche. Je me penche sur les fesses de Fanny, les écarte avec mes deux mains, et lui lèche l’anus. Je rentre ma langue aussi profondément que possible, sentant les vibrations se propager jusqu’à ma langue. Elle vient à la rencontre de ma bouche, je la lèche, encore et encore. Je descends un peu vers son vagin, et le lui lèche aussi bas que possible. Difficile d’aller plus loin que l’entrée de son vagin, mais elle dégouline de mouille, dont je me délecte.
Mon sexe est tellement dur dans sa cage, j’en ai tellement envie, que j’approche mon bassin du canapé, et commence à doucement frotter mon sexe contre lui. Ca appuie dessus, me procurant un peu de plaisir, mais loin d’être suffisant. Je m’enhardis, et continue mes mouvements tout en léchant l’anus de Fanny.
L’amant s’aperçoit de mes mouvements. Il se lève, et me crie dessus « tu n’es pas là pour ton plaisir soumise !!! Tu n’as pas à baiser le canapé !!! A genoux, mains derrière la tête, tout de suite ! ».
Voyant son état, Fanny se relève tout de suite, et me lance des éclairs tandis que j’obéis promptement.
« On ne peut vraiment pas compter sur toi, je suis déçu !!! me dit elle en me donnant une gifle ». J’ai fait une bêtise, j’en suis horrifié… Je présente mes excuses à Fanny et son amant en me jetant à leurs pieds, mais ça ne leur suffit pas.
Fanny me force à reprendre la position à genoux mains derrière la tête, et rapprochant son visage du mien me dit « on t’avait dit de ne pas faire de bêtise, maintenant tu vas être puni soumise ! »
Son amant a disparu de mon champ de vision, et je l’entends s’affairer derrière moi.
Il positionne une chaise face à la télé et dos au canapé. Il y place le long gode qui m’a rempli toute la nuit, et m’ordonne de venir le sucer. Je m’empresse d’obéir.
« Maintenant, assis toi dessus salope, face à la télé » ajoute-t-il.
Je retire le plug en acier, le suce pour le nettoyer, et le pose sur la table basse. Je viens vers la chaise, et commence à m’empaler sur ce merveilleux gode. Il glisse dans mon anus tout seul, écartant mes chairs, et je sens rapidement l’assise de la chaise au contact de mes fesses. Je relâche la tension dans mes jambes, et profite de ce moment bien connu désormais.
Fanny passe derrière moi, et m’attache très solidement le buste à la chaise, les jambes écartées aux pieds de la chaise. Elle plaque mes jambes à l’assise grâce à une autre sangle, empêchant toute possibilité de relever mes fesses. Son amant m’attache très strictement les mains dans le dos, puis les bras aux montants de la chaise. Je ne peux à nouveau plus bouger les membres. Fanny me met le collier me forçant à tenir la tête droite, puis prend le plug et le glisse dans son anus à nouveau. Elle me force à ouvrir la bouche, puis y rentre le bâillon en forme de petit pénis, ouvert au milieu, qu’elle accroche bien serré derrière ma tête, puis fixe à mes têtons des pinces japonaises. Elle me regarde, et me sourit. Son amant passe devant moi, et vient rouler une pelle incroyable à Fanny qui lui rend bien. Elle lui caresse le sexe, lui lui caresse la chatte en y entrant deux doigts en plus de l’œuf vibrant. Elle prend du plaisir à ce traitement.
L’amant de Fanny la relâche, la repoussant sur le canapé derrière moi. Il va prendre un petit sceau en plastique pouvant contenir 1 litre et demi d’eau je dirais. Il accroche à l’anse une petite ficelle, qu’il vient passer dans un anneau fixé au plafond. Il lève le sceau de 60-70cm du sol, puis vient attacher l’autre extrémité de la ficelle aux pinces japonaises, étirant mes têtons vers le haut, sans trop tirer dessus. Je redoute toutefois ce qui pourrait suivre. Il fixe ensuite un tuyau entre mon bâillon, qu’il vient fixer à l’aide de scotch à l’intérieur du sceau, à quelques cm du fond du sceau.
Le tableau doit être beau à voir : moi, en cage de chasteté, assis sur une chaise avec un long gode dans mon anus, attaché très strictement, sans possibilité de mouvement, des pinces japonaises étirant mes têtons vers le haut grâce à une ficelle passant par le plafond et reliée à un sceau, un bâillon pénis troué relié au sceau par un tuyau.
L’amant me sourit, puis retourne derrière moi. Il s’assit dans le canapé, et relance la suite du film.
Combien de temps vais-je passer ici ?
Je profite du film et de ma situation, mais derrière moi, j’entends des bruits de bouche, des bruits humides, des gémissements, des respirations accélérées, et quelques mots salaces. Ca m’excite encore et encore, tant est si bien que j’essaye de gigoter sur la chaise pour me procurer un peu plus de plaisir anal. Les sangles sont très serrées, j’ai énormément de mal à bouger, et le peu que j’y arrive ne me procure pas le plaisir que j’aimerais…
Je gémis dans mon bâillon, une complainte pour essayer de leur faire comprendre ma frustration. Tout en entendant des claquements ressemblant à ceux d’un pubis masculin s’écrasant contre des fesses, et entre deux gémissements, Fanny me dit « tu veux quoi… toi… oh oui c’est trop bon… Continue !! Patience soumise, on va te… hummm ouiiiii !! on va… Plus fort mon chéri ! Prends ta chienne ! Je suis ta chienne ! On va s’occuper de toi… Quand… encore, encore… Humm hummmmm… Quand on aura fini ici !! Oh oui c’est trop bon !! Je vais jouir, arrête arrête ! Je veux jouir avec ta bite dans mon cul ! »
Une courte accalmie, suivie d’une longue expiration de la part de Fanny « Oh mon dieu c’est si bon !! Vas-y, déchaine toi, fais-moi jouir ! ».
J’entends des bruits de sexe incroyables, faisant gonfler autant que possible mon sexe dans sa cage. Impossible de me concentrer sur le film, je ne veux que tourner la tête… Plusieurs minutes de claquements et mots crus plus tard, j’entends Fanny jouir très fort, suivi d’un râle de son amant, qui avait dû finir en elle.
« Tiens, ça évitera que mon sperme ne ressorte de ton cul ma chienne »
« Oh oui mon Maître, merci ! »
Je gémis de nouveau dans mon bâillon, mais seul un « tsss, il peut pas se taire celui-là » de la part de l’amant de mon ex vient me répondre.
Seul le film continue à se faire entendre, plus aucun bruit ne venant de derrière moi. J’imagine qu’ils se reposent, probablement dans les bras l’un de l’autre…
Le canapé crisse, un des deux amants se lève, direction la cuisine. La porte du frigo s’ouvre et se referme, puis la personne revient s’asseoir dans le canapé. Je reconnais le bruit d’un bouchon de bouteille qu’on ouvre, et une personne déglutit la boisson. Il doit s’agir d’eau, je n’ai vu aucune autre bouteille en plastique dans le réfrigérateur. La personne déglutit beaucoup, elle devait avoir très soif !
Le film se poursuit, pendant longtemps… Je n’entends guère de bruit derrière moi, tant est si bien que je profite bien du film. Je le connais par cœur, mais vu ma situation, je vais encore plus l’aimer ! Les pinces à seins Japonaises sont bien à leur place, mais leur morsure me fait un peu mal. Ca ne m’excite que davantage.
Le film se termine, l’amant de Fanny, nu, passe devant moi, retire le disque, et met le suivant. Il se retourne, me regarde dans les yeux, sourit, puis repasse à côté de moi. J’entends un bruit humide derrière moi, puis une main se place sur mon nez et s’y frotte. C’est celle de l’amant de mon ex, trempée de mouille. « Respire bien soumise, ça va te faire tenir ! »
Ca sent si bon ! C’est terriblement frustrant !! Au bord de l’explosion, mon sexe grossit instantanément jusqu’aux limites de sa cage, et je gémis pour leur signifier mon plaisir. Ils rigolent, et lancent le film suivant. Mais combien va-t-on en regarder ?? Il doit bientôt être le début de soirée, et on les enchaîne.
Quelques dizaines de minutes après le début du film, j’entends Fanny gigoter de plus en plus. Elle finit par dire à son amant « Maître, je n’en peux plus !! ». Elle se lève, et vient face à moi. Elle me regarde, une expression de légère douleur sur le visage, les mains sur le pubis, et à moitié pliée en deux. Elle se retient d’uriner depuis sûrement un moment !
Elle se met au-dessus du seau relié à mes pinces à seins, puis libère un flot continu. Je vois au fur et à mesure un plaisir sur son visage de se libérer ainsi. Mais l’urine de mon ex remplissant le seau tire sur la cordelette le reliant à mes pinces à seins, jusqu’à les étendre vers le haut, et les pincer de plus en plus fort. Fanny se rend compte de ma douleur qui monte de plus en plus. « Avale ma pisse si tu veux réduire la douleur soumise ! On sait bien que tu aimes ça ! ».
J’avais oublié le tuyau relié à mon bâillon et à l’intérieur du seau. J’aspire, l’urine de Fanny arrive dans ma bouche, bien chaude. Je la savoure, je m’en délecte, et je l’avale, libérant la voie à une gorgée de plus. J’aspire encore, mais le seau se remplit bien plus vite que je ne peux avaler, la pression sur mes tétons est de plus en plus forte. Ca m’excite à mort, et cette situation me plaît énormément ! Obligé de boire l’urine de la femme que j’aime, ou souffrir. Le choix est vite fait, d’autant que j’adore boire ce délicieux liquide !
La merveilleuse source de Fanny se tarit enfin, voyant un seau bien remplit. Je ne pourrai pas tout avaler d’une traite, il va forcément en rester, maintenant la pression sur mes tétons. La situation est horrible et à la fois tellement excitante !!! Je ne voudrais être nulle par ailleurs qu’ici. Fanny se passe une main entre les jambes, et l’étale sur mon nez, pendant que je continue à aspirer et avaler son urine.
Elle prend mon smartphone, et mitraille de photos : tant le seau que moi, la chaise, mes attaches, l’ingénieux système avec mes pinces à tétons… Et je crois même qu’elle filme à un moment.
Fanny rigole, se rassoit, et profite de la suite du film. J’ai du boire la moitié du seau, mais je ne peux plus rien avaler… Il va falloir attendre, et avaler au fur et à mesure. Mes tétons sont hyper sensibles, mais la pression diminue un tout petit peu au fur et à mesure, bien qu’elle reste très forte. J’aime cette sensation, et je me découvre de plus en plus un attrait pour le travail des tétons. Merci Fanny de me faire découvrir ça, et me faire prendre conscience que j’adore ça !!! Noémie pourra sûrement s’en servir…
Le film continue, je gémis de temps en temps, des gémissements de plaisir. Régulièrement, j’entends des baisers derrière moi, et j’avale l’urine de mon ex au fur et à mesure. Elle se refroidit, et je la préfère chaude, donc j’essaye d’être le plus rapide possible, mais ce n’est pas facile. Difficile de se rendre compte combien d’urine il me reste à avaler, et mon gode dans l’anus me comprime ma prostate et ma propre vessie. Je commence moi aussi à avoir envie. Le temps passe, et je gigote de plus en plus sur ma chaise. L’amant de mon ex finit par réagir « dis Fanny, je crois que notre soumise a aussi envie de pisser… ».
Elle se lève, passe devant moi toute souriante, et me demande si c’est le cas. Je cligne des yeux une fois en gémissant. Elle disparaît de mon champ de vision, et revient, avec une gamelle en inox, qu’elle place sous mon sexe. Elle la maintient. « Lâche toi ». Je ne me fais pas prier, et c’est bientôt un long jet qui remplit la gamelle. Quel plaisir de se lâcher quand on a la vessie bien pleine ! Tout du long, elle me regarde en me souriant, et se passe la langue sur les lèvres par moments.
Je termine, elle se relève et, devant moi, porte la gamelle à son visage, y colle ses lèvres contre le rebord, et l’incline à peine. Elle la remet droite, puis déglutit en face de moi. Je n’en reviens pas ! Elle vient de boire une gorgée de ma propre urine ! Elle a tellement changé depuis qu’on était ensemble !!! Elle m’excite !!!
« Délicieuse ma soumise, ta propre urine va beaucoup te plaire… ».
A peine terminés ces mots, elle vers le contenu entier dans le seau qui contenait encore un peu de sa propre urine, me tirant de nouveau les pinces sur les seins, accentuant leur morsure, et mon excitation. Ils avaient tout prévu ! Et quelle ironie ! Je bois l’urine de mon ex, ce qui me donne envie d’uriner à mon tour, et elle va me forcer à boire ma propre urine, ce qui me donnera encore plus envie ! Mais il va bien falloir s’arrêter à un moment. Je la regarde, un peu interrogatif. « Rassure toi ma soumise, une fois que tu auras fini ton seau, tu pourras te vider dans les toilettes… ».
Elle retourne s’asseoir dans le canapé… Je me retrouve obligé de boire ce mélange de nos urines, pour limiter la pression sur mes tétons… Et… J’adore !
Le film avance, je bois au fur et à mesure. Chaque gorgée coulant dans mon estomac me remplit de plaisir, et me ramène à ma condition de soumis, tout en diminuant la morsure des pinces japonaises sur mes tétons. Le cycle est parfait. A quelques minutes de la fin du film, le seau est enfin vide, et je n’en suis que plus excité.
Le film se termine enfin, Fanny se lève, et va voir l’état de remplissage du seau. Le voyant vide, elle me regarde, me sourit. « Alors, tu as aimé hein ! Maintenant il faut retirer ces pinces… ».
Non !!!! Je sais à quoi m’attendre, le retrait des pinces va être douloureux. J’essaye de gigoter, de gémir, mais elle avance ses mains, et me retire d’un coup les deux pinces en même temps. Je hurle dans mon bâillon, ce qui fait rigoler l’amant, tandis que Fanny se rapproche de mes tétons avec sa bouche. J’espère qu’elle ne va pas les mordre !!!!!
Mais elle passe délicatement sa langue dessus, ce qui apaise efficacement la morsure, et recommence à m’exciter. Elle passe de l’un à l’autre, puis me regarde dans les yeux « On ne veut pas t’abimer soumise… Mais tes seins vont devoir apprendre à accepter ça sans broncher ! ». Je cligne des yeux, et gémis de plaisir. Elle retire tout ce harnachement, me détache entièrement, et m’ordonne de me relever. Je sens le gode sortir de mon anus, puis Fanny y place tout de suite un plug en acier de bonne taille, qui rentre tout seul. Me sentir à nouveau rempli me comble de joie.
« Maintenant, tu vas nous préparer à manger, et on veut la même qualité que ce midi soumise. Ayant toujours le bâillon en bouche, je ne peux que gémir, et me diriger vers la cuisine.
Je m’affaire dans la cuisine, pour leur préparer un cake à la courgette. Je coupe les courgettes, casse les œufs, fais la préparation, enfourne… Pendant ce temps, j’entends Fanny et son amant monter dans la chambre, puis j’entends des bruits que je ne connais que trop bien. Ils sont en train de s’amuser, ce qui ne m’excite que plus, et me conforte dans ma position de soubrette. Je suis bien à ma place de soumise…
Le cake au four, j’entreprends de mettre la table : un chemin de table, assiettes, couverts, verres, j’allume même une bougie que j’ai trouvée.
Je surveille la cuisson, en profitant des bruits venant de l’étage. Ils sont étouffés, comme si la porte était fermée, j’ai du mal à distinguer. Il me semble entendre des claquements, des gémissements, mais je ne saurais dire à quelle pratique ils s’adonnent. Je voudrais les rejoindre, mais je n’ose pas.
Le temps passe, le cake est bientôt prêt. J’entends la porte qui s’ouvre, et mon ex et son amant qui descendent l’escalier.
L’amant est devant, Fanny descend derrière, nus tous les deux. L’amant a le sexe encore à moitié dur, tandis que Fanny est tenue en laisse, un bâillon anneau dans la bouche, des pinces sur les seins reliées par une chaînette et à un petit poids qui se balance, étirant légèrement les tétons de Fanny vers le bas. C’est très excitant de voir ça ! Je vois encore entre ses jambes la ceinture verrouillée, qui doit maintenir les deux godes dans son vagin et dans son anus…
Je me souviens que Fanny m’a ordonné de vénérer le sexe de son amant, et j’avoue avec plaisir qu’il m’attire beaucoup. Je m’agenouille donc, mains dans le dos, au milieu de la cuisine, et regarde avec insistance ce sexe à moitié dur, pour faire comprendre à l’amant que je souhaite le nettoyer.
« Fanny regarde, ton ex semble devenir fou de ma bite ! Tu la veux hein cochonne, tu la veux ? » dit-il en me regardant. J’opine du chef, il se rapproche, défait mon bâillon, j’ouvre grand la bouche et me jette sur ce sexe qui me nargue. « Waow, tu en voulais salope ! Vas-y suce, fais toi plaisir. Ma bite a visité le cul de Fanny pendant un moment, tu vas aimer ! ».
Il a raison. Le goût est absolument délicieux. J’arrive à pomper quelques gouttes de sperme, pas assez à mon goût, et me délecte du goût de l’anus de mon ex… Comme je l’aime !
Il me repousse au bout de quelques dizaines de secondes, temps bien trop court à mon goût, puis amène Fanny à table. Il l’attache sur la chaise, les pieds aux pieds de la chaise, les cuisses, et le torse, mais laisse ses mains libres.
Il s’assoit ensuite et me demande de les servir. N’ayant plus le bâillon, je réponds « oui Maître », puis les sers. Ils mangent tous les deux, parlant de tout et de rien, en ne me considérant que comme un serviteur. Je dois leur remplir leurs verres, débarrasser leurs assiettes, amener les fromages, les desserts, mais ne suis utilisé à aucune autre tâche. J’en suis presque déçu, mais mon rôle est d’obéir, pas d’avoir une opinion. L’amant s’adresse de temps en temps à moi pour m’inviter à finir les restes non mangés dans une assiette, ce qui me permet de me sustenter, et me fait bien plaisir.
Le repas terminé, Fanny reste attachée et à nouveau bâillonnée avec le bâillon anneau, et les mains menottées dans le dos, tandis que l’amant sort. Je débarrasse la table et la nettoie.
Fanny passe son temps à me regarder, les yeux dans les yeux. Elle tire la langue… Que dois-je faire… ? Je regarde la porte extérieure, espérant que l’amant ne va pas revenir, et je m’avance pour lui rouler une pelle incroyable. Elle me rend mon baiser en agitant sa langue en tous sens. Mes mains caressent son corps, ses seins, tirent un peu la chaîne, pincent un peu ses tétons, lui extirpant quelques gémissements de plaisir. J’aventure mes mains plus bas, entre ses jambes, et appuie régulièrement sur la ceinture qui maintient les godes en elle. Mon sexe est hyper dur dans sa cage, et j’aimerais être à sa place. Je recule un peu ma tête, nos langues se quittant, et dans les yeux, je profite de la situation pour lui dire « Je t’aime Fanny… ». Elle ne répond rien, tend sa langue comme une invitation à l’embrasser à nouveau. Je penche encore ma tête, tout en la caressant, et nous nous embrassons de nouveau.
Quelques minutes plus tard, la porte d’entrée s’ouvre, nous nous quittons précipitamment, ce qui n’échappe pas à son amant. « Je ne peux pas vous laisser seuls deux minutes on dirait. Toi la soumise, tu n’as pas à profiter de Fanny ! Elle est ta Maîtresse, et je ne t’autorise pas à la toucher sans mon accord, ou sans le sien, c’est clair ? »
« Oui Maître, pardon Maître ! »
« Monte à l’étage et attends nous à genoux avec le casque et la musique sur les oreilles »
« Oui Maître »
Je monte à l’étage, pendant que j’aperçois l’amant de Fanny qui se dirige vers elle. Je n’entends guère plus rien avec ce casque, mais obéis…
Les minutes passent, peut-être davantage, je suis à genoux dans la chambre de mon ex, le sexe toujours en cage, et un plug en acier toujours dans mon fondement, et je suis bien. Mes pensées s’égarent vers Noémie, elle me manque… Je pense maintenant autant à elle que Fanny. Pourvu qu’elle apprécie ce que j’aurai fait ce week-end…
Au bout d’un moment, je vois Fanny entrer dans la chambre, à quatre pattes, les pinces sur les seins, le bâillon anneau toujours sur sa bouche, et les godes toujours fichés en elle. Elle monte sur le lit, et y reste à quatre pattes, les fesses tendues vers moi. Elle les bouge à droite à gauche. Son amant arrive, nu, le sexe tendu à l’extrême.
Il retire mon casque audio. « Fanny m’a sucé comme une reine. Je lui ai donné 19 sur 20. A toi de faire mieux. Selon la note que je te donnerai, tu auras certains privilèges ». Je le regarde, un sourire aux lèvres qui trahit mon envie de le sucer, et mon appréciation de cette compétition.
« Oui Maître ! ». Je me jette sur son sexe, bouche grande ouverte et langue toute sortie, tandis que Fanny se retourne. Un filet de bave coule de son bâillon anneau. Toujours à quatre pattes sur le lit, elle me regarde faire, et pousse des gémissements, sortes de complaintes de plaisir et de frustration.
Je suce cette queue. Cette queue qui m’a volé mon ex. Cette queue qui fait l’amour à mon ex, qui la dévergonde. Cette queue qui entre dans la bouche, le vagin et le rectum de mon ex, et elle qui en redemande. Et pourtant, j’aime la sucer. J’aime la sentir coulisser dans ma bouche, contre ma langue. J’aime la durcir, la sentir durcir, la garder dure dans ma bouche. J’aime passer ma langue dessus… J’aime son odeur, et je n’ai qu’une envie : la sentir se déverser dans le fond de ma gorge…
Je me délecte de ce goût et de cette odeur, et me donne à fond, pour tenter d’avoir ces privilèges, et montrer à Fanny que je suis meilleur qu’elle.
« Ahhh oui, tu suces bien soumise… ».
Je m’active encore plus, et sens son sexe plus dur que jamais. Mais il se retire d’un coup.
Son sexe sorti, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un « nonnnnn ! »
Fanny et son amant rigolent.
« Et ben alors soumise, tu en voulais encore ? » me demande-t-il.
A petite voix, et les yeux baisser, je lui avoue l’inavouable « je voulais vous sentir venir dans ma bouche Maître… ».
Fanny me regarde droit dans les yeux, et tire grand la langue, comme pour me signifier qu’elle apprécie ça.
« Ohhh je vois que tu l’aimes vraiment ! Mais je veux être en forme pour prendre Fanny par tous les trous ce soir. Mais tu as bien sucé. Je te donne… 18/20. Un peu moins que Fanny. Tu vas être puni pour ne pas avoir été aussi bon qu’elle ! ». Devant mon regard abattu, l’amant rajoute « Mais comme tu voulais autant mon sperme, je t’autoriserai à me nettoyer le sexe, et à le récolter depuis le fond de Fanny. Mais pour l’heure, assis sur le banc ! »
Il le met en position fauteuil, et m’y force à m’asseoir. Il m’y attache les pieds et les mains, puis me remet le casque audio. Il se dirige vers Fanny, retire son bâillon anneau, puis vient et me le passe. Il est chaud et plein de la salive de mon ex. Je m’en délecte. Il me passe un bandeau sur les yeux, je n’ai que le temps d’apercevoir Fanny me lancer un regard, et se passer la langue sur les lèvres.
Je suis là, assis, attaché, toujours en cage, aussi dur que possible, mais muet, aveugle et sourd. Je n’entends que la musique dans le casque. Fanny et son amant sont en train de s’amuser devant moi, mais je ne perçois rien. C’est horrible…
Le temps passe, mais il est très difficile de dire combien de temps.
Au bout d’un moment bien long, je sens des mains retirer le bandeau et le casque audio. Fanny est là, elle me regarde, toujours nue. Elle actionne quelques manettes, et voilà le banc qui bascule en position lit, sans même que je n’ai besoin de me lever. C’est très confortable. Fanny met son visage au dessus du mien, sa bouche à quelques centimètres de la mienne, et me dit « j’ai adoré ce qu’il m’a fait. Je l’ai sucé, il m’a défoncé le vagin, j’ai jouit comme jamais. Maintenant, j’ai son sperme dans mon cul depuis tout à l’heure, et il a éjaculé dans ma chatte. Tu voulais son sperme ? Je vais me vider les deux doses dans ta bouche ». Elle me crache un petit peu de salive dans la bouche, pendant que je gémis de joie. Elle retire mon bâillon, puis se met à califourchon au dessus de mon visage. Trop loin pour que je la lèche, mais je sens distinctement son odeur de mouille intense, mélangée à l’odeur de sperme de son ex. Elle pousse avec sa chatte, son cul est toujours rempli du gode qu’elle doit maintenant avoir depuis bien longtemps. Du sperme frais en sort, mélangé à de la mouille, et coule directement dans ma bouche. Je le fais passer sur chaque recoin de ma bouche pour en apprécier le goût, puis avale, avant de rouvrir la bouche et tirer loin la langue. Elle pousse encore, il dégouline maintenant en moi du mélange sperme mouille. Elle se baisse, je la lèche avec beaucoup de plaisir.
Quelques minutes de cunnilingus, puis elle se relève, prend le gode de son anus et le sort tout doucement, juste au dessus de mon visage. Il sort doucement. Il est long. Une fois sorti, elle serre tout de suite son anus pour retenir le sperme, puis le fait lécher et sucer le gode. « Tu aimes le goût de mon cul, hein ma soumise ? Je sais que ça t’excite, et je le comprends… ». Elle s’avance de nouveau, puis place son anus au dessus de ma bouche. Je l’ouvre en grand, tire la langue au contact de se magnifique petit trou. Elle pousse un peu, il le faut pas longtemps pour que le sperme de son amant qui l’a remplie avant de manger ne coule dans ma bouche. Le goût est différent, mais tellement excitant !
Je lui nettoie le petit trou avec ma langue, puis elle se relève. Elle me replace le bandeau, et le bâillon en forme de pénis troué au milieu. Je comprends le message. Elle finit de bien m’attacher, les bras et jambes encore plus serrés, le torse plaqué, le visage plaqué. Elle me lèche le nez, laissant sa salive dans mes narines, puis me dit « bonne nuit », avec une voix douce, et tout en déposant un doux baiser sur mon bâillon.
Elle va se coucher. J’entends mon ex et son amant s’embrasser, puis plus rien.
La journée a été terriblement excitante, je meurs d’envie de me caresser le sexe, mais il est toujours dans sa cage… Je crois avoir été sage, peut-être pourrai-je enfin faire l’amour à Fanny demain, comme ils me l’ont dit ?
Son odeur m’emplit toujours les poumons, le goût du sperme de son ex en bouche… Le sommeil me gagne…
En moins d’une seconde, je passe par toutes ces pensées, et la raison fait suite au réveil : mon ex et son amant m’ont attaché sur ce banc après avoir utilisé ma bouche pour leur plaisir, et ont fait l’amour juste à côté de moi. Je ne saurais dire, finalement, s’il fait jour ou nuit car j’ai ce bandeau redoutable sur les yeux.
« On dirait que ton ex est réveillé Fanny, vas donc lui dire bonjour ! », entends-je de la part de l’amant de mon ex. Ils semblent réveillés…
J’entends des bruits de draps, des pieds qui se posent par terre et qui se rapprochent. Je sens des mains sur les côtés de ma tête, puis une langue qui me lèche du menton jusqu’au nez, et reste sur mes narines. Elle se retire quelques instants plus tard, me permettant de reprendre ma respiration, inspirant à pleins poumons l’odeur de la salive et de l’haleine de Fanny, au petit matin.
« Je vais te faire du bouche à nez, tu vas inspirer quand j’expirerai… Ma délicieuse haleine va t’emplir soumise ! ».
J’expire autant que possible avant que Fanny ne colle sa bouche autour de mon nez, puis elle expire. Je respire, m’emplis les poumons de son haleine du matin qui, tellement excité je suis, me rend complètement fou. Je voudrais lui dire, lui rouler une pelle magistrale, mais le bâillon m’en empêche.
Elle retire sa bouche, j’expire, puis la recolle et expire de nouveau dans mon nez. Je me délecte de son haleine, j’adore, c’est incroyable.
Après 6 ou 7 fois, elle se retire, et je l’entends sucer quelque chose. Je me doute bien de ce dont il doit s’agir… Puis elle recolle sa bouche à mon nez, et expire. Je sens cette fois-ci, mélangé à son haleine, l’odeur du sexe de son amant. J’aime vraiment cette odeur… Je crois devenir de plus en plus soumise, et commence à rêver d’avoir ce sexe en bouche. Mais à bien y réfléchir, Fanny, hier, m’a ordonné de vénérer le sexe de son amant… Je n’aurai pas besoin de me forcer je crois !
Tellement dur dans ma cage, mon sexe palpite, et l’amant s’en rend compte. « Je crois qu’il aime l’odeur de ma bite Fanny, tu lui as bien expliqué ce qu’on attendait de lui ! »
« Oui mon Maître. J’ai bien envie de faire mon pipi du matin maintenant, je me suis retenu toute la nuit après tout ce que j’ai bu hier soir… »
Je l’entends fouiller dans ses affaires, et sens que quelque chose appuie sur mon bâillon.
« Laisse toi aller Fanny, il va adorer servir d’urinoir ce week-end ! Toi le soumis, tu n’auras que ça à boire, alors j’espère que tu vas apprécier ! »
« Hummm hummmmmm » dis-je dans mon bâillon, avec une attitude cochonne, pour bien leur faire comprendre que je n’attends que ça.
J’entends de l’urine couler, mais rien n’arrive dans ma bouche. Presque déçu, je commence à aspirer, espérant en avoir des gouttes, et le flot arrive enfin, comme si j’avais une grosse paille dans la bouche. L’amant retire mon bandeau, me permettant de le voir, de voir son sexe dressé au-dessus de ma tête, puis de voir Fanny en train d’uriner dans un entonnoir, relié par un tuyau au plug dans ma bouche. J’aspire encore et encore, et me délecte du goût assez délicat de l’urine de Fanny descendant dans mon estomac.
La journée commence bien !!!
L’entonnoir se vide, la source est tarie. Fanny lève aussi haut que possible l’entonnoir pour me permettre d’apprécier les dernières gouttes, puis me retire le bâillon, et me colle directement son minou magnifique sur la bouche. Je me délecte des dernières gouttes d’urine, mais apprécie également un goût très prononcé de mouille mélangé à du sperme. J’ai la réponse à ma question d’hier, il lui a jouit dans le vagin !
Fanny se trémousse de plus en plus sur mon visage, je sais qu’elle est au bord…
« Arrête, tu ne jouiras que quand je t’en donnerai l’autorisation ! », lui dit son amant.
A regret, elle quitte mon visage, puis défait tous mes liens.
Je peux me redresser et me retrouve libéré de toute entrave, uniquement en cage de chasteté, un long gode dans l’anus, toujours aussi confortable, et un collier de soumise attaché au cou, avec une laisse qui en pend.
« Bien, il est 9h du matin, tu vas terminer de nettoyer la maison en faisant le haut et en passant la serpillière que tu n’as pas eu le temps de passer hier. Ensuite, tu iras dans la cuisine pour préparer le déjeuner, nous te sortirons ce qu’il faut. Tu peux aller aux toilettes pendant 2 minutes maximum si tu souhaites. Pendant ce temps, nous allons faire un tour avec Fanny ». Les consignes de l’amant de Fanny sont claires. Je me dirige vers les toilettes et veille bien à respecter les 2 minutes données. J’en sors, et me dirige vers le petit vestibule dans lequel se trouvent les affaires de ménage.
Fanny et son amant sont dans l’entrée. Fanny est nue, penchée en avant sur la table. Son amant insère dans son vagin un œuf vibrant très puissant, et un plus anal en acier dans son anus.
Elle se retourne, son amant lui fixe alors ses pinces à seins préférées, reliées par une chaînette. Elle enfile une robe, sans rien d’autre en dessous, puis, toujours avec son collier verrouillé par un cadenas, sort en premier suivie par son amant. Celui-ci me lance un clin d’œil, et referme la porte derrière lui. Je me retrouve seul.
Hyper excité d’être traité comme une soubrette, relégué à faire les tâches ménagères, harnaché comme je le suis, mon sexe est hyper dur dans sa cage. Je pense à Noémie, et aux photos qu’elle souhaite, j’espère que Fanny en a pris beaucoup… Peut-être réussirai-je à retrouver mon téléphone ?
Je retourne dans la chambre, et observe avec beaucoup d’attention ce banc de plaisir. Il est très ingénieux, je me demande où ils l’ont acheté. Mon regard se dirige vers le lit, ce lit où mon ex dort et fait l’amour à son amant… Ce lit où nous avons, rarement mais quelques fois quand même, fait l’amour lorsque nous étions ensemble… Je m’y allonge, savourant le contact encore chaud des draps sur mon corps. Il sent bon. Je renifle vers le milieu du lit, et y trouve une délicieuse odeur de sexe sur une tâche d’humidité. Comme ça me rend fou ! Mais pas de traces de mon téléphone.
Je redescends, car j’ai des tâches à faire. Commençons par la serpillière, ce qui laissera au rez de chaussée le temps de sécher pendant que je m’occuperai de l’étage. Je m’applique à la tâche, puis une fois terminé remonte à l’étage, fais les poussières, balaye et aspire. Je m’enhardis même et fais les vitres tant je suis investi dans ma tâche.
Je redescends, le sol est sec et propre. Parfait. 11h30, ça me laisse le temps de préparer un bon déjeuner. Dans le frigo, il y a quelques légumes et du poisson blanc. Je vais leur faire mijoter le poisson dans du pesto vert, et faire revenir les légumes à la poêle, très simplement.
J’épluche et découpe les légumes puis les mets à mijoter dans une noisette de beurre, et vais dresser la table. J’y mets un chemin de table, et sors plusieurs couverts et verres afin de les servir au mieux, dans mon rôle de soumise.
Je retourne m’affairer dans la cuisine quand j’entends un bruit de clé dans la serrure. Sans y réfléchir, je me précipite derrière la porte, à genoux, mains dans le dos, la tête relevée, bouche ouverte et langue sortie, afin de leur montrer mon obéissance et ma volonté de quémander leur sexe.
L’amant rentre en premier, sourit en me voyant. « Regarde ça si c’est pas mignon. Tu veux sucer soumise ? »
J’opine du chef. C’est vrai que je rêve de le sucer de nouveau…
« Il serait cruel de te laisser comme ça… »
Fanny entre à son tour et me voit. Elle me sourit, et après avoir fermé la porte, pose un sac, et défait la ceinture et baisse le pantalon de son amant. Son sexe apparaît, mou. Il s’approche de moi, je le saisis en bouche tout de suite, avec beaucoup d’avidité.
« Ouah, tu avais très faim toi !! Vas-y régale toi ! Ca sent super bon ici ! »
« Oui ça sent trop bon, et Maître regarde, il a dressé la table. La maison est super propre. Tu es une bonne soumise » rajoute Fanny en passant derrière moi. Elle se met à croupi, et me caresse le torse, pince mes têtons, et descend vers mon sexe encagé. Elle le caresse, pendant que je suce son amant qui a trouvé de la vigueur. C’est très bon de sucer ce sexe qui prend mon ex…
Il se retire, Fanny me penche la tête en arrière, et, tête bêche, me roule une pelle absolument délicieuse. En relevant la tête, elle me crache un peu dans la bouche, et me sourit à nouveau.
Ils passent à table. Je comprends le message, et vais les servir, en étant un hôte très prévenant.
Pendant le plat principal, Fanny prend ma laisse, et me tire vers le bas, sous la table. Elle écarte grand ses jambes, je vois dépasser la queue rose de son œuf vibrant, et m’approche de son sexe. Elle sent délicieusement bon. Pendant qu’elle mange, sous la table, je m’applique à lui prodiguer un cunnilingus comme elle les aime, en insistant sur le clitoris, et en lapant toute la mouille qui sort. Elle gémit de plus en plus, je la maintiens au bord de l’orgasme. Elle se lache un peu, un jet d’urine arrive dans ma bouche, dont je me délecte avec plaisir. Elle me repousse, et me demande de poursuivre le service, une fois que les assiettes sont vides. J’ai bien dû passer 10 minutes sous la table à lui lécher le sexe… Mon propre sexe est d’une dureté incroyable. En me relevant, je vois mon téléphone sur la table, appareil photo en route. Elle a bien pris des photos, Noémie va être contente !
Elle s’aperçoit que je le regarde. « Depuis hier, je dois être à une centaine de photos déjà, tu pourras t’exciter en les regardant, mais avec ta cage, je doute que tu puisses faire grand-chose soumise ! »
Si seulement elle savait que ces photos sont pour Noémie…
Fanny et son amant rigolent et continuent de parler de tout et de rien, comme si je n’étais pas là. Je débarrasse la table et sers le fromage, puis le dessert. L’amant de Fanny m’indique qu’ils ont terminé et que je peux débarrasser, mais avant de me laisser commencer, il retire les cadenas de la ceinture bloquant le gode dans mon anus.
Fanny disparaît de mon champ de vision pendant ce temps. « Retire ça et va le nettoyer ».
Je fais sortir le long gode de mon anus, qui se retrouve vide. La sensation est étrange d’avoir le rectum vide après avoir maintenu un gode une nuit entière et quelques heures de plus en son sein. Tant est si bien que je n’ai qu’une envie : avoir à nouveau le cul rempli avec un gode. L’envie est énorme d’enfoncer de nouveau ce gode en moi…
Le lavement a été efficace, il est propre et n’est parsemé que de ma mouille anale, transparente.
Je vais à l’évier de la cuisine, et commence à le nettoyer. Une main prend ma laisse et, tout en appuyant sur le bas de mon dos, tire mon cou en arrière. Je me retrouve cambré. Je reconnais les mains de Fanny, ainsi que son odeur. Je sens un gode de bonne taille sur mon anus. Il n’a même pas besoin de forcer tant je suis ouvert et affamé. Il s’insère tout seul, assez rapidement mais pas violemment. Il passe mon second sphincter et se retrouve dans mon colon. La sensation est si bonne que je laisse échapper un soupir lorsque le pubis de Fanny vient s’écraser contre mes fesses. Elle a mis un gode ceinture, et me prends avec. Elle est bien au fond de moi, et j’aime ça…
Elle y reste un moment, alors que je recommence à faire la vaisselle. Ses mains me caressent les tétons, les pincent, puis elle agrippe mes hanches et commence à me sodomiser, alors que je m’affaire à nettoyer les plats et couverts. Difficile de me concentrer. Fanny alterne les mouvements, tantôt lents, tantôt rapides, et j’envoie mes fesses à sa rencontre. Chaque coup de butoir est plus intense que le précédent, je sens que je vais avoir un orgasme anal.
« Fanny… C’est si bon… Encore… Encore… Plus fort… Oui, oui, ouiiiiii, je vais jouir Fanny je vais jouir !!!! »
Entendant ces mots, Fanny s’arrête immédiatement. J’essaye d’aller à sa rencontre pour continuer à me faire défoncer l’anus, mais elle me claque les fesses et se retire d’un coup, laissant un grand vide en moi. « Hors de question que tu jouisses, même du cul soumise ! Tu n’es pas là pour ça ! Mais tu as été très sage, et tu as bien fait la cuisine. La maison est propre. Avec mon amant, on veut te récompenser. Tu auras donc le droit, si tu continues à être bien sage, demain, de me faire l’amour, en plantant ton sexe dans le mien. Tu es d’accord ? » me glisse-t-elle dans l’oreille en me caressant le sexe à travers la cage. Bien sûr que je suis d’accord !!!! Mais j’aurai l’impression de tromper Noémie… Ma situation est tellement compliquée : je suis encore amoureux de Fanny et ai tellement envie qu’elle me libère de cette cage de malheur (et de bonheur), et lui faire l’amour, mais en même temps je me suis offert à Noémie. Elle m’a dit d’obéir à Fanny… Si c’est un ordre…
« Si tel est ton désir Fanny, et que tu me l’ordonnes, je serai heureux de t’obéir… »
« Bien sûr que tu seras heureux ! Mais avant, tu dois être vraiment très sage, et bien continuer d’obéir ! Un petit sourire ? » demanda-t-elle en pointant mon smartphone vers moi. Elle prend quelques photos, et entreprend de retirer son gode ceinture. Je vois qu’il s’agit d’un double gode ceinture, avec un petit gode qui lui rentrait dans le vagin. Elle a du prendre du plaisir à me défoncer le cul…
« Soumise, nettoie ça avec ta langue, je veux qu’il soit propre ». Je ne me fais pas prier. Je me remets à genoux spontanément, m’avance vers ce gode ceinture, et commence à sucer la partie ayant servi à me sodomiser. J’apprécie mon goût. Je lèche bien sur toute la hampe, et en viens à renifler le petit gode étant entré dans les entrailles de Fanny. Il sent si bon, son odeur est tellement délicieuse ! Je le lèche, sa mouille abondante a laissé de nombreuses traces blanches dessus, que je m’empresse de nettoyer. Je m’en délecte…
« Bien, on a prévu après midi film avec Fanny. Pendant ce temps, je veux que tu t’occupes de nous. Tu vas nous masser à tour de rôle, utiliser tout ton savoir pour nous détendre. Tu auras le droit d’utiliser tes mains et ta langue. On te laisse la liberté d’utiliser les mains et/ou la langue, mais si ce que tu fais ne nous plaît pas, tu seras puni. Est-ce bien clair ? »
« Oui Monsieur », répondis-je.
Je dois commencer par son amant, alors que Fanny s’alanguit sur le fauteuil, et son amant s’allonge sur le canapé. Je vais chercher une petite bouteille d’huile de massage dans la salle de douche à l’étage, et m’installe près de lui. Il est nu, allongé sur le ventre, la tête tournée vers la télé. Fanny me regarde, me fait un clin d’œil et me sourit. Je lui rends son sourire, en murmurant un « merci ». Elle sourit, et se tourne vers Harry Potter. Je commence à masser son amant. Les épaules, le dos, les bras, les fesses, les cuisses, les pieds, puis je lui demande tout doucement de se retourner. Je m’applique car la récompense est à la hauteur de la qualité du massage : le droit de faire l’amour à Fanny !
Je reprends au niveau de ses pieds, et remonte. Les tibias, les cuisses… Mon regard se perd sur son sexe. Je passe mes mains proches de lui, il ne réagit pas. Je remonte jusqu’à toucher ses testicules, il ne réagit pas, toujours concentré sur la télé. Je m’enhardis et me place sur le côté du canapé, sans lui obstruer la vue. Je suis le visage juste au-dessus de son sexe, qui commence à grossir. Je caresse plus que je masse le bas de son ventre, passe aux cuisses, et très timidement, commence à effleurer, puis caresser son sexe. Il a atteint une bonne taille, et il ne réagit toujours pas. Je le prends bien en main, et le masturbe carrément. Il semble apprécier. Je jette un coup d’œil à Fanny, qui me regarde. Elle mime une fellation, je comprends l’ordre. Je regarde ce sexe que je dois vénérer, et que je vénère effectivement, je le décalotte, laissant apparaître un gland luisant de pré-sperme, et le gobe directement. Ma langue s’affaire dessus, sans que mes lèvres ne bougent. J’aspire autant que je peux, puis relâche, lèche, aspire, relâche, lèche, et recommence ce manège plusieurs fois. Il prend ma tête avec une main et appuie dessus. Le message est clair, je commence à le sucer, de plus en plus profondément. Son sexe est trop grand, je ne peux pas le prendre en entier dans la bouche, mais vais aussi loin que possible. J’apprécie vraiment cette fellation, et mon sexe commence à palpiter.
Fanny me rejoint alors que son amant nous regarde. Elle colle sa tête à la mienne, et me pousse avec, pour me signifier qu’elle en veut aussi. Bien qu’elle n’aime pas ça, elle a du apprécier la vue et la trouver excitante. Elle se retrouve, à côté de moi, à sucer son amant, faisant des bruits de bouche que je ne lui connaissais pas. Elle quitte le sexe quelques instants plus tard et me le tend, je l’embouche à mon tour, le suçant avidement, et me régalant de la salive de Fanny. Le sexe est de plus en plus dur, je suis sûr qu’il est sur le point de jouir, mais d’un coup, il me repousse et sort son sexe de ma bouche.
« Putain tu es une bonne suceuse ! Je ne pensais pas. Fanny, tu devrais prendre exemple sur ton ex ! Il suce comme une experte ! »
Fanny me regarde, puis prend ma tête entre ses mains, et me roule une pelle incroyable. Sauvage, langoureuse à souhait, baveuse à souhait, elle dure bien 5 minutes, pendant lesquelles elle « m’impose » cette pelle.
« Tu m’apprendras », me dit-elle en quittant mon visage. Je lui souris, puis son amant se lève, laissant le canapé à Fanny. Elle se déshabille et s’allonge, nue, sur le ventre. J’ai pu voir qu’elle porte toujours ses pinces à seins, son œuf vibrant, et son plug anal.
Le film s’est terminé, mais ils en lancent le suivant. Je vais avoir le temps de bien m’occuper de Fanny, et cette perspective me ravit !
Je commence doucement par lui masser les épaules, à l’écoute de ses réactions. Je passe au dos, et en profite pour lui déposer un baiser sur la joue. Pas de réaction de sa part. Jusqu’où puis-je aller dans l’audace ?
Je descends sur ses fesses, que je masse affectueusement, tout en les écartant bien à chaque cercle. Je mets mon visage juste au dessus, et inspire à pleins poumons. Elle sent bon le sexe, comme j’aime. Je commence à lui embrasser les fesses, puis embrasse le plug qu’elle tient dans son anus.
Ma langue sort de ma bouche, et vient commencer à lécher au dessus, en dessous, puis autour de ce plug anal. Le goût est bon, j’adorerais pouvoir enfoncer ma langue dans son anus !
Je continu un peu, puis je vois qu’elle pousse doucement avec ses fesses. Son plug sort légèrement. Je l’attrape avec ma bouche, et entreprends de tirer dessus pour le faire sortir. Elle m’aide en continuant à pousser, jusqu’à ce qu’il sorte. Je le prends avec une main, il est tout chaud. Je le regarde, il est propre, avec un peu de mouille anale de Fanny. Je le retourne alors, et l’enfourne dans ma bouche, pour continuer à la masser avec ce plug sortant à peine du cul de mon ex dans la bouche. Mon doigt s’égare sur son œillet, en caresse le contour, puis rentre entièrement à l’intérieur. Je le laisse ainsi, et le bouge à l’intérieur, appréciant le contact des chaudes parois de son anus. D’un coup, je sens l’œuf vibrant se mettre en route. Un coup d’œil à son amant, je le vois avec son téléphone dans la main, contrôlant l’œuf. Fanny pousse un léger soupir, et je peux sentir, au travers de la paroi, la puissance de cet œuf vibrant. Il doit lui procurer un plaisir incroyable.
Je prends avec ma main libre le plug dans ma bouche, puis entreprends de le glisser entre mes fesses. L’amant me voir faire, et me sourit, m’encourageant à continuer. Il rentre tout seul, me libérant donc la bouche. Je me penche sur les fesses de Fanny, les écarte avec mes deux mains, et lui lèche l’anus. Je rentre ma langue aussi profondément que possible, sentant les vibrations se propager jusqu’à ma langue. Elle vient à la rencontre de ma bouche, je la lèche, encore et encore. Je descends un peu vers son vagin, et le lui lèche aussi bas que possible. Difficile d’aller plus loin que l’entrée de son vagin, mais elle dégouline de mouille, dont je me délecte.
Mon sexe est tellement dur dans sa cage, j’en ai tellement envie, que j’approche mon bassin du canapé, et commence à doucement frotter mon sexe contre lui. Ca appuie dessus, me procurant un peu de plaisir, mais loin d’être suffisant. Je m’enhardis, et continue mes mouvements tout en léchant l’anus de Fanny.
L’amant s’aperçoit de mes mouvements. Il se lève, et me crie dessus « tu n’es pas là pour ton plaisir soumise !!! Tu n’as pas à baiser le canapé !!! A genoux, mains derrière la tête, tout de suite ! ».
Voyant son état, Fanny se relève tout de suite, et me lance des éclairs tandis que j’obéis promptement.
« On ne peut vraiment pas compter sur toi, je suis déçu !!! me dit elle en me donnant une gifle ». J’ai fait une bêtise, j’en suis horrifié… Je présente mes excuses à Fanny et son amant en me jetant à leurs pieds, mais ça ne leur suffit pas.
Fanny me force à reprendre la position à genoux mains derrière la tête, et rapprochant son visage du mien me dit « on t’avait dit de ne pas faire de bêtise, maintenant tu vas être puni soumise ! »
Son amant a disparu de mon champ de vision, et je l’entends s’affairer derrière moi.
Il positionne une chaise face à la télé et dos au canapé. Il y place le long gode qui m’a rempli toute la nuit, et m’ordonne de venir le sucer. Je m’empresse d’obéir.
« Maintenant, assis toi dessus salope, face à la télé » ajoute-t-il.
Je retire le plug en acier, le suce pour le nettoyer, et le pose sur la table basse. Je viens vers la chaise, et commence à m’empaler sur ce merveilleux gode. Il glisse dans mon anus tout seul, écartant mes chairs, et je sens rapidement l’assise de la chaise au contact de mes fesses. Je relâche la tension dans mes jambes, et profite de ce moment bien connu désormais.
Fanny passe derrière moi, et m’attache très solidement le buste à la chaise, les jambes écartées aux pieds de la chaise. Elle plaque mes jambes à l’assise grâce à une autre sangle, empêchant toute possibilité de relever mes fesses. Son amant m’attache très strictement les mains dans le dos, puis les bras aux montants de la chaise. Je ne peux à nouveau plus bouger les membres. Fanny me met le collier me forçant à tenir la tête droite, puis prend le plug et le glisse dans son anus à nouveau. Elle me force à ouvrir la bouche, puis y rentre le bâillon en forme de petit pénis, ouvert au milieu, qu’elle accroche bien serré derrière ma tête, puis fixe à mes têtons des pinces japonaises. Elle me regarde, et me sourit. Son amant passe devant moi, et vient rouler une pelle incroyable à Fanny qui lui rend bien. Elle lui caresse le sexe, lui lui caresse la chatte en y entrant deux doigts en plus de l’œuf vibrant. Elle prend du plaisir à ce traitement.
L’amant de Fanny la relâche, la repoussant sur le canapé derrière moi. Il va prendre un petit sceau en plastique pouvant contenir 1 litre et demi d’eau je dirais. Il accroche à l’anse une petite ficelle, qu’il vient passer dans un anneau fixé au plafond. Il lève le sceau de 60-70cm du sol, puis vient attacher l’autre extrémité de la ficelle aux pinces japonaises, étirant mes têtons vers le haut, sans trop tirer dessus. Je redoute toutefois ce qui pourrait suivre. Il fixe ensuite un tuyau entre mon bâillon, qu’il vient fixer à l’aide de scotch à l’intérieur du sceau, à quelques cm du fond du sceau.
Le tableau doit être beau à voir : moi, en cage de chasteté, assis sur une chaise avec un long gode dans mon anus, attaché très strictement, sans possibilité de mouvement, des pinces japonaises étirant mes têtons vers le haut grâce à une ficelle passant par le plafond et reliée à un sceau, un bâillon pénis troué relié au sceau par un tuyau.
L’amant me sourit, puis retourne derrière moi. Il s’assit dans le canapé, et relance la suite du film.
Combien de temps vais-je passer ici ?
Je profite du film et de ma situation, mais derrière moi, j’entends des bruits de bouche, des bruits humides, des gémissements, des respirations accélérées, et quelques mots salaces. Ca m’excite encore et encore, tant est si bien que j’essaye de gigoter sur la chaise pour me procurer un peu plus de plaisir anal. Les sangles sont très serrées, j’ai énormément de mal à bouger, et le peu que j’y arrive ne me procure pas le plaisir que j’aimerais…
Je gémis dans mon bâillon, une complainte pour essayer de leur faire comprendre ma frustration. Tout en entendant des claquements ressemblant à ceux d’un pubis masculin s’écrasant contre des fesses, et entre deux gémissements, Fanny me dit « tu veux quoi… toi… oh oui c’est trop bon… Continue !! Patience soumise, on va te… hummm ouiiiii !! on va… Plus fort mon chéri ! Prends ta chienne ! Je suis ta chienne ! On va s’occuper de toi… Quand… encore, encore… Humm hummmmm… Quand on aura fini ici !! Oh oui c’est trop bon !! Je vais jouir, arrête arrête ! Je veux jouir avec ta bite dans mon cul ! »
Une courte accalmie, suivie d’une longue expiration de la part de Fanny « Oh mon dieu c’est si bon !! Vas-y, déchaine toi, fais-moi jouir ! ».
J’entends des bruits de sexe incroyables, faisant gonfler autant que possible mon sexe dans sa cage. Impossible de me concentrer sur le film, je ne veux que tourner la tête… Plusieurs minutes de claquements et mots crus plus tard, j’entends Fanny jouir très fort, suivi d’un râle de son amant, qui avait dû finir en elle.
« Tiens, ça évitera que mon sperme ne ressorte de ton cul ma chienne »
« Oh oui mon Maître, merci ! »
Je gémis de nouveau dans mon bâillon, mais seul un « tsss, il peut pas se taire celui-là » de la part de l’amant de mon ex vient me répondre.
Seul le film continue à se faire entendre, plus aucun bruit ne venant de derrière moi. J’imagine qu’ils se reposent, probablement dans les bras l’un de l’autre…
Le canapé crisse, un des deux amants se lève, direction la cuisine. La porte du frigo s’ouvre et se referme, puis la personne revient s’asseoir dans le canapé. Je reconnais le bruit d’un bouchon de bouteille qu’on ouvre, et une personne déglutit la boisson. Il doit s’agir d’eau, je n’ai vu aucune autre bouteille en plastique dans le réfrigérateur. La personne déglutit beaucoup, elle devait avoir très soif !
Le film se poursuit, pendant longtemps… Je n’entends guère de bruit derrière moi, tant est si bien que je profite bien du film. Je le connais par cœur, mais vu ma situation, je vais encore plus l’aimer ! Les pinces à seins Japonaises sont bien à leur place, mais leur morsure me fait un peu mal. Ca ne m’excite que davantage.
Le film se termine, l’amant de Fanny, nu, passe devant moi, retire le disque, et met le suivant. Il se retourne, me regarde dans les yeux, sourit, puis repasse à côté de moi. J’entends un bruit humide derrière moi, puis une main se place sur mon nez et s’y frotte. C’est celle de l’amant de mon ex, trempée de mouille. « Respire bien soumise, ça va te faire tenir ! »
Ca sent si bon ! C’est terriblement frustrant !! Au bord de l’explosion, mon sexe grossit instantanément jusqu’aux limites de sa cage, et je gémis pour leur signifier mon plaisir. Ils rigolent, et lancent le film suivant. Mais combien va-t-on en regarder ?? Il doit bientôt être le début de soirée, et on les enchaîne.
Quelques dizaines de minutes après le début du film, j’entends Fanny gigoter de plus en plus. Elle finit par dire à son amant « Maître, je n’en peux plus !! ». Elle se lève, et vient face à moi. Elle me regarde, une expression de légère douleur sur le visage, les mains sur le pubis, et à moitié pliée en deux. Elle se retient d’uriner depuis sûrement un moment !
Elle se met au-dessus du seau relié à mes pinces à seins, puis libère un flot continu. Je vois au fur et à mesure un plaisir sur son visage de se libérer ainsi. Mais l’urine de mon ex remplissant le seau tire sur la cordelette le reliant à mes pinces à seins, jusqu’à les étendre vers le haut, et les pincer de plus en plus fort. Fanny se rend compte de ma douleur qui monte de plus en plus. « Avale ma pisse si tu veux réduire la douleur soumise ! On sait bien que tu aimes ça ! ».
J’avais oublié le tuyau relié à mon bâillon et à l’intérieur du seau. J’aspire, l’urine de Fanny arrive dans ma bouche, bien chaude. Je la savoure, je m’en délecte, et je l’avale, libérant la voie à une gorgée de plus. J’aspire encore, mais le seau se remplit bien plus vite que je ne peux avaler, la pression sur mes tétons est de plus en plus forte. Ca m’excite à mort, et cette situation me plaît énormément ! Obligé de boire l’urine de la femme que j’aime, ou souffrir. Le choix est vite fait, d’autant que j’adore boire ce délicieux liquide !
La merveilleuse source de Fanny se tarit enfin, voyant un seau bien remplit. Je ne pourrai pas tout avaler d’une traite, il va forcément en rester, maintenant la pression sur mes tétons. La situation est horrible et à la fois tellement excitante !!! Je ne voudrais être nulle par ailleurs qu’ici. Fanny se passe une main entre les jambes, et l’étale sur mon nez, pendant que je continue à aspirer et avaler son urine.
Elle prend mon smartphone, et mitraille de photos : tant le seau que moi, la chaise, mes attaches, l’ingénieux système avec mes pinces à tétons… Et je crois même qu’elle filme à un moment.
Fanny rigole, se rassoit, et profite de la suite du film. J’ai du boire la moitié du seau, mais je ne peux plus rien avaler… Il va falloir attendre, et avaler au fur et à mesure. Mes tétons sont hyper sensibles, mais la pression diminue un tout petit peu au fur et à mesure, bien qu’elle reste très forte. J’aime cette sensation, et je me découvre de plus en plus un attrait pour le travail des tétons. Merci Fanny de me faire découvrir ça, et me faire prendre conscience que j’adore ça !!! Noémie pourra sûrement s’en servir…
Le film continue, je gémis de temps en temps, des gémissements de plaisir. Régulièrement, j’entends des baisers derrière moi, et j’avale l’urine de mon ex au fur et à mesure. Elle se refroidit, et je la préfère chaude, donc j’essaye d’être le plus rapide possible, mais ce n’est pas facile. Difficile de se rendre compte combien d’urine il me reste à avaler, et mon gode dans l’anus me comprime ma prostate et ma propre vessie. Je commence moi aussi à avoir envie. Le temps passe, et je gigote de plus en plus sur ma chaise. L’amant de mon ex finit par réagir « dis Fanny, je crois que notre soumise a aussi envie de pisser… ».
Elle se lève, passe devant moi toute souriante, et me demande si c’est le cas. Je cligne des yeux une fois en gémissant. Elle disparaît de mon champ de vision, et revient, avec une gamelle en inox, qu’elle place sous mon sexe. Elle la maintient. « Lâche toi ». Je ne me fais pas prier, et c’est bientôt un long jet qui remplit la gamelle. Quel plaisir de se lâcher quand on a la vessie bien pleine ! Tout du long, elle me regarde en me souriant, et se passe la langue sur les lèvres par moments.
Je termine, elle se relève et, devant moi, porte la gamelle à son visage, y colle ses lèvres contre le rebord, et l’incline à peine. Elle la remet droite, puis déglutit en face de moi. Je n’en reviens pas ! Elle vient de boire une gorgée de ma propre urine ! Elle a tellement changé depuis qu’on était ensemble !!! Elle m’excite !!!
« Délicieuse ma soumise, ta propre urine va beaucoup te plaire… ».
A peine terminés ces mots, elle vers le contenu entier dans le seau qui contenait encore un peu de sa propre urine, me tirant de nouveau les pinces sur les seins, accentuant leur morsure, et mon excitation. Ils avaient tout prévu ! Et quelle ironie ! Je bois l’urine de mon ex, ce qui me donne envie d’uriner à mon tour, et elle va me forcer à boire ma propre urine, ce qui me donnera encore plus envie ! Mais il va bien falloir s’arrêter à un moment. Je la regarde, un peu interrogatif. « Rassure toi ma soumise, une fois que tu auras fini ton seau, tu pourras te vider dans les toilettes… ».
Elle retourne s’asseoir dans le canapé… Je me retrouve obligé de boire ce mélange de nos urines, pour limiter la pression sur mes tétons… Et… J’adore !
Le film avance, je bois au fur et à mesure. Chaque gorgée coulant dans mon estomac me remplit de plaisir, et me ramène à ma condition de soumis, tout en diminuant la morsure des pinces japonaises sur mes tétons. Le cycle est parfait. A quelques minutes de la fin du film, le seau est enfin vide, et je n’en suis que plus excité.
Le film se termine enfin, Fanny se lève, et va voir l’état de remplissage du seau. Le voyant vide, elle me regarde, me sourit. « Alors, tu as aimé hein ! Maintenant il faut retirer ces pinces… ».
Non !!!! Je sais à quoi m’attendre, le retrait des pinces va être douloureux. J’essaye de gigoter, de gémir, mais elle avance ses mains, et me retire d’un coup les deux pinces en même temps. Je hurle dans mon bâillon, ce qui fait rigoler l’amant, tandis que Fanny se rapproche de mes tétons avec sa bouche. J’espère qu’elle ne va pas les mordre !!!!!
Mais elle passe délicatement sa langue dessus, ce qui apaise efficacement la morsure, et recommence à m’exciter. Elle passe de l’un à l’autre, puis me regarde dans les yeux « On ne veut pas t’abimer soumise… Mais tes seins vont devoir apprendre à accepter ça sans broncher ! ». Je cligne des yeux, et gémis de plaisir. Elle retire tout ce harnachement, me détache entièrement, et m’ordonne de me relever. Je sens le gode sortir de mon anus, puis Fanny y place tout de suite un plug en acier de bonne taille, qui rentre tout seul. Me sentir à nouveau rempli me comble de joie.
« Maintenant, tu vas nous préparer à manger, et on veut la même qualité que ce midi soumise. Ayant toujours le bâillon en bouche, je ne peux que gémir, et me diriger vers la cuisine.
Je m’affaire dans la cuisine, pour leur préparer un cake à la courgette. Je coupe les courgettes, casse les œufs, fais la préparation, enfourne… Pendant ce temps, j’entends Fanny et son amant monter dans la chambre, puis j’entends des bruits que je ne connais que trop bien. Ils sont en train de s’amuser, ce qui ne m’excite que plus, et me conforte dans ma position de soubrette. Je suis bien à ma place de soumise…
Le cake au four, j’entreprends de mettre la table : un chemin de table, assiettes, couverts, verres, j’allume même une bougie que j’ai trouvée.
Je surveille la cuisson, en profitant des bruits venant de l’étage. Ils sont étouffés, comme si la porte était fermée, j’ai du mal à distinguer. Il me semble entendre des claquements, des gémissements, mais je ne saurais dire à quelle pratique ils s’adonnent. Je voudrais les rejoindre, mais je n’ose pas.
Le temps passe, le cake est bientôt prêt. J’entends la porte qui s’ouvre, et mon ex et son amant qui descendent l’escalier.
L’amant est devant, Fanny descend derrière, nus tous les deux. L’amant a le sexe encore à moitié dur, tandis que Fanny est tenue en laisse, un bâillon anneau dans la bouche, des pinces sur les seins reliées par une chaînette et à un petit poids qui se balance, étirant légèrement les tétons de Fanny vers le bas. C’est très excitant de voir ça ! Je vois encore entre ses jambes la ceinture verrouillée, qui doit maintenir les deux godes dans son vagin et dans son anus…
Je me souviens que Fanny m’a ordonné de vénérer le sexe de son amant, et j’avoue avec plaisir qu’il m’attire beaucoup. Je m’agenouille donc, mains dans le dos, au milieu de la cuisine, et regarde avec insistance ce sexe à moitié dur, pour faire comprendre à l’amant que je souhaite le nettoyer.
« Fanny regarde, ton ex semble devenir fou de ma bite ! Tu la veux hein cochonne, tu la veux ? » dit-il en me regardant. J’opine du chef, il se rapproche, défait mon bâillon, j’ouvre grand la bouche et me jette sur ce sexe qui me nargue. « Waow, tu en voulais salope ! Vas-y suce, fais toi plaisir. Ma bite a visité le cul de Fanny pendant un moment, tu vas aimer ! ».
Il a raison. Le goût est absolument délicieux. J’arrive à pomper quelques gouttes de sperme, pas assez à mon goût, et me délecte du goût de l’anus de mon ex… Comme je l’aime !
Il me repousse au bout de quelques dizaines de secondes, temps bien trop court à mon goût, puis amène Fanny à table. Il l’attache sur la chaise, les pieds aux pieds de la chaise, les cuisses, et le torse, mais laisse ses mains libres.
Il s’assoit ensuite et me demande de les servir. N’ayant plus le bâillon, je réponds « oui Maître », puis les sers. Ils mangent tous les deux, parlant de tout et de rien, en ne me considérant que comme un serviteur. Je dois leur remplir leurs verres, débarrasser leurs assiettes, amener les fromages, les desserts, mais ne suis utilisé à aucune autre tâche. J’en suis presque déçu, mais mon rôle est d’obéir, pas d’avoir une opinion. L’amant s’adresse de temps en temps à moi pour m’inviter à finir les restes non mangés dans une assiette, ce qui me permet de me sustenter, et me fait bien plaisir.
Le repas terminé, Fanny reste attachée et à nouveau bâillonnée avec le bâillon anneau, et les mains menottées dans le dos, tandis que l’amant sort. Je débarrasse la table et la nettoie.
Fanny passe son temps à me regarder, les yeux dans les yeux. Elle tire la langue… Que dois-je faire… ? Je regarde la porte extérieure, espérant que l’amant ne va pas revenir, et je m’avance pour lui rouler une pelle incroyable. Elle me rend mon baiser en agitant sa langue en tous sens. Mes mains caressent son corps, ses seins, tirent un peu la chaîne, pincent un peu ses tétons, lui extirpant quelques gémissements de plaisir. J’aventure mes mains plus bas, entre ses jambes, et appuie régulièrement sur la ceinture qui maintient les godes en elle. Mon sexe est hyper dur dans sa cage, et j’aimerais être à sa place. Je recule un peu ma tête, nos langues se quittant, et dans les yeux, je profite de la situation pour lui dire « Je t’aime Fanny… ». Elle ne répond rien, tend sa langue comme une invitation à l’embrasser à nouveau. Je penche encore ma tête, tout en la caressant, et nous nous embrassons de nouveau.
Quelques minutes plus tard, la porte d’entrée s’ouvre, nous nous quittons précipitamment, ce qui n’échappe pas à son amant. « Je ne peux pas vous laisser seuls deux minutes on dirait. Toi la soumise, tu n’as pas à profiter de Fanny ! Elle est ta Maîtresse, et je ne t’autorise pas à la toucher sans mon accord, ou sans le sien, c’est clair ? »
« Oui Maître, pardon Maître ! »
« Monte à l’étage et attends nous à genoux avec le casque et la musique sur les oreilles »
« Oui Maître »
Je monte à l’étage, pendant que j’aperçois l’amant de Fanny qui se dirige vers elle. Je n’entends guère plus rien avec ce casque, mais obéis…
Les minutes passent, peut-être davantage, je suis à genoux dans la chambre de mon ex, le sexe toujours en cage, et un plug en acier toujours dans mon fondement, et je suis bien. Mes pensées s’égarent vers Noémie, elle me manque… Je pense maintenant autant à elle que Fanny. Pourvu qu’elle apprécie ce que j’aurai fait ce week-end…
Au bout d’un moment, je vois Fanny entrer dans la chambre, à quatre pattes, les pinces sur les seins, le bâillon anneau toujours sur sa bouche, et les godes toujours fichés en elle. Elle monte sur le lit, et y reste à quatre pattes, les fesses tendues vers moi. Elle les bouge à droite à gauche. Son amant arrive, nu, le sexe tendu à l’extrême.
Il retire mon casque audio. « Fanny m’a sucé comme une reine. Je lui ai donné 19 sur 20. A toi de faire mieux. Selon la note que je te donnerai, tu auras certains privilèges ». Je le regarde, un sourire aux lèvres qui trahit mon envie de le sucer, et mon appréciation de cette compétition.
« Oui Maître ! ». Je me jette sur son sexe, bouche grande ouverte et langue toute sortie, tandis que Fanny se retourne. Un filet de bave coule de son bâillon anneau. Toujours à quatre pattes sur le lit, elle me regarde faire, et pousse des gémissements, sortes de complaintes de plaisir et de frustration.
Je suce cette queue. Cette queue qui m’a volé mon ex. Cette queue qui fait l’amour à mon ex, qui la dévergonde. Cette queue qui entre dans la bouche, le vagin et le rectum de mon ex, et elle qui en redemande. Et pourtant, j’aime la sucer. J’aime la sentir coulisser dans ma bouche, contre ma langue. J’aime la durcir, la sentir durcir, la garder dure dans ma bouche. J’aime passer ma langue dessus… J’aime son odeur, et je n’ai qu’une envie : la sentir se déverser dans le fond de ma gorge…
Je me délecte de ce goût et de cette odeur, et me donne à fond, pour tenter d’avoir ces privilèges, et montrer à Fanny que je suis meilleur qu’elle.
« Ahhh oui, tu suces bien soumise… ».
Je m’active encore plus, et sens son sexe plus dur que jamais. Mais il se retire d’un coup.
Son sexe sorti, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un « nonnnnn ! »
Fanny et son amant rigolent.
« Et ben alors soumise, tu en voulais encore ? » me demande-t-il.
A petite voix, et les yeux baisser, je lui avoue l’inavouable « je voulais vous sentir venir dans ma bouche Maître… ».
Fanny me regarde droit dans les yeux, et tire grand la langue, comme pour me signifier qu’elle apprécie ça.
« Ohhh je vois que tu l’aimes vraiment ! Mais je veux être en forme pour prendre Fanny par tous les trous ce soir. Mais tu as bien sucé. Je te donne… 18/20. Un peu moins que Fanny. Tu vas être puni pour ne pas avoir été aussi bon qu’elle ! ». Devant mon regard abattu, l’amant rajoute « Mais comme tu voulais autant mon sperme, je t’autoriserai à me nettoyer le sexe, et à le récolter depuis le fond de Fanny. Mais pour l’heure, assis sur le banc ! »
Il le met en position fauteuil, et m’y force à m’asseoir. Il m’y attache les pieds et les mains, puis me remet le casque audio. Il se dirige vers Fanny, retire son bâillon anneau, puis vient et me le passe. Il est chaud et plein de la salive de mon ex. Je m’en délecte. Il me passe un bandeau sur les yeux, je n’ai que le temps d’apercevoir Fanny me lancer un regard, et se passer la langue sur les lèvres.
Je suis là, assis, attaché, toujours en cage, aussi dur que possible, mais muet, aveugle et sourd. Je n’entends que la musique dans le casque. Fanny et son amant sont en train de s’amuser devant moi, mais je ne perçois rien. C’est horrible…
Le temps passe, mais il est très difficile de dire combien de temps.
Au bout d’un moment bien long, je sens des mains retirer le bandeau et le casque audio. Fanny est là, elle me regarde, toujours nue. Elle actionne quelques manettes, et voilà le banc qui bascule en position lit, sans même que je n’ai besoin de me lever. C’est très confortable. Fanny met son visage au dessus du mien, sa bouche à quelques centimètres de la mienne, et me dit « j’ai adoré ce qu’il m’a fait. Je l’ai sucé, il m’a défoncé le vagin, j’ai jouit comme jamais. Maintenant, j’ai son sperme dans mon cul depuis tout à l’heure, et il a éjaculé dans ma chatte. Tu voulais son sperme ? Je vais me vider les deux doses dans ta bouche ». Elle me crache un petit peu de salive dans la bouche, pendant que je gémis de joie. Elle retire mon bâillon, puis se met à califourchon au dessus de mon visage. Trop loin pour que je la lèche, mais je sens distinctement son odeur de mouille intense, mélangée à l’odeur de sperme de son ex. Elle pousse avec sa chatte, son cul est toujours rempli du gode qu’elle doit maintenant avoir depuis bien longtemps. Du sperme frais en sort, mélangé à de la mouille, et coule directement dans ma bouche. Je le fais passer sur chaque recoin de ma bouche pour en apprécier le goût, puis avale, avant de rouvrir la bouche et tirer loin la langue. Elle pousse encore, il dégouline maintenant en moi du mélange sperme mouille. Elle se baisse, je la lèche avec beaucoup de plaisir.
Quelques minutes de cunnilingus, puis elle se relève, prend le gode de son anus et le sort tout doucement, juste au dessus de mon visage. Il sort doucement. Il est long. Une fois sorti, elle serre tout de suite son anus pour retenir le sperme, puis le fait lécher et sucer le gode. « Tu aimes le goût de mon cul, hein ma soumise ? Je sais que ça t’excite, et je le comprends… ». Elle s’avance de nouveau, puis place son anus au dessus de ma bouche. Je l’ouvre en grand, tire la langue au contact de se magnifique petit trou. Elle pousse un peu, il le faut pas longtemps pour que le sperme de son amant qui l’a remplie avant de manger ne coule dans ma bouche. Le goût est différent, mais tellement excitant !
Je lui nettoie le petit trou avec ma langue, puis elle se relève. Elle me replace le bandeau, et le bâillon en forme de pénis troué au milieu. Je comprends le message. Elle finit de bien m’attacher, les bras et jambes encore plus serrés, le torse plaqué, le visage plaqué. Elle me lèche le nez, laissant sa salive dans mes narines, puis me dit « bonne nuit », avec une voix douce, et tout en déposant un doux baiser sur mon bâillon.
Elle va se coucher. J’entends mon ex et son amant s’embrasser, puis plus rien.
La journée a été terriblement excitante, je meurs d’envie de me caresser le sexe, mais il est toujours dans sa cage… Je crois avoir été sage, peut-être pourrai-je enfin faire l’amour à Fanny demain, comme ils me l’ont dit ?
Son odeur m’emplit toujours les poumons, le goût du sperme de son ex en bouche… Le sommeil me gagne…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Formidable !!!
Bonjour,
Je suis ravi qu'elle vous plaise toujours. La suite viendra, elle prendra un peu de temps mais viendra pour sûr !
Je suis ravi qu'elle vous plaise toujours. La suite viendra, elle prendra un peu de temps mais viendra pour sûr !
J'avais peur de ne jamais avoir de suite à cette histoire, très content de vous voir de retour ! J'adore toujours autant ! Hâte de voir ce qu'il se passeras avec noemi
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