Soumise à mon maître 6 - histoire érotique

Quelques jours se sont passés depuis que le maître m'a sodomisée devant le perron de la maison, j’accepte de plus en plus ma condition de soumise et maintenant je prends du plaisir à satisfaire mon maître, par contre pour la fac, les tenues que me fait porter mon maître m’isolent de tout le monde, les filles ne veulent pas me parler, par contre pour les garçons qui ne sont pas timide ce n’est pas le cas mais je les repousse gentiment même si j’ai une réputation de salope, j’entends toujours autant de moqueries et d’insultes, ca me rend triste mais je n’ai pas d’autres choix que de faire avec franck et sa bande d’amis me font peur, c’est très difficile de les éviter,Le réveil sonne, il est 7h00, aujourd'hui, on est samedi, donc je ne vais pas à la fac,cela va me faire du bien de ne pas devoir subir les moqueries avec tout le travail que j’ai à faire à la maison, je me lève et je commence à m’habiller en tenue de service comme je le fais machinalement tous les jours, je met mon porte jarretelle à 6 attaches que j’ajuste à mes hanches, je mets mes bas, j’ajuste ma couture de mes bas bien au milieu tout en prenant soin de ne pas les effiler et je les fixe aux attaches du porte jarretelle,je trouve très féminin et très joli de porter des bas. je mets mon ras de cou, je mets ma robe de soubrette en l’enfilant par le bas, je mets mon tablier blanc autour de la taille, je mets mes sandales plateformes noires avec des talons de 15 cm sur une plateforme de 4 cm en resserrant la bride qui me fait toujours autant mal malgré le fait que je devrais être habituée de les porter je me maquille de façon assez prononcé conformément aux goûts de mon maître, gloss eye liner, mascara, tout y passe, je me mets du parfum, je me lisse les cheveux, je mets ma coiffe et les boucles d’oreille créole dorées, je me regarde dans le miroir de ma chambre sous toutes les coutures. Parfaite, je suis parfaite, je peux m’affairer à mes tâches. Enthousiaste, je sors de ma chambre chantonnant dans ma tête, et oui pas le droit de siffloter, mon maître exige le silence, je nettoie le salon, je prends le plumeau pour passer un coup sur les meubles, et sans le faire exprès je me raccroche un ongle sur un meuble, je regarde tout de suite mon ongle, plus de peur que de mal, ma manucure est toujours parfaite et toujours aussi jolie même si au quotidien ce n’est pas facile avec toutes les tâches ménagères que je fais, je vois que le sol est sale à certains endroits de la pièce, je me mets à 4 pattes pour nettoyer, le maître passe à ce moment la et me met sa main sous la robe pour me caresser, les fesses, je me laisse faire, je cambre mes fesses pour lui montrer que j’aime ses caresses je me tourne la tête et je le regarde dans les yeux tout en esquissant un sourire, il me renvoie mon sourire, la journée commence bien, je prépare le petit déjeuner pour mon maître, il lit le journal assis sur le canapé, je lui jette des regards régulièrement, je sers le petit déjeuner, mon maître approche et se met à table, il me met à nouveau une main aux fesses par dessous la robe, je le laisse à nouveau faire sans rien dire tout en le regardant et en esquissant un sourire,mon maître me demande de la confiture, je fais 2 mètres et je vais au frigo, j’ouvre la porte du frigo et je me penche pour prendre le pot de confiture, le maître voit très bien mes fesses, je prends le pot de confiture, je ferme la porte du frigo, je lui mets le pot de confiture en me penchant bien en avant, je le regarde dans les yeux en souriant, il en profite pour regarder mon décolleté, il me sourit et me regarde aussi dans les yeux, mon maître finit de déjeuner et s’en va dans sa chambre, je le regarde partir et je nettoie la cuisine,Mes tâches ménagères sont finies, mon maître passe ma chambre en revue, il regarde sous si il n’y a pas de poussières sous le lit,sur les meubles, si tout est bien rangé, je suis stressée même si ma chambre est en ordre et propre, je ne bouge pas, mon maître se retourne vers moi et me demande de le regarder dans les yeux, - Ta nouvelle garde robe te plait, - Oui maître, - Tu devras porter toutes les tenues, - Oui maître, - Et quelle est ta robe préférée ?
- Cette robe,La robe est rouge à fines bretelles avec un décolleté, à demi dos nu, et est courte, - Pourquoi?
- Elle me met en valeur, j’ai beaucoup aimée la porter, j’ai vu que dans votre regard, je vous plaisais avec cette robe, et ca me fait un beau cul,elle est sexy - Et tu aimes les robes sexy?
- Oui j’aime beaucoup maître, même si les autres me voient comme une salope ou une pute, ce qui ne me facilite pas ma vie à la fac, les gens ne font que de matter, j’entends des réflexions sur moi mais je continuerai à porter ce que vous me direz car j’aime vous obéir et être sexy pour vous, - Et tu aimes porter des bas ?
- Oui maître ,je me sens très féminine et très sexy, - Et les talons, tu aimes bien, tu préfères lesquels ?
- Oui maître, j’aime bien surtout les escarpins noires même si ce n’est facile de marcher avec des talons de 17 cm car ils sont hauts et font très mal, et font du bruit, tout le monde me remarque et j’ai pas besoin de ça.
- J’ai un colis à aller chercher, tu vas venir avec moi, - D’accord maître, puis je avoir l’autorisation d’aller aux toilettes avant maitre ? s’il vous plait , depuis tout à l’heure je me retiens je suis désolé maître mais je ne pourrais pas tenir 5 minutes de plus, pitié, Je me trémousse et je serre les jambes, je me retiens depuis trop longtemps, je sens que ma vessie est sur le point d’exploser, - Oui mais laisse la porte ouverte afin que je te vois, - Merci maître,Je sors précipitamment courant sur la pointe des pieds pour aller aux toilettes, le maître me suit, j’ouvre la porte des toilettes et je la laisse grande ouverte, mon maître s’est assis sur un fauteuil et me regarde fixement,je relève ma robe et je me dépêche de m asseoir, à peine assise, je me bloque en voyant que mon maître me regarde, je n’arrive pas à uriner, je n’ai jamais fait ca devant personne, je suis gênée et bloquée d’uriner devant mon maître mais l'envie était trop pressante je me mets à uriner, le maître se rapproche et moi, ce qui me crispe, je me retiens à nouveau, je vois le maître qui s’approche de moi je vois une bosse au niveau de sa braguette, il est en érection, , je me demande ce qu il va me dire ou me faire - Suce moi salope, La braguette de mon maître est pile à la hauteur de ma bouche, j'enlève le bouton du pantalon, je descends la braguette, et je prends le sexe à moitié bandé (respect)de mon maître avec ma main droite, le gland n'est pas encore sorti ,je le masturbe un peu pour le faire grossir un peu plus je mets son sexe dans ma bouche, je n’ai pas envie de le sucer mais j'obéis comme une bonne soumise, son sexe sent bon, je n’ai pas une grande liberté de mouvement, et l’envie d’uriner est toujours présente, j’ai du mal à contenir ma vessie pendant que je suce mon maître, le sexe de mon maître grossit au fur et à mesure de la fellation ou la pipe pareil je sais pas ce qui est le mieux , ma vessie se relâche et j'urine, mon maître le sent et me regarde et rigole, je continue de le sucer quand la main de mon maître me pousse la tête vers lui, je ne m'étais pas préparée et j ai du mal à respirer, il me fait faire une gorge profonde, mes lèvres touchent son pubis poilu je déteste cette sensation et je trouve ca degueulasse, son gland vient toucher la luette, et entre dans ma gorge cette sensation est désagréable et me donne envie de vomir, j’ai les yeux exorbités, par réflexe, j’essaie de le repousser les mains appuyées sur son ventre, d’une claque sur les mains, il me rappelle à l’ordre. ne sachant que faire je pose ma mains contre les murs comme pour élargir cette minuscule pièce où je suis prise au piège. j'essaie de prendre sur moi et de ne pas paniquer,mais je commence à suffoquer, le maître enlève sa main de ma tete, je recule ma tête pour prendre le temps de respirer, un gros filet de bave dégouline de ma bouche, pour atterrir sur ma robe de service, je vois le filet de bave mais c est trop tard,, je reprends mon souffle et mon maître remet son sexe dans ma bouche et fait des mouvements comme si c'était ma chatte ou mon cul, j’ai l’impression qu'il me baise la bouche, je me soumets à mon maître, qui me tient la nuque mon maître éjacule directement dans la bouche, ce qui à pour effet de m'étouffer à moitié, j’ai envie de vomir, mais j ‘avale le sperme chaud de travers,je repousse mon maître avec mes mains manucurées et je me mets à tousser, je vais vomir, j‘essaie de me contenir, les mains sur la bouche, je crache des glaires pleins de sperme qui dégouline entre mes mains sur ma robe de satin noir,. les yeux injectés de sang, le souffle court, j’ai la tête qui tourne, je me prend la tête dans les mains dégueulasse et essaie de me récupérer. je prend conscience de mon état et de ce que j’ai fait. immédiatement la honte et les larmes m’envahissent. je lève les yeux craintive. il n’est pas colère mais plutôt dégouté. C’est pire pour moi, mon coeur se fend, je le dégoûte - Pardon maître, je m’excuse , je ne l’ai pas fait exprès maître j'étais en train de m'étouffer , je vais tout nettoyer, je vous promets.je suis nulle bête stupide une moins que rien je ne merite pas d'etre votre soumise,je vous promets de tout faire pour me rattraper, je vais m’entrainer, vous pourrez me baiser la bouche, j’y arriverais, je vous promets, laissez-moi une chance, je vous en supplie.
En pleurs, je me retrouve à genoux devant lui, la main tendue vers lui implorant son pardon. Lui est là, la queue flasque à me dévisager, je vois apparaître un sourire. Ma soumission le satisfait. Il sait que maintenant j’ai besoin de lui et qu’il pourra faire de moi ce qu’il entend.
mon maître remet son sexe dans son pantalon - Tu as 10 minutes pour être présentable et me rejoindre dans la voiture - Oui maître, Son ton est froid et autoritaire, - Tu prendras ta robe pour l’emmener au pressing - bien maître,Il disparait et je me dépêche de monter les escaliers 4 à quatre sur mes echasses au risque de me péter une cheville j'enlève ma robe tachée de sperme et de bave le plus vite possible, je me passe une lingette pour me nettoyer, je prends mon autre robe de service, je la mets, je mets un autre tablier propre je réajuste mes bas et la couture de mes bas je regarde dans le miroir et je me remaquille, je réajuste ma coiffure je remets ma coiffe je prends ma robe de service souillée et mon sac à mains et même si je suis pressée par le temps j'essaye de prendre le temps de me calmer tout en me rejoignant mon maître je ne cours qu'à l’approche de la voiture de mon maître, j’ai beau être pressée, je ralentis le pas afin de me calmer avant de rejoindre mon maître,le maître me dit de mettre la robe sale dans le coffre, j’appuie sur le bouton d'ouverture du coffre, il s’ouvre tout seul, je mets la robe dedans et j’appuie sur le bouton pour fermer le coffre qui s’ouvre tout seul, je monte dans la voiture, je ne sais pas comment me comporter, si je dois parler, si je dois me taire, le trajet ne dure pas très longtemps, le maître s'arrête d’abord au pressing, il se gare juste devant, la porte n’est qu’à quelques mètres, le maître descend en 1er et m’ouvre la porte, je descends en faisant toujours attention à ce qu’on ne voit pas que je ne porte rien sous ma robe, le maître me dit de prendre la robe souillée dans le coffre, je me dirige vers le coffre et je l’ouvre, la robe avait bougée et se trouve dans le fond du coffre, j’essaye de l’attraper du bout de mes doigts manucurés mais je n’y arrive pas, je plaque mes genoux contre le pare choc et je réesaye d’’attraper la robe du bout des doigts, je décide de pousser sur mes jambes et me résigne à me pencher pour attraper la robe, à ce moment la je sens que l’on voit ma chatte et mes fesses, je suis honteuse et très gênée de montrer mon anatomie à tout le monde, j’entends des remarques, oh regarde elle à pas de culotte, elle devrait être s’habiller un peu j’arrive à attraper la robe du bout des doigts et je la tire vers moi, je me redresse et je me mets debout, je ferme le coffre et je rentre dans le pressing suivi de mon maître,il n’y a pas de clients, l’homme à l'accueil me dévisage des pieds à la tête, je vois que ma tenue de service lui plait beaucoup à sa façon de me sourire, - Bonjour, que puis je faire pour vous, - Je vous amène ma robe car je l’ai tâchée, - Puis je avoir la robe, s’il vous plaît ?
Je m’approche du comptoir et je tends la robe, - Je vois que c’est une robe en satin, - Oui, je réponds avec hésitation - Et elle a été tachée avec quoi ?
- Mon employée ne sait pas avaler de sperme sans en recracher, alors elle en a mis sur sa robe, - Le bon personnel se fait rare, - Je confirme,Ils se parlent comme s‘ils étaient amis, je vois que l’homme me juge car il esquisse un sourire en coin je ne sais plus où me mettre, j’ai le visage qui a rougi,je n’ai qu’une envie c’est de me cacher je ne pensais pas du tout que le maître serait aussi cru avec la personne du pressing, - Il vous la faut pour quand ?
- Le plus vite possible, mon employée va devoir s’exercer, tout en me regardant dans les yeux, je baisse les yeux, - Elle sera prête dès lundi matin, - je la passe en priorité, - Merci, c’est très gentil,L’homme donne un ticket à mon maître, je me dirige vers la sortie,je jette un coup d’oeil au dessus du miroir qui est au dessus de la porte et je vois que l’homme est en train de me matter, j’ouvre la porte et je me dirige vers la voiture, mon maître me dit de prendre le carton qui se trouve sur les sieges arriere, il debarre la voiture, j’ouvre la porte côté passager, le colis se trouve derriere le siege conducteur, j’essaye de l’attraper du bout des doigts mais il est trop loin , le maître s’impatiente et me le fait sentir,je décide de m’assoir sur le siège arrière afin d’approcher le colis, je le rapproche et je descends de la voiture, j’attrape le colis, il est assez lourd je dirais qu’il pèse dans les 5 à 10 kilos et est assez encombrant,,j’essaie de me baisser un maximum et faire en sorte d’avoir le dos droit afin de ne pas montrer que je ne porte rien dessous tout en poussant fort sur mes jambes pour me relever, pendant ce temps la le maître s’est assis au volant de sa voiture et m’attend, je pars en direction de la poste, je croise pas mal de personnes, entre les hommes qui me mattent sévèrement du regard et les femmes qui me regardent avec un air genre regarde comment elle est habillée cette salope,, je ne suis pas du tout à l’aise sans compter que porter ce colis avec mes talons vertigineux ce n‘est pas facile, je manque de perdre l'équilibre plusieurs fois, je fais 300 mètres et j’arrive devant la porte de la poste, je vois qu’à travers la porte vitrée il y à beaucoup de monde , la file d’attente va jusqu'à à la porte d’entrée de la poste, je me dis que ca va etre long et surtout que je vais en entendre des moqueries et devoir en supporter des regards,la porte la personne qui est à l'intérieur et qui attend m’ouvre la porte c’est un jeune homme , je le remercie, il en profite pour me matter et m’effleurer sans me toucher, je n’ose rien dire je me dis qu’il n'a pas fait exprès ,à peine entrée je me fait remarquer à cause du bruit de mes talons une personne rentre après moi je n’ose pas me retourner , au d’un seul coup je sens une main aux fesses,,je ne sais quoi faire ,si je me penche pour lâcher le colis tout le monde va voir que je ne porte rien , alors je me retourne pour faire comprendre à la personne que ca ne me plait pas et je le regarde dans les yeux et je lui jette un regard noir et je vois un petit adolescent qui rigole de sa bêtise,je ne veux pas me faire remarquer non plus je lui planterais bien mon talon sur ces chaussures mais je ne veux pas me faire remarquer,, je vois que dans les regards et ma tenue choque , je vois que dans les regards des femmes c’est du dénigrement et dans le regard des hommes c’est ouaah la salope je me la ferai bien, la file d’attente se réduit petit à petit au fur et à mesure des passages , chaque personne que je croise pour sortir me dévisage de haut en bas , j’entends une petite fille dire à sa maman regarde elle est bizarre la tenue de la madame, j’entends sa mère lui dire chut tais toi, la petite fille repose une question à sa mère, c’est quoi son métier à la madame, j’entends à la mère dire à sa fille de se taire à nouveau ,, , autant que les adultes me fassent des réflexions ca me fait mal mais venant d’une petite fille ca me fait au coeur, ce côté naturel et sans filtre me fait avoir honte de moi , mais je n’ai pas le choix, mon tour arrive et je m’adresse à la personne au guichet, - Bonjour, je souhaiterais envoyer un colis, - Oui, donnez moi le colis,Je donne le colis au guichetier, tout le monde me regarde, j’ai l’impression d’etre une bete de foire, - Il va falloir remplir le formulaire d’expédition, - Oui bien sur,Je remplis l’adresse et le nom du destinataire, je me retourne et je vois que des jeunes sont en train de me prendre en photo ou de me filmer, je ne sais pas quoi faire,aller les voir c’est me faire remarquer et je suis déjà assez observée comme ca,je décide de m’activer pour pouvoir sortir au plus vite car je me sens de moins en moins à l’aise, il ne me reste plus qu’à payer , je tends la carte que m'a donné le maître et je paye, je prends le recu et le recepisse de l’envoi de colis, et je traverse la pièce pour sortir, je regarde fixement d’un regard noir les jeunes qui me prenaient ou qui me filmaient en photo et je me dirige vers la sortie , je pousse la porte, je sors de la poste, et je vais à la voiture rejoindre mon maître qui m’attend dans la voiture, je monte dans la voiture et je donne le recepisse pour l’envoi de colis à mon maître, je suis encore énervée de ce qui s’est passé à la poste, mon maître le voit - Tu as eu des soucis?
- J’en ai marre que tout le monde bloque sur ma tenue, qu’ils aillent au diable avec leur morale, - Tu vas t’y faire. A force de te confronter, tu ne feras plus attention à eux. D’ailleurs, le frigo est vide si j’ai bien vu. Tu vas aller faire des courses. Prend ça comme un entraînement.
- ce n’est pas facile de s’y faire, mais je vais y arriver, maître,Le maître démarre et va en direction du centre commercial, qui se trouve dans une zone commerciale, le trajet dure 10 minutes, j’essaye de me calmer et de respirer à fond pour me détendre, j’angoisse à l’idée de subir encore des regards, d’avoir l’impression d’entendre des remarques sur ma tenue,, il ne faut pas que je craque, j’essaye de réfléchir à ce que je dois prendre et en quelles quantités , on arrive déjà sur le parking, le maître se gare et me dit de prendre le jeton de caddie qui se trouve dans l’accoudoir , je prends le jeton de caddie et je sors de la voiture avec beaucoup de précaution et je me dirige vers la caddie, je mets le jeton dans le caddie,et je tire le caddie,je mets mon sac dans le caddie et je me dirige vers l’entrée,je tire sur ma robe pour essayer de la baisser, je remets bien ma coiffe, je m'arrête pour laisser passer une voiture, l’automobiliste me laisse passer je suppose qu il en profite pour me matter aussi,ce n’est pas facile de pousser le caddie avec ces talons vertigineux, l'équilibre n’est pas facile à trouver,je me perds dans mes pensées , je sors un post it pour noter les choses à prendre et qui me viennent à l esprit il ne faut pas que j’oublie quelque chose,dés que je rentre dans le magasin le bruit de mes talons me fait remarquer aux yeux de tout le monde, j’ai bien sûr droit aux regards, il y a aussi les hommes qui se font engueuler par leurs femmes car ils ete surpris par leurs femmes, je me reconcentre sur ce que je dois prendre et je me dirige vers les produits sanitaires, il me faut des articles aussi peu glamour que du papier toilettes, désodorisant pour le même usage. Ce que je cherche se trouve en bas de rayon. Avec mon accoutrement, j’évite de montrer mon joli petit cul et m’accroupis sagement et me relève droite comme un i. Je prend soin de bien tirer sur ma robe pour cacher un maximum de mon anatomie. Je prends de la lessive,du gel douche, du shampoing, et tout un tas de truc que j’ai vu à la maison avec un niveau assez bas. En tête de gondole dans l’allée centrale, il y a des chocolats, je vois ceux que mon maître grignote régulièrement. Fière de pouvoir lui faire plaisir, j’en prend une boite., je me dirige au rayon petit déjeuner, et essaie de prendre les mêmes produits que ce que j’ai pu voir à la maison, je me dirige ensuite au rayon gâteau, Je veux reprendre des cookies, LU comme ceux que mon maître prend. je les cherche je viens de les trouver Tout en haut du rayon, je me mets sur la pointe des pieds pour pouvoir l’attraper du bout des doigts je manque de tomber mais je retrouve l'équilibre, le paquet tombe à terre, je m’accroupis pour le ramasser et ne pas montrer mon absence de culotte. Je me remets ensuite sur la pointe des pieds pour remettre le paquet à sa place et en reprendre un autre. J’ai pas envie de me faire punir pour des cookies en miettes, le caddie est moins maniable et plus difficile à pousser avec mes talons, les virages sont de plus en plus large s et mes pas de plus en plus petits. je prends les produits dont je me rappelle et j’essaye de me souvenir des produits que j ai vue chez mon maître, j’aime plutôt ce moment ou je mets les articles dans le caddy ca me donne l’impression de gérer la maison, il y à des personnes que je croise souvent dans les rayons, je les regarde dans les yeux fixement , ca ne les empêche pas de continuer à regarder mon décolleté et mes jambes avec mes bas, à chaque pas je sens ma jupette qui bouge, elle doit bouger constamment surtout que je marche les jambes bien serrées, d’un seul coup je m'arrête net et fais demi tour, je vien de m’apercevoir que j’ai oubliée la mousse à raser et les lames de rasoir, j’ai la tête aux courses et à ce que je dois prendre, je vois moins les regards sur moi même si il en a je n’entends pas les pensées des gens, je croise un papy qui me sourit, je lui renvoie un sourire, enfin une personne qui ne me dévisage pas ca fait plaisir, le froid dans certains rayons me fait ressentir des frissons, je le sens au niveau des fesses et au niveau de mes tétons qui pointent mais la sensation est plutôt agréable ca rafraichit, , je ne sais pas si ca se voit mais je vois qu un homme à l’air de d’observer mes seins attentivement,je me retourne en passant ma main dans les cheveux tout en me dirigeant vers le rayon fruit et légumes,en pesant certains légumes un homme vient vers moi et prend 2 melons un dans chaque main et me dit jolis melons n’est ce pas , je lui mets un vent et je me retourne je suis sûre qu’il parlait de mes seins en disant le terme melons, je suis encore tombée sur un goujat, je croise une femme qui me fait un sourire, je suis très étonnée et je lui renvoie un sourire, je me retourne et je m'aperçois qu’elle se retourne également, pour une fois qu’une femme ne me regarde pas comme les autres, même si je me dis qu’elle est lesbienne, l’espace d’¼ de seconde je me voies faire l’amour avec elle, je me dis que ca doit etre sensuel cette idée m’interpelle, pourquoi pas finalement?. je me remets dans les pensées de mes courses, je mets les dernier articles et je me dirige vers les caisses qui sont bondées de monde, mon téléphone sonne, c’est mon maître : - Qu’est-ce que tu fous?
- Je suis à la caisse, je n’ose pas dire le mot maître ,il y a du monde autour de moi - t’en as pour combien de temps à ton avis?
- Je dirais 20 minutes.
- Je vais faire autre chose alors, je te sonne quand je reviens,Le maître raccroche d’un seul coup,je demande un service à la personne qui est derrière moi - Mr, je peux vous demander un service, - Oui bien sur l’homme sourit, - Pouvez vous me garder mon caddie, il faut que j’aille chercher des sacs pour les produits surgelés - Merci beaucoup,je vais chercher les sacs congélation et je reviens le bruit de mes talons fait que tout le monde se retourne à mon passage, je retourne à la caisse ou est mon caddy,Je me glisse entre l’homme et le tapis à ce moment là l’homme me colle une main au cul discrètement, je ne m’y attendais pas et je ne sais pas comment réagir, alors je ne dis rienje décide de prendre des sacs normaux, je me penche et l homme en profite pour regarder mon décolleté,, , la caissière est estomaquée et me regarde on dirait qu elle na jamais vu un décolleté, je dois mettre les articles sur le rouleau, je n’ai pas d’autre choix de me pencher en me penchant on voit le bas de mes fesses, et les attaches de mon porte jarretelles et le revers de mes bas sont clairement plus visible, je suis gênée de devoir montrer un peu plus mon corps mais je n‘ai pas d’autres choix que de faire ca pour mettre les articles sur le caddy, je me résigne à bouger normalement et puis c’est impossible de ne rien montrer la robe est trop courte, les hommes qui ne sont pas avec leur femme n’en perdent pas une miette. Le caddie vide j’attend que la cliente précédente règle ses courses. Enfin c’est à moi, j’avance mon caddie et passe devant la caissière, nos regards se croise, elle me regarde bizarrement mais se force à me faire un grand sourire : - Bonjour, - Bonjour,Elle commence à passer mes articles, j’attends patiemment qu’elle me passe un de mes sacs pour pouvoir ranger. Je n’ai pas envie de m’éterniser. ça fait trop longtemps que je suis ici à me faire reluquer comme un bout de viande. Au bout d’un moment elle ne tient plus : - Je peux vous poser une question?
- heu, oui.
- C’est pour quoi? un enterrement de vie de jeune fille?
- Pourquoi cette question ?
- Ben votre déguisement? c’est pour quoi?
- Non ce n’en est pas un sur un ton gêné, en baissant les yeux, - Oh, excusez moi, je pensais que.. enfin c’est pas banal comme tenue, et puis il y a des enfants ici. je pensais que c’était un défi. Enfin, on s’habille pas comme ça pour faire les courses d’habitude. Oh pardon, excusez-moi, je devrais me taire, mais c’est juste que j’ai jamais vu ça. on dirait une tenue coquine, enfin vous voyez quoi. Alors je me demandais la raison qui vous pousse à vous habiller comme ça.
La caissière ne sais plus où se mettre mais au lieu de se taire, elle essaie vainement de rattraper le coup. Elle parle beaucoup trop, et les oreilles des autres clients commencent à écouter, voulant couper court et malgré ma honte, je décide de lui répondre, ça la fera peut-être taire.
- Ce n’est pas un déguisement mais ma tenue de travail et je n’ai pas d’autres choix que de la porter, en la fixant dans les yeux froidement.
- Oh pardon, je suis désolée, je sais où vous travaillez mais moi je me barrerais. on demande pas à ses employés de montrer ses fesses quand même. Je vous plains mademoiselle.
- Si j’avais le choix - Vous savez, c’est qu’un boulot, on est jamais obligée de faire des trucs qu’on veut pas.
- Je voudrais payer mes courses s’il vous plaît , - Heu oui, bien sûr, je suis une pipelette, désolée.
Je continue d’enfourner les courses dans les sacs que je dépose dans le caddie. Il pèsent chacun une tonne, je me dis que je vais encore galérer avant que tout ne soit ranger à la maison. Au bout d’un moment, elle me demande avec sa voix de crécelle : - 222,31, s’il vous plaît! par carte?
- Oui, - Vous avez la carte leclerc?
- Non, - C’est dommage vous auriez eu des tickets leclerc et des bon d’achats, je vous conseille d’aller en caisse centrale,Ses mots m’énervent je ne l’écoute même plus afférée que le terminal. Je note le code scotché sur la carte. C’est bon ça passe. La caisse crache le rouleau de papier que cette abrutie me tend dans un sourire de débile.
- Merci et bonne journée.
- Merci, de même.
De toutes mes forces je commences à pousser le caddie, mes talons glissent, enfin, il se mets en mouvement et j’avance.,j’ére dans le centre commercial tout le monde me regarde, je ne peux pas rentrer dans les magasins avec mon caddy , j’essaye de trouver un coin tranquille et discret mais il n’y en à pas, je trouve le temps long je n’ai qu’une envie c’est que mon maître m’appelle, j’essaie de m’occuper l’esprit en réfléchissant à ce que je vais préparer à manger pour mon maître, je suis adossée à un mur, les jambes serrées, le caddy devant moi j’ai la tête vers le bas j'évite les regards je regarde mon téléphone régulièrement, le maître m'appelle et me dit qu'il m’attend, je mets mon sac dans le caddy et je pousse le caddy lourd jusqu'à la sortie, je cherche du regard la voiture du maitre, le maitre est gare et ne bouge pas de la voiture, il ouvre le coffre de l'intérieur, je mets les courses dans le coffre mais les sacs sont lourds et j ai du mal à garder l'équilibre avec mes talons vertigineux, je n’ai pas d'autre choix de me pencher,j en ai marre de devoir faire attention à ma robe qui remonte mon décolleté plongeant et que l’on voit les attaches du porte jarretelles Quelque chose en moi est en train de se passer, une colère qui monte, une tristesse qui m’envahit, mais je prend conscience que mes efforts sont vains. Maintenant ou plus tard, l’issue est inévitable. Autant déposer les armes de suite, mon maître m’a mise dans une situation inextricable. Quoiqu’il arrive, je serai perçue au mieux comme une salope au pire comme une pute, tout le monde tous les jours aura le loisir de se rincer l’oeil sur mon corps, c’est inéluctable, autant en prendre conscience. Je décide donc d’un coup de basculer et de ne plus lutter, j’agis comme si j’étais habillée normalement sans aucune précaution. Ce qui sera vu, sera vu et je ne pourrai lutter contre l’image que je renvois. Je me penche donc autant que nécessaire sentant mon cul largement offert à la vue du monde entier. Un frisson me parcoure le dos. Fais pas ta mijaurée ma vieille, faut apprendre, assume, me dis-je intérieurement.
Je me montre donc en spectacle devant tout le monde et beaucoup de personnes me regardent, et j’ai envie de quitter cet endroit au plus vite, toutes ces personnes qui me jugent sans me connaître m'énervent, et cette caissière qui m'a énervée avec ses question et ses remarques débiles, je met le dernier sac dans la voiture, je mets le caddy dans l’abri à caddy , je récupère le jeton et je me dirige d’un pas décidée vers la voiture et je monte dedans découvrant encore une fois très largement le haut des cuisses gainées de nylon. Il faut que je m’y fasses, il faut que je m’y fasses., - Alors ces courses ?
- C'était pas facile de me concentrer sur les courses avec tous ces regards sur moi - C’est pour ca que tu fais cette tête ?
Je suis encore énervée, je n’ai pas réussie à me calmer mes idées se bousculent dans ma tête est le fait que j’accepte de plus en plus la situation extérieure à cause de ma tenue, - Oui et aussi à cause de la caissière, - Elle à fait quoi la caissière ?
- Elle parle pour ne rien dire, à ce moment la je n’ai pas trop envie de discuter, mais je ne veux pas mal parler à mon maître,Le maître démarre et part du parking du supermarché, l’ambiance dans la voiture est plutôt froide, il n’y à que le son de la radio pour perturber le silence, le trajet dure à peu près 20 minutes, pendant ce temps là je me ressasse le passage à la caisse avec la caissière, j’ai honte du comportement que j’ai eue au moment de mettre les courses je n’aurais pas dû me laisser aller mais j'étais énervée que tous ces gens me regardent comme une bête de foire,, et je me demande jusqu'où ça va aller est ce que le maître me réserve d’autres choses plus humiliantes , voir des choses plus douloureuses ? est ce que je vais finir par supporter tout ca je ne peux pas m'empêcher de penser à tout ça , le maître ouvre le portail et s'engouffre avec sa voiture dans l'allée pour se garer devant le perron de la maison , il arrête la voiture - Range les courses, je vais dans mon bureau, - D’accord maître,Le maître descend de la voiture et s’en va comme ça l’air de rien, je descends de la voiture et j’ouvre le coffre pour sortir les affaires, je commence d’abord par sortir ce qui craint le plus , je peux me pencher et ainsi avoir l le cul à l’air sans que j’ai à subir de regard, porter les sacs dans les marches avec ces talons n’est pas facile, les sacs se cognent contre ma jambe, et contre mes bas, il ne faut pas que je les déchire car sinon je serais punie, je fais les multiples allers et retours avec les sacs, tout en les rangeant au fur et à mesure, marcher avec ces talons me fait très mal à force de me pencher je ressens une légère douleur dans le bas de mon dos , j’ai l’impression d’avoir fait beaucoup de km aujourd'hui,j’ai les pieds en compote, et mes chevilles me font horriblement souffrir et monter et descendre les marches est pour moi une torture, une fois que j’ai finit de ranger les courses je referme le coffre, toutes ces tâches m’ont fait transpirer, j’ai le front en sueur,et je veux plaire à mon maître, je dois absolument me faire une petite toilette pour être présentable aux yeux de mon maître et je vais dans ma chambre, je m'essuie le front et j’en profite pour me remaquiller, et faire un point sur ma tenue, je ne suis pas très douée en cuisine mais je suis obligée de faire des efforts afin de satisfaire mon maître j'obéis à mon maître pour me perfectionner et lui faire des bons plats, je quitte ma chambre pour aller dans la cuisine pour préparer le repas , j’ouvre le frigo et je sors le poisson , je sors un plat rectangulaire dans lequel je mets de lhuile je me penche pour prendre des oignons , je prends un couteau avec mes mains manucurées que je ne peux plus m’empêcher de contempler tellement j’adore.J’émince des oignons avec précaution encore un peu gauche dans mes mouvements de cuisinière. Je les mets dans le plat et essuie le couteau contre mon tablier blanc dont je comprends l’utilité depuis que je suis aux fourneaux et au ménage. D’ailleurs, il faut que j’ose en demandé un ou deux de plus à mon maître, j’ai du mal à être toujours impeccable devant lui. Je place les filet de poisson par dessus les oignons émincés que je saupoudre de noix de coco râpée que je mélange aux épices et j'ajoute le lait de coco je couvre le plat de papier sulfurisé et je mets le plat au four et un petit peu avant que ce soit près il ne me restera plus qu'à faire cuire le riz je surveille la cuisson du four pour voir si ca ne brûle pas pendant que je m'attaque à la préparation de l'entrée, et je finirai par le dessert; je n’ai pas de temps à perdre le timing est très court, je suis débordée. Je m’efforce de faire un bon repas pour mon maître, une fois que ce sera prêt il ne me restera plus qu'à bien présenter l'assiette pour qu'elle plaise à mon maître. même si cuisiner est loin d’être une passion, j’avoue une petite fierté à lui trouver des petits plats qu’il apprécie et j’ai toujours ce petit stress de savoir si ça lui plaira. Cette petite excitation égaie mes fourneaux. je préviens mon maître que le repas est prêt, le maître arrive et s’installe sur sa chaise , je lui annonce qu’en entrée il y aura un tartare de de crevettes mangue avocats, et que le plat sera un poisson aux épices et au lait de coco, et en dessert ce sera une soupe de fraise et je lui apporte son entrée (laquelle) sur un plateau, je pose le plateau et je mets l’assiette devant lui tout en me tenant le plus droit possible, une fois que j’ai posé l’assiette, je vais chercher la carafe de vin et je lui sers un verre je recule d'1 mètre et je reste droite comme un i sans bouger et les mains dans le dos, à chaque demande de mon maître je dois le servir,que ce soit lui couper du pain ou remplir son verre quand il est vide, je me tiens à sa disposition, rester debout fixement n'est pas de tout repos, ne pas bouger me fait mal aux pieds et l'attente est parfois longue et puis il y à les odeurs qui donnent faim, le maître veut que je sois silencieuse pendant qu il mange, une fois que mon maître a fini l'entrée, je le débarrasse par la gauche et file à la cuisine à petits pas pressés. Je balance tout dans l’évier et sprinte à dresser son plat. Je le sors du four, mets dans l’assiette, essaie de présenter au mieux mon poisson aux épices et au lait de coco dont je ne suis pas peu fière. Je lui apporte son plat, j’essaye de voir dans son regard si la présentation lui plait, je suis stressée, mon ventre se noue, je suis dans l’attente de savoir si le plat plaît à mon maître, est ce que j’ ai trop assaisonné? est ce qu e c est assez cuit? est ce que le plat est bon? Ces questions me tiraillent, il commente rarement mes plats, je scrute donc son visage discrètement du coin de l’oeil pour capter quelques signes. Il a le sourire, mange de bon coeur, je suis aux anges. Quel soulagement pour moi de l’avoir satisfait et d’être à la hauteur de ses attentes. Il me réclame deux fois de compléter son verre de blanc. Je m’avance près de lui, prend la bouteille sur la table et le sers de la façon la plus distinguée et appliquée dont je suis capable. Il reste un peu de riz et un peu de sauce alors qu’il s'essuie la bouche. C’est un peu écoeurant? j’espère que c’est juste que sa faim s’estompe. A son attitude, je comprends que je dois débarrasser, une fois encore, je reprends mon petit ballet, prenant son assiette et ses couverts avec soin, sentant sa main effleurer mes bas et remonter lentement. Je tarde un peu appréciant le contact, j’esquisse un sourire en sa direction qu’il me renvoie largement.
- T’es aussi bonne que ton plat.
- Merci maître. hésitant à rompre le contact mon regard l'interroge.
- Ne bouge pas.
Silencieuse j’obéis, restant dans ma position, l’assiette dans une main les couverts dans l’autre prête à les disposer dans l’assiette. figée, j'apprécie sa main qui joue maintenant avec la lisière de mes bas et la dentelle de l’ourlet de ma robe. Complètement immobile, je ressens quelques frissons et entrouvre la bouche de plaisir. Il le constate et satisfait il me libère d’une petite tape sur le cul.
- Vas-t-en.
Je vais poser l’assiette et les couverts dans l'évier et j’ouvre le frigo pour prendre la soupe de fraise, elle se trouve dans le bas du frigo, je me penche et je dandine mes fesses pour prendre le dessert, je me relève et j’apporte le dessert à mon maître, je le pose sur la table en esquissant un sourire, puis je recule d’1 mètre et je me remets bien droite, mon maître engloutit le dessert en moins de 2 minutes, et m’ordonne un café, je m'exécute et je vais préparer son café, je prends une tasse dans le meuble au dessus, et je la mets dans le présentoir de la machine à café, je prends une capsule et j’allume la machine à café, pendant que le café coule je mets mes mains sur le plan de travail je me frotte le mollet gauche avec mon pied droit et j'inverse après afin de soulager mes pieds qui me font souffrir, pendant ce temps là je me demande ce que je vais manger tout en contemplant mes mains manucurées, le café à fini de couler, je l’apporte à mon maître tout en remuant du cul, je pose la tasse sur la table et je me mets dans ma position de service toute droite , le maître boit son café , se lève et s'en va en m’ignorant totalement, je mets la tasse sur le plateau, je ramasse le bout de pain et l’eau que je mets sur le plateau et je vais mettre le plateau sur le plan de travail, je nettoie la table, à ce moment la j’ai tres faim, j’ai enfin l’autorisation de manger, j’ouvre le frigo et je prends le reste de pâte d’hier soir, que je mets dans le micro onde, il y a aussi une tranche de jambon blanc, une fois que mes pâtes sont chaudes je mets la tranche de jambon blanc et je mélange le tout , je suis debout en train de manger sur le plan de travail, mon verre est un vieux verre à moutarde, mes couverts sont ceux qui m’ont servie à préparer le repas de mon maître. Le contraste est immense, nous ne sommes pas du même rang et c’est bien normal alors que lui boit dans des verres à pieds et mange avec des couverts en argent dans des assiettes en matériaux nobles, moi je bouffe debout dans du IKEA. Bref, je finis par le dessert, j’ouvre le frigo et je prends un yaourt, seul léger plaisir dans mes repas faits de restes que je n’ai le droit d’arroser que d’eau plate du robinet.
C’est dur et frustrant mais je comprends tout à fait que ces contraintes me soient nécessaires pour me laisser à ce que je suis, je ne suis là que pour le servir et le satisfaire, je n’existe qu’à travers ça.
Adossée au frigo, les pieds croisés je rêvasse deux secondes en fixant l’horloge : 13h20, il me reste dix minutes pour lancer le lave-vaisselle et nettoyer ce qui doit l’être. Le rythme de mes journée est infernal, mais je mets toute mon énergie à être irréprochable. Je me secoue et enfile mes gants plastiques; il faut que je garde mes mains aussi douces et agréables que possible. Je range et brique en vitesse et lance le lave-vaisselle. Maintenant bien rodée, je maîtrise à peu près mon timing et fière de moi, je sors de ma cuisine à l’heure pétante stipulée dans mon planning. Quartier libre ou pas ? J’aurais la surprise. En tout cas, je ne dois pas déranger mon maître pour lui poser ce type de question. Je me dirige donc vers ma chambre prête à m’ennuyer et me reposer quelques temps. Avant même de poser le pieds sur la première marche de l’escalier monumental du hall d'entrée, je le vois arriver pour me parler. Respectueuse, je lâche la rampe, et repose mon pieds sur le carrelage pour lui faire face les mains croisées sur mon tablier souillé du service.
- Ton quartier libre est annulé, tu sais que tu dois être punie?
Mon sang se glace, mes mains deviennent moites, un frisson me parcourt la colonne vertébrale.
- Oui maître, j’en suis consciente.
- Suis-moi - Bien Maître.
Inquiète, je le suis à quelques pas me demandant bien ce qui m’attend mais sur de ne pas être épargnée. Les quelques punitions que j’ai déjà eu à subir ont chacune été cuisantes et rien que d’y penser, j’en ressens encore les stigmates.
Nous arrivons dans son bureau, je constate une chaise inhabituellement placée en face de son bureau.
- Déshabille-toi.
Silencieusement je m’exécute sans aucune pudeur, mon corps n’ayant plus aucun secret pour mon maître. je défais le flot de mon tablier au creux de mes reins et cherche où le poser. Je fais deux pas en avant et le pose sur l’accoudoir du chesterfield adossé au mur. Pendant ce temps, d’un calme et d’une prestance oppressante, mon maire s’installe à son bureau, me scrutant avec délectation.
- Tu as de belles jambes Noémie.
- Merci Maître.
- Tes talons te font toujours souffrir?
- Oui maître.
- Etonnant, tu t’y feras bien un jour.
Ma main dans mon dos cherche la fermeture de ma robe, je descend le zip jusqu’à mes reins et dégage mes bras. La robe en satin tombe à mes pieds. Précautionneuse, je plie ma robe qui rejoint mon tablier sur le magnifique canapé.
- Reste comme ça et approche-toi de la chaise.
Bizarrement, le chaise n’est pas positionnée face au bureau mais dos au bureau. Je m’interroge un peu, mais me doute que ca va faire servir à ma punition.
Alors que je m’approche bêtement, mon maître ouvre un tiroir de son bureau et en sort une boite noire. Mon rythme cardiaque s’accélère, qu’est-ce qui m’attends? je me demande ce qu’il y à t’il dans cette boîte noire? qu’est ce que me réserve mon maître ? est ce que ca va me faire très mal ?
Il se lève et ouvre la boite avec un sourire inquiétant. Il en sort un plug monumental. Je me liquéfie, les yeux me sortent de la tête. ce plug va m'écarter les fesses au point que ca sera tres ecarte, il va me déchirer l’anus, j’ai des sueurs froides j’ai peur d’avoir très mal, - Tu as peur?
- Oui maître, - C’est normal, mais tu comprend que tu dois être punie?
- Oui maître, - Donc tu vas m’obéir ?
- Oui maître,Mon maître s’approche de moi et pose sa main sur ma hanche, son visage à quelques centimètres du mien, il me regarde dans les yeux, je frémis.
- C’est bien, tu es une bonne soumise.
Il pose ses lèvres sur les miennes et me roule une pelle, sa langue ouvre ma bouche et cherche ma langue tout en tournant, nos langues s'emmêlent, je lui rends son baiser, c’est la 1ere fois avec mon maître et j’aime ce roulage de pelle, mon coeur bat à 100 à l’heure, j’ai des frissons qui parcourent mon corps, je ferme mes yeux et je me prends à rêver, c’est une sensation nouvelle que je n’avais encore jamais ressentie avec mon maître, continue un peu le bisou,Il rompt ce délicieux baiser d’un coup, mes lèvres cherchent encore les siennes, j’entrouvre les yeux encore pleins d’étoiles.
- Lèche le si tu ne veux pas avoir trop mal.
Je m’exécute et comme un petite chienne je parcours l’énorme plug de latex noir avec ma petite langue essayant d’y déposer un maximum de salive.
- ça ira comme ça.
Il le dépose sur l’assise de la chaise.
- Assis-toi dessus face au dossier.
J’ai peur de la douleur qui va surement être horrible à supporter mais j’obéis docilement à mon maître, je regarde mon maître toute inquiète et apeurée je m’approche de la chaise et j’écarte les jambes, je me mets au dessus du plug en latex, j’écarte les fesses avec mes mains pour bien positionner le cône, j’essaie de m'asseoir sur le plug mais il est trop gros et j’ai beaucoup de mal à essayer de le faire entrer dans mes fesses, la douleur est trop forte, je ne sais pas du tout comment faire pour que ca rentre et je sais que si je n’y arrive pas mon maître va s’énerver, je réessaie, ça me fait très mal, le plug est à peine entré que j’ai l’impression que ca me transperce les fesses et qu’elles sont toutes écartées, au toucher du plug avec ma main, je m'aperçois que je n’ai rentrée que la partie haute du plug qui est la moins large, à ce moment la je me demande comment je vais faire pour le faire entrer plus profondément dans mes fesses, le maître décide de m’aider et me met les genoux derrière le dossier de la chaise, mes mollets pendent dans le vide, mes nylons frottent contre le dossier de la chaise, la sensation des bas contre le dossier est agréable, et mes talons sont dans le vide, ca me tire dans les genoux, l’équilibre est précaire , la gravité fait que le plug s’enfonce un peu plus dans mes fesses, j’ai l’impression d'être transpercée, la douleur est horrible, je pose les mains sur l’assise par réflexe, le maître qui observe me donne un coup sur mes mains pour que je les enlève, je les enlève de l’assise et je les mets contre mes cuisses,, ce qui à pour effet immédiat de me faire encore plus mal, je serre les dents, Le maître sort une boite qui est dans un tiroir, la boite est rouge,, il me montre ce qu’il y à dans la boite, ce sont des pinces tétons avec des poids, je me doute que c’est pour moi, à mon regard apeuré il s’approche de moi, - C’est pour toi, - Pitié,Le maître me met les pinces sur mes tétons, ca me fait tres mal, mes tétons pointaient déjà avant mais avec les pinces ils sont très douloureux et les poids me tirent les seins, le maître tire sur les poids, ce qui me fait très mal, je serre encore plus les dents et je laisse éclater un cri de douleur, - Ca fait mal, pitié,Le maître arrête de tirer sur les poids et va ouvrir le tiroir,, il en sort une autre boite, elle est de couleur rose, il me montre ce qu’il y à dans la boite, il y à une corde le maître se rapproche de moi, - Mets tes mains dans le dos et colle les entre elle, et colle tes pieds aussi,J’obéis au maître et je mets mes mains collées entre elles dans le dos, à ce moment la le maître me lie les mains avec la corde en serrant très fort et en me tirant les bras, ca me fait très mal et j’ai l’impression d’avoir la circulation du sang bloquée, j’ai l’impression d'être un objet, le maître me laisse comme ca pendant plusieurs minutes sans rien dire, pendant ce temps là le plug s’enfonce de plus en plus en moi, j’ai le sentiment d'être écartelée,Le maître ouvre un autre tiroir et en sort une autre boite, elle est de couleur blanche, il me la montre également, il y a un bâillon bizarre avec un anneau et des tiges en métal, le maître s’approche de moi et me fait ouvrir grand la bouche, il me met le bâillon à anneau en métal dans la bouche et l’attache derrière ma tête en le serrant bien fort, le métal froid sur mes lèvres est désagréable,je ne peux plus parler, je ne fais plus que des bruits, il me laisse comme pendant plusieurs minutes, j’ai toujours très mal, Au bout d’un moment le maître ouvre un nouveau tiroir, il en sort une boite qui est bleue et me la montre, ce sont des boules de geisha, le maître s’approche et les mets dans ma chatte, une fois les boules bien en place le maître s'éloigne et va travailler sur son bureau tout en me laissant comme ça, je fais des bruits de douleur puis d’un seul coup je sens que les boules vibrent dans ma chatte, je suis surprise et je sursaute, je ne m’attendais pas du tout à ça, le maître me lance des vibrations régulièrement tout en augmentant la force de vibration, au début des vibrations cela me faisait mal mais au fur et à mesure des vibrations je commence à être humide et la douleur laisse place au plaisir, je bave beaucoup, je remue la tête et mes yeux sont grands ouverts à chaque vibration, j’ai hâte que la punition se termine, ce qui est paradoxal car à la fois je prends du plaisir et à la fois j’ai mal, ma respiration est rapide et saccadée, le cône est entré en moi du fait de la gravité de mon poids et des légers mouvements, les pinces à tétons me font toujours autant souffrir, je transpire , j’ai chaud, le maître me tire sur ma langue, il tire tellement fort que j’ai l’impression qu’elle va s’enlever de ma bouche, il tire aussi sur les poids qui sont sur mes seins, ce qui me fait bouger et horriblement mal, j’ai l’impression que mes tétons vont s’arracher, le maître appuie sur mes épaules pour que le cône rentre encore plus en moi, - tu as mal?
Je bouge la tête de haut en bas en faisant des bruits, - c’est supportable?
Je bouge la tête de gauche à droite en regardant le maître, - pourtant tu vas devoir supporter. j’espère que tu comprends que c’est pour ton bien.
Je bouge la tête doucement de haut en bas pour signifier au maître que j’ai compris que c’est pour mon bien, mais dans mon regard il peut lire que je ne supporte pas la situation, - Un peu de courage, encore une bonne heure avant que tu sois libérée. Pendant ce temps, médite à ta faute, et demande toi ce que tu vas mettre en place pour devenir une meilleure soumise.
Mon visage se crispe, je me dis que cette heure va durer une éternité, et je ne peux rien faire pour diminuer la douleur, je baisse la tête en signe de soumission, je croyais que la punition de l’autre fois était dure mais celle la est encore plus dure mentalement, tout ca pour ne pas avoir pu avaler le sperme de mon maître, à ce moment la un violent coup de vibreur retentit dans ma chatte, je bouge la tête, je souffre horriblement, par moment mes nerfs lâchent et je sanglote, le maître le voit et l’entend mais ne fait rien, c’est comme si c’était un robot dénué de sentiments, quand il est comme ca je le hais mais je n’ais pas d’autres choix que de subir comme une bonne soumise que je suis, je me dis que si seulement j’avais été une bonne soumise ce matin, je ne serais pas dans cette situation, la vibration intense et rythmée des boules de geisha me fait mouiller de plus en plus et j’arrive même à prendre du plaisir même si c’est incontrôlé, maintenant je suis bien dilatée des fesses même si j’ai mal et j’y prends un peu de plaisir à être remplie de partout, je sens mes sphincter s’ouvrir, j’ai des fourmis dans les jambes à force de ne pas bouger, la circulation sanguine est coupée par endroits, mes poignets sont très serrés et me font aussi mal que les menottes de la punition précédente, avec la fatigue ma vision se brouille, j’ai de plus en plus de mal à distinguer les choses, la perception de la vue et des bruits est diminuée, je sens que ma chatte mouille et coule, ma gorge est sèche, mes seins sont rouges et mes tétons pendentLe maître s’approche de moi, il enlève les boules de geisha et voit que ma chatte est trempée, je me dis que la punition touche à sa fin et j’attends la délivrance complète,ensuite il enlève une pince à téton tout en caressant mon sein, il retire la 2ème pince à tétons, l’effet est immédiat et mes seins me font encore mal à cause de l'afflux de sang, je fais des bruits de douleur, mes tétons sont très pendants, le maître détache le bâillon derrière ma tête et m'enlève le bâillon, j’ai à nouveau la bouche libre, cette sensation est agréable, j’ai soif, j’essaie de me faire de la salive, le maître me détache la corde, le sang circule à nouveau dans mes mains, les traces de la corde sont visibles sur mes poignets, le maître me dit que je peux enlever les jambes du dossier, j’en profite et les remue car elles sont toutes engourdies, le maître me dit de me lever, le plug reste en moi et me fait mal mais c’est la dernière des tortures qu’il me reste de la punition,le maître me dit de me relever pour m’enlever le plug, ca me fait terriblement mal,, il en profite pour regarder de combien le plug s’est enfoncé en moi, il me dit que je me suis enfoncé sur 19 cm de long et de 10 de large, le maître prend la base du plug pour commencer à me l’enlever de mes fesses, il commence tout juste à tirer mais ca me fait très mal je crie de douleur, j’en ai même des larmes de souffrance, j’ai l’impression qu’on arrache un truc de moi, le maître tire trop fort à mon goût sur le plug pour l’enlever, le maître m'enlève le plug, j'ai l’impression d'être libérée, mais j’ai l’impression que mon cul reste béant, que mes sphincters ne savent plus se refermer. J’ai mal, très mal, je vais mettre du temps à m’en remettre c’est sûr.
Le maître m'emmène devant la glace qui est dans son bureau et me dit de me regarderje suis dos au miroir et je tourne ma tête pour voir mes fesses, elles sont toutes écartées à cause du plug, elle me font énormément souffrir, mes poignets sont très marqués par la corde, le maquillage a coulé sur mon visage et je suis toute décoiffée, - Tu vois ce que ca fait de pas être une bonne soumise, ca t’apprendra. Ensuite, ton cul a bien travaillé, mais tu es encore trop étroite. Je te conseille de t’entrainer. Je vais te laisser le plug et tu l'utiliseras quand bon te semble, mais je veux voir du progrès. OK?
- Bien maître, - Donc je comptes sur toi pour t’élargir correctement ton petit cul. En attendant, tu ne ressembles plus à rien. Je te veux présentable dans mon bureau dans 40 minutes.
- Oui maître, Je sors du bureau du maître avec ma robe dans une main et avec le plug dans une autre main pour me diriger dans la salle de bain pour me rendre présentable, je me dandine, mes fesses me font souffrir. Quasi nue, mes seins ballottent beaucoup, je m’en aperçoit à cause des pinces qui m’ont traumatisé les tétons. Le point positif est que les fourmis dans mes jambes ont disparues. Je monte péniblement les premières marches de l’escalier. Une douche ne sera pas un luxe, je me sens poisseuse de transpiration. Revoyant l’énorme plug dans la main, je me demande encore comment mes fesses ont pu en accepter autant et je repense à cette horrible punition. J’ai été punie à cause de ma nullité à sucer mon maître correctement et suite à ma punition, il me dit que je suis trop étroite du cul et qu’il n’est pas satisfait. Ce n’est pas le tout d’essayer d’être la meilleure des bonniches, il faut que je mette au niveau sexuellement. Putain, bouge-toi ma vieille! Décidée, je me promets de faire les efforts nécessaires pour le combler sexuellement.