Soumise aux ordres de mon Maître. La maison close. Il est à moi, enfin !
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumise aux ordres de mon Maître. La maison close. Il est à moi, enfin !
Soumise aux ordres de mon Maître.
La maison close. Il est à moi, enfin !
(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
- S'il te plait Patrick, à toi, please, help ! Fais de moi ce que TU veux.
Et je parsème au ralenti son torse et son cou de baisers, lui toujours en moi.
Il me regarde, un sourire en coin. Il sait qu’il a gagné, que je suis sa chose.
- Supplie-moi ! Demande-moi de te prendre jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, que je n’en puisse plus ! Mais attention, si tu le fais, tu ne pourras revenir en arrière. Je n’arrêterai que quand j’aurai les bourses vides ! Relèves-tu le défi ?
J'entends tous les mots, il me semble bien comprendre l'ensemble mais je focalise sur "te prendre .... N’en puisses plus.... défi?".
Mon corps alangui, légèrement apaisé n'hésite pas à m'envoyer des messages, nerfs à fleur de peau, j'entends des oui venir de mes pieds, mes mains, mes cuisses, mes seins, ma petite chatte qui pleure. Ma tête dodeline un oui également :
- Oui Patrick, s'il te plait, oui, je suis à toi !
Je n'ai pas fini ma phrase qu'il se redresse, me sors de lui, ou l'inverse?
- Les filles, venez la tenir!
Je me retrouve plaquée dos sur le lit, la nuque repose sur le bord, Bras étendus et maintenus par la blonde d'un côté et la brune de l'autre. De leur autre main elles s'emparent chacune d'un sein, la troisième (forcément la rousse mais je ne la vois pas), s'est glissé entre mes jambes et nettoie la cyprine qui noie mon vagin, ses mains caressent mes cuisses.
Mon corps n'est plus du tout en veille. Il s'approche de ma bouche. Hummm ! Dans ce sens, j'ai une vue curieuse sur ses bourses.
Il approche donc sa verge, j'ouvre grand et je commence, comme je peux, une fellation curieuse, je ne peux pas caresser sa veine proéminente de ma langue, alors j'ose de très légers coups de dents, tout doux pour surtout ne pas faire mal mais provoquer quand même un petit frottement supplémentaire.
Je sens des bouches qui mordent mes seins... aïe!!!! Mais en même temps que la douleur, je sens une forte tension tirer sur mon ventre et inonder, encore, ma chatte. La troisième bouche essaie de me mordiller le clitoris, je veux hurler. Hurler de plaisir, d'envie et un peu de douleur, mais ma bouche est pleine, il va et vient, deux larmes, mon corps se tend à être dur comme un plateau de verre... mais aussi fragile. Je vais voler en éclats, il recule, je respire mieux, je bave, soubresauts.
- Plus fort les filles! Elle arrive!
Pas déjà!!!! SIIIIIIIIII ! J'implose à défaut de pouvoir exploser. Je crois que la rousse s'est pris un jet de ma liqueur, je pense avoir ressenti comme une éjaculation. Mes tétons doivent être violets de morsures. Mon ventre vit sa vie, il spasme sans contrôle.
Patrick se dégage, fait le tour du lit, tire sur mes jambes écartées et se place directement devant mon vagin, il s'introduit d'un seul coup franc, long, large, puissant, JOUISSIF !
Les vagues de mon orgasme n'ont pas fini de déferler sur mon ventre que je sens un nouveau raz de marée, encore plus puissant. Ma tête part de droite de gauche, je sens la sueur sur ma peau, des gouttes perlées de mon front, je crie :
- Patrick!! S'il te plait, encore, encore!
Mes bras sont toujours maintenus, je sens des mordillements sur toute la surface de mes seins, mon ventre, même mes bras. La rousse s'occupe d'une jambe qu'elle me maintient tendue et très écartées, elle aussi me mordille, mollet, côté du genou, bas de la cuisse.
Patrick me défonce littéralement, à ce rythme je vais craquer avant le lit. Il me semble qu'il butte encore plus loin en moi, il tire mon corps à lui comme pour me transpercer.
Il est tellement énorme en moi, je suis tellement trempée, c'est tellement bon. J'essaie de contenir la nouvelle déferlante, mais le barrage rompt ; hurlement, corps en transe comme en crise, je ne maîtrise plus rien, je ne suis que sensations, frissons, chaleur, lui, je suis à lui. Mon corps ne m’appartient plus, il a trouvé son Maître...
Il se retire, me sourit :
- Ce n'est pas fini Sophie ! Tu jouis trop vite, regarde-moi !
Mes yeux papillonnent, j'essaie de reprendre mon souffle, mais je suis comateuse.
- Sophie, regarde-moi... Bien ! Je veux ton cul maintenant !
Je suis crevée, mais je peux le faire, je le sais, je peux et surtout je veux. C'est un défi, je vais jouir, souffrir mais surtout jouir mais je ne cèderai pas.
Je hoche la tête.
- Dis-le Sophie !
Je toussote pour éclaircir ma voix après mes cris, me dégage une main, éponge mon front, écarte mes cheveux et je plonge mon regard vert, de femme assouvie, de femme qui en veut encore :
- Putain Patrick! Tu vas me défoncer la rondelle ou tu me prépares un thé ?!
OUAH!!!! Comment j'ai réussi à dire une phrase pareille ???!! Il retient un rire, mais le sourire reste longtemps sur son visage et dans ses yeux qui pétillent de malice... il sait, il sait ce qu'il fait de moi.
Je suis à nouveau manipulée, une marionnette dans les mains des trois taupes. On me place genoux écartés sur le bord du lit, les fesses bien montées, le visage et la poitrine écrasés sur le matelas.
Elles croisent mes bras dans le dos pour que chacune de mes mains tiennent un coude.
Je suis maintenue, je sens des ongles qui griffent le côté de mes seins, une main qui m'appuie sur les reins, et deux autres qui séparent mes globes fessiers pour montrer ma raie, Il doit voir les traces de mon précédent orgasme s'écouler le long de mes cuisses.
Un doigt force mon anneau. La sodomie n'est pas du tout une pratique que je maîtrise mais il me donne tellement envie d'être entièrement à lui.
J'entends les filles se moquer... Pourquoi?
Je sens que l'on me verse un liquide dans la raie pour noyer ma petite porte, et deux doigts s'activent. Mais ça chauffe terriblement, je geins :
- C'est quoi????
- Un lubrifiant agrémenté d'ingrédients comme piment, gingembre.
Ça me chauffe et me donne envie de pousser, de bouger, je sens la montée du désir, de l'envie qui se fait fulgurante, mon corps se réveille, un doigt vient caresser mon clitoris.
Oulala ! C'était juste pour me badigeonner de ce produit. Mon bouton doit doubler de volume et rougir, ça me chauffe, mon ventre repart dans des délires d'indépendance, il se creuse, se crispe, mouvements du périnée, je veux, je veux !
- Patrick!!!! Je veux ta bite! Vite, je veux que tu me prennes, que tu me remplisses, que tu m'arroses, viens éteindre ce feu!
Il me perfore à nouveau la chatte, quelques trajets pour bien se recouvrir de mes envies.
Il place son gland d'amour (hummm, le mien! Il est à moi!) devant ma rondelle, appuie, tapote, glisse, appuie, imprime de petits mouvements rotatifs et appuie plus fort.
Oui, il est rentré ! C'est chaud, c'est bon ! Je suis percée, il est gros, je voudrais m'enlever mais mon corps va à sa rencontre, je gémis plus fort :
- Aïe, Aïe, Aïe ! Patrick, t'es trop gros ! Vas-y doucement bordel !
Petits sanglots, ça brûle, j'ai chaud, il teste la résistance de mon anneau, petits mouvements, Aïe.
Toutes ces sensations, je me sens oxymore : Bonne douleur, souffrance orgasmique...
Le paradoxe brouille mon cerveau. Je suis incapable d'analyser les centaines d'informations que mon corps m'envoie : oui, seins, pincements, griffures, épaules, douleur, mains, trop de mains, clitoris rouge, bon mal, liquide, mon cul, tremblements, muscles tétanisés, cris, les miens, sa queue, son braquemart, son pieu, mon objet de plaisir.
Et dans un délire, mon cerveau s'éteint, je deviens une boule de terminaisons nerveuses toutes excitées, et encore sollicitées.
Il poursuit sa pénétration, ses mains tiennent mes hanches, il reste prudent pour l'instant mais il progresse.
- C'est ce que tu voulais Sophie? Je continue ?
- Hum, Oui!!, Je suis à toi ! Prend tout de moi... Oui, Patrick ! Au fond, donne-moi tout de toi.
Et il se lâche enfin, je sens ses couilles en contact avec mes fesses. Il est en moi, entièrement.
Je ne sais plus ce que je ressens physiquement, mon cerveau a repris du service et me hurle en dansant la gigue "Il est à toi!!! Tu l'as fait!!! Il est en toi!!! Tout en toi!!!".
Je savoure ce moment de plénitude et me rassemble autour de lui. Moi tout entier, mon cerveau, mon corps, mon plaisir, ma douleur, mes envies, mes besoins, je deviens La Femme.
- Ne me ménage pas Patrick !
Et comme si ça ne suffisait pas, une fille se débrouille pour s’occuper de ma chatte esseulée et une autre me fait goûter la sienne. Quel pied !
Il m'a entendu, ses doigts se referment plus fort sur mes hanches et il part dans un délire bestial de copulation. C'est horriblement bon, l'accouplement d'un Etalon qui ne veut plus que son plaisir.
Mon corps n'est que le réceptacle de ses besoins hors normes. Il me défonce, me secoue, je m'arcboute pour résister à ses assauts.
- Patrick, s'il te plait, Patrick, encore, plus fort, plus loin, éclate moi, donne moi tout!
Il rugit, accélère encore et un orgasme monte de mes reins.
- Patrick, Maintenant!!!
Encore trois allers-retours d'une puissance incroyable, et il s'enfonce pour éjaculer, enfin, en de longs jets, il hurle, je hurle, l'orgasme qui se préparait est parti dans toutes les directions : montée de la colonne jusque dans ma nuque, dans le ventre, mes seins, mon vagin, oh mon bouton d'amour, mes orteils, mes mains qui se crispent.
C'est bon, long, mon corps s'affaisse sous son poids, il est encore en moi mais totalement allongé.
Les filles sont parties, je ne sais pas si il leur a dit, fait signe ou si c'était prévu. Je suis heureuse d'être seule avec lui, enfin.
J’essaie de tourner un peu plus la tête pour effleurer sa joue de mes lèvres, du bout de la langue, je goûte sa sueur. Un long soupir de satisfaction, de plénitude s'échappe, je suis enfin bien, enfin moi entière.
Je l’entends dire une chose alors qui me tétanise :
-Bien ! On en a fini avec les amuse-bouche. Maintenant, je vais attaquer le plat de résistance !
Tu te souviens, Sophie ? Tu as juré que je pouvais continuer jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Et c’est loin d’en être le cas. Regarde !
Je reprends enfin une position verticale et admire son bélier toujours dressé.
Je vais encore déguster !!!
Mais là, cette une autre histoire !
Je lui ai fait mon dernier rapport et j’ai enfin son numéro de téléphone en entier. Je l’appelle tous les jours pour le supplier de recommencer mais il me fait languir. Il faudrait que je connaisse son adresse...
Mais si pour l’obtenir, je dois encore en passer par tout plein d’épreuves encore plus chaudes les unes que les autres, je ne sais pas si j’en aurai la force.
Fin de cette aventure.
Ps : En épilogue de cette histoire, j’ai demandé à « Sophie » de m’écrire comment elle a vécu l’écriture de cette histoire, ce qu’elle en a retiré, comment elle c’est libérée.
Vous trouverez ce qu’elle m’a répondu sur :
Le dernier rapport de Sophie.
Mlkjhg39
La maison close. Il est à moi, enfin !
(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
- S'il te plait Patrick, à toi, please, help ! Fais de moi ce que TU veux.
Et je parsème au ralenti son torse et son cou de baisers, lui toujours en moi.
Il me regarde, un sourire en coin. Il sait qu’il a gagné, que je suis sa chose.
- Supplie-moi ! Demande-moi de te prendre jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, que je n’en puisse plus ! Mais attention, si tu le fais, tu ne pourras revenir en arrière. Je n’arrêterai que quand j’aurai les bourses vides ! Relèves-tu le défi ?
J'entends tous les mots, il me semble bien comprendre l'ensemble mais je focalise sur "te prendre .... N’en puisses plus.... défi?".
Mon corps alangui, légèrement apaisé n'hésite pas à m'envoyer des messages, nerfs à fleur de peau, j'entends des oui venir de mes pieds, mes mains, mes cuisses, mes seins, ma petite chatte qui pleure. Ma tête dodeline un oui également :
- Oui Patrick, s'il te plait, oui, je suis à toi !
Je n'ai pas fini ma phrase qu'il se redresse, me sors de lui, ou l'inverse?
- Les filles, venez la tenir!
Je me retrouve plaquée dos sur le lit, la nuque repose sur le bord, Bras étendus et maintenus par la blonde d'un côté et la brune de l'autre. De leur autre main elles s'emparent chacune d'un sein, la troisième (forcément la rousse mais je ne la vois pas), s'est glissé entre mes jambes et nettoie la cyprine qui noie mon vagin, ses mains caressent mes cuisses.
Mon corps n'est plus du tout en veille. Il s'approche de ma bouche. Hummm ! Dans ce sens, j'ai une vue curieuse sur ses bourses.
Il approche donc sa verge, j'ouvre grand et je commence, comme je peux, une fellation curieuse, je ne peux pas caresser sa veine proéminente de ma langue, alors j'ose de très légers coups de dents, tout doux pour surtout ne pas faire mal mais provoquer quand même un petit frottement supplémentaire.
Je sens des bouches qui mordent mes seins... aïe!!!! Mais en même temps que la douleur, je sens une forte tension tirer sur mon ventre et inonder, encore, ma chatte. La troisième bouche essaie de me mordiller le clitoris, je veux hurler. Hurler de plaisir, d'envie et un peu de douleur, mais ma bouche est pleine, il va et vient, deux larmes, mon corps se tend à être dur comme un plateau de verre... mais aussi fragile. Je vais voler en éclats, il recule, je respire mieux, je bave, soubresauts.
- Plus fort les filles! Elle arrive!
Pas déjà!!!! SIIIIIIIIII ! J'implose à défaut de pouvoir exploser. Je crois que la rousse s'est pris un jet de ma liqueur, je pense avoir ressenti comme une éjaculation. Mes tétons doivent être violets de morsures. Mon ventre vit sa vie, il spasme sans contrôle.
Patrick se dégage, fait le tour du lit, tire sur mes jambes écartées et se place directement devant mon vagin, il s'introduit d'un seul coup franc, long, large, puissant, JOUISSIF !
Les vagues de mon orgasme n'ont pas fini de déferler sur mon ventre que je sens un nouveau raz de marée, encore plus puissant. Ma tête part de droite de gauche, je sens la sueur sur ma peau, des gouttes perlées de mon front, je crie :
- Patrick!! S'il te plait, encore, encore!
Mes bras sont toujours maintenus, je sens des mordillements sur toute la surface de mes seins, mon ventre, même mes bras. La rousse s'occupe d'une jambe qu'elle me maintient tendue et très écartées, elle aussi me mordille, mollet, côté du genou, bas de la cuisse.
Patrick me défonce littéralement, à ce rythme je vais craquer avant le lit. Il me semble qu'il butte encore plus loin en moi, il tire mon corps à lui comme pour me transpercer.
Il est tellement énorme en moi, je suis tellement trempée, c'est tellement bon. J'essaie de contenir la nouvelle déferlante, mais le barrage rompt ; hurlement, corps en transe comme en crise, je ne maîtrise plus rien, je ne suis que sensations, frissons, chaleur, lui, je suis à lui. Mon corps ne m’appartient plus, il a trouvé son Maître...
Il se retire, me sourit :
- Ce n'est pas fini Sophie ! Tu jouis trop vite, regarde-moi !
Mes yeux papillonnent, j'essaie de reprendre mon souffle, mais je suis comateuse.
- Sophie, regarde-moi... Bien ! Je veux ton cul maintenant !
Je suis crevée, mais je peux le faire, je le sais, je peux et surtout je veux. C'est un défi, je vais jouir, souffrir mais surtout jouir mais je ne cèderai pas.
Je hoche la tête.
- Dis-le Sophie !
Je toussote pour éclaircir ma voix après mes cris, me dégage une main, éponge mon front, écarte mes cheveux et je plonge mon regard vert, de femme assouvie, de femme qui en veut encore :
- Putain Patrick! Tu vas me défoncer la rondelle ou tu me prépares un thé ?!
OUAH!!!! Comment j'ai réussi à dire une phrase pareille ???!! Il retient un rire, mais le sourire reste longtemps sur son visage et dans ses yeux qui pétillent de malice... il sait, il sait ce qu'il fait de moi.
Je suis à nouveau manipulée, une marionnette dans les mains des trois taupes. On me place genoux écartés sur le bord du lit, les fesses bien montées, le visage et la poitrine écrasés sur le matelas.
Elles croisent mes bras dans le dos pour que chacune de mes mains tiennent un coude.
Je suis maintenue, je sens des ongles qui griffent le côté de mes seins, une main qui m'appuie sur les reins, et deux autres qui séparent mes globes fessiers pour montrer ma raie, Il doit voir les traces de mon précédent orgasme s'écouler le long de mes cuisses.
Un doigt force mon anneau. La sodomie n'est pas du tout une pratique que je maîtrise mais il me donne tellement envie d'être entièrement à lui.
J'entends les filles se moquer... Pourquoi?
Je sens que l'on me verse un liquide dans la raie pour noyer ma petite porte, et deux doigts s'activent. Mais ça chauffe terriblement, je geins :
- C'est quoi????
- Un lubrifiant agrémenté d'ingrédients comme piment, gingembre.
Ça me chauffe et me donne envie de pousser, de bouger, je sens la montée du désir, de l'envie qui se fait fulgurante, mon corps se réveille, un doigt vient caresser mon clitoris.
Oulala ! C'était juste pour me badigeonner de ce produit. Mon bouton doit doubler de volume et rougir, ça me chauffe, mon ventre repart dans des délires d'indépendance, il se creuse, se crispe, mouvements du périnée, je veux, je veux !
- Patrick!!!! Je veux ta bite! Vite, je veux que tu me prennes, que tu me remplisses, que tu m'arroses, viens éteindre ce feu!
Il me perfore à nouveau la chatte, quelques trajets pour bien se recouvrir de mes envies.
Il place son gland d'amour (hummm, le mien! Il est à moi!) devant ma rondelle, appuie, tapote, glisse, appuie, imprime de petits mouvements rotatifs et appuie plus fort.
Oui, il est rentré ! C'est chaud, c'est bon ! Je suis percée, il est gros, je voudrais m'enlever mais mon corps va à sa rencontre, je gémis plus fort :
- Aïe, Aïe, Aïe ! Patrick, t'es trop gros ! Vas-y doucement bordel !
Petits sanglots, ça brûle, j'ai chaud, il teste la résistance de mon anneau, petits mouvements, Aïe.
Toutes ces sensations, je me sens oxymore : Bonne douleur, souffrance orgasmique...
Le paradoxe brouille mon cerveau. Je suis incapable d'analyser les centaines d'informations que mon corps m'envoie : oui, seins, pincements, griffures, épaules, douleur, mains, trop de mains, clitoris rouge, bon mal, liquide, mon cul, tremblements, muscles tétanisés, cris, les miens, sa queue, son braquemart, son pieu, mon objet de plaisir.
Et dans un délire, mon cerveau s'éteint, je deviens une boule de terminaisons nerveuses toutes excitées, et encore sollicitées.
Il poursuit sa pénétration, ses mains tiennent mes hanches, il reste prudent pour l'instant mais il progresse.
- C'est ce que tu voulais Sophie? Je continue ?
- Hum, Oui!!, Je suis à toi ! Prend tout de moi... Oui, Patrick ! Au fond, donne-moi tout de toi.
Et il se lâche enfin, je sens ses couilles en contact avec mes fesses. Il est en moi, entièrement.
Je ne sais plus ce que je ressens physiquement, mon cerveau a repris du service et me hurle en dansant la gigue "Il est à toi!!! Tu l'as fait!!! Il est en toi!!! Tout en toi!!!".
Je savoure ce moment de plénitude et me rassemble autour de lui. Moi tout entier, mon cerveau, mon corps, mon plaisir, ma douleur, mes envies, mes besoins, je deviens La Femme.
- Ne me ménage pas Patrick !
Et comme si ça ne suffisait pas, une fille se débrouille pour s’occuper de ma chatte esseulée et une autre me fait goûter la sienne. Quel pied !
Il m'a entendu, ses doigts se referment plus fort sur mes hanches et il part dans un délire bestial de copulation. C'est horriblement bon, l'accouplement d'un Etalon qui ne veut plus que son plaisir.
Mon corps n'est que le réceptacle de ses besoins hors normes. Il me défonce, me secoue, je m'arcboute pour résister à ses assauts.
- Patrick, s'il te plait, Patrick, encore, plus fort, plus loin, éclate moi, donne moi tout!
Il rugit, accélère encore et un orgasme monte de mes reins.
- Patrick, Maintenant!!!
Encore trois allers-retours d'une puissance incroyable, et il s'enfonce pour éjaculer, enfin, en de longs jets, il hurle, je hurle, l'orgasme qui se préparait est parti dans toutes les directions : montée de la colonne jusque dans ma nuque, dans le ventre, mes seins, mon vagin, oh mon bouton d'amour, mes orteils, mes mains qui se crispent.
C'est bon, long, mon corps s'affaisse sous son poids, il est encore en moi mais totalement allongé.
Les filles sont parties, je ne sais pas si il leur a dit, fait signe ou si c'était prévu. Je suis heureuse d'être seule avec lui, enfin.
J’essaie de tourner un peu plus la tête pour effleurer sa joue de mes lèvres, du bout de la langue, je goûte sa sueur. Un long soupir de satisfaction, de plénitude s'échappe, je suis enfin bien, enfin moi entière.
Je l’entends dire une chose alors qui me tétanise :
-Bien ! On en a fini avec les amuse-bouche. Maintenant, je vais attaquer le plat de résistance !
Tu te souviens, Sophie ? Tu as juré que je pouvais continuer jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Et c’est loin d’en être le cas. Regarde !
Je reprends enfin une position verticale et admire son bélier toujours dressé.
Je vais encore déguster !!!
Mais là, cette une autre histoire !
Je lui ai fait mon dernier rapport et j’ai enfin son numéro de téléphone en entier. Je l’appelle tous les jours pour le supplier de recommencer mais il me fait languir. Il faudrait que je connaisse son adresse...
Mais si pour l’obtenir, je dois encore en passer par tout plein d’épreuves encore plus chaudes les unes que les autres, je ne sais pas si j’en aurai la force.
Fin de cette aventure.
Ps : En épilogue de cette histoire, j’ai demandé à « Sophie » de m’écrire comment elle a vécu l’écriture de cette histoire, ce qu’elle en a retiré, comment elle c’est libérée.
Vous trouverez ce qu’elle m’a répondu sur :
Le dernier rapport de Sophie.
Mlkjhg39
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire
N°186: Il l'a complètement dépravée.
Dommage que cette saga soit fini, j'attendais avec impatiente les nouveaux épisodes.
Peut-être une suite?
Peut-être une suite?