soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala)
soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode précédent N°1367) -
C’est pleine de pisse et puante que je me remets à quatre pattes et le cul levé que je commence à lécher de ma langue tout en m’appliquant le plus possible, pour rendre le parquet propre... Je n’ai aucune idée depuis combien de temps je lèche le sol, mais j’ai l’impression que la flaque ne diminue pas… Autour de moi, la soirée a repris, et j’entends un peu de partout des gémissements, des râles de jouissances, des fessées qui volent. Certains Dominants passent devant moi, et me crache dessus avant de m’insulter sur un ton dégradant et blessant de « chienne puante », de « sale souillonne » ou de « grosse cochonne » et autres noms d’oiseaux comme Monsieur le Marquis leur a clairement dit de ne pas se gêner à me traiter verbalement ainsi... Mais je dois reconnaitre que ces humiliations m’ont énormément excitée, et malgré mon souhait de me faire prendre à même le sol, là, comme une chienne en chaleurs et de jouir, je m’applique le plus possible à ma tâche, pour ne pas provoquer le courroux du Noble envers moi. La pisse commence à sécher sur moi et l’odeur devient vraiment très forte, nauséabonde pourtant je suis fière et heureuse de l’honneur que le Maitre m’ait honoré à me pisser dessus, de lui avoir servie d’urinoir, mais aussi d’avoir était marquée par Son empreinte, l’urine du Maitre, en plus de Sa noble semence...
Mais je commence à fatiguer de lécher cette flaque, pourtant j’en suis presque à la fin, mais la douleur à ma mâchoire me fait baisser un peu d’entrain. C’est quand j’aperçois les pieds du Maitre devant moi, que je me doute qu’il a remarqué que j’ai ralenti mon labeur. Monsieur le Marquis appuie donc doucement derrière mon crâne avec Sa chaussure pour bien m’enfoncer la tête dans ma pisse, avant de retirer Sa ceinture de cuir, qui je le comprends, va être utilisée pour me fouetter avec. Malgré tout, je me suis déjà fait fouetter plus tôt, donc le Maitre n’y va pas trop fort, mais assez pour je ressente les coups, et pour me faire regretter d’avoir baissé d’entrain à nettoyer le vieux parquet ancestral et souillé par ma faute. C’est après dix coups de ceinture sur mon cul arrondi que le Maitre s’arrête, pour remettre Sa ceinture en place, tout en gardant Son pied sur ma tête.
- Tu souilles mon beau parquet, et tu ralentis ton travail à le nettoyer. Tu as intérêt à te dépêcher de finir, car par la faute à y mettre moins d’énergie, il ne te reste plus beaucoup de temps. Et ce n’est pas une raison pour bâcler le nettoyage, tu as intérêt à le nettoyer le plus propre possible, tu as 15 minutes et pas plus. Et chaque minute de retard te vaudra 5 coups de ceinture. Mais avant de remettre à ta tache et de commencer ton décompte, tu vas venir en rampant dans ce qu’il reste de pisse et nettoyer mes chaussures souillées par ta faute.
Je m’allonger donc dans la flaque de pisse et commence à ramper pour arriver aux pieds du Maitre, qui sait un peu éloigné de moi. J’entends Monsieur le Marquis parler avec un ami à Lui. Ils parlent ensemble de tout et de rien, sans s’intéresser à moi, comme si cette situation et des plus normale. Malgré le fait de détester être ignorée, et de trouver ça humiliant, je fais mon possible pour m’appliquer le plus possible, passant ma langue sur le dessus du cuir. C’est sans rien dire que le Noble se détourne de moi et je comprends donc que Ses chaussures sont assez propres… N’ayant pas reçu d’ordre spécifique, je retourne à quatre pattes, nettoyer ma flaque de pisse. Cette fois je m’applique le plus possible et je ne faiblis pas, malgré la douleur à ma mâchoire, me sachant observée, surveillée par le Châtelain, mais aussi sachant que j’ai une limite de temps. J’arrive enfin à terminer ma tâche, le parquet est propre, on ne voit même pas qui est arrivé. J’espère ne pas avoir dépassé le temps qui m’était imposé pour finir. Ne sachant quoi faire, je me mets à genoux en position d’attente. Et j’attends que le Maître daigne venir s’occuper de moi. Cette attente me permet de reposer un peu ma mâchoire, mais j’avoue d’avoir sorti toute cette salive pour lécher le sol m’a vraiment donné soif... Comme si le Noble avait lu dans mes pensées, j’aperçois Walter devant moi avec une gamelle remplie d’eau qu’il dépose parterre, devant moi. C’est avec un claquement de doigts sec que je reçois l’autorisation de boire à quatre pattes comme une chienne. Il m’est difficile d’étancher ma soif, ne pouvant laper que de petite quantité d’eau avec ma langue, mais une fois finie, je me remets à genoux et je remarque que Walter n’est plus là...
- Bien, Ma petite chienne puante, il est déjà tard, tu vas aller remercier chacun des Dominants, ici présents venus à cette soirée, en allant lécher leurs chaussures, et en leur disant merci d’être venus en position agenouillée et tête baissée devant chacun d’eux. Ensuite, tu reviendras à Mes pieds. Ce soir, tu auras la chance de dormir à Mes pieds, mais avant de pouvoir dormir, tu seras utilisée à te faire prendre comme une bonne chienne par Mon Joyau. Aller va exécution, petite salope qui pue et dépêche-toi …
Je n’ai pas entendu Monsieur le Marquis arriver derrière moi, c’est pourquoi j’ai un léger sursaut au début. C’est ainsi à quatre pattes que je me promène dans la salle et que je m’arrête aux pieds de chaque Dominante ou Dominant, et je me mets à genoux mains derrière le dos et attend de recevoir la parole. Certain me la donne juste avec un signe de tête, d’autre verbalement tout en me rappelant combien je suis une chienne puante, que j’empeste la pisse, que je suis une souillonne, un sac à pisse... C’est après les avoir tous remercié que je me prosterne et leur lèche les pieds à chacun (une). J’ai fait ainsi cela avec tous les Dominants présents à cette soirée, soit une vingtaine de personnes. Je me promène à quatre pattes et je cherche les pieds du Noble, ce n’est qu’une arrivée devant Lui que je m’y prosterne, heureuse d’être revenue à ma place, aux pieds du Maitre. C’est un laconique « Aux pieds, Ma chienne » qui me fait suivre le Maitre qui a commencer à avancer. Je le suis à quatre pattes, jusqu’à Sa chambre.
- Ma salope de chienne puante, tu as été une bonne chienne ce soir, malgré ta faute à avoir pissé sur Mon beau parquet. Je te rappelle tout de même que ce parquet multi-centenaire a été foulé par le fameux Marquis de Sade lui-même (Lire les Origines de la Saga)… Tu vas passer à la douche, pour commencer car tu vas dormir à Mes pieds, dans mon lit, mais je vais te prendre avant, et te voir te balader dans ton état de chienne puante et t’observer en train de lécher Mon parquet, eh bien ça m’a fait bander ! Mais je ne vais pas m’abaisser à baiser une souillonne qui pue la pisse.
Je suis donc Monsieur le Marquis dans la salle de bains. Je rentre dans la douche, alors que je m’attends à de l’eau froide, c’est de l’eau chaude qui me tombe dessus, et je sens la présence du Maitre derrière moi. La pisse à sécher sur moi, et je suis toute collante et nauséabonde. Le Maitre me fait l’honneur de me laver, comme un maître laverait son chien (l’animal). Il me frotte délicatement, pour ne pas me faire mal avec toutes les zébrures sur mon corps. C’est une fois bien savonnée, frottée et rincée, cheveux aussi lavés, que je suis d’abord plaquée face contre le mur carrelé. Le Maître exige que je me cambre bien le cul et que j’écarte les chevilles le plus possible en prenant appuie de mes deux mains levées contre le mur. Ainsi positionnée, le Noble prend possession de ma chatte trempée par derrière, alors que Ses deux mains passées autour de ma taille viennent pincer mes tétons dressés quand je sens Sa Verge durcie me pénétrer entre mes lèvres intimes. Il me besogne rapidement, Ses coups de reins sont puissants et virils. Il prend possession de ce qui Lui appartient par cette saillie vaginale profonde. Il me besogne ainsi un long moment quand je sens le Maitre se vider en moi. Je n’ai pas reçu d’autorisation de jouir...
- Va m’attendre à genoux sur le tapis de bains pendant que je me lave, Ma salope de chienne…
Je sors donc de la douche et me je mets à genoux sur le tapis de bain qui se trouve près d’une grande cheminée moderne car l’âtre est vitré. Je sens donc aisément la chaleur dans la pièce ce qui fait que je n’ai pas froid. Quand le Châtelain sort de la douche, Il exige que je vienne Le sécher avec Sa longue serviette de bain. Je le fais délicatement, heureuse de cette immense chance, alors je m’applique à ne pas frotter le Maitre trop fort. Il me laisse après me sécher avec Sa serviette… Une fois dans la chambre du Maitre, Il me remet un collier, visiblement ce n’est pas le mien, mais je me doute que c’est en attendant que le mien puant la pisse soit lavé et débarrassé de l’odeur…. C’est appelée dans le lit du Maitre à dormir à Ses pieds que je me roule en boule aux pieds du lit, collée le plus possible aux pieds de Monsieur le Marquis. Même si je suis très fatiguée de cette journée et soirée, je ne m’endors pas tout de suite car mes pensées partent vers un souhait que j’ai depuis déjà longtemps, dont il faut que je parle au Maitre le plus rapidement possible. N’étant pas encore une soumise MDE, je ne sais pas si c’est possible, mais cette soirée m’a encore plus confirmer combien je suis heureuse aux pieds du Noble. L’appréhension d’une réponse négative m’empêche de dormir. Et c’est quand le Maitre vient pour me réveiller en plein milieu de la nuit, sûrement pour prendre possession de moi, qu’il me voit toujours éveillée.
- A genoux Ma chienne, et dis-moi ce qui te tracasse au point de ne pas dormir ?
C’est en me m’étant à genoux que je vois encore combien le Maitre me connait si bien. Il sait quand je ne dors pas c’est que je ressasse quelque chose dans mon esprit.
- Maitre Vénéré, merci de me donner la possibilité de Vous exprimer ce qui me préoccupe. Je sais ne pas être encore une soumise MDE, mais je sais que je souhaite rester à Vos pieds, à vie. Je sais combien Vous m’êtes précieux, combien j’ai besoin de Vous et de soumission ressentie par Votre Domination, pour mon équilibre et mon bien-être. Cette soirée, elle m’a encore plus démontré, une fois de plus, que je suis heureuse et épanouie à Vos pieds, que c’est là, ma seule place qui m’est naturelle, évidente... Mais bref, je souhaiterai Maitre Vénéré, s’il vous plait, un nouveau tatouage, mais que ce tatouage ça soit mon premier tatouage en rapport avec ma soumission, être à jamais marquée comme Votre propriété, pas que dans mon esprit, mais aussi sur mon corps qui est Votre. J’espère Maitre, que vous m’en trouvez digne et que vous serez d’accord ? …
(A suivre …)
C’est pleine de pisse et puante que je me remets à quatre pattes et le cul levé que je commence à lécher de ma langue tout en m’appliquant le plus possible, pour rendre le parquet propre... Je n’ai aucune idée depuis combien de temps je lèche le sol, mais j’ai l’impression que la flaque ne diminue pas… Autour de moi, la soirée a repris, et j’entends un peu de partout des gémissements, des râles de jouissances, des fessées qui volent. Certains Dominants passent devant moi, et me crache dessus avant de m’insulter sur un ton dégradant et blessant de « chienne puante », de « sale souillonne » ou de « grosse cochonne » et autres noms d’oiseaux comme Monsieur le Marquis leur a clairement dit de ne pas se gêner à me traiter verbalement ainsi... Mais je dois reconnaitre que ces humiliations m’ont énormément excitée, et malgré mon souhait de me faire prendre à même le sol, là, comme une chienne en chaleurs et de jouir, je m’applique le plus possible à ma tâche, pour ne pas provoquer le courroux du Noble envers moi. La pisse commence à sécher sur moi et l’odeur devient vraiment très forte, nauséabonde pourtant je suis fière et heureuse de l’honneur que le Maitre m’ait honoré à me pisser dessus, de lui avoir servie d’urinoir, mais aussi d’avoir était marquée par Son empreinte, l’urine du Maitre, en plus de Sa noble semence...
Mais je commence à fatiguer de lécher cette flaque, pourtant j’en suis presque à la fin, mais la douleur à ma mâchoire me fait baisser un peu d’entrain. C’est quand j’aperçois les pieds du Maitre devant moi, que je me doute qu’il a remarqué que j’ai ralenti mon labeur. Monsieur le Marquis appuie donc doucement derrière mon crâne avec Sa chaussure pour bien m’enfoncer la tête dans ma pisse, avant de retirer Sa ceinture de cuir, qui je le comprends, va être utilisée pour me fouetter avec. Malgré tout, je me suis déjà fait fouetter plus tôt, donc le Maitre n’y va pas trop fort, mais assez pour je ressente les coups, et pour me faire regretter d’avoir baissé d’entrain à nettoyer le vieux parquet ancestral et souillé par ma faute. C’est après dix coups de ceinture sur mon cul arrondi que le Maitre s’arrête, pour remettre Sa ceinture en place, tout en gardant Son pied sur ma tête.
- Tu souilles mon beau parquet, et tu ralentis ton travail à le nettoyer. Tu as intérêt à te dépêcher de finir, car par la faute à y mettre moins d’énergie, il ne te reste plus beaucoup de temps. Et ce n’est pas une raison pour bâcler le nettoyage, tu as intérêt à le nettoyer le plus propre possible, tu as 15 minutes et pas plus. Et chaque minute de retard te vaudra 5 coups de ceinture. Mais avant de remettre à ta tache et de commencer ton décompte, tu vas venir en rampant dans ce qu’il reste de pisse et nettoyer mes chaussures souillées par ta faute.
Je m’allonger donc dans la flaque de pisse et commence à ramper pour arriver aux pieds du Maitre, qui sait un peu éloigné de moi. J’entends Monsieur le Marquis parler avec un ami à Lui. Ils parlent ensemble de tout et de rien, sans s’intéresser à moi, comme si cette situation et des plus normale. Malgré le fait de détester être ignorée, et de trouver ça humiliant, je fais mon possible pour m’appliquer le plus possible, passant ma langue sur le dessus du cuir. C’est sans rien dire que le Noble se détourne de moi et je comprends donc que Ses chaussures sont assez propres… N’ayant pas reçu d’ordre spécifique, je retourne à quatre pattes, nettoyer ma flaque de pisse. Cette fois je m’applique le plus possible et je ne faiblis pas, malgré la douleur à ma mâchoire, me sachant observée, surveillée par le Châtelain, mais aussi sachant que j’ai une limite de temps. J’arrive enfin à terminer ma tâche, le parquet est propre, on ne voit même pas qui est arrivé. J’espère ne pas avoir dépassé le temps qui m’était imposé pour finir. Ne sachant quoi faire, je me mets à genoux en position d’attente. Et j’attends que le Maître daigne venir s’occuper de moi. Cette attente me permet de reposer un peu ma mâchoire, mais j’avoue d’avoir sorti toute cette salive pour lécher le sol m’a vraiment donné soif... Comme si le Noble avait lu dans mes pensées, j’aperçois Walter devant moi avec une gamelle remplie d’eau qu’il dépose parterre, devant moi. C’est avec un claquement de doigts sec que je reçois l’autorisation de boire à quatre pattes comme une chienne. Il m’est difficile d’étancher ma soif, ne pouvant laper que de petite quantité d’eau avec ma langue, mais une fois finie, je me remets à genoux et je remarque que Walter n’est plus là...
- Bien, Ma petite chienne puante, il est déjà tard, tu vas aller remercier chacun des Dominants, ici présents venus à cette soirée, en allant lécher leurs chaussures, et en leur disant merci d’être venus en position agenouillée et tête baissée devant chacun d’eux. Ensuite, tu reviendras à Mes pieds. Ce soir, tu auras la chance de dormir à Mes pieds, mais avant de pouvoir dormir, tu seras utilisée à te faire prendre comme une bonne chienne par Mon Joyau. Aller va exécution, petite salope qui pue et dépêche-toi …
Je n’ai pas entendu Monsieur le Marquis arriver derrière moi, c’est pourquoi j’ai un léger sursaut au début. C’est ainsi à quatre pattes que je me promène dans la salle et que je m’arrête aux pieds de chaque Dominante ou Dominant, et je me mets à genoux mains derrière le dos et attend de recevoir la parole. Certain me la donne juste avec un signe de tête, d’autre verbalement tout en me rappelant combien je suis une chienne puante, que j’empeste la pisse, que je suis une souillonne, un sac à pisse... C’est après les avoir tous remercié que je me prosterne et leur lèche les pieds à chacun (une). J’ai fait ainsi cela avec tous les Dominants présents à cette soirée, soit une vingtaine de personnes. Je me promène à quatre pattes et je cherche les pieds du Noble, ce n’est qu’une arrivée devant Lui que je m’y prosterne, heureuse d’être revenue à ma place, aux pieds du Maitre. C’est un laconique « Aux pieds, Ma chienne » qui me fait suivre le Maitre qui a commencer à avancer. Je le suis à quatre pattes, jusqu’à Sa chambre.
- Ma salope de chienne puante, tu as été une bonne chienne ce soir, malgré ta faute à avoir pissé sur Mon beau parquet. Je te rappelle tout de même que ce parquet multi-centenaire a été foulé par le fameux Marquis de Sade lui-même (Lire les Origines de la Saga)… Tu vas passer à la douche, pour commencer car tu vas dormir à Mes pieds, dans mon lit, mais je vais te prendre avant, et te voir te balader dans ton état de chienne puante et t’observer en train de lécher Mon parquet, eh bien ça m’a fait bander ! Mais je ne vais pas m’abaisser à baiser une souillonne qui pue la pisse.
Je suis donc Monsieur le Marquis dans la salle de bains. Je rentre dans la douche, alors que je m’attends à de l’eau froide, c’est de l’eau chaude qui me tombe dessus, et je sens la présence du Maitre derrière moi. La pisse à sécher sur moi, et je suis toute collante et nauséabonde. Le Maitre me fait l’honneur de me laver, comme un maître laverait son chien (l’animal). Il me frotte délicatement, pour ne pas me faire mal avec toutes les zébrures sur mon corps. C’est une fois bien savonnée, frottée et rincée, cheveux aussi lavés, que je suis d’abord plaquée face contre le mur carrelé. Le Maître exige que je me cambre bien le cul et que j’écarte les chevilles le plus possible en prenant appuie de mes deux mains levées contre le mur. Ainsi positionnée, le Noble prend possession de ma chatte trempée par derrière, alors que Ses deux mains passées autour de ma taille viennent pincer mes tétons dressés quand je sens Sa Verge durcie me pénétrer entre mes lèvres intimes. Il me besogne rapidement, Ses coups de reins sont puissants et virils. Il prend possession de ce qui Lui appartient par cette saillie vaginale profonde. Il me besogne ainsi un long moment quand je sens le Maitre se vider en moi. Je n’ai pas reçu d’autorisation de jouir...
- Va m’attendre à genoux sur le tapis de bains pendant que je me lave, Ma salope de chienne…
Je sors donc de la douche et me je mets à genoux sur le tapis de bain qui se trouve près d’une grande cheminée moderne car l’âtre est vitré. Je sens donc aisément la chaleur dans la pièce ce qui fait que je n’ai pas froid. Quand le Châtelain sort de la douche, Il exige que je vienne Le sécher avec Sa longue serviette de bain. Je le fais délicatement, heureuse de cette immense chance, alors je m’applique à ne pas frotter le Maitre trop fort. Il me laisse après me sécher avec Sa serviette… Une fois dans la chambre du Maitre, Il me remet un collier, visiblement ce n’est pas le mien, mais je me doute que c’est en attendant que le mien puant la pisse soit lavé et débarrassé de l’odeur…. C’est appelée dans le lit du Maitre à dormir à Ses pieds que je me roule en boule aux pieds du lit, collée le plus possible aux pieds de Monsieur le Marquis. Même si je suis très fatiguée de cette journée et soirée, je ne m’endors pas tout de suite car mes pensées partent vers un souhait que j’ai depuis déjà longtemps, dont il faut que je parle au Maitre le plus rapidement possible. N’étant pas encore une soumise MDE, je ne sais pas si c’est possible, mais cette soirée m’a encore plus confirmer combien je suis heureuse aux pieds du Noble. L’appréhension d’une réponse négative m’empêche de dormir. Et c’est quand le Maitre vient pour me réveiller en plein milieu de la nuit, sûrement pour prendre possession de moi, qu’il me voit toujours éveillée.
- A genoux Ma chienne, et dis-moi ce qui te tracasse au point de ne pas dormir ?
C’est en me m’étant à genoux que je vois encore combien le Maitre me connait si bien. Il sait quand je ne dors pas c’est que je ressasse quelque chose dans mon esprit.
- Maitre Vénéré, merci de me donner la possibilité de Vous exprimer ce qui me préoccupe. Je sais ne pas être encore une soumise MDE, mais je sais que je souhaite rester à Vos pieds, à vie. Je sais combien Vous m’êtes précieux, combien j’ai besoin de Vous et de soumission ressentie par Votre Domination, pour mon équilibre et mon bien-être. Cette soirée, elle m’a encore plus démontré, une fois de plus, que je suis heureuse et épanouie à Vos pieds, que c’est là, ma seule place qui m’est naturelle, évidente... Mais bref, je souhaiterai Maitre Vénéré, s’il vous plait, un nouveau tatouage, mais que ce tatouage ça soit mon premier tatouage en rapport avec ma soumission, être à jamais marquée comme Votre propriété, pas que dans mon esprit, mais aussi sur mon corps qui est Votre. J’espère Maitre, que vous m’en trouvez digne et que vous serez d’accord ? …
(A suivre …)
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