soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1351)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1351)
soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1351) -
C’est sur ces mots que Monsieur le Marquis s’enfonce dans mon cul largement dilaté pour être sailli... Le Maitre fait des allers-retours dans mes entrailles, le plus profondément qu’il soit possible et je sens ses couilles taper contre mes fesses à chaque poussée virile. Mon excitation augmente et je cambre mon fessier, souhaitant encore plus me faire prendre comme une chienne en chaleurs. Le Maitre attrape ma queue de cheval avec une main, ce qui me fait relever la tête et ma poitrine. Alors je sens Sa deuxième main descendre vers mon sexe qu’il commence à branler le clitoris puis à me doigter tout en me sodomisant énergiquement. Je me sens bien enculée, bien possédée, bien remplie et je commence à haleter comme la chienne en chaleurs que je suis. J’essaie de retenir mon orgasme, souhaitant le plus possible attendre l’autorisation du Maitre et ainsi ne pas le décevoir et ne pas fauter. Le Châtelain continue à me doigter pendant encore un bon moment alors qu'il besogne mon cul par de grands coups de reins puissants. Sa queue me parait encore plus volumineuse entre mon anus.
Pendant qu'Il continue ses va-et-vient sauvages, bestiaux, dans mon cul, je ne sens plus la douleur tellement mon corps est submergé par l’excitant plaisir charnel. Je me laisse totalement aller aux nouvelles sensations qui me submergent de spasmes à la limite orgasmiques. Au bout d’un moment, le Noble ralentit Sa cadence et reste même un long moment en coït anal profond, sans bouger, prenant toujours profondément possession de mon cul, possession de ce qui Lui appartient… Puis Monsieur le Marquis recommence ses allers et venues d’abord doucement puis il accélère de nouveau Ses coups de reins par une cadence de nouveau rapide et régulière. Le Noble m'encule encore ainsi au plus profond de mes entrailles de Son énorme verge tendue à l’extrême. Il continue pendant un long moment puis il finit par tirer plus haut sur ma queue de cheval. L’excitation extrême me fit lâcher un cri de plaisir mais pas de jouissance car je me retiens toujours du mieux possible
- C'est ça, Ma salope de chienne ! J'aime t'entendre crier alors continue, mais sans jouir pour le moment ! Fais partager à tout le monde dans ce Noble Château comment je te fais du bien quand je t’encule comme une chienne mais sans que tu ais droit à l’orgasme ! Que l’on t’entende au-delà des longs couloirs, salope !
Alors que le Maître annonce Ses paroles, il continue à me pilonner mais cette fois-ci en alternant dans mon cul et dans ma chatte trempée. Le Châtelain fait passer un de ses bras sous moi de façon à ce que ses doigts atteignent de nouveau mon clitoris. Il se met à le pincer, à le branler frénétiquement, à le décalotter et le caresser alors qu'il me laboure comme un mâle en rut. Je crie de plus en plus fort mais sans jouir, ce sont juste des puissants cris de plaisirs ininterrompus et de plus en plus intenses. Quand tout d’un coup Monsieur le Marquis lâche de longs râles de jouissances à n’en plus finir, laissant exprimer Son orgasme par une éjaculation interne entre mes entrailles, son sexe profondément planté dans mon cul dans un coït anal. Après ce qui me parait une éternité due à la difficulté de retenir mon orgasme, je sens donc le Maitre se vider dans mon cul, puis il se retire de ma caverne anale. Je sens Son sperme chaud s’écouler quand ensuite Il récupère le plug dans ma bouche pour me l’enfoncer à nouveau dans le cul, pour y garder bien au chaud Sa noble semence. Une fois mon cul refermé, le Maitre exige prestement que je me mette couchée sur le dos, les quatre pattes en l’air. Et il prend ainsi possession de ma chatte avec un énorme gode, si gros que je me demande encore comment il est entré d’un seul coup. Mais je suis tellement trempée, excitée que l’explication devient une évidence ! Il me donne aussi des petites claques sur les seins, sur mes tétons dressés faisant tomber les pinces et me procurant une rapide et vive douleur qui se mélange à l’excitation. Et cela tout en me baisant par des va-et-vient torrides d’un volumineux sexe factice qui me remplit largement et profondément mon vagin dilaté à l’extrême. Il m’est de plus en plus difficile de retenir mon orgasme, et c’est quand le Maitre commence a retiré les pinces situées sur mes lèvres intimes que je sais que je ne pourrais plus me retenir longtemps, alors j’ose demander entre deux gémissements de plaisirs.
- Ahhhhhh … Maî… Maitre …Vé…Vénéré, Ahhhhhh … je vous en suppliiiiiiiiiie, Ahhhhhh … je peux jouiiiir ?
- Non, retiens toi encore un peu salope…
Monsieur le Marquis continue donc ses va-et-vient par sa main empoignant le gros gode, il m’est de plus en plus difficile de retenir mon orgasme, mais je ne souhaite pas fauter, et décevoir le Maitre, c’est pourquoi je me concentre le plus possible pour ne pas jouir. Alors qu’Il s’active à me goder si intensément, et au bout encore de quelques minutes, j’entends enfin la voix Maitre me donnant l’autorisation libératrice de jouir :
- Je suis fier de toi Ma chienne... tu as su te retenir... jouis Maintenant, je le veux, salope et hurle ton orgasme si tu en as envie !
C’est sur ses mots que j’explose littéralement dans de violents orgasmes des plus intenses, tel un tsunami dévastateur mais tellement libérateur. Les décharges électriques remontant sur toute mon échine me procurant des puissants spasmes de bien-être incroyables qui n’en finissent plus, je jouis sans discontinuité, par des orgasmes qui s’enchaînent ne me laissant à peine reprendre mon souffle. Etant autorisée je hurle mon plaisir orgasmique comme jamais je n’ai crié !… J’ai rarement eu des orgasmes aussi intenses, et quand j’en ai eu, c’était seulement en présence du Maitre. La forte excitation d’être enfin devenue cette chienne soumise en chaleurs que j’ai toujours rêvé d’être, et qui sommeillait en moi et que le Maitre a réveillé, à me faire agir comme telle, a contribué aussi mentalement à ces fulgurantes jouissances physiques et dont il me faut un peu de temps pour me remettre.
Monsieur le Marquis m’accorde ensuite quelques secondes pour que je puisse redescendre sur terre, après avoir remis en mon cul le plug à la queue factice de chienne. Alors, je me positionne à genoux pour nettoyer la Verge du Maître, tout en remuant ma queue heureuse d’avoir la chance de me délecter des restes de la semence du Noble. Quand la queue du Châtelain est propre, je retire ma bouche, avant de commencer à embrasser de millier de petits bisous le Joyau du Maitre ainsi que Ses couilles pour le remercier des inouïs plaisirs qui m’a offert. C’est seulement en entendant un laconique « suffit, assise la chienne » que je m’assois aux pieds du Maitre, tête baissée et que j’attends Son bon vouloir. Apres quelques caresses sur la tête, Monsieur le Marquis m’attrape par le collier pour me mettre à quatre pattes et me faire avancer, il me dirige ainsi vers la niche qui se trouve à l’entrée de la terrasse. C’est seulement maintenant que je comprends que cette niche c’est la mienne, et de lire inscrit dessus « chienne Nala » me le confirme.
Juste devant la niche, enfoncé profondément dans l’herbe se trouve pieu, métallique et cylindrique, enterré auquel est accroché un anneau avec une épaisse chaine dessus. Monsieur le Marquis attrape cette lourde chaine qu’Il m’accroche à mon collier. Et sans dire un mot, qu’Il fait demi-tour pour rentrer au Château. Ne souhaitant pas être laissée dehors enchainée à ma niche, je suis le Maitre à quatre pattes, mais ma chaine n’étant pas assez longue j’arrive seulement à la moitié de la terrasse avant de ne plus pouvoir avancer. Je réagis alors comme une vraie chienne animale et je commence à geindre et aboyer, mais le Maitre ne se retourne pas et rentre à l’intérieur sans faire attention à moi… Je ne sais pas au bout de combien de temps je me suis fatiguée à aboyer, mais j’ai fini par comprendre que ça ne servait à rien, à part à me donner soif, mais du milieu de la terrasse, je n’atteins pas ma gamelle d’eau. Je fais donc demi-tour et retourne à ma niche, je me promène autour, je renifle l’herbe et continue à agir comme une chienne sachant que le Maitre m’observe peut-être.
Je me mets à laper abondement et toujours à quatre pattes, mon eau dans la gamelle. Puis une fois ma soif étanchée, je vois jusqu’où ma chaine me permet d’aller de chaque côté de la niche. Ayant un fort besoin d’uriner, je le fait accroupie comme une chienne femelle, et c’est instinctivement comme un vrai chien que je me remets à quatre pattes que je tourne autour de ma pisse et la renifle. J’ai dû probablement marcher dedans, en quadrupédie, en retournant à ma niche qui, à ma grande surprise, est assez grande. Le sol est équipé d’une couverture pour que je m’allonge dessus, pour ne pas être couchée directement sur le bois de la niche. J’aperçois aussi une couverture pliée pour que je me couvre. Alors, je remercie intérieurement le Maitre d’avoir pensé à tout, à ma sécurité et à ma santé pour ne pas que je tombe malade en attrapant froid. J’entre donc dans ma niche et vais me coucher en chien de fusil à l’intérieur…
Et c’est à ce moment, couchée dans ma niche, que je réalise combien je suis bien, combien je suis heureuse et épanouie dans cette condition animalisée. Je prends donc pleinement conscience que je ressens ce bien-être phénoménal quand j’agis avec un comportement animal de compagnie comme si j’étais véritablement une chienne. J’ai toujours rêvé de laisse sortir cette partie de moi, de la vivre, mais jusque-là cela faisait partie du fantasme et jamais je n’aurais pensé que ça se réaliserait un jour. Car ça restait toujours, dans mon esprit, du domaine de l’impossible. Et grâce au Maitre tant Vénéré, je peux enfin vivre cet état animalisé, oui, je peux enfin vivre ma vraie Nature, la plus intime de mon être et ne pas être jugée mais comprise…
Ma reconnaissance envers le Maitre de me permettre de vivre pleinement ce que je suis est infinie, sans borne. Et je me dis qu’il faudra que je Lui exprime tout ça dans le compte-rendu qu’il exigera de moi quand je rentrerai. Mais surtout je me dis que le merci ne suffit plus à exprimer ma gratitude. Et qu’en plus d’être une bonne soumise et une bonne chienne, je dois trouver comment Lui le démontrer et Lui l’exprimer. Je ne sais pas combien de temps j’ai passé dans ma niche, mais j’entends du bruit dehors sur la terrasse qui me réveille et me fait sortir. Je vois alors le Noble s’approcher de ma niche avec deux gamelles, une dans chaque main. Plus le Maitre se rapproche, plus je commence à faire la folle à remuer ma queue fictive qui encombre encore mon cul, et je me mets à Lui faire la fête, à aboyer de contentement, à tourner et sauter partout… Bref, une vraie chienne animale heureuse de voir le Maitre. Mais ma joie redescend bien vite, quand j’entends Monsieur le Marquis, d’une voix bien froide m’exiger d’arrêter avec un geste du bras tendu et de la main pointant son index à Ses pieds avec un laconique « Aux pieds ». Une fois à ma hauteur, je me mets de suite à Ses pieds, en position agenouillée, mes fesses touchant mes talons, ce qui me fait ressentir plus profondément le plug en queue animale. Le Maitre dépose alors mes gamelles devant moi, une remplie de manger, et une autre remplie d’eau en remplacement de celle que j’avais bu tantôt. Puis il me transperce de Son regard bleu Dominant, qui je dois l’avouer, me fait un peu peur, me fait me sentir toute petite, et me fascine toujours autant. Malgré ma soif revenue, je n’ose pas bouger pour aller boire dans ma gamelle où il est inscrit mon nom de chienne. Je reste à Ses pieds, baisse la tête et essaie de me faire la plus petite possible...
(A suivre …)
C’est sur ces mots que Monsieur le Marquis s’enfonce dans mon cul largement dilaté pour être sailli... Le Maitre fait des allers-retours dans mes entrailles, le plus profondément qu’il soit possible et je sens ses couilles taper contre mes fesses à chaque poussée virile. Mon excitation augmente et je cambre mon fessier, souhaitant encore plus me faire prendre comme une chienne en chaleurs. Le Maitre attrape ma queue de cheval avec une main, ce qui me fait relever la tête et ma poitrine. Alors je sens Sa deuxième main descendre vers mon sexe qu’il commence à branler le clitoris puis à me doigter tout en me sodomisant énergiquement. Je me sens bien enculée, bien possédée, bien remplie et je commence à haleter comme la chienne en chaleurs que je suis. J’essaie de retenir mon orgasme, souhaitant le plus possible attendre l’autorisation du Maitre et ainsi ne pas le décevoir et ne pas fauter. Le Châtelain continue à me doigter pendant encore un bon moment alors qu'il besogne mon cul par de grands coups de reins puissants. Sa queue me parait encore plus volumineuse entre mon anus.
Pendant qu'Il continue ses va-et-vient sauvages, bestiaux, dans mon cul, je ne sens plus la douleur tellement mon corps est submergé par l’excitant plaisir charnel. Je me laisse totalement aller aux nouvelles sensations qui me submergent de spasmes à la limite orgasmiques. Au bout d’un moment, le Noble ralentit Sa cadence et reste même un long moment en coït anal profond, sans bouger, prenant toujours profondément possession de mon cul, possession de ce qui Lui appartient… Puis Monsieur le Marquis recommence ses allers et venues d’abord doucement puis il accélère de nouveau Ses coups de reins par une cadence de nouveau rapide et régulière. Le Noble m'encule encore ainsi au plus profond de mes entrailles de Son énorme verge tendue à l’extrême. Il continue pendant un long moment puis il finit par tirer plus haut sur ma queue de cheval. L’excitation extrême me fit lâcher un cri de plaisir mais pas de jouissance car je me retiens toujours du mieux possible
- C'est ça, Ma salope de chienne ! J'aime t'entendre crier alors continue, mais sans jouir pour le moment ! Fais partager à tout le monde dans ce Noble Château comment je te fais du bien quand je t’encule comme une chienne mais sans que tu ais droit à l’orgasme ! Que l’on t’entende au-delà des longs couloirs, salope !
Alors que le Maître annonce Ses paroles, il continue à me pilonner mais cette fois-ci en alternant dans mon cul et dans ma chatte trempée. Le Châtelain fait passer un de ses bras sous moi de façon à ce que ses doigts atteignent de nouveau mon clitoris. Il se met à le pincer, à le branler frénétiquement, à le décalotter et le caresser alors qu'il me laboure comme un mâle en rut. Je crie de plus en plus fort mais sans jouir, ce sont juste des puissants cris de plaisirs ininterrompus et de plus en plus intenses. Quand tout d’un coup Monsieur le Marquis lâche de longs râles de jouissances à n’en plus finir, laissant exprimer Son orgasme par une éjaculation interne entre mes entrailles, son sexe profondément planté dans mon cul dans un coït anal. Après ce qui me parait une éternité due à la difficulté de retenir mon orgasme, je sens donc le Maitre se vider dans mon cul, puis il se retire de ma caverne anale. Je sens Son sperme chaud s’écouler quand ensuite Il récupère le plug dans ma bouche pour me l’enfoncer à nouveau dans le cul, pour y garder bien au chaud Sa noble semence. Une fois mon cul refermé, le Maitre exige prestement que je me mette couchée sur le dos, les quatre pattes en l’air. Et il prend ainsi possession de ma chatte avec un énorme gode, si gros que je me demande encore comment il est entré d’un seul coup. Mais je suis tellement trempée, excitée que l’explication devient une évidence ! Il me donne aussi des petites claques sur les seins, sur mes tétons dressés faisant tomber les pinces et me procurant une rapide et vive douleur qui se mélange à l’excitation. Et cela tout en me baisant par des va-et-vient torrides d’un volumineux sexe factice qui me remplit largement et profondément mon vagin dilaté à l’extrême. Il m’est de plus en plus difficile de retenir mon orgasme, et c’est quand le Maitre commence a retiré les pinces situées sur mes lèvres intimes que je sais que je ne pourrais plus me retenir longtemps, alors j’ose demander entre deux gémissements de plaisirs.
- Ahhhhhh … Maî… Maitre …Vé…Vénéré, Ahhhhhh … je vous en suppliiiiiiiiiie, Ahhhhhh … je peux jouiiiir ?
- Non, retiens toi encore un peu salope…
Monsieur le Marquis continue donc ses va-et-vient par sa main empoignant le gros gode, il m’est de plus en plus difficile de retenir mon orgasme, mais je ne souhaite pas fauter, et décevoir le Maitre, c’est pourquoi je me concentre le plus possible pour ne pas jouir. Alors qu’Il s’active à me goder si intensément, et au bout encore de quelques minutes, j’entends enfin la voix Maitre me donnant l’autorisation libératrice de jouir :
- Je suis fier de toi Ma chienne... tu as su te retenir... jouis Maintenant, je le veux, salope et hurle ton orgasme si tu en as envie !
C’est sur ses mots que j’explose littéralement dans de violents orgasmes des plus intenses, tel un tsunami dévastateur mais tellement libérateur. Les décharges électriques remontant sur toute mon échine me procurant des puissants spasmes de bien-être incroyables qui n’en finissent plus, je jouis sans discontinuité, par des orgasmes qui s’enchaînent ne me laissant à peine reprendre mon souffle. Etant autorisée je hurle mon plaisir orgasmique comme jamais je n’ai crié !… J’ai rarement eu des orgasmes aussi intenses, et quand j’en ai eu, c’était seulement en présence du Maitre. La forte excitation d’être enfin devenue cette chienne soumise en chaleurs que j’ai toujours rêvé d’être, et qui sommeillait en moi et que le Maitre a réveillé, à me faire agir comme telle, a contribué aussi mentalement à ces fulgurantes jouissances physiques et dont il me faut un peu de temps pour me remettre.
Monsieur le Marquis m’accorde ensuite quelques secondes pour que je puisse redescendre sur terre, après avoir remis en mon cul le plug à la queue factice de chienne. Alors, je me positionne à genoux pour nettoyer la Verge du Maître, tout en remuant ma queue heureuse d’avoir la chance de me délecter des restes de la semence du Noble. Quand la queue du Châtelain est propre, je retire ma bouche, avant de commencer à embrasser de millier de petits bisous le Joyau du Maitre ainsi que Ses couilles pour le remercier des inouïs plaisirs qui m’a offert. C’est seulement en entendant un laconique « suffit, assise la chienne » que je m’assois aux pieds du Maitre, tête baissée et que j’attends Son bon vouloir. Apres quelques caresses sur la tête, Monsieur le Marquis m’attrape par le collier pour me mettre à quatre pattes et me faire avancer, il me dirige ainsi vers la niche qui se trouve à l’entrée de la terrasse. C’est seulement maintenant que je comprends que cette niche c’est la mienne, et de lire inscrit dessus « chienne Nala » me le confirme.
Juste devant la niche, enfoncé profondément dans l’herbe se trouve pieu, métallique et cylindrique, enterré auquel est accroché un anneau avec une épaisse chaine dessus. Monsieur le Marquis attrape cette lourde chaine qu’Il m’accroche à mon collier. Et sans dire un mot, qu’Il fait demi-tour pour rentrer au Château. Ne souhaitant pas être laissée dehors enchainée à ma niche, je suis le Maitre à quatre pattes, mais ma chaine n’étant pas assez longue j’arrive seulement à la moitié de la terrasse avant de ne plus pouvoir avancer. Je réagis alors comme une vraie chienne animale et je commence à geindre et aboyer, mais le Maitre ne se retourne pas et rentre à l’intérieur sans faire attention à moi… Je ne sais pas au bout de combien de temps je me suis fatiguée à aboyer, mais j’ai fini par comprendre que ça ne servait à rien, à part à me donner soif, mais du milieu de la terrasse, je n’atteins pas ma gamelle d’eau. Je fais donc demi-tour et retourne à ma niche, je me promène autour, je renifle l’herbe et continue à agir comme une chienne sachant que le Maitre m’observe peut-être.
Je me mets à laper abondement et toujours à quatre pattes, mon eau dans la gamelle. Puis une fois ma soif étanchée, je vois jusqu’où ma chaine me permet d’aller de chaque côté de la niche. Ayant un fort besoin d’uriner, je le fait accroupie comme une chienne femelle, et c’est instinctivement comme un vrai chien que je me remets à quatre pattes que je tourne autour de ma pisse et la renifle. J’ai dû probablement marcher dedans, en quadrupédie, en retournant à ma niche qui, à ma grande surprise, est assez grande. Le sol est équipé d’une couverture pour que je m’allonge dessus, pour ne pas être couchée directement sur le bois de la niche. J’aperçois aussi une couverture pliée pour que je me couvre. Alors, je remercie intérieurement le Maitre d’avoir pensé à tout, à ma sécurité et à ma santé pour ne pas que je tombe malade en attrapant froid. J’entre donc dans ma niche et vais me coucher en chien de fusil à l’intérieur…
Et c’est à ce moment, couchée dans ma niche, que je réalise combien je suis bien, combien je suis heureuse et épanouie dans cette condition animalisée. Je prends donc pleinement conscience que je ressens ce bien-être phénoménal quand j’agis avec un comportement animal de compagnie comme si j’étais véritablement une chienne. J’ai toujours rêvé de laisse sortir cette partie de moi, de la vivre, mais jusque-là cela faisait partie du fantasme et jamais je n’aurais pensé que ça se réaliserait un jour. Car ça restait toujours, dans mon esprit, du domaine de l’impossible. Et grâce au Maitre tant Vénéré, je peux enfin vivre cet état animalisé, oui, je peux enfin vivre ma vraie Nature, la plus intime de mon être et ne pas être jugée mais comprise…
Ma reconnaissance envers le Maitre de me permettre de vivre pleinement ce que je suis est infinie, sans borne. Et je me dis qu’il faudra que je Lui exprime tout ça dans le compte-rendu qu’il exigera de moi quand je rentrerai. Mais surtout je me dis que le merci ne suffit plus à exprimer ma gratitude. Et qu’en plus d’être une bonne soumise et une bonne chienne, je dois trouver comment Lui le démontrer et Lui l’exprimer. Je ne sais pas combien de temps j’ai passé dans ma niche, mais j’entends du bruit dehors sur la terrasse qui me réveille et me fait sortir. Je vois alors le Noble s’approcher de ma niche avec deux gamelles, une dans chaque main. Plus le Maitre se rapproche, plus je commence à faire la folle à remuer ma queue fictive qui encombre encore mon cul, et je me mets à Lui faire la fête, à aboyer de contentement, à tourner et sauter partout… Bref, une vraie chienne animale heureuse de voir le Maitre. Mais ma joie redescend bien vite, quand j’entends Monsieur le Marquis, d’une voix bien froide m’exiger d’arrêter avec un geste du bras tendu et de la main pointant son index à Ses pieds avec un laconique « Aux pieds ». Une fois à ma hauteur, je me mets de suite à Ses pieds, en position agenouillée, mes fesses touchant mes talons, ce qui me fait ressentir plus profondément le plug en queue animale. Le Maitre dépose alors mes gamelles devant moi, une remplie de manger, et une autre remplie d’eau en remplacement de celle que j’avais bu tantôt. Puis il me transperce de Son regard bleu Dominant, qui je dois l’avouer, me fait un peu peur, me fait me sentir toute petite, et me fascine toujours autant. Malgré ma soif revenue, je n’ose pas bouger pour aller boire dans ma gamelle où il est inscrit mon nom de chienne. Je reste à Ses pieds, baisse la tête et essaie de me faire la plus petite possible...
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