soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°730)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°730)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°730) -
Je faisais un rêve fabuleux. Dans ce rêve, j'étais dans un lit installée confortablement sur mon côté gauche et une personne prenait possession de ma chatte, ce qui me réveilla dans de sublimes sensations de plaisirs excitants par mon sexe trempé, mes tétons dressés. Je finis par sortir de la brume de mon sommeil alors qu'on léchait le lobe de mon oreille. Je me sentais gémir fortement car ledit rêve devenait réalité. Et tout me revint alors en mémoire : La soirée de jeux, les douze orgasmes que l'on m'avait donnés, la suite de la soirée avec le Docteur où il m'avait bondagé. Je sortis de mes savoureux souvenirs quand la grosse verge du docteur prit possession de ma chatte. Il me besognait sans relâche à grands coups de reins profonds.
- Réveille-toi, chienne ! Je veux t'entendre pendant que je te baise de cette façon !
- Hummmm ! C'est tellement bon … Monsieuuuuuuur !
- Je vais m'allonger sur le dos ! Tu vas te mettre en soixante-neuf au-dessus de moi !
Je fis ce que le Toubib attendait de moi. Une fois qu'il fut en place, je plaçais mes jambes de chaque côté de son visage et je m'abaissai sur sa grosse verge en érection, ce qui fit pendre mes seins dans le vide. Je le léchais sur toute sa longueur avant de le prendre totalement dans ma bouche. Je pouvais goûter à ma cyprine qui recouvrait totalement sa verge. Nous continuâmes ainsi jusqu'à ce qu'on atteigne, tous les deux, l'orgasme. Il éjacula jusqu’au fond de ma gorge. Je continuais à le sucer pour le nettoyer. Je n’arrêtais pas mes caresses buccales et ainsi au bout d’une dizaine de minutes, à force de le sucer, lécher avec ma langue et de le masturber avec ma main, la grosse verge du Médecin reprit de la rigueur.
- Installe-toi sur le dos ! m'ordonna le Docteur.
Je me couchais donc au bout du lit sur le dos comme exigé. Le Dominant écarta mes jambes, il s'installa à genoux entre elles. Alors qu'il enserrait fortement mes cuisses, il mit mes jambes à pendre de chaque côté de lui. Il enfonça durement sa verge raidie dans ma chatte, il commença ensuite un long et lent mouvement de vas et viens. Alors qu'il continuait ses mouvements dans mon sexe trempé, il tendit ses bras et pinça, titilla, vrilla et étira mes mamelons fièrement dressés pour lui. Un gémissement m'échappa, c'est à ce moment-là qu'il décida d'accélérer en me pilonnant dans une cadence vigoureuse grâce à sa belle virilité. A chaque poussée, il butait de plus en plus profondément en moi. Il tapait tellement fort par ses coups de boutoir que ma tête finit par pendre sur le côté du lit. Le Docteur avait lâché mes seins et je pouvais les sentir bouger dans tous les sens à chaque poussée de ses reins. Il continua ses énergiques vas et viens alors qu'il plaçait mes jambes sur ses épaules. Je le sentais s'enfoncer encore plus profondément en moi. Je finis par crier ma jouissance sans pouvoir me retenir. Il sortit de ma chatte et descendis du lit.
- Place-toi en levrette sur le lit, les bras dans le dos ! ordonna le Docteur alors qu'il s'éloignait de la couche.
J'exécutais sans réfléchir les ordres reçus. Je plaçais ma tête sur le côté et je fis de mon mieux pour me cambrer au maximum. Cette position était assez désagréable alors que je tenais mes mains entre elle dans mon dos. J'entendis le Dominant se rapprocher de moi puis je sentis le lit bouger. Je calmais ma respiration car elle s'était accélérée au moment où j'avais senti une corde commencer à encercler mes poignets. Le Docteur avait commencé par effectuer un nœud au niveau de mes poignets. Ensuite il avait croisé les deux bouts ensembles comme un lacet jusqu'à ce qu'il soit arrivé au niveau de mes épaules. Les cordes se situaient sur tout le long de mes bras et étiraient mes épaules, la douleur se faisait sentir jusque dans mon dos. Un gémissement de douleur m'échappa.
- C'est douloureux, n'est-ce pas ? me demanda le Docteur.
- Oui, Monsieur. La corde tire fortement mes bras en arrière et je le ressens dans ma colonne vertébrale.
- C'est normal, c'est le but ! Je veux te faire prendre conscience que la douleur et la jouissance combinées ensemble peuvent te faire aller très haut. Te sens-tu capable d'essayer ?
- Oui Monsieur ! Je veux essayer et Vous satisfaire totalement !
- Très bien, belle salope ! Alors nous allons poursuivre ! Ajouta-t-il en glissant ses doigts entre les lèvres intimes de ma chatte. Mais tu es totalement trempée, ma parole ! Tu aimes être attachée ?
- Oui Monsieur, dis-je dans un souffle alors qu'il enfonçait deux doigts dans ma chatte, me faisant hurler de plaisir.
Il continua à me doigter pendant encore quelques instants. Je sentis par la suite qu'un de ses doigts s'était dirigé vers mon cul. Il joua aussi avec ma rondelle alors qu'il pénétrait ma chatte d'un coup de reins puissant. Sa queue me paraissait encore plus volumineuse. Pendant qu'il continuait ses vas et viens dans mon sexe, un autre doigt s'était ajouté au niveau de mon cul. Je ne sentais plus la douleur tellement mon corps était submergé par le plaisir charnel. Je me laissais totalement aller aux nouvelles sensations. Puis, d'un seul coup, le Docteur prit possession de mon cul. Il y allait doucement au début mais une fois le passage fait, une fois que j’étais moins étroite que mon anus fut un peu plus dilaté, il accéléra ses coups de reins par une cadence de nouveau rapide et régulière. Il m'encula ainsi au plus profond de mes entrailles de son énorme verge tendue à l’extrême. Il continua pendant un long moment puis il finit par tirer sur mes bras. Le mélange de douleur et de plaisir combinés ensemble, me fit crier. Je ne savais pas si c'était la douleur ou le plaisir qui me fit crier, mais quel pied !
- C'est ça, chienne ! J'aime t'entendre crier alors continue ! Fais partager à tout le monde dans ce Noble Château comment je te fais du bien ! Que l’on t’entende au-delà des longs couloirs !
Alors qu'il annonçait ses paroles, il continuait à me pilonner mais cette fois-ci en alternant ma chatte et mon cul. Il fit passer un de ses bras sous moi de façon à ce que ses doigts atteignent mon clitoris. Il se mit à le pincer et le caresser alors qu'il me labourait. Je criai de plus en plus fort. La douleur avait complètement disparue et avait totalement laissé place au plaisir ininterrompu et de plus en plus intense. Il finit par atteindre son orgasme par une nouvelle éjaculation interne alors qu'il se trouvait profondément planté dans mon cul. Il continua à pomper dans mon fondement et ne perdit aucune vigueur.
- Je vais te détacher maintenant ! Et nous allons continuer en douceur ! Tu vas t'allonger sur le ventre : exigea-t-il.
- Bien Monsieur ! me soumis-je.
Il sortit de mon cul et détacha la corde de mes bras. Une fois que celle-ci fut enlevée, je m'allongeais sans savoir quoi faire de mes bras. Le Docteur devait sentir mon questionnement car il prit chaque bras et les plaça de chaque côté de mon corps, ce qui m'arracha une plainte de douleur. Il s'assit sur mes fesses et m'octroya un des plus doux et langoureux massage que je n'avais jamais eu, par ses grosses mains caressantes et avec un savoir-faire de kiné !
- Cela va dissiper la douleur ! Et nous continuerons !
- Humm ! Fut le seul mot que je pus répondre, savourant le plaisir tactile et cutané.
- C'est cela, rigola-t-il doucement. Mon vieil ami, le Maître qui te soumet, Le Marquis d'Evans m'a expliqué à la fin de la soirée que ce style de vie était nouveau pour toi. Il faut que tu saches que, comme mon Ami, j'assure sécurité au soumis ou soumise que je choisis. Que ça soit pour une soirée, une nuit ou plusieurs. Tu dois savoir que je porte aussi toujours un soin après chaque séance, c'est pour cela que je t'ai fait bénéficier d'une douche tout à l'heure et d'un massage maintenant. Ton corps n'étant pas habitué à être bondée, je me dois de tout faire pour qu'aucune crampe ne subvienne. Et caresser ta peau si douce et réellement un bonheur !
- Merci Monsieur ! Je vous prie d'accepter mes remerciements pour m'avoir apporté tous ces éclaircissements mais aussi et surtout pour tous les plaisirs charnels que vous daignez me procurer.
Il continua son sublime massage en silence. J'étais totalement détendue sous ses doigts magiques. Alors que j'étais sur le point de m'endormir, il arrêta au bout d’un long moment ses douces caresses.
- Comment te sens-tu ?
- Bien Monsieur, vraiment très détendue ! Répondis-je doucement en gardant la même position.
- Parfait, maintenant tu te mets à genoux sur un des côtés du lit. Je vais m'allonger et tu vas me sucer chienne pour que je retrouve toute ma rigueur. Par la suite, tu vas me chevaucher. Hoche la tête si tu as compris mes ordres !
Je hochais la tête en un signe affirmatif. Une fois qu'il fût en place. Je me plaçais entre ses jambes et je pris sa bite dans mes mains. J'effectuais plusieurs allées et retours avec ma main. Je me penchais et le pris en bouche, puis je léchais à plusieurs reprises son gland avant de le prendre totalement dans ma bouche. La queue du Docteur reprit rapidement de la rigueur.
- Tu suces tellement bien ! Putain, je pourrais jouir juste en quelques secondes rien qu'en te regardant me sucer : s'exclama Le Dominant. Maintenant, chevauche moi, chienne !
Je fis ce qu'il exigeait. Sa queue m'étirait complètement dans cette position. Je le sentais buter au fond de mon vagin à chaque descente que j'effectuais à m’empaler sur sa verge dressée à la verticale. Le Médecin s'était redresser et avait pris un de mes mamelons dans sa bouche. Sentant que mes genoux faiblissaient, je me laissais tomber une derrière fois et je commençais à me déhancher sur sa droite queue. Le Docteur donnait des coups de reins, ce qui le fit s'enfoncer dans ma chatte encore plus loin en profondeur. Nous continuâmes un moment et nous arrivâmes ensemble à notre jouissance dans un déluge de râles jouissifs à n’en plus finir.
- Allons, maintenant va prendre une nouvelle douche ! annonça le Toubib en attrapant ma laisse. Tu me suis debout en marchant devant moi pour que je puisse observer ton magnifique cul !
Je me plaçais donc debout devant le docteur qui me fessa. Je pris la direction de la salle de bain et m'arrêta devant la cabine de douche en gardant les yeux baissés. Je sentis le Docteur décrocher la laisse et me pousser dans la cabine…
(A suivre...)
Je faisais un rêve fabuleux. Dans ce rêve, j'étais dans un lit installée confortablement sur mon côté gauche et une personne prenait possession de ma chatte, ce qui me réveilla dans de sublimes sensations de plaisirs excitants par mon sexe trempé, mes tétons dressés. Je finis par sortir de la brume de mon sommeil alors qu'on léchait le lobe de mon oreille. Je me sentais gémir fortement car ledit rêve devenait réalité. Et tout me revint alors en mémoire : La soirée de jeux, les douze orgasmes que l'on m'avait donnés, la suite de la soirée avec le Docteur où il m'avait bondagé. Je sortis de mes savoureux souvenirs quand la grosse verge du docteur prit possession de ma chatte. Il me besognait sans relâche à grands coups de reins profonds.
- Réveille-toi, chienne ! Je veux t'entendre pendant que je te baise de cette façon !
- Hummmm ! C'est tellement bon … Monsieuuuuuuur !
- Je vais m'allonger sur le dos ! Tu vas te mettre en soixante-neuf au-dessus de moi !
Je fis ce que le Toubib attendait de moi. Une fois qu'il fut en place, je plaçais mes jambes de chaque côté de son visage et je m'abaissai sur sa grosse verge en érection, ce qui fit pendre mes seins dans le vide. Je le léchais sur toute sa longueur avant de le prendre totalement dans ma bouche. Je pouvais goûter à ma cyprine qui recouvrait totalement sa verge. Nous continuâmes ainsi jusqu'à ce qu'on atteigne, tous les deux, l'orgasme. Il éjacula jusqu’au fond de ma gorge. Je continuais à le sucer pour le nettoyer. Je n’arrêtais pas mes caresses buccales et ainsi au bout d’une dizaine de minutes, à force de le sucer, lécher avec ma langue et de le masturber avec ma main, la grosse verge du Médecin reprit de la rigueur.
- Installe-toi sur le dos ! m'ordonna le Docteur.
Je me couchais donc au bout du lit sur le dos comme exigé. Le Dominant écarta mes jambes, il s'installa à genoux entre elles. Alors qu'il enserrait fortement mes cuisses, il mit mes jambes à pendre de chaque côté de lui. Il enfonça durement sa verge raidie dans ma chatte, il commença ensuite un long et lent mouvement de vas et viens. Alors qu'il continuait ses mouvements dans mon sexe trempé, il tendit ses bras et pinça, titilla, vrilla et étira mes mamelons fièrement dressés pour lui. Un gémissement m'échappa, c'est à ce moment-là qu'il décida d'accélérer en me pilonnant dans une cadence vigoureuse grâce à sa belle virilité. A chaque poussée, il butait de plus en plus profondément en moi. Il tapait tellement fort par ses coups de boutoir que ma tête finit par pendre sur le côté du lit. Le Docteur avait lâché mes seins et je pouvais les sentir bouger dans tous les sens à chaque poussée de ses reins. Il continua ses énergiques vas et viens alors qu'il plaçait mes jambes sur ses épaules. Je le sentais s'enfoncer encore plus profondément en moi. Je finis par crier ma jouissance sans pouvoir me retenir. Il sortit de ma chatte et descendis du lit.
- Place-toi en levrette sur le lit, les bras dans le dos ! ordonna le Docteur alors qu'il s'éloignait de la couche.
J'exécutais sans réfléchir les ordres reçus. Je plaçais ma tête sur le côté et je fis de mon mieux pour me cambrer au maximum. Cette position était assez désagréable alors que je tenais mes mains entre elle dans mon dos. J'entendis le Dominant se rapprocher de moi puis je sentis le lit bouger. Je calmais ma respiration car elle s'était accélérée au moment où j'avais senti une corde commencer à encercler mes poignets. Le Docteur avait commencé par effectuer un nœud au niveau de mes poignets. Ensuite il avait croisé les deux bouts ensembles comme un lacet jusqu'à ce qu'il soit arrivé au niveau de mes épaules. Les cordes se situaient sur tout le long de mes bras et étiraient mes épaules, la douleur se faisait sentir jusque dans mon dos. Un gémissement de douleur m'échappa.
- C'est douloureux, n'est-ce pas ? me demanda le Docteur.
- Oui, Monsieur. La corde tire fortement mes bras en arrière et je le ressens dans ma colonne vertébrale.
- C'est normal, c'est le but ! Je veux te faire prendre conscience que la douleur et la jouissance combinées ensemble peuvent te faire aller très haut. Te sens-tu capable d'essayer ?
- Oui Monsieur ! Je veux essayer et Vous satisfaire totalement !
- Très bien, belle salope ! Alors nous allons poursuivre ! Ajouta-t-il en glissant ses doigts entre les lèvres intimes de ma chatte. Mais tu es totalement trempée, ma parole ! Tu aimes être attachée ?
- Oui Monsieur, dis-je dans un souffle alors qu'il enfonçait deux doigts dans ma chatte, me faisant hurler de plaisir.
Il continua à me doigter pendant encore quelques instants. Je sentis par la suite qu'un de ses doigts s'était dirigé vers mon cul. Il joua aussi avec ma rondelle alors qu'il pénétrait ma chatte d'un coup de reins puissant. Sa queue me paraissait encore plus volumineuse. Pendant qu'il continuait ses vas et viens dans mon sexe, un autre doigt s'était ajouté au niveau de mon cul. Je ne sentais plus la douleur tellement mon corps était submergé par le plaisir charnel. Je me laissais totalement aller aux nouvelles sensations. Puis, d'un seul coup, le Docteur prit possession de mon cul. Il y allait doucement au début mais une fois le passage fait, une fois que j’étais moins étroite que mon anus fut un peu plus dilaté, il accéléra ses coups de reins par une cadence de nouveau rapide et régulière. Il m'encula ainsi au plus profond de mes entrailles de son énorme verge tendue à l’extrême. Il continua pendant un long moment puis il finit par tirer sur mes bras. Le mélange de douleur et de plaisir combinés ensemble, me fit crier. Je ne savais pas si c'était la douleur ou le plaisir qui me fit crier, mais quel pied !
- C'est ça, chienne ! J'aime t'entendre crier alors continue ! Fais partager à tout le monde dans ce Noble Château comment je te fais du bien ! Que l’on t’entende au-delà des longs couloirs !
Alors qu'il annonçait ses paroles, il continuait à me pilonner mais cette fois-ci en alternant ma chatte et mon cul. Il fit passer un de ses bras sous moi de façon à ce que ses doigts atteignent mon clitoris. Il se mit à le pincer et le caresser alors qu'il me labourait. Je criai de plus en plus fort. La douleur avait complètement disparue et avait totalement laissé place au plaisir ininterrompu et de plus en plus intense. Il finit par atteindre son orgasme par une nouvelle éjaculation interne alors qu'il se trouvait profondément planté dans mon cul. Il continua à pomper dans mon fondement et ne perdit aucune vigueur.
- Je vais te détacher maintenant ! Et nous allons continuer en douceur ! Tu vas t'allonger sur le ventre : exigea-t-il.
- Bien Monsieur ! me soumis-je.
Il sortit de mon cul et détacha la corde de mes bras. Une fois que celle-ci fut enlevée, je m'allongeais sans savoir quoi faire de mes bras. Le Docteur devait sentir mon questionnement car il prit chaque bras et les plaça de chaque côté de mon corps, ce qui m'arracha une plainte de douleur. Il s'assit sur mes fesses et m'octroya un des plus doux et langoureux massage que je n'avais jamais eu, par ses grosses mains caressantes et avec un savoir-faire de kiné !
- Cela va dissiper la douleur ! Et nous continuerons !
- Humm ! Fut le seul mot que je pus répondre, savourant le plaisir tactile et cutané.
- C'est cela, rigola-t-il doucement. Mon vieil ami, le Maître qui te soumet, Le Marquis d'Evans m'a expliqué à la fin de la soirée que ce style de vie était nouveau pour toi. Il faut que tu saches que, comme mon Ami, j'assure sécurité au soumis ou soumise que je choisis. Que ça soit pour une soirée, une nuit ou plusieurs. Tu dois savoir que je porte aussi toujours un soin après chaque séance, c'est pour cela que je t'ai fait bénéficier d'une douche tout à l'heure et d'un massage maintenant. Ton corps n'étant pas habitué à être bondée, je me dois de tout faire pour qu'aucune crampe ne subvienne. Et caresser ta peau si douce et réellement un bonheur !
- Merci Monsieur ! Je vous prie d'accepter mes remerciements pour m'avoir apporté tous ces éclaircissements mais aussi et surtout pour tous les plaisirs charnels que vous daignez me procurer.
Il continua son sublime massage en silence. J'étais totalement détendue sous ses doigts magiques. Alors que j'étais sur le point de m'endormir, il arrêta au bout d’un long moment ses douces caresses.
- Comment te sens-tu ?
- Bien Monsieur, vraiment très détendue ! Répondis-je doucement en gardant la même position.
- Parfait, maintenant tu te mets à genoux sur un des côtés du lit. Je vais m'allonger et tu vas me sucer chienne pour que je retrouve toute ma rigueur. Par la suite, tu vas me chevaucher. Hoche la tête si tu as compris mes ordres !
Je hochais la tête en un signe affirmatif. Une fois qu'il fût en place. Je me plaçais entre ses jambes et je pris sa bite dans mes mains. J'effectuais plusieurs allées et retours avec ma main. Je me penchais et le pris en bouche, puis je léchais à plusieurs reprises son gland avant de le prendre totalement dans ma bouche. La queue du Docteur reprit rapidement de la rigueur.
- Tu suces tellement bien ! Putain, je pourrais jouir juste en quelques secondes rien qu'en te regardant me sucer : s'exclama Le Dominant. Maintenant, chevauche moi, chienne !
Je fis ce qu'il exigeait. Sa queue m'étirait complètement dans cette position. Je le sentais buter au fond de mon vagin à chaque descente que j'effectuais à m’empaler sur sa verge dressée à la verticale. Le Médecin s'était redresser et avait pris un de mes mamelons dans sa bouche. Sentant que mes genoux faiblissaient, je me laissais tomber une derrière fois et je commençais à me déhancher sur sa droite queue. Le Docteur donnait des coups de reins, ce qui le fit s'enfoncer dans ma chatte encore plus loin en profondeur. Nous continuâmes un moment et nous arrivâmes ensemble à notre jouissance dans un déluge de râles jouissifs à n’en plus finir.
- Allons, maintenant va prendre une nouvelle douche ! annonça le Toubib en attrapant ma laisse. Tu me suis debout en marchant devant moi pour que je puisse observer ton magnifique cul !
Je me plaçais donc debout devant le docteur qui me fessa. Je pris la direction de la salle de bain et m'arrêta devant la cabine de douche en gardant les yeux baissés. Je sentis le Docteur décrocher la laisse et me pousser dans la cabine…
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