soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°748)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°748)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°748) -
Le Doc me fit approcher de la table. Puis, il s'assit à la droite du Maître. Je restais en quadrupédie sur le côté de la table. La tête baissée, j'écoutais la conversation entre les deux Dominants.
- Mon cher ami, Monsieur le Marquis, j'ai passé une soirée et une nuit absolument magnifiques. Vous nous avez tellement bien reçu. Vos soirées sont toujours aussi grandioses. Quant à ma nuit, elle a été au-delà, de mes attentes et je peux vous assurer que vous avez parfaitement su dresser cette petite chienne dans une absolue obéissance...
- Dois-je en conclure que Ma soumise a su vous satisfaire ?
- Tout-à-fait ! Vous pouvez en tirer cette conclusion ! Elle a répondu amplement à mes attentes et elle a même prit quelques initiatives qui m'ont totalement comblé…. Hélas, je vais devoir vous quitter après ce petit déjeuné. Je dois me rendre à mon domicile, avant d'aller à l'hôpital voir mes patients...
- Il n'y a pas de souci, très cher ! … Cypris MDE, met-toi sur le tapis, là juste derrière toi et en position de levrette, ensuite tu prends ta laisse en bouche comme une bonne chienne, je m'occuperai de toi quand ce cher Doc sera parti.
Je me positionnais donc sur le tapis et me mis en levrette, exposant ainsi mon fessier arrondi largement exhibé dévoilant mon intimité totalement épilée et bien offerte. Je tendis les bras bien en avant et posa la tête, au sol, sur le côté et restait ainsi immobile à attendre le bon plaisir du Maître. Je n'entendais plus la conversation entre les deux hommes. Après ce qui me sembla une éternité, je pus discerner que l'on fermait la porte. Je restais dans la position demandée alors qu'un bruit de chaise, que l'on reculait, se faisait entendre. Je sentis Monsieur le Marquis d’Evans se rapprocher de moi. Je restais dans la même position sans bouger en faisant attention à ce que mon regard ne croise pas celui du Maître, mon champ de vision voyant ses Nobles pieds. Le Châtelain s'agenouilla sur mon côté. Puis il passa doucement ses mains sur mon dos, caressa longuement et avec douceur mes fesses arrondies, ensuite il alla fouiller mon sexe, insinua sa main entre mes lèvres intimes avec deux doigts dans mon vagin déjà trempé d’excitation et le pouce qui appuyait contre mon clitoris. Il me masturba sans précipitation doucement et ainsi longtemps et je ne pus retenir de longs gémissements de plaisir quand il tournoyait son pouce sur mon clito gonflé de désir tandis que ses deux doigts allaient et venaient profondément dans mon antre humide. Puis sans prévenir, il retira sa main pour me donner subitement une bonne fessée qui claqua fortement et résonna dans toute la pièce.
- Mon ami m'a dit que tu as été très bonne et entièrement soumise à ses exigences. Il m'a expliqué aussi comment tu l'avais réveillé et comment tu étais excitée alors qu'il t'avait bondagé et baisé ainsi ! Répond moi !
- Oui Maître, je souhaitais tant vous faire honneur, être digne de vous, être digne d’être sous votre joug, Maître. Et montrer toute votre grande et efficace initiation envers ma petite personne ! Maître, j'ai vraiment aimé être bondagée et j'espère que j'aurais l'occasion de revivre cette expérience. Car j'aimerai savoir si j'étais excité parce que c'était tout nouveau pour moi ou parce que j'aime vraiment cela.
- Humm ! T'imaginer encordée et vraiment excitant chienne, je l’avoue ! … Mais pour l’heure, je vais te baiser là tout de suite sur ce tapis ! Ne bouges pas et je ne veux pas t'entendre, m'ordonna-t-il.
Je restais ainsi sans bouger d'un millimètre. Le Maître se positionna derrière moi et enfonça de nouveau ses deux doigts dans ma chatte.
- Tu es encore bien trempée, ma chienne ! Pas besoin de vérifier plus si tu es prête !
Alors qu'il n'avait pas terminé sa phrase, je sentis déjà la grosse et noble queue du Maître me remplir jusqu'à la garde en une seule poussée puissante et virile. Je me sentais tellement pleine, si bien remplie. Le Docteur était certes bien membré mais la verge du Maître était bien plus longue et épaisse. Quand il me prenait ainsi, je me sentais étirée, totalement possédée et mon orifice vaginal complètement empli que ce soit en longueur ou par son épaisseur. Il me besogna ainsi pendant un long moment en de francs coups de boutoir puissants.
- Humm ! Tu es encore tellement serrée autour de ma verge !
Alors, il accéléra ses coups de reins en moi et je sentais ses testicules frapper mon clitoris à chaque fois. Quand il jugea suffisant ses coups virils en moi, il sortit de ma chatte et s'empala jusqu'à la garde dans mon cul, sans préambule, ce qui me procura une fulgurante douleur mais je me retins de crier.
- Le Doc t'a tellement baisé que le passage et déjà fait ! Putain, oui ! Il a raison le Doc tu es pleinement baisable ! Continua-t-il en me besognant vigoureusement.
Je prenais sur moi pour ne laisser aucun son s'échapper de ma bouche. Mais au fil de ses profonds vas et viens, c'était de plus en plus agréable et de moins en moins douloureux tellement j'aimais ce que Le Maître faisait ressentir à mon corps. Je pensais à autre chose pour me changer les idées mais je ne pus me retenir et un gémissement mélangé par la douleur qui s’estompait et le plaisir qui prenait le dessus et qui montait en moi.
- Je t'ai dit de te taire soumise, m'ordonna Le Maître en me fessant durement.
Il continua à me besogner en passant de ma chatte à mon cul dans un rythme soutenu. Un autre gémissement allait m'échapper mais je pus cette fois le retenir. Le Maître éjacula dans ma chatte avant de finir dans mon cul ou il resta enfoncé longtemps en coït anal profond et sans bouger. Je pouvais sentir les soubresauts de sa queue dans mon fondement et me sentit vraiment bien remplie… Au bout de longues minutes, il se retira, se redressa et se rhabilla après m'avoir fait me redresser et nettoyer sa noble verge avec ma langue.
- Tu m'as désobéi, ma chienne. Un gémissement t'a échappé alors tu vas être puni : me dit-il en attrapant une poignée de mes cheveux et levant mon visage.
Il resserra fortement ses doigts dans mes cheveux et cela me fit mal. Il attrapa ma laisse et me fit le suivre dans différents couloirs. Nous arrivâmes devant une grande double-porte massive en chêne verni qu'il ouvrit avec une clé sortie dans son pantalon. Il me fit pénétrer dans la pièce puis ferma celle-ci.
- Observe une de mes salles punitives, ma chienne. Étant donné que tu as su te retenir à certains moments, je serais miséricordieux avec toi par une punition allégée. Donne-moi un nombre entre un et dix !
- Sept Maître, répondis-je sans réfléchir.
- Bien, alors place toi le ventre devant la croix saint-André, là, regarde elle se trouve dans le coin…
Je m’y rendis doucement en quadrupédie. Puis je restais dans cette position jusqu'à ce Le Maître s’approcha de moi. Je pus observer des menottes pendre de chaque côté de la croix. Le Maître tira sur ma laisse pour me faire mettre debout. Il me poussa dans le dos jusqu'à ce que mes seins appuient sur la croix. Le Maître me fit lever les mains au-dessus de ma tête puis installa les menottes, m’obligeant ainsi à garder les bras largement levés. Puis il fit de même avec mes chevilles qu’il fixa sur deux anneaux au sol positionnés et scellés à 50 centimètres devant la croix et ainsi il put maintenir mes jambes largement ouvertes et ce qui m’obligea à reculer mon cul bien en arrière.
- Cambre-toi au maximum ! La punition que j'ai choisie pour toi sera que tu recevras sept coups de trois objets différents ! Si tu arrives à ne pas crier ou à n’émettre le moindre son, je ne recommencerais pas la punition depuis le début ! Je vais te bander les yeux aussi. Je veux que tu réfléchisses avec quoi, je te punis. Je te demanderais et une fois la punition effectuée, je serais de nouveau fière et satisfait de toi si tu devines avec quoi je t’ai punie…
Je me détendis au maximum et ensuite la punition commença. La douleur me paraissait énorme alors que mes sens étaient augmentés par le manque de la vue. Je me concentrais sur les jouets de torture choisis par Le Maître. Je pus discerner une raquette au départ, puis un fouet et enfin une cravache. Je n'étais pas du tout sûre de cette dernière. La punition terminée, Le Maître s'enfonça de nouveau dans mon cul par une fulgurante pénétration subite. Cela était certes une punition mais j'étais totalement excitée par cela, tellement que mes jus glissaient sur mes cuisses. Il me baisait ainsi, moi les poignets solidement menottée à la croix et les chevilles aux anneaux, avec mon cul si bien offert et enfin au bout d’un long et si savoureux moment, il éjacula dans mon cul en d’épais flots de spermes par saccades. Sentir Le Maître faire ses allés et retours en moi alors qu'il touchait mon postérieur douloureux me faisait frissonner de douleur mais aussi d’un incroyable plaisir jouissif et mental. Il détacha mes poignets et mes chevilles puis reprit ma laisse. Il exigea de nouveau que je lui nettoie de ma langue sa noble verge ramollie… Puis nous sortîmes et il me confia à son Majordome pour que je sois ramenée au Cachot... Une fois arrivée à celui-ci, Walter me laissa seule. Je partis boire dans mon écuelle et je me couchais sur la paillasse ou je m'endormis rapidement, la tête remplie de si bons moments que je venais de vivre, je me sentais vraiment chienne, je me sentais tout simplement ce que j’étais devenue, une soumise et j’étais si bien en moi, si heureuse de cette sublime réalité …
(A suivre...)
Le Doc me fit approcher de la table. Puis, il s'assit à la droite du Maître. Je restais en quadrupédie sur le côté de la table. La tête baissée, j'écoutais la conversation entre les deux Dominants.
- Mon cher ami, Monsieur le Marquis, j'ai passé une soirée et une nuit absolument magnifiques. Vous nous avez tellement bien reçu. Vos soirées sont toujours aussi grandioses. Quant à ma nuit, elle a été au-delà, de mes attentes et je peux vous assurer que vous avez parfaitement su dresser cette petite chienne dans une absolue obéissance...
- Dois-je en conclure que Ma soumise a su vous satisfaire ?
- Tout-à-fait ! Vous pouvez en tirer cette conclusion ! Elle a répondu amplement à mes attentes et elle a même prit quelques initiatives qui m'ont totalement comblé…. Hélas, je vais devoir vous quitter après ce petit déjeuné. Je dois me rendre à mon domicile, avant d'aller à l'hôpital voir mes patients...
- Il n'y a pas de souci, très cher ! … Cypris MDE, met-toi sur le tapis, là juste derrière toi et en position de levrette, ensuite tu prends ta laisse en bouche comme une bonne chienne, je m'occuperai de toi quand ce cher Doc sera parti.
Je me positionnais donc sur le tapis et me mis en levrette, exposant ainsi mon fessier arrondi largement exhibé dévoilant mon intimité totalement épilée et bien offerte. Je tendis les bras bien en avant et posa la tête, au sol, sur le côté et restait ainsi immobile à attendre le bon plaisir du Maître. Je n'entendais plus la conversation entre les deux hommes. Après ce qui me sembla une éternité, je pus discerner que l'on fermait la porte. Je restais dans la position demandée alors qu'un bruit de chaise, que l'on reculait, se faisait entendre. Je sentis Monsieur le Marquis d’Evans se rapprocher de moi. Je restais dans la même position sans bouger en faisant attention à ce que mon regard ne croise pas celui du Maître, mon champ de vision voyant ses Nobles pieds. Le Châtelain s'agenouilla sur mon côté. Puis il passa doucement ses mains sur mon dos, caressa longuement et avec douceur mes fesses arrondies, ensuite il alla fouiller mon sexe, insinua sa main entre mes lèvres intimes avec deux doigts dans mon vagin déjà trempé d’excitation et le pouce qui appuyait contre mon clitoris. Il me masturba sans précipitation doucement et ainsi longtemps et je ne pus retenir de longs gémissements de plaisir quand il tournoyait son pouce sur mon clito gonflé de désir tandis que ses deux doigts allaient et venaient profondément dans mon antre humide. Puis sans prévenir, il retira sa main pour me donner subitement une bonne fessée qui claqua fortement et résonna dans toute la pièce.
- Mon ami m'a dit que tu as été très bonne et entièrement soumise à ses exigences. Il m'a expliqué aussi comment tu l'avais réveillé et comment tu étais excitée alors qu'il t'avait bondagé et baisé ainsi ! Répond moi !
- Oui Maître, je souhaitais tant vous faire honneur, être digne de vous, être digne d’être sous votre joug, Maître. Et montrer toute votre grande et efficace initiation envers ma petite personne ! Maître, j'ai vraiment aimé être bondagée et j'espère que j'aurais l'occasion de revivre cette expérience. Car j'aimerai savoir si j'étais excité parce que c'était tout nouveau pour moi ou parce que j'aime vraiment cela.
- Humm ! T'imaginer encordée et vraiment excitant chienne, je l’avoue ! … Mais pour l’heure, je vais te baiser là tout de suite sur ce tapis ! Ne bouges pas et je ne veux pas t'entendre, m'ordonna-t-il.
Je restais ainsi sans bouger d'un millimètre. Le Maître se positionna derrière moi et enfonça de nouveau ses deux doigts dans ma chatte.
- Tu es encore bien trempée, ma chienne ! Pas besoin de vérifier plus si tu es prête !
Alors qu'il n'avait pas terminé sa phrase, je sentis déjà la grosse et noble queue du Maître me remplir jusqu'à la garde en une seule poussée puissante et virile. Je me sentais tellement pleine, si bien remplie. Le Docteur était certes bien membré mais la verge du Maître était bien plus longue et épaisse. Quand il me prenait ainsi, je me sentais étirée, totalement possédée et mon orifice vaginal complètement empli que ce soit en longueur ou par son épaisseur. Il me besogna ainsi pendant un long moment en de francs coups de boutoir puissants.
- Humm ! Tu es encore tellement serrée autour de ma verge !
Alors, il accéléra ses coups de reins en moi et je sentais ses testicules frapper mon clitoris à chaque fois. Quand il jugea suffisant ses coups virils en moi, il sortit de ma chatte et s'empala jusqu'à la garde dans mon cul, sans préambule, ce qui me procura une fulgurante douleur mais je me retins de crier.
- Le Doc t'a tellement baisé que le passage et déjà fait ! Putain, oui ! Il a raison le Doc tu es pleinement baisable ! Continua-t-il en me besognant vigoureusement.
Je prenais sur moi pour ne laisser aucun son s'échapper de ma bouche. Mais au fil de ses profonds vas et viens, c'était de plus en plus agréable et de moins en moins douloureux tellement j'aimais ce que Le Maître faisait ressentir à mon corps. Je pensais à autre chose pour me changer les idées mais je ne pus me retenir et un gémissement mélangé par la douleur qui s’estompait et le plaisir qui prenait le dessus et qui montait en moi.
- Je t'ai dit de te taire soumise, m'ordonna Le Maître en me fessant durement.
Il continua à me besogner en passant de ma chatte à mon cul dans un rythme soutenu. Un autre gémissement allait m'échapper mais je pus cette fois le retenir. Le Maître éjacula dans ma chatte avant de finir dans mon cul ou il resta enfoncé longtemps en coït anal profond et sans bouger. Je pouvais sentir les soubresauts de sa queue dans mon fondement et me sentit vraiment bien remplie… Au bout de longues minutes, il se retira, se redressa et se rhabilla après m'avoir fait me redresser et nettoyer sa noble verge avec ma langue.
- Tu m'as désobéi, ma chienne. Un gémissement t'a échappé alors tu vas être puni : me dit-il en attrapant une poignée de mes cheveux et levant mon visage.
Il resserra fortement ses doigts dans mes cheveux et cela me fit mal. Il attrapa ma laisse et me fit le suivre dans différents couloirs. Nous arrivâmes devant une grande double-porte massive en chêne verni qu'il ouvrit avec une clé sortie dans son pantalon. Il me fit pénétrer dans la pièce puis ferma celle-ci.
- Observe une de mes salles punitives, ma chienne. Étant donné que tu as su te retenir à certains moments, je serais miséricordieux avec toi par une punition allégée. Donne-moi un nombre entre un et dix !
- Sept Maître, répondis-je sans réfléchir.
- Bien, alors place toi le ventre devant la croix saint-André, là, regarde elle se trouve dans le coin…
Je m’y rendis doucement en quadrupédie. Puis je restais dans cette position jusqu'à ce Le Maître s’approcha de moi. Je pus observer des menottes pendre de chaque côté de la croix. Le Maître tira sur ma laisse pour me faire mettre debout. Il me poussa dans le dos jusqu'à ce que mes seins appuient sur la croix. Le Maître me fit lever les mains au-dessus de ma tête puis installa les menottes, m’obligeant ainsi à garder les bras largement levés. Puis il fit de même avec mes chevilles qu’il fixa sur deux anneaux au sol positionnés et scellés à 50 centimètres devant la croix et ainsi il put maintenir mes jambes largement ouvertes et ce qui m’obligea à reculer mon cul bien en arrière.
- Cambre-toi au maximum ! La punition que j'ai choisie pour toi sera que tu recevras sept coups de trois objets différents ! Si tu arrives à ne pas crier ou à n’émettre le moindre son, je ne recommencerais pas la punition depuis le début ! Je vais te bander les yeux aussi. Je veux que tu réfléchisses avec quoi, je te punis. Je te demanderais et une fois la punition effectuée, je serais de nouveau fière et satisfait de toi si tu devines avec quoi je t’ai punie…
Je me détendis au maximum et ensuite la punition commença. La douleur me paraissait énorme alors que mes sens étaient augmentés par le manque de la vue. Je me concentrais sur les jouets de torture choisis par Le Maître. Je pus discerner une raquette au départ, puis un fouet et enfin une cravache. Je n'étais pas du tout sûre de cette dernière. La punition terminée, Le Maître s'enfonça de nouveau dans mon cul par une fulgurante pénétration subite. Cela était certes une punition mais j'étais totalement excitée par cela, tellement que mes jus glissaient sur mes cuisses. Il me baisait ainsi, moi les poignets solidement menottée à la croix et les chevilles aux anneaux, avec mon cul si bien offert et enfin au bout d’un long et si savoureux moment, il éjacula dans mon cul en d’épais flots de spermes par saccades. Sentir Le Maître faire ses allés et retours en moi alors qu'il touchait mon postérieur douloureux me faisait frissonner de douleur mais aussi d’un incroyable plaisir jouissif et mental. Il détacha mes poignets et mes chevilles puis reprit ma laisse. Il exigea de nouveau que je lui nettoie de ma langue sa noble verge ramollie… Puis nous sortîmes et il me confia à son Majordome pour que je sois ramenée au Cachot... Une fois arrivée à celui-ci, Walter me laissa seule. Je partis boire dans mon écuelle et je me couchais sur la paillasse ou je m'endormis rapidement, la tête remplie de si bons moments que je venais de vivre, je me sentais vraiment chienne, je me sentais tout simplement ce que j’étais devenue, une soumise et j’étais si bien en moi, si heureuse de cette sublime réalité …
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