SOUMISE PAR HASARD ET FIERE DE L'ETRE
Récit érotique écrit par Claude032 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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SOUMISE PAR HASARD ET FIERE DE L'ETRE
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
CHAPITRE 4 – FORMATION
Pauline m'initie à l'amour au féminin, je répond à ses caresses par des caresses identiques, et apprend à utiliser un gode, en un rien de temps elle parvient à me faire jouir, je lui rend la pareille, j’apprends à avoir ma langue dans un sexe de femme, son anus, à lécher ses seins, l'embrasser, la caresser, le Maître, nous regarde l'air intéressé.
Pauline, va chercher ce qui est nécessaire, élargi lui le cul avec ta main, ramène ce qu'il faut pour qu'elle t'en fasse autant...
Pauline revient, s'enduit la main de lubrifiant, me demande de me positionner à genoux, la tête sur le lit, cul cambré, puis elle lubrifie mon anus et entreprend de faire pénétrer sa main, le maître a pris une cravache et me cingle le dos, Pauline continue de dilater mon anus (la douleur est horrible, il y a moins de 24 h, mon anus était vierge), puis sa main rentre, je l'entend annoncer sa réussite.
Maître, regardez j'ai forcé le cul de votre soumise, maintenant, je vais l'élargir..., le Maître positionne une glace, je peux voir Pauline, rentrer sa main dans mon anus, la ressortir, rentrer les doigts de ses deux mains, élargir ainsi mon petit trou (la douleur est encore intense, mais je m'habitue), le Maître me tend la vaseline et m'ordonne redresse-toi et fais lui en autant..., maladroitement, je copie ses gestes, puis est-ce l'instinct, mon instinct de pute/salope, je trouve les gestes à faire et je dilate à mon tour l'anus de Pauline, Pauline, apprécie cette caresse et ne tarde pas à jouir.
Le Maître nous envoie nous laver et nous invite à revenir dans le lit.
Il se recouche, s'endort, nous en faisons autant.
Une main de me secoue, Pauline est déjà debout, lève toi, assez dormi, a genoux sur le lit, présente moi tes seins avec tes mains.
J'obéis immédiatement, le Maître joue avec mes pointes qui s'érigent et durcissent, puis ouvrant la bouche les aspire, puis me mord fortement, je grimace, il me regarde, m'embrasse, j'ai la marque de ses dents imprimées sur un sein, il aspire l'autre, je grimace à nouveau, l'autre sein est marqué.
Je suis mise à plat ventre, les jambes au sol, il lubrifie mon anus en crachant dessus, puis me pénètre sans précaution, la douleur est intense, je suis à nouveau sodomisée, je ne tarde pas à réagir et éprouve à nouveau du plaisir.
Le Maître termine, se vide dans mon conduit, se dégage, je me retourne et l'embouche, puis récupère ce qui suinte de mon cul, le recueille, le lèche, l'avale.
Vas te laver dans la salle de bains, prend une douche.
Je n'avais jamais vu une salle de bains pareille, il y a même un appareil pour chauffer l'eau, je profite de la douche, me sèche, vais me coiffer à l'aide des brosses qui sont disposées sur une coiffeuse.
Je reviens, le Maître est vautré dans un fauteuil, je m'assied à ses pieds, il fait beau en ce moi de mai 1932, il porte un short, je glisse ma main dans un jambe du short pour tenter d'y saisir son sexe, y parvient et le caresse.
Angèle et Hubert se sont levés, ils nous souhaitent le bonjour, et partent déjeuner dans la cuisine.
Le Maître me caresse la poitrine, joue avec mes seins j'ai ai vraiment eu le nez creux, tu es une sacrée salope, une maso de première et tu as toutes les qualités pour devenir soumise et pute à la demande, je t’enverrai faire tes armes dans un bordel, samedi prochain, je te marquerai au fer rouge, comme l'esclave que tu es, se doit être marquée...
Angèle et Hubert ont fini de déjeuner, on fait leurs eaux, Maître Jean leur demande de le rejoindre dans le donjon.
Il me fait me lever, me croche par les cheveux, suis moi dans le donjon...
Je suis attachée sur un table, je suis sur le le dos, bras et jambes écartés, le Maître me passe de l'alcool sur mes seins.
Il sort du donjon, je le suis du regard et reviens, ouvre une trousse en sort des tiges, des pinces, Pauline ne tarde pas à arriver avec un brasero puis une casserole d'eau bouillante qu'elle pose sur le brasero.
Le Maître jette des aiguilles, des sortes de cônes, les pinces dans l'eau qui bout, Pauline dispose une serviette de toilette propre, revient avec du coton et de l'alcool.
Au bout de quelques minutes le Maître désinfecte une pince avec de l'alcool, récupère ce qui bouillait dans la casserole et le dispose sur la serviette.
Il prend une corde, me l'enroule autour des seins en serrant, prend une sangle, attache mon torse à la table, une autre sangle attache mes cuisses également à la table, un morceau de bois est placé dans ma bouche.
Il agace mes seins, les mamelons s'érigent, il prend une pince, tire sur le mamelon de mon sein droit, Hubert lui passe une aiguille, j'ai compris, je mord le morceau de bois, le Maître me transperce le mamelon avec l'aiguille, prend une sorte de tube conique, l'enfonce dans mon mamelon en repoussant l'aiguille, il prend ensuite une tige en or, la visse dans le tube conique, le tire avec une pince, mon mamelon est de nouveau traversé, la tige réapparaît de l'autre côté, malgré la douleur, je ne tressaille pas, je ne laisse pas échapper de gémissement, j'ai compris que le maître m'annelait, me posait les signes qui m'identifient comme soumise, je suis immensément fière du traitement que l'on me fait subir.
Le Maître dévisse le tube conique, prend une boucle en or en forme de fer à cheval, la positionne devant le tube, le fixe à l'aide de deux vis terminées par des boules.
La boucle de sein est en place, le Maître joue avec, essuie le sang qui coule de mon mamelon transpercé.
Il procède de même avec l'autre sein.
Une glace m'est tendue pour que je puisse voir ma poitrine décorée des deux anneaux d'or.
Mon clitoris est dégagé, excité, quand il pointe, le Maître procède de la même façon, à la différence que l'anneau est directement placé dans le tube conique et resserré à la pince, je peux admirer aussi mon clitoris désormais annelé dans une glace.
Chacune de mes lèvres est percée à deux endroits, des anneaux y sont passés et fixés de la même manière qu'à mon clitoris.
Le sang est essuyé, je suis désinfectée, détachée et autorisée à me regarder dans la grande glace du donjon.
Je me regarde et me trouve magnifique, mes seins décorés par les boucles en or, mon sexe aussi, je me retourne, saute au cou du Maître, l'embrasse en le remerciant du cadeau qu'il vient de me faire, le Maître me rend mes baisers, j'embrasse Angèle, Hubert, Pauline en les remerciant...
Tu n'as pas bougé, tu n'as trop eu mal ?, me demande le Maître.
Non Maître, quand j'ai compris ce que vous alliez me faire, j'étais folle de joie, c'est douloureux, mais supportable, je ne bougerai pas plus quand vous me marquerez au fer rouge, à vôtre marque, j'en rêve déjà, vous verrez je supporterai, je vous remercie de m'avoir ainsi annelée, ces anneaux m'attachent à vous plus que des liens ou des cordes, je suis votre esclave et j'en suis fière, dire qu'il y a 24 heures j'étais vierge... vous ne pouvez pas savoir comme je suis fière et heureuse, merci Maître... merci...
Angèle m'explique comment je vais devoir nettoyer, soigner le temps que durera la cicatrisation, et que désormais à part le Maître, plus personne ne pourra me prendre dans mon sexe avant quelques mois... il ne s'agit pas d'attraper une infection...
Pauline boude, le Maître s'en rend compte et lui demande ce qui ne va pas.
Vous ne lui avez pas posé au moins les anneaux que vous aviez acheté pour moi, c'est vrai, je n'ai pas voulu me laisser faire, vous avez accepté, mais maintenant j'ai aussi envie d'en porter, en plus, elle n'a pas eu l'air de souffrir beaucoup...
Le Maître lui coupe la parole ce ne sont pas tes anneaux, mais si tu es d'accord, je te les pose tout de suite, mais attention, jusqu'à présent tu étais une compagne de jeu acceptant la soumission et ce qu'elle comporte, si je t'annelle, tu deviens une esclave, c'est bien compris, alors réfléchit...
J'accepte d'être une esclave... il n'y aura pas beaucoup de changement avec ma condition actuelle, je suis bien avec vous, je vous aime, vous et Maîtresse, vous avez toujours été bons avec moi, j'accepte...
Le Maître part dans la salle à manger, revient avec un verre plein d'un liquide ambré, le tend à Pauline Bois ça, le verre en entier...
Pauline, commence à boire, tousse c'est fort, qu'est ce que c'est ?
Du whisky et je t'ai mis la dose, dans une demi-heure, je te pose tes anneaux, alors ne discute pas et avale..., je te connais, alors à moitié pompette, tu te laissera faire...
Pauline s'exécute et avale la dose de whisky à assommer un cheval.
Pauline est annelée sans problème particulier, elle gémit un peu, mais le Maître l'ayant anesthésiée avec sa boisson, c'est une Pauline riant, titubant, qui admire ses anneaux dans la glace, elle est annelée de la même façon que moi...
Angèle l'accompagne dans sa chambre, elle va cuver... dormir....
Nous sommes dans le salon, je suis assise sur les genoux de mon Maître, qui joue avec mes anneaux, je joue aussi avec, nous discutons.
Tu sais jouer au tennis, Aglaé ?... me demande Maîtresse Angèle.
Oui, mais cela fait des années que je n'ai pas jouée, j'ai appris au pensionnat et ma fois me défendait, je dois être bien rouillée maintenant...
Tu t'y remettra, nous pourrons jouer ensemble, parce contre les 2 garçons, je perds toujours, il est vrai que nue et avec un gode dans le cul, c'est spécial, mais Jean adore voir bouger mes seins quand je joue, alors...
Maître, qu'est ce que c'est que la cicatrice que vous avez au bras et au torse ?
Guerre de 14-18, j'ai été incorporé en 17, école d'officier, je suis arrivé au front en février 18, en mars un obus est tombé sur l'abri qu'occupait ma section, j'ai pris un éclat, 6 mois d'hôpital et 6 mois de convalescence et rééducation, c'est ainsi que j'ai connu Angèle, je logeais chez ses parents qui accueillaient des blessés dans leur maison, elle s'est occupée de moi et des autres et après surtout de moi..., j'ai eu de la chance, 15 braves types y sont restés ce jour là..., je hais la guerre et les cons qui la déclenchent, une belle saloperie...
Hubert confirme une belle connerie... une boucherie... honteux...
Lui aussi avait été blessé, c'est comme ça qu'ils sont devenus amis avec Jean, étant tous les deux notaire, Hubert a préféré laisser l'étude paternelle à son frère et venir travailler avec Jean.
Un coup de sonnette, Hubert va ouvrir.
Il revient, suivant une femme, blonde, potelée, fortement poitrinée, jolie comme un cœur, il a relevé sa jupe et lui caresse les fesses nues ainsi dévoilées, la femme ne paraît pas du tout incommodée, gênée par cette caresse.
Jean et Angèle se lèvent et embrassent l'arrivante bonjour Marcelle, alors tu es venue prendre ta ration de cravache du week-end, et l'autre andouille, toujours à faire chier les indochinois, il revient quand en perme...
Il revient en juillet, pour trois mois, je vais devoir le supporter trois mois, dont un à Vichy, en cure, son foie, alors je devrai arrêter de voir mon Hubert fin juin et ne peut plus être cravachée ou attachée à partir de mi-juin, plus de sodomie aussi, il faut laisser le temps à mon petit trou de se refermer, tu sais que je marque tout de suite, si mon cornard de Capitaine de mari, me voit avec des marques il aura des doutes... sur ma fidélité...
Tous quatre éclatent de rire.
Il m'est expliquée que Marcelle a été mariée contre son gré, par ses parents, à un lointain cousin plus âgé qu'elle, Capitaine dans la coloniale et actuellement en Cochinchine, un parfait soudard, qui le soir des noces, alors qu'elle était vierge, lui a fait la totale, sodomie, fellation, dépucelage... lui refilant au passage une maladie honteuse...un gentleman... le Capitaine Gaétan Hutard...
Un jour, elle eu affaire à l'étude, Hubert s'est occupé de son dossier, puis d'elle... depuis presque deux ans, ils filent le parfait amour... Andrée est la soumise d'Hubert, le seul regret de celui-ci est de ne pouvoir la marquer, l'anneler.
Marcelle me félicite pour mes anneaux, et s'inquiète Pauline est souffrante, ou bien est-elle avec Elie ?,
Maître Jean lui explique la pose des anneaux de Pauline et le stratagème utilisé, Marcelle rigole franchement.
Il m'est expliqué qu'Elie un ancien de 14-18, il a connu Jean dans les tranchées, est devenu vagabond, inadapté, il est arrivé par hasard ou pas, dans la ville, Jean lui a confié l'entretien du jardin, du parc, il habite une maison au fond du parc et cultive le jardin, des légumes, fruits, sont fournis à la maison, il vend le reste et en tire de quoi vivre, il est l'amant de cœur de Pauline, qui apprécie un sexe hors norme, malgré le fait que le bonhomme et l'hygiène soient en froid, Elie dégage un fumet redoutable, mais c'est un brave garçon.
(Vraiment mon Maître est un anticonformiste incroyable, s'il fait et j'en suis sûre son travail efficacement et correctement, dans la vie privée, il ne respecte aucun code de la morale traditionnelle, c'est un révolté dans son genre, Angèle et les autres aussi, moi aussi en fait...), ces pensées me laissent songeuse...
Maîtresse Angèle me dit viens nous allons préparer le repas, Hubert va s'occuper de Marcelle, nous irons voir, tu vas voir, c'est assez drôle...
Un poulet a été mis à cuire dans le four, j'épluche des pommes de terre pour faire des frites, en dessert il y a de la crème qu'avait fait Pauline.
Je pars disposer les assiettes et les couverts sur la table qui est dans le jardin, Angèle m'appelle, me prend dans ses bras, m'embrasse et me pelote sans retenue, je me laisse faire, j'aime ça, elle me prend par la main, nous nous rendons dans le donjon.
Hubert a attachée Marcelle qui le supplie de la marquer et de lui défoncer le cul, pour que son mari ne se doute de rien, elle doit rester au moins deux mois non prise par cet endroit, aussi elle veux qu'il lui fasse un cul comme une porte de grange..., qu'il la marque comme la chienne qu'elle est, la traite comme une bête...
Hubert, serviable s'efforce de répondre à toutes ses attentes, présentement il est en train de sodomiser sa soumise avec une canette de bière, la dame apprécie et le fait savoir..., particularité, elle a la poitrine complètement aplatie par deux planches recouvertes de clous et serrées par des poignées, et semble apprécier, puisqu'elle demande à Jean de lui martyriser les seins... Jean s'exécute, des aiguilles sont enfoncées, la cire coule... la cravache claque...
On frappe à la porte, Maître Jean va ouvrir, je le suis Bonjour mon lieutenant, je n'ai pas vu Pauline aujourd'hui...
Maître Jean explique l’infibulation et ordonne à Élie d'aller se laver dans la salle de bains, sinon il va coller une infection à sa dame de cœur, Maître Jean, me charge d'aller nettoyer Élie, et s'il en a envie, une fois propre de le sucer ou de lui présenter mon cul.
Cela fait deux fois que je vide la baignoire, l'eau était d'une couleur, je lave Elie, insiste sur son sexe, je n'ai jamais vu un engin pareil, je ne savais pas que cela existait, 6-7 cm de diamètre et pres d'une vingtaine de long, il bande, un phénomène de foire..., j'en ai envie (je suis vraiment une salope née, mon Maître à raison, j'ai toujours envie de sexe...).
Elie se laisse sucer, apprécie, je me retourne, serre les dents, la sodomie qui suit est somptueuse, je hurle mon plaisir, nettoie le sexe avec ma bouche et ramène Elie dans le donjon.
Elie est invité à sodomiser Marcelle, qui elle aussi hurle à son tour son plaisir.
Maîtresse me prend par la main, m'entraîne vers la chambre, nous y pénétrons, elle a envie que je lui fasse l'amour.
J'obtempère et bientôt des feulements de plaisir sont la récompense de mes actions, je suis félicitée pour mon efficacité dans cet exercice, et mon apprentissage ultra-rapide.
Maîtresse et moi devisons, elle me donnent quelques conseils que je me promets de mettre en pratique, ses conseils seront utiles quand je lui ferai de nouveau l'amour et surtout utiles vis à vis des Maîtres, je remercie ma Maîtresse.
Nous sommes dans le jardin,nous déjeunons, tout le monde est nu, l'ambiance décontractée, à la rigolade.
Nous avons fini de manger, Maître Jean plaisante avec Marcelle : alors c'est ta dernière séance avant plusieurs mois, cet après-midi avec Hubert, ne vous gênez pas pour nous, profitez..., mais ne l'épuise pas trop, demain il travaille...
Marcelle me tend la main, je suis invitée à venir m'asseoir sur ses genoux, elle me caresse, joue avec mes nouveaux anneaux et me dit qu'elle m'envie, m'embrasse.
Maître Jean discute avec Elie : Angèle va ouvrir une agence immobilière, je sais que tu t'y connais en maçonnerie, j'aimerai que tu fasses les travaux, la peinture, il est temps que tu arrêtes de jouer les hommes des bois et reviennes à la civilisation, d'autant plus que tu vas avoir à gérer Pauline, elle est comme « A », elle a besoin d'être dressée, dominée, elle t'aime, alors ne refuse pas le bonheur...
Elie acquiesce oui mon Lieutenant... je suis d'accord... vous avez raison...
Pauline qui entre temps nous avait rejoint, pleure, Elie la prend sur ses genoux, lui promet de refaire la maison qu'il habite et ensuite ils vivront ensemble, Pauline assurera toujours le service chez Maître Jean, le soir elle rejoindra son Maître, néanmoins elle devra continuer à obéir en tout à ses patrons, Pauline acquiesce en pleurant de joie...
Jean, tu arbitres mon cœur, nous allons faire un tennis avec Aglaé, ça va te plaire, de jolis nénés comme les nôtres qui ballotent...
En un tour de main, deux godes sont introduits dans nos anus, les ceintures qui les maintiennent attachées, Angèle joue réellement bien, petit à petit des automatismes reviennent, je renvoie de plus en plus souvent les balles, le spectacle que nous offrons, nues... poitrines ballantes réjouit notre maître, il nous le fait savoir, un souci cependant, les anneaux me gênent et la sueur picote à leur emplacement, nous faisons une partie en deux sets, bien évidement je perd, la maîtresse me félicite toutefois.
Après la douche, nous nous couchons, le Maître, la Maîtresse et moi, le Maître est au milieu, nous lui prodiguons des caresses, je mets en pratique ce que m'a appris Maîtresse, je suis félicitée...
(J'ai découvert à ma grande surprise que j'adore lécher un sexe de femme et jouer avec un sexe d'homme, jouer avec la tige, les couilles, caresser, lécher, branler, tout cela ne m'a coûté aucun effort d'adaptation, instinctivement j'ai trouvé les gestes, je suis vraiment faite pour la bite (comme dit Maître Jean), j'en suis très heureuse...).
Maîtresse, puis-je vous demander une faveur ?
Bien sûr, ma belle accordée..., Maître Jean nous regarde d'un air intéressé.
J'aimerai, dans la mesure où cela ne vous contrarie pas, essayer les vêtements que vous me prêterez demain et mardi, ainsi qu'une tenue de pute de bordel, comme vous me l'avez décrite...
Viens...
Je n'avais pas prêté attention, une porte s'ouvre depuis la chambre, je suis Angèle (elle m'a demandée de l’appeler ainsi, elle en a assez des « Maîtresse », nous entrons dans son « dressing », je n'avais jamais imaginé cela, une pièce remplie de costumes, tenues pour Maître Jean et de robes, tailleurs, que sais-je pour Angèle, tout est disposé sur des cintres.
Alors, voyons pour toi, demain, tu vas être prise par tous, donc jupe, chemisier, après tu essaieras ces deux tailleurs, la veste devrait te serrer, nous avons sensiblement la même taille, mais ta poitrine est plus volumineuse, tailleur demain, Jean va adorer...
J'enfile le chemisier, effectivement j'ai une poitrine plus volumineuse que celle d'Angèle, le chemisier est tendu au maximum au niveau de mes seins, Angèle a disposé sur mes boucles un mouchoir, un peu de lymphe sourd de mes seins, elle ne veut pas tâcher le chemisier, je passe la jupe du tailleur, je flotte un peu dedans, avec la ceinture ça va, j'enfile la veste, effectivement ma poitrine est dessinée de manière quasi indécente, (j'adore...).
Attend, enfile ça...
Angèle me tend, un porte-jarretelles, des bas, j'enlève la jupe, passe ce qui m'a été tendu, enfile soigneusement les bas, fixe les jarretelles, remet la jupe, reboutonne la veste, Angèle me tend un paire de chaussures aux talons assez hauts, coup de chance, c'est ma pointure...
Allez, je te suis, file voir Jean, tu auras de la veine, s'il ne te viole pas, quoique te violer !... salope d'amour...
Maître Jean, me regarde eh bé.... splendide..., magnifique... (il siffle d'admiration), tourne sur toi-même, relève ta jupe jusqu'au nombril...
J'obéis, faisant saillir mon ventre,mon cul, mes seins à la demande...
J'ai une légère envie de viol, va passer une jupe... avant lève ta jupe et trois doigts dans le cul... et on tourne pour élargir...
Je m'exécute...
Angèle rigole... je te l'avais dit, je le connais l'asticot...
Nous retournons dans le dressing, j'enfile un nouveau chemisier, une jupe, retourne me présenter, Maître Jean aime, mais ce n'est pas ça, après quatre essayages il se déclare satisfait. Je sais donc quelle tenue je dois porter demain.
Angèle m'aide à passer un corset, m'aide à le lacer, mes seins sont libres, ils jaillissent littéralement du corset, Angèle le serre au maximum, cela me fait une taille de guêpe, je m'admire dans la glace, ma croupe est cambrée, mes hanches soulignées, ma poitrine saillante, avec le porte-jarretelles et les bas, je suis un véritable appel au sexe.
J'aide Angèle a revêtir une tenue similaire. Nous allons dans la salle de bains nous maquiller outrageusement, j'ai quelques problèmes pour marcher les nouvelles chaussures que m'a prêté Angèle ont des talons vraiment très hauts, je ne suis guère habituée à marcher avec des chaussures à talons aussi hauts.
Une fois maquillées nous pénétrons dans la chambre de nôtre seigneur et Maître, il siffle d'admiration, se lève, nous prend chacune dans ses bras, nous palpe, nous fait tourner, et nous invite à nous coucher près de lui.
Il nous caresse chacune tour à tour, joue avec nos seins, nos orifices, nous lui offrons le charmant spectacle de deux femmes faisant l'amour, chacune à tour de rôle accroupie sur la figure de l'autre pour se faire lécher le sexe et l'anus, un beau spectacle saphique pour un fin connaisseur qui se termine par des cris de jouissance (j'ai appris très vite).
Pour ce soir « A », comme je suis très content de ton comportement, tu laisses tomber le « maître », tu m'appelles Jean ou Jeannot, comme tu veux, et tu as le droit de me demander ce que tu veux, je le ferai, on inverse un peu les rôles...
Jean, j'ai envie dans mon ventre, depuis que j'ai l'anneau au clitoris, j'ai envie, j'ai toujours envie... c'est fou... mais j'en suis heureuse, j'aimerai que tu me dilates le cul avec ta main, pour faire le passage à ta main, puis me reprenne contre le mur dans ma bouche, ensuite aller dans le donjon, me pendre par les seins, me fouetter et enfin me ramener dans le lit pour me faire l'amour...
Je sais que cela peut te paraître difficile à comprendre, mais j'aime être fouettée, j'aime la douleur, j'aime être contrainte, je suis réellement maso et soumise naturellement, j'ai eu au cours de ces deux jours, la révélation de ma véritable nature, et je n'en ai pas honte, d'autant plus que je vous aime d'amour, toi et Angèle, je vous aime, vous appartient, suis votre esclave soumise, j'en suis extrêmement fière et contente de l'être, vous n'imaginez pas de l'enfer dont vous m'avez sortie, mes parents, leurs idées courtes, toutes faites et vous et Angèle qui êtes si ouverts aux autres, si tolérants, non je ne regrette rien.
Angèle m'embrasse, elle pleure veux tu être mon amie Aglaé ?
Oui, Angèle, ton amie, ta confidente, tout comme moi envers toi, tu es une personne remarquable que j'admire Angèle, oui de tout cœur..., nous pleurons en nous embrassant dans les bras l'une de l'autre.
Jean nous regarde ému, puis me prend par un bras, me dit de m'agenouiller sur le lit, me positionne la tête sur le drap, le cul cambré, ouvert, écarté, offert..., j'écarte mes fesses avec mes mains.
Il prend un tube de lubrifiant, s'en enduit la main, sa main commence son travail de pénétration, je sens un, deux, trois puis quatre doigts, je serre les dents, Angèle s'en rend compte, elle me caresse la tête, me la relève, instinctivement je lèche son sexe, me gorge de son jus, Jean a replié ses doigts, je sens la main faire des mouvements de rotation, il a entrepris de la rentrer dans mon cul, la douleur est horrible, des larmes coulent sur mes joues, Jean continue, je réprime un hurlement, sa main est entrée entièrement, je sens mon sphincter se refermer sur son poignet.
Jean joue quelques instant dans mon cul, la douleur se calme, il ressort tout doucement sa main, la fait entrer à nouveau, la douleur est moins présente, au bout de six entrées sorties, je supporte parfaitement le sort que j'ai demandé et l'annonce à celui qui malgré tout est mon Maître.
Jean est sidéré et me le dit un véritable phénomène de foire, je n'ai jamais vu cela, tu es vraiment un amour de soumise... le rêve de tout dominant...
Jean me caresse et à nouveau fais entrer sa main dans mon cul, j'ai un peu mal, mais il peut procéder sans problème, j'en ressent une immense fierté.
Il essaie dans mon sexe, aucun problème, il en profite pour me branler, me pilonner avec ses doigts, bien évidemment je jouis en hurlant...
Jean attend que j'ai récupéré, me fait allonger sur le dos, la moitié du dos dans le vide, il approche une chaise, fais reposer ma tête dessus, m'enjambe, j'ouvre la bouche pour accueillir son sexe, j'ai compris ce qu'il allait faire, j'ouvre ma bouche au maximum.
Jean fléchi les genoux, sa bite tape au fond de ma gorge, j'ai un hoquet, il pilonne ainsi plusieurs fois ma gorge, ressort, se déplace un peu, j'ouvre la bouche pour avaler ses bourses et les lécher, je les lèche l'une après l'autre, les aspire, les suce, il ressort, m'engouffre à nouveau son sexe dans la gorge, méprise mes hauts le cœur, au bout de quelques minutes, il éjacule dans ma bouche, je suis à moitié étouffée, mais malgré tout j'ai la force de ressortir son sperme avec ma langue et de le lui montrer, je reprend mon souffle et déguste doucement le sperme de mon Maître.
Angèle me regarde, l'air sidérée dire que j'ai mis des mois à pouvoir accepter cette pratique, et toi en deux jours..., il n'y a pas à dire, t'es vraiment douée et faite pour ça, une salope et une soumise-née... bravo l'artiste... ma salope adorée...
Je lui fais signe de venir se placer comme l'était Jean, je lui broute le minou, jusqu'à ce qu'elle jouisse, moi aussi d'ailleurs.
Marcelle et Hubert, entrent dans la chambre, ils ont l'air exténués, Marcelle est zébrée de marques rouges, son corps est constellé de bleus, ils nous regardent d'un air endormi, nous sommes tous les trois en train de nous embrasser.
Jean se lève, s'approche de Marcelle, lui prend un sein dans la main, le soulève, le laisse tomber, Marcelle à une belle poitrine, mais assez molle, il gifle à plusieurs reprises les seins, en attrape un par le mamelon et entraîne Marcelle vers le donjon.
Viens c'est la tournée du patron..., il rigole.
Marcelle a changée d'attitude, on sent la crainte dans son regard, nous suivons pour voir le spectacle.
En un tour de main, des cordes sont serrées autour de ses seins, elle est désormais suspendue par ses seins, ses mains sont attachées derrière sa nuque, son corps est offert...
Jean prend un fouet, un de ces fouets qui servent aux conducteurs d’attelage, assez long, avec une mèche d'un mètre environ et entreprend de cingler Marcelle, paradoxalement celle-ci gémit en demandant encore... encore...., lorsque Maître Jean cesse, Marcelle pleure, son corps est striée de marques rouges, il caresse doucement Marcelle, qui réagit à ses caresses en se cambrant tout en remerciant.
Marcelle détachée, tombe à genoux, prend le sexe de Maître Jean et entreprend une fellation qu'elle mène à son terme.
Tu étais obligée de me faire subir ça, je vais en avoir pour 15 jours à ne plus avoir de marques, entre toi et Hub, j'ai eu ma dose aujourd'hui, sadiques..., mais on sent que Marcelle est ravie, elle adore être traitée en chienne.
A toi « A », je lui avais proposé une soirée tranquille, elle veut de nouveau être fouettée, une soumise maso née, notre brave Aglaé, doublée d'une salope de concours, allez avance, chienne lubrique..., Maître Jean rigole franchement, Angèle aussi.
Je suis suspendue par les seins, mes mains attachées derrière la nuque, la mèche du fouet s'enroule autour de mon corps, les coups me brûlent, Maître Jean me fouette avec un fouet assez long, qui a chaque coup, provoque douleur et marque, il s'arrête de temps à autre pour me branler le sexe ou le cul, j'ai le ventre en feu, je vais jouir, je jouis, j'ignore la douleur, je suis un ventre en fusion...
Allongée sur le lit, à côté de mon Maître, je récupère lentement, il viens de me faire l'amour, j'ai jouis comme une démente, j'appartiens corps et âme à cet homme, je suis à lui...
CHAPITRE 4 – FORMATION
Pauline m'initie à l'amour au féminin, je répond à ses caresses par des caresses identiques, et apprend à utiliser un gode, en un rien de temps elle parvient à me faire jouir, je lui rend la pareille, j’apprends à avoir ma langue dans un sexe de femme, son anus, à lécher ses seins, l'embrasser, la caresser, le Maître, nous regarde l'air intéressé.
Pauline, va chercher ce qui est nécessaire, élargi lui le cul avec ta main, ramène ce qu'il faut pour qu'elle t'en fasse autant...
Pauline revient, s'enduit la main de lubrifiant, me demande de me positionner à genoux, la tête sur le lit, cul cambré, puis elle lubrifie mon anus et entreprend de faire pénétrer sa main, le maître a pris une cravache et me cingle le dos, Pauline continue de dilater mon anus (la douleur est horrible, il y a moins de 24 h, mon anus était vierge), puis sa main rentre, je l'entend annoncer sa réussite.
Maître, regardez j'ai forcé le cul de votre soumise, maintenant, je vais l'élargir..., le Maître positionne une glace, je peux voir Pauline, rentrer sa main dans mon anus, la ressortir, rentrer les doigts de ses deux mains, élargir ainsi mon petit trou (la douleur est encore intense, mais je m'habitue), le Maître me tend la vaseline et m'ordonne redresse-toi et fais lui en autant..., maladroitement, je copie ses gestes, puis est-ce l'instinct, mon instinct de pute/salope, je trouve les gestes à faire et je dilate à mon tour l'anus de Pauline, Pauline, apprécie cette caresse et ne tarde pas à jouir.
Le Maître nous envoie nous laver et nous invite à revenir dans le lit.
Il se recouche, s'endort, nous en faisons autant.
Une main de me secoue, Pauline est déjà debout, lève toi, assez dormi, a genoux sur le lit, présente moi tes seins avec tes mains.
J'obéis immédiatement, le Maître joue avec mes pointes qui s'érigent et durcissent, puis ouvrant la bouche les aspire, puis me mord fortement, je grimace, il me regarde, m'embrasse, j'ai la marque de ses dents imprimées sur un sein, il aspire l'autre, je grimace à nouveau, l'autre sein est marqué.
Je suis mise à plat ventre, les jambes au sol, il lubrifie mon anus en crachant dessus, puis me pénètre sans précaution, la douleur est intense, je suis à nouveau sodomisée, je ne tarde pas à réagir et éprouve à nouveau du plaisir.
Le Maître termine, se vide dans mon conduit, se dégage, je me retourne et l'embouche, puis récupère ce qui suinte de mon cul, le recueille, le lèche, l'avale.
Vas te laver dans la salle de bains, prend une douche.
Je n'avais jamais vu une salle de bains pareille, il y a même un appareil pour chauffer l'eau, je profite de la douche, me sèche, vais me coiffer à l'aide des brosses qui sont disposées sur une coiffeuse.
Je reviens, le Maître est vautré dans un fauteuil, je m'assied à ses pieds, il fait beau en ce moi de mai 1932, il porte un short, je glisse ma main dans un jambe du short pour tenter d'y saisir son sexe, y parvient et le caresse.
Angèle et Hubert se sont levés, ils nous souhaitent le bonjour, et partent déjeuner dans la cuisine.
Le Maître me caresse la poitrine, joue avec mes seins j'ai ai vraiment eu le nez creux, tu es une sacrée salope, une maso de première et tu as toutes les qualités pour devenir soumise et pute à la demande, je t’enverrai faire tes armes dans un bordel, samedi prochain, je te marquerai au fer rouge, comme l'esclave que tu es, se doit être marquée...
Angèle et Hubert ont fini de déjeuner, on fait leurs eaux, Maître Jean leur demande de le rejoindre dans le donjon.
Il me fait me lever, me croche par les cheveux, suis moi dans le donjon...
Je suis attachée sur un table, je suis sur le le dos, bras et jambes écartés, le Maître me passe de l'alcool sur mes seins.
Il sort du donjon, je le suis du regard et reviens, ouvre une trousse en sort des tiges, des pinces, Pauline ne tarde pas à arriver avec un brasero puis une casserole d'eau bouillante qu'elle pose sur le brasero.
Le Maître jette des aiguilles, des sortes de cônes, les pinces dans l'eau qui bout, Pauline dispose une serviette de toilette propre, revient avec du coton et de l'alcool.
Au bout de quelques minutes le Maître désinfecte une pince avec de l'alcool, récupère ce qui bouillait dans la casserole et le dispose sur la serviette.
Il prend une corde, me l'enroule autour des seins en serrant, prend une sangle, attache mon torse à la table, une autre sangle attache mes cuisses également à la table, un morceau de bois est placé dans ma bouche.
Il agace mes seins, les mamelons s'érigent, il prend une pince, tire sur le mamelon de mon sein droit, Hubert lui passe une aiguille, j'ai compris, je mord le morceau de bois, le Maître me transperce le mamelon avec l'aiguille, prend une sorte de tube conique, l'enfonce dans mon mamelon en repoussant l'aiguille, il prend ensuite une tige en or, la visse dans le tube conique, le tire avec une pince, mon mamelon est de nouveau traversé, la tige réapparaît de l'autre côté, malgré la douleur, je ne tressaille pas, je ne laisse pas échapper de gémissement, j'ai compris que le maître m'annelait, me posait les signes qui m'identifient comme soumise, je suis immensément fière du traitement que l'on me fait subir.
Le Maître dévisse le tube conique, prend une boucle en or en forme de fer à cheval, la positionne devant le tube, le fixe à l'aide de deux vis terminées par des boules.
La boucle de sein est en place, le Maître joue avec, essuie le sang qui coule de mon mamelon transpercé.
Il procède de même avec l'autre sein.
Une glace m'est tendue pour que je puisse voir ma poitrine décorée des deux anneaux d'or.
Mon clitoris est dégagé, excité, quand il pointe, le Maître procède de la même façon, à la différence que l'anneau est directement placé dans le tube conique et resserré à la pince, je peux admirer aussi mon clitoris désormais annelé dans une glace.
Chacune de mes lèvres est percée à deux endroits, des anneaux y sont passés et fixés de la même manière qu'à mon clitoris.
Le sang est essuyé, je suis désinfectée, détachée et autorisée à me regarder dans la grande glace du donjon.
Je me regarde et me trouve magnifique, mes seins décorés par les boucles en or, mon sexe aussi, je me retourne, saute au cou du Maître, l'embrasse en le remerciant du cadeau qu'il vient de me faire, le Maître me rend mes baisers, j'embrasse Angèle, Hubert, Pauline en les remerciant...
Tu n'as pas bougé, tu n'as trop eu mal ?, me demande le Maître.
Non Maître, quand j'ai compris ce que vous alliez me faire, j'étais folle de joie, c'est douloureux, mais supportable, je ne bougerai pas plus quand vous me marquerez au fer rouge, à vôtre marque, j'en rêve déjà, vous verrez je supporterai, je vous remercie de m'avoir ainsi annelée, ces anneaux m'attachent à vous plus que des liens ou des cordes, je suis votre esclave et j'en suis fière, dire qu'il y a 24 heures j'étais vierge... vous ne pouvez pas savoir comme je suis fière et heureuse, merci Maître... merci...
Angèle m'explique comment je vais devoir nettoyer, soigner le temps que durera la cicatrisation, et que désormais à part le Maître, plus personne ne pourra me prendre dans mon sexe avant quelques mois... il ne s'agit pas d'attraper une infection...
Pauline boude, le Maître s'en rend compte et lui demande ce qui ne va pas.
Vous ne lui avez pas posé au moins les anneaux que vous aviez acheté pour moi, c'est vrai, je n'ai pas voulu me laisser faire, vous avez accepté, mais maintenant j'ai aussi envie d'en porter, en plus, elle n'a pas eu l'air de souffrir beaucoup...
Le Maître lui coupe la parole ce ne sont pas tes anneaux, mais si tu es d'accord, je te les pose tout de suite, mais attention, jusqu'à présent tu étais une compagne de jeu acceptant la soumission et ce qu'elle comporte, si je t'annelle, tu deviens une esclave, c'est bien compris, alors réfléchit...
J'accepte d'être une esclave... il n'y aura pas beaucoup de changement avec ma condition actuelle, je suis bien avec vous, je vous aime, vous et Maîtresse, vous avez toujours été bons avec moi, j'accepte...
Le Maître part dans la salle à manger, revient avec un verre plein d'un liquide ambré, le tend à Pauline Bois ça, le verre en entier...
Pauline, commence à boire, tousse c'est fort, qu'est ce que c'est ?
Du whisky et je t'ai mis la dose, dans une demi-heure, je te pose tes anneaux, alors ne discute pas et avale..., je te connais, alors à moitié pompette, tu te laissera faire...
Pauline s'exécute et avale la dose de whisky à assommer un cheval.
Pauline est annelée sans problème particulier, elle gémit un peu, mais le Maître l'ayant anesthésiée avec sa boisson, c'est une Pauline riant, titubant, qui admire ses anneaux dans la glace, elle est annelée de la même façon que moi...
Angèle l'accompagne dans sa chambre, elle va cuver... dormir....
Nous sommes dans le salon, je suis assise sur les genoux de mon Maître, qui joue avec mes anneaux, je joue aussi avec, nous discutons.
Tu sais jouer au tennis, Aglaé ?... me demande Maîtresse Angèle.
Oui, mais cela fait des années que je n'ai pas jouée, j'ai appris au pensionnat et ma fois me défendait, je dois être bien rouillée maintenant...
Tu t'y remettra, nous pourrons jouer ensemble, parce contre les 2 garçons, je perds toujours, il est vrai que nue et avec un gode dans le cul, c'est spécial, mais Jean adore voir bouger mes seins quand je joue, alors...
Maître, qu'est ce que c'est que la cicatrice que vous avez au bras et au torse ?
Guerre de 14-18, j'ai été incorporé en 17, école d'officier, je suis arrivé au front en février 18, en mars un obus est tombé sur l'abri qu'occupait ma section, j'ai pris un éclat, 6 mois d'hôpital et 6 mois de convalescence et rééducation, c'est ainsi que j'ai connu Angèle, je logeais chez ses parents qui accueillaient des blessés dans leur maison, elle s'est occupée de moi et des autres et après surtout de moi..., j'ai eu de la chance, 15 braves types y sont restés ce jour là..., je hais la guerre et les cons qui la déclenchent, une belle saloperie...
Hubert confirme une belle connerie... une boucherie... honteux...
Lui aussi avait été blessé, c'est comme ça qu'ils sont devenus amis avec Jean, étant tous les deux notaire, Hubert a préféré laisser l'étude paternelle à son frère et venir travailler avec Jean.
Un coup de sonnette, Hubert va ouvrir.
Il revient, suivant une femme, blonde, potelée, fortement poitrinée, jolie comme un cœur, il a relevé sa jupe et lui caresse les fesses nues ainsi dévoilées, la femme ne paraît pas du tout incommodée, gênée par cette caresse.
Jean et Angèle se lèvent et embrassent l'arrivante bonjour Marcelle, alors tu es venue prendre ta ration de cravache du week-end, et l'autre andouille, toujours à faire chier les indochinois, il revient quand en perme...
Il revient en juillet, pour trois mois, je vais devoir le supporter trois mois, dont un à Vichy, en cure, son foie, alors je devrai arrêter de voir mon Hubert fin juin et ne peut plus être cravachée ou attachée à partir de mi-juin, plus de sodomie aussi, il faut laisser le temps à mon petit trou de se refermer, tu sais que je marque tout de suite, si mon cornard de Capitaine de mari, me voit avec des marques il aura des doutes... sur ma fidélité...
Tous quatre éclatent de rire.
Il m'est expliquée que Marcelle a été mariée contre son gré, par ses parents, à un lointain cousin plus âgé qu'elle, Capitaine dans la coloniale et actuellement en Cochinchine, un parfait soudard, qui le soir des noces, alors qu'elle était vierge, lui a fait la totale, sodomie, fellation, dépucelage... lui refilant au passage une maladie honteuse...un gentleman... le Capitaine Gaétan Hutard...
Un jour, elle eu affaire à l'étude, Hubert s'est occupé de son dossier, puis d'elle... depuis presque deux ans, ils filent le parfait amour... Andrée est la soumise d'Hubert, le seul regret de celui-ci est de ne pouvoir la marquer, l'anneler.
Marcelle me félicite pour mes anneaux, et s'inquiète Pauline est souffrante, ou bien est-elle avec Elie ?,
Maître Jean lui explique la pose des anneaux de Pauline et le stratagème utilisé, Marcelle rigole franchement.
Il m'est expliqué qu'Elie un ancien de 14-18, il a connu Jean dans les tranchées, est devenu vagabond, inadapté, il est arrivé par hasard ou pas, dans la ville, Jean lui a confié l'entretien du jardin, du parc, il habite une maison au fond du parc et cultive le jardin, des légumes, fruits, sont fournis à la maison, il vend le reste et en tire de quoi vivre, il est l'amant de cœur de Pauline, qui apprécie un sexe hors norme, malgré le fait que le bonhomme et l'hygiène soient en froid, Elie dégage un fumet redoutable, mais c'est un brave garçon.
(Vraiment mon Maître est un anticonformiste incroyable, s'il fait et j'en suis sûre son travail efficacement et correctement, dans la vie privée, il ne respecte aucun code de la morale traditionnelle, c'est un révolté dans son genre, Angèle et les autres aussi, moi aussi en fait...), ces pensées me laissent songeuse...
Maîtresse Angèle me dit viens nous allons préparer le repas, Hubert va s'occuper de Marcelle, nous irons voir, tu vas voir, c'est assez drôle...
Un poulet a été mis à cuire dans le four, j'épluche des pommes de terre pour faire des frites, en dessert il y a de la crème qu'avait fait Pauline.
Je pars disposer les assiettes et les couverts sur la table qui est dans le jardin, Angèle m'appelle, me prend dans ses bras, m'embrasse et me pelote sans retenue, je me laisse faire, j'aime ça, elle me prend par la main, nous nous rendons dans le donjon.
Hubert a attachée Marcelle qui le supplie de la marquer et de lui défoncer le cul, pour que son mari ne se doute de rien, elle doit rester au moins deux mois non prise par cet endroit, aussi elle veux qu'il lui fasse un cul comme une porte de grange..., qu'il la marque comme la chienne qu'elle est, la traite comme une bête...
Hubert, serviable s'efforce de répondre à toutes ses attentes, présentement il est en train de sodomiser sa soumise avec une canette de bière, la dame apprécie et le fait savoir..., particularité, elle a la poitrine complètement aplatie par deux planches recouvertes de clous et serrées par des poignées, et semble apprécier, puisqu'elle demande à Jean de lui martyriser les seins... Jean s'exécute, des aiguilles sont enfoncées, la cire coule... la cravache claque...
On frappe à la porte, Maître Jean va ouvrir, je le suis Bonjour mon lieutenant, je n'ai pas vu Pauline aujourd'hui...
Maître Jean explique l’infibulation et ordonne à Élie d'aller se laver dans la salle de bains, sinon il va coller une infection à sa dame de cœur, Maître Jean, me charge d'aller nettoyer Élie, et s'il en a envie, une fois propre de le sucer ou de lui présenter mon cul.
Cela fait deux fois que je vide la baignoire, l'eau était d'une couleur, je lave Elie, insiste sur son sexe, je n'ai jamais vu un engin pareil, je ne savais pas que cela existait, 6-7 cm de diamètre et pres d'une vingtaine de long, il bande, un phénomène de foire..., j'en ai envie (je suis vraiment une salope née, mon Maître à raison, j'ai toujours envie de sexe...).
Elie se laisse sucer, apprécie, je me retourne, serre les dents, la sodomie qui suit est somptueuse, je hurle mon plaisir, nettoie le sexe avec ma bouche et ramène Elie dans le donjon.
Elie est invité à sodomiser Marcelle, qui elle aussi hurle à son tour son plaisir.
Maîtresse me prend par la main, m'entraîne vers la chambre, nous y pénétrons, elle a envie que je lui fasse l'amour.
J'obtempère et bientôt des feulements de plaisir sont la récompense de mes actions, je suis félicitée pour mon efficacité dans cet exercice, et mon apprentissage ultra-rapide.
Maîtresse et moi devisons, elle me donnent quelques conseils que je me promets de mettre en pratique, ses conseils seront utiles quand je lui ferai de nouveau l'amour et surtout utiles vis à vis des Maîtres, je remercie ma Maîtresse.
Nous sommes dans le jardin,nous déjeunons, tout le monde est nu, l'ambiance décontractée, à la rigolade.
Nous avons fini de manger, Maître Jean plaisante avec Marcelle : alors c'est ta dernière séance avant plusieurs mois, cet après-midi avec Hubert, ne vous gênez pas pour nous, profitez..., mais ne l'épuise pas trop, demain il travaille...
Marcelle me tend la main, je suis invitée à venir m'asseoir sur ses genoux, elle me caresse, joue avec mes nouveaux anneaux et me dit qu'elle m'envie, m'embrasse.
Maître Jean discute avec Elie : Angèle va ouvrir une agence immobilière, je sais que tu t'y connais en maçonnerie, j'aimerai que tu fasses les travaux, la peinture, il est temps que tu arrêtes de jouer les hommes des bois et reviennes à la civilisation, d'autant plus que tu vas avoir à gérer Pauline, elle est comme « A », elle a besoin d'être dressée, dominée, elle t'aime, alors ne refuse pas le bonheur...
Elie acquiesce oui mon Lieutenant... je suis d'accord... vous avez raison...
Pauline qui entre temps nous avait rejoint, pleure, Elie la prend sur ses genoux, lui promet de refaire la maison qu'il habite et ensuite ils vivront ensemble, Pauline assurera toujours le service chez Maître Jean, le soir elle rejoindra son Maître, néanmoins elle devra continuer à obéir en tout à ses patrons, Pauline acquiesce en pleurant de joie...
Jean, tu arbitres mon cœur, nous allons faire un tennis avec Aglaé, ça va te plaire, de jolis nénés comme les nôtres qui ballotent...
En un tour de main, deux godes sont introduits dans nos anus, les ceintures qui les maintiennent attachées, Angèle joue réellement bien, petit à petit des automatismes reviennent, je renvoie de plus en plus souvent les balles, le spectacle que nous offrons, nues... poitrines ballantes réjouit notre maître, il nous le fait savoir, un souci cependant, les anneaux me gênent et la sueur picote à leur emplacement, nous faisons une partie en deux sets, bien évidement je perd, la maîtresse me félicite toutefois.
Après la douche, nous nous couchons, le Maître, la Maîtresse et moi, le Maître est au milieu, nous lui prodiguons des caresses, je mets en pratique ce que m'a appris Maîtresse, je suis félicitée...
(J'ai découvert à ma grande surprise que j'adore lécher un sexe de femme et jouer avec un sexe d'homme, jouer avec la tige, les couilles, caresser, lécher, branler, tout cela ne m'a coûté aucun effort d'adaptation, instinctivement j'ai trouvé les gestes, je suis vraiment faite pour la bite (comme dit Maître Jean), j'en suis très heureuse...).
Maîtresse, puis-je vous demander une faveur ?
Bien sûr, ma belle accordée..., Maître Jean nous regarde d'un air intéressé.
J'aimerai, dans la mesure où cela ne vous contrarie pas, essayer les vêtements que vous me prêterez demain et mardi, ainsi qu'une tenue de pute de bordel, comme vous me l'avez décrite...
Viens...
Je n'avais pas prêté attention, une porte s'ouvre depuis la chambre, je suis Angèle (elle m'a demandée de l’appeler ainsi, elle en a assez des « Maîtresse », nous entrons dans son « dressing », je n'avais jamais imaginé cela, une pièce remplie de costumes, tenues pour Maître Jean et de robes, tailleurs, que sais-je pour Angèle, tout est disposé sur des cintres.
Alors, voyons pour toi, demain, tu vas être prise par tous, donc jupe, chemisier, après tu essaieras ces deux tailleurs, la veste devrait te serrer, nous avons sensiblement la même taille, mais ta poitrine est plus volumineuse, tailleur demain, Jean va adorer...
J'enfile le chemisier, effectivement j'ai une poitrine plus volumineuse que celle d'Angèle, le chemisier est tendu au maximum au niveau de mes seins, Angèle a disposé sur mes boucles un mouchoir, un peu de lymphe sourd de mes seins, elle ne veut pas tâcher le chemisier, je passe la jupe du tailleur, je flotte un peu dedans, avec la ceinture ça va, j'enfile la veste, effectivement ma poitrine est dessinée de manière quasi indécente, (j'adore...).
Attend, enfile ça...
Angèle me tend, un porte-jarretelles, des bas, j'enlève la jupe, passe ce qui m'a été tendu, enfile soigneusement les bas, fixe les jarretelles, remet la jupe, reboutonne la veste, Angèle me tend un paire de chaussures aux talons assez hauts, coup de chance, c'est ma pointure...
Allez, je te suis, file voir Jean, tu auras de la veine, s'il ne te viole pas, quoique te violer !... salope d'amour...
Maître Jean, me regarde eh bé.... splendide..., magnifique... (il siffle d'admiration), tourne sur toi-même, relève ta jupe jusqu'au nombril...
J'obéis, faisant saillir mon ventre,mon cul, mes seins à la demande...
J'ai une légère envie de viol, va passer une jupe... avant lève ta jupe et trois doigts dans le cul... et on tourne pour élargir...
Je m'exécute...
Angèle rigole... je te l'avais dit, je le connais l'asticot...
Nous retournons dans le dressing, j'enfile un nouveau chemisier, une jupe, retourne me présenter, Maître Jean aime, mais ce n'est pas ça, après quatre essayages il se déclare satisfait. Je sais donc quelle tenue je dois porter demain.
Angèle m'aide à passer un corset, m'aide à le lacer, mes seins sont libres, ils jaillissent littéralement du corset, Angèle le serre au maximum, cela me fait une taille de guêpe, je m'admire dans la glace, ma croupe est cambrée, mes hanches soulignées, ma poitrine saillante, avec le porte-jarretelles et les bas, je suis un véritable appel au sexe.
J'aide Angèle a revêtir une tenue similaire. Nous allons dans la salle de bains nous maquiller outrageusement, j'ai quelques problèmes pour marcher les nouvelles chaussures que m'a prêté Angèle ont des talons vraiment très hauts, je ne suis guère habituée à marcher avec des chaussures à talons aussi hauts.
Une fois maquillées nous pénétrons dans la chambre de nôtre seigneur et Maître, il siffle d'admiration, se lève, nous prend chacune dans ses bras, nous palpe, nous fait tourner, et nous invite à nous coucher près de lui.
Il nous caresse chacune tour à tour, joue avec nos seins, nos orifices, nous lui offrons le charmant spectacle de deux femmes faisant l'amour, chacune à tour de rôle accroupie sur la figure de l'autre pour se faire lécher le sexe et l'anus, un beau spectacle saphique pour un fin connaisseur qui se termine par des cris de jouissance (j'ai appris très vite).
Pour ce soir « A », comme je suis très content de ton comportement, tu laisses tomber le « maître », tu m'appelles Jean ou Jeannot, comme tu veux, et tu as le droit de me demander ce que tu veux, je le ferai, on inverse un peu les rôles...
Jean, j'ai envie dans mon ventre, depuis que j'ai l'anneau au clitoris, j'ai envie, j'ai toujours envie... c'est fou... mais j'en suis heureuse, j'aimerai que tu me dilates le cul avec ta main, pour faire le passage à ta main, puis me reprenne contre le mur dans ma bouche, ensuite aller dans le donjon, me pendre par les seins, me fouetter et enfin me ramener dans le lit pour me faire l'amour...
Je sais que cela peut te paraître difficile à comprendre, mais j'aime être fouettée, j'aime la douleur, j'aime être contrainte, je suis réellement maso et soumise naturellement, j'ai eu au cours de ces deux jours, la révélation de ma véritable nature, et je n'en ai pas honte, d'autant plus que je vous aime d'amour, toi et Angèle, je vous aime, vous appartient, suis votre esclave soumise, j'en suis extrêmement fière et contente de l'être, vous n'imaginez pas de l'enfer dont vous m'avez sortie, mes parents, leurs idées courtes, toutes faites et vous et Angèle qui êtes si ouverts aux autres, si tolérants, non je ne regrette rien.
Angèle m'embrasse, elle pleure veux tu être mon amie Aglaé ?
Oui, Angèle, ton amie, ta confidente, tout comme moi envers toi, tu es une personne remarquable que j'admire Angèle, oui de tout cœur..., nous pleurons en nous embrassant dans les bras l'une de l'autre.
Jean nous regarde ému, puis me prend par un bras, me dit de m'agenouiller sur le lit, me positionne la tête sur le drap, le cul cambré, ouvert, écarté, offert..., j'écarte mes fesses avec mes mains.
Il prend un tube de lubrifiant, s'en enduit la main, sa main commence son travail de pénétration, je sens un, deux, trois puis quatre doigts, je serre les dents, Angèle s'en rend compte, elle me caresse la tête, me la relève, instinctivement je lèche son sexe, me gorge de son jus, Jean a replié ses doigts, je sens la main faire des mouvements de rotation, il a entrepris de la rentrer dans mon cul, la douleur est horrible, des larmes coulent sur mes joues, Jean continue, je réprime un hurlement, sa main est entrée entièrement, je sens mon sphincter se refermer sur son poignet.
Jean joue quelques instant dans mon cul, la douleur se calme, il ressort tout doucement sa main, la fait entrer à nouveau, la douleur est moins présente, au bout de six entrées sorties, je supporte parfaitement le sort que j'ai demandé et l'annonce à celui qui malgré tout est mon Maître.
Jean est sidéré et me le dit un véritable phénomène de foire, je n'ai jamais vu cela, tu es vraiment un amour de soumise... le rêve de tout dominant...
Jean me caresse et à nouveau fais entrer sa main dans mon cul, j'ai un peu mal, mais il peut procéder sans problème, j'en ressent une immense fierté.
Il essaie dans mon sexe, aucun problème, il en profite pour me branler, me pilonner avec ses doigts, bien évidemment je jouis en hurlant...
Jean attend que j'ai récupéré, me fait allonger sur le dos, la moitié du dos dans le vide, il approche une chaise, fais reposer ma tête dessus, m'enjambe, j'ouvre la bouche pour accueillir son sexe, j'ai compris ce qu'il allait faire, j'ouvre ma bouche au maximum.
Jean fléchi les genoux, sa bite tape au fond de ma gorge, j'ai un hoquet, il pilonne ainsi plusieurs fois ma gorge, ressort, se déplace un peu, j'ouvre la bouche pour avaler ses bourses et les lécher, je les lèche l'une après l'autre, les aspire, les suce, il ressort, m'engouffre à nouveau son sexe dans la gorge, méprise mes hauts le cœur, au bout de quelques minutes, il éjacule dans ma bouche, je suis à moitié étouffée, mais malgré tout j'ai la force de ressortir son sperme avec ma langue et de le lui montrer, je reprend mon souffle et déguste doucement le sperme de mon Maître.
Angèle me regarde, l'air sidérée dire que j'ai mis des mois à pouvoir accepter cette pratique, et toi en deux jours..., il n'y a pas à dire, t'es vraiment douée et faite pour ça, une salope et une soumise-née... bravo l'artiste... ma salope adorée...
Je lui fais signe de venir se placer comme l'était Jean, je lui broute le minou, jusqu'à ce qu'elle jouisse, moi aussi d'ailleurs.
Marcelle et Hubert, entrent dans la chambre, ils ont l'air exténués, Marcelle est zébrée de marques rouges, son corps est constellé de bleus, ils nous regardent d'un air endormi, nous sommes tous les trois en train de nous embrasser.
Jean se lève, s'approche de Marcelle, lui prend un sein dans la main, le soulève, le laisse tomber, Marcelle à une belle poitrine, mais assez molle, il gifle à plusieurs reprises les seins, en attrape un par le mamelon et entraîne Marcelle vers le donjon.
Viens c'est la tournée du patron..., il rigole.
Marcelle a changée d'attitude, on sent la crainte dans son regard, nous suivons pour voir le spectacle.
En un tour de main, des cordes sont serrées autour de ses seins, elle est désormais suspendue par ses seins, ses mains sont attachées derrière sa nuque, son corps est offert...
Jean prend un fouet, un de ces fouets qui servent aux conducteurs d’attelage, assez long, avec une mèche d'un mètre environ et entreprend de cingler Marcelle, paradoxalement celle-ci gémit en demandant encore... encore...., lorsque Maître Jean cesse, Marcelle pleure, son corps est striée de marques rouges, il caresse doucement Marcelle, qui réagit à ses caresses en se cambrant tout en remerciant.
Marcelle détachée, tombe à genoux, prend le sexe de Maître Jean et entreprend une fellation qu'elle mène à son terme.
Tu étais obligée de me faire subir ça, je vais en avoir pour 15 jours à ne plus avoir de marques, entre toi et Hub, j'ai eu ma dose aujourd'hui, sadiques..., mais on sent que Marcelle est ravie, elle adore être traitée en chienne.
A toi « A », je lui avais proposé une soirée tranquille, elle veut de nouveau être fouettée, une soumise maso née, notre brave Aglaé, doublée d'une salope de concours, allez avance, chienne lubrique..., Maître Jean rigole franchement, Angèle aussi.
Je suis suspendue par les seins, mes mains attachées derrière la nuque, la mèche du fouet s'enroule autour de mon corps, les coups me brûlent, Maître Jean me fouette avec un fouet assez long, qui a chaque coup, provoque douleur et marque, il s'arrête de temps à autre pour me branler le sexe ou le cul, j'ai le ventre en feu, je vais jouir, je jouis, j'ignore la douleur, je suis un ventre en fusion...
Allongée sur le lit, à côté de mon Maître, je récupère lentement, il viens de me faire l'amour, j'ai jouis comme une démente, j'appartiens corps et âme à cet homme, je suis à lui...
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