SOUMISE PAR HASARD, HEUREUSE ET FIERE DE L'ETRE...

- Par l'auteur HDS Claude032 -
Récit érotique écrit par Claude032 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SOUMISE PAR HASARD, HEUREUSE ET FIERE DE L'ETRE... Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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SOUMISE PAR HASARD, HEUREUSE ET FIERE DE L'ETRE...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


SOUMISE PAR HASARD ? HEUREUSE ET FIERE DE L’ÊTRE...

CHAPITRE I - OU IL EST NÉCESSAIRE D'ACCEPTER CERTAINES CHOSES....

Vous n'avez rien écouté, vous n'avez voulu en faire qu'à votre tête et maintenant vous m’appelez au secours..., je ne peux pas faire de miracle, mais au nom de l'amitié qui vous liait à mon défunt père, je vais faire le maximum, mais j'exige carte blanche... vous me confiez désormais la gestion de toutes vos affaires, de tous vos biens, à cette seule condition, je m'occuperai de votre cas, seul, sans rendre de comptes, je vous met sous tutelle... bon sang de bois...
Maître Jean Baieul, ci-devant notaire, à M...., petite ville du Centre Ouest de la France s'adressait en ces termes à mon père en ce vendredi après-midi de fin mai 1932.
Mon père, Coviel de Mayot, comte de Bradielle d'Hercourt, se taisait, baissait la tête, sachant très bien que Maître Baieul avait raison.
Il était ami avec feu le père de Maître Jean Baieul, mais n'écoutais que lui pour gérer sa fortune, avec une malchance tenace et un sens inné du mauvais placement...
Notre famille était presque ruinée, mon père ayant multiplié les investissements dans le Panama, les emprunts russes et j'en passe...
Mademoiselle Mayot, voudriez-vous m'accompagner dehors, nous marcherons, s'il vous plait... j'ai à vous proposer quelque chose... qui peut vous intéresser.
(Je connais Maître Baieul depuis longtemps, je le trouverai même fort à mon goût s'il voulait bien de moi, j'aime ce type d'homme, brun, longiligne, assez grand...)
Nous marchons dans le parc de la propriété, au détour d'une allée nous sommes hors de vue du manoir, Mademoiselle Mayot, Aglaé, j'aurai une proposition honnête et malhonnête à vous faire...
Je suis à la recherche d'une secrétaire, vous savez que maintenant à l'étude, nous sommes quatre, j'ai deux collaborateurs qui sont mes clercs et un comptable et je recherche une secrétaire pour la dactylographie de documents, le classement, répondre au téléphone ainsi que pour gérer mon agenda, bref gérer le secrétariat que je dois créer... vous avez le brevet je le sais, connaissez la dactylographie, il est bien évident que cette personne doit avoir de l'éducation, une certaine retenue et surtout soit très discrète, conditions sine qua none dans notre profession, le salaire est celui d'une secrétaire, ceci vous intéresse-t-il, c'est la partie honnête de ma proposition, selon la morale traditionnelle...
Je suis très intéressée et la partie malhonnête ?.
Vous habiterez chez moi et vous deviendrez une soumise, une esclave sexuelle, ma femme est soumise, elle est d'accord pour qu'il y ait une deuxième soumise, j'aurais donc toute autorité sur vous et votre joli corps, vos orifices : bouche, anus, sexe, vous contraindre par des pratiques sado-masochistes, en clair, vous cravacher, vous fouetter, vous attacher, ... ma femme également d'ailleurs, ainsi que toutes les personnes à qui je jugerai bon de vous offrir ou confier, déshabillez vous complètement... maintenant ici,,,, si vous acceptez... si vous acceptez, dès maintenant, vous devenez ma propriété... êtes ma chose...
Interloquée, je ne sais quoi faire, quoi dire, puis mes mains trouvent les boutons de ma robe, défont la dizaine de boutons du haut, je fais glisser la robe sur mes épaules et le long de mon corps, ma robe tombe sur mes talons, je l'enjambe...
Maître Baieul passe derrière moi, défait les agrafes de mon soutien-gorge, l'enlève, fais glisser ma culotte sur mes hanches, je suis nue devant cet homme que je connais à peine...
Mains derrière la tête, jambes écartées, cul cambré..., le ton n'admet aucune réplique.
J'adopte maladroitement la position qui m'est ordonné de prendre, les mains de Baieul courent sur mes hanches, mes fesses, insistent sur mon anus, glissent sur mon ventre et caressent mon sexe, à ma grande honte, je suis excitée, mon sexe coule, je ressens un trouble profond, j'apprécie ce qui m'est fait...
Baieul le constate et m'en complimente, puis il tâte, pince, serre, malaxe mes seins, se déclare satisfait de leur volume, leur fermeté, sa main revient entre mes cuisses, dans mon sexe, caresse, caresse encore, je ne tarde pas à gémir mon plaisir...
Une jeune fille sage, noble, ruinée, donc non dotée, pas de mariage en vue, avec du tempérament, il n'y a qu'à constater l'état de ton sexe, un corps de rêve (je suis bien faite, mince avec une ferme, belle et volumineuse poitrine, brune aux cheveux longs, aux yeux verts), à constater l'état de ton ventre tu as du tempérament, des envies, on s'en occupera, tu verras... tu te touches combien de fois pas jour, répond soumise, une soumise ne ment jamais à son maître !, tu es vierge ?
Je me touche une fois, l'été,,, quand il fait chaud, deux, trois fois..., je suis vierge, j'ai 27 ans, je n'ai pas d'ami, peu d'ami(e)s, mais j'ai envie... souvent... », les mots sont sortis touts seuls de ma bouche, effectivement j'ai envie... (en fait, je me masturbe très régulièrement et adore me tirer, griffer, serrer mes seins, souvent je les serre avec des cordes et ensuite me masturbe...).
J'ai lu Sade, Maître Baieul... je sais ce qui attend une soumise, je suis d'accord, et de toute façon, prête à tout pour sortir d'ici..., je me suis autoflagellée, j'adore ça..., j'aime aussi me coincer les seins dans le tiroir du secrétaire...
Baieul, me prend au mot, pince, serre, maltraite ma poitrine, il a des mains puissantes, j'ai mal, je ne me dérobe pas, il déboutonne sa braguette, déboutonne son caleçon, me dit tiens, attrape, dégage-la de son fourreau, tire la peau en arrière, caresse, mets-toi à genoux, et quand elle sera raide, suce la avec ta bouche, comme tu le ferai d'une sucette...
Je tombe à genoux, suis les indications, sort le sexe, le caresse (instinctivement, je sais comment faire...), il durcit, se tend, je trouve son volume et ses dimensions énormes (j'avais jouée enfant avec des garçons qui nous montraient leur « zizi »...), j’approche ma bouche, l'odeur... Maître me dit, qu'il faudra m'y habituer, il n'aura pas toujours le temps de se nettoyer, après avoir uriné, me surprend, mais je passe outre et entreprend, d'avaler, de sucer le sexe de celui qui est désormais, mon Maître.
Heureusement, j'ai lu Sade, divers écrits pornographiques, mais de la théorie... à la pratique... je maîtrise mes hauts le cœur, mes hoquets, m'applique, persiste, soudain... une contraction, deux contractions, un liquide chaud et gluant envahit ma bouche..., j'ai réussi...
N'avale pas, une soumise sort le sperme avec sa langue, le montre à son Maître, et le déguste petit à petit... peu à peu...
Je suis les ordres, les respecte, je nettoie le sexe avec ma langue, ma bouche, (sur ordre) le frotte sur mes seins, dont les pointes (c'est la première fois) durcissent et s'allongent (à ma grande confusion), je suis rouge de honte, mon ventre est lui, en feu....
Maître Baieul, fouille mon sexe avec ses doigts, regarde ma mouille qui fait des filaments entre ses doigts et me déclare :
Tu es, Aglaé... ma petite et chère Aglaé une véritable petite salope, ton tempérament est même celui d'une grosse salope, ce soir tu seras déniaisée, dépucelée en cul et en ventre, tu deviendras une femme, une soumise... rhabille toi, tu me donne ta culotte, sauf, quand tu auras tes fleurs, et encore tu n'en porteras plus jamais... une esclave doit pouvoir être utilisée à tout moment, donc être toujours accessible...obéis... Salope..., … soumise... esclave, mon esclave désormais...
Je m'exécutais, un grand trouble m'envahissait, je savais que je venais de rencontrer mon destin, non point un prince charmant sur un cheval blanc, mais un homme qui userai et abuserai de moi, me ferai souffrir, me dresserai, comme l'on dresse un animal...
Je n'avais aucune crainte, c'était mon destin, cet homme au mitan de la trentaine était ma destinée... j'avais toujours eu des rêves glauques, principalement basés sur Sade, Restif de la Bretonne, Apollinaire..., je faisais souvent des rêves pornographiques dans lesquels j'étais traitée en chienne...
Une dernière chose petite chienne soumise, tu vas raser ton ventre, débrouille-toi, ne te coupe pas, mais je veux un ventre glabre, sinon... cela s'ajoutera à tes punitions... la liste est déjà ouverte..., tu m'as légèrement irrité le gland en me suçant, c'est interdit à une soumise...
Nous revinrent vers la maison (mon désormais Maître avait fourré sans façon ma culotte dans une de ses poches de veste), il annonça la nouvelle de mon embauche à mes parents, j'avais deux heures pour faire mes valises, raser mon sexe, m'habiller sans dessous, lui avait une affaire a régler dans les parages... mon père passerai à l'étude vendredi prochain pour signer les documents donnant tout pouvoir à Maître Baieul.

La grosse Panhard Levassor roule doucement, et ralentit...
Relève ta jupe, petite pute, petite salope... salope soumise... j'ai envie de voir ton sexe, écarte le avec tes doigts et caresse-le...
Je relève ma jupe, écarte mes cuisses, me caresse, la voiture se range, s'arrête, la main du Maître explore mon sexe, constate son humidité, la main contrôle la qualité du rasage que j'ai effectué, le Maître m'ordonne de me mettre à quatre pattes sur la banquette, de dégager mes seins du chemisier, et de lui offrir mon anus et mon ventre.
Je m'exécute dans l’exiguïté de la voiture, les mains du Maître explorent mon cul, mon ventre, tirent sur mes seins, les malaxent, je n'ai pas peur, aucune pudeur, je me laisse faire, bientôt arrive le moment où je crie mon plaisir, le hurle,,,
Suce-moi, mes mains s'activent, je dégage le sexe du Maître, et l'embouche, il croche mes cheveux à pleine main et guide mes mouvements, j'exécute docilement, au bout de quelques minutes je sens à nouveau le sperme gicler dans ma bouche, je me redresse, avale comme me l'avait ordonné le Maître précédemment, puis nettoie le sexe avec ma langue.
Je reçois l'ordre de me réajuster, de relever ma jupe afin d'être cul nu sur le siège et de bien écarter les jambes, pour être accessible..., nous reprenons la route...

CHAPITRE 2 - DRESSAGE

La voiture s'arrête devant le portail d'une grande maison bourgeoise, le Maître descend, l'ouvre, remonte dans la voiture, l'avance de quelques mètres, referme le portail, nous nous rangeons sous un préau, il stoppe le moteur, m'ordonne de le suivre.
Nous franchissons le seuil de la maison, le Maître referme la porte, deux femmes nous attendent dans le vestibule, la plus grande, la femme du Maître certainement, porte un déshabillé transparent qui ne cache rien d'un corps splendide, l'autre, certainement la bonne, ne porte pour tout vêtement qu'un bonnet blanc sur la tête et un petit tablier qui ne cache rien de son intimité.
Je vous présente Aglaé Mayot, qui va travailler ici avec moi et qui sera également nôtre esclave sexuelle, ma soumise...., nôtre soumise...
Angèle Baieul, la femme de Jean et également sa soumise..., sans plus de façon la femme, ma future Maîtresse m'embrasse.
Pauline, je suis la bonne à tout faire, vraiment tout, le ménage, la cuisine et le reste..., elle m'embrasse aussi.
Pauline est un pur produit de la campagne, des joues rouges rebondies, une poitrine abondante qui tombe un peu, elle est trapue et a tendance à l’embonpoint... elle a du être punie des marques rouges zèbrent son corps.
Angie, mon cœur, tu l'installe dans sa chambre, la prépare, ne trainez pas, vous nous rejoindrez dans le donjon, Pauline, tu aides Angie ensuite tu apporteras du Champagne dans le donjon...
Je suis les deux femmes, je m'installe avec leur aide, déballe et range mes affaires, Angie commente et bien on voit que tu vivais avec tes parents, seule, tu n'es pas au goût du jour, nous arrangerons ça, nous irons faire les boutiques mardi, je sais conduire et Jeannot m'a offert une torpédo Citroën, en attendant je te prêterai ce qu'il faut... ; tu sera facile à habiller, tu as pratiquement une taille standard, nous irons aux Galeries Modernes, tu verras....
J'objecte en disant rouge de honte que je n'ai pas d'argent, Angie rigole en me disant je sais, mais Jean est très pointilleux sur la toilette de ses femmes, en conséquence, c'est lui qui paye...
Nous revenons dans la pièce que le Maître nomme le « donjon », je suis nue, ma Maîtresse (c'est ainsi que je dois l’appeler), m'a félicitée pour ma silhouette, ma poitrine et ne s'est pas gênée pour explorer mon corps, j'ai apprécié ces caresses féminines.
Des fouets, cravaches, cordes sont accrochés à des râteliers fixés au mur, une croix en « X » est fixée sur un mur, une sorte de cheval d'arçon, trône au milieu de la pièce, un lit occupe un coin, des poufs sont disposés de ci de là, deux fauteuils, un table en bois massif, assez basse et une table basse complètent le tout.
Le Maître, nous attend, vêtu d'une robe de chambre, assis dans un fauteuil, il tient un document à la main, se lève, m'ordonne de le lire à voix haute, si j'accepte, si je suis d'accord avec son contenu, il n'y aura pas de retour en arrière possible, de le signer, de toute façon il m'utilisera ce soir...., je serai dépucelée... en cul et en con... selon ses termes...
C'est un contrat d'esclave, je le parcours attentivement, le Maître aura tout pouvoir sur moi, bien sûr celui de m'utiliser ou de m'offrir à d'autres, mais également, celui de me vendre, de me louer comme esclave sexuelle, il a également toute latitude pour modifier mon corps, ou l'orner des signes qu'il jugera bon de me faire porter.
Je paraphe le contrat sans hésiter, je viens de franchir le Rubicon, je suis désormais une soumise... une esclave sexuelle, une esclave...
Bien dis Maître Jean, buvons une coupe de champagne pour fêter, l'arrivée d'Aglaé dans notre famille, comme elle est vierge, je vais la dépuceler devant vous, mais auparavant Angie ?
Et bien Jean, Pauline a encore grossi, elle mange en cachette, je veux la punir, la châtier durement...
Tout en parlant, le Maître s'est levé, m'a passé autour de mon cou un collier semblable à un collier de chien, et entrepris de fixer à mes poignets et chevilles des bracelets en cuir.
Attache-la, punie la...
Angie manipule une corde, une barre de bois de laquelle pendent deux anneaux descend, arrivé à la hauteur qu'elle juge convenable, elle bloque la corde.
Elle passe aux poignets de Pauline, des bracelets semblables à ceux qui viennent de m'être posés, fait de même avec les cheville, attache une barre en bois munie de crochets aux bracelets des chevilles, les jambes de Pauline sont écartées, ses poignets attachés à la barre qui pend du plafond, elle est totalement immobilisée. Un bâillon est fixé sur la bouche de Pauline.
Les coups de cravache se succèdent, alternés, forts, faibles, des marques apparaissent sur les fesses et le dos de Pauline, la Maîtresse, semble faire durer la punition, elle y prend plaisir, insensible aux supplications étouffées de Pauline.
Pendant ce temps, les mains du Maître, courent sur mon corps, caressent mes seins, les malaxe, les pince, joue avec les pointes, les fait rouler entre ses doigts, m'explique que selon les désirs du maître, la poitrine d'une soumise peut être modifiée, par des traitements adaptés, certains maîtres adorent que leur soumise aient une poitrine détruite, qui tombe, une soumise doit l'accepter et faire une croix sur la fermeté de ses seins, elle doit tout accepter, mon sexe, qui dégouline littéralement (c'est la première fois, que je le sens couler ainsi, mon ventre est en feu), les doigts du Maître après avoir lubrifié mon anus, le pénètre également, j'apprécie immédiatement cette pénétration, je le dis au Maître.
La Maîtresse, arrête de cravacher Pauline, la fait se retourner face à elle, place un bandeau sur ses yeux et entreprend de cravacher de la même manière les cuisses, le ventre et les seins de Pauline. Par moment, elle fixe des pinces lestées sur les grosses mamelles de Pauline et les fait sauter à coup de cravache, à voir la mimique et entendre les gémissements de la soumise ainsi traitée, cela doit être douloureux, elle place des pinces à linge sur la poitrine de sa victime, les dispose en couronne sur les deux seins, les fait sauter à la cravache, les gémissements de Pauline, ne laissent aucun doute sur la douleur engendrée par ce traitement (je me promet de résister au maximum, de ne pas grimacer, le jour où je subirai cela...).
Elle prend ensuite un fouet assez long, la lanière s'enroule à chaque coup autour du corps de Pauline qui gémit, demande pitié, Maîtresse Angèle n'en a cure, Pauline reçoit la punition.
Lorsqu'elle estime que Pauline a été suffisamment punie, elle arrête, lui passe une chaine autour de sa taille, lui détache les poignets, les fixe à la chaîne, lui libère les pieds, la guide vers un pouf, la fait asseoir, fixe une des chevilles à un anneau scellé dans le sol, la soumise ainsi ne peut se frotter pour se soulager, m'explique le maître. La malheureuse soumise fait de vains efforts pour se frotter, rien n'y fait, le Maître prend une cravache en assène une dizaine de coups sur les seins de Pauline et lui ordonne ça suffit... si tu ne te calme pas, tu vas voir..., par endroit la peau des seins laisse sourdre un peu de sang, le Maître n'y est pas allé de main morte.
A toi, tu en as envie, je parie...
Oui, Maître... dressez-moi, contraignez-moi, usez de votre esclave...
Je suis attachée comme Pauline et traitée de la même façon avec un changement, le Maître alterne les caresses de mon sexe et les coups de cravache, je jouis deux fois sous ses doigts, je ne sens plus les coups.
Je suis attachée sur le chevalet, mes mains et jambes sont immobilisés, je suis offerte, des pinces lestées ont été fixées à mes seins, quelques coups de cravaches arrivent sur mes seins, mes fesses, mon sexe, je suis littéralement trempée, à entendre les commentaires du Maître et de la Maîtresse les traces de mon excitation sont visibles...
Le Maître est nu, il présente son sexe à ma bouche, l'enfonce et entreprend de pistonner ma gorge, il ne tient pas compte des hoquets qui me font tressauter, deux fois, je recule ma tête pour reprendre mon souffle, n'est pas content de mon indocilité selon lui, des gifles m'arrivent sur les joues, il fini par éjaculer dans ma bouche... tu noteras deux punitions Angie...
Le Maître est positionné derrière moi, il passe ses doigts sur mon anus, le lubrifie, fait pénétrer un, puis deux, puis trois doigts, je réprime de justesse un hurlement, tant la douleur est vive, je sens qu'il présente son sexe à l'entrée de mon anus, une poussée, la douleur du sphincter qui s'écarte, une autre poussée, je le sens maintenant dans mon ventre, la douleur est moins présente, le Maître commence un lent va-et-vient, au bout de quelques minutes, il sort et entre, provoquant une douleur qui se fait moins forte, je m'habitue à cette pénétration, à ma grande surprise j'y prend du plaisir, je sens mon ventre à nouveau couler, à l'accélération des mouvements du Maître, je devine qu'il va se libérer dans mon conduit, il éjacule, je sens un liquide chaud envahir mon ventre, je crie mon plaisir...
Le Maître se déclare satisfait de ma docilité, et m'indique que désormais, il me prendra par cette voie quand bon lui semblera, y compris pendant mon sommeil, si je regimbe, me précise-t-il, il a d'excellents moyens de me ramener à une plus parfaite compréhension de ma condition d'esclave, pour appuyer ses dires, une volée de coups de cravache atterrit sur mes fesses, il m'est demandé de compter et de dire merci à chaque coup, je m'exécute, à dix sur chaque fesse il s'arrête, mes fesses me brûlent..., je ne laisse échapper aucun gémissement.
Je sens un doigt passer dans ma raie culière, Maîtresse me tends le doigt, je dois le lécher, une esclave doit toujours avaler le sperme de son maître, je m'efforce de ne pas penser d'où sort la semence de mon Maître et avale docilement.
Le Maître ajoute des poids aux pinces de mes seins, la douleur est intense, puis cesse, il m'interroge, me demande si j'apprécie, je réponds que oui et lui indique, que dans la solitude de ma chambre, je me coinçais les seins dans le tiroir du secrétaire et j'aimais ça...
Une volée de coups de cravache arrive sur mes seins, je compte, remercie, suis félicitée de mon attitude.
Le sexe du Maître est de nouveau raide, il me l'enfonce dans la bouche, joue avec ma bouche quelques minutes, puis se positionne derrière moi, caresse mon sexe (je suis de plus en plus trempée) et doucement me pénètre, une douleur, je ne suis plus vierge et je ne tarde pas à gémir de plaisir, il n'a pas le temps de se libérer que je hurle mon plaisir (il m'est signifié, qu'ayant joui sans ordre, je serai punie pour cela...), je sens un liquide chaud gicler dans mon sexe, le Maître s'est vidé en moi, il revient face à moi, m'ordonne de lui nettoyer le sexe avec ma bouche, je m'exécute, je lèche du mieux que je peux le sexe gluant, sanguinolent et flasque.
Angie, grosse salope, lèche lui la chatte, nettoie lui...
Angie s'exécute, je sens une langue experte passer entre les lèvres et nettoyer doucement, lentement mon sexe, des doigts écartent mes lèvres, la langue s'insinue, l'excitation me gagne à nouveau, je gémis, je suis félicité de mon tempérament.
Le Maître m'explique, qu'une soumise peut et doit servir de gant de toilette pour nettoyer un sexe ou un cul dans lequel un maître a éjaculé, afin qu'aucune goutte de sperme ne soit perdue, cette règle ne souffre d'aucune exception, comme pour le reste, il dispose d'excellents moyens de persuasion.
Je suis libérée du chevalet, debout, bras derrière la tête, comme j'en ai reçu l'ordre, je ne tente pas de soulager les démangeaisons dues aux coups de cravache, le Maître m'ordonne de lui livrer les sensations que j'ai éprouvées au cours de ce double dépucelage.
Je réponds que je suis ravie, évidemment je ne pensais pas devenir femme de cette manière, mais j'ai apprécié la façon dont cela c'est fait et je remercie le Maître et la Maîtresse de la délicatesse dont ils ont fait preuve, j'avoue également, que je ne pensais pas être aussi salope, car j'ai pris du plaisir tout le temps, et je les en remerciait.
Angie éclate de rire et dis à Jean, au Maître tu as vraiment eu la main heureuse, elle est maso naturellement, à du tempérament, sa formation y compris aux pratiques saphiques ne devrait pas être bien longue, ni compliquée, félicitations mon Maître, en plus je sens que je vais avoir en elle, une amie, en dehors de l'esclave, je suis heureuse...
Le maître arrive avec une glace, m'ordonne regarde, je vois une traînée de sang sur une de mes cuisses, effectivement je ne suis plus vierge, je remercie une fois de plus mon Maître, il m'embrasse longuement sur les lèvres, mêle sa langue à la mienne, c'est une première pour moi aussi.
Angie nous regarde, pas gênée, en souriant.
Pauline est libérée, son corps est marbré de zébrures, le Maître lui ordonne d'aller chercher une cuvette d'eau chaude, pour que je puisse me nettoyer.
J'exécute l'ordre qui m'a été donné et procède à ma toilette intime sous le regard de Maître et Maîtresse, je fais un effort surhumain pour ne pas laisser transparaître la gêne et la honte qui sont miennes.
Pauline revient avec un vase de nuit, il m'est ordonné de me soulager, je m'exécute.
Le Maître m'explique qu'une esclave, même pour cela, surtout pour cela est soumise aux volontés de son maître et doit s'exécuter, quel que soit l'ordre, si l'ordre lui est donné elle doit se soulager, quel que soit l'endroit ou les circonstances, mon intimité, ma pudeur sont désormais des notions bannies, seul le maître décide, il m'est indiqué que lorsque j'irai aux toilettes, je devrai laisser la porte ouverte, il n'a pas fait installer des wc à la turque pour rien...
Angie et Pauline me confirment cette règle.
Le Maître ouvre un tiroir, prend une objet long et rond, d'un diamètre je pense de cinq centimètres muni de lanières, il me lubrifie à nouveau l'anus, fait pénétrer l'objet, sans s'occuper de mes grimaces et gémissements dus à la douleur, assujetti les lanières, je suis ainsi godé m'explique-t-il pour m'habituer et dilater mon anus
Nous passons à table, Pauline a apporté de la cuisine une desserte roulante avec le repas dessus, ce soir, nous mangeons froid, précise le Maître.
Pauline, va chercher l'huile et deux serviettes...
Pauline revient avec les objets demandés Monte sur le guéridon, elle s'exécute, le Maître dispose une serviette sur le guéridon, enduit une de ses main d'huile, Pauline descend son cul, le Maître, entreprend de faire pénétrer sa main, il alterne les mouvements de rotation, puis sa main disparaît dans l'anus de Pauline qui commence des va-et-vient en montant et descendant son fessier, l'air parfaitement ravie, Angie s'est levée et caresse le sexe de Pauline, au bout de quelques minutes Pauline hurle son plaisir, s’affaisse, le bras du Maître est rentré jusqu'au milieu de l'avant-bras dans son anus, elle ne paraît pas en souffrir.
Nous revenons à table, une serviette a été disposée sur l’assise de la chaise de Pauline, des fuites sont toujours possibles, me prévient le Maître, en attendant Pauline laisse échapper quelques pets qui nous font rire.
Le Maître m'explique, qu'il me dressera à cette pratique, il me dit qu'Angie supporte une, voire deux mains dans son sexe, mais pas dans son anus, alors que Pauline, dès la première fois, a tout avalé.
Pauline confirme, toute fière de cette particularité, elle est ravie du succès qu'elle obtient ainsi dans les soirées organisées par son Maître et sa Maîtresse.
Le Maître m'explique que dans la ferme où elle vivait avec sa famille, le fils du propriétaire l'avait sodomisée journellement dès l'âge de 12 ans, elle est entrée à leur service à 17 et en a 20 maintenant, elle préfère la cravache au viol régulier par un lourdaud qui sent la vache, elle n'avait pas été dépucelée, le Maître s'en est chargé.
Pauline confirme, et ajoute qu'elle est heureuse de la vie qui est la sienne maintenant... si elle était restée à la ferme, elle aurait été certainement mariée à un butor puant le fumier qui aurait continuer à la violer tous les jours, la volonté de l'homme ne doit pas être contrariée et on ne demande pas son avis, à une femme, elle subit.
Ici avec ses gages, elle ne dépense pas grand chose, Maître Baieul l'a fait profiter d'occasions qu'il avait dans son étude, elle est déjà propriétaire d'une ferme, un métayer l'exploite pour elle, elle est heureuse ici... et adore être contrainte..., (elle est maso comme moi...).
Nous finissons de dîner tranquillement.

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