soumission au château
Récit érotique écrit par Maryaline [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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soumission au château
Durant la semaine, Alain m'avait demandé :
« Ma petite chérie, serais-tu partante pour un week-end de soumission au château du
haut gouget. Il y auras des soumis et des soumises ainsi que des Maîtres et
Maîtresses. Tu as la semaine pour te décider »
J'avais entendu parler de ces week-end où les dominants faisaient subir humiliations
et punitions diverse à leurs esclaves.
Çà me faisait peur mais j'en été très excitée aussi.
Je savais que si j'acceptais, il n'y aurait pas de point de non retour et Alain serait
si humilié que je me dérobe à ces contraintes.
Le Jeudi, je déclare avec un peu d'angoisse à Alain que je suis partante pour
l'aventure.
Il m'a remercié et m'a fait tendrement l'amour.
J'ai eu un orgasme fulgurant.
Le soir alors que je me préparais pour partir,Alain me dit :
« Maryaline, reste nue et mets se collier signe de ta soumission. Tu feras le voyage
avec juste ce manteau sur toi »
Ma position de soumise commence dés à présent.
Je l'acceptes volontiers.
Après une heure de trajet nous entrons par une grille majestueuse dans le parc du
château.
J'ai une boule au ventre.
A peine arrivés sur les lieux, le vendredi vers 18 heures, les couples sont
accueillis par un majordome en livrée.
Il nous dirige vers une grande table où l'apéritif est offert.
L'alcool désinhibe l'assemblée,
Soumises et soumis se retrouvent rapidement nus.
Alain m’enlève mon manteau et le donne au majordome.
Je suis rouge de confusion et machinalement cache mes seins et mon minou.
Alain ma donne une tape sur les fesses en me disant :
« Un peu de tenue chérie ! Je t'en prie ne me fait pas honte devant tout le monde ! »
Sur une sorte de dancing floor, nous avons dû danser nus pour le plaisir des Maîtres
et Maîtresses.
Les garçons ont parfois les mains baladeuses mais les Maîtresses qui disposent ici
d'un choix conséquent de mâles, ne se privent pas de peloter les culs des esclaves
masculins.
Elles s'en donnent à cœur joie en tripotant les fessiers mais aussi pour les faire
danser à grandes claques sur les fesses.
Pour l'instant les esclaves femelles ne sont pas sollicitées.
Elles ont appelé cela de la solidarité entre soumis, une solidarité originale nous en
conviendrons.
Le repas est conventionnel, hormis la nudité des esclaves,
A la fin du repas, Maîtresse Viviane s’attaque aux fessiers mâles à l’aide de deux
Martinets sur une musique endiablée accompagnée au clavier par Philippe.
Maître Gérard intervient lui aussi pour rimer la musique à coup de cravache.
Il se dirige vers moi en disant à Alain :
« Je vous l'emprunte, je pense que ses fesses vont avoir un timbre intéressant »
De bonne grâce Alain me laisse aller.
Je le regarde d'un air terrifiée.
Il me répond par un sourire.
Les coups de cravaches mitrés par la musique me cinglent les fesses sous mes plainte
et mes pleurs de douleur.
Maître Bernard joue de la canne anglaise sur les fesses d'une autre fille qui plus
courageuse que moi supporte les coups.
Ce concert curieux s’arrêtât tard dans la nuit.
Bien heureux chacun et chacune y contribuèrent mais mes fesses reste marquées au grand
bonheur d'Alain qui n'arrête pas de me les malaxer.
Comme le veut la tradition , les esclaves mâles et femelles dorment tous dans la même
pièce ce qui force quelque peu la pudeur surtout lorsque les Maîtres et Maîtresses
décident qu’il est l’heure de câliner les douces moitiés respectives. Alain m'a fait
l'amour avec douceur et je l'ai terminé par une pipe magistrale dans un 69 qui m'a
fait hurler de jouissance alors qu'il se lâchait dans ma gorge.
Le samedi matin, le réveil est difficile.
Mes fesses me font encore mal.
Après les petits déjeuners, le Maître de cérémonie déclare :
« C'est l'heure de mise en forme pour nos esclaves ! Séquence sport SM ! »
Faire des pompes pour les mâles n’a rien de SM mais le faire avec des pinces à seins
équipées de clochettes avec Maîtresse Viviane et Dominique comme coach est une autre
histoire.
Dès 10 heures les cravaches, martinets et sticks se mettent à siffler.
Pour entretenir les formes et le ventre des femelles, nous sommes contraintes de faire
des ados, du vélo, des ciseaux intégralement nues, non pas pour le plaisir des yeux
des coachs, mais pour faciliter l’accès aux fesses pour ce qu'ils appélent....les
instruments pédagogiques.
Pour rythmer la cadence, nous sommes fouettés et les coups parfois ne tombent pas
toujours que sur les fesses ou le dos.
J'en reçus un sur le côté du seins qui m'a fait hurler.
Nous avons eu le droit d'un moment de repos dans les douches communes.
Mâles et femelles avons le corps striés par les coups et luisant de transpiration.
Surveillé par les dominants, mâles et femelles nous devons nous laver avant de nous
occuper du corps de nos Maîtres et Maîtresse bien aimés.
Pour l’apéro du samedi midi, le Maître de cérémonie demande :
« Messieurs et mesdames, pour les activités de cette après midi, je vous demanderais
de m'apporter des suggestions de jeux BDSM. La plus audacieuse sera retenue. »
Nous avons en fait subi un large éventail de « jeux »
Shibari, fessées, pinces multiples et diverses lestées ou non ont été appliqués.
Alain a décidé de s'occuper de moi en me traitant comme une chienne.
Un collier une laisse, des pinces aux tétons avec des clochettes, il m'enfile un plug
ressemblant à une queue de chien .
J'ai dû gambader ainsi affublé dans le champs.
Si je ne courre pas assez vite, je reçois un coup de fouet.
J'ai dû aussi faire mes besoins devant tout le monde .
Quelle humiliation pour moi mais çà semble amuser les invités.
L'heure de l'apéro est arrivé.
J’espère avoir un moment de répit car je suis épuisée.
Le Maître de cérémonie m’appelle :
« Petite chienne ! Viens par ici à quatre pattes s'il te plaît »
J’obvie et passe comme une chienne à quatre pattes devant touts les invités qu'il
rigole de moi.
« Tu es une bonne chienne et tu vas avoir l'honneur de servir de sceau à champagne »
J'ai peur de comprendre.
On m'allonge sure le dos et on me bloque les jambes derrière la tête.
Dans cette position, mon intimité ne cache aucun secret à l'assistance.
Maître Jérôme entreprend alors de m'enfoncer dans ma grotte d'amour, si bien offerte
et exposée, un grand verre.
Il force pour le faire entrer et je grimace tellement l'objet et gros.
Je ne veux pas crier pour ne pas faire honte à Alain.
Maître Jérôme y parviens et toute l'assemblée applaudi.
J'entend Alain qui lance :
« Bravo chérie t'es superbe ainsi »
Bêtement çà me rend fière.
Je m'habitue à cette énorme présence dans ma chatte.
Je ne peux réprimer un gémissement quand le verre est rempli de champagne très froid.
Les Maîtres et Maîtresses se succédent alors pour s'abreuver à ma source.
Comme il sont trop nombreux pour mon seul verre, il décide de prendre plusieurs
femelles pour augmenter le nombre de verre.
Maître et maîtresses prirent ainsi e pot de l’amitié dans nos étuis de douceur au
centre de nos lèvres très épanouies par cette dilatation.
à cet instant là ne pouvait accueillir qu’un seul verre !
Nous avons le droit ensuite à un repos bien mérité pour permettre à nos corps de se
remettre.
Nous ne sommes que Samedi et je suis effondrée de fatigue.
Mon corps est couvert de coup, J'ai mal partout.
Au digestif, lui aussi agrémenté par les propositions sadiques et perverses,
un nouveau jeu est organisé.
Transformés en meubles, les mâles et femelles doivent se prêter aux délires proposés.
Marion et Maurice sont contraints de se mettre comme porte pipe.
En fait, les fumeurs mettent leurs porte cigarettes, leurs cigares ou leurs pipes dans
leurs trou du cul.
Moi je suis une table basses.
D'autres moins chanceux se transforment en bougeoir ou en cendrier.
Les femelles ont également tester quelques instruments diaboliques.
Mais en tout cas toute la soirée est ponctuée de gémissements de plaisirs et des
effets des vagues de jouissance titanesques pour ne pas dire des tsunamis.
Vers minuit, on fête au champagne l’emploi décroché par Marion ainsi que son BEP .
Mais ce champagne ne peut-être consommé de manière conventionnelle.
C’est sur le corps des mâles et des femelles qu’il est versé.
Il est consommé sans modération à grands coups de langue.
Grisés par le champagne et les coups de langues tous, mâles, femelles, Maîtres et
Maîtresses, nous nous mettons à danser dans des tenues plus que suggestives et avec
des postures très érotiques.
La fin de la soirée est plus calme et ce n'est pas pour me déplaire.
Je n'ai presque pas vu Alain qui doit certainement s'amuser avec une femelle.
Le Dimanche commence mal pour moi.
La veille, pour des raisons d’irritations due à la chaleur, Alain m'avait retiré mon
collier pour la nuit.
J'avais rangé cet emblème de soumission.
Mais ce matin, avec l'alcool bu la veille, je ne me souviens plus où je l'ai mis.
Pendant plus de 30 minutes l’équipe doit le chercher ce qui justifia une réelle
punition.
Ils m'attache en croix et je reçois trois séries de vingt coups de fouets sur mes
fesses, mon dos et mon ventre.
Alain a la primeur et me fouette les fesses heureusement pas trop durement.
Après cinq minutes de pause, c'est Maîtresse Viviane qui prend le relais en me
fouettant le dos d'une violence qui me fait hurler et supplier d'arrêter.
Mais le pire s'est Maître Philippe qui m'inflige sur le ventre et parfois les seins
une correction magistrale qui oblige Alain à lui demander :
« Ho ! doucement tu vas abîmer mon jouet »
Prés un tel traitement, je suis à moitié évanouie et sanglotante on me détache.
Mes jambes flageoles et on m'allonge délicatement pour que je reprenne des forces.
Pendant que je me repose, une nouvelle séquence de sport SM commence avec une grosse
variante.
Les font des pompes affublé de pinces et de clochettes sur leurs queues et leurs
tétons mais Maîtresse Viviane demande aux femelles de fouetter les mâles pour donner
le rythme.
Ensuite se sont les mâles qui se sont vengés sur les femelles.
Heureusement on me foutait la paix avec la punition que j'ai subi.
Mario doit faire du vélo mais cette fois couchée sur le dos avec les genoux derrière
la tête.
Son magnifique petit derrière avec des fesses délicieusement galbées, fermes sont
promptes à laisser apparaître entre elles un ravissant espace de liberté pour
l'imagination débordante des mâles.
Elle prend un grand nombre de coups sous des prétextes fallacieux ou bidon mais peu
importe, les mâle soumis deviennent pires que leurs Maîtresses.
Après le sport, la douche.
Les mâles et femelles doivent s’occuper de leur Maître respectif car coacher est
épuisant.
Ils ont également le droit de se laver mais avec un temps imparti.
Prés l'apéro, soumise Marion doit partager le repas dans une gamelle avec les chiens.
Ensuite nous avons eu le droit à une bonne sieste.
J'avais été tranquille toute la matinée.
Le réveil est brutal, Les Maîtres et Maîtresses ont décidé de nous réveiller non pas
avec un café mais un concert de cravaches.
L’écho des coups de cravaches répondaient à nos plaintes et nos cris.
Shibari au menu pour cet après midi et c'est Bernard et Marion qui sont entravés nus.
à un magnifique escalier de bois.
Les Maîtres et Maîtresses alors sont pris d'une folie SM.
Ils couvrent de coups de martinet puis de fouet les deux esclave ligotés.
N’étant pas de nature maso Bernard est coaché par Maîtresse Viviane qui s'occupe de
son sexe et de son ventre sans oublier les seins alors que Maître Jérôme s'entretient
de son derrière au fouet.
Marion n'était pas en reste au vu des zébrure qui agrémente son délicieux corps
ponctué à chaque coup par ses petits cris.
Il semble que la pédagogie de Maîtresse Viviane est excellente car Bernard n’a que
gémis.
Est-ce de douleur ou de plaisir ?
Pour clore ce premier week-end, il est décidé par le Maître de cérémonie du thème du
prochain week-end, L'échangisme.
Alain me prend dans ses bras en me disant :
« Je suis fière de toi chérie Réfléchie si tu veux venir au prochain week-end »
Rentré chez nous, je m'écroulais de fatigue sur le lit.
Il m'a fallu 2 semaine pour ne plus avoir de trace de fouet.
Je ne sais pas si j'irais à la prochaine réunion.
« Ma petite chérie, serais-tu partante pour un week-end de soumission au château du
haut gouget. Il y auras des soumis et des soumises ainsi que des Maîtres et
Maîtresses. Tu as la semaine pour te décider »
J'avais entendu parler de ces week-end où les dominants faisaient subir humiliations
et punitions diverse à leurs esclaves.
Çà me faisait peur mais j'en été très excitée aussi.
Je savais que si j'acceptais, il n'y aurait pas de point de non retour et Alain serait
si humilié que je me dérobe à ces contraintes.
Le Jeudi, je déclare avec un peu d'angoisse à Alain que je suis partante pour
l'aventure.
Il m'a remercié et m'a fait tendrement l'amour.
J'ai eu un orgasme fulgurant.
Le soir alors que je me préparais pour partir,Alain me dit :
« Maryaline, reste nue et mets se collier signe de ta soumission. Tu feras le voyage
avec juste ce manteau sur toi »
Ma position de soumise commence dés à présent.
Je l'acceptes volontiers.
Après une heure de trajet nous entrons par une grille majestueuse dans le parc du
château.
J'ai une boule au ventre.
A peine arrivés sur les lieux, le vendredi vers 18 heures, les couples sont
accueillis par un majordome en livrée.
Il nous dirige vers une grande table où l'apéritif est offert.
L'alcool désinhibe l'assemblée,
Soumises et soumis se retrouvent rapidement nus.
Alain m’enlève mon manteau et le donne au majordome.
Je suis rouge de confusion et machinalement cache mes seins et mon minou.
Alain ma donne une tape sur les fesses en me disant :
« Un peu de tenue chérie ! Je t'en prie ne me fait pas honte devant tout le monde ! »
Sur une sorte de dancing floor, nous avons dû danser nus pour le plaisir des Maîtres
et Maîtresses.
Les garçons ont parfois les mains baladeuses mais les Maîtresses qui disposent ici
d'un choix conséquent de mâles, ne se privent pas de peloter les culs des esclaves
masculins.
Elles s'en donnent à cœur joie en tripotant les fessiers mais aussi pour les faire
danser à grandes claques sur les fesses.
Pour l'instant les esclaves femelles ne sont pas sollicitées.
Elles ont appelé cela de la solidarité entre soumis, une solidarité originale nous en
conviendrons.
Le repas est conventionnel, hormis la nudité des esclaves,
A la fin du repas, Maîtresse Viviane s’attaque aux fessiers mâles à l’aide de deux
Martinets sur une musique endiablée accompagnée au clavier par Philippe.
Maître Gérard intervient lui aussi pour rimer la musique à coup de cravache.
Il se dirige vers moi en disant à Alain :
« Je vous l'emprunte, je pense que ses fesses vont avoir un timbre intéressant »
De bonne grâce Alain me laisse aller.
Je le regarde d'un air terrifiée.
Il me répond par un sourire.
Les coups de cravaches mitrés par la musique me cinglent les fesses sous mes plainte
et mes pleurs de douleur.
Maître Bernard joue de la canne anglaise sur les fesses d'une autre fille qui plus
courageuse que moi supporte les coups.
Ce concert curieux s’arrêtât tard dans la nuit.
Bien heureux chacun et chacune y contribuèrent mais mes fesses reste marquées au grand
bonheur d'Alain qui n'arrête pas de me les malaxer.
Comme le veut la tradition , les esclaves mâles et femelles dorment tous dans la même
pièce ce qui force quelque peu la pudeur surtout lorsque les Maîtres et Maîtresses
décident qu’il est l’heure de câliner les douces moitiés respectives. Alain m'a fait
l'amour avec douceur et je l'ai terminé par une pipe magistrale dans un 69 qui m'a
fait hurler de jouissance alors qu'il se lâchait dans ma gorge.
Le samedi matin, le réveil est difficile.
Mes fesses me font encore mal.
Après les petits déjeuners, le Maître de cérémonie déclare :
« C'est l'heure de mise en forme pour nos esclaves ! Séquence sport SM ! »
Faire des pompes pour les mâles n’a rien de SM mais le faire avec des pinces à seins
équipées de clochettes avec Maîtresse Viviane et Dominique comme coach est une autre
histoire.
Dès 10 heures les cravaches, martinets et sticks se mettent à siffler.
Pour entretenir les formes et le ventre des femelles, nous sommes contraintes de faire
des ados, du vélo, des ciseaux intégralement nues, non pas pour le plaisir des yeux
des coachs, mais pour faciliter l’accès aux fesses pour ce qu'ils appélent....les
instruments pédagogiques.
Pour rythmer la cadence, nous sommes fouettés et les coups parfois ne tombent pas
toujours que sur les fesses ou le dos.
J'en reçus un sur le côté du seins qui m'a fait hurler.
Nous avons eu le droit d'un moment de repos dans les douches communes.
Mâles et femelles avons le corps striés par les coups et luisant de transpiration.
Surveillé par les dominants, mâles et femelles nous devons nous laver avant de nous
occuper du corps de nos Maîtres et Maîtresse bien aimés.
Pour l’apéro du samedi midi, le Maître de cérémonie demande :
« Messieurs et mesdames, pour les activités de cette après midi, je vous demanderais
de m'apporter des suggestions de jeux BDSM. La plus audacieuse sera retenue. »
Nous avons en fait subi un large éventail de « jeux »
Shibari, fessées, pinces multiples et diverses lestées ou non ont été appliqués.
Alain a décidé de s'occuper de moi en me traitant comme une chienne.
Un collier une laisse, des pinces aux tétons avec des clochettes, il m'enfile un plug
ressemblant à une queue de chien .
J'ai dû gambader ainsi affublé dans le champs.
Si je ne courre pas assez vite, je reçois un coup de fouet.
J'ai dû aussi faire mes besoins devant tout le monde .
Quelle humiliation pour moi mais çà semble amuser les invités.
L'heure de l'apéro est arrivé.
J’espère avoir un moment de répit car je suis épuisée.
Le Maître de cérémonie m’appelle :
« Petite chienne ! Viens par ici à quatre pattes s'il te plaît »
J’obvie et passe comme une chienne à quatre pattes devant touts les invités qu'il
rigole de moi.
« Tu es une bonne chienne et tu vas avoir l'honneur de servir de sceau à champagne »
J'ai peur de comprendre.
On m'allonge sure le dos et on me bloque les jambes derrière la tête.
Dans cette position, mon intimité ne cache aucun secret à l'assistance.
Maître Jérôme entreprend alors de m'enfoncer dans ma grotte d'amour, si bien offerte
et exposée, un grand verre.
Il force pour le faire entrer et je grimace tellement l'objet et gros.
Je ne veux pas crier pour ne pas faire honte à Alain.
Maître Jérôme y parviens et toute l'assemblée applaudi.
J'entend Alain qui lance :
« Bravo chérie t'es superbe ainsi »
Bêtement çà me rend fière.
Je m'habitue à cette énorme présence dans ma chatte.
Je ne peux réprimer un gémissement quand le verre est rempli de champagne très froid.
Les Maîtres et Maîtresses se succédent alors pour s'abreuver à ma source.
Comme il sont trop nombreux pour mon seul verre, il décide de prendre plusieurs
femelles pour augmenter le nombre de verre.
Maître et maîtresses prirent ainsi e pot de l’amitié dans nos étuis de douceur au
centre de nos lèvres très épanouies par cette dilatation.
à cet instant là ne pouvait accueillir qu’un seul verre !
Nous avons le droit ensuite à un repos bien mérité pour permettre à nos corps de se
remettre.
Nous ne sommes que Samedi et je suis effondrée de fatigue.
Mon corps est couvert de coup, J'ai mal partout.
Au digestif, lui aussi agrémenté par les propositions sadiques et perverses,
un nouveau jeu est organisé.
Transformés en meubles, les mâles et femelles doivent se prêter aux délires proposés.
Marion et Maurice sont contraints de se mettre comme porte pipe.
En fait, les fumeurs mettent leurs porte cigarettes, leurs cigares ou leurs pipes dans
leurs trou du cul.
Moi je suis une table basses.
D'autres moins chanceux se transforment en bougeoir ou en cendrier.
Les femelles ont également tester quelques instruments diaboliques.
Mais en tout cas toute la soirée est ponctuée de gémissements de plaisirs et des
effets des vagues de jouissance titanesques pour ne pas dire des tsunamis.
Vers minuit, on fête au champagne l’emploi décroché par Marion ainsi que son BEP .
Mais ce champagne ne peut-être consommé de manière conventionnelle.
C’est sur le corps des mâles et des femelles qu’il est versé.
Il est consommé sans modération à grands coups de langue.
Grisés par le champagne et les coups de langues tous, mâles, femelles, Maîtres et
Maîtresses, nous nous mettons à danser dans des tenues plus que suggestives et avec
des postures très érotiques.
La fin de la soirée est plus calme et ce n'est pas pour me déplaire.
Je n'ai presque pas vu Alain qui doit certainement s'amuser avec une femelle.
Le Dimanche commence mal pour moi.
La veille, pour des raisons d’irritations due à la chaleur, Alain m'avait retiré mon
collier pour la nuit.
J'avais rangé cet emblème de soumission.
Mais ce matin, avec l'alcool bu la veille, je ne me souviens plus où je l'ai mis.
Pendant plus de 30 minutes l’équipe doit le chercher ce qui justifia une réelle
punition.
Ils m'attache en croix et je reçois trois séries de vingt coups de fouets sur mes
fesses, mon dos et mon ventre.
Alain a la primeur et me fouette les fesses heureusement pas trop durement.
Après cinq minutes de pause, c'est Maîtresse Viviane qui prend le relais en me
fouettant le dos d'une violence qui me fait hurler et supplier d'arrêter.
Mais le pire s'est Maître Philippe qui m'inflige sur le ventre et parfois les seins
une correction magistrale qui oblige Alain à lui demander :
« Ho ! doucement tu vas abîmer mon jouet »
Prés un tel traitement, je suis à moitié évanouie et sanglotante on me détache.
Mes jambes flageoles et on m'allonge délicatement pour que je reprenne des forces.
Pendant que je me repose, une nouvelle séquence de sport SM commence avec une grosse
variante.
Les font des pompes affublé de pinces et de clochettes sur leurs queues et leurs
tétons mais Maîtresse Viviane demande aux femelles de fouetter les mâles pour donner
le rythme.
Ensuite se sont les mâles qui se sont vengés sur les femelles.
Heureusement on me foutait la paix avec la punition que j'ai subi.
Mario doit faire du vélo mais cette fois couchée sur le dos avec les genoux derrière
la tête.
Son magnifique petit derrière avec des fesses délicieusement galbées, fermes sont
promptes à laisser apparaître entre elles un ravissant espace de liberté pour
l'imagination débordante des mâles.
Elle prend un grand nombre de coups sous des prétextes fallacieux ou bidon mais peu
importe, les mâle soumis deviennent pires que leurs Maîtresses.
Après le sport, la douche.
Les mâles et femelles doivent s’occuper de leur Maître respectif car coacher est
épuisant.
Ils ont également le droit de se laver mais avec un temps imparti.
Prés l'apéro, soumise Marion doit partager le repas dans une gamelle avec les chiens.
Ensuite nous avons eu le droit à une bonne sieste.
J'avais été tranquille toute la matinée.
Le réveil est brutal, Les Maîtres et Maîtresses ont décidé de nous réveiller non pas
avec un café mais un concert de cravaches.
L’écho des coups de cravaches répondaient à nos plaintes et nos cris.
Shibari au menu pour cet après midi et c'est Bernard et Marion qui sont entravés nus.
à un magnifique escalier de bois.
Les Maîtres et Maîtresses alors sont pris d'une folie SM.
Ils couvrent de coups de martinet puis de fouet les deux esclave ligotés.
N’étant pas de nature maso Bernard est coaché par Maîtresse Viviane qui s'occupe de
son sexe et de son ventre sans oublier les seins alors que Maître Jérôme s'entretient
de son derrière au fouet.
Marion n'était pas en reste au vu des zébrure qui agrémente son délicieux corps
ponctué à chaque coup par ses petits cris.
Il semble que la pédagogie de Maîtresse Viviane est excellente car Bernard n’a que
gémis.
Est-ce de douleur ou de plaisir ?
Pour clore ce premier week-end, il est décidé par le Maître de cérémonie du thème du
prochain week-end, L'échangisme.
Alain me prend dans ses bras en me disant :
« Je suis fière de toi chérie Réfléchie si tu veux venir au prochain week-end »
Rentré chez nous, je m'écroulais de fatigue sur le lit.
Il m'a fallu 2 semaine pour ne plus avoir de trace de fouet.
Je ne sais pas si j'irais à la prochaine réunion.
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