Soumission de ma femme
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission de ma femme
Corinne se sent bien mieux dans sa peau, elle a eu la possibilité de tout m'avouer au sujet de ses tromperies.
Même, si elle me cache sa relation avec Jean-Pierre, qui est trop axée sur la domination-soumission pour que je la comprenne.
Enfin, c'est comme ça qu'elle me perçoit à l'époque !
On se dispute beaucoup moins également, et ça, c'est grâce au fait que je lui ai avoué mon besoin de me faire baiser par d'autres hommes.
En effet, depuis qu'elle est venue vivre avec moi, j'ai perdu ma liberté de mouvement.
Je passe des semaines à lutter contre mes pensées et mes fantasmes homosexuels.
J'en deviens irascible, sur les nerfs, je ne peux pas lui dire: "J'ai besoin de me faire enculer !" Comme ça, de but en blanc !
Je fini toujours par causer une dispute, en lui disant que j'ai besoin de liberté ! J'étouffe !
Je fini toujours par lui dire: "Je vais faire un tour ! Ne m'attends pas !".
Je sors alors, pour me faire prendre et sucer des queues au Sex-Shop, puis rentre apaisé, lorsque cela s'est passé comme je le désire.
Sinon, je vais dans un autre endroit, comme le cinéma porno, jusqu'à obtenir la jouissance anale et la soumission, dont j'ai besoin.
Ensuite, à chaque fois, je me déteste, elle n'y est pour rien ! C'est moi qui ai un problème !
Mais depuis mon aveu, tout cela est terminé, je la prépare toujours un peu avant, en disant:
"Mon amour, je vais pas tarder à aller ou tu sais ! J'en ai envie depuis quelques jours !".
"Pas de problème, tu veux y aller aujourd'hui ?".
Parfois, je patiente, d'autres, je réponds:
"Ben, je sais pas ! Pourquoi pas ? C'est sur ? Ca te déranges pas ?".
"Non, vas y ! Je préfère que tu sois bien ! Je sais que tu en as besoin !".
Elle sait aussi, qu'elle me retrouvera plus aimant et plus calme après ça ! On vient de régler notre seule source de conflit !
Depuis cet aveu, notre vie de couple a gagné en sérénité, et en complicité sexuelle.
On a un nouvel accord, si elle me laisse baiser avec d'autres hommes, je lui accorde le droit d'avoir des amants de son coté.
Ma double vie, adoube aussi la sienne, en quelque sorte !
Bien sur, au début, on a tenté l'échangisme, mais j'avais pas vraiment envie d'autres femmes, j'en avais fait le tour !
Je suis donc devenu une sorte de candauliste, avec un léger souci.
Puisque, je n'aimais pas me sentir jugé, en mari cocu (complice est le bon mot pour moi !), donc la plupart du temps, je n'étais pas présent, mais les vidéos de ses baises deviendront un de mes passe-temps favoris.
Elle me regarde donc partir, pour assouvir mes fantasmes avec d'autres hommes, qui n'attendent que moi pour se vider les couilles.
Mais, m'imaginer entrain de me faire enculer la stimule, elle pense à Jean-Pierre !
Elle sait que je ne rentrerai que vers 23h00, voire minuit !
Elle a donc la suite de la journée pour elle ! Il est 14 h !
Elle utilise le téléphone fixe (pas de portable à l'époque !) pour l'appeler, en espérant que sa nouvelle compagne ne soit pas avec lui.
"Allo ? Jean-Pierre ?".
"Oui, ma belle ! Ca fait plaisir de t'entendre !".
"T'es seul ? Je peux passer ? Elle est pas là ?".
"Non, On vit pas ensemble, tu le sais ! Elle est en famille ! Tu veux que je te baise ?".
"Ben, je dirais pas non ! Je peux venir ?".
"Oui, dépêches-toi ma belle ! Prépares bien ton p'tit cul ! Tu vas prendre cher !".
"C'est bien pour ça, que je viens !".
En l'attendant, il prépare le gel silicone, et tout le reste, nécessaire à leur baise perverse.
Quand à elle, en roulant vers sa maison, elle comprend mon besoin des hommes et de soumission, puisqu'elle ressent la même chose avec ses amants.
Tout particulièrement, avec ce vieux vicieux de Jean Pierre !
Elle croise sans cesse ses cuisses, elle devine qu'elle trempe sa jupe.
Comme elle ne porte jamais de culotte, pour le retrouver, elle doit en subir les inconvénients !
Elle glisse un mouchoir entre ses cuisses pour empêcher tout accident.
Le fait d'arrêter la voiture, devant chez son amant pervers, la soulage.
Elle enlève le mouchoir et se dirige vers la villa.
Dès son entrée, il l'empoigne, et envoie sa main entre ses cuisses.
Il ne s'étonne même plus, de l'absence de culotte !
"Alors, t'es venue te faire défoncer, ma salope ? Je vois que t'es déjà toute mouillée ! C'est bon, ça !".
"Oui, tu m'excites toujours autant ! Tu vas bien me baiser, hein ? J'en ai trop envie !".
"Comptes sur moi, ma coquine ! Ton mec pourra pas profiter de toi, pendant un bon moment ! Après ça !".
"Ne parles pas de lui et baises-moi !".
"Baises-moi ? C'est tout ?".
"Tu m'as comprise ! Je sais très bien que tu vas me casser le cul, encore ! C'est de plus en plus puissant, d'ailleurs ! Mais essaie de me baiser la chatte, un peu moins fort, j'ai toujours un peu mal, après !".
"Ok, ma belle ! Viens là !".
Il lui remonte la jupe et lui dévore la chatte, puis l'anus.
Il lui demande de lui couvrir la queue de gel silicone.
Elle prend un plaisir énorme à faire glisser ses doigts gluants sur sa grosse verge veinée.
"Voilà, essuies toi, entre tes jambes !".
Elle se badigeonne le vulve et l'anus du gel présent sur ses doigts.
Il la couche sur le ventre, sur un tapis de laine épaisse, au sol.
Il se couche sur elle, puis elle sent qu'il cherche à la pénétrer analement.
"Hummm ! Comme ça, t'auras pas mal à la chatte ! Ma salope ! J'vais t'enculer directement !".
Elle crie en réalisant qu'il parvient lentement à s'insérer dans son cul.
"Orghhhhhhh ! Salaud ! T'as pas le droit ! Arhhhhhhhh !".
"J'ai tous les doits ! T'es ma pute ! Ne l'oublies pas ! Je fais ce que je veux de toi !".
"Orhhhhh ! Putain ! Salaud ! Arhhhhhh ! C'est bon, c'est excitant, comme ça !".
Il se plante en elle avec vice, à chaque assaut, il la fait crier sans discontinuer.
Les mots vulgaires fusent, Corinne atteint un énorme orgasme cérébral, doublé d'un autre anal.
Le gel forme une mousse autour de la très large bite foncée de Jean Pierre.
Il se redresse parfois, en admirant la vue excitante, de cette pénétration extrême.
Elle enchaine les montées de plaisir, il adore la rendre folle en l'enculant !
Et il lui procure ainsi, une longue série d'envolées de plaisirs anaux.
La saillie est très longue, mais à présent, il veut jouir à son tour !
Il se couche sur elle et la pilonne avec force et profondeur, dans un rythme effréné.
Le souffle de Jean Pierre, dans son oreille, et qui se déchaine dans son anus poisseux, rend Corinne complètement dingue !
Elle crie comme jamais, jusqu'au moment où, Jean Pierre sent de l'humidité entre les cuisses de ma femme.
Il s'affaire de plus belle, elle gueule comme une chienne, arrosant de cyprine, le tapis de son amant.
Il lui parle vulgairement:
"Allez pisses ! Salope ! T'aimes ça, te faire éclater le cul par une grosse bite ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhhrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Tu me défonces trop bien ! Arggggggggggghhh !".
Il s'acharne en elle jusqu'au bout, puis, il se vide de toute sa semence, en grognant qu'il aime lui défoncer le cul comme ça !
Corinne est sans réaction, il lui a mis l'anus dans un tel état qu'il peut en faire ce qu'il veut, à présent !
Il se redresse, ensuite, comme à son habitude, il écarte ses lobes fessiers, en attendant qu'elle lui montre le sperme qu'elle a dans l'anus.
Il le racle avec son gros gland, et s'enfonce encore dans son cul, en la faisant gémir de plaisir.
Jusqu'à s'en lasser au bout de quelques minutes, il a bien joui, avec sa salope préférée !
Ils conversent ensuite, nus et allongés sur le tapis, puis vont se mettre sur le canapé.
Elle lui apprend qu'elle a la journée de libre.
"Ah bon ! Tu veux pas qu'on en profite ?".
"C'est a dire ?".
"Je t'emmène quelque part ! C'est un endroit discret ! Tu verras ! Ca va te plaire ! De toute façon, t'as pas le choix ! T'es ma salope !".
Elle monte dans sa voiture, encore gênée analement, par ce qu'elle vient de vivre.
Mais elle se sent à sa place, et pense à moi, qui ai probablement vécu quelque chose de similaire.
Sur la route, il lui demande:
"On va convenir d'un signal, quand tu en as marre, ou qu'on va trop loin, tu dois dire un mot ! Qu'est-ce que tu choisis ?".
"Ben ! "Stop" ! Mais tu m'inquiètes du coup !".
Il la rassure, en ne lui promettant que du plaisir.
Il se gare devant un petit bâtiment.
Il sonne à un interphone, elle voit une enseigne, qui désigne les mots "Club privé".
La porte s'ouvre:
"Bonjour ! Jean Pierre ! C'est ...ellle ?".
"Oui, je te présente Corinne ! Ma complice de jeu !".
"Enchanté ! Mademoiselle, ou Madame ?".
"Mademoiselle ! Je ne suis pas mariée ! Même si j'ai quelqu'un !".
"Ca ne me regarde pas ! Ici, on ne juge personne ! Mais entrez !".
Jean Pierre sort de l'argent pour le droit d'entrée.
"On verra ça, après ! Suivant comment, ça va se passer ! Ranges ça !".
Puis, son amant entraine Corinne vers des vestiaires, elle n'a jamais fréquenté ce genre d'endroit.
Même si on commence à parler entre nous, de club échangistes ! Mais ce n'est pas ce qu'elle pense du tout !
Les deux complices entrent ensemble dans la salle sombre, couverts d'une simple serviette autour de la taille.
Le patron vient leur servir une boisson, en ajoutant que c'est lui, qui les offre.
Corinne remarque qu'elle est la seule femme dans l'établissement !
"Euh, Jean Pierre ! Y a que moi comme femme ?".
"T'inquiètes pas, je gère, ma coquine ! Et puis, on est l'après-midi, il y a moins de monde !".
Le patron s'assoit avec eux, puis, attaque directement le sujet du sexe !
"Alors ? Tu l'as bien dressée ? Tu la sens prête ?".
"Je pense ! Testes-la ! Tu verras !".
L'homme se dresse et baisse son jogging, arborant une bite magnifique en érection.
"Voilà ma belle ! Tu sais ce que tu dois faire !".
Elle scrute le regard de Jean Pierre, qui lui dit:
"Allez ! Qu'est-ce que tu attends ? Suces le ! T'es ma salope, ou pas ?".
"Oui !".
Elle saisit la verge dure et épaisse, à la base, puis la lape de quelques coups de langue vicieux.
Le contact de la main du patron derrière sa nuque, est un signe pour elle.
Il veut s'enfoncer dans sa gorge !
Il gémit en découvrant la chaleur de sa bouche.
"Ohh ! Elle est bien dressée ! T'as raison, on va se régaler, je pense !".
Jean Pierre se masturbe, en matant ma femme, ou plutôt "sa pute", qui se régale, à dévorer la queue du patron du club.
Cela dure un bon quart d'heure, ou les trois seuls autres hommes, se sont approchés pour imiter Jean Pierre, en branlant leur bites.
Le patron relève ma belle coquine et l'entraine dans une autre salle.
Corinne découvre qu'elle est dotée d'équipements bondage, et sado-maso divers.
Comme elle est éclairée, elle a le spectacle de tous ces hommes nus et en érection pour elle.
Le patron la saisit par le cou, et la dirige vers la queue d'un autre homme, afin qu'elle le suce.
"Voilà, c'est bien ! T'es une bonne soumise, nous, on adore ça !".
Jean Pierre affuble ma femme d'un collier avec une chaine, puis tend la poignée à un autre homme.
"Tiens la bien !".
Il rejoint le patron qui lui susurre quelques mots à l'oreille.
Pendant ce temps, Corinne passe de verge en verge, elle ne voit pas le patron qui disparait une bonne dizaine de minutes.
Jean Pierre l'humilie en lui parlant:
"C'est bien, salope ! Occupes toi bien d'eux ! Tu dois régler leur problème ! Tu sais lequel ?".
"Mmmm ! Non ! Lequel ! Mmmmmmm !".
"Ils bandent ! Tu dois régler ça ! Tu le comprends ? C'est ta faute, il fallait pas accepter de venir ici !".
"Oui ! Pardon, Jean Pierre !".
"Non ! Pas ce nom ! L'autre !".
" ...Pardon ! ...Mon maitre !".
"Voilà ! Tu es parfaite ! Je t'aime, quand tu es comme ça !".
Elle se fait doublement pénétrer la gorge, son amant ne fait que se branler devant le spectacle qu'elle offre.
Ensuite, il attrape la chaine et l'entraine vers un équipement, muni d'une large base en cuir.
Celle-ci est attachée au plafond par quatre chaines, la plaçant à la hauteur parfaite, d'un sexe masculin.
Elle est couchée sur le ventre, on la bloque avec une lanière de cuir, au centre, qui lui entoure le creux des reins.
Son visage est libre de recevoir les verges, qui se présente à nouveau.
Un inconnu se couvre d'un préservatif, il se place derrière ses fesses, il caresse sa chatte du bout de son gland gonflé.
"Non ! Encules-là ! Elle est déjà prête ! Je viens de le faire, il y a moins d'une heure et demi ! Elle est très anale, tu verras ! et comme ça, on perd pas de temps !".
"Ouais ! T'as raison ! Merci de nous l'avoir emmené, d'ailleurs !".
L'homme constate en effet, qu'elle encaisse sa verge assez aisément.
Il la fait gémir de plaisir sur les verges qu'elle a dans la gorge.
"Putain ! C'est une bonne chienne ! Ou tu l'as trouvée celle-là ? J'adore son cul !".
"Ah, c'est un secret !".
Jean Pierre s'éloigne, puis revient en déposant un jeu de cravaches de jockey.
Il en garde une et lui assène de légers coups sur le dos et les fesses.
Corinne s'envole dans un orgasme cérébral aussitôt.
"Mais, c'est qu'elle est faite pour ça ! Elle prend son pied, la salope !".
Celui qui l'encule sort de son anus, afin de laisser les autres, en user à leur guise.
Ma belle joui du cul, à profusion.
Le patron est revenu, il l'encule à son tour.
Il s'excite en voyant la bouche de la soumise de Jean Pierre, couverte de salive.
Deux autres hommes imitent le "Maitre" de Corinne, en la flagellant doucement, avec les cravaches.
Le dernier lui fait subir une gorge profonde en l'insultant.
Surgit alors, un homme d'une trentaine d'années, très grand et musclé, il s'impose en écartelant la bouche de Corinne.
Elle est surprise par ses dimensions hors normes, il est un peu plus gros, et aussi long que son "Maitre".
"Hummm, elle est trop belle ! Tu l'as dénichée où, celle-là ?".
"Je t'expliquerai !". Réponds Jean Pierre.
Le nouveau venu demande au patron:
"J'y crois pas ! Tu l'encules !".
"Bien sur, on l'a même pas baisée ! Direct dans le cul ! Et elle aime ça, cette pute !".
"Oh, putain ! Quelle chienne ! Laisses-moi y gouter !".
Ils changent de rôle.
Corinne se met à hurler, en se faisant déchirer analement.
"Elle est bonne sa queue ? Réponds moi ! Salope !". Demande Jean Pierre.
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Maitre ! Il est tellement dur et gros ! Arghhhhhhh !".
"Il a un air de famille ! Tu trouves pas ? Je te présente David ! C'est mon fils ! Il te plait ?".
"HUuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! Oui, il est trop bon dans mon cul ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Tu me remercies pas ?".
"Si ! Merci, mon Maitre ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Deux autres hommes arrivent dans la pièce, ils remercient le patron.
"Merci de nous avoir appelé ! On est venu dès qu'on a pu ! Elle a l'air bonne ! Elle est avec qui ?".
"Jean Pierre !".
"Elle est pas un peu jeune, pour lui ?".
"C'est pas son mec ! Il la baise ! C'est tout !".
"Putain, si son mec voyait ce qu'elle se prend ! Mais bon, on va bien en profiter ! Ca nous regarde pas !".
Les hommes la font pivoter sur le dispositif et reprennent les sodomies et les gorges profondes à la chaine.
Elle se fait flageller la vulve, le ventre et les seins, en jouissant analement.
Elle remarque que tous s'affublent de capotes, exceptés Jean Pierre et son fils !
David s'approche pour l'enculer à nouveau.
Elle fixe son "Maitre", d'un air interrogatif.
"Ne t'affoles pas ! Je sais ce qu'il fait ! Il se protège toujours avec les autres ! C'est moi qui lui ai dit de s'en passer !".
Enfin, on la libère de la lanière pour qu'elle puisse s'empaler analement sur David.
Les hommes l'entourent en quittant leurs capotes.
Les glands se touchent en cherchant la chaleur de sa gorge, tout en se faisant masturber par les doigts de leurs propriétaires.
Le moment rend dingue ma femme !
Elle se touche la vulve, en s'empalant sur la grosse queue de David.
David, qui la tient fermement par les hanches, en se déchainant dans son anus.
Corinne saisit la verge la plus proche, pour jouir, en la collant au fond de sa gorge.
David est surpris de recevoir une succession de jets de cyprine entre ses jambes.
"Putain ! Papa ! Elle me plait trop ta copine ! Tu veux pas me la laisser ?".
"Tu lui demanderas ça, plus tard ! C'est pas le moment ! Fini de la vider, pour le moment !".
Corinne continues de gueuler son plaisir anal, en giclant tout son jus clair et brulant sur le sol.
Jean Pierre lui relève le front, un premier homme lui arrose le visage, puis lui rempli la gorge de sperme.
Les autres l'imitent, elle vit son plus gros Bukkake, en vivant un orgasme cérébral énorme !
A la fin, Jean Pierre lui dit:
"C'est bien ! Ma belle ! Tu as été parfaite ! Je suis fier de toi ! A moi maintenant !".
Il s'astique la verge comme un forcené, elle attend patiemment sa récompense, en ouvrant sa bouche.
Il se déverse, en entendant son fils, qui éjacule et lui insémine l'anus interminablement.
Corinne est comme folle ! Elle agite ses doigts sur son clitoris à un rythme fou.
Elle fait gémir David, en ondulant son bassin sur lui, pour mieux jouir.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Papa ! C'est trop bon ! Je l'aime, ta pute ! Elle est géniale ! Arhhhhhhhhhh !".
Vient le moment, ou tout ce petit monde se retrouve sous la douche collective, puis chacun quitte le club.
David reste avec son père et Corinne.
Il les accompagne chez son père.
Jean Pierre les laisse seuls, pour préparer un repas, il est 19 h.
En revenant, pour poser les assiettes sur la table, il voit que son fils dévore les seins de ma femme.
Il sourit, le spectacle lui plait !
La préparation du plat prend du temps.
Il revient dans le salon, Corinne a les lèvres qui coulissent, sur la verge à nouveau dure de son fils.
"Papa ! Je craque sur elle ! Elle est toujours d'accord pour baiser, je l'adore ! Et en plus, elle est magnifique !".
"Je sais ! David ! Moi aussi, je l'adore ! Mais c'est un autre, qu'elle aime !".
"Putain ! Il a quoi de plus ce mec ? Moi, je suis prêt à quitter ma meuf, si tu me la laisses !".
Jean Pierre, relève le visage de Corinne, et demande:
"T'en penses quoi ?".
"C'est gentil ! Il me baise bien, lui aussi ! Mais j'aime trop Pascal !".
"Qu'est ce qu'il te fait de plus que nous ?".
"Rien, c'est différent ! C'est tout ! il a une queue normale, Mais l'amour, c'est pas que du sexe ! En plus, même s'il est super mignon, je suis plus attiré par toi, David ! T'es plus mon genre ! Mais c'est comme ça !".
Jean Pierre en profite pour la féliciter:
"Tu m'as fais plaisir, tout à l'heure ! T'as pas dit le mot magique ! C'est super !".
"Ben ! J'ai beaucoup joui, c'est pour ça !".
Jean Pierre retourne à ses obligations, il entend des râles de ma femme.
Il revient en posant le plat très chaud, sur la table.
Corinne à la jupe retroussée, avec David qui lui défonce la chatte, en lui écrasant les seins.
"Putain, Même sa chatte, elle est bonne !".
Ma belle prend enfin, ses premiers orgasmes vaginaux !
"Bon, dépêchez vous les enfants ! Ca va refroidir !".
"Encore un peu ! Papa ! Ca commence à monter, là !".
Corinne et son "Maitre" lancent aussitôt:
"Attention ! Elle (Je) prend pas la pilule !".
Il sort peu de temps après, en éjaculant son foutre sur le haut de ses fesses et contre son anus, tachant l'intérieur de sa jupe.
"Zut ! T'en as partout !".
Elle va se nettoyer, avant de les rejoindre à table.
Au fur et à mesure des discussions, David tombe encore sous le charme de Corinne.
Jean Pierre le remarque.
"Ca va ? David ?".
"J'crois que je deviens amoureux papa ! Elle est géniale ! Putain ! J'envie trop son mec ! En fait ! Même s'il est cocu, il a de la chance ! Qu'est ce qu'il a de plus, dis-moi ?".
Elle répond:
"Il est mignon, gentil, il me fait l'amour comme personne ! Il est tellement cultivé que je l'admire ! Et en plus, si vous me baisez, c'est grâce à lui ! Parce qu'il m'autorise à le faire ! Il ne m'emprisonne pas ! Il sait me rendre heureuse !".
"Ah ! Vu comme ça ! En effet ! Moi, je pense que même mon père, ne pourrai plus te toucher ! Bon, si on croise, je pourrai te baiser encore ?".
"Pourquoi pas, si c'est possible, oui !".
"Merci ! C'est déjà ça !".
A la fin du repas, et après un moment de discussions sexuelles, elle les quitte, afin de ne pas éveiller de soupçons par son absence.
Je rentre deux heures après elle, qui dort comme une souche, dans le lit conjugal.
Elle a caché ses marques par un pyjama qui lui couvre le corps.
Je suis content de ma journée, je viens de baiser pour la seconde fois, avec un nouvel amant endurant, au sexe surdimensionné, il s'appelle Gilles !
Je suis loin de deviner qu'il va faire partie de ma vie, pour plus d'une vingtaine d'années !
Quand à ma belle coquine, elle est rayonnante les jours suivants, ces séances de soumission sexuelles ont le même effet ressourçant, que sur moi, après mes rencontres avec des hommes.
Mais ça, je l'ignore ! Même si je m'en doute un peu, mais je pense bêtement, que c'est le simple fait de baiser qui la rend comme ça !
Elle retrouvera en ma présence, le fils de son "Maitre", mais c'est une autre histoire !
Même, si elle me cache sa relation avec Jean-Pierre, qui est trop axée sur la domination-soumission pour que je la comprenne.
Enfin, c'est comme ça qu'elle me perçoit à l'époque !
On se dispute beaucoup moins également, et ça, c'est grâce au fait que je lui ai avoué mon besoin de me faire baiser par d'autres hommes.
En effet, depuis qu'elle est venue vivre avec moi, j'ai perdu ma liberté de mouvement.
Je passe des semaines à lutter contre mes pensées et mes fantasmes homosexuels.
J'en deviens irascible, sur les nerfs, je ne peux pas lui dire: "J'ai besoin de me faire enculer !" Comme ça, de but en blanc !
Je fini toujours par causer une dispute, en lui disant que j'ai besoin de liberté ! J'étouffe !
Je fini toujours par lui dire: "Je vais faire un tour ! Ne m'attends pas !".
Je sors alors, pour me faire prendre et sucer des queues au Sex-Shop, puis rentre apaisé, lorsque cela s'est passé comme je le désire.
Sinon, je vais dans un autre endroit, comme le cinéma porno, jusqu'à obtenir la jouissance anale et la soumission, dont j'ai besoin.
Ensuite, à chaque fois, je me déteste, elle n'y est pour rien ! C'est moi qui ai un problème !
Mais depuis mon aveu, tout cela est terminé, je la prépare toujours un peu avant, en disant:
"Mon amour, je vais pas tarder à aller ou tu sais ! J'en ai envie depuis quelques jours !".
"Pas de problème, tu veux y aller aujourd'hui ?".
Parfois, je patiente, d'autres, je réponds:
"Ben, je sais pas ! Pourquoi pas ? C'est sur ? Ca te déranges pas ?".
"Non, vas y ! Je préfère que tu sois bien ! Je sais que tu en as besoin !".
Elle sait aussi, qu'elle me retrouvera plus aimant et plus calme après ça ! On vient de régler notre seule source de conflit !
Depuis cet aveu, notre vie de couple a gagné en sérénité, et en complicité sexuelle.
On a un nouvel accord, si elle me laisse baiser avec d'autres hommes, je lui accorde le droit d'avoir des amants de son coté.
Ma double vie, adoube aussi la sienne, en quelque sorte !
Bien sur, au début, on a tenté l'échangisme, mais j'avais pas vraiment envie d'autres femmes, j'en avais fait le tour !
Je suis donc devenu une sorte de candauliste, avec un léger souci.
Puisque, je n'aimais pas me sentir jugé, en mari cocu (complice est le bon mot pour moi !), donc la plupart du temps, je n'étais pas présent, mais les vidéos de ses baises deviendront un de mes passe-temps favoris.
Elle me regarde donc partir, pour assouvir mes fantasmes avec d'autres hommes, qui n'attendent que moi pour se vider les couilles.
Mais, m'imaginer entrain de me faire enculer la stimule, elle pense à Jean-Pierre !
Elle sait que je ne rentrerai que vers 23h00, voire minuit !
Elle a donc la suite de la journée pour elle ! Il est 14 h !
Elle utilise le téléphone fixe (pas de portable à l'époque !) pour l'appeler, en espérant que sa nouvelle compagne ne soit pas avec lui.
"Allo ? Jean-Pierre ?".
"Oui, ma belle ! Ca fait plaisir de t'entendre !".
"T'es seul ? Je peux passer ? Elle est pas là ?".
"Non, On vit pas ensemble, tu le sais ! Elle est en famille ! Tu veux que je te baise ?".
"Ben, je dirais pas non ! Je peux venir ?".
"Oui, dépêches-toi ma belle ! Prépares bien ton p'tit cul ! Tu vas prendre cher !".
"C'est bien pour ça, que je viens !".
En l'attendant, il prépare le gel silicone, et tout le reste, nécessaire à leur baise perverse.
Quand à elle, en roulant vers sa maison, elle comprend mon besoin des hommes et de soumission, puisqu'elle ressent la même chose avec ses amants.
Tout particulièrement, avec ce vieux vicieux de Jean Pierre !
Elle croise sans cesse ses cuisses, elle devine qu'elle trempe sa jupe.
Comme elle ne porte jamais de culotte, pour le retrouver, elle doit en subir les inconvénients !
Elle glisse un mouchoir entre ses cuisses pour empêcher tout accident.
Le fait d'arrêter la voiture, devant chez son amant pervers, la soulage.
Elle enlève le mouchoir et se dirige vers la villa.
Dès son entrée, il l'empoigne, et envoie sa main entre ses cuisses.
Il ne s'étonne même plus, de l'absence de culotte !
"Alors, t'es venue te faire défoncer, ma salope ? Je vois que t'es déjà toute mouillée ! C'est bon, ça !".
"Oui, tu m'excites toujours autant ! Tu vas bien me baiser, hein ? J'en ai trop envie !".
"Comptes sur moi, ma coquine ! Ton mec pourra pas profiter de toi, pendant un bon moment ! Après ça !".
"Ne parles pas de lui et baises-moi !".
"Baises-moi ? C'est tout ?".
"Tu m'as comprise ! Je sais très bien que tu vas me casser le cul, encore ! C'est de plus en plus puissant, d'ailleurs ! Mais essaie de me baiser la chatte, un peu moins fort, j'ai toujours un peu mal, après !".
"Ok, ma belle ! Viens là !".
Il lui remonte la jupe et lui dévore la chatte, puis l'anus.
Il lui demande de lui couvrir la queue de gel silicone.
Elle prend un plaisir énorme à faire glisser ses doigts gluants sur sa grosse verge veinée.
"Voilà, essuies toi, entre tes jambes !".
Elle se badigeonne le vulve et l'anus du gel présent sur ses doigts.
Il la couche sur le ventre, sur un tapis de laine épaisse, au sol.
Il se couche sur elle, puis elle sent qu'il cherche à la pénétrer analement.
"Hummm ! Comme ça, t'auras pas mal à la chatte ! Ma salope ! J'vais t'enculer directement !".
Elle crie en réalisant qu'il parvient lentement à s'insérer dans son cul.
"Orghhhhhhh ! Salaud ! T'as pas le droit ! Arhhhhhhhh !".
"J'ai tous les doits ! T'es ma pute ! Ne l'oublies pas ! Je fais ce que je veux de toi !".
"Orhhhhh ! Putain ! Salaud ! Arhhhhhh ! C'est bon, c'est excitant, comme ça !".
Il se plante en elle avec vice, à chaque assaut, il la fait crier sans discontinuer.
Les mots vulgaires fusent, Corinne atteint un énorme orgasme cérébral, doublé d'un autre anal.
Le gel forme une mousse autour de la très large bite foncée de Jean Pierre.
Il se redresse parfois, en admirant la vue excitante, de cette pénétration extrême.
Elle enchaine les montées de plaisir, il adore la rendre folle en l'enculant !
Et il lui procure ainsi, une longue série d'envolées de plaisirs anaux.
La saillie est très longue, mais à présent, il veut jouir à son tour !
Il se couche sur elle et la pilonne avec force et profondeur, dans un rythme effréné.
Le souffle de Jean Pierre, dans son oreille, et qui se déchaine dans son anus poisseux, rend Corinne complètement dingue !
Elle crie comme jamais, jusqu'au moment où, Jean Pierre sent de l'humidité entre les cuisses de ma femme.
Il s'affaire de plus belle, elle gueule comme une chienne, arrosant de cyprine, le tapis de son amant.
Il lui parle vulgairement:
"Allez pisses ! Salope ! T'aimes ça, te faire éclater le cul par une grosse bite ! Pas vrai ?".
"Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhhrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Tu me défonces trop bien ! Arggggggggggghhh !".
Il s'acharne en elle jusqu'au bout, puis, il se vide de toute sa semence, en grognant qu'il aime lui défoncer le cul comme ça !
Corinne est sans réaction, il lui a mis l'anus dans un tel état qu'il peut en faire ce qu'il veut, à présent !
Il se redresse, ensuite, comme à son habitude, il écarte ses lobes fessiers, en attendant qu'elle lui montre le sperme qu'elle a dans l'anus.
Il le racle avec son gros gland, et s'enfonce encore dans son cul, en la faisant gémir de plaisir.
Jusqu'à s'en lasser au bout de quelques minutes, il a bien joui, avec sa salope préférée !
Ils conversent ensuite, nus et allongés sur le tapis, puis vont se mettre sur le canapé.
Elle lui apprend qu'elle a la journée de libre.
"Ah bon ! Tu veux pas qu'on en profite ?".
"C'est a dire ?".
"Je t'emmène quelque part ! C'est un endroit discret ! Tu verras ! Ca va te plaire ! De toute façon, t'as pas le choix ! T'es ma salope !".
Elle monte dans sa voiture, encore gênée analement, par ce qu'elle vient de vivre.
Mais elle se sent à sa place, et pense à moi, qui ai probablement vécu quelque chose de similaire.
Sur la route, il lui demande:
"On va convenir d'un signal, quand tu en as marre, ou qu'on va trop loin, tu dois dire un mot ! Qu'est-ce que tu choisis ?".
"Ben ! "Stop" ! Mais tu m'inquiètes du coup !".
Il la rassure, en ne lui promettant que du plaisir.
Il se gare devant un petit bâtiment.
Il sonne à un interphone, elle voit une enseigne, qui désigne les mots "Club privé".
La porte s'ouvre:
"Bonjour ! Jean Pierre ! C'est ...ellle ?".
"Oui, je te présente Corinne ! Ma complice de jeu !".
"Enchanté ! Mademoiselle, ou Madame ?".
"Mademoiselle ! Je ne suis pas mariée ! Même si j'ai quelqu'un !".
"Ca ne me regarde pas ! Ici, on ne juge personne ! Mais entrez !".
Jean Pierre sort de l'argent pour le droit d'entrée.
"On verra ça, après ! Suivant comment, ça va se passer ! Ranges ça !".
Puis, son amant entraine Corinne vers des vestiaires, elle n'a jamais fréquenté ce genre d'endroit.
Même si on commence à parler entre nous, de club échangistes ! Mais ce n'est pas ce qu'elle pense du tout !
Les deux complices entrent ensemble dans la salle sombre, couverts d'une simple serviette autour de la taille.
Le patron vient leur servir une boisson, en ajoutant que c'est lui, qui les offre.
Corinne remarque qu'elle est la seule femme dans l'établissement !
"Euh, Jean Pierre ! Y a que moi comme femme ?".
"T'inquiètes pas, je gère, ma coquine ! Et puis, on est l'après-midi, il y a moins de monde !".
Le patron s'assoit avec eux, puis, attaque directement le sujet du sexe !
"Alors ? Tu l'as bien dressée ? Tu la sens prête ?".
"Je pense ! Testes-la ! Tu verras !".
L'homme se dresse et baisse son jogging, arborant une bite magnifique en érection.
"Voilà ma belle ! Tu sais ce que tu dois faire !".
Elle scrute le regard de Jean Pierre, qui lui dit:
"Allez ! Qu'est-ce que tu attends ? Suces le ! T'es ma salope, ou pas ?".
"Oui !".
Elle saisit la verge dure et épaisse, à la base, puis la lape de quelques coups de langue vicieux.
Le contact de la main du patron derrière sa nuque, est un signe pour elle.
Il veut s'enfoncer dans sa gorge !
Il gémit en découvrant la chaleur de sa bouche.
"Ohh ! Elle est bien dressée ! T'as raison, on va se régaler, je pense !".
Jean Pierre se masturbe, en matant ma femme, ou plutôt "sa pute", qui se régale, à dévorer la queue du patron du club.
Cela dure un bon quart d'heure, ou les trois seuls autres hommes, se sont approchés pour imiter Jean Pierre, en branlant leur bites.
Le patron relève ma belle coquine et l'entraine dans une autre salle.
Corinne découvre qu'elle est dotée d'équipements bondage, et sado-maso divers.
Comme elle est éclairée, elle a le spectacle de tous ces hommes nus et en érection pour elle.
Le patron la saisit par le cou, et la dirige vers la queue d'un autre homme, afin qu'elle le suce.
"Voilà, c'est bien ! T'es une bonne soumise, nous, on adore ça !".
Jean Pierre affuble ma femme d'un collier avec une chaine, puis tend la poignée à un autre homme.
"Tiens la bien !".
Il rejoint le patron qui lui susurre quelques mots à l'oreille.
Pendant ce temps, Corinne passe de verge en verge, elle ne voit pas le patron qui disparait une bonne dizaine de minutes.
Jean Pierre l'humilie en lui parlant:
"C'est bien, salope ! Occupes toi bien d'eux ! Tu dois régler leur problème ! Tu sais lequel ?".
"Mmmm ! Non ! Lequel ! Mmmmmmm !".
"Ils bandent ! Tu dois régler ça ! Tu le comprends ? C'est ta faute, il fallait pas accepter de venir ici !".
"Oui ! Pardon, Jean Pierre !".
"Non ! Pas ce nom ! L'autre !".
" ...Pardon ! ...Mon maitre !".
"Voilà ! Tu es parfaite ! Je t'aime, quand tu es comme ça !".
Elle se fait doublement pénétrer la gorge, son amant ne fait que se branler devant le spectacle qu'elle offre.
Ensuite, il attrape la chaine et l'entraine vers un équipement, muni d'une large base en cuir.
Celle-ci est attachée au plafond par quatre chaines, la plaçant à la hauteur parfaite, d'un sexe masculin.
Elle est couchée sur le ventre, on la bloque avec une lanière de cuir, au centre, qui lui entoure le creux des reins.
Son visage est libre de recevoir les verges, qui se présente à nouveau.
Un inconnu se couvre d'un préservatif, il se place derrière ses fesses, il caresse sa chatte du bout de son gland gonflé.
"Non ! Encules-là ! Elle est déjà prête ! Je viens de le faire, il y a moins d'une heure et demi ! Elle est très anale, tu verras ! et comme ça, on perd pas de temps !".
"Ouais ! T'as raison ! Merci de nous l'avoir emmené, d'ailleurs !".
L'homme constate en effet, qu'elle encaisse sa verge assez aisément.
Il la fait gémir de plaisir sur les verges qu'elle a dans la gorge.
"Putain ! C'est une bonne chienne ! Ou tu l'as trouvée celle-là ? J'adore son cul !".
"Ah, c'est un secret !".
Jean Pierre s'éloigne, puis revient en déposant un jeu de cravaches de jockey.
Il en garde une et lui assène de légers coups sur le dos et les fesses.
Corinne s'envole dans un orgasme cérébral aussitôt.
"Mais, c'est qu'elle est faite pour ça ! Elle prend son pied, la salope !".
Celui qui l'encule sort de son anus, afin de laisser les autres, en user à leur guise.
Ma belle joui du cul, à profusion.
Le patron est revenu, il l'encule à son tour.
Il s'excite en voyant la bouche de la soumise de Jean Pierre, couverte de salive.
Deux autres hommes imitent le "Maitre" de Corinne, en la flagellant doucement, avec les cravaches.
Le dernier lui fait subir une gorge profonde en l'insultant.
Surgit alors, un homme d'une trentaine d'années, très grand et musclé, il s'impose en écartelant la bouche de Corinne.
Elle est surprise par ses dimensions hors normes, il est un peu plus gros, et aussi long que son "Maitre".
"Hummm, elle est trop belle ! Tu l'as dénichée où, celle-là ?".
"Je t'expliquerai !". Réponds Jean Pierre.
Le nouveau venu demande au patron:
"J'y crois pas ! Tu l'encules !".
"Bien sur, on l'a même pas baisée ! Direct dans le cul ! Et elle aime ça, cette pute !".
"Oh, putain ! Quelle chienne ! Laisses-moi y gouter !".
Ils changent de rôle.
Corinne se met à hurler, en se faisant déchirer analement.
"Elle est bonne sa queue ? Réponds moi ! Salope !". Demande Jean Pierre.
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Maitre ! Il est tellement dur et gros ! Arghhhhhhh !".
"Il a un air de famille ! Tu trouves pas ? Je te présente David ! C'est mon fils ! Il te plait ?".
"HUuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! Oui, il est trop bon dans mon cul ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Tu me remercies pas ?".
"Si ! Merci, mon Maitre ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Deux autres hommes arrivent dans la pièce, ils remercient le patron.
"Merci de nous avoir appelé ! On est venu dès qu'on a pu ! Elle a l'air bonne ! Elle est avec qui ?".
"Jean Pierre !".
"Elle est pas un peu jeune, pour lui ?".
"C'est pas son mec ! Il la baise ! C'est tout !".
"Putain, si son mec voyait ce qu'elle se prend ! Mais bon, on va bien en profiter ! Ca nous regarde pas !".
Les hommes la font pivoter sur le dispositif et reprennent les sodomies et les gorges profondes à la chaine.
Elle se fait flageller la vulve, le ventre et les seins, en jouissant analement.
Elle remarque que tous s'affublent de capotes, exceptés Jean Pierre et son fils !
David s'approche pour l'enculer à nouveau.
Elle fixe son "Maitre", d'un air interrogatif.
"Ne t'affoles pas ! Je sais ce qu'il fait ! Il se protège toujours avec les autres ! C'est moi qui lui ai dit de s'en passer !".
Enfin, on la libère de la lanière pour qu'elle puisse s'empaler analement sur David.
Les hommes l'entourent en quittant leurs capotes.
Les glands se touchent en cherchant la chaleur de sa gorge, tout en se faisant masturber par les doigts de leurs propriétaires.
Le moment rend dingue ma femme !
Elle se touche la vulve, en s'empalant sur la grosse queue de David.
David, qui la tient fermement par les hanches, en se déchainant dans son anus.
Corinne saisit la verge la plus proche, pour jouir, en la collant au fond de sa gorge.
David est surpris de recevoir une succession de jets de cyprine entre ses jambes.
"Putain ! Papa ! Elle me plait trop ta copine ! Tu veux pas me la laisser ?".
"Tu lui demanderas ça, plus tard ! C'est pas le moment ! Fini de la vider, pour le moment !".
Corinne continues de gueuler son plaisir anal, en giclant tout son jus clair et brulant sur le sol.
Jean Pierre lui relève le front, un premier homme lui arrose le visage, puis lui rempli la gorge de sperme.
Les autres l'imitent, elle vit son plus gros Bukkake, en vivant un orgasme cérébral énorme !
A la fin, Jean Pierre lui dit:
"C'est bien ! Ma belle ! Tu as été parfaite ! Je suis fier de toi ! A moi maintenant !".
Il s'astique la verge comme un forcené, elle attend patiemment sa récompense, en ouvrant sa bouche.
Il se déverse, en entendant son fils, qui éjacule et lui insémine l'anus interminablement.
Corinne est comme folle ! Elle agite ses doigts sur son clitoris à un rythme fou.
Elle fait gémir David, en ondulant son bassin sur lui, pour mieux jouir.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Papa ! C'est trop bon ! Je l'aime, ta pute ! Elle est géniale ! Arhhhhhhhhhh !".
Vient le moment, ou tout ce petit monde se retrouve sous la douche collective, puis chacun quitte le club.
David reste avec son père et Corinne.
Il les accompagne chez son père.
Jean Pierre les laisse seuls, pour préparer un repas, il est 19 h.
En revenant, pour poser les assiettes sur la table, il voit que son fils dévore les seins de ma femme.
Il sourit, le spectacle lui plait !
La préparation du plat prend du temps.
Il revient dans le salon, Corinne a les lèvres qui coulissent, sur la verge à nouveau dure de son fils.
"Papa ! Je craque sur elle ! Elle est toujours d'accord pour baiser, je l'adore ! Et en plus, elle est magnifique !".
"Je sais ! David ! Moi aussi, je l'adore ! Mais c'est un autre, qu'elle aime !".
"Putain ! Il a quoi de plus ce mec ? Moi, je suis prêt à quitter ma meuf, si tu me la laisses !".
Jean Pierre, relève le visage de Corinne, et demande:
"T'en penses quoi ?".
"C'est gentil ! Il me baise bien, lui aussi ! Mais j'aime trop Pascal !".
"Qu'est ce qu'il te fait de plus que nous ?".
"Rien, c'est différent ! C'est tout ! il a une queue normale, Mais l'amour, c'est pas que du sexe ! En plus, même s'il est super mignon, je suis plus attiré par toi, David ! T'es plus mon genre ! Mais c'est comme ça !".
Jean Pierre en profite pour la féliciter:
"Tu m'as fais plaisir, tout à l'heure ! T'as pas dit le mot magique ! C'est super !".
"Ben ! J'ai beaucoup joui, c'est pour ça !".
Jean Pierre retourne à ses obligations, il entend des râles de ma femme.
Il revient en posant le plat très chaud, sur la table.
Corinne à la jupe retroussée, avec David qui lui défonce la chatte, en lui écrasant les seins.
"Putain, Même sa chatte, elle est bonne !".
Ma belle prend enfin, ses premiers orgasmes vaginaux !
"Bon, dépêchez vous les enfants ! Ca va refroidir !".
"Encore un peu ! Papa ! Ca commence à monter, là !".
Corinne et son "Maitre" lancent aussitôt:
"Attention ! Elle (Je) prend pas la pilule !".
Il sort peu de temps après, en éjaculant son foutre sur le haut de ses fesses et contre son anus, tachant l'intérieur de sa jupe.
"Zut ! T'en as partout !".
Elle va se nettoyer, avant de les rejoindre à table.
Au fur et à mesure des discussions, David tombe encore sous le charme de Corinne.
Jean Pierre le remarque.
"Ca va ? David ?".
"J'crois que je deviens amoureux papa ! Elle est géniale ! Putain ! J'envie trop son mec ! En fait ! Même s'il est cocu, il a de la chance ! Qu'est ce qu'il a de plus, dis-moi ?".
Elle répond:
"Il est mignon, gentil, il me fait l'amour comme personne ! Il est tellement cultivé que je l'admire ! Et en plus, si vous me baisez, c'est grâce à lui ! Parce qu'il m'autorise à le faire ! Il ne m'emprisonne pas ! Il sait me rendre heureuse !".
"Ah ! Vu comme ça ! En effet ! Moi, je pense que même mon père, ne pourrai plus te toucher ! Bon, si on croise, je pourrai te baiser encore ?".
"Pourquoi pas, si c'est possible, oui !".
"Merci ! C'est déjà ça !".
A la fin du repas, et après un moment de discussions sexuelles, elle les quitte, afin de ne pas éveiller de soupçons par son absence.
Je rentre deux heures après elle, qui dort comme une souche, dans le lit conjugal.
Elle a caché ses marques par un pyjama qui lui couvre le corps.
Je suis content de ma journée, je viens de baiser pour la seconde fois, avec un nouvel amant endurant, au sexe surdimensionné, il s'appelle Gilles !
Je suis loin de deviner qu'il va faire partie de ma vie, pour plus d'une vingtaine d'années !
Quand à ma belle coquine, elle est rayonnante les jours suivants, ces séances de soumission sexuelles ont le même effet ressourçant, que sur moi, après mes rencontres avec des hommes.
Mais ça, je l'ignore ! Même si je m'en doute un peu, mais je pense bêtement, que c'est le simple fait de baiser qui la rend comme ça !
Elle retrouvera en ma présence, le fils de son "Maitre", mais c'est une autre histoire !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alors il faut écrire la suite de David Pascal et la miss.