Soumission en vacances
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission en vacances
Cette histoire mélange fiction et réalité, une (grosse) touche de fantasme dans un contexte familier.
Je m’essaye à cet exercice d’écriture après plusieurs années de lectures intensives sur ce site donc soyez indulgent, on est toujours un peu maladroit pour sa première fois.
D’abord, quelques éléments de contexte : je suis en couple avec Pauline depuis plusieurs années. Un appartement à deux, des jobs stables, un emprunt à rembourser, des amis pour faire la fête, une routine sympa quoi. Sympa, mais parfois trop… routinière.
Côté vie sexuelle, pas à se plaindre. La fréquence est moindre que ce que je souhaiterais, peut-être un peu classique, mais rien de rédhibitoire. Nos ébats se résument à des parties de jambes en l’air deux à trois fois par mois, lumières éteintes, avec un panel de position peu varié mais plein de passion !
Une fois ce contexte planté, quelques mots sur moi : je mesure 1m75 pour 70kg, figure plutôt athlétique, sans être un Apollon je pense avoir un coté séduisant et mon historique à tendance à le confirmer.
Depuis mon éveil sexuel, j’ai un penchant pour la domination et la soumission. Je vois une relation sexuelle comme un rapport de force. Non correction. Il n’est pas question de force. Un rapport de domination tout simplement, un des acteurs confie la totalité du contrôle à l’autre qui le teste, le pousse dans ses limites, le récompense, le puni aussi…Je suis donc passionné par le bondage, le Femdom, le BDSM, l’utilisation de jouet divers et variés et alimente mes fantasmes par un florilège de vidéos, de photos et de récits.
Depuis des années, je ne fais vivre ce penchant que dans mon esprit et dans mes plaisirs solitaires qui sont, je dois le dire, plus que fréquent.
Bref, tout ça nous amène à notre histoire.
Nous étions parti une semaine avec un couple d’ami au début du mois de juillet dans le sud de la France. Grace à la boite de ma copine, nous avons pu louer une grande maison avec jardin, piscine et surtout jacuzzi.
Après avoir réparti les chambres entre nous, nous sommes allés faire quelques courses pour le barbecue du soir. Quelques légumes et grillade, mais surtout du vin, de la bière et de quoi faire assez de margarita pour un régiment.
Chacun a ensuite vaqué à ses occupations jusqu’au soir, ou nous nous sommes préparés pour le barbecue. Pauline et Léa s’attaque à la découpe des légumes, moi et Pierre à la descente de la bière. Je vous épargnerais le récit du repas : il était bon, il était arrosé, l’ambiance était super.
C’est donc un peu éméché qu’on décide de s’installer tous les 4 dans le jacuzzi pour finir la soirée dans les bulles. La lumière étant plus que tamisée et les remous cachant la majorité immergée de nos corps, moi et Pierre décidons de la jouer confort et enlevons tous les deux notre maillot de bain. Après une hésitation, Léa fait de même mais Pauline, assez timide, préfère ne pas jouer le jeu.
La soirée continuant, je me retrouve dans un coin du jacuzzi à discuter avec Léa, pendant que Pauline et Pierre font la même chose de leurs côtés :- « Je vois que ça se passe toujours aussi bien entre vous deux ! » entame Léa ;- Ouai, je dois avouer qu’on s’est plutôt pas mal trouvé ! On est pas toujours en phase et au même rythme sur tout mais on se complète bien.
- Vous êtes en décalage sur quoi par exemple ? » elle me dit sur un air plein de sous-entendu ;- « Bhin coté sexe c’est pas toujours ce qui se fait de plus osé, tu vois ce que je veux dire ?
- Un peu… tu peux préciser ? »
Sans rentrer dans le détail bien entendu, je lui raconte que niveau sexe je suis plutôt du genre ouvert à tout tant que tout le monde joue le jeu, là ou Pauline est du genre plus classique. Léa me demande ce que j’entends par là et, sous le coup de margarita et de l’ambiance assez ouverte, je déballe un peu tout : les ébats un peu plats, pas assez fréquents à mon goût, l’absence de gestes spontanés de sa part et mon envie de piment et de sensation forte…
- « Elle est pas du genre à faire ça ? » me dit-elle avec un sourire taquin, avant de prendre ma bite dans sa main.
Sans préavis, avec Pauline et Pierre à 1m, mais caché par les bulles, elle commence à jouer un peu avec l’air de rien. L’alcool aidant, je me prends au jeu. C’est rien de méchant, on s’amuse. Je passe mon bras autour de ses épaules et pose ma main sur son sein. Je pose mon autre main sur sa cuisse.
Là-dessus, on reprend la discussion à 4, mais en continuant à se toucher sous l’eau : elle qui joue avec mon sexe, moi qui caresse sa cuisse.
- « Je connaissais pas ta copine Fabrice mais elle est vraiment cool, je crois que je vais te la piquer ! » me dis Pierre en rigolant ;- « pas de soucis » répond Léa, « je le récupère moi ! quand ils dorment tous on se retrouve sur les transat Fabrice »
Et on rigole tous, et on se re-sert une xième margarita. Après ça, Léa et moi nous échangeons des regards complices mais limitons les attouchements, même si chaque passage à proximité l’un de l’autre vient avec son lot de caresse dans des zones immergées.
Après quelques heures de ce traitement, tout le monde décide d’aller se coucher pour mieux profiter de la journée du lendemain.
Pauline et moi retournons dans notre chambre, ou nous nous nous endormons rapidement chacun de notre côté. Ou plutôt elle, moi je suis encore trop excité par ce qui s’était passé pendant la soirée.
Pour me calmer et mieux sombrer, je décide d’aller m’allonger dans un transat à l’extérieur. Après 15 minutes à prendre l’air frais, je commence presque à somnoler en à envisager de retourner me coucher.
- « Je me demandais si tu viendrais vraiment »
Je me retrouve pour découvrir Léa, en nuisette sexy, un sourire un peu moqueur sur le visage.
- « À vrai dire je n’y avait même plus pensé » je lui dit un peu gêné, « j’étais juste descendu prendre l’air !
- Oui c’est ça prend moi pour une idiote… »Toujours le même sourire.
- « Tu pouvais pas t’empêcher de penser à tout à l’heure avoue !
- Oui bon OK, impossible de m’endormir… j’avais l’impression d’avoir encore ta main sur ma bite, voilà.
- Bien, on avance… enlève moi ce boxer pour commencer.
- Heu attends on va peut-être se calmer » je lui dit un peu gêné, « y a des gens qu’on voudrait pas blessé qui sont pas loin… - Écoutes » dit-elle en s’installant sur un fauteuil, « on blesse personne, je sais que ça ne dérange pas Pierre tant que mes sentiments sont uniquement pour lui et Pauline lui a plus ou moins dit que ça pourrait être son cas si besoin tout à l’heure… alors tu te lèves, tu viens devant moi et tu enlèves ton boxer ou tu remontes te coucher tout de suite. »
Un peu hypnotisé, je me lève, j’enlève mon boxer et je me tiens droit un peu gêner devant elle qui me jauge.
- « He bin voilà on y arrive… » dit-elle.
Avant de m’empoigner la bite. Sans serrer, mais pas délicatement non plus.
- « C’est à ça que tu pensais ? »- « Oui mad… » je m’interromps au milieu de ma réponse.
Dépassé par les évènements, je me retrouvais dans un de ces fantasmes que j’avais depuis longtemps.
- « Quoi tu allais m’appeler comment ? madame ? maitresse ? » elle me dit d’un air amusé. « Ça te plais ce genre de chose, la soumission ?
- …- Réponds » elle serre un peu sa main ;- « oui, ça m’excite vachement. J’ai jamais vraiment pratiqué mais j’en ai toujours eu envie.
- …- « dis quelque chose Léa, j’ai un peu honte là.
- Tais-toi, je réfléchis. »
Le silence qui suivi fut long. Très long. Pour moi j’entends, en réalité il ne dura que quelques secondes.
- « ok voilà ce qu’on va faire : déjà, tu m’appelles pas Léa. Ce soir, c’est maîtresse, sinon… » et elle sert un petit peu la main ce qui eut l’effet de me tendre et donc me comprimer encore un peu plus. « Ensuite, tu vas me préparer une liste de tes fantasmes. Ça peut être une description, des photos, des vidéos, je veux tout. A partir de là j’aviserais. »
J’étais complètement perdu… Mais qu’est ce qui était en train de se passer au juste ? Elle réfléchissait à nouveau. Elle avait lâché ma bite et me tenait par-dessous les bourses, et en les caressant délicatement du bout des doigts de l’autre main, elle continua :
- « Enfin ça, ce sera à partir de demain. Je veux ta liste dans la journée, débrouille-toi pour trouver le temps. Pour ce soir, je crois qu’on a eu assez de révélation. Mets-toi à genou. »
Le carrelage du bord de la piscine était froid mais j’obéissais.
Elle se leva, rentra dans la maison et me laissa comme ça. 1 minute. Puis 2. Au bout de 5, la tension était redescendue et, soyons honnête, je me sentais con. Mais alors bien con.
Je me relevais quand je l’entendis arriver :
- « je t’ai pas donné un ordre ?! à genou !
- Pardon maitresse » l’excitation était revenue aussi vite qu’elle était partie.
- « oui tu fais bien de t’excuser… on décidera plus tard de la manière dont on fonctionne, mais ça restera pas toujours impuni ce genre d’attitude. Bon, mets tes mains dans le dos. »
Je vis qu’elle avait ramené deux ceintures en cuir de sa chambre, ainsi qu’une petite écharpe en soie. Elle utilisa la première ceinture pour m’attacher les mains dans le dos puis la seconde pour les attacher à mes chevilles. « Comme ça tu seras pas tenté de te lever » elle me dit. Puis l’écharpe me banda les yeux et elle s’assit à nouveau sur le fauteuil devant moi.
- « Maintenant, fais-moi jouir » avant de me prendre la tête et de la guider entre ses cuisses.
Je m’appliquais autant que possible, embrassant le coin de ses cuisses, léchant ses lèvres intimes, suçotant son clito… je l’entendis respirer de plus en plus fort, puis commencer à gémir. J’enfonçais mon visage le plus possible entre ses cuisses, mais ça ne semblait jamais être assez. Elle m’appuyait la tête contre son intimité m’empêchant temporairement de respirer. Puis, les 2 jambes sur mes épaules, elle s’avança sur son fauteuil pour relever les cuisses au maximum. Je saisis le message et me mis à la lécher en intégralité : son clito, sa chatte, son petit trou…Elle gémissait de plus en plus fort.
D’un coup, elle descendit ses jambes de mes épaules et vient les regrouper sur mon sexe, en position de lotus. Puis elle commença à les monter et les descendre, me branlant tout doucement puis de plus en plus vite.
- « Je te préviens » elle me dit en gémissant mais avec un air autoritaire, « si tu éjacules sans mon autorisation je t’en fais baver ! »
Je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Pas avec ses mouvements, pas le nez dans son intimité, pas avec cette autorité, pas privé de mes sens comme je l’étais.
Je me retins. Je me battais. J’entendais ses gémissements s’intensifier donc je tenais. Jusqu’à ce que je ne puisse plus.
- « Maitresse est-ce que jmmmfff… »
Elle me serait la tête entre ses cuisses pour m’empêcher de parler.
- « je ne t’entends pas articule… » gémit-elle.
Je pouvais presque l’entendre sourire. Je me débattis pour me dégager mais avec les mains attachées dans le dos et aux chevilles comme ça je ne pouvais rien faire. Et, sentant que je ne tenais plus, elle me mit en apnée dans sa chatte et accéléra le mouvement de ses pieds.
J’ai essayé de tenir, mais sans effet. J’ai joui. Comme jamais. J’en ai même crié, étouffé dans son intimité. Je crois que c’est mon cri dans sa chatte qui l’a fait basculée, dans un long gémissement.
Mais c’était trop tard.
Elle m’enleva le bandeau, me caressa le visage tout doucement en me regardant dans les yeux et en souriant.
- « pardon maitresse »- C’est pas grave… - Je suis vraiment désolé…- Non, pas encore… mais tu le seras bientôt.
Nouveau sourire, plus appuyé. Presque bienveillant.
- « Mais c’est assez pour ce soir. La suite demain. Reposes-toi bien, tu vas en avoir besoin. Et n’oublies pas ta liste… »
La suite à venir…
Je m’essaye à cet exercice d’écriture après plusieurs années de lectures intensives sur ce site donc soyez indulgent, on est toujours un peu maladroit pour sa première fois.
D’abord, quelques éléments de contexte : je suis en couple avec Pauline depuis plusieurs années. Un appartement à deux, des jobs stables, un emprunt à rembourser, des amis pour faire la fête, une routine sympa quoi. Sympa, mais parfois trop… routinière.
Côté vie sexuelle, pas à se plaindre. La fréquence est moindre que ce que je souhaiterais, peut-être un peu classique, mais rien de rédhibitoire. Nos ébats se résument à des parties de jambes en l’air deux à trois fois par mois, lumières éteintes, avec un panel de position peu varié mais plein de passion !
Une fois ce contexte planté, quelques mots sur moi : je mesure 1m75 pour 70kg, figure plutôt athlétique, sans être un Apollon je pense avoir un coté séduisant et mon historique à tendance à le confirmer.
Depuis mon éveil sexuel, j’ai un penchant pour la domination et la soumission. Je vois une relation sexuelle comme un rapport de force. Non correction. Il n’est pas question de force. Un rapport de domination tout simplement, un des acteurs confie la totalité du contrôle à l’autre qui le teste, le pousse dans ses limites, le récompense, le puni aussi…Je suis donc passionné par le bondage, le Femdom, le BDSM, l’utilisation de jouet divers et variés et alimente mes fantasmes par un florilège de vidéos, de photos et de récits.
Depuis des années, je ne fais vivre ce penchant que dans mon esprit et dans mes plaisirs solitaires qui sont, je dois le dire, plus que fréquent.
Bref, tout ça nous amène à notre histoire.
Nous étions parti une semaine avec un couple d’ami au début du mois de juillet dans le sud de la France. Grace à la boite de ma copine, nous avons pu louer une grande maison avec jardin, piscine et surtout jacuzzi.
Après avoir réparti les chambres entre nous, nous sommes allés faire quelques courses pour le barbecue du soir. Quelques légumes et grillade, mais surtout du vin, de la bière et de quoi faire assez de margarita pour un régiment.
Chacun a ensuite vaqué à ses occupations jusqu’au soir, ou nous nous sommes préparés pour le barbecue. Pauline et Léa s’attaque à la découpe des légumes, moi et Pierre à la descente de la bière. Je vous épargnerais le récit du repas : il était bon, il était arrosé, l’ambiance était super.
C’est donc un peu éméché qu’on décide de s’installer tous les 4 dans le jacuzzi pour finir la soirée dans les bulles. La lumière étant plus que tamisée et les remous cachant la majorité immergée de nos corps, moi et Pierre décidons de la jouer confort et enlevons tous les deux notre maillot de bain. Après une hésitation, Léa fait de même mais Pauline, assez timide, préfère ne pas jouer le jeu.
La soirée continuant, je me retrouve dans un coin du jacuzzi à discuter avec Léa, pendant que Pauline et Pierre font la même chose de leurs côtés :- « Je vois que ça se passe toujours aussi bien entre vous deux ! » entame Léa ;- Ouai, je dois avouer qu’on s’est plutôt pas mal trouvé ! On est pas toujours en phase et au même rythme sur tout mais on se complète bien.
- Vous êtes en décalage sur quoi par exemple ? » elle me dit sur un air plein de sous-entendu ;- « Bhin coté sexe c’est pas toujours ce qui se fait de plus osé, tu vois ce que je veux dire ?
- Un peu… tu peux préciser ? »
Sans rentrer dans le détail bien entendu, je lui raconte que niveau sexe je suis plutôt du genre ouvert à tout tant que tout le monde joue le jeu, là ou Pauline est du genre plus classique. Léa me demande ce que j’entends par là et, sous le coup de margarita et de l’ambiance assez ouverte, je déballe un peu tout : les ébats un peu plats, pas assez fréquents à mon goût, l’absence de gestes spontanés de sa part et mon envie de piment et de sensation forte…
- « Elle est pas du genre à faire ça ? » me dit-elle avec un sourire taquin, avant de prendre ma bite dans sa main.
Sans préavis, avec Pauline et Pierre à 1m, mais caché par les bulles, elle commence à jouer un peu avec l’air de rien. L’alcool aidant, je me prends au jeu. C’est rien de méchant, on s’amuse. Je passe mon bras autour de ses épaules et pose ma main sur son sein. Je pose mon autre main sur sa cuisse.
Là-dessus, on reprend la discussion à 4, mais en continuant à se toucher sous l’eau : elle qui joue avec mon sexe, moi qui caresse sa cuisse.
- « Je connaissais pas ta copine Fabrice mais elle est vraiment cool, je crois que je vais te la piquer ! » me dis Pierre en rigolant ;- « pas de soucis » répond Léa, « je le récupère moi ! quand ils dorment tous on se retrouve sur les transat Fabrice »
Et on rigole tous, et on se re-sert une xième margarita. Après ça, Léa et moi nous échangeons des regards complices mais limitons les attouchements, même si chaque passage à proximité l’un de l’autre vient avec son lot de caresse dans des zones immergées.
Après quelques heures de ce traitement, tout le monde décide d’aller se coucher pour mieux profiter de la journée du lendemain.
Pauline et moi retournons dans notre chambre, ou nous nous nous endormons rapidement chacun de notre côté. Ou plutôt elle, moi je suis encore trop excité par ce qui s’était passé pendant la soirée.
Pour me calmer et mieux sombrer, je décide d’aller m’allonger dans un transat à l’extérieur. Après 15 minutes à prendre l’air frais, je commence presque à somnoler en à envisager de retourner me coucher.
- « Je me demandais si tu viendrais vraiment »
Je me retrouve pour découvrir Léa, en nuisette sexy, un sourire un peu moqueur sur le visage.
- « À vrai dire je n’y avait même plus pensé » je lui dit un peu gêné, « j’étais juste descendu prendre l’air !
- Oui c’est ça prend moi pour une idiote… »Toujours le même sourire.
- « Tu pouvais pas t’empêcher de penser à tout à l’heure avoue !
- Oui bon OK, impossible de m’endormir… j’avais l’impression d’avoir encore ta main sur ma bite, voilà.
- Bien, on avance… enlève moi ce boxer pour commencer.
- Heu attends on va peut-être se calmer » je lui dit un peu gêné, « y a des gens qu’on voudrait pas blessé qui sont pas loin… - Écoutes » dit-elle en s’installant sur un fauteuil, « on blesse personne, je sais que ça ne dérange pas Pierre tant que mes sentiments sont uniquement pour lui et Pauline lui a plus ou moins dit que ça pourrait être son cas si besoin tout à l’heure… alors tu te lèves, tu viens devant moi et tu enlèves ton boxer ou tu remontes te coucher tout de suite. »
Un peu hypnotisé, je me lève, j’enlève mon boxer et je me tiens droit un peu gêner devant elle qui me jauge.
- « He bin voilà on y arrive… » dit-elle.
Avant de m’empoigner la bite. Sans serrer, mais pas délicatement non plus.
- « C’est à ça que tu pensais ? »- « Oui mad… » je m’interromps au milieu de ma réponse.
Dépassé par les évènements, je me retrouvais dans un de ces fantasmes que j’avais depuis longtemps.
- « Quoi tu allais m’appeler comment ? madame ? maitresse ? » elle me dit d’un air amusé. « Ça te plais ce genre de chose, la soumission ?
- …- Réponds » elle serre un peu sa main ;- « oui, ça m’excite vachement. J’ai jamais vraiment pratiqué mais j’en ai toujours eu envie.
- …- « dis quelque chose Léa, j’ai un peu honte là.
- Tais-toi, je réfléchis. »
Le silence qui suivi fut long. Très long. Pour moi j’entends, en réalité il ne dura que quelques secondes.
- « ok voilà ce qu’on va faire : déjà, tu m’appelles pas Léa. Ce soir, c’est maîtresse, sinon… » et elle sert un petit peu la main ce qui eut l’effet de me tendre et donc me comprimer encore un peu plus. « Ensuite, tu vas me préparer une liste de tes fantasmes. Ça peut être une description, des photos, des vidéos, je veux tout. A partir de là j’aviserais. »
J’étais complètement perdu… Mais qu’est ce qui était en train de se passer au juste ? Elle réfléchissait à nouveau. Elle avait lâché ma bite et me tenait par-dessous les bourses, et en les caressant délicatement du bout des doigts de l’autre main, elle continua :
- « Enfin ça, ce sera à partir de demain. Je veux ta liste dans la journée, débrouille-toi pour trouver le temps. Pour ce soir, je crois qu’on a eu assez de révélation. Mets-toi à genou. »
Le carrelage du bord de la piscine était froid mais j’obéissais.
Elle se leva, rentra dans la maison et me laissa comme ça. 1 minute. Puis 2. Au bout de 5, la tension était redescendue et, soyons honnête, je me sentais con. Mais alors bien con.
Je me relevais quand je l’entendis arriver :
- « je t’ai pas donné un ordre ?! à genou !
- Pardon maitresse » l’excitation était revenue aussi vite qu’elle était partie.
- « oui tu fais bien de t’excuser… on décidera plus tard de la manière dont on fonctionne, mais ça restera pas toujours impuni ce genre d’attitude. Bon, mets tes mains dans le dos. »
Je vis qu’elle avait ramené deux ceintures en cuir de sa chambre, ainsi qu’une petite écharpe en soie. Elle utilisa la première ceinture pour m’attacher les mains dans le dos puis la seconde pour les attacher à mes chevilles. « Comme ça tu seras pas tenté de te lever » elle me dit. Puis l’écharpe me banda les yeux et elle s’assit à nouveau sur le fauteuil devant moi.
- « Maintenant, fais-moi jouir » avant de me prendre la tête et de la guider entre ses cuisses.
Je m’appliquais autant que possible, embrassant le coin de ses cuisses, léchant ses lèvres intimes, suçotant son clito… je l’entendis respirer de plus en plus fort, puis commencer à gémir. J’enfonçais mon visage le plus possible entre ses cuisses, mais ça ne semblait jamais être assez. Elle m’appuyait la tête contre son intimité m’empêchant temporairement de respirer. Puis, les 2 jambes sur mes épaules, elle s’avança sur son fauteuil pour relever les cuisses au maximum. Je saisis le message et me mis à la lécher en intégralité : son clito, sa chatte, son petit trou…Elle gémissait de plus en plus fort.
D’un coup, elle descendit ses jambes de mes épaules et vient les regrouper sur mon sexe, en position de lotus. Puis elle commença à les monter et les descendre, me branlant tout doucement puis de plus en plus vite.
- « Je te préviens » elle me dit en gémissant mais avec un air autoritaire, « si tu éjacules sans mon autorisation je t’en fais baver ! »
Je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Pas avec ses mouvements, pas le nez dans son intimité, pas avec cette autorité, pas privé de mes sens comme je l’étais.
Je me retins. Je me battais. J’entendais ses gémissements s’intensifier donc je tenais. Jusqu’à ce que je ne puisse plus.
- « Maitresse est-ce que jmmmfff… »
Elle me serait la tête entre ses cuisses pour m’empêcher de parler.
- « je ne t’entends pas articule… » gémit-elle.
Je pouvais presque l’entendre sourire. Je me débattis pour me dégager mais avec les mains attachées dans le dos et aux chevilles comme ça je ne pouvais rien faire. Et, sentant que je ne tenais plus, elle me mit en apnée dans sa chatte et accéléra le mouvement de ses pieds.
J’ai essayé de tenir, mais sans effet. J’ai joui. Comme jamais. J’en ai même crié, étouffé dans son intimité. Je crois que c’est mon cri dans sa chatte qui l’a fait basculée, dans un long gémissement.
Mais c’était trop tard.
Elle m’enleva le bandeau, me caressa le visage tout doucement en me regardant dans les yeux et en souriant.
- « pardon maitresse »- C’est pas grave… - Je suis vraiment désolé…- Non, pas encore… mais tu le seras bientôt.
Nouveau sourire, plus appuyé. Presque bienveillant.
- « Mais c’est assez pour ce soir. La suite demain. Reposes-toi bien, tu vas en avoir besoin. Et n’oublies pas ta liste… »
La suite à venir…
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