Soumission en vacances 3 - La cabane
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission en vacances 3 - La cabane
Partie 3 – La cabane
10 minutes plus tard, nous arrivons à la maison. Je suis crevé. Heureusement que nous avions décidé de faire des vacances « glande à domicile », parce que si je devais partir pour une randonnée ou une journée de visite dans la foulée je risquerais de m’effondrer au bout d’1/2h.
Heureusement, ce n’est clairement pas le thème.
Quand nous entrons dans le salon, nous trouvons nos 2 moitiés en pleine discussion, sieste finie et bière dans la main… et bien je vois que tout le monde n’a pas autant souffert que moi !
On se décide donc à les rejoindre et nous migrons notre apéro au bord de la piscine.
Pour rappel, je porte mon short traditionnel de vacancier, un T-shirt coloré, une paire de tong, un plug et une cage de chasteté. Autant les 3 premiers sont assez classiques pour la situation, autant les 2 derniers me donnent l’impression d’être complètement nu face à notre petit groupe.
Cependant, personne n’a l’air de remarquer. Sauf peut-être Léa, qui sourit et à l’air de franchement s’amuser de la situation.
- « Bon » attaque Pierre, « on va peut-être pas passer toutes les vacances à bronzer et faire la sieste non plus !
- Non tu as raison », lui répond Léa, « on va aussi boire des coups et manger.
- Moi je ferais bien une petite rando » lance Pauline, « j’ai vu qu’il y avait des tentes et tout le matériel pour bivouaquer dans le garage !
Autant Pierre à l’air franchement motivé, autant Léa et moi ne semblons franchement pas plus emballé que ça. J’avoue que marcher ne m’a jamais vraiment enthousiasmé, et la perspective de dormir en extérieur ne m’inspire pas non plus tant que ça.
Nous convenons d’un programme « plage » pour le lendemain après-midi et repoussons la décision de la randonnée. En écoutant d’une oreille distraite les conversations qui suivirent, j’optais pour une sieste discrète dans mon transat et sombrais en quelques minutes.
2h plus tard, je me réveillais revigoré, mais seul sur ma terrasse. Je retrouvais tout le monde qui m’accueilli dans la cuisine.
- « Eh bin ça te fatigue de rien faire à ce que je vois ! » me dis Pauline avec un clin d’œil.
Je lui confirme qu’en effet, je récupérais encore de la soirée de la veille. Je profitais de la préparation du repas pour passer un moment avec elle, n’ayant pas encore passé beaucoup de temps depuis le début des vacances. On discutait, on riait et j’en oubliais complètement les évènements des dernières 24h. C’était sympa, on était bien.
Léa, de son coté, faisait de même avec Pierre et pendant 1h, toute les aventures de la veille semblaient être uniquement issu de mon esprit perturbé. Au seul détail près du plug que je sentais dans mon cul et de ma cage de chasteté.
Ce soir-là, nous mangeons un repas simple et pas trop arrosé, pour récupérer de la soirée de la veille. Nous jouons aux cartes, Pauline sur mes genoux (pourvu qu’elle ne sente pas la cage contre ses fesses…) et Léa sur ceux de Pierre.
Après quelques donnes, Pauline nous annonce qu’elle va se coucher, m’embrasse sur les lèvres et m’encourage à rester jouer si je ne suis pas fatigué. Je reste donc le temps d’une partie et là, Léa invite Pierre à aller faire de même.
Je reste seul dans le salon, ne sachant pas vraiment quoi faire… Léa ne m’avait-elle pas dit qu’on se retrouverait ce soir ?
Je reçois à ce moment-là un sms :
« A minuit, déshabille-toi au bord de la piscine et traverse nu le jardin jusqu’à la cabane au fond. Là, assis toi sur la chaise et attends-moi. »
J’attendis donc patiemment sur la terrasse, après avoir vérifié que Pauline dormait bien à poing fermé.
A minuit moins 5, n’y tenant plus, je me déshabillais sur la terrasse et traversa le jardin. C’était à la fois terriblement stressant et excitant de se promener nu, en cage et pluggé à la lumière de la lune.
En arrivant au fond du jardin, je distinguais la cabane : il s’agissait d’une baraque en bois d’environ 3x5m, l’air plutôt robuste, une porte, pas de fenêtres.
Je franchis le pas de la porte pour découvrir l’intérieur stupéfait. Je ne sais pas si la cabane avait été prévue à cet effet, mais elle semblait avoir été faite sur mesure pour notre soirée : en face de la porte, un établi sous lequel avait été stocké toute sorte d’outil de bricolage, tassé sous une bâche pour ne pas trop gâcher l’ambiance. Dessus, l’espace avait été dégagé pour accueillir un ordinateur portable éteint. Une chaise percée trônait au milieu de la pièce au-dessus d’un gros anneau en métal. Sur les murs, les racks qui avaient dû servir a stocké les outils cachés sous l’établis comprenait pêle-mêle : des cordes, une paire de menottes, 2 baillons (un masque intégral avec bâillon-boule et un ring-gag), une cravache, un martinet… etc…
J’étais scotché. Je m’assis sur la chaise, pas tout à fait rassuré de ce qui allait m’arriver. J’avoue qu’à cet instant-là, la présence de la cage de chasteté était très contraignante. J’attendis patiemment 10min, me demandant si Léa ne m’avait pas oublié.
- « Ne te retourne pas et mets les mains dans le dos »
Je ne l’avais même pas entendue arriver.
- « Oui maitresse.
- C’est bien, je n’ai même pas eu à te le dire cette fois-ci »
Après quoi, elle me menotta les mains dans le dos en faisant un tour de chaîne sur un barreau de la chaise. Je la sentis ensuite installer le gonfleur sur mon plug avant de me saisir les couilles sous ma cage, les attacher avec une cordelette en cuir qu’elle tendit ensuite en la passant dans l’anneau au sol. Mes deux chevilles ont finalement été attachés aux deux pieds de la chaise, pour compléter le tableau.
- « Parfait », me dit-elle avec un petit bisou dans le cou, « tu es prêt pour la soirée. »
Lorsqu’elle entra enfin dans mon champ de vision je fus estomaqué. Elle était à couper le souffle. Elle tenait une cravache rouge à la main et avait enfilé une tenue intégrale de domina terriblement excitante : des bottes en cuir qui lui montaient juste en dessous des genoux, une petite jupe plissée qui lui arrivait sur le haut des cuisses, un corset en cuir, de longs gants et les cheveux tressés à la Lara Croft qui lui tombait sur le sein qui finissaient de lui donner un air irrésistible.
Ma cage me torturait. Elle s’en rendit compte et sourit fièrement :
- « Ma tenue te plais à ce que je voie. »- Oh oui maîtresse !
- Dommage pour toi, tu n’en profiteras pas… pour l’instant ;) »
Elle vint se mettre à califourchon sur moi et en me caressant le visage et commença à m’expliquer son programme pour la soirée.
- « Voilà ce qu’il va se passer : ce soir, je ne vais pas me contenter de recopier bêtement des scènes qui te plaisent sur internet. On va plutôt les regarder ensemble. Comprendre ce qui te plais, ce qui ne te plais pas, pourquoi, aller au cœur de tes fantasmes pour t’aider à y voir plus clair. Au passage, l’idée de te voir te débattre avec tes envies dans ta cage de chasteté sera un plus.
- …- Et si je juge que tu n’es pas assez honnête avec moi, que tu ne t’ouvres pas complètement, ou simplement que j’en ai envie, je te torturerais un peu au passage. »
Sacré programme. Elle se leva, me donna un petit coup de cravache sur les bourses comme pour donner le top départ et lança une vidéo. On y voyait deux femmes dont une attachée sur un cheval d’arçon et bâillonnée, la tête relevée par une corde qui passait dans ses cheveux et dans un crochet métallique dans son cul, en train de recevoir des coups de martinet de la seconde. Elle avait l’air d’en baver.
- « Qu’est-ce que ça t’inspire ça ? » me demanda-t-elle.
- « Ça m’excite beaucoup maîtresse.
- Oui ça je m’en doute et je peux même le voir merci. Mais encore ? »
Je ne savais pas où elle venait en venir. Je tentais timidement :
- « La soumise est hyper sexy avec son crochet dans le cul ? »
Léa hocha la tête comme si elle était d’accord, saisi un petit bac sur le rack de rangement, en sorti une pince à linge qu’elle me mit sur un téton.
- « Oui on est d’accord… mais encore ? dis m’en plus »
Je grinçais des dents. Décidément elle était joueuse, la soirée risquait d’être longue. Je continuais d’essayer. La tenue de la domina. Pince à linge sur le deuxième téton. Deux filles ensemble c’est hyper excitant. Un coup sur la pompe du plug.
Je commençais à perdre patience…
- « Je sais pas moi… la manière dont la domina regarde la soumise. Le coté sadique en apparence, mais on fond on voit qu’elle cherche juste à la pousser dans ses retranchements. »
Pas de punitions. Je continuais :
- « Là par exemple, quand elle va se mettre juste devant elle pour la regarder dans les yeux. Qu’elle la félicite. Ça c’est un passage qui me plais !
- Bah tu vois quand tu veux…
J’avais compris ce qu’elle voulait. Elle me poussait à voir ce qui m’attirais autant, au-delà des simples tenues et situations, dans la relation entre dominant et dominé. On changea de vidéo. Après quelques pinces à linge sur les bourses et un coup de pompe, je finis par aller au cœur de ce qui me plaisait et déplaisait dans la situation (pratiques sexuels qui me vont, mais au fond la relation dominant-dominé dans toutes les situations de la vie ne me plais pas). Nouvelle vidéo, nouvelle conclusion : j’aime les changements de rôles, un dominant d’une fois et le dominé de la suivante. J’avais quand même reçu quelques coups de cravaches sur les bourses et sur le plug au passage. Puis la suivante : le masochisme pur, c’est pas mon truc. La « torture » me va dans un contexte sexuel, ne me va pas quand elle est seule et qu’il n’y a pas de récompense. Nouvelles vidéos, puis la suivante, puis la suivante…
Après 1/2h de visionnage non-stop de porno BDSM, Femdom, de bondage, à 2 ou plus, dominante ou dominée, j’avais perdu mes pinces à linge à coup de cravache, le torse rougit par un martinet, le plug gonflé dans le cul et le sexe encore et toujours enfermé.
J’avais atteint ma limite et elle s’en rendit compte. Elle mit la vidéo sur pause, s’approcha de moi, vint se mettre à nouveau à califourchon sur moi et m’embrassa à pleine bouche.
- « Je suis fière de toi.
- Merci maîtresse.
- Je vais pouvoir te récompenser.
Elle se leva et sorti une petite clé en argent : la clé de ma cage. Je remuais dans tous les sens, j’avais perdu toute forme d’amour propre. Elle me caressait la cage en parlant tout doucement.
- « chuuut, restes sage ou je te laisse enfermé jusqu’à demain. »
Je m’arrêtais immédiatement. Je bouillonnais intérieurement. Elle s’agenouilla devant moi, passa un petit coup de langue sur mes bourses et sur le bout de mon sexe. Je la suppliais.
- « bon, j’espérais ne pas avoir à faire à mais puisque tu insistes. »
Elle récupéra sur le rack un bâillon-boule avec plusieurs lanières qui enserrais l’ensemble du crâne.
- « avec ça, tu ne m’embêteras plus. »
Après l’avoir installé, elle reprit son petit jeu en me regardant droit dans les yeux. Après quelques minutes de ce traitement, elle jugea qu’elle m’avait assez torturé.
Elle dégonfla le plug mais le laissa dans mon cul, puis elle me libéra.
Ma bite était en béton, impossible de la bouger d’un millimètre. Elle la caressa du bout du doigt.
- « Allé, tu l’as bien mérité » me dit-elle.
Et elle se lança dans une fellation de folie. Elle suçait, léchait, me caressait les bourses du bout des doigts ou jouait avec mon plug… C’était divin. Lorsqu’elle sentit que j’essayais d’accélérer, que j’étais au bord de la jouissance, elle s’arrêta. Elle ignora mes grognements insatisfaits et m’expliqua la situation en agrémentant de quelques coups de langues ponctuels sur mon gland.
- « Bon, voilà ce qu’il va se passer. Tu vas jouir, je te rassure. Mais pas tout de suite. D’abord, je vais te laisser te reposer un peu de toutes tes émotions, puis je reviendrais te voir quand tu t’y attendras le moins pour m’occuper de toi. Ne t’inquiète pas, je vais laisser de quoi t’occuper. »
Elle se releva, ignorant mes objections (peu audible de toute façon à cause du bâillon), m’installa un anneau autour du sexe pour conserver mon érection, retendit encore un peu la lanière autour de mes bourses et passa hors de mon champ de vision. Je me débattais, mais rien n’y faisait.
Elle s’affairait derrière moi mais impossible de voir ce qu’il se passait. Puis d’un coup, mon champ de vision fut obstrué par un appareil un peu lourd qu’elle attacha solidement à l’arrière de mon crâne. Suivi par un casque audio qui couvrait mes oreilles.
Elle me caressa le sexe, m’embrassa dans le cou et me dit de bien me reposer, qu’elle reviendrait quelque part dans la nuit. Je me débattis comme un diable mais impossible de bouger, j’étais piégé et elle le savait.
- « A tout à l’heure mon chou ! Ah, j’oubliais presque… »
Et là, au moment de son départ, tout s’alluma en simultanée. Ce que j’avais pris pour un masque était en réalité un support de portable pour projection en « VR ». Quoique je fasse, j’avais dans toute les directions une projection des films que nous avions commencé à regarder tout à l’heure. Le casque audio diffusait le son, et pas en vague bruit de fond. J’avais l’impression d’y être. Et pour boucler le tout, mon plug et mon anneau pénien s’était mis à vibrer en aléatoire… l’attente allait être longue.
A suivre…
10 minutes plus tard, nous arrivons à la maison. Je suis crevé. Heureusement que nous avions décidé de faire des vacances « glande à domicile », parce que si je devais partir pour une randonnée ou une journée de visite dans la foulée je risquerais de m’effondrer au bout d’1/2h.
Heureusement, ce n’est clairement pas le thème.
Quand nous entrons dans le salon, nous trouvons nos 2 moitiés en pleine discussion, sieste finie et bière dans la main… et bien je vois que tout le monde n’a pas autant souffert que moi !
On se décide donc à les rejoindre et nous migrons notre apéro au bord de la piscine.
Pour rappel, je porte mon short traditionnel de vacancier, un T-shirt coloré, une paire de tong, un plug et une cage de chasteté. Autant les 3 premiers sont assez classiques pour la situation, autant les 2 derniers me donnent l’impression d’être complètement nu face à notre petit groupe.
Cependant, personne n’a l’air de remarquer. Sauf peut-être Léa, qui sourit et à l’air de franchement s’amuser de la situation.
- « Bon » attaque Pierre, « on va peut-être pas passer toutes les vacances à bronzer et faire la sieste non plus !
- Non tu as raison », lui répond Léa, « on va aussi boire des coups et manger.
- Moi je ferais bien une petite rando » lance Pauline, « j’ai vu qu’il y avait des tentes et tout le matériel pour bivouaquer dans le garage !
Autant Pierre à l’air franchement motivé, autant Léa et moi ne semblons franchement pas plus emballé que ça. J’avoue que marcher ne m’a jamais vraiment enthousiasmé, et la perspective de dormir en extérieur ne m’inspire pas non plus tant que ça.
Nous convenons d’un programme « plage » pour le lendemain après-midi et repoussons la décision de la randonnée. En écoutant d’une oreille distraite les conversations qui suivirent, j’optais pour une sieste discrète dans mon transat et sombrais en quelques minutes.
2h plus tard, je me réveillais revigoré, mais seul sur ma terrasse. Je retrouvais tout le monde qui m’accueilli dans la cuisine.
- « Eh bin ça te fatigue de rien faire à ce que je vois ! » me dis Pauline avec un clin d’œil.
Je lui confirme qu’en effet, je récupérais encore de la soirée de la veille. Je profitais de la préparation du repas pour passer un moment avec elle, n’ayant pas encore passé beaucoup de temps depuis le début des vacances. On discutait, on riait et j’en oubliais complètement les évènements des dernières 24h. C’était sympa, on était bien.
Léa, de son coté, faisait de même avec Pierre et pendant 1h, toute les aventures de la veille semblaient être uniquement issu de mon esprit perturbé. Au seul détail près du plug que je sentais dans mon cul et de ma cage de chasteté.
Ce soir-là, nous mangeons un repas simple et pas trop arrosé, pour récupérer de la soirée de la veille. Nous jouons aux cartes, Pauline sur mes genoux (pourvu qu’elle ne sente pas la cage contre ses fesses…) et Léa sur ceux de Pierre.
Après quelques donnes, Pauline nous annonce qu’elle va se coucher, m’embrasse sur les lèvres et m’encourage à rester jouer si je ne suis pas fatigué. Je reste donc le temps d’une partie et là, Léa invite Pierre à aller faire de même.
Je reste seul dans le salon, ne sachant pas vraiment quoi faire… Léa ne m’avait-elle pas dit qu’on se retrouverait ce soir ?
Je reçois à ce moment-là un sms :
« A minuit, déshabille-toi au bord de la piscine et traverse nu le jardin jusqu’à la cabane au fond. Là, assis toi sur la chaise et attends-moi. »
J’attendis donc patiemment sur la terrasse, après avoir vérifié que Pauline dormait bien à poing fermé.
A minuit moins 5, n’y tenant plus, je me déshabillais sur la terrasse et traversa le jardin. C’était à la fois terriblement stressant et excitant de se promener nu, en cage et pluggé à la lumière de la lune.
En arrivant au fond du jardin, je distinguais la cabane : il s’agissait d’une baraque en bois d’environ 3x5m, l’air plutôt robuste, une porte, pas de fenêtres.
Je franchis le pas de la porte pour découvrir l’intérieur stupéfait. Je ne sais pas si la cabane avait été prévue à cet effet, mais elle semblait avoir été faite sur mesure pour notre soirée : en face de la porte, un établi sous lequel avait été stocké toute sorte d’outil de bricolage, tassé sous une bâche pour ne pas trop gâcher l’ambiance. Dessus, l’espace avait été dégagé pour accueillir un ordinateur portable éteint. Une chaise percée trônait au milieu de la pièce au-dessus d’un gros anneau en métal. Sur les murs, les racks qui avaient dû servir a stocké les outils cachés sous l’établis comprenait pêle-mêle : des cordes, une paire de menottes, 2 baillons (un masque intégral avec bâillon-boule et un ring-gag), une cravache, un martinet… etc…
J’étais scotché. Je m’assis sur la chaise, pas tout à fait rassuré de ce qui allait m’arriver. J’avoue qu’à cet instant-là, la présence de la cage de chasteté était très contraignante. J’attendis patiemment 10min, me demandant si Léa ne m’avait pas oublié.
- « Ne te retourne pas et mets les mains dans le dos »
Je ne l’avais même pas entendue arriver.
- « Oui maitresse.
- C’est bien, je n’ai même pas eu à te le dire cette fois-ci »
Après quoi, elle me menotta les mains dans le dos en faisant un tour de chaîne sur un barreau de la chaise. Je la sentis ensuite installer le gonfleur sur mon plug avant de me saisir les couilles sous ma cage, les attacher avec une cordelette en cuir qu’elle tendit ensuite en la passant dans l’anneau au sol. Mes deux chevilles ont finalement été attachés aux deux pieds de la chaise, pour compléter le tableau.
- « Parfait », me dit-elle avec un petit bisou dans le cou, « tu es prêt pour la soirée. »
Lorsqu’elle entra enfin dans mon champ de vision je fus estomaqué. Elle était à couper le souffle. Elle tenait une cravache rouge à la main et avait enfilé une tenue intégrale de domina terriblement excitante : des bottes en cuir qui lui montaient juste en dessous des genoux, une petite jupe plissée qui lui arrivait sur le haut des cuisses, un corset en cuir, de longs gants et les cheveux tressés à la Lara Croft qui lui tombait sur le sein qui finissaient de lui donner un air irrésistible.
Ma cage me torturait. Elle s’en rendit compte et sourit fièrement :
- « Ma tenue te plais à ce que je voie. »- Oh oui maîtresse !
- Dommage pour toi, tu n’en profiteras pas… pour l’instant ;) »
Elle vint se mettre à califourchon sur moi et en me caressant le visage et commença à m’expliquer son programme pour la soirée.
- « Voilà ce qu’il va se passer : ce soir, je ne vais pas me contenter de recopier bêtement des scènes qui te plaisent sur internet. On va plutôt les regarder ensemble. Comprendre ce qui te plais, ce qui ne te plais pas, pourquoi, aller au cœur de tes fantasmes pour t’aider à y voir plus clair. Au passage, l’idée de te voir te débattre avec tes envies dans ta cage de chasteté sera un plus.
- …- Et si je juge que tu n’es pas assez honnête avec moi, que tu ne t’ouvres pas complètement, ou simplement que j’en ai envie, je te torturerais un peu au passage. »
Sacré programme. Elle se leva, me donna un petit coup de cravache sur les bourses comme pour donner le top départ et lança une vidéo. On y voyait deux femmes dont une attachée sur un cheval d’arçon et bâillonnée, la tête relevée par une corde qui passait dans ses cheveux et dans un crochet métallique dans son cul, en train de recevoir des coups de martinet de la seconde. Elle avait l’air d’en baver.
- « Qu’est-ce que ça t’inspire ça ? » me demanda-t-elle.
- « Ça m’excite beaucoup maîtresse.
- Oui ça je m’en doute et je peux même le voir merci. Mais encore ? »
Je ne savais pas où elle venait en venir. Je tentais timidement :
- « La soumise est hyper sexy avec son crochet dans le cul ? »
Léa hocha la tête comme si elle était d’accord, saisi un petit bac sur le rack de rangement, en sorti une pince à linge qu’elle me mit sur un téton.
- « Oui on est d’accord… mais encore ? dis m’en plus »
Je grinçais des dents. Décidément elle était joueuse, la soirée risquait d’être longue. Je continuais d’essayer. La tenue de la domina. Pince à linge sur le deuxième téton. Deux filles ensemble c’est hyper excitant. Un coup sur la pompe du plug.
Je commençais à perdre patience…
- « Je sais pas moi… la manière dont la domina regarde la soumise. Le coté sadique en apparence, mais on fond on voit qu’elle cherche juste à la pousser dans ses retranchements. »
Pas de punitions. Je continuais :
- « Là par exemple, quand elle va se mettre juste devant elle pour la regarder dans les yeux. Qu’elle la félicite. Ça c’est un passage qui me plais !
- Bah tu vois quand tu veux…
J’avais compris ce qu’elle voulait. Elle me poussait à voir ce qui m’attirais autant, au-delà des simples tenues et situations, dans la relation entre dominant et dominé. On changea de vidéo. Après quelques pinces à linge sur les bourses et un coup de pompe, je finis par aller au cœur de ce qui me plaisait et déplaisait dans la situation (pratiques sexuels qui me vont, mais au fond la relation dominant-dominé dans toutes les situations de la vie ne me plais pas). Nouvelle vidéo, nouvelle conclusion : j’aime les changements de rôles, un dominant d’une fois et le dominé de la suivante. J’avais quand même reçu quelques coups de cravaches sur les bourses et sur le plug au passage. Puis la suivante : le masochisme pur, c’est pas mon truc. La « torture » me va dans un contexte sexuel, ne me va pas quand elle est seule et qu’il n’y a pas de récompense. Nouvelles vidéos, puis la suivante, puis la suivante…
Après 1/2h de visionnage non-stop de porno BDSM, Femdom, de bondage, à 2 ou plus, dominante ou dominée, j’avais perdu mes pinces à linge à coup de cravache, le torse rougit par un martinet, le plug gonflé dans le cul et le sexe encore et toujours enfermé.
J’avais atteint ma limite et elle s’en rendit compte. Elle mit la vidéo sur pause, s’approcha de moi, vint se mettre à nouveau à califourchon sur moi et m’embrassa à pleine bouche.
- « Je suis fière de toi.
- Merci maîtresse.
- Je vais pouvoir te récompenser.
Elle se leva et sorti une petite clé en argent : la clé de ma cage. Je remuais dans tous les sens, j’avais perdu toute forme d’amour propre. Elle me caressait la cage en parlant tout doucement.
- « chuuut, restes sage ou je te laisse enfermé jusqu’à demain. »
Je m’arrêtais immédiatement. Je bouillonnais intérieurement. Elle s’agenouilla devant moi, passa un petit coup de langue sur mes bourses et sur le bout de mon sexe. Je la suppliais.
- « bon, j’espérais ne pas avoir à faire à mais puisque tu insistes. »
Elle récupéra sur le rack un bâillon-boule avec plusieurs lanières qui enserrais l’ensemble du crâne.
- « avec ça, tu ne m’embêteras plus. »
Après l’avoir installé, elle reprit son petit jeu en me regardant droit dans les yeux. Après quelques minutes de ce traitement, elle jugea qu’elle m’avait assez torturé.
Elle dégonfla le plug mais le laissa dans mon cul, puis elle me libéra.
Ma bite était en béton, impossible de la bouger d’un millimètre. Elle la caressa du bout du doigt.
- « Allé, tu l’as bien mérité » me dit-elle.
Et elle se lança dans une fellation de folie. Elle suçait, léchait, me caressait les bourses du bout des doigts ou jouait avec mon plug… C’était divin. Lorsqu’elle sentit que j’essayais d’accélérer, que j’étais au bord de la jouissance, elle s’arrêta. Elle ignora mes grognements insatisfaits et m’expliqua la situation en agrémentant de quelques coups de langues ponctuels sur mon gland.
- « Bon, voilà ce qu’il va se passer. Tu vas jouir, je te rassure. Mais pas tout de suite. D’abord, je vais te laisser te reposer un peu de toutes tes émotions, puis je reviendrais te voir quand tu t’y attendras le moins pour m’occuper de toi. Ne t’inquiète pas, je vais laisser de quoi t’occuper. »
Elle se releva, ignorant mes objections (peu audible de toute façon à cause du bâillon), m’installa un anneau autour du sexe pour conserver mon érection, retendit encore un peu la lanière autour de mes bourses et passa hors de mon champ de vision. Je me débattais, mais rien n’y faisait.
Elle s’affairait derrière moi mais impossible de voir ce qu’il se passait. Puis d’un coup, mon champ de vision fut obstrué par un appareil un peu lourd qu’elle attacha solidement à l’arrière de mon crâne. Suivi par un casque audio qui couvrait mes oreilles.
Elle me caressa le sexe, m’embrassa dans le cou et me dit de bien me reposer, qu’elle reviendrait quelque part dans la nuit. Je me débattis comme un diable mais impossible de bouger, j’étais piégé et elle le savait.
- « A tout à l’heure mon chou ! Ah, j’oubliais presque… »
Et là, au moment de son départ, tout s’alluma en simultanée. Ce que j’avais pris pour un masque était en réalité un support de portable pour projection en « VR ». Quoique je fasse, j’avais dans toute les directions une projection des films que nous avions commencé à regarder tout à l’heure. Le casque audio diffusait le son, et pas en vague bruit de fond. J’avais l’impression d’y être. Et pour boucler le tout, mon plug et mon anneau pénien s’était mis à vibrer en aléatoire… l’attente allait être longue.
A suivre…
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