Soumission en vacances 6 - L’épreuve des 4 éléments
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission en vacances 6 - L’épreuve des 4 éléments
Partie 6 – L’épreuve des 4 éléments
Avec Léa partie, je pouvais enfin lever la tête et prendre conscience de mon environnement. Déjà, j’étais solidement attaché au cadre du lit. Impossible de me dégager de là de toute évidence. Dans mon cul était planté le plug dont elle s’était déjà servie plus d’une fois pour me torturer. Dehors, il faisait grand soleil, et en tendant l’oreille je pouvais entre du grabuge sur la terrasse sous la fenêtre de la chambre.
De toute évidence, la première de mes épreuves se passeraient à l’extérieur. Ne pouvant pas en savoir plus, j’en profita pour me reposer en attendant l’arrivée de Léa. Et après l’effort au réveil, je sombrais sans m’en rendre compte dans la somnolence, puis carrément le sommeil.
Je fus réveillé sec par un coup de cravache sur mes testicules.
- « Ah bin ça va je vois que tu te détends pendant que je m’active pour toi !
- Pardon maitresse…- Décidément tu ne perds vraiment rien pour attendre. J’avais peur d’y être aller fort mais ça me rassure, tu le mérites. »
J’avais peut-être à nouveau fait une connerie. Deux en une matinée ou elle était déjà joueuse à la base, c’était un risque. Et je compris ma troisième erreur dans la minute qui suivi.
Elle avait revêtu une tenue particulièrement excitante : ses bottes en cuir de domina, des bas noirs élégants avec un filagramme rouge mi-cuisse, un porte-jarretelle en dentelle rouge et noir, un ensemble shorty-string et bustier en dentelle noir et ses gants rouges. Avec son éternel tresse, signe qu’elle comptait m’en faire baver.
Elle portait tout cette tenue merveilleusement excitante… Et je ne l’avais même pas remarqué. Enfin si j’avais remarqué mais je ne lui avais rien dit, et je pouvais voir sur son visage qu’elle en était vexée.
- « Vous êtes magnifique maîtresse.
- Ça arrive un peu tard lèche-cul… si tu crois que ça va te faire gagner de la clémence tu peux t’assoir dessus. »
Eh merde…
Elle m’enferma le sexe dans ma cage de chasteté sans délicatesse. Le thème de la matinée était annoncé : fun pour elle, souffrance et frustration pour moi. Elle brancha la pompe du plus qu’elle m’avait planté dans le cul pendant son cunnilingus et l’activa 3 fois pour le faire grossir.
Elle reprit progressivement de la bonne humeur en me manipulant et finit par me détacher en souriant.
Quoi, c’était juste ça ?
Elle me jeta un sac rempli d’affaire divers et me lança un « prépares toi et rejoins moi sur la terrasse » avant de sortir de la chambre.
J’ouvris le sac après son départ et commença à m’équiper :D’abord, 2 bracelet en cuir molletonné pour les mains, 2 pour les pieds. Ils étaient assez épais et confortable ce qui me rassura sur le bondage potentiel de la matinée. Ensuite, un collier en cuir avec une laisse accrochée. Enfin, un ring-gag qui me gardait la bouche grande ouverte.
J’enfila l’ensemble des accessoires prévus par ma maîtresse pour la séance du matin et sorti sur la terrasse. Je me sentais bien ridicule avec ma bouche grande ouverte et un petit filet de bave en coin, mais pas le choix.
Je me pris un coup sec de cravache sur le cul qui me fit grogner.
- « Qu’est-ce que tu fais debout ? tu te promènes à 4 pattes quand tu as un collier de chien »
Bien vu… j’obtempérais en me disant que décidément, j’enchainais les erreurs ce matin.
- « Donne-moi ta laisse, je vais pas la ramasser par terre quand même. »
Je lui tendis ma laisse mais au lieu de l’attraper, elle me donna un nouveau coup de cravache sur le cul, sans aucune retenue.
- « Tu as déjà vu un chien tendre sa laisse comme ça ? tu la prends dans ta bouche et tu me la porte. »
Nouvel ordre, nouvelle erreur. Au lieu d’un sans-faute, je visais le sans-réussite apparemment.
Je lui tendis la laisse en équilibre instable dans ma bouche ouverte. Elle la prit, parue satisfaite, et m’entraîna vers le jardin. Et là, au milieu de la pelouse, je découvris stupéfait notre terrain de jeu.
Elle avait tout d’abord amené le porte parasol au milieu du jardin, espace découvert qui devait faire pas loin d’un hectare. Le porte parasol en question était une sorte de potence en métal forgé avec un anneau rotatif au bout du bras qui porte normalement la toile du parasol. Pour l’occasion, la toile avait été enlevée. En dessous était posé un petit tabouret à côté d’une chaise. Un tout petit peu plus loin on trouvait un transat du bord de piscine avec un assortiment hétéroclite d’objets entreposés en dessous.
Lorsque l’on arriva devant le petit tabouret Léa me fit me relever. Puis, elle enleva la laisse et m’invita à monter sur le tabouret. Quant à elle, elle grimpa sur la chaise à côté, me pris les mains, attacha mes deux bracelets en cuir ensemble et vint ensuite les passer dans le crochet du porte parasol.
Pendant ce manège, j’avais une vue directe sur sa poitrine et j’avoue que j’étais plus occupée à la reluquer qu’à regarder ce qu’elle faisait. Ça eut pour conséquence de me mettre bien à l’étroit dans ma ceinture de chasteté, ce qu’elle vit rapidement et qui la fit sourire.
Elle me prit le menton pour me faire la regarder dans les yeux.
- « Fab j’ai besoin que tu te concentres une seconde d’accord ?
- …- Écoute-moi bien. Dans les vidéos dont tu es fan et qu’on a regardé ensemble, il y a un système de communication entre soumis bâillonné et dominant, tu te souviens ? »Je hochais la tête.
- « Montres le moi. »Je donnais rapidement 3 coups de têtes bien marqué de gauche à droite.
- « Très bien. Nous allons utiliser ce signal entre nous d’accord poussin. Si notre jeu devient trop intense, fais ce signe et j’arrêterais pour voir comment tu vas, d’accord ? »Je hochais la tête en essayant d’avoir l’air sur de moi mais je n’étais pas rassuré du tout.
De tous les jeux que nous avions eus jusque-là, elle n’avait jamais ressenti le besoin de me fournir un code pour arrêter. Aujourd’hui, elle insistait dessus.
Pendant que j’étais perdu dans mes pensées à essayer d’anticiper ce qui allait m’arriver, elle activait la moulinette du porte parasol qui servait à faire monter la toile. En quelques secondes, j’étais suspendu par les poignets attachés, les jambes dans le vide. Heureusement, c’était une position pas trop inconfortable avec les bracelet épais et molletonnés.
Elle m’attacha les jambes entre elles avec une corde au niveau des chevilles et les immobilisa en position repliées avec une seconde corde. Enfin, elle attacha une petite cordelette à mes gros orteils de chaque pied qu’elle tendit au maximum avec celle qui me maintenait les jambes repliées. J’avais donc les genoux vers le bas et les pieds collés entre eux et tendus à plat un peu en dessous de mes fesses.
Elle alla s’installer dans le transat et m’observa pour juger son travail, l’air satisfait. Avec le vent léger, je tournais tout doucement sur moi-même ce qui lui permit de m’observer sur toutes les coutures sans avoir à se lever. Quand je me retrouvai dos à elle, je l’entendis fouiller dans le fourbis sous son transat. Quand je basculais face à elle, Léa était allongée dans le transat, les cuisses écartées, à me regarder d’un air extrêmement satisfait. Et là, enfin, elle m’expliqua son plan.
- « Je te dois 4 gages, j’ai choisi de me baser sur le thème des 4 éléments. Tu comprends ? »… Non, pour le coup je comprends pas. C’est de la poésie ou du BDSM ?
- « Tant mieux ça ne m’étonne pas… Tu comprendras bien vite. »
Elle se leva, récupéra sous le transat une grosse pierre accrochée à une chaine qu’elle vint suspendre à l’anneau de ma cage qui enserrait mes couilles. Aïe, c’était bien tendu.
Une pierre. L’élément Terre. Ok, je commençais à vaguement comprendre le concept.
Elle s’installa sur la chaise qui était resté près de moi, mais avec ma rotation sur moi-même je la perdis de vue. Et subitement CLAC ! Je sentis les lanières de cuir d’un martinet s’abattre sur mon cul à en faire trembler mon plug. Elle n’y allait pas de main morte, j’en gémissais encore 30s plus tard. Puis elle l’abattit à nouveau. Entre deux coups, j’entendais un clac régulier du fouet qui claquait dans l’air sans me toucher, qui me faisait tressaillir à chaque fois. C’est l’attente qui était terrible, le bruit des lanières qui scindaient l’air… Merde j’avais compris, l’Air. Elle jouait avec le bruit du martinet pour accentuer ma peur. Mes fesses me faisaient mal à chaque coup, mais finalement ce qui me terrifiait le plus, c’était ce bruit…
Après 3-4 tours sur moi-même, j’avais les fesses et le torse rougis et je gémissais sans discontinuité. Elle grimpa sur sa chaise pour me caresser le visage.
- « Bah alors poussin, ne me dit pas que tu es déjà fatigué quand même… - … - On a à peine commencé »Petit clin d’œil, et c’est reparti.
Elle retourne au transat, me regarde dans les yeux et attends. De mon côté, j’essaye de voir à quelle sauce je vais être mangé mais elle ne fait rien. Puis, quand la rotation la sort de mon champ de vision, elle s’active. J’aurais voulu me débattre pour accélérer la rotation mais avec la pierre attachée à mes bourses, impossible sans donner des à-coups que je ne pensais pas pouvoir supporter. Donc je patientais, me passant 1000 scénarios dans la tête…
Je la senti derrière moi à me caresser les fesses du bout des ongles.
- « Tu as l’air d’avoir chaud quand même mon poussin »C’est vrai qu’avec son terrain de jeu au grand air, on était sous le soleil qui commençait à taper fort. Ça plus la peur et la douleur de la torture passée, mon corps était entièrement recouvert d’une fine pellicule de transpiration. Peut-être était-ce ça l’épreuve du feu ?
- « Attends, je vais te rafraichir ça ira mieux »
Avec un peu de chance, l’épreuve de l’eau consistait uniquement à m’arroser avec le jet. Ça pouvait être un peu stressant étant complètement attaché et bouche grande ouverte, mais pas insurmontable…
Mais à ma grande surprise, elle commença par me retirer mon plug. Qu’est-ce qu’elle comptait faire au juste ? Je commençais à prendre peur, c’était terriblement stressant de la sentir s’activer derrière moi sans savoir quelle allait être ma prochaine torture.
Et là, je sentis le froid me mordre la rondelle encore entre-ouverte et je compris : des glaçons. Non elle ne va pas faire ça quand même ? Et avant d’avoir le temps de faire ou dire quoique ce soit je sentis un cube glacé se faire enfoncer dans mon fondement.
Je criais. Me débattais sans me soucier de la pierre suspendue à mes couilles, tellement même qu’elle tomba au sol. J’essayais de négocier, de la supplier, ce qui sortait comme un gargouillement incompréhensible à travers ma bouche figée en position ouverte. Mais elle restait intransigeante et, un à un, elle me fourrait de glace.
Après un nombre que j’étais incapable de donner, elle s’arrêta. J’avais un petit filet d’eau qui coulait de l’anus sans discontinuité, une sensation peu claire dans le fondement qui oscillait entre froid et chaud (la morsure de la glace donnait une sensation de chaleur par vague). J’avais arrêté de me débattre, je gémissais sans discontinuité avec un filet de bave qui me coulait de la bouche sur le torse, puis au sol.
Je pensais avoir une opportunité pour les éjecter dès qu’elle entra dans mon champ de vision. Malheureusement, avec le froid j’étais tétanisé et je n’arrivais pas à ouvrir l’anus suffisamment pour éjecter un seul glaçon. De toute façon, elle ne m’en laissa pas le temps. Elle me glissa une poignée de glaçon qui lui restait dans ma bouche ouverte et me montra un spéculum et une bougie :
- « C’est bien mon chéri, je suis tellement fière de toi… tu y es presque ».
Presque ? Qu’est-ce qu’elle comptait faire avec ça ? Mon cerveau tournait au ralenti.
- « Il ne te reste plus que l’épreuve du feu. »Elle hésita, puis reprit.
- « Et vu que tu t’es débarrassé de ton épreuve de la terre, je devrais peut-être te trouver une solution de substitution… On verra ça tout à l’heure à la pause. »Quelle pause ??!
Je ne pouvais malheureusement rien dire et me contentais de gémir, de toute façon c’est tout ce que j’arrivais encore à faire. Elle m’embrassa au coin des lèvres, me caressa le torse, et ressorti de mon champ de vision.
Je senti un gel froid contre mon anus, puis l’insertion d’un objet métallique qui venait pousser les glaçons plus loin dans mon fondement : elle m’avait inséré le spéculum. Puis je le senti s’entrouvrir et, avant que de l’eau ne commence à couler, quelque chose fut introduit dedans et une nouvelle fois aujourd’hui, je compris ce qu’elle comptait faire et pris peur… La bougie. Dans mon cul. L’épreuve du feu.
Et là, un gémissement plus fort que les autres, couplés à un gargouillement de l’eau qui s’écoulait de ma gorge et elle comprit que j’avais compris. J’entendis un bruit de briquet, elle passa devant moi me sécher une larme et déposer un baiser sur le bout de ma cage de chasteté, me donna un petit à-coup pour lancer ma rotation et s’installa dans le transat.
Lorsqu’on se retrouva à nouveau face à face, je la trouvais allongée à me regarder droit dans les yeux, la main dans son shorty en train de s’activer, la bouge entre-ouverte dans une position de plaisir. Et je sentis la première goutte de cire. Je gémis, complètement écartelé entre la sensation de froid dans mon cul et de chaud sur mes pieds. Je compris pourquoi elle m’avait attaché les jambes relevées, elle avait prévu ça depuis le début.
A chacun de mes cris, elle gémissait un peu plus fort. Elle sortait régulièrement de mon champ de vision et devais avoir une vue imprenable sur mon cul occupé, sur la cire sur la plante de mes pieds, qui ne la laissait pas indifférente.
J’étais complètement démunis. Le filet de bave, le cul rempli et bouché par une bougie, les gémissements... je pouvais voir à quel point ça l’excitait. Après quelques tours, je commençais à faiblir. Plus de gémissements, les glaçons avaient complètement fondu, la bougie s’était éteinte.
Léa avait enlevé son shorty avant de remettre délicatement les attaches de son porte-jarretelles. Après plusieurs minutes à me regarder sans rien dire, elle se leva et s’approcha de moi.
- « Bon mon chou, il est temps de faire une pause »Je me mis à pleurer doucement. De satisfaction d’arrêter, même temporairement ? de savoir qu’il allait falloir reprendre ? ou simplement les nerfs ? probablement tout ça oui. J’étais dans un autre monde.
Elle me détacha les jambes et me fit descendre doucement en équilibre sur le tabouret. Elle m’essuya délicatement la commissure des lèvres, joua du bout des doigts avec la bave qui avait coulée sur mon torse et pris la parole.
- « Arrête ton cinéma. Tu peux me faire arrêter quand tu veux et tu le sais. Tu veux être là, tu veux me donner du plaisir. Et en échange, tu sais que je vais t’en donner. »
Elle exposait ces vérités sur un ton ferme, même si toute sa gestuelle était pleine d’encouragement et de compassion. Je hochais la tête, ayant un peu repris du poil de la bête.
- « Bon voilà le deal que je vais te faire. Je vais encore jouer un peu avec toi. Si tu jouis sans ma permission, on reprendra pour l’acte 2. Si tu résistes pendant 10 minutes, on passera l’acte 2 et on aura fini pour l’épreuve de la matinée… tu es d’accord ?
Nouveau hochement de tête de ma part.
Elle commença par m’enlever ma cage de chasteté. Elle s’apprêtait à m’enlever le speculum que j’avais planté dans le cul quand elle releva la tête comme si elle venait d’avoir une idée.
- « Autre chose : si tu libères une goutte d’eau qu’il y a dans ton cul sans mon autorisation, je te punis encore plus fort pour l’acte 2 c’est clair ? ».
Et elle me retira le spéculum d’un coup avant de commencer à me branler. Je compris tout de suite que c’était un combat perdu d’avance. Elle s’appliquait beaucoup trop, me donnais de petit coup de langue sur le gland, gémissait, me caressait les bourses… Elle voulait me faire basculer et ça se voyait clairement dans ces yeux espiègles. Elle avait installé sur le siège à côté d’elle un timer sur son portable, je pouvais voir clairement le temps s’écouler au ralenti pour ma plus grande frustration. Enfin frustration n’était probablement pas le bon mot vu ma situation actuelle.
Elle avait dit 10 minutes. Au bout de 4, je n’en pouvais plus. J’ai d’abord cru que me concentrer sur l’eau dans mon cul allait me permettre de tenir, mais ma retenue devint naturelle et je me retrouvai vite à n’avoir que sa masturbation sur laquelle me concentrer.
Lorsqu’elle vit que j’étais sur la fin, elle accéléra. Elle me regardait droit dans les yeux avec un air extrêmement concentré : elle cachait quelque chose. Lorsque je fus sur le point de jouir, elle arrêta sec. Je grognais frustrer, mais satisfait : l’horloge passait à 5 minutes. Mais elle reprit et à nouveau, au bord de l’orgasme, elle m’amena un tout petit peu plus loin avant d’arrêter. Elle recommença son petit manège une troisième fois mais là, elle trouva le point exact : au moment où elle s’arrêta, j’avais passé la barrière mais pas assez. Je sentis donc mon pénis se contracter, je me sentis éjaculer mais n’en tira aucun plaisir. En plus de ça, au moment de l’orgasme (qui n’en était pas un), j’ai perdu le contrôle de mon sphincter et un jet d’eau s’échappa de mon cul sans discontinuer.
J’étais penaud, je gémissais, essayait de me débarrasser de mes attaches. Léa avait un sourire moqueur, me donna une tape sur la bite encore dressée avant de me réprimander :
- « Tu as finis de couiner oui ? je t’ai donné une chance, c’est déjà bien. Non seulement tu n’as pas réussi à la saisir, mais tu as brisé les deux règles que j’avais fixé. Je vais donc bien profiter du deuxième acte tu peux me croire ! »
Et en ignorant mes grognements elle commença par me bander les yeux d’un masque noir qui ne laissait passer aucune lumière. Elle m’attacha ensuite une barre d’écartement et m’éleva à nouveau pour que je sois suspendu par les bras.
L’acte 2 allait commencer.
Léa commença par me passer un cockring double qui prenait le pénis et les testicules séparément, puis le mis à vibrer. Apparemment, elle ne voulait pas perdre mon érection. Puis, elle m’enfonça à nouveau le spéculum dans mon anus. Seulement cette fois, elle l’écarta et n’en boucha pas l’entrée. Je pouvais sentir l’air s’engouffrer dans mon fondement… l’air, on était à nouveau sur ces saletés d’éléments.
J’eu soudain une réalisation, en l’entendant s’affairer autour de moi. Elle savait depuis le début que je ne résisterais pas son épreuve intermédiaire. Elle avait tout prévu, même de me donner l’espoir que ça s’arrête de manière anticipée… Elle était rentrée dans ce rôle de dominatrice pour répondre à mon fantasme mais dans le fond, elle s’y plaisait peut-être plus que moi.
Sur ces réflexions, je l’entendis partir en direction de la forêt en bordure du terrain de jeu. J’avais chaud sous le soleil qui tapait de plus en plus fort, j’étais à nouveau recouvert d’une pellicule de transpiration. Je sentais le vent s’inviter dans ma bouche grande ouverte, dans mon fondement. J’en déduis, plein d’espoir, que si le thème de la phase 2 était toujours sa connerie des 4 éléments, au moins j’en avais déjà éliminé 2.
Je la senti soudain me caresser les fesses : elle était revenue. Elle me déposa un baiser sur le bout de la bite, puis elle s’éloigna et j’entendis le bruit du tuyau d’arrosage qui se faisait dérouler. Je fus soudain rassuré : se faire arroser n’était pas trop désagréable comme traitement et au moins j’aurais moins chaud.
Cependant, à ma grande surprise, je ne recevais pas d’eau… Qu’est-ce qu’elle pouvait bien être en train de préparer ? Elle m’attacha différentes lanières autour de la taille et des cuisses, avec un contrepoids au niveau de mes fesses. J’étais paumé. Ça ressemblait à un gode ceinture, mais qu’elle m’aurait mis à l’envers ! Et puis je pris conscience d’une chose : je ne sentais plus d’air s’engouffrer dans le spéculum. Je compris ce qu’elle comptait faire. Je me mis à me débattre et à gémir, à essayer d’enlever mon masque, mon bâillon, mes attaches, tout quoi ! Mais tout était solidement attaché et rien ne bougea.
- « Tout vas bien mon chou, ce sera bientôt fini et tu seras tout propre ».
Et elle ouvrit légèrement le robinet du tuyau d’arrosage. Je sentis un filet d’eau envahir mon fondement sans discontinuer et s’écouler au fur à mesure. C’était terrible comme sensation, indescriptible. Privé de ma vue, je ne pouvais me concentrer que là-dessus. Seulement elle n’avait pas fini. Je la senti frotter des feuilles contre mon cul et entre mes bourses et mon anus.
Zone qui se mit soudain à chauffer. Beaucoup. A me démanger. Comme si j’étais passé dans… Non elle n’a pas fait ça. Des orties. Non. Ah la salope ! Merde elle venait de me frotter le cul avec des orties. Son sadisme était devenu hors de contrôle. Elle me caressa les fesses du bout des doigts et je me mis à crier sans discontinuité dans mon bâillon. J’étais envahi par des sentiments paradoxaux qui se résumé en deux catégories : c’était trop et je ne veux pas arrêter si près du but. Donc je me débattais et criais, mais je refusais de faire mon signal d’alerte. Elle dû le ressentir car elle monta sur la chaise pour me chuchoter à l’oreille en m’embrassant partout :
- « Tu es si près du but je suis tellement fière de toi… Fais-moi jouir et tout s’arrête. »
Là-dessus, elle enfonça dans ma bouche ouvert un objet que je reconnus plus tard être le plug lavé, désinfecté et parfumé avant de le gonfler pour étouffer mes cris. Puis, elle me fit tourner sur moi-même et s’éloigna.
La faire jouir, elle est marrante mais comment ?? De toute façon entre l’inconfort dans mon cul, mes fesses qui me brulent, mon corps qui chauffe, le vent, les effets de la phase précédente, je ne pouvais rien faire. Paradoxalement, j’avais une érection monstrueuse dans mon cockring vibrant.
Je l’entendis gémir par-dessus le bruit du tuyau d’arrosage et mes couinements étouffé. Elle avait recommencé à se masturber. Et à entendre ses cris, ma position l’excitait énormément. Elle me faisait des commentaires. M’encourageait. Se moquait par moment aussi. Et après 5 minutes de ce traitement, je l’entendis jouir sur un :
- « Vas-y Fab, tu es à moi, je fais ce que je veux de toi, souffres pour ta maitresse » … etc…
Elle avait joui.
Je sentis soudain l’eau s’arrêter de couler. On entendait plus que mes cris étouffés et mes pleurs. Je me sentis descendre doucement jusqu’à avoir les pieds au sol, qui de toute façon ne me portaient pas. Je la sentis comme dans une transe m’appliquer une pommade sur mes zones en feu pour apaiser les douleurs. L’effet fut instantané et je poussais un long soupir de soulagement. Elle me libéra du plug, du bâillon et de la barre d’écartement. Elle me massa les fesses une deuxième fois mais tous les effets des orties avaient déjà disparu. Elle me détacha les mains pour me les rattacher dans le dos et me fis m’assoir sur le tabouret. Il ne me restait plus que mon cockring qui maintenait mon érection, mon bandeau, mon collier avec ma laisse et mes menottes en cuir.
- « Il te reste une épreuve tu sais… » Je ne compris pas tout de suite. Qu’est-ce qu’elle allait encore me faire ?? Et puis j’avais l’impression d’en avoir subi 1000 des épreuves. Cela dit, en y repensant, il y avait bien eu 3 épreuves : la phase 1, le test pour déterminé si on continuait (qui était une épreuve en elle-même puisque le jeu était truqué pour que je perde) et la phase 2.
J’avais peur. Je n’osais pas bouger. J’allais devoir lui demander d’arrêter si elle attaquait à nouveau comme ce qu’elle venait de me faire subir. Je sentis un à-coup sur ma laisse.
- « Suis moi… »
Je la suivais en silence, n’osant pas la supplier de m’épargner cette dernière épreuve. On ne marcha pas bien longtemps mais chaque pas était mal assuré, je tâtonnais du bout du pied pour être sûr de ne pas m’étalé… Être privé de ma vue dans ce contexte était déjà une torture à part entière. On finit par s’arrêter. J’attendais, tendu comme un « i », de savoir ce qui allait m’arriver. Puis elle enleva mon masque.
Je clignais des yeux en accélérer pour m’habituer à la lumière, comprendre au plus vite mon environnement. Elle était juste devant mon, assise sur le bord du transat. Elle était penchée en arrière, les cuisses écartées, se tenant en équilibre sur ses coudes, la tête relevée, la tresse tombant entre ces seins. Elle ne portait plus que ses bottes, ses bas, son porte-jarretelles et ses longs gants.
- « Tu as bien mérité un peu de répit » me dit-elle, « ta dernière épreuve est simplement de me faire jouir »
J’étais abasourdi. Après tous ces traitements, mon cerveau fonctionnait en mode sans échec. Et là, clairement, on était face à une situation qu’il n’arrivait pas à compiler.
- « Tu as peut-être besoin que je te montre comment faire ? Parce que l’autre option c’est que je relance un peu de torture et je me débrouille moi-même en te regardant te débattre tu sais… »
Là, face à la menace, mon cerveau se mis à calculer à grande vitesse. Je m’agenouillais et me glissait en elle sans le moindre effort. Elle poussa un long soupir et d’une injonction m’ordonna d’arrêter de bouger. Elle s’avança pour s’enfoncer au maximum et sentir la partie vibrante de mon cockring contre son clitoris. Elle posait son pied contre mon épaule et, d’une poussé progressive, marqua le rythme pour que je sorte doucement d’elle. Lorsque le contact avec son pied fut rompu, elle tira sur ma laisse et je m’enfonçai à nouveau en elle. Puis on recommença ce manège.
Avec son alternance pied/laisse elle fixait le rythme, mais c’était moi qui faisait le travail. C’était terriblement excitant. Elle me regarda droit dans les yeux et me tira jusqu’à ce que mon visage soit à quelques millimètres du sien. Nos sexes étaient collés et vibrant l’un contre l’autre. Elle me tenait par le cou en serrant très légèrement et haletait à quelques millimètres de ma bouche. Je crevais d’envie de l’embrasser et elle le savait.
- « Je ne pensais pas que j’arriverais à te dompter aussi facilement ».
Juste ça, entre 2 soupirs. Après toute les tortures que je venais subir, cette réalisation faisait mal : depuis quand j’étais un animal docile moi ? Elle savait que j’étais autant attiré par la domination que la soumission, que je n’étais pas un soumis dans l’âme, « oui-maitresse-merci-maitresse » à me faire écraser les couilles sans aucune compensation 3 fois par jours dimanche compris.
Dans le fond, je ne ressentais presque rien des 2h de tortures de la matinée. Elle a joué avec mon mental encore plus que mon corps. Et là, elle m’adressait une ultime provocation visant à éprouver mon statut de soumis occasionnel ou à me faire basculer psychologiquement dans une position de soumis total. J’avais une poussée de fierté et une envie de rébellion qui poussait en moi à la dernière seconde.
Je vis son regard changé. Elle avait dû voir dans mes yeux mon épiphanie d’avant l’orgasme.
Je dégageais son pied d’un coup d’épaule et me mis à la pilonner aussi fort que possible. Avec la surprise, elle n’eut pas le temps de se dégager ou de reprendre le contrôle avant d’être embarquée dans son orgasme, suivie de près par moi.
Je venais de lui voler sa jouissance. J’avais survécu au 4 épreuves, en avait tiré du plaisir puisque cet orgasme, je dois bien l’avouer, était comparable à perdre le contrôle dans une vague déferlante. J’avais bu la tasse, et elle aussi.
Lorsque les premières vagues de plaisir furent passer et que les dernières, plus diffuses, s’écoulaient lentement, je lu de la surprise dans ses yeux. Apparemment, elle pensait vraiment m’avoir maté.
Puis, je pu lire de la satisfaction.
- « Dans le fond, j’espérais que ça ne soit pas aussi facile. »
A suivre…
Avec Léa partie, je pouvais enfin lever la tête et prendre conscience de mon environnement. Déjà, j’étais solidement attaché au cadre du lit. Impossible de me dégager de là de toute évidence. Dans mon cul était planté le plug dont elle s’était déjà servie plus d’une fois pour me torturer. Dehors, il faisait grand soleil, et en tendant l’oreille je pouvais entre du grabuge sur la terrasse sous la fenêtre de la chambre.
De toute évidence, la première de mes épreuves se passeraient à l’extérieur. Ne pouvant pas en savoir plus, j’en profita pour me reposer en attendant l’arrivée de Léa. Et après l’effort au réveil, je sombrais sans m’en rendre compte dans la somnolence, puis carrément le sommeil.
Je fus réveillé sec par un coup de cravache sur mes testicules.
- « Ah bin ça va je vois que tu te détends pendant que je m’active pour toi !
- Pardon maitresse…- Décidément tu ne perds vraiment rien pour attendre. J’avais peur d’y être aller fort mais ça me rassure, tu le mérites. »
J’avais peut-être à nouveau fait une connerie. Deux en une matinée ou elle était déjà joueuse à la base, c’était un risque. Et je compris ma troisième erreur dans la minute qui suivi.
Elle avait revêtu une tenue particulièrement excitante : ses bottes en cuir de domina, des bas noirs élégants avec un filagramme rouge mi-cuisse, un porte-jarretelle en dentelle rouge et noir, un ensemble shorty-string et bustier en dentelle noir et ses gants rouges. Avec son éternel tresse, signe qu’elle comptait m’en faire baver.
Elle portait tout cette tenue merveilleusement excitante… Et je ne l’avais même pas remarqué. Enfin si j’avais remarqué mais je ne lui avais rien dit, et je pouvais voir sur son visage qu’elle en était vexée.
- « Vous êtes magnifique maîtresse.
- Ça arrive un peu tard lèche-cul… si tu crois que ça va te faire gagner de la clémence tu peux t’assoir dessus. »
Eh merde…
Elle m’enferma le sexe dans ma cage de chasteté sans délicatesse. Le thème de la matinée était annoncé : fun pour elle, souffrance et frustration pour moi. Elle brancha la pompe du plus qu’elle m’avait planté dans le cul pendant son cunnilingus et l’activa 3 fois pour le faire grossir.
Elle reprit progressivement de la bonne humeur en me manipulant et finit par me détacher en souriant.
Quoi, c’était juste ça ?
Elle me jeta un sac rempli d’affaire divers et me lança un « prépares toi et rejoins moi sur la terrasse » avant de sortir de la chambre.
J’ouvris le sac après son départ et commença à m’équiper :D’abord, 2 bracelet en cuir molletonné pour les mains, 2 pour les pieds. Ils étaient assez épais et confortable ce qui me rassura sur le bondage potentiel de la matinée. Ensuite, un collier en cuir avec une laisse accrochée. Enfin, un ring-gag qui me gardait la bouche grande ouverte.
J’enfila l’ensemble des accessoires prévus par ma maîtresse pour la séance du matin et sorti sur la terrasse. Je me sentais bien ridicule avec ma bouche grande ouverte et un petit filet de bave en coin, mais pas le choix.
Je me pris un coup sec de cravache sur le cul qui me fit grogner.
- « Qu’est-ce que tu fais debout ? tu te promènes à 4 pattes quand tu as un collier de chien »
Bien vu… j’obtempérais en me disant que décidément, j’enchainais les erreurs ce matin.
- « Donne-moi ta laisse, je vais pas la ramasser par terre quand même. »
Je lui tendis ma laisse mais au lieu de l’attraper, elle me donna un nouveau coup de cravache sur le cul, sans aucune retenue.
- « Tu as déjà vu un chien tendre sa laisse comme ça ? tu la prends dans ta bouche et tu me la porte. »
Nouvel ordre, nouvelle erreur. Au lieu d’un sans-faute, je visais le sans-réussite apparemment.
Je lui tendis la laisse en équilibre instable dans ma bouche ouverte. Elle la prit, parue satisfaite, et m’entraîna vers le jardin. Et là, au milieu de la pelouse, je découvris stupéfait notre terrain de jeu.
Elle avait tout d’abord amené le porte parasol au milieu du jardin, espace découvert qui devait faire pas loin d’un hectare. Le porte parasol en question était une sorte de potence en métal forgé avec un anneau rotatif au bout du bras qui porte normalement la toile du parasol. Pour l’occasion, la toile avait été enlevée. En dessous était posé un petit tabouret à côté d’une chaise. Un tout petit peu plus loin on trouvait un transat du bord de piscine avec un assortiment hétéroclite d’objets entreposés en dessous.
Lorsque l’on arriva devant le petit tabouret Léa me fit me relever. Puis, elle enleva la laisse et m’invita à monter sur le tabouret. Quant à elle, elle grimpa sur la chaise à côté, me pris les mains, attacha mes deux bracelets en cuir ensemble et vint ensuite les passer dans le crochet du porte parasol.
Pendant ce manège, j’avais une vue directe sur sa poitrine et j’avoue que j’étais plus occupée à la reluquer qu’à regarder ce qu’elle faisait. Ça eut pour conséquence de me mettre bien à l’étroit dans ma ceinture de chasteté, ce qu’elle vit rapidement et qui la fit sourire.
Elle me prit le menton pour me faire la regarder dans les yeux.
- « Fab j’ai besoin que tu te concentres une seconde d’accord ?
- …- Écoute-moi bien. Dans les vidéos dont tu es fan et qu’on a regardé ensemble, il y a un système de communication entre soumis bâillonné et dominant, tu te souviens ? »Je hochais la tête.
- « Montres le moi. »Je donnais rapidement 3 coups de têtes bien marqué de gauche à droite.
- « Très bien. Nous allons utiliser ce signal entre nous d’accord poussin. Si notre jeu devient trop intense, fais ce signe et j’arrêterais pour voir comment tu vas, d’accord ? »Je hochais la tête en essayant d’avoir l’air sur de moi mais je n’étais pas rassuré du tout.
De tous les jeux que nous avions eus jusque-là, elle n’avait jamais ressenti le besoin de me fournir un code pour arrêter. Aujourd’hui, elle insistait dessus.
Pendant que j’étais perdu dans mes pensées à essayer d’anticiper ce qui allait m’arriver, elle activait la moulinette du porte parasol qui servait à faire monter la toile. En quelques secondes, j’étais suspendu par les poignets attachés, les jambes dans le vide. Heureusement, c’était une position pas trop inconfortable avec les bracelet épais et molletonnés.
Elle m’attacha les jambes entre elles avec une corde au niveau des chevilles et les immobilisa en position repliées avec une seconde corde. Enfin, elle attacha une petite cordelette à mes gros orteils de chaque pied qu’elle tendit au maximum avec celle qui me maintenait les jambes repliées. J’avais donc les genoux vers le bas et les pieds collés entre eux et tendus à plat un peu en dessous de mes fesses.
Elle alla s’installer dans le transat et m’observa pour juger son travail, l’air satisfait. Avec le vent léger, je tournais tout doucement sur moi-même ce qui lui permit de m’observer sur toutes les coutures sans avoir à se lever. Quand je me retrouvai dos à elle, je l’entendis fouiller dans le fourbis sous son transat. Quand je basculais face à elle, Léa était allongée dans le transat, les cuisses écartées, à me regarder d’un air extrêmement satisfait. Et là, enfin, elle m’expliqua son plan.
- « Je te dois 4 gages, j’ai choisi de me baser sur le thème des 4 éléments. Tu comprends ? »… Non, pour le coup je comprends pas. C’est de la poésie ou du BDSM ?
- « Tant mieux ça ne m’étonne pas… Tu comprendras bien vite. »
Elle se leva, récupéra sous le transat une grosse pierre accrochée à une chaine qu’elle vint suspendre à l’anneau de ma cage qui enserrait mes couilles. Aïe, c’était bien tendu.
Une pierre. L’élément Terre. Ok, je commençais à vaguement comprendre le concept.
Elle s’installa sur la chaise qui était resté près de moi, mais avec ma rotation sur moi-même je la perdis de vue. Et subitement CLAC ! Je sentis les lanières de cuir d’un martinet s’abattre sur mon cul à en faire trembler mon plug. Elle n’y allait pas de main morte, j’en gémissais encore 30s plus tard. Puis elle l’abattit à nouveau. Entre deux coups, j’entendais un clac régulier du fouet qui claquait dans l’air sans me toucher, qui me faisait tressaillir à chaque fois. C’est l’attente qui était terrible, le bruit des lanières qui scindaient l’air… Merde j’avais compris, l’Air. Elle jouait avec le bruit du martinet pour accentuer ma peur. Mes fesses me faisaient mal à chaque coup, mais finalement ce qui me terrifiait le plus, c’était ce bruit…
Après 3-4 tours sur moi-même, j’avais les fesses et le torse rougis et je gémissais sans discontinuité. Elle grimpa sur sa chaise pour me caresser le visage.
- « Bah alors poussin, ne me dit pas que tu es déjà fatigué quand même… - … - On a à peine commencé »Petit clin d’œil, et c’est reparti.
Elle retourne au transat, me regarde dans les yeux et attends. De mon côté, j’essaye de voir à quelle sauce je vais être mangé mais elle ne fait rien. Puis, quand la rotation la sort de mon champ de vision, elle s’active. J’aurais voulu me débattre pour accélérer la rotation mais avec la pierre attachée à mes bourses, impossible sans donner des à-coups que je ne pensais pas pouvoir supporter. Donc je patientais, me passant 1000 scénarios dans la tête…
Je la senti derrière moi à me caresser les fesses du bout des ongles.
- « Tu as l’air d’avoir chaud quand même mon poussin »C’est vrai qu’avec son terrain de jeu au grand air, on était sous le soleil qui commençait à taper fort. Ça plus la peur et la douleur de la torture passée, mon corps était entièrement recouvert d’une fine pellicule de transpiration. Peut-être était-ce ça l’épreuve du feu ?
- « Attends, je vais te rafraichir ça ira mieux »
Avec un peu de chance, l’épreuve de l’eau consistait uniquement à m’arroser avec le jet. Ça pouvait être un peu stressant étant complètement attaché et bouche grande ouverte, mais pas insurmontable…
Mais à ma grande surprise, elle commença par me retirer mon plug. Qu’est-ce qu’elle comptait faire au juste ? Je commençais à prendre peur, c’était terriblement stressant de la sentir s’activer derrière moi sans savoir quelle allait être ma prochaine torture.
Et là, je sentis le froid me mordre la rondelle encore entre-ouverte et je compris : des glaçons. Non elle ne va pas faire ça quand même ? Et avant d’avoir le temps de faire ou dire quoique ce soit je sentis un cube glacé se faire enfoncer dans mon fondement.
Je criais. Me débattais sans me soucier de la pierre suspendue à mes couilles, tellement même qu’elle tomba au sol. J’essayais de négocier, de la supplier, ce qui sortait comme un gargouillement incompréhensible à travers ma bouche figée en position ouverte. Mais elle restait intransigeante et, un à un, elle me fourrait de glace.
Après un nombre que j’étais incapable de donner, elle s’arrêta. J’avais un petit filet d’eau qui coulait de l’anus sans discontinuité, une sensation peu claire dans le fondement qui oscillait entre froid et chaud (la morsure de la glace donnait une sensation de chaleur par vague). J’avais arrêté de me débattre, je gémissais sans discontinuité avec un filet de bave qui me coulait de la bouche sur le torse, puis au sol.
Je pensais avoir une opportunité pour les éjecter dès qu’elle entra dans mon champ de vision. Malheureusement, avec le froid j’étais tétanisé et je n’arrivais pas à ouvrir l’anus suffisamment pour éjecter un seul glaçon. De toute façon, elle ne m’en laissa pas le temps. Elle me glissa une poignée de glaçon qui lui restait dans ma bouche ouverte et me montra un spéculum et une bougie :
- « C’est bien mon chéri, je suis tellement fière de toi… tu y es presque ».
Presque ? Qu’est-ce qu’elle comptait faire avec ça ? Mon cerveau tournait au ralenti.
- « Il ne te reste plus que l’épreuve du feu. »Elle hésita, puis reprit.
- « Et vu que tu t’es débarrassé de ton épreuve de la terre, je devrais peut-être te trouver une solution de substitution… On verra ça tout à l’heure à la pause. »Quelle pause ??!
Je ne pouvais malheureusement rien dire et me contentais de gémir, de toute façon c’est tout ce que j’arrivais encore à faire. Elle m’embrassa au coin des lèvres, me caressa le torse, et ressorti de mon champ de vision.
Je senti un gel froid contre mon anus, puis l’insertion d’un objet métallique qui venait pousser les glaçons plus loin dans mon fondement : elle m’avait inséré le spéculum. Puis je le senti s’entrouvrir et, avant que de l’eau ne commence à couler, quelque chose fut introduit dedans et une nouvelle fois aujourd’hui, je compris ce qu’elle comptait faire et pris peur… La bougie. Dans mon cul. L’épreuve du feu.
Et là, un gémissement plus fort que les autres, couplés à un gargouillement de l’eau qui s’écoulait de ma gorge et elle comprit que j’avais compris. J’entendis un bruit de briquet, elle passa devant moi me sécher une larme et déposer un baiser sur le bout de ma cage de chasteté, me donna un petit à-coup pour lancer ma rotation et s’installa dans le transat.
Lorsqu’on se retrouva à nouveau face à face, je la trouvais allongée à me regarder droit dans les yeux, la main dans son shorty en train de s’activer, la bouge entre-ouverte dans une position de plaisir. Et je sentis la première goutte de cire. Je gémis, complètement écartelé entre la sensation de froid dans mon cul et de chaud sur mes pieds. Je compris pourquoi elle m’avait attaché les jambes relevées, elle avait prévu ça depuis le début.
A chacun de mes cris, elle gémissait un peu plus fort. Elle sortait régulièrement de mon champ de vision et devais avoir une vue imprenable sur mon cul occupé, sur la cire sur la plante de mes pieds, qui ne la laissait pas indifférente.
J’étais complètement démunis. Le filet de bave, le cul rempli et bouché par une bougie, les gémissements... je pouvais voir à quel point ça l’excitait. Après quelques tours, je commençais à faiblir. Plus de gémissements, les glaçons avaient complètement fondu, la bougie s’était éteinte.
Léa avait enlevé son shorty avant de remettre délicatement les attaches de son porte-jarretelles. Après plusieurs minutes à me regarder sans rien dire, elle se leva et s’approcha de moi.
- « Bon mon chou, il est temps de faire une pause »Je me mis à pleurer doucement. De satisfaction d’arrêter, même temporairement ? de savoir qu’il allait falloir reprendre ? ou simplement les nerfs ? probablement tout ça oui. J’étais dans un autre monde.
Elle me détacha les jambes et me fit descendre doucement en équilibre sur le tabouret. Elle m’essuya délicatement la commissure des lèvres, joua du bout des doigts avec la bave qui avait coulée sur mon torse et pris la parole.
- « Arrête ton cinéma. Tu peux me faire arrêter quand tu veux et tu le sais. Tu veux être là, tu veux me donner du plaisir. Et en échange, tu sais que je vais t’en donner. »
Elle exposait ces vérités sur un ton ferme, même si toute sa gestuelle était pleine d’encouragement et de compassion. Je hochais la tête, ayant un peu repris du poil de la bête.
- « Bon voilà le deal que je vais te faire. Je vais encore jouer un peu avec toi. Si tu jouis sans ma permission, on reprendra pour l’acte 2. Si tu résistes pendant 10 minutes, on passera l’acte 2 et on aura fini pour l’épreuve de la matinée… tu es d’accord ?
Nouveau hochement de tête de ma part.
Elle commença par m’enlever ma cage de chasteté. Elle s’apprêtait à m’enlever le speculum que j’avais planté dans le cul quand elle releva la tête comme si elle venait d’avoir une idée.
- « Autre chose : si tu libères une goutte d’eau qu’il y a dans ton cul sans mon autorisation, je te punis encore plus fort pour l’acte 2 c’est clair ? ».
Et elle me retira le spéculum d’un coup avant de commencer à me branler. Je compris tout de suite que c’était un combat perdu d’avance. Elle s’appliquait beaucoup trop, me donnais de petit coup de langue sur le gland, gémissait, me caressait les bourses… Elle voulait me faire basculer et ça se voyait clairement dans ces yeux espiègles. Elle avait installé sur le siège à côté d’elle un timer sur son portable, je pouvais voir clairement le temps s’écouler au ralenti pour ma plus grande frustration. Enfin frustration n’était probablement pas le bon mot vu ma situation actuelle.
Elle avait dit 10 minutes. Au bout de 4, je n’en pouvais plus. J’ai d’abord cru que me concentrer sur l’eau dans mon cul allait me permettre de tenir, mais ma retenue devint naturelle et je me retrouvai vite à n’avoir que sa masturbation sur laquelle me concentrer.
Lorsqu’elle vit que j’étais sur la fin, elle accéléra. Elle me regardait droit dans les yeux avec un air extrêmement concentré : elle cachait quelque chose. Lorsque je fus sur le point de jouir, elle arrêta sec. Je grognais frustrer, mais satisfait : l’horloge passait à 5 minutes. Mais elle reprit et à nouveau, au bord de l’orgasme, elle m’amena un tout petit peu plus loin avant d’arrêter. Elle recommença son petit manège une troisième fois mais là, elle trouva le point exact : au moment où elle s’arrêta, j’avais passé la barrière mais pas assez. Je sentis donc mon pénis se contracter, je me sentis éjaculer mais n’en tira aucun plaisir. En plus de ça, au moment de l’orgasme (qui n’en était pas un), j’ai perdu le contrôle de mon sphincter et un jet d’eau s’échappa de mon cul sans discontinuer.
J’étais penaud, je gémissais, essayait de me débarrasser de mes attaches. Léa avait un sourire moqueur, me donna une tape sur la bite encore dressée avant de me réprimander :
- « Tu as finis de couiner oui ? je t’ai donné une chance, c’est déjà bien. Non seulement tu n’as pas réussi à la saisir, mais tu as brisé les deux règles que j’avais fixé. Je vais donc bien profiter du deuxième acte tu peux me croire ! »
Et en ignorant mes grognements elle commença par me bander les yeux d’un masque noir qui ne laissait passer aucune lumière. Elle m’attacha ensuite une barre d’écartement et m’éleva à nouveau pour que je sois suspendu par les bras.
L’acte 2 allait commencer.
Léa commença par me passer un cockring double qui prenait le pénis et les testicules séparément, puis le mis à vibrer. Apparemment, elle ne voulait pas perdre mon érection. Puis, elle m’enfonça à nouveau le spéculum dans mon anus. Seulement cette fois, elle l’écarta et n’en boucha pas l’entrée. Je pouvais sentir l’air s’engouffrer dans mon fondement… l’air, on était à nouveau sur ces saletés d’éléments.
J’eu soudain une réalisation, en l’entendant s’affairer autour de moi. Elle savait depuis le début que je ne résisterais pas son épreuve intermédiaire. Elle avait tout prévu, même de me donner l’espoir que ça s’arrête de manière anticipée… Elle était rentrée dans ce rôle de dominatrice pour répondre à mon fantasme mais dans le fond, elle s’y plaisait peut-être plus que moi.
Sur ces réflexions, je l’entendis partir en direction de la forêt en bordure du terrain de jeu. J’avais chaud sous le soleil qui tapait de plus en plus fort, j’étais à nouveau recouvert d’une pellicule de transpiration. Je sentais le vent s’inviter dans ma bouche grande ouverte, dans mon fondement. J’en déduis, plein d’espoir, que si le thème de la phase 2 était toujours sa connerie des 4 éléments, au moins j’en avais déjà éliminé 2.
Je la senti soudain me caresser les fesses : elle était revenue. Elle me déposa un baiser sur le bout de la bite, puis elle s’éloigna et j’entendis le bruit du tuyau d’arrosage qui se faisait dérouler. Je fus soudain rassuré : se faire arroser n’était pas trop désagréable comme traitement et au moins j’aurais moins chaud.
Cependant, à ma grande surprise, je ne recevais pas d’eau… Qu’est-ce qu’elle pouvait bien être en train de préparer ? Elle m’attacha différentes lanières autour de la taille et des cuisses, avec un contrepoids au niveau de mes fesses. J’étais paumé. Ça ressemblait à un gode ceinture, mais qu’elle m’aurait mis à l’envers ! Et puis je pris conscience d’une chose : je ne sentais plus d’air s’engouffrer dans le spéculum. Je compris ce qu’elle comptait faire. Je me mis à me débattre et à gémir, à essayer d’enlever mon masque, mon bâillon, mes attaches, tout quoi ! Mais tout était solidement attaché et rien ne bougea.
- « Tout vas bien mon chou, ce sera bientôt fini et tu seras tout propre ».
Et elle ouvrit légèrement le robinet du tuyau d’arrosage. Je sentis un filet d’eau envahir mon fondement sans discontinuer et s’écouler au fur à mesure. C’était terrible comme sensation, indescriptible. Privé de ma vue, je ne pouvais me concentrer que là-dessus. Seulement elle n’avait pas fini. Je la senti frotter des feuilles contre mon cul et entre mes bourses et mon anus.
Zone qui se mit soudain à chauffer. Beaucoup. A me démanger. Comme si j’étais passé dans… Non elle n’a pas fait ça. Des orties. Non. Ah la salope ! Merde elle venait de me frotter le cul avec des orties. Son sadisme était devenu hors de contrôle. Elle me caressa les fesses du bout des doigts et je me mis à crier sans discontinuité dans mon bâillon. J’étais envahi par des sentiments paradoxaux qui se résumé en deux catégories : c’était trop et je ne veux pas arrêter si près du but. Donc je me débattais et criais, mais je refusais de faire mon signal d’alerte. Elle dû le ressentir car elle monta sur la chaise pour me chuchoter à l’oreille en m’embrassant partout :
- « Tu es si près du but je suis tellement fière de toi… Fais-moi jouir et tout s’arrête. »
Là-dessus, elle enfonça dans ma bouche ouvert un objet que je reconnus plus tard être le plug lavé, désinfecté et parfumé avant de le gonfler pour étouffer mes cris. Puis, elle me fit tourner sur moi-même et s’éloigna.
La faire jouir, elle est marrante mais comment ?? De toute façon entre l’inconfort dans mon cul, mes fesses qui me brulent, mon corps qui chauffe, le vent, les effets de la phase précédente, je ne pouvais rien faire. Paradoxalement, j’avais une érection monstrueuse dans mon cockring vibrant.
Je l’entendis gémir par-dessus le bruit du tuyau d’arrosage et mes couinements étouffé. Elle avait recommencé à se masturber. Et à entendre ses cris, ma position l’excitait énormément. Elle me faisait des commentaires. M’encourageait. Se moquait par moment aussi. Et après 5 minutes de ce traitement, je l’entendis jouir sur un :
- « Vas-y Fab, tu es à moi, je fais ce que je veux de toi, souffres pour ta maitresse » … etc…
Elle avait joui.
Je sentis soudain l’eau s’arrêter de couler. On entendait plus que mes cris étouffés et mes pleurs. Je me sentis descendre doucement jusqu’à avoir les pieds au sol, qui de toute façon ne me portaient pas. Je la sentis comme dans une transe m’appliquer une pommade sur mes zones en feu pour apaiser les douleurs. L’effet fut instantané et je poussais un long soupir de soulagement. Elle me libéra du plug, du bâillon et de la barre d’écartement. Elle me massa les fesses une deuxième fois mais tous les effets des orties avaient déjà disparu. Elle me détacha les mains pour me les rattacher dans le dos et me fis m’assoir sur le tabouret. Il ne me restait plus que mon cockring qui maintenait mon érection, mon bandeau, mon collier avec ma laisse et mes menottes en cuir.
- « Il te reste une épreuve tu sais… » Je ne compris pas tout de suite. Qu’est-ce qu’elle allait encore me faire ?? Et puis j’avais l’impression d’en avoir subi 1000 des épreuves. Cela dit, en y repensant, il y avait bien eu 3 épreuves : la phase 1, le test pour déterminé si on continuait (qui était une épreuve en elle-même puisque le jeu était truqué pour que je perde) et la phase 2.
J’avais peur. Je n’osais pas bouger. J’allais devoir lui demander d’arrêter si elle attaquait à nouveau comme ce qu’elle venait de me faire subir. Je sentis un à-coup sur ma laisse.
- « Suis moi… »
Je la suivais en silence, n’osant pas la supplier de m’épargner cette dernière épreuve. On ne marcha pas bien longtemps mais chaque pas était mal assuré, je tâtonnais du bout du pied pour être sûr de ne pas m’étalé… Être privé de ma vue dans ce contexte était déjà une torture à part entière. On finit par s’arrêter. J’attendais, tendu comme un « i », de savoir ce qui allait m’arriver. Puis elle enleva mon masque.
Je clignais des yeux en accélérer pour m’habituer à la lumière, comprendre au plus vite mon environnement. Elle était juste devant mon, assise sur le bord du transat. Elle était penchée en arrière, les cuisses écartées, se tenant en équilibre sur ses coudes, la tête relevée, la tresse tombant entre ces seins. Elle ne portait plus que ses bottes, ses bas, son porte-jarretelles et ses longs gants.
- « Tu as bien mérité un peu de répit » me dit-elle, « ta dernière épreuve est simplement de me faire jouir »
J’étais abasourdi. Après tous ces traitements, mon cerveau fonctionnait en mode sans échec. Et là, clairement, on était face à une situation qu’il n’arrivait pas à compiler.
- « Tu as peut-être besoin que je te montre comment faire ? Parce que l’autre option c’est que je relance un peu de torture et je me débrouille moi-même en te regardant te débattre tu sais… »
Là, face à la menace, mon cerveau se mis à calculer à grande vitesse. Je m’agenouillais et me glissait en elle sans le moindre effort. Elle poussa un long soupir et d’une injonction m’ordonna d’arrêter de bouger. Elle s’avança pour s’enfoncer au maximum et sentir la partie vibrante de mon cockring contre son clitoris. Elle posait son pied contre mon épaule et, d’une poussé progressive, marqua le rythme pour que je sorte doucement d’elle. Lorsque le contact avec son pied fut rompu, elle tira sur ma laisse et je m’enfonçai à nouveau en elle. Puis on recommença ce manège.
Avec son alternance pied/laisse elle fixait le rythme, mais c’était moi qui faisait le travail. C’était terriblement excitant. Elle me regarda droit dans les yeux et me tira jusqu’à ce que mon visage soit à quelques millimètres du sien. Nos sexes étaient collés et vibrant l’un contre l’autre. Elle me tenait par le cou en serrant très légèrement et haletait à quelques millimètres de ma bouche. Je crevais d’envie de l’embrasser et elle le savait.
- « Je ne pensais pas que j’arriverais à te dompter aussi facilement ».
Juste ça, entre 2 soupirs. Après toute les tortures que je venais subir, cette réalisation faisait mal : depuis quand j’étais un animal docile moi ? Elle savait que j’étais autant attiré par la domination que la soumission, que je n’étais pas un soumis dans l’âme, « oui-maitresse-merci-maitresse » à me faire écraser les couilles sans aucune compensation 3 fois par jours dimanche compris.
Dans le fond, je ne ressentais presque rien des 2h de tortures de la matinée. Elle a joué avec mon mental encore plus que mon corps. Et là, elle m’adressait une ultime provocation visant à éprouver mon statut de soumis occasionnel ou à me faire basculer psychologiquement dans une position de soumis total. J’avais une poussée de fierté et une envie de rébellion qui poussait en moi à la dernière seconde.
Je vis son regard changé. Elle avait dû voir dans mes yeux mon épiphanie d’avant l’orgasme.
Je dégageais son pied d’un coup d’épaule et me mis à la pilonner aussi fort que possible. Avec la surprise, elle n’eut pas le temps de se dégager ou de reprendre le contrôle avant d’être embarquée dans son orgasme, suivie de près par moi.
Je venais de lui voler sa jouissance. J’avais survécu au 4 épreuves, en avait tiré du plaisir puisque cet orgasme, je dois bien l’avouer, était comparable à perdre le contrôle dans une vague déferlante. J’avais bu la tasse, et elle aussi.
Lorsque les premières vagues de plaisir furent passer et que les dernières, plus diffuses, s’écoulaient lentement, je lu de la surprise dans ses yeux. Apparemment, elle pensait vraiment m’avoir maté.
Puis, je pu lire de la satisfaction.
- « Dans le fond, j’espérais que ça ne soit pas aussi facile. »
A suivre…
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