Soumission et éducation
Récit érotique écrit par Nelson52 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soumission et éducation
Dans mon dernier récit, Léa, ma deuxième belle-sœur avait emménagé chez nous :
http://www.histoires-de-sexe.net/premium/histoires/lire.php?histoire=19299
Comme je vous l'avais dit, je la laissai dormir.
Le lendemain matin, alors que Béatrice dormait, je préparai le petit déjeuner des enfants ainsi que celui de Léa en prenant soin de glisser un billet de 50E sous son bol de céréales.
Les enfants devaient prendre le bus pour l'école et nous laisser tranquille toute la journée. Je m'imaginais déjà en train de lécher le corps de Léa dans ses moindres recoins et cette idée me faisait bander comme un fou alors que je disais bonjour aux gens que je croisais à l'arrêt de bus. Pas de blabla aujourd'hui, il fallait que je rentre assouvir mes désirs de pervers.
Léa était en train de prendre son petit déjeuner. Je la saluai en évitant de parler trop fort.
Nelson : Bonjour Léa. Bien dormi ?
Léa : Salut. Oui et toi ?
N : Ouais...
Je m'approchai d'elle pour lui faire la bise. Elle fut surprise quand je saisi son visage un court instant pour l'embrasser sur la bouche. Elle dut comprendre tout de suite qu'elle allait devoir donner de sa personne.
L : Faut qu'on parle...
N : Bien sur.
L : Tu vas vouloir me baiser le matin et le soir ?
N : Oui...
L : Ça me gène trop que ma soeur soit juste à coté.
N : Finis de manger et on ira en parler tranquillement au sous sol.
Léa prit son temps pour me rejoindre. Elle fit sa toilette et passa une robe. Elle était trop belle. Elle semblait encore toute gênée et honteuse de notre première soirée. Elle s'adossa contre un pilier et attendit que je prenne la parole.
N : J'attends de toi une parfaite obéissance. Je veux que tu fasses ce que je te demande sans réfléchir et dans la seconde, d'accord ?
Léa ne répondit pas mais son regard me dit qu'elle avait compris ce que j'attendais d'elle. Elle pencha la tête sur le coté comme pour dire "ok alors j'imagine que tu vas vouloir commencer maintenant". Je décidai donc de vérifier son degrés de soumission.
N : Déshabilles toi !
Léa s'exécuta sans rien dire. Elle retira sa robe et ses sous vêtements pour les poser au sol. Je m'approchai d'elle pour l'embrasser à pleine bouche. Léa m'accompagna en sortant sa langue de sa bouche. Mes mains avaient gagné ses petites fesses bien fermes que j'écartai au maximum. Mes doigts fouillaient ses deux petits trous. Je me mis à genoux face à elle pour explorer ces trous avec ma langue. Léa était toujours adossée au pilier et elle avait levé une jambe pour la poser sur une table qui trainait dans mon sous sol.
N : Écartes ta chatte avec tes doigts !
Ma langue pénétrait sa fente au maximum et lorsque qu'elle me faisait trop de crampe, j'aspirais son clitoris. Au bout de quelques minutes, je me redressai pour l'embrasser de nouveau, en lui prenant le visage dans les mains. Léa avait placé ses mains sur ma taille et collé son bassin contre le mien.
Je saisis son corps tout léger pour l'allonger sur la table.
N : Maintenant je vais te faire l'amour.
Mon pantalon et mon boxer tombèrent sur le sol et mon sexe se planta sans attendre dans sa chatte. Je la limai doucement en la fixant des yeux. Elle, elle les avait fermé et sa bouche entrouverte laissait s'échapper des petits soupirs. J'accélérai la cadence tout en tirant son bassin vers moi à chaque va et viens. Je la pénétrais à fond. Léa soufflait de plus en plus fort jusqu'à laisser sortir un petit cri étouffé.
N : T'as joui hein... Ça va être à mon tour !
Je me retirai rapidement et je fis tourner Léa à 180 degrés pour lui mettre la tête au niveau de ma queue. Elle fut surprise car durant l'opération, la nappe tourna aussi et un cartonde publicité tomba par terre.
N : Maintenant baisses ta tête pour que je puisse rentrer ma queue dans ta bouche. J'en ai pas pour longtemps.
Léa subit mes coups de reins à peine dix secondes. Je finis par me masturber en dehors de sa bouche pour éjaculer sur son front. Je devais vraiment être excité car la quantité de sperme était assez énorme. Je saisis la nuque de Léa pour l'accompagner de nouveau dans l'autre sens. Léa se relâcha complètement avant d'avoir tourné en entier. Elle s'allongea sur la table, le corps tourné vers moi. Elle avait le visage rouge d'avoir eu la tête à l'envers. Le sperme ressortait vraiment bien. Je la trouvais magnifique.
L : Ça va être comme ça tous les jours ?
N : Dès que l'occasion se présentera, Léa. Tu as trouvé ça comment ?
L : ... Spécial... C'est la première fois qu'on me gicle à la figure comme ça...
N : C'est ce que je préfère, va falloir t'habituer.
L : Mouais...
N : Je vais faire de toi une experte en la matière. Et quand tu seras formée, les mecs avec qui tu coucheras ne voudront plus jamais te lâcher. A la fin, ça deviendra un réflexepour toi d'être une cochonne.
L : D'accord...
Après avoir nettoyé son visage, Léa remit sa robe. Je lui expliquai qu'elle devrait bannir ses sous vêtements de sa garde robe. Je lui autorisai à en mettre sous ses nuisettes lorsque Béatrice passait la soirée avec nous. Pour ne pas éveiller les soupçons, elle devrait frotter une culotte sur son cul chaque jour, avant de la jeter au linge sale. Et bien sur, elle devrait à tout moment me montrer son corps sur mon ordre.
Je lui laissai sa journée libre excepté quelque baiser langoureux. Léa me demanda d'ailleurs si j'étais amoureux d'elle pour m'embrasser comme cela. Elle fut surprise de m'entendre dire que même si profitais clairement de son corps, je tenais à elle comme à sa soeur. C'était un amour impossible que je rendais possible par mon chantage... chantage qui ne me paraissait plus si flagrant que la veille... Sans osé lui demander confirmation, je me demandais vraiment comment elle considérait notre relation... compliquée.
Le soir arriva lentement. J'étais impatient de me retrouver seul avec Léa pour commencer son éducation. Je savais que c'était la dernière nuit de travail de Béatrice avant une semaine de repos. Il fallait que j'approfondisse le comportement de base qu'elle devait adopter.
Le moment venu, nous nous sommes enfermés dans sa chambre.
N : Bien... avant de commencer quoi que ce soit, je voudrais discuter un peu avec toi de ton expérience, ce que tu as déjà fait, ce que tu n'aimes pas, ce qui te fait peur, etc...
L : Je m'attendais pas à ça ...
N : Je peux pas faire de toi mon experte particulière si je ne sais rien de toi.
L : Je sais pas par où commencer moi aussi... Tu me prends au dépourvu là !
N : Ok alors je vais t'aiguiller. Qu'est ce que tu as déjà fait avec un mec avant moi ?
L : Heu... j'ai fait l'amour avec mon dernier ex... et je l'ai sucé.
N : C'est tout ? Et comment vous avez fait ? Tu l'as sucé avant ou après comme on a fait ?
L : Non avant, il n'a jamais pensé à me faire sucer après ...
N : Ok, classique quoi. Et alors du coup qu'est ce que tu connais des pratiques faisables, et qu'est ce que tu ne voudrais jamais faire, par exemple ?
L : Ben déjà, je dois dire que ça m'a un peu dégouté, au début, de te sucer alors que tu venais de me baiser...
Mais ça va encore. C'est comme le sperme dans la bouche. Je pense que ce serait peut être plus facile d'en avaler des petites quantités.
N : D'accord, je vois que tu n'as pas de difficulté pour en parler, c'est bien. Et ce qui te fait peur ? Ce qui te dégouterait vraiment ?
L : ... La sodomie me fait peur... Mais j'imagine que je vais y avoir droit ?
N : Oui mais je ferais tout pour que cela se passe bien, et tu verras, tu y trouveras même du plaisir aussi. Après rassures toi je te demanderai pas tout le temps.
L : Ok... Mais de toute façon je devrais t'obéir, hein ?
N : Tu apprends vite.
L : Et j'imagine que tu voudras me faire sucer après...
N : J'avoue que je serais curieux de voir une femme me faire ça, mais je ne te le demanderai jamais. Pour en finir avec le sujet de l'anal, je me contenterai de lécher ton petit trou, comme l'autre fois. Tu es contente ?
Léa sembla être rassurée. J'avais bien senti la veille que cette pratique l'avait tétanisé. Même Béatrice ne me laissait pas faire sans s'être administrée un bon lavement. Je lui expliquai d'ailleurs qu'elle allait devoir se familiariser avec cet instrument. Je la rassurai aussi sur l'hygiène. Si cela ne me gênait de lui faire un cunnilingus au petit matin, je ne lui présenterai jamais de force mon sexe avant de l'avoir nettoyé. Le seul aspect "sale" était bien évidement la fellation après la pénétration vaginale, uniquement. Je fini par lui exposer que j'envisagerai un peu d'urologie mais uniquement elle sur moi et dans la douche, pour essayer.
Léa était maintenant fixée sur les limites de notre relation.
L : Bon d'accord. Et les jours de règles, on fait comment ? J'aurais le droit de garder ma culotte ?
Elle pensait à tout...
Après lui avoir accordé une dispense de sexe durant ses jours de règles, je la mis nue moi même. Il fallait que je mette son éducation un instant de coté pour la baiser comme une salope.
Je lui expliquai au passage qu'il ne fallait surtout pas perdre de temps pendant mes pulsions. Léa me suça donc de manière rapide et appuyée. J'en profitai pour lui apprendre la façon dont elle devait fixer son partenaire pour l'exciter bien comme il fallait. La façon de sortir mon sexe pour le branler ou le taper sur sa joue. Les gémissements. Les phrases...
Léa était une bonne élève. Elle me le prouva en prenant une initiative qui me plut.
L : Aller vas y, j'suis ta p'tite salope ! Craches moi dessus ! Vas y donnes moi tout !
Léa récita sa leçon en y mettant du cœur à l'ouvrage. Si elle faisait la comédie comme une actrice de X, en tout cas on aurait vraiment cru qu'elle avait hâte de se faire recouvrir de sperme. Elle alternait fellation et branlette devant sa bouche ouverte et elle avait glissé une main entre ses jambes pour ensuite porter ses doigts à sa bouche. Ça, je ne lui avait pas demandé et c'est ce qui déclencha mon éjaculation. Léa ferma les yeux et dirigea les jets partout sur son visage et sa langue, en gémissant avec moi.
N : Et ben pour une première leçon, tu fais un sans faute !
L : C'est vrai ? Ça t'a plu ?
N : Refais voir ce que tu as fait avec ta chatte.
Léa recommença en prenant la peine de faire glisser un peu de sperme dans sa bouche qu'elle avait au bord des lèvres. Il est évident que cette petite se découvrait une passion pour le sexe. Elle se frotta la chatte un moment jusqu'à se faire jouir. Elle finit par se laisser tomber sur le lit. Je lui nettoyai le visage et je me couchai à coté d'elle. Nous nous sommes réveillés en sursaut vers 4h du matin. Il ne fallait surtout pas que Béatrice nous découvre en rentrant du boulot !
Je pris Léa en missionnaire, contrôlé par une nouvelle pulsion. De son coté, Léa n'était pas passive non plus. Elle accompagnait mes coups de reins par des petits gémissements. Elle me surpris une fois de plus en me lâchant un petit "bouffes moi la chatte s'te plait". Je lui soulevai donc ses petites fesses légères pour approcher sa fente de ma bouche. J'entrepris un cunnilingus de malade. Léa avait placé ses jambes sur mes épaules et bougeait son petit cul de haut en bas, à toute vitesse. J'en avais même du mal à continuer son cuni. Elle était déchainée et elle fini par jouir à un moment où ma bouche était plaquée sur sa chatte. Elle n'était pas femme fontaine mais je sentis tout de même un petit écoulement de cyprine dans ma bouche. Cela me rendis encore plus fou.
N : Attends ma p'tite salope, je vais te remplir la bouche aussi !
Léa, épuisée, se laissa de nouveau tomber sur le lit. Je me plaçai alors devant sa bouche, sur le coté. Léa se tourna pour enfourner ma queue dans sa bouche. Je pris ses mains pour les placer de chaque coté de mes fesses et je la pistonnai fermement. Ma main droite avait gagné sa chatte et son cul. Ses jambes bien écartées et fines me permettaient de lui glisser un doigt dans chaque trou. Et je lui baisai la bouche toujours aussi fort. Léa criait en silence, étouffée par ma queue. C'était sa première gorge profonde. Elle se libéra pour me prévenir qu'elle n'en pouvait plus. C'est alors que j'éjaculai sur son visage.
L : Oui ! Je préfère comme ça ! Vas y !
Je m'écroulai de plaisir...
Léa, elle, se leva aussitôt pour courir à la salle de bain. Elle fit couler l'eau du lavabo et elle toussait très fort. Elle revenu toute propre en expliquant qu'elle avait faillit vomir.
Elle semblait tout de même satisfaite de notre parti de baise intense.
L : Je crois que ça y est maintenant, je suis une vraie salope ?
N : Presque ma chérie, presque. C'était bien hard comme il faut ! Mais il te reste encore des choses à savoir pour m'exciter encore plus.
L : Ah oui et c'est quoi ?
N : L'exib.
L : Ah... Çà... Çà doit pas être pire que ce se prendre une bite au fond de la gorge. (Léa m'impressionnait de parler de cette façon, elle était en train de changer)
N : Non c'est moins physique mais y'a du challenge quand même ! Aller sur ce, je dois aller me recoucher dans mon lit. Présentes moi ton petit cul que je lui dise bonne nuit.
Léa se tourna et se mit les fesses en l'air, bien écartées. Ma langue passa bien dans toute sa raie bien parfumée. Elle se retourna pour recevoir son dernier baiser. Après s'être encore emballer quelques minutes, nous nous échangeâmes un "bonne nuit" et je regagnai ma chambre. Il était 5h30 du matin.
Cette nuit fut magique. Nous en reparlons encore souvent quand nous passons des soirées câlins. Et oui... Ils nous arrivent de nous comporter comme un vieux couple amoureux mais c'est toujours pour finir en baise digne d'un film porno...
http://www.histoires-de-sexe.net/premium/histoires/lire.php?histoire=19299
Comme je vous l'avais dit, je la laissai dormir.
Le lendemain matin, alors que Béatrice dormait, je préparai le petit déjeuner des enfants ainsi que celui de Léa en prenant soin de glisser un billet de 50E sous son bol de céréales.
Les enfants devaient prendre le bus pour l'école et nous laisser tranquille toute la journée. Je m'imaginais déjà en train de lécher le corps de Léa dans ses moindres recoins et cette idée me faisait bander comme un fou alors que je disais bonjour aux gens que je croisais à l'arrêt de bus. Pas de blabla aujourd'hui, il fallait que je rentre assouvir mes désirs de pervers.
Léa était en train de prendre son petit déjeuner. Je la saluai en évitant de parler trop fort.
Nelson : Bonjour Léa. Bien dormi ?
Léa : Salut. Oui et toi ?
N : Ouais...
Je m'approchai d'elle pour lui faire la bise. Elle fut surprise quand je saisi son visage un court instant pour l'embrasser sur la bouche. Elle dut comprendre tout de suite qu'elle allait devoir donner de sa personne.
L : Faut qu'on parle...
N : Bien sur.
L : Tu vas vouloir me baiser le matin et le soir ?
N : Oui...
L : Ça me gène trop que ma soeur soit juste à coté.
N : Finis de manger et on ira en parler tranquillement au sous sol.
Léa prit son temps pour me rejoindre. Elle fit sa toilette et passa une robe. Elle était trop belle. Elle semblait encore toute gênée et honteuse de notre première soirée. Elle s'adossa contre un pilier et attendit que je prenne la parole.
N : J'attends de toi une parfaite obéissance. Je veux que tu fasses ce que je te demande sans réfléchir et dans la seconde, d'accord ?
Léa ne répondit pas mais son regard me dit qu'elle avait compris ce que j'attendais d'elle. Elle pencha la tête sur le coté comme pour dire "ok alors j'imagine que tu vas vouloir commencer maintenant". Je décidai donc de vérifier son degrés de soumission.
N : Déshabilles toi !
Léa s'exécuta sans rien dire. Elle retira sa robe et ses sous vêtements pour les poser au sol. Je m'approchai d'elle pour l'embrasser à pleine bouche. Léa m'accompagna en sortant sa langue de sa bouche. Mes mains avaient gagné ses petites fesses bien fermes que j'écartai au maximum. Mes doigts fouillaient ses deux petits trous. Je me mis à genoux face à elle pour explorer ces trous avec ma langue. Léa était toujours adossée au pilier et elle avait levé une jambe pour la poser sur une table qui trainait dans mon sous sol.
N : Écartes ta chatte avec tes doigts !
Ma langue pénétrait sa fente au maximum et lorsque qu'elle me faisait trop de crampe, j'aspirais son clitoris. Au bout de quelques minutes, je me redressai pour l'embrasser de nouveau, en lui prenant le visage dans les mains. Léa avait placé ses mains sur ma taille et collé son bassin contre le mien.
Je saisis son corps tout léger pour l'allonger sur la table.
N : Maintenant je vais te faire l'amour.
Mon pantalon et mon boxer tombèrent sur le sol et mon sexe se planta sans attendre dans sa chatte. Je la limai doucement en la fixant des yeux. Elle, elle les avait fermé et sa bouche entrouverte laissait s'échapper des petits soupirs. J'accélérai la cadence tout en tirant son bassin vers moi à chaque va et viens. Je la pénétrais à fond. Léa soufflait de plus en plus fort jusqu'à laisser sortir un petit cri étouffé.
N : T'as joui hein... Ça va être à mon tour !
Je me retirai rapidement et je fis tourner Léa à 180 degrés pour lui mettre la tête au niveau de ma queue. Elle fut surprise car durant l'opération, la nappe tourna aussi et un cartonde publicité tomba par terre.
N : Maintenant baisses ta tête pour que je puisse rentrer ma queue dans ta bouche. J'en ai pas pour longtemps.
Léa subit mes coups de reins à peine dix secondes. Je finis par me masturber en dehors de sa bouche pour éjaculer sur son front. Je devais vraiment être excité car la quantité de sperme était assez énorme. Je saisis la nuque de Léa pour l'accompagner de nouveau dans l'autre sens. Léa se relâcha complètement avant d'avoir tourné en entier. Elle s'allongea sur la table, le corps tourné vers moi. Elle avait le visage rouge d'avoir eu la tête à l'envers. Le sperme ressortait vraiment bien. Je la trouvais magnifique.
L : Ça va être comme ça tous les jours ?
N : Dès que l'occasion se présentera, Léa. Tu as trouvé ça comment ?
L : ... Spécial... C'est la première fois qu'on me gicle à la figure comme ça...
N : C'est ce que je préfère, va falloir t'habituer.
L : Mouais...
N : Je vais faire de toi une experte en la matière. Et quand tu seras formée, les mecs avec qui tu coucheras ne voudront plus jamais te lâcher. A la fin, ça deviendra un réflexepour toi d'être une cochonne.
L : D'accord...
Après avoir nettoyé son visage, Léa remit sa robe. Je lui expliquai qu'elle devrait bannir ses sous vêtements de sa garde robe. Je lui autorisai à en mettre sous ses nuisettes lorsque Béatrice passait la soirée avec nous. Pour ne pas éveiller les soupçons, elle devrait frotter une culotte sur son cul chaque jour, avant de la jeter au linge sale. Et bien sur, elle devrait à tout moment me montrer son corps sur mon ordre.
Je lui laissai sa journée libre excepté quelque baiser langoureux. Léa me demanda d'ailleurs si j'étais amoureux d'elle pour m'embrasser comme cela. Elle fut surprise de m'entendre dire que même si profitais clairement de son corps, je tenais à elle comme à sa soeur. C'était un amour impossible que je rendais possible par mon chantage... chantage qui ne me paraissait plus si flagrant que la veille... Sans osé lui demander confirmation, je me demandais vraiment comment elle considérait notre relation... compliquée.
Le soir arriva lentement. J'étais impatient de me retrouver seul avec Léa pour commencer son éducation. Je savais que c'était la dernière nuit de travail de Béatrice avant une semaine de repos. Il fallait que j'approfondisse le comportement de base qu'elle devait adopter.
Le moment venu, nous nous sommes enfermés dans sa chambre.
N : Bien... avant de commencer quoi que ce soit, je voudrais discuter un peu avec toi de ton expérience, ce que tu as déjà fait, ce que tu n'aimes pas, ce qui te fait peur, etc...
L : Je m'attendais pas à ça ...
N : Je peux pas faire de toi mon experte particulière si je ne sais rien de toi.
L : Je sais pas par où commencer moi aussi... Tu me prends au dépourvu là !
N : Ok alors je vais t'aiguiller. Qu'est ce que tu as déjà fait avec un mec avant moi ?
L : Heu... j'ai fait l'amour avec mon dernier ex... et je l'ai sucé.
N : C'est tout ? Et comment vous avez fait ? Tu l'as sucé avant ou après comme on a fait ?
L : Non avant, il n'a jamais pensé à me faire sucer après ...
N : Ok, classique quoi. Et alors du coup qu'est ce que tu connais des pratiques faisables, et qu'est ce que tu ne voudrais jamais faire, par exemple ?
L : Ben déjà, je dois dire que ça m'a un peu dégouté, au début, de te sucer alors que tu venais de me baiser...
Mais ça va encore. C'est comme le sperme dans la bouche. Je pense que ce serait peut être plus facile d'en avaler des petites quantités.
N : D'accord, je vois que tu n'as pas de difficulté pour en parler, c'est bien. Et ce qui te fait peur ? Ce qui te dégouterait vraiment ?
L : ... La sodomie me fait peur... Mais j'imagine que je vais y avoir droit ?
N : Oui mais je ferais tout pour que cela se passe bien, et tu verras, tu y trouveras même du plaisir aussi. Après rassures toi je te demanderai pas tout le temps.
L : Ok... Mais de toute façon je devrais t'obéir, hein ?
N : Tu apprends vite.
L : Et j'imagine que tu voudras me faire sucer après...
N : J'avoue que je serais curieux de voir une femme me faire ça, mais je ne te le demanderai jamais. Pour en finir avec le sujet de l'anal, je me contenterai de lécher ton petit trou, comme l'autre fois. Tu es contente ?
Léa sembla être rassurée. J'avais bien senti la veille que cette pratique l'avait tétanisé. Même Béatrice ne me laissait pas faire sans s'être administrée un bon lavement. Je lui expliquai d'ailleurs qu'elle allait devoir se familiariser avec cet instrument. Je la rassurai aussi sur l'hygiène. Si cela ne me gênait de lui faire un cunnilingus au petit matin, je ne lui présenterai jamais de force mon sexe avant de l'avoir nettoyé. Le seul aspect "sale" était bien évidement la fellation après la pénétration vaginale, uniquement. Je fini par lui exposer que j'envisagerai un peu d'urologie mais uniquement elle sur moi et dans la douche, pour essayer.
Léa était maintenant fixée sur les limites de notre relation.
L : Bon d'accord. Et les jours de règles, on fait comment ? J'aurais le droit de garder ma culotte ?
Elle pensait à tout...
Après lui avoir accordé une dispense de sexe durant ses jours de règles, je la mis nue moi même. Il fallait que je mette son éducation un instant de coté pour la baiser comme une salope.
Je lui expliquai au passage qu'il ne fallait surtout pas perdre de temps pendant mes pulsions. Léa me suça donc de manière rapide et appuyée. J'en profitai pour lui apprendre la façon dont elle devait fixer son partenaire pour l'exciter bien comme il fallait. La façon de sortir mon sexe pour le branler ou le taper sur sa joue. Les gémissements. Les phrases...
Léa était une bonne élève. Elle me le prouva en prenant une initiative qui me plut.
L : Aller vas y, j'suis ta p'tite salope ! Craches moi dessus ! Vas y donnes moi tout !
Léa récita sa leçon en y mettant du cœur à l'ouvrage. Si elle faisait la comédie comme une actrice de X, en tout cas on aurait vraiment cru qu'elle avait hâte de se faire recouvrir de sperme. Elle alternait fellation et branlette devant sa bouche ouverte et elle avait glissé une main entre ses jambes pour ensuite porter ses doigts à sa bouche. Ça, je ne lui avait pas demandé et c'est ce qui déclencha mon éjaculation. Léa ferma les yeux et dirigea les jets partout sur son visage et sa langue, en gémissant avec moi.
N : Et ben pour une première leçon, tu fais un sans faute !
L : C'est vrai ? Ça t'a plu ?
N : Refais voir ce que tu as fait avec ta chatte.
Léa recommença en prenant la peine de faire glisser un peu de sperme dans sa bouche qu'elle avait au bord des lèvres. Il est évident que cette petite se découvrait une passion pour le sexe. Elle se frotta la chatte un moment jusqu'à se faire jouir. Elle finit par se laisser tomber sur le lit. Je lui nettoyai le visage et je me couchai à coté d'elle. Nous nous sommes réveillés en sursaut vers 4h du matin. Il ne fallait surtout pas que Béatrice nous découvre en rentrant du boulot !
Je pris Léa en missionnaire, contrôlé par une nouvelle pulsion. De son coté, Léa n'était pas passive non plus. Elle accompagnait mes coups de reins par des petits gémissements. Elle me surpris une fois de plus en me lâchant un petit "bouffes moi la chatte s'te plait". Je lui soulevai donc ses petites fesses légères pour approcher sa fente de ma bouche. J'entrepris un cunnilingus de malade. Léa avait placé ses jambes sur mes épaules et bougeait son petit cul de haut en bas, à toute vitesse. J'en avais même du mal à continuer son cuni. Elle était déchainée et elle fini par jouir à un moment où ma bouche était plaquée sur sa chatte. Elle n'était pas femme fontaine mais je sentis tout de même un petit écoulement de cyprine dans ma bouche. Cela me rendis encore plus fou.
N : Attends ma p'tite salope, je vais te remplir la bouche aussi !
Léa, épuisée, se laissa de nouveau tomber sur le lit. Je me plaçai alors devant sa bouche, sur le coté. Léa se tourna pour enfourner ma queue dans sa bouche. Je pris ses mains pour les placer de chaque coté de mes fesses et je la pistonnai fermement. Ma main droite avait gagné sa chatte et son cul. Ses jambes bien écartées et fines me permettaient de lui glisser un doigt dans chaque trou. Et je lui baisai la bouche toujours aussi fort. Léa criait en silence, étouffée par ma queue. C'était sa première gorge profonde. Elle se libéra pour me prévenir qu'elle n'en pouvait plus. C'est alors que j'éjaculai sur son visage.
L : Oui ! Je préfère comme ça ! Vas y !
Je m'écroulai de plaisir...
Léa, elle, se leva aussitôt pour courir à la salle de bain. Elle fit couler l'eau du lavabo et elle toussait très fort. Elle revenu toute propre en expliquant qu'elle avait faillit vomir.
Elle semblait tout de même satisfaite de notre parti de baise intense.
L : Je crois que ça y est maintenant, je suis une vraie salope ?
N : Presque ma chérie, presque. C'était bien hard comme il faut ! Mais il te reste encore des choses à savoir pour m'exciter encore plus.
L : Ah oui et c'est quoi ?
N : L'exib.
L : Ah... Çà... Çà doit pas être pire que ce se prendre une bite au fond de la gorge. (Léa m'impressionnait de parler de cette façon, elle était en train de changer)
N : Non c'est moins physique mais y'a du challenge quand même ! Aller sur ce, je dois aller me recoucher dans mon lit. Présentes moi ton petit cul que je lui dise bonne nuit.
Léa se tourna et se mit les fesses en l'air, bien écartées. Ma langue passa bien dans toute sa raie bien parfumée. Elle se retourna pour recevoir son dernier baiser. Après s'être encore emballer quelques minutes, nous nous échangeâmes un "bonne nuit" et je regagnai ma chambre. Il était 5h30 du matin.
Cette nuit fut magique. Nous en reparlons encore souvent quand nous passons des soirées câlins. Et oui... Ils nous arrivent de nous comporter comme un vieux couple amoureux mais c'est toujours pour finir en baise digne d'un film porno...
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