Soumission partagée par un couple : Aux frontières du plaisir

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : Soumission partagée par un couple : Aux frontières du plaisir Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission partagée par un couple : Aux frontières du plaisir
Résumé : Corinne et Nicolas, mariés, explorent leurs désirs les plus profonds avec Alain et ses complices. Dans une nuit de soumission totale, ils découvrent l'excitation de la domination et de l'humiliation, franchissant des limites inavouées.

————-


Corinne et Nicolas avaient franchi des frontières qui, jadis, leur auraient paru impensables. Leur relation, autrefois fondée sur un amour tendre et passionné, s’était transformée en un terrain d’expérimentation où la perversion et la transgression prenaient une place centrale. Alain, l’amant plus âgé, avait ouvert une porte qu’ils ne pouvaient plus refermer, un chemin qu’ils avaient décidé d’explorer ensemble, malgré les risques.

Après leur première expérience à trois, l’intensité de leur complicité s’était renforcée. Mais derrière cette nouvelle proximité se cachait une soif toujours grandissante. Chaque nouvelle étape atteinte dans leur jeu laissait un goût d’inachevé. Corinne et Nicolas sentaient que ce qu’ils avaient vécu avec Alain n’était qu’un début. Et cette idée, loin de les effrayer, les attirait irrémédiablement vers un abîme de désirs inassouvis.

Un soir, alors qu’ils étaient allongés côte à côte dans leur lit, Corinne sentit l’envie de partager quelque chose qui la hantait depuis leur dernière rencontre avec Alain. Elle savait que Nicolas ressentait lui aussi cette tension, ce besoin de repousser encore plus loin les limites de leur sexualité. Pourtant, elle hésitait à lui parler des idées qui traversaient son esprit, de peur qu’il ne la trouve trop audacieuse, voire trop perverse.

Elle se tourna vers lui, ses doigts caressant doucement son torse nu. Leurs corps étaient proches, mais un silence lourd pesait sur eux. Elle inspira profondément avant de rompre le silence.

— Nicolas… j’ai encore pensé à ce qu’il s’est passé avec Alain, murmura-t-elle, sa voix tremblante d’excitation et d’appréhension mêlées.

Nicolas tourna la tête vers elle, son regard se durcissant légèrement. Il savait où elle voulait en venir, mais il attendait qu’elle aille plus loin. Leur dernière nuit avec Alain avait laissé une empreinte indélébile en lui, un mélange d’humiliation et de désir qu’il n’avait jamais ressenti auparavant.

— Et à quoi as-tu pensé ? demanda-t-il doucement, bien qu’il devinât déjà la réponse.

Corinne mordilla légèrement sa lèvre inférieure avant de répondre.

— À la façon dont il nous a pris… toi et moi. Mais surtout à ce qu’il a dit juste avant de partir… Il m’a proposé quelque chose… quelque chose de plus intense encore.

Le cœur de Nicolas battait plus vite. Il se redressa légèrement, ses muscles tendus, et fixa Corinne avec une intensité renouvelée.

— De quoi parlait-il ? Qu’est-ce qu’il a en tête ? demanda-t-il, sa voix tremblant légèrement sous l’excitation montante.

Corinne se mordit la lèvre, hésitante, mais elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer maintenant. Elle devait lui avouer ce qui la troublait tant, cette proposition qui éveillait en elle des fantasmes plus sombres, plus dangereux.

— Il veut qu’on aille plus loin, murmura-t-elle. Pas seulement nous trois… Il veut que d’autres hommes soient impliqués. Un groupe. Une sorte de… fête où nous serions tous les deux les objets de leurs désirs.

Elle guetta la réaction de Nicolas, qui ne répondit pas immédiatement. Son regard se perdit dans le vide, digérant les mots de sa femme. L’idée était à la fois terrifiante et excitante. Il avait toujours aimé voir Corinne prise par d’autres hommes, mais cette nouvelle proposition impliquait un niveau de soumission qu’il n’avait jamais envisagé. Et pourtant, l’idée le troublait profondément.

— Et toi ? demanda-t-il après un long moment. Tu en as envie ?

Corinne hocha doucement la tête, un frisson parcourant son corps.

— Je ne sais pas. Mais l’idée m’excite… Je ne cesse d’y penser depuis qu’il m’en a parlé. Et toi, Nicolas ? Est-ce que tu pourrais supporter de me voir prise par d’autres ? Peut-être même d’être impliqué toi aussi… d’une manière ou d’une autre ?

Cette question le déstabilisa. Il s’était toujours imaginé comme un observateur dans ce genre de jeux, jamais comme un participant actif à la soumission. Pourtant, l’idée d’être humilié aux côtés de Corinne, de la voir se donner à d’autres hommes sous ses yeux tout en subissant lui-même cette domination, éveillait en lui un désir qu’il n’avait jamais osé reconnaître. Peut-être que cette fois, il était prêt à franchir cette étape, à explorer une perversion plus profonde encore.

— Je… je crois que oui, répondit-il finalement, d’une voix tremblante. Si tu en as envie… alors je veux l’essayer aussi. Mais comment est-ce censé se passer ?

Corinne sentit un soulagement intense la traverser. Nicolas était prêt à suivre ce chemin avec elle, même s’il ne savait pas encore où cela les mènerait. Elle se redressa à son tour, posant une main rassurante sur la sienne.

— Alain m’a dit qu’il organiserait une soirée… dans une villa. Ce serait discret, sécurisé. Il a déjà deux autres hommes en tête, des amis à lui, plus âgés, qui connaissent ce genre de jeu. Ils savent comment s’y prendre, comment nous faire sentir en sécurité… tout en nous poussant à nos limites.

Nicolas ferma les yeux un instant, visualisant la scène. Il imaginait Corinne, entourée par ces hommes plus âgés, tous plus dominateurs les uns que les autres, la prenant sous ses yeux, tandis qu’il serait à leurs pieds, impuissant. Cette pensée le fit frémir.

— Et toi, Corinne… tu es vraiment prête à faire ça ? Je ne veux pas que tu te sentes forcée.

Elle secoua doucement la tête.

— Je ne me sens pas forcée. C’est un fantasme, quelque chose que je veux explorer avec toi… mais seulement si tu te sens prêt.

Nicolas la regarda longuement, cherchant des réponses dans ses yeux. Il savait qu’ils étaient sur le point de franchir une frontière dont ils ne pourraient plus revenir. Mais il n’y avait plus de retour en arrière possible, pas après tout ce qu’ils avaient déjà vécu ensemble. Le désir brûlant qui animait leurs fantasmes était devenu plus fort que leur appréhension.

— Alors faisons-le, murmura-t-il finalement, un sourire nerveux se dessinant sur ses lèvres.

Les jours qui suivirent furent marqués par une tension palpable. Corinne et Nicolas avaient accepté l’invitation d’Alain, et l’idée de cette nouvelle rencontre occupait toutes leurs pensées. Ils savaient que cette soirée allait changer leur relation de manière irrémédiable, mais ils étaient prêts à en accepter les conséquences.

Alain, fidèle à son habitude, avait tout organisé avec une précision méthodique. Il leur donna rendez-vous dans une villa isolée, à quelques kilomètres de la ville, un lieu suffisamment éloigné pour garantir la discrétion, mais assez accessible pour ne pas éveiller les soupçons. Alain avait insisté sur le fait que tout se passerait selon les désirs de Corinne et Nicolas, mais il leur avait aussi promis une expérience qui les pousserait au-delà de leurs limites.

Le soir de la rencontre, Corinne se prépara avec soin, choisissant une lingerie fine et provocante, sous une robe élégante mais suggestive. Elle se regarda longuement dans le miroir, cherchant à calmer les battements frénétiques de son cœur. Elle se sentait à la fois excitée et terrifiée par ce qui allait se passer, mais une part d’elle ne pouvait s’empêcher de savourer cette anticipation.

Nicolas, quant à lui, était étrangement silencieux. Il observait Corinne se préparer, son esprit troublé par des pensées contradictoires. Il voulait voir sa femme se soumettre à ces hommes, mais il savait aussi qu’il serait confronté à ses propres peurs et à une forme d’humiliation qu’il n’avait jamais envisagée auparavant. Il savait qu’il serait, lui aussi, un acteur dans cette mise en scène de domination, mais il ne savait pas encore à quel point.

Lorsque Corinne fut prête, ils quittèrent leur maison en silence, leur voiture les conduisant lentement vers la villa. La route, bordée d’arbres sombres, semblait étirer le temps, chaque minute les rapprochant un peu plus de l’inévitable. Aucun d’eux ne parlait, mais leurs pensées tournaient en boucle, se heurtant à la même question : étaient-ils vraiment prêts pour ce qui allait se passer ?

Lorsqu’ils arrivèrent à la villa, une grande bâtisse isolée entourée de jardins luxuriants, Alain les attendait déjà. Il se tenait sur le perron, vêtu d’une chemise noire élégante, son visage éclairé par un sourire satisfait. Derrière lui, la porte grande ouverte laissait entrevoir un intérieur somptueux, baigné d’une lumière tamisée.

— Bienvenue, murmura-t-il en les accueillant. Entrez, je vous attendais.

Corinne et Nicolas franchirent la porte, sentant l’excitation monter d’un cran. La soirée venait de commencer, et avec elle, une nouvelle ère dans leur relation.

Deuxième partie : L’Initiation à la Soumission

La villa d’Alain, illuminée par une lumière tamisée, baignait dans une ambiance à la fois élégante et oppressante. Chaque pas que Corinne et Nicolas faisaient résonnait dans le grand hall d’entrée, comme si la maison elle-même absorbait leur nervosité. Ils furent accueillis par Alain avec cette assurance tranquille qui lui était propre. Ses yeux balayaient leurs corps comme un prédateur jaugerait ses proies, mais avec une maîtrise parfaite de la situation.

— Vous avez fait bon voyage ? demanda-t-il, un sourire en coin, bien conscient de la tension palpable entre Corinne et Nicolas.

— Oui, tout s’est bien passé, répondit Corinne d’une voix hésitante, son cœur battant à tout rompre.

Nicolas resta silencieux, observant Alain avec un mélange d’appréhension et d’excitation. Il savait que cette soirée allait changer beaucoup de choses, non seulement dans leur relation avec Corinne, mais aussi dans sa propre perception de lui-même.

Alain les guida à travers la maison, les conduisant vers un salon spacieux, décoré avec goût. Le mobilier ancien, les tableaux sombres accrochés aux murs, tout semblait empreint d’une élégance perverse, comme si chaque élément de la pièce avait été choisi pour renforcer le caractère particulier des événements à venir. Sur une grande table basse, des verres de vin rouge étaient disposés, prêts à être servis.

— Installez-vous, faites comme chez vous, dit Alain en prenant place dans un grand fauteuil en cuir, face à eux.

Corinne et Nicolas s’assirent ensemble sur un canapé, leurs mains se frôlant nerveusement. Ils n’avaient aucune idée de ce qui allait se passer ensuite, mais le simple fait de se retrouver seuls dans cette pièce avec Alain suffisait à faire monter leur tension d’un cran. Il y avait une sorte de lourdeur dans l’air, une promesse de ce qui allait suivre.

— Avant que nous commencions, murmura Alain en les observant attentivement, il est important que vous compreniez bien ce qui va se passer ce soir. Rien ne sera fait sans votre consentement. Vous avez le droit de dire non à tout moment. Mais une fois que vous serez dans le jeu… je veux que vous soyez pleinement engagés. Compris ?

Corinne hocha la tête en silence, sentant une vague de chaleur monter en elle. L’idée de ce qui allait se passer la terrifiait autant qu’elle l’excitait. Nicolas, de son côté, acquiesça également, ses mains moites trahissant son anxiété.

— Très bien, dit Alain en se levant. Laissez-moi vous présenter les autres invités.

Il les conduisit ensuite à une autre pièce, plus petite, mais tout aussi élégante. Là, deux hommes étaient déjà assis, discutant à voix basse en buvant du vin. Marc et Philippe, les deux amis d’Alain, étaient plus âgés que Nicolas, approchant la soixantaine. Leur présence imposante et leur assurance naturelle faisaient immédiatement comprendre qu’ils avaient l’habitude de ce genre de situations. Leurs regards se posèrent sur Corinne avec un intérêt non dissimulé, analysant chaque détail de son corps.

— Voici Marc et Philippe, mes vieux amis, dit Alain avec un sourire. Ils connaissent bien ce type de jeu, et je vous assure qu’ils sauront vous mettre à l’aise… ou vous pousser à vos limites, si c’est ce que vous souhaitez.

Corinne sentit un frisson parcourir son corps sous le regard de ces deux hommes. Il n’y avait aucune trace de douceur dans leurs yeux, seulement une avidité calme et contrôlée, qui la fit frémir d’excitation. Elle ne pouvait détacher son regard de leurs visages, son cœur battant de plus en plus vite à mesure que la réalité de la situation s’imposait à elle. Ces hommes allaient avoir un pouvoir sur elle et, peut-être même, sur Nicolas.

— Je vois que vous êtes prêts à commencer, continua Alain en les invitant à s’asseoir dans cette nouvelle pièce.

Le groupe prit place autour d’une table basse, Corinne et Nicolas se trouvant cette fois au centre de l’attention. Marc et Philippe les observaient toujours, leurs verres à la main, sans dire un mot. L’attente, le silence, tout semblait être orchestré pour amplifier leur appréhension.

— Avant que nous ne commencions, je voudrais savoir… jusqu’où êtes-vous prêts à aller ce soir ? demanda Alain en s’asseyant à côté de Nicolas, ses doigts frôlant doucement l’accoudoir du fauteuil.

Corinne sentit une montée d’adrénaline en entendant cette question. Ils avaient déjà discuté de leurs limites avec Alain auparavant, mais maintenant que le moment était venu, tout semblait plus réel, plus intense. Elle se tourna vers Nicolas, cherchant un signe de sa part, une assurance qu’ils étaient toujours sur la même longueur d’onde.

Nicolas prit une profonde inspiration avant de répondre.

— Nous sommes prêts à… explorer, dit-il doucement, sa voix légèrement tremblante. Mais… nous voulons que cela reste entre nous, sans atteinte à notre relation.

Alain hocha la tête, satisfait de cette réponse.

— C’est un bon point de départ. Ce soir, vous serez mis à l’épreuve, mais toujours dans le respect de vos désirs. Cependant, il y aura des moments où je vous demanderai de lâcher prise… complètement. Vous devrez vous faire confiance et me faire confiance.

Corinne sentait ses mains devenir moites à nouveau. L’idée de lâcher prise entièrement la faisait frémir, mais elle savait que c’était ce qu’elle voulait, au fond. Se laisser aller, oublier les conventions et les limites qu’ils avaient toujours respectées dans leur vie de couple. Elle regarda Nicolas, et il lui répondit par un regard déterminé. Ils étaient prêts.

— Très bien, murmura Alain en se levant à nouveau. Marc, Philippe, il est temps de commencer.

Marc et Philippe se levèrent lentement, posant leurs verres sur la table basse avant de s’approcher de Corinne. Le simple fait de les voir se mouvoir avec une telle aisance, un tel contrôle, fit monter l’excitation de Corinne d’un cran. Elle sentait déjà son corps réagir à leur présence, son souffle s’accélérant à mesure qu’ils se rapprochaient.

— Nicolas, assieds-toi ici, dit Alain en indiquant une chaise près du mur. Tu vas observer, pour commencer.

Nicolas obéit sans un mot, prenant place sur la chaise avec une nervosité palpable. Il était désormais spectateur, tout comme il l’avait été lors de leurs précédentes rencontres avec Alain. Mais cette fois-ci, tout semblait plus intense, plus extrême. Les deux hommes qui s’approchaient de sa femme n’étaient pas simplement des spectateurs passifs. Ils allaient être des acteurs actifs dans ce jeu, et Nicolas savait qu’il allait devoir accepter cela.

Corinne se retrouva debout devant Marc et Philippe, ses mains tremblantes alors qu’ils la regardaient avec une intensité perverse. Marc fut le premier à l’approcher, ses mains se posant doucement sur ses épaules, avant de glisser lentement le long de ses bras. Ses doigts étaient rugueux, mais sa caresse était étrangement douce, presque délicate.

— Tu es magnifique, murmura-t-il en se penchant légèrement vers elle, ses lèvres frôlant son oreille.

Corinne frissonna sous ce compliment, sentant son corps répondre immédiatement à son toucher. Elle ne pouvait s’empêcher de jeter un regard vers Nicolas, cherchant à lire dans ses yeux ce qu’il ressentait en la voyant dans cette position. Mais son mari semblait figé, ses yeux fixés sur elle, incapable de détourner le regard.

Philippe, de son côté, observait la scène avec un sourire en coin. Il n’avait pas encore touché Corinne, mais son regard en disait long sur ce qu’il comptait faire. Il se rapprocha doucement d’elle, prenant son temps pour savourer chaque moment.

— Tu es prête à te donner à nous, n’est-ce pas ? demanda-t-il d’une voix basse et rauque.

Corinne hocha la tête, incapable de parler, ses lèvres tremblant légèrement sous l’effet de l’excitation. Elle savait qu’il n’y avait plus de retour en arrière possible. Elle s’était engagée dans ce jeu, et elle devait maintenant s’abandonner entièrement à ces hommes, sous les yeux de son mari.

Marc glissa ses mains sur le dos de Corinne, jouant avec la fermeture éclair de sa robe. Il prit son temps, tirant lentement sur la fermeture, laissant le tissu glisser doucement le long de ses épaules. Corinne ferma les yeux un instant, savourant la sensation de se dénuder lentement sous les mains de cet inconnu.

— Regarde-moi, murmura Marc, d’un ton autoritaire.

Corinne ouvrit les yeux, plongeant son regard dans celui de l'homme qui la déshabillait. Son cœur battait à tout rompre, mais elle ne pouvait nier l'excitation qu'elle ressentait à cet instant. Être déshabillée sous les yeux de son mari, par deux hommes qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, réveillait en elle des désirs qu'elle n'avait jamais explorés.
La robe glissa finalement au sol, laissant Corinne en sous-vêtements devant eux

Troisième partie : L’Abandon à la Soumission

La robe de Corinne glissa au sol, dévoilant son corps délicatement enveloppé dans une lingerie noire fine. Le frôlement du tissu la laissa frissonnante, consciente des regards brûlants de Marc et Philippe, qui scrutaient chaque courbe de son corps avec un désir à peine contenu. La sensation d’être le centre de cette attention masculine, sous les yeux de son mari, amplifiait son excitation, et elle sentait son souffle devenir plus lourd.

Nicolas, assis sur sa chaise près du mur, regardait la scène avec une fascination grandissante. Son cœur battait à un rythme effréné alors qu’il voyait sa femme se dévêtir sous les mains d’autres hommes. Ce qu’il ressentait à cet instant allait bien au-delà de la jalousie ou de l’inquiétude. Il était pris dans un tourbillon de désir et de trouble, ne sachant plus distinguer où commençait la honte et où finissait l’excitation. Il observait chaque geste, chaque regard échangé, comme s’il était à la fois extérieur à la scène et profondément impliqué.

Alain, debout dans un coin de la pièce, souriait. Il savourait la dynamique qui se mettait en place, cette tension délicieuse qui s’élevait entre Corinne, Nicolas, et les deux hommes plus âgés. Ce jeu, il le connaissait bien. Il savait comment les pousser à leurs limites tout en s’assurant qu’ils ne puissent plus revenir en arrière.

— Regarde bien, Nicolas, murmura-t-il d’une voix douce mais ferme. Regarde ta femme s’abandonner. Elle se donne à nous, et tu vas aimer ça.

Nicolas hocha la tête, incapable de prononcer le moindre mot, les yeux rivés sur Corinne. Il se sentait partagé entre l’envie de la protéger et celle de la voir plonger dans ce plaisir interdit.

Marc, se tenant juste devant Corinne, approcha lentement ses mains de son corps, caressant ses épaules nues avant de descendre vers sa taille. Ses doigts glissaient sur sa peau comme s’il la découvrait pour la première fois, savourant chaque frémissement qu’il provoquait. Philippe, lui, se plaça derrière elle, ses mains trouvant leur chemin le long de son dos, avant de défaire délicatement le soutien-gorge qu’elle portait.

Corinne se retrouva bientôt nue devant eux, son corps exposé à la lumière tamisée de la pièce, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration saccadée. Elle sentit le regard de Nicolas brûler sur elle, et cela ajoutait à l’excitation de la situation. Elle n’avait jamais ressenti un tel mélange de honte et de désir. Être ainsi dévoilée, caressée par ces hommes devant son mari, la rendait à la fois vulnérable et puissante.

— Tu es magnifique, souffla Marc en se penchant vers elle, ses lèvres frôlant à peine son oreille.

Ces mots, susurrés avec tant d’intensité, déclenchèrent un frisson qui parcourut toute la colonne vertébrale de Corinne. Elle ne pouvait plus nier ce qu’elle ressentait : une excitation brûlante, un désir intense de se soumettre à ce moment, à ces hommes. Ses pensées étaient embrumées par le plaisir, et elle ne savait plus où finissait sa propre volonté et où commençait celle des autres.

Philippe se pencha à son tour pour murmurer à son oreille.

— Tu es prête à te donner à nous, Corinne ? Ce soir, tu es à nous.

Elle hocha la tête sans hésiter, incapable de trouver les mots pour répondre, son souffle devenu court sous la tension de la situation. Son corps lui échappait, répondant instinctivement aux caresses des deux hommes.

— Regardez-la, elle est parfaite, continua Marc, s’adressant cette fois à Nicolas. Tu l’as bien préparée.

Nicolas sentit son cœur se serrer à cette remarque, mais une vague d’excitation le submergea, bien plus forte que la peur ou la jalousie. Il aimait voir Corinne ainsi, si vulnérable et si belle, prête à être possédée par d’autres, et il n’aurait jamais imaginé que cela puisse le troubler autant.

Marc et Philippe guidèrent alors Corinne vers un grand canapé en cuir, installé au centre de la pièce, tandis qu’Alain observait la scène avec une satisfaction palpable. Corinne s’y allongea, ses jambes légèrement écartées, ses seins se soulevant avec son souffle rapide. Elle était nue, offerte, son corps brûlant d’anticipation sous les regards des trois hommes qui l’entouraient. La tension était à son comble, chaque seconde semblant s’étirer à l’infini.

Marc, debout devant elle, se pencha pour caresser ses cuisses, ses doigts effleurant la peau tendre de l’intérieur de ses jambes avant de remonter lentement vers son sexe déjà humide. Philippe, toujours derrière elle, commença à la déshabiller complètement, retirant la dernière pièce de lingerie qui restait encore sur elle. Corinne se cambra sous leurs caresses, sentant son excitation monter en flèche, tandis que Nicolas observait, ses yeux rivés sur le corps de sa femme, hypnotisé par la scène qui se déroulait sous ses yeux.

— Nicolas, tu veux la rejoindre, n’est-ce pas ? demanda soudain Alain, son ton doux mais autoritaire.

Le cœur de Nicolas bondit dans sa poitrine. Il avait imaginé rester en retrait, simple spectateur de cette scène érotique, mais l’idée de participer, de faire partie de cette dynamique, réveillait en lui un désir qu’il n’avait jamais exploré. Il se leva lentement, son corps tendu par l’appréhension et l’excitation. Il s’approcha du canapé où Corinne était étendue, ses jambes écartées, son sexe offert aux caresses de Marc.

Alain posa une main ferme sur l’épaule de Nicolas, le guidant vers sa femme.

— Montre-lui que tu es prêt, Nicolas, murmura-t-il à son oreille. Montre-lui que tu es prêt à la suivre dans ce jeu.

Nicolas s’agenouilla entre les jambes de Corinne, son cœur battant à tout rompre. Il glissa ses mains sur ses cuisses, caressant doucement sa peau avant de se pencher pour embrasser son sexe. Corinne gémit à ce contact, son corps réagissant immédiatement à la langue de son mari qui explorait son intimité. Elle se cambra légèrement, ses mains agrippant les draps du canapé, tandis que Marc et Philippe continuaient de caresser ses seins et ses hanches.

Alain, debout derrière Nicolas, sourit avec satisfaction. Il savait que Nicolas était désormais pleinement engagé dans ce jeu, tout comme Corinne. Il avait accepté son rôle, et il allait maintenant aller encore plus loin.

— Prépare-la bien, Nicolas, murmura Alain, sa voix pleine de promesses. Elle va être prise par nous, et tu seras là pour nous aider.

Les mots d’Alain résonnèrent dans l’esprit de Nicolas, amplifiant son excitation. Il intensifia ses caresses, sa langue glissant avec plus d’insistance sur le sexe de Corinne, la préparant à ce qui allait suivre. Ses doigts rejoignirent sa langue, pénétrant doucement son sexe humide, alors qu’il sentait le plaisir de sa femme monter en intensité. Ses gémissements remplissaient la pièce, résonnant avec la respiration lourde des trois hommes qui l’entouraient.

Après quelques minutes, Alain fit signe à Marc et Philippe de se rapprocher. Ils prirent alors position autour de Corinne, Marc se plaçant entre ses jambes, tandis que Philippe prenait place à ses côtés, caressant ses seins et embrassant doucement son cou. Nicolas se retira, laissant la place à Marc qui, sans plus attendre, pénétra Corinne d’un coup de reins ferme, la faisant crier de plaisir.

Nicolas se redressa légèrement, observant la scène avec une fascination presque hypnotique. Il voyait sa femme être prise par cet homme, ses hanches se soulevant pour accueillir chaque coup de reins, son visage marqué par une extase intense. Il ne pouvait plus détourner les yeux, son propre corps réagissant à cette vision de pure perversion.

Alain, toujours debout derrière Nicolas, posa une main ferme sur son épaule.

— Tu vois, Nicolas ? Tu vois comment elle s’abandonne à nous ? C’est ça que tu voulais, non ?

Nicolas hocha la tête, incapable de parler. Il se sentait submergé par les émotions contradictoires qui bouillonnaient en lui, mais au fond, il savait que c’était exactement ce qu’il voulait. Voir Corinne ainsi, offerte à ces hommes, éveillait en lui un plaisir qu’il n’avait jamais ressenti auparavant.

Philippe prit alors la place de Marc, pénétrant Corinne à son tour, tandis que Marc continuait de caresser son corps, ses doigts effleurant ses seins et son clitoris. Corinne se perdit dans le plaisir, ses gémissements devenant plus forts à chaque instant, tandis que les deux hommes la prenaient tour à tour, chacun d’eux jouissant de cette soumission totale.

Quatrième partie : L’Apogée de la Soumission

Le corps de Corinne se cambrait sous les assauts de Marc et Philippe, ses gémissements se mêlant aux respirations lourdes des trois hommes qui l’entouraient. Elle était perdue dans une mer de sensations, incapable de penser à autre chose qu’au plaisir qui l’envahissait. Chaque coup de reins, chaque caresse, chaque regard brûlant posé sur elle amplifiait cette excitation déjà à son comble.

Nicolas, toujours debout près du canapé, observait la scène avec une intensité presque fiévreuse. Voir sa femme ainsi, offerte, se laisser prendre par ces hommes, éveillait en lui un désir insoupçonné. Il avait longtemps imaginé ces scénarios dans ses fantasmes, mais rien ne pouvait le préparer à l’intensité du moment. C’était à la fois déroutant et irrésistible.

Alain, qui jusque-là avait observé en silence, décida de prendre une part plus active dans le jeu. Il s’approcha lentement de Corinne, toujours prise par Philippe, et posa une main ferme sur son ventre, exerçant une légère pression qui la fit frissonner.

— Corinne, murmura-t-il doucement, tu es prête pour la dernière étape, n’est-ce pas ?

Corinne, son corps tremblant sous l’effet de l’excitation, hocha la tête, incapable de répondre autrement. Elle était au bord de l’extase, son corps réclamant plus, toujours plus. Elle voulait se perdre entièrement dans ce moment, se donner sans réserve à ces hommes qui la dominaient si habilement. Son regard croisa celui de Nicolas, et elle y vit un mélange d’appréhension et d’excitation. Il la regardait avec une intensité qu’elle n’avait jamais vue auparavant, comme s’il acceptait enfin tout ce que ce moment impliquait pour eux deux.

Alain sourit en voyant cette connexion entre Corinne et Nicolas. Il savait que le moment était venu de les emmener plus loin, de briser les dernières barrières de leur intimité. Il fit signe à Philippe de se retirer, puis il prit sa place entre les jambes de Corinne. Ses doigts glissèrent sur son sexe déjà trempé de désir, effleurant son clitoris avant de la pénétrer d’un mouvement lent mais profond. Corinne laissa échapper un cri de plaisir, son corps se tendant sous cette nouvelle vague de sensations.

Alain, avec une maîtrise totale, accéléra progressivement le rythme, ses hanches s’écrasant contre les cuisses de Corinne à chaque coup de reins. Ses mains agrippaient fermement ses hanches, la maintenant en place tandis qu’il la pénétrait de plus en plus profondément. Corinne était submergée, son corps pris dans une spirale de plaisir intense. Elle se laissait totalement aller, chaque fibre de son être se tendant vers cet orgasme qu’elle sentait imminent.

Nicolas, quant à lui, était plongé dans une contemplation presque hypnotique. Voir sa femme jouir sous les assauts d’Alain, sentir l’excitation monter en lui à mesure que la scène se déroulait, le poussait à aller plus loin dans son propre rôle. Il savait qu’il devait participer, qu’il devait s’impliquer d’une manière plus active dans cette dynamique de soumission.

Alain, sentant que Nicolas était prêt à franchir cette nouvelle étape, ralentit légèrement ses mouvements et se tourna vers lui.

— Nicolas, murmura-t-il d’une voix grave, tu vas maintenant la nettoyer.

Nicolas frissonna à ces mots, une vague de désir brut traversant son corps. Il savait exactement ce qu’Alain attendait de lui. La demande, bien que perverse, éveillait en lui un besoin profond de soumission. Il se pencha lentement vers Corinne, son visage à quelques centimètres de son sexe, encore pénétré par Alain.

Alain, avec un dernier coup de reins puissant, jouit profondément en elle, un grognement sourd s’échappant de sa gorge. Le sperme chaud d’Alain se répandit en elle, et Corinne, sentant cette chaleur envahir son corps, laissa échapper un cri étouffé. Son orgasme la submergea instantanément, son corps se tendant violemment alors qu’elle jouissait sous le poids de l’acte.

Nicolas, les yeux fixés sur le sexe de sa femme, savait que c’était son moment. Il se pencha plus près, sa langue effleurant les lèvres trempées de Corinne. Il sentit immédiatement le goût du sperme d’Alain mélangé à celui de Corinne, et une vague de perversion pure s’empara de lui. Sans hésiter, il commença à la lécher doucement, nettoyant chaque goutte de liquide, sa langue glissant sur son sexe avec une dévotion presque religieuse.

Corinne, encore secouée par son orgasme, sentit la langue de Nicolas sur elle et laissa échapper un nouveau gémissement de plaisir. La sensation de son mari la nettoyant ainsi, après avoir été prise par un autre homme, la poussa encore plus loin dans cette spirale de plaisir et de soumission. Elle se cambra légèrement, offrant son corps à son mari, tandis qu’il continuait à la lécher avec une intensité croissante.

Alain, debout à côté, regardait la scène avec un sourire satisfait. Il avait réussi à briser les dernières barrières du couple, les emmenant dans une dynamique où la domination et la soumission se mêlaient à des plaisirs inédits. Il se rhabilla lentement, observant Nicolas accomplir son acte de soumission avec une dévotion absolue.

— C’est ça, Nicolas, murmura Alain. Nettoie-la bien. Elle est à toi… mais elle est aussi à nous maintenant.

Nicolas intensifia ses mouvements, sa langue explorant chaque recoin du sexe de Corinne, s’assurant qu’il n’y avait plus la moindre trace de l’acte d’Alain. Il ne pouvait plus s’arrêter. Le goût, la texture, l’humiliation et l’excitation mêlées l’avaient entièrement consumé. Il ne pensait plus à rien d’autre qu’à satisfaire sa femme, à jouer son rôle dans ce jeu de soumission totale.

Corinne, quant à elle, sentait ses forces la quitter, son corps complètement submergé par les vagues successives de plaisir. Elle se sentait à la fois vidée et pleine d’un sentiment d’accomplissement. Ce qu’ils venaient de vivre ensemble dépassait tout ce qu’elle avait imaginé. Elle avait franchi des limites qu’elle n’aurait jamais cru possibles, et cela l’avait transformée.

Lorsque Nicolas se redressa enfin, haletant, son visage rouge et couvert de sueur, il rencontra le regard de Corinne. Il y lut une gratitude silencieuse.

Le silence retomba lourdement dans la pièce après l’intense libération d’Alain, mais une tension palpable persistait encore dans l’air, dense et pleine de promesses. Alain se redressa lentement, ses mains glissant le long des hanches de Corinne, savourant son contrôle absolu. Mais ce n’était pas encore terminé. Le jeu devait encore atteindre son point culminant, celui que Corinne et Nicolas n’avaient jamais imaginé franchir.

— Je crois que vous avez tous les deux goûté à ce que cela fait de se soumettre, murmura Alain en se tournant vers Nicolas, un sourire sadique flottant sur ses lèvres. Mais je pense qu’il est temps de découvrir encore plus de vos limites. Corinne a déjà goûté à la domination totale… mais toi, Nicolas ? Es-tu prêt à nous montrer à quel point tu peux être soumis ?

Nicolas, le souffle court, le corps encore tremblant après avoir nettoyé sa femme, regarda Alain avec une appréhension teintée d’excitation. Sa position dans ce jeu avait toujours été celle de l’observateur ou, au mieux, de l’acteur secondaire. Mais ce que proposait Alain… il n’avait jamais imaginé que cela irait aussi loin.

— Je… je ne sais pas, balbutia Nicolas, troublé par cette proposition inattendue.

Alain s’approcha de lui lentement, imposant sa présence avec cette assurance naturelle qu’il avait. Il posa une main ferme sur l’épaule de Nicolas, comme pour ancrer ses paroles dans la réalité.

— Tu as vu comment ta femme s’est donnée à nous, dit-il doucement. Maintenant, c’est à ton tour. Ce soir, tu ne seras pas seulement celui qui regarde, tu seras celui qui se soumet. Et tu vas aimer ça.

Nicolas sentit une vague de chaleur envahir son corps, mélange de peur et d’excitation. Il jeta un coup d’œil à Corinne, qui le fixait avec une lueur d’anticipation dans les yeux. Son propre désir de voir Nicolas franchir cette nouvelle étape était visible dans son regard. Elle était prête à le voir s’abandonner de la même manière qu’elle l’avait fait, et cela l’excitait encore plus.

— Oui, Nicolas, souffla Corinne, encourageante. Tu dois essayer. Fais-le pour toi, pour moi… pour nous.

Ces mots résonnèrent profondément en Nicolas. Il avait toujours aimé la voir jouir sous le contrôle d’un autre, mais il n’avait jamais envisagé de se trouver dans cette position. Et pourtant, la perversion de cette idée l’attirait irrésistiblement. Il se sentait prêt à franchir cette dernière limite.

— Très bien, murmura-t-il finalement, sa voix tremblant légèrement. Je suis prêt.

Alain sourit, satisfait. Il fit un signe de tête à Marc et Philippe, qui étaient restés silencieux, mais qui, désormais, avançaient lentement vers Nicolas. La scène allait prendre une tournure encore plus sombre, plus intense. Ce n’était plus seulement Corinne qui serait l’objet de cette domination partagée. Nicolas allait maintenant goûter à ce qu’il avait si longtemps observé.

— À genoux, ordonna Alain d’un ton ferme.

Nicolas obéit sans hésiter, se laissant tomber à genoux devant les trois hommes, son cœur battant à tout rompre. Il savait que ce moment changerait tout, qu’il allait plonger dans une soumission totale, et que cela le marquerait à jamais. Mais une part de lui le désirait ardemment.

Marc, toujours imposant, se plaça devant lui, ses doigts déboutonnant lentement son pantalon. Il sortit son sexe durci et l’approcha du visage de Nicolas, le regardant avec une lueur de domination dans les yeux.

— Suce-le, Nicolas, ordonna Alain d’une voix suave. Montre-nous à quel point tu peux être docile.

Nicolas hésita une fraction de seconde, mais l’excitation pure qui le consumait prit le dessus. Il ouvrit la bouche et prit lentement le sexe de Marc entre ses lèvres, sentant immédiatement l’effet de cet acte sur son propre corps. C’était un mélange de honte et de plaisir, une perversion qui le poussait à aller toujours plus loin.

Corinne, allongée sur le canapé, regardait la scène avec une fascination morbide. Voir son mari se soumettre de cette manière, plonger dans cette humiliation sous les yeux de ces hommes, éveillait en elle un désir encore plus puissant. Elle se caressa doucement, ses doigts glissant sur son clitoris encore sensible, tandis qu’elle observait Nicolas s’agenouiller devant Marc, obéissant à ses moindres ordres.

— C’est bien, Nicolas, murmura Marc en agrippant sa tête, le forçant à accélérer ses mouvements. Tu fais exactement ce qu’il faut.

Philippe, de son côté, s’approcha de Corinne, son regard brûlant de désir. Il glissa une main ferme sur son corps encore tremblant d’extase, ses doigts trouvant rapidement son sexe. Corinne gémit à ce contact, son excitation ne faisant qu’augmenter en voyant Nicolas se perdre dans cette soumission extrême.

— Regarde ton mari, Corinne, souffla Philippe en jouant avec son clitoris. Regarde-le se soumettre, comme toi. Vous êtes à nous, ce soir.

Corinne gémit plus fort, incapable de résister à l’intensité de la scène. Elle se laissait aller complètement, son corps répondant aux caresses de Philippe tandis que son regard restait fixé sur Nicolas, dont les lèvres continuaient à glisser sur le sexe de Marc.

Mais Alain, toujours maître du jeu, n’en avait pas terminé. Il s’approcha lentement de Nicolas, se penchant vers lui, murmurant à son oreille.

— Tu vois, Nicolas ? Tu te sens humilié, et pourtant, tu jouis de cette humiliation. Mais ce n’est pas encore assez. Maintenant, c’est à mon tour.

Sans attendre une réponse, Alain se plaça derrière Nicolas, ses mains saisissant fermement ses hanches. Nicolas sentit une vague de panique mêlée d’excitation monter en lui. Il comprit immédiatement ce qu’Alain s’apprêtait à faire. L’idée d’être pénétré, d’être complètement soumis à cet homme qui contrôlait toute la scène, le terrifiait autant qu’elle l’excitait.

— Alain… attends… murmura-t-il, la voix tremblante.

— Chut, souffla Alain en caressant doucement son dos. Ne t’inquiète pas. Tu es prêt. Tu vas adorer ça.

Et sans plus de préambule, Alain le pénétra lentement mais fermement, d’un coup de reins précis. Nicolas laissa échapper un cri étouffé, son corps se tendant sous l’effet de cette nouvelle sensation. C’était à la fois douloureux et terriblement excitant. Il se sentait totalement à la merci d’Alain, pris entre le plaisir et la douleur, incapable de résister à cette soumission totale.

Marc, toujours devant lui, continua de le forcer à le sucer, tandis qu’Alain accélérait ses mouvements derrière lui, le prenant avec une intensité croissante. Nicolas, complètement submergé par les sensations contradictoires qui déferlaient en lui, se laissa aller, abandonnant tout contrôle.

Corinne, témoin de cette scène, se caressa avec plus d’ardeur, son plaisir atteignant des sommets qu’elle n’aurait jamais imaginé. Voir Nicolas ainsi, pris dans ce jeu de soumission extrême, éveillait en elle une perversion profonde. Elle jouit violemment, son corps se tordant sous les doigts experts de Philippe, ses cris de plaisir résonnant dans la pièce.

Alain, sentant Nicolas se soumettre entièrement à lui, accéléra encore ses mouvements, son souffle se faisant plus rapide, plus lourd. Il jouit profondément en lui, un grognement rauque s’échappant de sa gorge. Marc suivit peu de temps après, déversant son propre plaisir dans la bouche de Nicolas, qui l’accepta sans résistance, submergé par l’humiliation et le plaisir mêlés.

Le silence qui suivit fut lourd, chargé d’une satisfaction perverse. Alain se retira doucement, observant Nicolas, toujours à genoux, haletant, le corps tremblant. Il avait été brisé, mais aussi libéré d’une manière qu’il n’aurait jamais cru possible.

— Vous avez été parfaits, murmura Alain en les regardant, un sourire satisfait sur les lèvres. Vous êtes allés au-delà de vos limites, et maintenant… vous savez ce que cela fait de se soumettre pleinement.

Corinne et Nicolas, épuisés, se regardèrent, leurs corps encore tremblants des plaisirs extrêmes qu’ils venaient de partager. Ils savaient que rien ne serait plus jamais comme avant, mais ils avaient découvert une nouvelle dimension de leur relation, une profondeur perverse qui les liait encore plus fortement.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour, quel plaisir de lire cette histoire.
C'est une grande excitation...
Disponible pour échanger sur ce thème...
Merci

@olga merci olga pour cette pertinence habituelle dans tes critiques. Bise

Histoire Coquine
Très beau récit qui prend le temps et vraiment de l'ampleur avec cet épisode.

J'ai ici relevé ces deux passages emblématiques:
"Son regard croisa celui de Nicolas, et elle y vit un mélange d’appréhension et d’excitation. Il la regardait avec une intensité qu’elle n’avait jamais vue auparavant, comme s’il acceptait enfin tout ce que ce moment impliquait pour eux deux."
" Corinne, témoin de cette scène, se caressa avec plus d’ardeur, son plaisir atteignant des sommets qu’elle n’aurait jamais imaginé. Voir Nicolas ainsi, pris dans ce jeu de soumission extrême, éveillait en elle une perversion profonde."
Quel superbe complicité candauliste entre Nicolas et Corinne!

J adore les jugements moraux dans des textes imaginaires. La censure woke est partout :) merci chère lectrice anonyme de faire de la moraline sous chacun de mes textes. Bientôt la censure?

Histoire Erotique
Parfaitement résumé

Histoire Erotique
Merci pour ces commentaires, mêmes violents, c’est que vous avez pu vraiment entrer dans l histoire, même si ça heurte vos valeurs éducatives.

Histoire Erotique
Quel plaisir de lire ce récit terriblement excitant .
La progression est très bien décrite et je m’imagine bien à la place de Nicolas. Quel plaisir de nettoyer sa belle de ses souillures et de se soumettre devant elle

Histoire Libertine
Ce Nicolas est vraiment pitoyable… Comment peut on se laisser avilir de la sorte. C’est quoi le but d’Alain? Détruire quelqu’un qui n’est pas bien, en tout cas si il continue dans cette voie, il pourra pousser Nicolas au suicide, quel beau texte… Ce mec est vraiment une merde… J’espère ne jamais tomber sur un minable, cocu, soumis comme Nicolas…

Histoire Erotique
Comme le reste de la série, ce récit est tout simplement un récit diaboliquement chaud. Bien décrit, saisissant les aspects psychologiques, les aspects physiques, du plaisir, du trac, les sentiments du désir et du trouble dépeints avec perspicacité.



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