Soumission soft à mon Amour (épisode 2) : Vidéo Coquine

- Par l'auteur HDS Gourmande_24 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Soumission soft à mon Amour (épisode 2) :  Vidéo Coquine Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Soumission soft à mon Amour (épisode 2) : Vidéo Coquine
Seule à la maison, une fois mon ménage terminé, je m’ennuyais ferme. Pour couronner le tout, il pleuvait sans arrêt depuis le matin, de quoi réduire à néant une éventuelle envie de faire une promenade dans la campagne. Il me tardait que mon homme rentre et j’espérais qu’il me fasse une de ses visites « sexuelles » surprise (cf. épisode 1). Je m’étais maquillée et habillée décontractée mais sexy comme il aimait : shorty en lycra moulant ras-les-fesses sans rien dessous et débardeur à fines bretelles, dentelle sur le décolleté, qui baillait sur mon balconnet en satin pigeonnant. Il était déjà 15 heures, il fallait que je me rende à l’évidence, c’était déjà trop tard pour qu’il fasse un saut avant la sortie du bureau. Il restait quelques cartons du déménagement que nous n’avions pas encore déballés. J’en vis un pas trop grand ni trop lourd annoté « salon ». J’entrepris de le vider. Il était plein de cassettes VHS (on n’était pas encore au temps des dvd). Certaines vidéos étaient des films connus mais dans le fond du carton, je dénichais quelques films X. J’examinais les photos sur les jaquette, je lu les résumés, fis une liste mentale de ceux qu’il me plairait de visionner un de ces jours avec mon amour et rangeais le tout dans la partie fermée de la bibliothèque. Je classais les autres films par ordre alphabétique dans les étagères. Il me restait les films « faits maison » libellés à la main « anniversaire de A. au karting» ou « course à pied telle date » par exemple et encore les programmes enregistrés de la TV. Je les déposais à leur tour sur une autre étagère. Il ne restait alors au fond qu’une cassette sans aucun libellé. Curieuse de nature, j’entrepris de la visionner et la glissait dans le magnétoscope.
Dès les premières images, je constatais qu’il s’agissait encore d’un film « maison », filmé au caméscope. On y voyait mon Amour, avec ses meilleurs potes : Sylvain et Marc ainsi que Corinne, la femme de Marc. Marc et Sylvain sont athlétiques : grands, musclés, l’un aussi brun que l’autre est blond. Corinne est une femme très belle. Un beau visage rond, des yeux verts, une bouche pulpeuse, de longs cheveux blonds et niveau corps « tout ce qu’il faut où il faut » : une belle poitrine lourde et une chute de rein à se damner. Tous se connaissent depuis des années, ils faisaient déjà ensemble des compétitions de course à pied et de vélo à l’adolescence. Je savais que Mon Amour était sorti avec elle quand ils étaient ados.
Sur le film on voyait mon Amour, Sylvain et Corinne assis à table, rigolant. Le son n’était pas très bon mais j’ai vite reconnu la chanson « joyeux anniversaire » au moment où Marc entrait dans le champ un gâteau surmonté de bougies dans les mains. Il le pose sur la table. Corinne souffle les bougies. Tous applaudissent. On trinque au champagne, on blague sur son âge, on rigole sur ses seins qui vont bientôt tomber et sur le fait qu’il faut profiter de la vie tant qu’on est encore jeune. Très bien me dis-je, rien de bien intéressant là-dedans. Je me lève pour aller chercher des étiquettes pour libeller la cassette « anniversaire Corinne ». Je ne les trouve qu’après avoir ouvert tous les tiroirs du bureau et alors que je reviens vers le salon, j’entends à la télé la voix de mon Amour :
- Alors tu me les montres pour que je constate s’ils tombent maintenant ? Je suis comme St- Thomas, je ne crois que ce que je vois ! Et Sylvain qui enchaîne :
- moi, je ne les ai pas vus avant donc mon avis sera impartial ! Puis Marc qui ajoute :
- aller, on est en famille là, ce sont des potes et puis faut que j’vous dise que madame n’a pas froid aux yeux d’habitude. Et là Corinne qui le coupe :
- arrête, tais-toi, pas maintenant. (Je savais ce qu’il voulait dire : ils étaient déjà allés dans des clubs échangistes, A. m’en avait parlé parce qu’il espérait me convaincre de faire de même)
- si tu veux que je me taise, alors laisse-moi faire.
Sylvain :
- attend, j’enlève la caméra du trépied, ça, ça mérite un réalisateur compétent ! Parmi les rires j’entends Corinne glousser.
Je m’approche à nouveau de la télé pour voir les images. On voit Corinne debout vêtue sa robe d’été en voile léger, de ce genre qui se boutonne par devant sur toute la hauteur. Marc est derrière elle, l’enserrant de ses bras, ses mains s’affairant sur les boutons. Petit à petit il dévoile le décolleté de sa femme. Elle rigole, cache ses beaux seins enserrés dans un soutien-gorge en dentelle dévorée, on devine ses tétons dressés à travers le tissus. Marc la déshabille jusqu’à la taille et écarte les mains de sa femme. À mon Amour, que j’appellerai A. il dit :
- viens un peu m’aider par ici.
A. s’approche de Corinne. Il ne rigole plus, il est très sérieux. Je ne vois que le haut de son corps mais rien qu’à ses yeux je sais qu’il bande déjà. Il caresse les seins à travers le tissus, les soupèse, les pelote. Il pose ses mains sur chacun des seins doigts vers les côtés, titillant les tétons de ses pouces. Corinne lâche un « oh ! » mi- gênée, mi- excitée. Puis il passe ses bras autour d’elle pour dégrafer le soutien-gorge. Avec son index il baisse le bonnet, découvrant le sein gauche, il en titille le téton avant de l’embrasser délicatement. Sylvain zoome. Corinne halète, le souffle court, ses yeux brillent de désir. Sa poitrine ferme et lourde aux larges aréoles oscille au rythme de sa respiration. La langue d’ A. roule frénétiquement sur le téton. Corinne ne se débat plus ; elle n’a plus rien à cacher. Marc a donc les mains libres et il a, semble-t-il, perdu toute patience. Il glisse sa main droite par-dessus l’épaule de sa femme et lui pelote fermement le sein droit. Le soutien-gorge finit de glisser le long de ses bras et se retrouve au sol. On voit que Marc est en terrain connu. Corinne pousse un gémissement. Toujours placé derrière elle, il glisse sa main gauche entre ses cuisses la contournant par le côté, relevant la robe et découvrant par là-même ses jambes, ses cuisses, et son entrejambe qu’il fouraille avec ses doigts sous le string. A. s’agenouille alors devant elle et déboutonne le reste de la robe qui rejoint le soutien-gorge abandonné sur le sol. Elle se caresse la poitrine en gémissant aidée de Marc qui d’une main lui malaxe un sein et de l’autre continue de la doigter sous son string.
A. glisse délicatement le string le long des jambes de Corinne qui se retrouve entièrement nue. On entend Sylvain commenter qu’elle est superbe et qu’il « bande déjà à mort ». A. déplace la main de Marc plus haut sur le pubis de Corinne afin qu’il n’ait plus que le bout de son majeur sur le clitoris. Il lui écarte un peu les cuisses et y glisse la tête. On devine qu’il la lèche, la prend à pleine bouche, lui enfonce le bout de la langue puis il lui insère aussi un doigt puis deux puis trois dans la vulve et commence à la limer à un bon rythme. Elle crie de plaisir « oh ! ouiiiïï ! ».
Devant ce spectacle, je sens le creux de mon ventre se crisper de désir, ma vulve devient humide, se dilate, bientôt le fond de mon shorty sera complètement trempé. Ma main droite, s’y glisse sans que j’y pense vraiment, c’est de l’ordre du réflexe, je me caresse de haut en bas. Instinctivement mes hanches se cambrent, mon pelvis oscille par petits coups d’avant en arrière, ma main descend sur mon pubis, mes doigts frôlent le clitoris. Une bouffée de chaleur me monte dans le ventre et la poitrine, la pointe de mes seins se durcit, mon soutien-gorge devenu soudain trop serré. Avec la main qu’il me reste, les extirpe de leur carcan, ils se dressent fièrement soutenus par en-dessous par les bonnets froissés. Je fais rouler mes tétons, qui ne pourraient pas pointer plus, entre mon pouce et mon majeur. Je presse un peu plus fort pour une douleur exquise. Ma main droite frotte mon clitoris avide de sensations. Ma chatte est tellement glissante que d’un petit coup de bassin vers l’avant les trois plus grands de mes doigts atteignent ma fente. Je les y engouffre sans hésitation, dedans, dehors, dedans – plus profond – dehors, dedans – je presse sur le renflement que fait mon point G déjà gonflé : « Oh ! oui, c’est bon ! encore ! encore ! » je me dis-je dans ma tête. À bout, je sens que la crispation lâche enfin au fond de mes reins et je jouis doucement, oh ! oui, je jouuïïï, là tout debout dans une coulée de cyprine, mon corps agité d’un spasme.
Mes yeux qui s’étaient instinctivement fermés pour mieux apprécier mon orgasme solitaire s’ouvrent grands quand j’entends que les gémissements de Corinne se font plus rauques, elle jouit, je veux me repaître de ses yeux, de son visage tordu par l’orgasme. Mais non, elle ne jouit pas, je me suis trompée, je ne comprends pas jusqu’à ce que … ce qui a provoqué le râle n’est autre que le majeur que Marc lui enfile dans l’anus. Il abandonne son clito et déboutonne son pantalon. Il tire ensuite sur son boxer d’où émerge une bite magnifique : turgescente, pointée comme un obus, longue et large, avec une grosse veine bleu gonflée d’un bout à l’autre de la tige. Une pensée me traverse l’esprit : « whaah, il est monté comme un black ». J’en salive, ma langue gourmande me picote, il faut que je vous l’avoue : j’adore sucer. Il entreprend de la sodomiser mais la position n’est pas adéquate. Il lui fait basculer le bassin en arrière. A. n’en prend pas ombrage, prévoyant il lui a lubrifié la rondelle avec sa langue, il n’en a pas fini de lui lécher et lui doigter la chatte. C’est alors que Corinne lâche un « huummm » rauque et Sylvain zoome sur le membre de Marc qui disparaît entièrement dans son trou, il lui enfonce jusqu’à la garde. Il l’empoigne par une fesse pour faire onduler son cul en un doux va-et-vient. Il geint de plaisir à chaque coup de queue, elle aussi. A. met du cœur à l’ouvrage avec ses doigts et sa langue sur son clito et dans sa chatte. Sa bouche ruissèle de cyprine. La caméra bouge alors dans tous les sens et quand elle redevient stable, Sylvain film sa bite qu’il vient de sortir de son pantalon. Il s’astique de sa main libre. Il recadre sur la scène principale.
N’en pouvant plus je mets sur pause et cours chercher Buddy. C’est ainsi que j’ai baptisé notre vibromasseur. A. me l’a offert pas tant pour que je me soulage en solitaire que pour me fourrer la chatte pendant qu’il m’encule pour une double pénétration « maison ». En effet, j’ai à maintes reprises refusé qu’on le fasse avec un autre homme… Buddy est large, très large et grand, très grand. C’est A. qui l’a choisi. Il est un noir, hyperréaliste avec de grosses veines saillantes qui courent le long de la verge ; il est terminé par une paire de couilles qui permettent, posé sur un plan droit, de le faire tenir tout seul. Il est un peu plus gros que la bite de A. - pourtant de taille respectable – et là tout de suite il m’évoque la magnifique queue de Marc. Dans la précipitation, je ne trouve pas le lubrifiant, tant pis ! Je suis tellement excitée que ma chatte y pourvoira ! Mes seins débordent toujours de mon balconnet mué en redresse-seins sous le débardeur débraillé. Sur le chemin du salon, mon débardeur qui oscille au rythme de mes pas frotte agréablement sur mes tétons. Je m’agenouille sur le tapis, Buddy dressé à mes côtés, et me caresse longuement les seins puis j’appuie sur « play » et les gémissements de Corinne résonnent à nouveau dans la pièce :
- prenez-moi tous les deux, je vous veux tous les deux, dit-elle. Elle fixe avidement A. qui se relève, approche une chaise et s’y assoit les fesses au ras du bord, les couilles en apesanteur. Il branle calmement son membre turgescent en matant Corinne laquelle ne perd pas de temps et s’empale directement la chatte dessus « haaaah ! ». La bite de Marc s’étant échappée de son cul dans le mouvement, elle prend soin - afin de libérer pleinement l’accès à son trou - de se pencher, sa poitrine lourde balançant vers l’avant, ses larges aréoles aux tétons tendus caressant au passage le torse de A. Elle étouffe un hurlement quand la bite de Marc la défonce à nouveau d’un violent coup de rein. Elle se retrouve prise en sandwich, pénétrée simultanément par deux orifices, vagin et anus comblés. Elle n’arrête pas de gémir et ses amants font de même. Je me rends compte que je la jalouse, être prise par deux hommes me fait envie. A. me le demande depuis longtemps. Je me promets de ne pas refuser la prochaine fois.
Buddy me nargue juste devant moi. Toujours agenouillée sur le sol, je l’empoigne, écarte un peu plus mes jambes et le déplace jusqu’à ce qu’il soit idéalement placé juste entre mes cuisses son gros gland au ras de ma vulve trempée. Je m’affaisse doucement sur le gland de silicone, je le sens glisser entre mes petites lèvres écarlates. Je descends doucement, il force maintenant l’entrée de ma vulve. Encore un peu plus bas et je le sens butter contre mon trou trop étroit, il presse contre l’entrée de mon vagin qu’il tente de dilater, douce douleur. Le large diamètre de Buddy et l’absence de lubrifiant n’aident pas. Je presse plus fort mais j’ai mal. J’ondule du bassin et le frotte sur ma vulve pour le lubrifier mais malgré l’excitation l’entrée de ma chatte reste trop serrée. Je me relève un peu, écarte ma vulve avec deux doigts et, de l’autre main, j’enfile de force le gland dans mon trou. Je m’appuie de nouveau sur lui et imprime un doux mouvement de piston du haut vers le bas. L’engin glisse à l’intérieur s’enfonçant de quelques centimètres supplémentaires avec chaque aller-retour. Mon vagin se dilate progressivement autour du tronc de silicone, quelques centimètres de plus, oui ! Il s’enfonce inexorablement, ses aspérités raclant délicieusement les parois mon vagin. Il vient bien vite appuyer sur mon point G m’arrachant un râle de plaisir au passage. Ma chatte finit par faire la preuve de son élasticité et je me l’enfonce au plus profond. J’entame une danse du bassin pour qu’il me baise en rythme, en haut, en bas, en haut, en bas, ouuïï ! le plus profond que possible ! Ma mouille génère de petits bruits de succion « tchuc, tchuc, tchuc » sur le silicone à chaque mouvement. De petits cris de jouissance m’échappent à chaque fois que la tête de Buddy butte sur mon point G. J’imprime un mouvement plus rapide sur la bête plus que lubrifiée maintenant, je me cambre de plaisir, je roule un doigt frénétiquement sur mon clitoris, je sens seins durcir, la chaleur de l’orgasme monte en moi, je ferme les yeux, et m’imagine à la place de Corinne me faisant défoncer la chatte et le cul en même temps et enfin mes cris d’extase se joignent à ceux de la télé. Je jouis profondément, longuement, mon corps brûle d’une jouissance absolue. Je suis en sueur, elle perle sur mon front, sur mes reins, entre mes cuisses et mes seins. Je garde le gode en moi encore un moment et ouvre les yeux sur l’écran au moment où Marc éjecte sa queue du cul de sa femme pour la placer droit devant sa bouche. Deux mouvements de branlette suffisent pour qu’il gicle dans la bouche ouverte et, agrippant la tête de sa femme fermement des deux mains, se finit en gorge profonde. A. crie alors « j’vais venir, j’vais venir » Marc libère promptement Corinne qui se relève, la bite ruisselante de A. toute droite dressée en l’air sort de sa chatte. Bouche la première elle se jette dessus mais trop tard : A. lui éjacule en plein visage tout son sperme en longs jets puissants. Surprise, elle tente d’attraper sa robe au sol pour s’essuyer mais Marc lui assène sèchement « non, reste comme ça, tu t’occupes de Sylvain maintenant ». Elle se tourne vers Sylvain qui tend la caméra à A. Sylvain commence par lui caresser doucement le visage, y étalant un peu plus les coulées de sperme. Il lui en badigeonne les lèvres avec le pouce avant de le forcer dans sa bouche. Elle comprend le message et s’agenouille alors docilement devant ta tige bombée de Sylvain. Marc l’encourage « elle est moins grosse que la mienne, ça va être facile, montre-lui comme tu es douée pour sucer ». Elle empoigne doucement la bite la branle et place délicatement le gland sur le bout de la langue qui s’active alors autour. Elle défie Sylvain d’un air de défiance qui veut dire « là, je fais de toi ce que je veux ». Elle va vite comprendre qu’elle a été présomptueuse. Entre elle et Sylvain, Marc privilégie l’amitié avec son pote de toujours, il échange un regard entendu avec Sylvain puis se glisse derrière elle, lui prend les deux mains et les maintient fermement derrière son dos. Elle esquisse un « non » mais à peine sa bouche s’est-elle entrouverte que Sylvain agrippant des deux mains ses cheveux à l’arrière de sa tête lui impose le silence en lui baisant la bouche violement et profondément comme il le ferait dans sa chatte, ponctuant chaque coup de bassin d’un gémissement : « han ! » puis il ajoute « avale-moi, beauté ». « Shlosh, Shlosh, Shlosh» les bruits de succion humides accompagnent en rythme les coups de bite dans sa bouche. On voit le gland déformer l’une ou l’autre de ses joues quand il n’atteint pas directement son but : le fond de la gorge. Des larmes perlent dans les yeux de Corinne, l’une s’échappe balafrant de sa joue gauche d’une coulée de Rimmel. Elle est près d’étouffer, à chaque fois que le gland atteint la glotte, elle réprime un haut-le-cœur. Elle implore A. des yeux mais lui, sourire aux lèvres, appréciant visiblement la scène ne fait que zoomer plus avant sur son visage déformé. Elle comprend qu’elle n’obtiendra aucune aide, son regard se perd dans le vide alors que « han, han, han, han ! » les cris de Sylvain s’accélèrent tout comme la cadence qu’il lui impose. La queue de Sylvain libère enfin sa bouche pour mieux lui souiller le visage de son sperme abondant, un second jet ira mourir en une grosse coulée baveuse sur ses beaux seins quant à la dernière giclée il lui imposera de l’avaler. Il reprend alors sa bite en main et, tel un pinceau, étale les coulées de semence sur ses joues et ses lèvres. Il la regarde maintenant l’air de dire « alors, lequel a fait de l’autre ce qu’il a voulu ? ». Au même moment moi qui, excitée par ce que je voyais à l’écran, avais recommencé à jouer nonchalamment du piston sur Buddy, j’atteins un nouvel orgasme. Gros plan sur le visage de Corinne brillant de sperme : on voit qu’elle est marquée par la violence de cette dernière baise mais elle est sereine, le rouge lui est monté aux joues et, même si elle halète encore pour reprendre son souffle, le sourire sur ses lèvres au bord desquelles s’attarde un grumeau blanc, en dit long sur le plaisir qu’elle a pris. « Joyeux anniversaire ! » lui chantent-ils en cœur.
Derrière moi, quelqu’un applaudit. Mon Amour est rentré sans crier gare et je n’ai aucun doute sur le fait qu’il ait assisté à une bonne partie de la scène en voyant son sexe dressé hors de son pantalon. J’ai gardé le gode en moi, la cyprine qui s’échappe de ma chatte ruisselle le long de sa tige jusque sur le tapis. Placé comme il est derrière moi il doit avoir une vue superbe simultanément sur le gode disparaissant dans ma vulve et mon petit trou anal. Je le regarde penaude.
- Ne bouge pas ! Attend-moi là. Il part vers les étagères et s’empare de l’appareil photo. Il revient et me mitraille de loin en plan large d’abord puis de tout près en plan serré sur mon cul. Il écarte une fesse d’une main pour avoir un meilleur angle sur ma chatte pleine. Il prend sa queue d’une main et sans même la lubrifier force l’entrée de mon cul où il éjacule instantanément (oui, cela devait faire un bon moment se branlait en m’observant) tout cela en gardant le doigt appuyé sur le déclencheur de l’appareil photo en mode rafale. J’ai mal, je crois bien qu’il m’a déchiré l’anus, mon cul est en feu. Je n’ose pas me plaindre, il est mon Amour, je me suis donnée à lui, il a tous les droits. Je le regarde, il est satisfait, la douleur n’a plus d’importance.
- On avait dit quoi au sujet du Buddy ? Qui t’a autorisée à te baiser avec ? dit-il sur un ton froid mais avec le regard amusé. Maintenant ma petite salope chérie, tu vas devoir t’amender. T’es mignonne de me donner des raisons de te punir, j’adore ça. T’es vraiment tout ce que j’aime.
- Je, enfin, je, je suis désolée… Je, la cassette… j’avais pas pensé… bafouillais-je.
Il s’installa sur le canapé et m’ordonna de rester comme j’étais c’est-à-dire à moitié nue (je n’avais plus que mon soutien-gorge avec les seins sortis par-dessus) empalée sur le gode. Il dégrafa son pantalon, sorti sa bite de son caleçon et dit : « Viens-là, garde Buddy dans ton trou ma jolie p’tite salope qu’aime la baise, et branle-moi ! ». Je m’exécutais avec application, bougeant bien le poignet comme il me l’avait appris et le résultat ne fut pas long à se faire sentir. Sa queue redevint bien dure, le gland rutilant et gonflé. « Suce-moi.» me dit-il en caressant mes cheveux et me jetant un regard amoureux. Sucer me plaisait et m’excitait toujours, il le savait. Je le décalottais entre mes lèvres ma langue lui caressant frénétiquement le pourtour du gland. Il me gratifia de petites fuites de jus. Toujours accroupie sur Buddy, je mouillais à mort et j’essayais, en ondulant mes hanches de me donner du plaisir avec, mais il m’était difficile de me le fourrer sans l’aide de mes mains occupées l’une à le branler, l’autre à lui caresser les couilles et le scrotum. S’apercevant de mes efforts pour tirer du plaisir avec Buddy, il me dit « je t’ai demandé de le laisser là pour te punir, pas pour que tu te baises avec ! ». Il me fit signe de me relever et, d’un coup sec, le tira hors de ma chatte. Ma cyprine coulait à l’intérieur de mes cuisses. Il la racla avec un doigt et me le fourra dans la bouche. Sa queue était encore dure et je finissais ma besogne jusqu’à sa jouissance comme la petite salope soumise et appliquée que j’étais.
Il me remplit la bouche de sperme à plusieurs reprises ce soir-là : je dû le sucer pendant qu’il buvait sa bière puis pendant qu’il mangeait sa pizza, aussi pendant qu’il matait le foot et encore quand il téléphona à Marc et Sylvain pour leur raconter ce qui venait de se passer en s’extasiant sur la ferveur de la rédemption de sa p’tite salope sur sa bite et jaugeant de la quantité de cyprine qui me coulait entre les cuisses … mais jamais ne dénia-t-il me baiser autre chose que la bouche, ce fut ma punition la plus sévère. Je m’endormais cette nuit-là le ventre gonflé de désir inassouvi, un fort goût du sperme au fond de la gorge et me réveillais au matin la mâchoire courbaturée de l’avoir tant pompé. Il finissait de s’habiller dans la salle de bain. Je l’entourais de mes bras, lui donnais un baiser sur la bouche et lui susurrais à l’oreille « c’est quand tu veux pour un plan à trois ».

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