Sous l'Empire de Marc 2

- Par l'auteur HDS Quentavous -
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Récit libertin : Sous l'Empire de Marc 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sous l'Empire de Marc 2
Je reviens de la cuisine, le verre de vin de Marc à la main, et le lui tend cérémonieusement, attendant la suite des instructions.

Le simple faire de me savoir nu, paré des attributs de l’esclave, et de servir le servir sous le poids de son regard sévère, me réveille des ardeurs insoupçonnées. Je sens ma queue se raidir dans sa cage de chasteté, mes tétons se durcir, et malgré mon regard tourné humblement vers le sol, je ne peux m’empêcher de constater du coin de l’oeil que Marc a remarqué l’effet qu’il me procure.

Marc prend le verre, sirote une gorgée et le pose avant d’ordonner :

« Mets-toi à genoux entre mes jambes, dos à moi, les bras croisés dans le dos. »

J’obéis sans un mot. Il pose furtivement le bout de ses deux indexes sur mes tétons durcis. Ma réaction est instantanée : je me cambre, gémis et ma cage de chasteté est secouée d’un incontrôlable sursaut. Je sens le souffle d’un sourire dans mon dos.

« - Dis-moi, petit esclave : tu es sensible des tétons ? 
- Terriblement, Monsieur. »

Marc commence à me titiller le bout des seins, dessinant de petits cercle du bout de doigts le long de aéroles, titillant par intermittence les tétons.
Je trépigne, tente de garder une contenance, mais mon corps se raidit, j’ai du mal à ne pas hurler de plaisir.

« - Raconte-moi ce que ça te fait, ce que tu ressens quand je te caresse les tétons. »

Je tente d’articuler entre les soupirs :

« - Je ressens comme des décharges électriques, déclenchées par vos doigts. Ils partent de mes tétons et se propagent dans toute ma poitrine. J’ai envie de m’offrir à vous, complètement, de vous tendre mon torse pour que vous en fassiez ce que bon vous semble.
- Continue. Ne t’arrête pas. Tu m’excites.
- Ça me donne envie de me jeter à vos pieds, de les embrasser, de ramper devant vous, de faire de votre volonté mes directives. Ça me donne envie de... »

Je m’arrête au milieu de ma phrase, honteux de ce que je m’apprêtais à dire.

« - Envie de quoi ? Dis-le-moi.
- Ça me donne envie d’ouvrir ma cage, de me caresser la queue.
- Tu sais que ça n’arrivera pas ?
- Je le sais Monsieur, je vous demande pardon.
- Ta queue restera en cage, et aussi longtemps que tu seras à mon service, la clé restera dans ma poche… ou dans la poche de qui je veux. »

Un silence tombe comme le marteau du juge. « Ou dans la poche de qui je veux. » Cette phrase est lourde de sens.

« - Tu apprendras à oublier ta queue, et à trouver ton plaisir dans le service. Elle n’est là que pour te rappeler que ta virilité est enfermée, et que tu dépends de la volonté du mâle que tu sers : moi.
- Bien Monsieur, je suis désolé pour cet écart. »

Au fil de l’échange, ses caresses se sont faites de plus en plus insistantes. Je peine à garder mon sang froid. Marc semble l’avoir remarqué, il rit et dit d’un ton étrangement suave et avenant, qui détonne avec sa fermeté habituelle :

« - Allez, laisse-toi aller. Montre-moi quelle salope tu es. »

Je bascule ma tête en arrière sur son bras, les yeux fermés, le visage tourné vers le ciel, et comme à gémir. Mon corps se raidit, ma queue aussi. Le liquide pré-éjaculatoire commence à couler abondamment de ma cage de chasteté et à se répandre sur le sol.

Bruit de glaçon dans le verre de Marc. Sensation intense de froid humide sur mes seins brûlants. L’excitation redouble, je ne peux retenir un « ahhh » teinté de vulnérabilité.
Je gigote de plus en plus, enserré par ses bras enroulés autour de mes épaules.
Bientôt, je sens la jouissance monter dans ma queue. Mes yeux sont mi-clos. Je balbutie :

« - Merci… merci... »

Marc s’arrête net.

« - On ne va quand même pas te laisser jouir dès le premier jour de dressage. Prosterne-toi et nettoie-moi cette flaque que tu as laissé couler sur le sol. Je veux que tu tendes bien ton cul en l’air, pour que je voie ton petit trou. »

Encore sonné, je mets une seconde à comprendre son ordre et obéir. Ce n’est pas le moment de le décevoir.

Pendant que je nettoie le liquide pré-éjaculatoire avec la langue, Marc crache entre mes fesses et caresse mon trou. De temps à autre, il presse son index dessus, mais sans jamais le pénétrer.

« Retourne-toi, et reste prosterné. »

J’obéis aussitôt. Il pose sa chaussure devant mon visage.

« Embrasse-la. »

Je presse délicatement mes lèvres dessus pour y déposer un baiser.

«Non, ça ne va pas. Sois plus sensuel. Fais-le avec amour. Montre-moi que ce que tu disais à l’instant, ce n’était pas des paroles en l’air. »

Je ferme les yeux, et presse à nouveau mes lèvres sur sa chaussure. Cette fois, je l’embrasse amoureusement. À cet instant précis, ce pied est tout ce qui existe à mes yeux. Il est la partie tangible d’un concept immense, tellement immense que je ne peux, avec mes yeux d’esclave, le saisir dans toute sa grandeur : Monsieur.
Je l’embrasse, le lèche. Je repense à ce qu’il m’a dit : il est le Mâle, et moi un pauvre esclave dont la virilité dépend de lui. Sa volonté est ma loi.

« Bien. Maintenant redresse-toi. À genoux entre mes jambes, bras dans le dos. Les jambes écartées, que je puisse voir ta queue encagée. »

J’obéis. Le dos cambré, le torse en avant, le menton levé mais les yeux baissés en signe de déférence.

« Tu vas me sucer. Vas-y franchement cette fois, pas question que ça traîne. »

J’avance lentement le cou pour ne pas perdre l’équilibre, et pose mes lèvres sur le gland qu’il me présente. Je l’embrasse comme j’ai embrassé son pied. Le voilà mon univers à cet instant précis : c’est ce sexe insolent, fièrement tendu comme pour me rappeler que je ne suis rien.
Je le caresse du bout de la langue. Tout doucement, j’entame la descente de mes lèvres vers la base de ce sexe.
Centimètre après centimètre, je me sens chaque seconde plus envahi, possédé.
Quelques réflexes de régurgitation habilement tus et me voici à la base. Étouffé, je ne peux plus respirer. La salive coule abondamment sur mon torse.
Je remonte, lentement, en faisant très attention car je ne peux pas utiliser mes mains. Quelques coups de langues, et je redescends.

Je me lance dans un va et vient, mais au bout d’une dizaines d’aller-retours, Monsieur attrape ma tête et commence allègrement à me baiser la bouche. Je n’ai plus aucun contrôle, je ne peux que me laisser faire. Céder à la volonté du Mâle.

Je tousse, respire tant bien que mal lorsque sa queue ressort de ma bouche une fraction de seconde. La salive coule de plus en plus abondamment sur mon torse qui doit désormais être luisant.
Le rythme ne cesse de s’accélérer. J’ai perdu la notion du temps. Je gémis tant que je peux, quand ma voix n’est pas étouffée par sa queue.

Enfin, la cadence s’arrête net. La queue de Monsieur se raidit. Il pousse un râle.
Projection chaude dans ma gorge.

Il me repousse en arrière, je tente de garder l’équilibre.

« Ouvre la bouche, fais-moi voir. »

Je lui montre fièrement le sperme qu’il vient de décharger en moi.

« Bien. Très bien. Maintenant avale et viens me nettoyer la queue. »

J’obéis, le sperme chaud coule au fond de ma gorge. Je m’avance vers son entrejambe et, toujours sans utiliser les mains, entreprends de nettoyer avec la langue le surplus de sperme resté sur son gland.

« Très bien, ce sera tout pour aujourd’hui, va te rhabiller tu peux rentrer chez toi. Tu as cours demain ?
- Oui, Monsieur.
- Alors je veux que tu gardes le collier jusqu’à l’heure où tu partiras en cours demain matin. Interdiction de l’enlever d’ici-là.
- Bien Monsieur. Je ne sais comment vous exprimer ma gratitude pour m’avoir accepté à votre service.
- Ne me remercie pas trop vite, tu es encore à l’essai. Reste joignable en permanence. Allez file. »

Je me lève pour aller chercher mes affaires, et m’arrête à mi-chemin.

« - Monsieur, je peux vous poser une question ?
- Je t’écoute. »

J’hésite un instant, puis me lance :

« Vous… vous ne me baisez pas le cul ? »

Il marque un silence, comme interloqué. Je regrette instantanément mon impertinence.

« Reviens là. Allonge-toi sur mes genoux, les fesses en l’air. »

J’obéis, les yeux baissés, honteux. Il commence à m’envoyer des volées de claques sur les fesses.

« - Dis-moi, qui est le Maître ?
- C’est vous, Monsieur.
- Et qui est l’esclave ?
- C’est moi, Monsieur.
- Et qui décide ? Le Maître ou l’esclave ?
- C’est le Maître, Monsieur.
- Et qui est le Maître ?
- C’est vous, Monsieur. »

Les claques n’en finissent pas. Mes fesses brûlent, elles doivent être rougeoyantes. Je gémis.

« Exactement. Alors je te baise le cul quand je veux et si je veux. Tu as compris ?
- Oui Monsieur, je suis désolé.
- Alors répète.
- Vous me baisez le cul quand vous voulez et si vous voulez.
- Bien. Pourquoi ?
- Parce que vous êtes le Maître.
- Et toi ?
- Je suis l’esclave.
- L’esclave a son mot à dire ?
- Non Monsieur.
- Pourquoi ?
- Parce que sa virilité est sous clé, et qu’il sert le Mâle.
- Si tu as le feu au cul, ce n’est pas mon problème. Tu n’as qu’à canaliser cette énergie pour mieux me servir. »

Les claques cessent.

« Maintenant disparais, je ne veux plus te voir. »

Je me rhabille, honteux.

Pendant tout le trajet de retour, je ressasse ce qui vient de se passer. J’ai peur. Non de ce qu’il pourrait me faire, mais de ce qu’il pourrait ne pas me faire.

Que signifiait ce « Disparais, je ne veux plus te voir. »
Et si j’avais échoué ? Et si je ne revoyais plus jamais Marc ?
Je m’en veux d’avoir été si idiot. J’ai peur de ne plus jamais être rappel, de perdre l’honneur d’être un esclave à ses pieds.
D’un autre côté, ma queue est toujours en cage, il ne m’a pas donné la clé. Et il ne m’a pas ordonné d’enlever le collier. Il m’avait dit que tant qu’il ne m’ordonnait pas de l’enlever, je devais le garder, et quand tant que je le gardais, je restais son esclave.
Mais il m’a ordonné de l’enlever demain matin. Alors je reste esclave jusqu’à demain matin, mais ensuite c’est fini ?
Et si c’est le cas, à quoi je peux bien servir comme esclave si je ne suis pas auprès de lui ?

Il m’a bien dit qu’il ne voulait plus me revoir… peut-être attend-il d’être moins en colère pour me rendre la clé de ma cage et me dire de tracer ma route.

Je ne peux m’empêcher de tourner ces éléments en boucle dans ma tête… et si c’était déjà terminé ?

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