Sous la douche
Récit érotique écrit par Kester [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sous la douche
Ce que je vais vous raconter peut paraître être du phantasme. Pourtant la réalité a souvent tendance a dépasser la fiction et c’est ce qui se produisit à mon plus grand étonnement.
Nous étions un mois d’août et les vacances m’avaient déjà permis de bien me relaxer. Comme souvent durant ces vacances je passais avec ma meilleure amie une nouvelle journée inoubliable ! Un coup de fil suffit pour organiser notre petite escapade au bois. Férues de lecture, le programme était simple, nous nous donnions rendez-vous chez elle et partions à vélo jusqu’au bois afin de profiter d’un soleil resplendissant. Arrivé la bas il nous suffirait de trouver un petit coin pour y installer notre drap et dorer au soleil le nez dans un superbe roman. Là dessus la journée terminée nous devions rentrer chez elle afin de nous rafraîchir et très vite repartir sur la ville. pour attraper la séance de 22heures au cinéma après un petit restaurant. C’était la journée de toutes les folies mais j’avais réellement envie de passer une telle journée avec elle.
Comme prévu j’arrivais chez elle sur les coups de 14heures ! T-shirt et short bariolés constituaient ma tenue estivale. Je sonnais à l’interphone et après m’avoir ouvert j’entrai mon vélo dans l’entrée. Quatre à quatre je montais les marches, l’impatience de la voir me rendait étonnement léger. Comme à son habitude la porte était contre et je me faufilais dans l’entrebâillement ! Je posais mon sac avec mes vêtements de rechanges sur le fauteuil et attendit qu’elle sorte de la salle de bain. Les quelques minutes me parurent interminables.
Enfin parée pour notre escapade elle vint me dire bonjour.
-Salut, t’es à l’heure pour une fois, me lança t-elle joyeuse..
-salut, c’est à dire que pour une fois je n’ai rien trouvé de mieux à faire avant de passer !
Ma réponse au tac o tac l’amusa. Elle faisait partie de ce genre de jeu qui constitue à se vanner et se lancer quelques vacheries jamais bien méchantes.
En me disant cela elle s’approcha de moi et me fit la bise. Je sentit comme chaque fois ses lèvres douces et fermes sur ma peau et mon corps se raidit de plaisir. Je ne pus comme chaque fois réprimer mon envie de poser ma main sur sa hanche afin de la retenir un peu. Elle était superbe, même pour une petite escapade comme la notre.
Alors que je la détaillai du regard une forme d’excitation me prie. Baskets et petite socquettes blanches, jupe tennis laissant à nu des jambes superbement dessinées. Là dessus un petit débardeur au décolleté généreux. Difficile de ne pas se sentir attiré par une fille aussi belle qui de toute évidence ne prenait pas beaucoup de peine à cacher ses charmes.
Voyant que je l’appréciais du regard, elle se crut obligée de me poser la question qui tue :
-Tu me trouve comment ?
Sont petit sourire coquin en disait long. Il ne faisait aucun doute qu’elle avait conscience de l’effet qu’elle me faisait et me connaissait assez bien, de plus, pour savoir que mon regard ne peut jamais faire sans plonger dans le premier décolleté venu. Le sien n’y faisait bien sur pas exception.
-Splendide, comme à ton habitude. Lui répondis-je avec le ton le plus détaché qu’il me fut possible de lui offrir.
Le dessus nous vérifiâmes le contenu de notre sac commun et nous mirent en route. La route fut des plus agréable et m’apportât pour ma part la joie de la voir 20 minutes découvrir ses jambes devant moi à chaque coup de pédale. Un pur moment de phantasme.
Durant ses quelques minutes toutes sortes de questions de principe se posèrent à moi. Etait-ce décent et raisonnable de fantasmer sur sa meilleure amie ? Notre relation ne devait-elle pas être au-dessus de tous désires sexuels ? Et si la possibilité m’était donner de la posséder devrais-je passer le cap ? Difficile donc de concilier ses instincts et ses principes dans de telle conditions.
Très vite nous arrivâmes au bois et nous posions le pied à terre afin de nous diriger vers un petit dégagement légèrement excentré de la route. L’endroit nous convenait et nous nous installâmes. En quelques secondes le sac fut ouvert et le drap étendu devant nous. Nous prîmes alors nos livres respectifs et après avoir trouvé le bon axe pour profiter pleinement du soleil, nous nous allongeâmes.
Plongés dans nos romans nous peinâmes à trouver notre bonne position et c’est contre moi que Véro trouva la sienne. Alors que le sac me servait d’oreiller elle me fît lui passer mon bras autour de son cou et se blottit contre moi. Ce moment me fit revenir en tête toutes mes questions existentielles précédentes. Je ne pouvais plus me concentrer sur mon roman et décidais de me laisser aller à la somnolence.
Mes yeux se fermèrent et la fatigue m’emporta. Je ne repris conscience que pour sentire une main passer sur mon sexe qui se mit à gonfler immédiatement. Faignant le sommeil je me laissais faire balayant par la même occasion toutes questions de principe. Finalement me dis-je ce n’est pas aussi difficile lorsqu’il s’agit de sexe.
Mon short fut baissé et ma compagne commença à me prendre délicatement dans ses mains douces et agiles. Elle se mit alors à me masturber, délicatement d’abord puis un peu plus frénétiquement ensuite. Ses gestes étaient précis et décidé. Toujours allongé les yeux fermés je sentit sa bouche sur mon gland. Ses lèvres douces et fermes faisaient un travail remarquable et la jouissance approchait à grand pas.
Ce n’est que pour l’éjaculation que j’ouvrit les yeux pour me rendre compte que tout n’était que rêve et qu’elle dormait belle et bien paisiblement à mes cotés.
Je ne put faire autrement que de passer l’heure suivante à la regarder resplendissante dans son sommeil.
La fin d’après midi approcha et nous reprîmes la route du retour elle innocente et charmante, moi la tête pleine de fantasme et une sensation d’éjaculation échouée.
Une fois arrivée à destination elle nous mit de la musique et m’invita à passer en premier sous la douche. Je m’exécutais sans discussion et pris mes affaires. Elle me sortit un nécessaire de toilette et m’indiqua les différents savons et autres shampoings.
Prestement je retirais mes vêtements et me glissa dans le bac de douche prenant grand soin à bien fermer la porte. Je réglai ensuite savamment la température et me mis sous le jet chaud et purificateur de l’eau.
Alors que mon corps et mon esprit se détendaient, une autre partie de moi-même se remémora ce délicieux rêve et une tension apparue au niveau de mon sexe. Je le sentit enfler et porta automatiquement ma main pour le presser et ainsi tenter de calmer mes ardeurs. Alors que je commençais à me caresser j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir. Cette intrusion soudaine mit fin à mes ardeurs et je me retournais pour faire dos à la vitre de la douche. Ma timidité me permis d’accentuer la surprise de ce qui allai se produire. La porte de la douche glissa et je sentis Laure y pénétrer. Elle dut ressentir ma gêne mais y fit abstraction. Je l’imaginais déjà nue derrière moi mais ne m’attendais pas à sentir ses seins fermes se coller contre mon dos.
Sa bouche s’approcha de mon oreille et me susurra quelques mots rassurants.
Me détendant un peu elle passa à de termes plus directs.
-Cela fait déjà longtemps que je fantasme sur toi tu sais. J’aime te regarder et je n’ai pas pus résister à l’envie de venir prendre ma douche avec toi. Ca te dérange ?
-Je ne m’attendais pas à ça, mais c’est fort plaisant. Furent les seuls mots que je fut capable de bredouiller.
Je me sentais gauche et cela semblait l’amuser.
Je sentis alors sa main passer sur ma jambe et la douceur de sa caresse raviva mon érection qui me semblait déjà être à son comble avant son arrivée.
-J’ai envie de sentire ta queue. J’aimerai que tu me l’offres, tu sais !
Joignant le geste à la parole sa main glissa et me prit.
Tout comme dans mon rêve je balayais toutes inhibitions et questions de principe et profita de ses caresses sensuelles le long de ma queue. Je sentais ses doigts passer de la base de ma queue à mon gland qui était gonflé comme jamais. Je me faisais branler par ma meilleure amie et je dut me rendre à l’évidence que cette simple pensée était excitante en elle-même.
Sa bouche venait régulièrement se poser dans le creux de mon cou et je sentais sa langue m’aguicher. Régulièrement elle me provoquait par de petites questions de circonstances.
-Tu aimes sentir mes doigts sur ton corps ?
-Bien sur, tu t’occupes de moi à merveille.
Je sentais toujours ses seins contre moi et sa bouche dans mon cou. Il fallait que je me lâche et que je vive la situation tel qu’elle l’avait crée, c’est à dire sans tabou. C’est en rejetant alors toute subtilité que je lui répondit selon mes désires en toute simplicité.
-J’adore tes caresses mais j’aimerai tellement que tu me suces maintenant !
J’avais un peu honte dans le fond de parler comme ça à ma confidente de longue date et de surcroît la personne que je respectais le plus ici bas. Honte qui disparut très vite alors qu’elle s’exécuta et que je la retrouvais à genoux devant moi. Elle me fit pivoter et reprit ma queue dans ses mains. Je pus admirer la forme de ses seins, ronds et fermes. Elle passa sa langue sur mon sexe plusieurs fois et posa ses lèvres sur mon gland. Elle ne se faisait donc pas prier et je semblais être le seul à ressentir de la culpabilité.
Sa bouche passa autour de mon sexe et je sentis sa chaleur m’envahir alors qu’elle me prenait vigoureusement entre ses lèvres, sa langue venant me titiller continuellement. Je me sentais grossir un peu plus dans sa bouche et il me semblait que je n’arrêterais jamais. Mon excitation était à son comble et je percevais l’approche d’une jouissance libératrice. Je l’accompagnais machinalement. Mes mains dans ses cheveux je la dominais et l’obligeais à soutenir le rythme qui m’excitai le plus.
Je sentit alors l’éjaculation arriver et lui dit du mieux que je pus. Perdu entre mots et jouissance j’enlevais mon sexe de sa bouche juste au moment ou une coulée de plaisir jaillit pour s’étendre sur ses seins. Elle continua quelques secondes encore à me caresser avant de se redresser. Je me sentais égoïste de ne rien lui avoir offert en échange.
Elle se colla contre moi et me mis sa tête dans le creux de mon cou tandis que je nettoyais le sperme de ses seins.
-Je ne t’ai rien donné en échange et j’en ai honte tu sais. Lui dis-je tendrement.
-Tu m’as apporté bien plus que tu ne le crois. J’ai adoré, tu sais ! Ne t’inquiète surtout pas avec ça, ce n’était que les préliminaires.
Elle m’embrassa alors amoureusement et nous nous lavâmes tendrement. L’eau ruisselant sur nos corps et nos mains virevoltant l’un sur l’autre contribuait à créer un climat toujours aussi érotique. Le désir n’avait pas faiblit avec mon éjaculation tel que j’aurais put le croire. Je passais beaucoup de temps à la laver et profitais de son dos si doux, de ses seins si pleins et de ses fesses rondes et fermes. Son sexe non plus ne fut pas en reste et je pris énormément de plaisir à glisser mes doigts entre ses cuisses sans jamais être autorisé à aller plus profond entre ses lèvres aguichantes.
L’excitation n’avait pas baissé et je compris à la sortie de la douche que le plus torride était à venir…………
Nous étions un mois d’août et les vacances m’avaient déjà permis de bien me relaxer. Comme souvent durant ces vacances je passais avec ma meilleure amie une nouvelle journée inoubliable ! Un coup de fil suffit pour organiser notre petite escapade au bois. Férues de lecture, le programme était simple, nous nous donnions rendez-vous chez elle et partions à vélo jusqu’au bois afin de profiter d’un soleil resplendissant. Arrivé la bas il nous suffirait de trouver un petit coin pour y installer notre drap et dorer au soleil le nez dans un superbe roman. Là dessus la journée terminée nous devions rentrer chez elle afin de nous rafraîchir et très vite repartir sur la ville. pour attraper la séance de 22heures au cinéma après un petit restaurant. C’était la journée de toutes les folies mais j’avais réellement envie de passer une telle journée avec elle.
Comme prévu j’arrivais chez elle sur les coups de 14heures ! T-shirt et short bariolés constituaient ma tenue estivale. Je sonnais à l’interphone et après m’avoir ouvert j’entrai mon vélo dans l’entrée. Quatre à quatre je montais les marches, l’impatience de la voir me rendait étonnement léger. Comme à son habitude la porte était contre et je me faufilais dans l’entrebâillement ! Je posais mon sac avec mes vêtements de rechanges sur le fauteuil et attendit qu’elle sorte de la salle de bain. Les quelques minutes me parurent interminables.
Enfin parée pour notre escapade elle vint me dire bonjour.
-Salut, t’es à l’heure pour une fois, me lança t-elle joyeuse..
-salut, c’est à dire que pour une fois je n’ai rien trouvé de mieux à faire avant de passer !
Ma réponse au tac o tac l’amusa. Elle faisait partie de ce genre de jeu qui constitue à se vanner et se lancer quelques vacheries jamais bien méchantes.
En me disant cela elle s’approcha de moi et me fit la bise. Je sentit comme chaque fois ses lèvres douces et fermes sur ma peau et mon corps se raidit de plaisir. Je ne pus comme chaque fois réprimer mon envie de poser ma main sur sa hanche afin de la retenir un peu. Elle était superbe, même pour une petite escapade comme la notre.
Alors que je la détaillai du regard une forme d’excitation me prie. Baskets et petite socquettes blanches, jupe tennis laissant à nu des jambes superbement dessinées. Là dessus un petit débardeur au décolleté généreux. Difficile de ne pas se sentir attiré par une fille aussi belle qui de toute évidence ne prenait pas beaucoup de peine à cacher ses charmes.
Voyant que je l’appréciais du regard, elle se crut obligée de me poser la question qui tue :
-Tu me trouve comment ?
Sont petit sourire coquin en disait long. Il ne faisait aucun doute qu’elle avait conscience de l’effet qu’elle me faisait et me connaissait assez bien, de plus, pour savoir que mon regard ne peut jamais faire sans plonger dans le premier décolleté venu. Le sien n’y faisait bien sur pas exception.
-Splendide, comme à ton habitude. Lui répondis-je avec le ton le plus détaché qu’il me fut possible de lui offrir.
Le dessus nous vérifiâmes le contenu de notre sac commun et nous mirent en route. La route fut des plus agréable et m’apportât pour ma part la joie de la voir 20 minutes découvrir ses jambes devant moi à chaque coup de pédale. Un pur moment de phantasme.
Durant ses quelques minutes toutes sortes de questions de principe se posèrent à moi. Etait-ce décent et raisonnable de fantasmer sur sa meilleure amie ? Notre relation ne devait-elle pas être au-dessus de tous désires sexuels ? Et si la possibilité m’était donner de la posséder devrais-je passer le cap ? Difficile donc de concilier ses instincts et ses principes dans de telle conditions.
Très vite nous arrivâmes au bois et nous posions le pied à terre afin de nous diriger vers un petit dégagement légèrement excentré de la route. L’endroit nous convenait et nous nous installâmes. En quelques secondes le sac fut ouvert et le drap étendu devant nous. Nous prîmes alors nos livres respectifs et après avoir trouvé le bon axe pour profiter pleinement du soleil, nous nous allongeâmes.
Plongés dans nos romans nous peinâmes à trouver notre bonne position et c’est contre moi que Véro trouva la sienne. Alors que le sac me servait d’oreiller elle me fît lui passer mon bras autour de son cou et se blottit contre moi. Ce moment me fit revenir en tête toutes mes questions existentielles précédentes. Je ne pouvais plus me concentrer sur mon roman et décidais de me laisser aller à la somnolence.
Mes yeux se fermèrent et la fatigue m’emporta. Je ne repris conscience que pour sentire une main passer sur mon sexe qui se mit à gonfler immédiatement. Faignant le sommeil je me laissais faire balayant par la même occasion toutes questions de principe. Finalement me dis-je ce n’est pas aussi difficile lorsqu’il s’agit de sexe.
Mon short fut baissé et ma compagne commença à me prendre délicatement dans ses mains douces et agiles. Elle se mit alors à me masturber, délicatement d’abord puis un peu plus frénétiquement ensuite. Ses gestes étaient précis et décidé. Toujours allongé les yeux fermés je sentit sa bouche sur mon gland. Ses lèvres douces et fermes faisaient un travail remarquable et la jouissance approchait à grand pas.
Ce n’est que pour l’éjaculation que j’ouvrit les yeux pour me rendre compte que tout n’était que rêve et qu’elle dormait belle et bien paisiblement à mes cotés.
Je ne put faire autrement que de passer l’heure suivante à la regarder resplendissante dans son sommeil.
La fin d’après midi approcha et nous reprîmes la route du retour elle innocente et charmante, moi la tête pleine de fantasme et une sensation d’éjaculation échouée.
Une fois arrivée à destination elle nous mit de la musique et m’invita à passer en premier sous la douche. Je m’exécutais sans discussion et pris mes affaires. Elle me sortit un nécessaire de toilette et m’indiqua les différents savons et autres shampoings.
Prestement je retirais mes vêtements et me glissa dans le bac de douche prenant grand soin à bien fermer la porte. Je réglai ensuite savamment la température et me mis sous le jet chaud et purificateur de l’eau.
Alors que mon corps et mon esprit se détendaient, une autre partie de moi-même se remémora ce délicieux rêve et une tension apparue au niveau de mon sexe. Je le sentit enfler et porta automatiquement ma main pour le presser et ainsi tenter de calmer mes ardeurs. Alors que je commençais à me caresser j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir. Cette intrusion soudaine mit fin à mes ardeurs et je me retournais pour faire dos à la vitre de la douche. Ma timidité me permis d’accentuer la surprise de ce qui allai se produire. La porte de la douche glissa et je sentis Laure y pénétrer. Elle dut ressentir ma gêne mais y fit abstraction. Je l’imaginais déjà nue derrière moi mais ne m’attendais pas à sentir ses seins fermes se coller contre mon dos.
Sa bouche s’approcha de mon oreille et me susurra quelques mots rassurants.
Me détendant un peu elle passa à de termes plus directs.
-Cela fait déjà longtemps que je fantasme sur toi tu sais. J’aime te regarder et je n’ai pas pus résister à l’envie de venir prendre ma douche avec toi. Ca te dérange ?
-Je ne m’attendais pas à ça, mais c’est fort plaisant. Furent les seuls mots que je fut capable de bredouiller.
Je me sentais gauche et cela semblait l’amuser.
Je sentis alors sa main passer sur ma jambe et la douceur de sa caresse raviva mon érection qui me semblait déjà être à son comble avant son arrivée.
-J’ai envie de sentire ta queue. J’aimerai que tu me l’offres, tu sais !
Joignant le geste à la parole sa main glissa et me prit.
Tout comme dans mon rêve je balayais toutes inhibitions et questions de principe et profita de ses caresses sensuelles le long de ma queue. Je sentais ses doigts passer de la base de ma queue à mon gland qui était gonflé comme jamais. Je me faisais branler par ma meilleure amie et je dut me rendre à l’évidence que cette simple pensée était excitante en elle-même.
Sa bouche venait régulièrement se poser dans le creux de mon cou et je sentais sa langue m’aguicher. Régulièrement elle me provoquait par de petites questions de circonstances.
-Tu aimes sentir mes doigts sur ton corps ?
-Bien sur, tu t’occupes de moi à merveille.
Je sentais toujours ses seins contre moi et sa bouche dans mon cou. Il fallait que je me lâche et que je vive la situation tel qu’elle l’avait crée, c’est à dire sans tabou. C’est en rejetant alors toute subtilité que je lui répondit selon mes désires en toute simplicité.
-J’adore tes caresses mais j’aimerai tellement que tu me suces maintenant !
J’avais un peu honte dans le fond de parler comme ça à ma confidente de longue date et de surcroît la personne que je respectais le plus ici bas. Honte qui disparut très vite alors qu’elle s’exécuta et que je la retrouvais à genoux devant moi. Elle me fit pivoter et reprit ma queue dans ses mains. Je pus admirer la forme de ses seins, ronds et fermes. Elle passa sa langue sur mon sexe plusieurs fois et posa ses lèvres sur mon gland. Elle ne se faisait donc pas prier et je semblais être le seul à ressentir de la culpabilité.
Sa bouche passa autour de mon sexe et je sentis sa chaleur m’envahir alors qu’elle me prenait vigoureusement entre ses lèvres, sa langue venant me titiller continuellement. Je me sentais grossir un peu plus dans sa bouche et il me semblait que je n’arrêterais jamais. Mon excitation était à son comble et je percevais l’approche d’une jouissance libératrice. Je l’accompagnais machinalement. Mes mains dans ses cheveux je la dominais et l’obligeais à soutenir le rythme qui m’excitai le plus.
Je sentit alors l’éjaculation arriver et lui dit du mieux que je pus. Perdu entre mots et jouissance j’enlevais mon sexe de sa bouche juste au moment ou une coulée de plaisir jaillit pour s’étendre sur ses seins. Elle continua quelques secondes encore à me caresser avant de se redresser. Je me sentais égoïste de ne rien lui avoir offert en échange.
Elle se colla contre moi et me mis sa tête dans le creux de mon cou tandis que je nettoyais le sperme de ses seins.
-Je ne t’ai rien donné en échange et j’en ai honte tu sais. Lui dis-je tendrement.
-Tu m’as apporté bien plus que tu ne le crois. J’ai adoré, tu sais ! Ne t’inquiète surtout pas avec ça, ce n’était que les préliminaires.
Elle m’embrassa alors amoureusement et nous nous lavâmes tendrement. L’eau ruisselant sur nos corps et nos mains virevoltant l’un sur l’autre contribuait à créer un climat toujours aussi érotique. Le désir n’avait pas faiblit avec mon éjaculation tel que j’aurais put le croire. Je passais beaucoup de temps à la laver et profitais de son dos si doux, de ses seins si pleins et de ses fesses rondes et fermes. Son sexe non plus ne fut pas en reste et je pris énormément de plaisir à glisser mes doigts entre ses cuisses sans jamais être autorisé à aller plus profond entre ses lèvres aguichantes.
L’excitation n’avait pas baissé et je compris à la sortie de la douche que le plus torride était à venir…………
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