Sous les jupes de l'institutrice...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sous les jupes de l'institutrice...
Un jour alors que je me tiens en bas des escaliers en train de bouquiner, voilà que ma voisine de palier qui vit seule, et après m’avoir salué se dirige vers le bloc des portes à lettres. Dans un silence seulement coupé par les bruits de vie de l’extérieur elle s’empare de son courrier. Je remarque qu’elle porte aux pieds des sandales à lanière qui me permet d’apercevoir à travers les mailles du nylon, les ongles de ses orteils laqués de rouge vif. Elle porte sous son imperméable ouvert une jupe portefeuille sous laquelle je peux distinguer ses formes.
Ceci fait elle prend l’escalier. Elle passe devant moi, pas sans me sourire. Je peux sentir ses odeurs. Je profite qu’elle a le dos tourné pour faufiler ma main à l’intérieur de ma braguette et masser ma queue.
Tout en me branlant je me couche sur les marches admirant une fois n’est pas coutume son cul. Comble de chance, il se trouve que grâce à ma pose allongée, je peux découvrir ses cuisses, voire un bout de sa culotte sous la transparence du nylon. Ce qui fait monter une pulsion en moi.
Le lendemain je suis au rendez-vous, comme la semaine auparavant et celle d’avant, espérant d’en voir un peu plus. Bien sûr je ne suis à l’abri qu’elle devine mon manège pervers à la force.
Il m’arrive le soir, de me masturber vivement en fouillant ma mémoire pour trouver l’image la plus excitante, et surtout en me remémorant ce que j’ai pu voir.
Le lendemain c’est mercredi et le mercredi c’est le jour des enfants donc elle n’exerce pas puisqu’elle est institutrice.
C’est donc le jeudi qu’elle m’arrive avec une jupe des plus courte. Aller savoir pourquoi ! Même cérémonial, sauf qu’elle m’offre ce jour là mieux qu’un bout de culotte. Des poils, oui de la foufoune. La coquine à hormis de se passer une culotte.
Je mets au fait qu’elle aime de temps à autre, ressentir ce souffle d’air frais sur son joli triangle poilu. Mais au comble de ma surprise la voilà, qu’elle s’immobilise un moment, tout en haut des marches. Là même où j’ai eu la plus belle vue de son anatomie.
Là elle se baisse un peu en écartant les jambes et passe lentement son majeur dans sa belle fente à trois ou quatre reprises. Il ne m’en faut pas plus. Cette belle salope vient de me faire éjaculer dans mon slip. Sans savoir les causes qu’en provoquer son exhibition, elle reprend sa route.
Les jours suivants, je me mets à l’épier à chaque fois qu’elle franchit la porte du hall.
Je trouve qu’elle a de plus en plus un beau cul, bien rond et même bien bombées. J’imagine sans grand mal de l’embrasser.
Un jour je pousse la provoque à mon tour. Je me mets dans un tel
état d’excitation que je bande à mort. La voilà qu’elle arrive. Je pousse l’audace jusqu’à me placer de façon à ce qu’elle puisse bien voir mon pénis gonflé que j’exhibe fièrement devant sa vue. Je trouve ça terriblement excitant.
-Tu n’as pas honte, me fait-elle.
-De quoi Madame ?
-Tu sais parfaitement à quoi je fais allusion !
-Mais… mais !
-Il n’y a pas de mais qui tienne. Je vais sur ce pas en parler à ta mère…
A ces mots j’ai mon cœur qui s’arrête momentanément. Je sens le pire. Elle va foncer jusqu’à chez moi ce plaindre à ma mère.
-Je… je… m’excuse madame. Je ne recommencerais plus…
-J’espère bien ! Fait-elle en grimpant les marches.
Pas question pour moi de regarder ce jour là, sous la jupe qu’elle porte orgueilleusement. On rentrant chez moi le soir même, je m’attendais à la tempête, sortant de la bouche de mes parents. Mais étrangement rien ! Je pousse un grand soupir de soulagement. Alors n’a rien dit. Je n’en reviens pas. pourquoi a-t-elle fait ça. Et si elle avait une idée en tête ? Peut-être trouve-t-elle normal qu’un garçon de mon âge agisse de la sorte. Ou alors qu’elle se fout éperdument que je me touche en la regardant. Peut-être même que cela lui fait même de l’effet pour la sienne.
Je suis dans une situation où je ne sais que faire. Dois-je, me passer de ce nouveau petit vice si délicieux ? Je ne sais pas ! Mais si l’institutrice n’a rien dit à ma mère c’est peut-être qu’elle attend pour voir si je vais récidiver avant de me rapporter.
Je fais travailler mes méninges pour me rappeler l’air qu’elle avait lors de mon exhibition. Si je me trompe pas, cela ne la pas choquée plus que ça, avant qu’elle m’interpelle. Je me rappel même de son petit sourire en coin. Sur le coup j’avais interpréter ça pour un encouragement à poursuivre.
La nuit donnant conseil, je décide le lendemain de me risquer. Me postant sur ma marche, je guette, le cœur battant, l’arrivée de l’institutrice. Comme d’habitude, elle arrive. Comme il fait beau, elle porte une minijupe et un corsage de dentelle dont sa poitrine menace de s’échapper. Elle récupère son courrier, pose son cartable, se positionne en face de moi et soulève le devant de sa jupette. Une fois encore, elle ne porte pas de culotte. J’ai devant les yeux son côté face. De belles jambes, et une belle chatte à l’état sauvage.
Pour lui donner le change, je me déboutonne et sors ma queue bandée, et me masturbe devant elle. Elle m’envoie des clins d’œil :
-Alors ça te plaît cochon ?
-Oh oui Madame…
-Tu vas juter au-moins ?
Ça ne va pas tarder Madame, alors que je braque mon regard sur sa chatte.
Elle reste comme ça devant moi à m’exhiber les poils de sa chatte. Et c’est en gémissant que j’expulse ma semence qui après avoir effectué un arc s’écrase sur le vieux carrelage du hall.
-Eh bien mon salaud ! Toi quand tu jutes, tu jutes. Bon salut à demain.
-A demain Madame.
Le rendez-vous est pris.
Mais le lendemain elle n’est pas au rendez-vous. Je me dis qu’elle a peut-être un peu de retard, alors je patiente. Mais une heure plus tard toujours pas d’institutrice. Alors, contrarié, je grimpe chez moi. Et alors que j’arrive sur mon palier la porte de la voisine s’ouvre et sans un mot juste avec un doigt elle m’invite à pénétrer sa tanière.
Elle porte une nuisette.
-Vas-y mon cochon entre dans mon antre. Tu sais pourquoi tu es là ?
-Je devine… oui !
-Tu devines quoi ?
-Que vous voulez que je fasse comme hier !
-Parfaitement deviner !
Elle laisse choir sa nuisette sur le parquet se met à gesticuler de façon sexy juste pour moi en m’ordonnant de me foutre à poil. Je bénis les Dieux de m’avoir mis au monde pour assister à ce genre de tranche de vie.
-Comme tu as un beau pénis ! et que ça fait tellement longtemps que je n’ai pas vue une queue, alors je me suis dit pourquoi pas en profiter ! Ai-je tord ?
-Non Madame !
- Et lorsque j’ai aperçut la tienne la première fois, je me suis tout de suite qu’il me la fallait celle-là.
-Et alors pourquoi m’avoir fait peur avec votre menace de tout dévoiler à mes parents ?
-Est-ce que je l’ai fait ?
-Non…
-Bon alors…Dis-moi, jeune homme est-ce que tu aimes mes seins ?
-Ils sont beaux Madame !
-Tu en as déjà téter ?
-Oui Madame !
-Alors exécution !
Je fais les quelques pas qui me sépare d’elle, et palpe sa poitrine. Quelle sensation extraordinaire. Ce n’est pas ce que j’aurai préféré qu’elle exige de moi mais j’approche ma bouche de sa belle tétine. Que j’entoure de mes lèvres. Quelques coups rapides de langue et je me lance à le téter doucement. Une vraie mamelle de vache. Elle me tient
la tête et laisse tomber :
-Tu ne peux pas savoir comme ça me fait un bien fou ! J’adore me faire téter ! C’est rare, mais quand je peux me les faire sucer, je n’hésite pas !
Sa main va rejoindre la mienne sur mon pénis bandé. Que j’abandonne à ses doigts. Ma queue se raidie à leurs contact. C’est une sensation excitante. Se laisser faire. Passif ! Elle étrangle le nœud pour faire bâiller le méat. Fait sourdre une goutte de mouille. Coup de langue à la base pour provoquer la contraction des muqueuses. J’aime qu’on s’occupe de ma verge. Sous peine de perdre l’équilibre. Défaillir. Elle me lape. Son autre main me presse les couilles. Elle me tâte, me suce, toute concentrée sur mon plaisir. A l’écoute de mes sensations.
Elle creuse les joues, m’aspire. Je vacille. Je sens que je suis proche de jouir. L’institutrice me pompe avec application. Elle absorbe mon jus. Barbara et Josette sont loin d’être à sa hauteur ! Elle me plante un doigt dans le cul. Ma verge est enflammée d’un plaisir douloureux. Je cri ma jouissance.
Le lendemain j’ai le même traitement. Elle va jusqu’à me toiletter le gland. Le contact sur mes muqueuses provoque des spasmes agréables. Puis elle passe la langue, étrangle ma verge. La presse entre ses doigts. Me provoquant un plaisir équivoque. Elle me branle lentement, guettant dans ma respiration la montée de la jouissance. Elle me prend dans sa bouche. Creuse les joues. Je sens l’effet de la succion. Je me contrôle pour ne pas crier. J’aime sa façon de sucer. Elle déglutit en me fixant. Elle passe son index sous mes couilles. Les pétrit avec ses autres doigts. Elle me griffe le trou du cul. J’adore qu’elle m’encule quand elle me suce. Sa tête monte et descend. Montée de jouissance. J’envois un geyser dans sa bouche. Mon anus étrangle son doigt. Elle suce, m’avale.
Je l’aide à se redresser et j’en profite pour que ma langue envahisse sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière, ma main droite descend, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à me repousser :
- Non… il ne faut pas !
-Laissez-vous tenter… fais-je en me collant à elle.
Je plaque mes lèvres sur ses seins et me mets à la téter. À la mordiller en grognant, en lui effleurant les poils de sa chatte. Elle halète :
- Cochon, c’est bon…
Elle est totalement à la merci. De ma main qui l’explore, alternant douceur et violence, tressautant hoquetant à bout de souffle. Elle joui plusieurs fois au bout de mes doigts. Elle fait des sauts de carpe. Les yeux vagues, elle demeure prostrée. Une odeur fauve et douceâtre taquine mes narines.
-Oh jeune homme… Oui j’adore me masturber et il m’arrive d’y penser longtemps à l’avance avec plaisir. Tu ne peux pas savoir comment je m’ennuis d’être seule.
-Prenez un compagnon…
-C’est pas ce que je désire. Je veux une queue occasionnellement.
-Je vois…
-Et si je te disais que je ne manque pas de me faire une séance par jour. Surtout le soir devant la télé. Je m’habille pour l’occasion avec des vêtements très érotiques. Je passe un temps fou à me regarder dans le miroir. Et là je me masturbe. Je fais appel à des fantasmes pour me mettre mentalement dans un état d’excitation. Il est également important que je sois seule.
Tout en parlant, machinalement du bout des doigts, elle frotte son pubis dans un geste lent. Sa moule odorante est dégoulinante de plaisir.
-Bon maintenant laisse-moi seule.
Tout en me fixant, elle passe sa main dans sa touffe et elle écarte et déforme sa fente du bout de ses doigts. M’exhibant l’intérieur de sa chatte. Rouge et luisante, et le vagin déjà bien entrouvert. Je lui lance :
- Je peux toucher comme c’est doux ?
J’avance ma main dans son entre cuisse chaude. Ça se sent qu’elle a envie de quelque chose de sale. Je presse mes doigts sur ses grosses lèvres, elle gémit et sa fente coule plus abondamment encore. Je masse de partout et surtout vers l’ouverture du vagin. J’effleure son bouton et ça la rend folle. Ses reins s’emballent, et son sexe s’écrase avec brutalité contre la paume de ma main de plus en plus gluante.
-Oui, encore ! C’est trop bon… a-t-elle crié. Pénètre-moi maintenant !
Je réunis mon majeur et mon index, et je les enfonce dans son fourreau. Je vrille mes doigts dans ses muqueuses gorgées de sang, le plus profond que je peux. J’active les va-et-vient de mes doigts qui font des bruits de clapotis entre ses cuisses ouvertes et relevés. Elle reste insatiable.
-Enfonce-moi quelque chose de gros et de bon !
Pour toute réponse j’entame un cunnilingus magistral. Me régalant de son fluide abondant. Elle halète alors que son ventre roule sous mes yeux. Elle se met la main devant la bouche pour étouffer ses râles de plaisir, alors que mes lèvres ont aspiré son clitoris, tout dur.
- Hmmm… oui !
Elle se tortille dans tous les sens. J’aspire la petite cerise tout en lui masturbant le vagin avec deux doigts. Dans un rapide va-et-vient.
- Je vais encore jouir putain ! Je vais jouir ! Oui !
Elle fut saisi par un orgasme tumultueux, qui la fait se plier en deux, avant de s‘arcbouter tout à coup et m’a échappé
- Ça suffit… je ne tiens plus… il me faut ta queue dans ma chatte.
Pour cela elle veut que je m’allonge sur le dos sur le lit. Elle m’enjambe et guide elle-même mon sexe pour s’empaler dessus. Je savoure la sensation du fourreau de chair brûlante autour de mon membre.
Je comprime ses seins fermes, puis j’en ai aspiré et en ai léché les bouts. Des seins humides de sueur, dont en émane une odeur acide plus forte. Je les mordille tout en passant mes mains sous les fesses nerveuses afin de lui tripoter à nouveau le cul.
Elle s’agite de plus en plus vite. Je ne peux retenir plus longtemps mon éjaculation. Me vidant à longs jets et je colle ma bouche sur la sienne. Lui suçant la langue. Elle pousse un cri tel que je sursaute.
Son vagin est parcouru de spasme. Il me semble être comme aspiré par sa chatte gluante.
Avant de partir, j’ai eu droit à un cadeau. Oui, un cadeau. Une culotte de fin de journée. Pleine de transpirations, de sécrétions, de moiteurs, de fuites odorantes.
Ceci fait elle prend l’escalier. Elle passe devant moi, pas sans me sourire. Je peux sentir ses odeurs. Je profite qu’elle a le dos tourné pour faufiler ma main à l’intérieur de ma braguette et masser ma queue.
Tout en me branlant je me couche sur les marches admirant une fois n’est pas coutume son cul. Comble de chance, il se trouve que grâce à ma pose allongée, je peux découvrir ses cuisses, voire un bout de sa culotte sous la transparence du nylon. Ce qui fait monter une pulsion en moi.
Le lendemain je suis au rendez-vous, comme la semaine auparavant et celle d’avant, espérant d’en voir un peu plus. Bien sûr je ne suis à l’abri qu’elle devine mon manège pervers à la force.
Il m’arrive le soir, de me masturber vivement en fouillant ma mémoire pour trouver l’image la plus excitante, et surtout en me remémorant ce que j’ai pu voir.
Le lendemain c’est mercredi et le mercredi c’est le jour des enfants donc elle n’exerce pas puisqu’elle est institutrice.
C’est donc le jeudi qu’elle m’arrive avec une jupe des plus courte. Aller savoir pourquoi ! Même cérémonial, sauf qu’elle m’offre ce jour là mieux qu’un bout de culotte. Des poils, oui de la foufoune. La coquine à hormis de se passer une culotte.
Je mets au fait qu’elle aime de temps à autre, ressentir ce souffle d’air frais sur son joli triangle poilu. Mais au comble de ma surprise la voilà, qu’elle s’immobilise un moment, tout en haut des marches. Là même où j’ai eu la plus belle vue de son anatomie.
Là elle se baisse un peu en écartant les jambes et passe lentement son majeur dans sa belle fente à trois ou quatre reprises. Il ne m’en faut pas plus. Cette belle salope vient de me faire éjaculer dans mon slip. Sans savoir les causes qu’en provoquer son exhibition, elle reprend sa route.
Les jours suivants, je me mets à l’épier à chaque fois qu’elle franchit la porte du hall.
Je trouve qu’elle a de plus en plus un beau cul, bien rond et même bien bombées. J’imagine sans grand mal de l’embrasser.
Un jour je pousse la provoque à mon tour. Je me mets dans un tel
état d’excitation que je bande à mort. La voilà qu’elle arrive. Je pousse l’audace jusqu’à me placer de façon à ce qu’elle puisse bien voir mon pénis gonflé que j’exhibe fièrement devant sa vue. Je trouve ça terriblement excitant.
-Tu n’as pas honte, me fait-elle.
-De quoi Madame ?
-Tu sais parfaitement à quoi je fais allusion !
-Mais… mais !
-Il n’y a pas de mais qui tienne. Je vais sur ce pas en parler à ta mère…
A ces mots j’ai mon cœur qui s’arrête momentanément. Je sens le pire. Elle va foncer jusqu’à chez moi ce plaindre à ma mère.
-Je… je… m’excuse madame. Je ne recommencerais plus…
-J’espère bien ! Fait-elle en grimpant les marches.
Pas question pour moi de regarder ce jour là, sous la jupe qu’elle porte orgueilleusement. On rentrant chez moi le soir même, je m’attendais à la tempête, sortant de la bouche de mes parents. Mais étrangement rien ! Je pousse un grand soupir de soulagement. Alors n’a rien dit. Je n’en reviens pas. pourquoi a-t-elle fait ça. Et si elle avait une idée en tête ? Peut-être trouve-t-elle normal qu’un garçon de mon âge agisse de la sorte. Ou alors qu’elle se fout éperdument que je me touche en la regardant. Peut-être même que cela lui fait même de l’effet pour la sienne.
Je suis dans une situation où je ne sais que faire. Dois-je, me passer de ce nouveau petit vice si délicieux ? Je ne sais pas ! Mais si l’institutrice n’a rien dit à ma mère c’est peut-être qu’elle attend pour voir si je vais récidiver avant de me rapporter.
Je fais travailler mes méninges pour me rappeler l’air qu’elle avait lors de mon exhibition. Si je me trompe pas, cela ne la pas choquée plus que ça, avant qu’elle m’interpelle. Je me rappel même de son petit sourire en coin. Sur le coup j’avais interpréter ça pour un encouragement à poursuivre.
La nuit donnant conseil, je décide le lendemain de me risquer. Me postant sur ma marche, je guette, le cœur battant, l’arrivée de l’institutrice. Comme d’habitude, elle arrive. Comme il fait beau, elle porte une minijupe et un corsage de dentelle dont sa poitrine menace de s’échapper. Elle récupère son courrier, pose son cartable, se positionne en face de moi et soulève le devant de sa jupette. Une fois encore, elle ne porte pas de culotte. J’ai devant les yeux son côté face. De belles jambes, et une belle chatte à l’état sauvage.
Pour lui donner le change, je me déboutonne et sors ma queue bandée, et me masturbe devant elle. Elle m’envoie des clins d’œil :
-Alors ça te plaît cochon ?
-Oh oui Madame…
-Tu vas juter au-moins ?
Ça ne va pas tarder Madame, alors que je braque mon regard sur sa chatte.
Elle reste comme ça devant moi à m’exhiber les poils de sa chatte. Et c’est en gémissant que j’expulse ma semence qui après avoir effectué un arc s’écrase sur le vieux carrelage du hall.
-Eh bien mon salaud ! Toi quand tu jutes, tu jutes. Bon salut à demain.
-A demain Madame.
Le rendez-vous est pris.
Mais le lendemain elle n’est pas au rendez-vous. Je me dis qu’elle a peut-être un peu de retard, alors je patiente. Mais une heure plus tard toujours pas d’institutrice. Alors, contrarié, je grimpe chez moi. Et alors que j’arrive sur mon palier la porte de la voisine s’ouvre et sans un mot juste avec un doigt elle m’invite à pénétrer sa tanière.
Elle porte une nuisette.
-Vas-y mon cochon entre dans mon antre. Tu sais pourquoi tu es là ?
-Je devine… oui !
-Tu devines quoi ?
-Que vous voulez que je fasse comme hier !
-Parfaitement deviner !
Elle laisse choir sa nuisette sur le parquet se met à gesticuler de façon sexy juste pour moi en m’ordonnant de me foutre à poil. Je bénis les Dieux de m’avoir mis au monde pour assister à ce genre de tranche de vie.
-Comme tu as un beau pénis ! et que ça fait tellement longtemps que je n’ai pas vue une queue, alors je me suis dit pourquoi pas en profiter ! Ai-je tord ?
-Non Madame !
- Et lorsque j’ai aperçut la tienne la première fois, je me suis tout de suite qu’il me la fallait celle-là.
-Et alors pourquoi m’avoir fait peur avec votre menace de tout dévoiler à mes parents ?
-Est-ce que je l’ai fait ?
-Non…
-Bon alors…Dis-moi, jeune homme est-ce que tu aimes mes seins ?
-Ils sont beaux Madame !
-Tu en as déjà téter ?
-Oui Madame !
-Alors exécution !
Je fais les quelques pas qui me sépare d’elle, et palpe sa poitrine. Quelle sensation extraordinaire. Ce n’est pas ce que j’aurai préféré qu’elle exige de moi mais j’approche ma bouche de sa belle tétine. Que j’entoure de mes lèvres. Quelques coups rapides de langue et je me lance à le téter doucement. Une vraie mamelle de vache. Elle me tient
la tête et laisse tomber :
-Tu ne peux pas savoir comme ça me fait un bien fou ! J’adore me faire téter ! C’est rare, mais quand je peux me les faire sucer, je n’hésite pas !
Sa main va rejoindre la mienne sur mon pénis bandé. Que j’abandonne à ses doigts. Ma queue se raidie à leurs contact. C’est une sensation excitante. Se laisser faire. Passif ! Elle étrangle le nœud pour faire bâiller le méat. Fait sourdre une goutte de mouille. Coup de langue à la base pour provoquer la contraction des muqueuses. J’aime qu’on s’occupe de ma verge. Sous peine de perdre l’équilibre. Défaillir. Elle me lape. Son autre main me presse les couilles. Elle me tâte, me suce, toute concentrée sur mon plaisir. A l’écoute de mes sensations.
Elle creuse les joues, m’aspire. Je vacille. Je sens que je suis proche de jouir. L’institutrice me pompe avec application. Elle absorbe mon jus. Barbara et Josette sont loin d’être à sa hauteur ! Elle me plante un doigt dans le cul. Ma verge est enflammée d’un plaisir douloureux. Je cri ma jouissance.
Le lendemain j’ai le même traitement. Elle va jusqu’à me toiletter le gland. Le contact sur mes muqueuses provoque des spasmes agréables. Puis elle passe la langue, étrangle ma verge. La presse entre ses doigts. Me provoquant un plaisir équivoque. Elle me branle lentement, guettant dans ma respiration la montée de la jouissance. Elle me prend dans sa bouche. Creuse les joues. Je sens l’effet de la succion. Je me contrôle pour ne pas crier. J’aime sa façon de sucer. Elle déglutit en me fixant. Elle passe son index sous mes couilles. Les pétrit avec ses autres doigts. Elle me griffe le trou du cul. J’adore qu’elle m’encule quand elle me suce. Sa tête monte et descend. Montée de jouissance. J’envois un geyser dans sa bouche. Mon anus étrangle son doigt. Elle suce, m’avale.
Je l’aide à se redresser et j’en profite pour que ma langue envahisse sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière, ma main droite descend, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à me repousser :
- Non… il ne faut pas !
-Laissez-vous tenter… fais-je en me collant à elle.
Je plaque mes lèvres sur ses seins et me mets à la téter. À la mordiller en grognant, en lui effleurant les poils de sa chatte. Elle halète :
- Cochon, c’est bon…
Elle est totalement à la merci. De ma main qui l’explore, alternant douceur et violence, tressautant hoquetant à bout de souffle. Elle joui plusieurs fois au bout de mes doigts. Elle fait des sauts de carpe. Les yeux vagues, elle demeure prostrée. Une odeur fauve et douceâtre taquine mes narines.
-Oh jeune homme… Oui j’adore me masturber et il m’arrive d’y penser longtemps à l’avance avec plaisir. Tu ne peux pas savoir comment je m’ennuis d’être seule.
-Prenez un compagnon…
-C’est pas ce que je désire. Je veux une queue occasionnellement.
-Je vois…
-Et si je te disais que je ne manque pas de me faire une séance par jour. Surtout le soir devant la télé. Je m’habille pour l’occasion avec des vêtements très érotiques. Je passe un temps fou à me regarder dans le miroir. Et là je me masturbe. Je fais appel à des fantasmes pour me mettre mentalement dans un état d’excitation. Il est également important que je sois seule.
Tout en parlant, machinalement du bout des doigts, elle frotte son pubis dans un geste lent. Sa moule odorante est dégoulinante de plaisir.
-Bon maintenant laisse-moi seule.
Tout en me fixant, elle passe sa main dans sa touffe et elle écarte et déforme sa fente du bout de ses doigts. M’exhibant l’intérieur de sa chatte. Rouge et luisante, et le vagin déjà bien entrouvert. Je lui lance :
- Je peux toucher comme c’est doux ?
J’avance ma main dans son entre cuisse chaude. Ça se sent qu’elle a envie de quelque chose de sale. Je presse mes doigts sur ses grosses lèvres, elle gémit et sa fente coule plus abondamment encore. Je masse de partout et surtout vers l’ouverture du vagin. J’effleure son bouton et ça la rend folle. Ses reins s’emballent, et son sexe s’écrase avec brutalité contre la paume de ma main de plus en plus gluante.
-Oui, encore ! C’est trop bon… a-t-elle crié. Pénètre-moi maintenant !
Je réunis mon majeur et mon index, et je les enfonce dans son fourreau. Je vrille mes doigts dans ses muqueuses gorgées de sang, le plus profond que je peux. J’active les va-et-vient de mes doigts qui font des bruits de clapotis entre ses cuisses ouvertes et relevés. Elle reste insatiable.
-Enfonce-moi quelque chose de gros et de bon !
Pour toute réponse j’entame un cunnilingus magistral. Me régalant de son fluide abondant. Elle halète alors que son ventre roule sous mes yeux. Elle se met la main devant la bouche pour étouffer ses râles de plaisir, alors que mes lèvres ont aspiré son clitoris, tout dur.
- Hmmm… oui !
Elle se tortille dans tous les sens. J’aspire la petite cerise tout en lui masturbant le vagin avec deux doigts. Dans un rapide va-et-vient.
- Je vais encore jouir putain ! Je vais jouir ! Oui !
Elle fut saisi par un orgasme tumultueux, qui la fait se plier en deux, avant de s‘arcbouter tout à coup et m’a échappé
- Ça suffit… je ne tiens plus… il me faut ta queue dans ma chatte.
Pour cela elle veut que je m’allonge sur le dos sur le lit. Elle m’enjambe et guide elle-même mon sexe pour s’empaler dessus. Je savoure la sensation du fourreau de chair brûlante autour de mon membre.
Je comprime ses seins fermes, puis j’en ai aspiré et en ai léché les bouts. Des seins humides de sueur, dont en émane une odeur acide plus forte. Je les mordille tout en passant mes mains sous les fesses nerveuses afin de lui tripoter à nouveau le cul.
Elle s’agite de plus en plus vite. Je ne peux retenir plus longtemps mon éjaculation. Me vidant à longs jets et je colle ma bouche sur la sienne. Lui suçant la langue. Elle pousse un cri tel que je sursaute.
Son vagin est parcouru de spasme. Il me semble être comme aspiré par sa chatte gluante.
Avant de partir, j’ai eu droit à un cadeau. Oui, un cadeau. Une culotte de fin de journée. Pleine de transpirations, de sécrétions, de moiteurs, de fuites odorantes.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très excitante
Bravo pour ce texte magnifique.
Avez vous vu mes récits dont les thèmes, densité des détails, descriptions y ressemblent pas mal.
A bientôt.
Avez vous vu mes récits dont les thèmes, densité des détails, descriptions y ressemblent pas mal.
A bientôt.
Super... cela nous à bien existés... et pour la 1ere fois j'ai proposé de l'enculer.... et pourquoi pas m'a t'elle dit en me caressant... Mais en hyper douceur parce que j'ai peur.... on va essayer,,,... MERCI.
Très bon, nous aussi ont juis et on baise après avoir lu à haute voix... cela m'a permis d'aborder pour la 1ere fois l'envie d'enculer ma femme.... Pourquoi pas essayer m'a t'elle dit ... mais très en douceur... of course...après t'avoir sucée et ...
Superbe. Ultra erotique. Bravo. Merci.
très belle histoire