Sous les yeux de mon mari : Soumise à deux hommes
Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Sous les yeux de mon mari : Soumise à deux hommes
Résumé: Corinne, mariée à Nicolas, explore une relation extraconjugale avec Alain, un homme plus âgé. Avec l'approbation de Nicolas, elle se soumet à Alain, tandis que son mari observe et participe, brisant les limites de leur sexualité et complicité de couple.
——
Corinne était allongée dans son lit, la tête posée sur l’oreiller encore imprégné de l’odeur de Nicolas. La confession de son aventure avec Alain avait bouleversé leur couple, mais pas dans le sens qu’elle aurait imaginé. Loin de s’indigner ou de la rejeter, Nicolas s’était montré curieux, excité même, par la transgression de sa femme. Il avait pris son rôle de spectateur dans cette histoire avec une implication qu’elle n’avait pas anticipée, une perversion subtile qui résonnait étrangement avec ses propres désirs enfouis. Ce soir-là, après avoir tout avoué, ils avaient fait l’amour comme jamais auparavant, portés par une intensité qu’aucun d’eux n’avait connue depuis des années.
Depuis, un nouvel équilibre s’était installé dans leur relation. Loin d’être déstabilisés par ce qui aurait pu les détruire, ils avaient trouvé une forme de complicité perverse, où l’interdit nourrissait leur désir mutuel. Cependant, cette nouvelle dynamique n’était pas sans risques. Corinne le savait, à chaque nouvelle étape, ils repoussaient les limites de leur relation, et elle craignait que tout cela ne se retourne contre eux à un moment ou à un autre.
Alain n’était pas sorti de sa vie après cette première rencontre. Bien au contraire. Il continuait d’envoyer des messages, jouant de son autorité pour la pousser à aller encore plus loin. Mais cette fois-ci, Alain ne lui proposait plus seulement des rencontres secrètes dans des hôtels. Il voulait entrer dans leur intimité, dans la sphère privée de leur couple. Cela la troublait profondément, mais l’idée la fascinait aussi. Alain avait toujours su lire en elle, deviner ses fantasmes les plus inavouables. Et cette fois, il lui avait proposé quelque chose de nouveau, quelque chose de plus audacieux encore.
Un soir, alors que Nicolas et elle étaient assis ensemble après le dîner, Corinne sentit le besoin de lui parler de ce que lui avait proposé Alain.
— Il veut venir ici, chez nous, commença-t-elle, jouant nerveusement avec son verre de vin.
Nicolas releva la tête, surpris, mais pas réfractaire. Il attendait qu’elle en dise plus.
— Il m’a dit qu’il aimerait me voir… avec toi. Il veut que tu sois là, que tu regardes. Peut-être même que tu participes, si tu en as envie, ajouta-t-elle, sa voix tremblant légèrement.
Nicolas resta silencieux un instant, réfléchissant à ce que cela impliquait. Ils avaient déjà franchi de nombreuses barrières ensemble, mais cette proposition les poussait encore plus loin dans l’exploration de leurs désirs partagés.
— Et toi, qu’est-ce que tu en penses ? demanda-t-il finalement, son regard plongé dans le sien.
Corinne prit une profonde inspiration. Elle avait du mal à admettre ce qu’elle ressentait vraiment, mais au fond, elle savait qu’elle était tentée. L’idée qu’Alain puisse entrer dans leur maison, dans leur espace privé, et la prendre sous les yeux de Nicolas, réveillait en elle des fantasmes puissants. Mais elle savait aussi que cela pourrait tout changer entre eux, définitivement.
— Je crois que j’en ai envie, murmura-t-elle finalement. Mais seulement si tu es d’accord. Je ne veux pas que ça te blesse, Nicolas. Ça pourrait être trop… ou nous emmener trop loin.
Nicolas la fixa intensément, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il posa son verre et s’approcha d’elle, passant une main dans ses cheveux.
— Ça ne me blesse pas, Corinne. Je pense que ça m’excite, même, avoua-t-il doucement. Si c’est ce que tu veux, alors je veux aussi essayer.
Cette réponse, simple et directe, la soulagea autant qu’elle l’excita. Ils étaient prêts à franchir cette nouvelle étape, ensemble. L’idée que Nicolas puisse être là, qu’il participe d’une certaine manière à cette nouvelle rencontre avec Alain, changeait tout. Cela rendait la situation à la fois plus risquée et plus excitante. Corinne se demanda si leur relation pourrait réellement supporter ce poids, mais en cet instant, elle ne voulait pas y penser. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle désirait plus que jamais vivre cette expérience.
Le lendemain, elle contacta Alain pour lui donner son accord. Ce dernier, comme elle s’y attendait, se montra ravi de cette nouvelle. Il savait parfaitement jouer avec ses désirs, et l’idée de dominer non seulement Corinne, mais aussi de pénétrer l’intimité de son couple, le fascinait. Il fixèrent le rendez-vous pour la fin de la semaine, un vendredi soir, lorsque Nicolas et Corinne seraient tous les deux disponibles et prêts.
Les jours qui suivirent furent étranges pour Corinne. Elle alternait entre l’excitation et l’appréhension, se demandant constamment si elle faisait le bon choix. Mais chaque fois que Nicolas la prenait dans ses bras, chaque fois qu’il lui murmurait des mots doux ou provocateurs à propos de cette rencontre à venir, elle sentait son désir monter. Ils se lançaient dans un jeu dangereux, mais ils le faisaient ensemble, et c’était ce qui lui donnait la force de continuer.
Enfin, le vendredi arriva. La journée s’étira avec une lenteur insupportable. Corinne avait pris soin de se préparer minutieusement, choisissant une robe élégante mais suggestive, et une lingerie fine qu’Alain avait déjà vue lors de leurs rencontres précédentes. Nicolas, de son côté, restait calme, comme s’il était parfaitement à l’aise avec ce qui allait se passer, mais elle pouvait lire dans ses gestes une tension sous-jacente. Lui aussi était nerveux, bien qu’il n’en dise rien.
Alain arriva à l’heure prévue, comme toujours, avec cette assurance tranquille qui le caractérisait. Corinne sentit son cœur s’emballer en le voyant franchir la porte de leur maison, cette fois non plus comme un amant clandestin, mais comme une figure centrale de cette nouvelle aventure qu’ils allaient partager à trois.
— Bonsoir, Corinne, bonsoir Nicolas, dit-il en entrant, son sourire discret mais chargé de sous-entendus.
L’atmosphère dans la pièce changea instantanément. La tension sexuelle, déjà présente, devint palpable. Corinne se tenait près de Nicolas, incertaine de ce qui allait suivre. Elle sentait le regard d’Alain sur elle, lourd de désir, mais cette fois, il ne la toucherait pas immédiatement. Il attendait. Il prenait son temps, comme à son habitude, savourant chaque seconde.
— Alors, vous êtes prêts ? demanda-t-il finalement, brisant le silence.
Corinne et Nicolas échangèrent un regard. Ils étaient là, au seuil de quelque chose de nouveau, quelque chose de dangereux, mais aucun d’eux ne voulait reculer.
— Oui, répondit-elle d’une voix douce
La tension monte…
Corinne sentait la tension s’épaissir dans l’air à mesure qu’Alain s’installait dans leur salon, prenant place dans un fauteuil face à eux. Nicolas et elle étaient assis côte à côte sur le canapé, leurs corps légèrement tendus par l’anticipation. Ce moment, qu’ils avaient tous trois préparé et attendu, semblait à la fois irréel et inévitable. Pour la première fois, Corinne se retrouvait face à Alain non plus comme une maîtresse dissimulée, mais en présence de son mari, dans l’intimité de leur propre maison. C’était à la fois troublant et terriblement excitant.
Alain était détendu, son regard perçant alternant entre Corinne et Nicolas. Il semblait totalement à l’aise, comme s’il avait toujours eu sa place ici, dans leur espace privé. Pourtant, son calme n’était pas celui de l’attente, mais celui de la maîtrise. Il savait qu’il avait le contrôle, et cela se lisait dans chacun de ses gestes. Sa voix, quand il parla enfin, était douce, mais empreinte de cette autorité qu’il exerçait si naturellement.
— Alors, Nicolas, tu veux vraiment voir ta femme avec un autre homme ? demanda-t-il, brisant le silence avec une question qui ne laissait aucune place à l’ambiguïté.
Nicolas, jusque-là silencieux, hocha la tête avec un sourire légèrement tendu. Sa main effleura instinctivement la cuisse de Corinne, un geste à la fois protecteur et possessif, comme s’il essayait de se rassurer sur la situation. Malgré son excitation, Corinne sentait bien que son mari se trouvait aussi sur un terrain inconnu, tout comme elle. Mais sa réponse, claire et directe, n’avait aucune hésitation.
— Oui, je le veux, répondit-il calmement, fixant Alain dans les yeux.
Ce simple échange de mots électrisa encore davantage l’atmosphère. Corinne sentait ses joues rougir légèrement, son souffle devenir plus court. L’idée que Nicolas veuille réellement voir cela, qu’il trouve son propre plaisir dans cette situation, la déstabilisait autant qu’elle l’excitait. Il y avait une forme de perversion dans cette complicité partagée, une perversion qu’ils étaient sur le point de vivre pleinement.
Alain sourit légèrement, satisfait de la réponse de Nicolas. Il se leva lentement du fauteuil et s’approcha de Corinne, ses mouvements mesurés, comme toujours. Chaque pas semblait calculé, destiné à maintenir cette tension qu’il contrôlait à la perfection. Quand il se pencha vers elle, son regard plongé dans le sien, elle sentit une vague d’excitation et de nervosité la submerger.
— Et toi, Corinne ? Tu es prête ? demanda-t-il, sa voix grave résonnant dans le silence de la pièce.
Elle hocha la tête sans dire un mot, incapable de répondre autrement tant l’excitation et la nervosité se mêlaient en elle. Sa gorge était sèche, son cœur battait à tout rompre. Elle savait que ce moment marquait un point de non-retour. Alain se tenait maintenant si près d’elle qu’elle pouvait sentir la chaleur de son corps, et cette proximité la rendait fébrile. Nicolas, à côté d’elle, observait chaque mouvement, son regard brillant d’un mélange de curiosité et de désir.
Alain ne perdit pas de temps. Il s’agenouilla devant elle, ses mains effleurant délicatement ses genoux. Il les écarta légèrement, révélant la peau nue de ses cuisses sous la robe qu’elle avait choisie pour lui. Ses doigts glissèrent lentement le long de ses jambes, remontant avec une lenteur délibérée. Corinne frissonna sous ce contact, se mordant la lèvre pour étouffer un gémissement.
— Tu es magnifique, murmura-t-il, ses yeux parcourant son corps avec une intensité qui la faisait fondre.
Corinne jeta un regard furtif à Nicolas, cherchant dans ses yeux une forme d’approbation. Il la regardait avec une fascination évidente, ses yeux brillants de désir. Voir son mari excité par la scène qui se déroulait sous ses yeux renforça encore son propre plaisir. Elle n’avait jamais imaginé que ce moment, si chargé de danger, pourrait aussi être le déclencheur d’une telle excitation partagée entre eux.
— Je veux que tu me montres à quel point tu le désires, Corinne, dit Alain, sa voix douce mais autoritaire.
Ses doigts remontèrent plus haut, glissant sous le tissu de sa robe, caressant la peau sensible de ses hanches avant de s’attarder sur la dentelle fine de sa culotte. Corinne sentit son souffle se couper, son corps tout entier tendu vers ce moment inévitable. Elle se laissait totalement aller, ne pensant plus qu’à ce que son corps ressentait sous les doigts experts d’Alain.
Puis, lentement, il fit glisser sa culotte le long de ses jambes, dévoilant son sexe nu sous le regard attentif de Nicolas. Corinne sentit une vague de chaleur la submerger en se rendant compte de la situation : elle était exposée, vulnérable, mais aussi plus excitée qu’elle ne l’avait jamais été. La main de Nicolas se serra doucement sur sa cuisse, un geste silencieux qui exprimait tout à la fois sa tension et son désir.
Alain, toujours agenouillé devant elle, se pencha pour déposer un baiser léger sur l’intérieur de sa cuisse, sa bouche effleurant sa peau avec une tendresse qui contrastait avec la tension de la situation. Corinne ferma les yeux, se laissant emporter par cette sensation, son corps réagissant instinctivement à chaque geste d’Alain.
— Regarde-le, Corinne, murmura Alain en levant la tête vers elle. Regarde Nicolas pendant que je te fais jouir.
Cette demande, intime et transgressive, fit monter l’excitation d’un cran. Corinne ouvrit les yeux et tourna la tête vers Nicolas. Il la fixait, son regard brûlant de désir. À cet instant, elle comprit que ce qu’ils vivaient tous les trois dépassait le simple plaisir physique. C’était un jeu de pouvoir, de domination et de complicité. Le plaisir qu’elle ressentait n’était plus seulement le sien, mais celui de Nicolas aussi, qui se délectait de chaque geste, de chaque soupir.
Alain n’attendit pas plus longtemps. Sa bouche descendit lentement entre les cuisses de Corinne, ses lèvres et sa langue explorant chaque centimètre de sa peau avec une précision exquise. Corinne laissa échapper un gémissement, incapable de contenir le plaisir qui montait en elle. Ses mains agrippèrent les draps du canapé, son corps se cambrant légèrement sous l’assaut des sensations qui la submergeaient.
Nicolas, toujours silencieux, se rapprocha un peu plus d’elle, sa main se posant sur son ventre, caressant doucement sa peau nue. Il la touchait avec une tendresse qui contrastait avec la fougue d’Alain. Ce mélange de douceur et de domination créait en elle une tempête de sensations.
Alain intensifia ses mouvements, sa langue jouant habilement avec son clitoris, tandis que ses doigts exploraient son sexe humide de désir. Corinne sentit une vague de plaisir monter rapidement en elle, son corps tout entier tendu vers cet orgasme inévitable. Chaque mouvement d’Alain la rapprochait un peu plus de cette explosion de plaisir, et savoir que Nicolas était là, qu’il la regardait, rendait chaque sensation encore plus intense.
— Tu es si excitée, Corinne, souffla Alain entre deux mouvements de langue. Tu aimes ça, n’est-ce pas ? Être prise par un autre homme sous les yeux de ton mari ?
Elle ne put répondre que par un gémissement, son esprit entièrement focalisé sur le plaisir qui montait en elle. Alain la connaissait trop bien, savait exactement comment la pousser à ses limites, et en cet instant, elle n’était plus qu’une marionnette entre ses mains expertes.
Puis, enfin, l’orgasme la submergea, la prenant par surprise. Son corps se tendit, un cri étouffé échappant à ses lèvres alors qu’une vague de plaisir intense la traversait de part en part. Alain ne s’arrêta pas, continuant ses mouvements jusqu’à ce qu’elle soit complètement submergée par l’extase.
Elle se laissa retomber contre le canapé, haletante.
Corinne, reçu l ordre de se mettre ensuite à quatre pattes sur le lit, elle sentait la tension monter dans chaque fibre de son corps. Alain, derrière elle, la pénétrait avec une lenteur calculée, chaque coup de reins envoyant des vagues de plaisir à travers son corps. Le regard de Nicolas, assis à quelques centimètres d’eux, intensifiait encore plus cette excitation. Ce moment, où elle se trouvait entre ces deux hommes, son mari et cet amant qu’ils partageaient, représentait une nouvelle frontière dans leur relation. Une frontière qu’ils étaient prêts à franchir ensemble.
La sensation du sexe d’Alain, épais et dur, s’enfonçant en elle, était déjà presque trop intense, mais le fait de sentir Nicolas si proche, ses yeux rivés sur eux, ajoutait une couche de désir qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. Alain accélérait doucement, ses mouvements gagnant en rythme et en intensité, mais sans jamais la brusquer. Il savait exactement comment la conduire à l’extase, et chaque seconde la rapprochait un peu plus de cet inévitable point de non-retour.
Nicolas, de son côté, regardait son épouse se faire prendre par cet homme plus âgé avec une fascination qui le bouleversait. Voir Corinne se donner ainsi, s’abandonner à cet autre homme sous ses yeux, éveillait en lui des désirs qu’il n’aurait jamais imaginés auparavant. Mais ce n’était pas de la jalousie. C’était une perversion partagée, une excitation croissante à l’idée de faire partie de cette expérience avec elle. Il observait silencieusement tout en se masturbant .
Alain ralentit légèrement ses coups de reins, savourant le moment, tandis qu’il se penchait vers l’avant pour murmurer à l’oreille de Corinne.
— Je vais te remplir, souffla-t-il, sa voix grave, son souffle chaud contre son cou. Et ton mari va tout nettoyer.
Corinne frissonna à ces mots, une vague de plaisir la traversant à l’idée de ce qui allait suivre. Elle avait toujours senti une étincelle de curiosité bisexuelle chez Nicolas, mais jamais elle n’aurait imaginé le voir participer à ce jeu de manière aussi directe. Pourtant, maintenant, l’idée d’être au centre de cette dynamique la rendait folle de désir. L’envie de plaire à Alain, de satisfaire Nicolas, tout se mélangeait dans un tourbillon de plaisir insoutenable.
— Tu es prête, Corinne ? demanda Alain tout en accentuant la pression de ses hanches contre elle.
— Oui… je suis prête, répondit-elle d’une voix tremblante.
Alain accéléra encore le rythme, ses coups de reins devenant plus rapides, plus profonds. Corinne, incapable de contenir ses gémissements, se laissait aller complètement, ses mains agrippant les draps tandis que son corps se préparait à recevoir l’orgasme qui montait en elle. Chaque mouvement d’Alain la poussait un peu plus loin dans cette transe de plaisir, et elle savait qu’elle n’allait pas tarder à exploser.
Nicolas, toujours assis à côté d’eux, regardait son épouse se faire prendre avec une intensité presque religieuse. Ses yeux ne quittaient pas leur union, la manière dont le sexe d’Alain s’enfonçait en elle, la manière dont Corinne répondait à chaque poussée avec un plaisir évident. Il se préparait mentalement à ce que son rôle devienne plus actif, excité par l’idée de participer à cette scène de manière encore plus intime.
Finalement, Alain laissa échapper un grognement sourd, et Corinne sentit son sexe pulser en elle. Un flot de chaleur la remplit, alors qu’Alain déversait son sperme profondément dans son ventre. La sensation de ce liquide brûlant l’envahit, et elle ne put s’empêcher de jouir à son tour, son corps se tendant sous la vague de plaisir incontrôlable qui la traversa.
Alors que Corinne tremblait encore sous l’effet de son orgasme, Alain se retira lentement, laissant son liquide s’écouler doucement hors d’elle. Il se redressa, visiblement satisfait de l’effet qu’il avait produit. Mais il n’en avait pas terminé.
— Maintenant, Nicolas, c’est à toi, dit-il calmement, un sourire en coin. Viens nettoyer ta femme.
Corinne, haletante, les jambes encore tremblantes, se laissa retomber sur le lit, ses cuisses écartées, exposant son sexe encore humide du sperme d’Alain. Nicolas, à l’instant où il entendit les mots de l’amant de sa femme, sentit une poussée de désir brut l’envahir. Sans hésitation, il se pencha en avant, son visage à quelques centimètres du sexe de Corinne. L’odeur du plaisir et du sperme mélangés monta jusqu’à lui, et son excitation devint presque insoutenable.
Doucement, il glissa sa langue le long des lèvres de Corinne, goûtant à la fois son propre plaisir et celui d’Alain. La sensation était à la fois étrangère et enivrante. Le goût du sexe de sa femme, mêlé au sperme encore chaud d’un autre homme, le rendait fou de désir. Il ne pouvait plus s’arrêter. Il lécha profondément, nettoyant chaque goutte, savourant chaque instant de ce moment pervers où les frontières de leur sexualité éclataient.
Corinne, toujours en proie aux vagues résiduelles de son orgasme, gémit à nouveau en sentant la langue de Nicolas glisser sur son sexe, nettoyant avec soin les traces d’Alain. Cette double sensation, d’avoir été prise par un homme et nettoyée par son mari, réveilla en elle un nouveau sursaut de plaisir. Elle se cambra légèrement sous les caresses de Nicolas, sa main venant agripper les draps avec force. Elle n’aurait jamais cru que ce moment pourrait l’exciter autant.
Alain, debout à côté du lit, regardait la scène avec satisfaction. Voir Nicolas nettoyer sa femme, obéissant à cet ordre implicite qu’il avait donné, lui procurait un plaisir immense. Il sentait qu’il avait pris possession non seulement de Corinne, mais aussi d’une partie de Nicolas, de leur couple. Et cela le rendait encore plus puissant. Sans prévenir Alain branla la queue de Nicolas, surpris il se laissa faire sous les yeux de sa femme l encourageant.
Après plusieurs minutes de ce jeu intense, nicolas joui sous les doigts d Alain, il releva finalement la tête, le visage rougi, les lèvres brillantes du sperme résiduel. Il regarda Corinne, encore haletante, et sourit doucement.
— C’était incroyable, murmura-t-il, sa voix rauque, encore empreinte de désir.
Corinne, à bout de souffle, se laissa retomber sur les draps, ses yeux fermés, mais un sourire satisfait aux lèvres. Ils avaient franchi une nouvelle frontière, ensemble, et malgré la perversité de la situation, ils se sentaient plus proches que jamais.
Alain, désormais habillé, se tourna vers eux, toujours avec ce sourire énigmatique.
— Je crois que vous venez de découvrir une nouvelle manière de vous aimer, dit-il doucement, en boutonnant le dernier bouton de sa chemise.
Corinne et Nicolas échangèrent un regard complice, épuisés mais satisfaits. Ils avaient exploré des territoires inconnus, et cette fusion de désirs les avait changés, pour toujours.
——
Corinne était allongée dans son lit, la tête posée sur l’oreiller encore imprégné de l’odeur de Nicolas. La confession de son aventure avec Alain avait bouleversé leur couple, mais pas dans le sens qu’elle aurait imaginé. Loin de s’indigner ou de la rejeter, Nicolas s’était montré curieux, excité même, par la transgression de sa femme. Il avait pris son rôle de spectateur dans cette histoire avec une implication qu’elle n’avait pas anticipée, une perversion subtile qui résonnait étrangement avec ses propres désirs enfouis. Ce soir-là, après avoir tout avoué, ils avaient fait l’amour comme jamais auparavant, portés par une intensité qu’aucun d’eux n’avait connue depuis des années.
Depuis, un nouvel équilibre s’était installé dans leur relation. Loin d’être déstabilisés par ce qui aurait pu les détruire, ils avaient trouvé une forme de complicité perverse, où l’interdit nourrissait leur désir mutuel. Cependant, cette nouvelle dynamique n’était pas sans risques. Corinne le savait, à chaque nouvelle étape, ils repoussaient les limites de leur relation, et elle craignait que tout cela ne se retourne contre eux à un moment ou à un autre.
Alain n’était pas sorti de sa vie après cette première rencontre. Bien au contraire. Il continuait d’envoyer des messages, jouant de son autorité pour la pousser à aller encore plus loin. Mais cette fois-ci, Alain ne lui proposait plus seulement des rencontres secrètes dans des hôtels. Il voulait entrer dans leur intimité, dans la sphère privée de leur couple. Cela la troublait profondément, mais l’idée la fascinait aussi. Alain avait toujours su lire en elle, deviner ses fantasmes les plus inavouables. Et cette fois, il lui avait proposé quelque chose de nouveau, quelque chose de plus audacieux encore.
Un soir, alors que Nicolas et elle étaient assis ensemble après le dîner, Corinne sentit le besoin de lui parler de ce que lui avait proposé Alain.
— Il veut venir ici, chez nous, commença-t-elle, jouant nerveusement avec son verre de vin.
Nicolas releva la tête, surpris, mais pas réfractaire. Il attendait qu’elle en dise plus.
— Il m’a dit qu’il aimerait me voir… avec toi. Il veut que tu sois là, que tu regardes. Peut-être même que tu participes, si tu en as envie, ajouta-t-elle, sa voix tremblant légèrement.
Nicolas resta silencieux un instant, réfléchissant à ce que cela impliquait. Ils avaient déjà franchi de nombreuses barrières ensemble, mais cette proposition les poussait encore plus loin dans l’exploration de leurs désirs partagés.
— Et toi, qu’est-ce que tu en penses ? demanda-t-il finalement, son regard plongé dans le sien.
Corinne prit une profonde inspiration. Elle avait du mal à admettre ce qu’elle ressentait vraiment, mais au fond, elle savait qu’elle était tentée. L’idée qu’Alain puisse entrer dans leur maison, dans leur espace privé, et la prendre sous les yeux de Nicolas, réveillait en elle des fantasmes puissants. Mais elle savait aussi que cela pourrait tout changer entre eux, définitivement.
— Je crois que j’en ai envie, murmura-t-elle finalement. Mais seulement si tu es d’accord. Je ne veux pas que ça te blesse, Nicolas. Ça pourrait être trop… ou nous emmener trop loin.
Nicolas la fixa intensément, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il posa son verre et s’approcha d’elle, passant une main dans ses cheveux.
— Ça ne me blesse pas, Corinne. Je pense que ça m’excite, même, avoua-t-il doucement. Si c’est ce que tu veux, alors je veux aussi essayer.
Cette réponse, simple et directe, la soulagea autant qu’elle l’excita. Ils étaient prêts à franchir cette nouvelle étape, ensemble. L’idée que Nicolas puisse être là, qu’il participe d’une certaine manière à cette nouvelle rencontre avec Alain, changeait tout. Cela rendait la situation à la fois plus risquée et plus excitante. Corinne se demanda si leur relation pourrait réellement supporter ce poids, mais en cet instant, elle ne voulait pas y penser. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle désirait plus que jamais vivre cette expérience.
Le lendemain, elle contacta Alain pour lui donner son accord. Ce dernier, comme elle s’y attendait, se montra ravi de cette nouvelle. Il savait parfaitement jouer avec ses désirs, et l’idée de dominer non seulement Corinne, mais aussi de pénétrer l’intimité de son couple, le fascinait. Il fixèrent le rendez-vous pour la fin de la semaine, un vendredi soir, lorsque Nicolas et Corinne seraient tous les deux disponibles et prêts.
Les jours qui suivirent furent étranges pour Corinne. Elle alternait entre l’excitation et l’appréhension, se demandant constamment si elle faisait le bon choix. Mais chaque fois que Nicolas la prenait dans ses bras, chaque fois qu’il lui murmurait des mots doux ou provocateurs à propos de cette rencontre à venir, elle sentait son désir monter. Ils se lançaient dans un jeu dangereux, mais ils le faisaient ensemble, et c’était ce qui lui donnait la force de continuer.
Enfin, le vendredi arriva. La journée s’étira avec une lenteur insupportable. Corinne avait pris soin de se préparer minutieusement, choisissant une robe élégante mais suggestive, et une lingerie fine qu’Alain avait déjà vue lors de leurs rencontres précédentes. Nicolas, de son côté, restait calme, comme s’il était parfaitement à l’aise avec ce qui allait se passer, mais elle pouvait lire dans ses gestes une tension sous-jacente. Lui aussi était nerveux, bien qu’il n’en dise rien.
Alain arriva à l’heure prévue, comme toujours, avec cette assurance tranquille qui le caractérisait. Corinne sentit son cœur s’emballer en le voyant franchir la porte de leur maison, cette fois non plus comme un amant clandestin, mais comme une figure centrale de cette nouvelle aventure qu’ils allaient partager à trois.
— Bonsoir, Corinne, bonsoir Nicolas, dit-il en entrant, son sourire discret mais chargé de sous-entendus.
L’atmosphère dans la pièce changea instantanément. La tension sexuelle, déjà présente, devint palpable. Corinne se tenait près de Nicolas, incertaine de ce qui allait suivre. Elle sentait le regard d’Alain sur elle, lourd de désir, mais cette fois, il ne la toucherait pas immédiatement. Il attendait. Il prenait son temps, comme à son habitude, savourant chaque seconde.
— Alors, vous êtes prêts ? demanda-t-il finalement, brisant le silence.
Corinne et Nicolas échangèrent un regard. Ils étaient là, au seuil de quelque chose de nouveau, quelque chose de dangereux, mais aucun d’eux ne voulait reculer.
— Oui, répondit-elle d’une voix douce
La tension monte…
Corinne sentait la tension s’épaissir dans l’air à mesure qu’Alain s’installait dans leur salon, prenant place dans un fauteuil face à eux. Nicolas et elle étaient assis côte à côte sur le canapé, leurs corps légèrement tendus par l’anticipation. Ce moment, qu’ils avaient tous trois préparé et attendu, semblait à la fois irréel et inévitable. Pour la première fois, Corinne se retrouvait face à Alain non plus comme une maîtresse dissimulée, mais en présence de son mari, dans l’intimité de leur propre maison. C’était à la fois troublant et terriblement excitant.
Alain était détendu, son regard perçant alternant entre Corinne et Nicolas. Il semblait totalement à l’aise, comme s’il avait toujours eu sa place ici, dans leur espace privé. Pourtant, son calme n’était pas celui de l’attente, mais celui de la maîtrise. Il savait qu’il avait le contrôle, et cela se lisait dans chacun de ses gestes. Sa voix, quand il parla enfin, était douce, mais empreinte de cette autorité qu’il exerçait si naturellement.
— Alors, Nicolas, tu veux vraiment voir ta femme avec un autre homme ? demanda-t-il, brisant le silence avec une question qui ne laissait aucune place à l’ambiguïté.
Nicolas, jusque-là silencieux, hocha la tête avec un sourire légèrement tendu. Sa main effleura instinctivement la cuisse de Corinne, un geste à la fois protecteur et possessif, comme s’il essayait de se rassurer sur la situation. Malgré son excitation, Corinne sentait bien que son mari se trouvait aussi sur un terrain inconnu, tout comme elle. Mais sa réponse, claire et directe, n’avait aucune hésitation.
— Oui, je le veux, répondit-il calmement, fixant Alain dans les yeux.
Ce simple échange de mots électrisa encore davantage l’atmosphère. Corinne sentait ses joues rougir légèrement, son souffle devenir plus court. L’idée que Nicolas veuille réellement voir cela, qu’il trouve son propre plaisir dans cette situation, la déstabilisait autant qu’elle l’excitait. Il y avait une forme de perversion dans cette complicité partagée, une perversion qu’ils étaient sur le point de vivre pleinement.
Alain sourit légèrement, satisfait de la réponse de Nicolas. Il se leva lentement du fauteuil et s’approcha de Corinne, ses mouvements mesurés, comme toujours. Chaque pas semblait calculé, destiné à maintenir cette tension qu’il contrôlait à la perfection. Quand il se pencha vers elle, son regard plongé dans le sien, elle sentit une vague d’excitation et de nervosité la submerger.
— Et toi, Corinne ? Tu es prête ? demanda-t-il, sa voix grave résonnant dans le silence de la pièce.
Elle hocha la tête sans dire un mot, incapable de répondre autrement tant l’excitation et la nervosité se mêlaient en elle. Sa gorge était sèche, son cœur battait à tout rompre. Elle savait que ce moment marquait un point de non-retour. Alain se tenait maintenant si près d’elle qu’elle pouvait sentir la chaleur de son corps, et cette proximité la rendait fébrile. Nicolas, à côté d’elle, observait chaque mouvement, son regard brillant d’un mélange de curiosité et de désir.
Alain ne perdit pas de temps. Il s’agenouilla devant elle, ses mains effleurant délicatement ses genoux. Il les écarta légèrement, révélant la peau nue de ses cuisses sous la robe qu’elle avait choisie pour lui. Ses doigts glissèrent lentement le long de ses jambes, remontant avec une lenteur délibérée. Corinne frissonna sous ce contact, se mordant la lèvre pour étouffer un gémissement.
— Tu es magnifique, murmura-t-il, ses yeux parcourant son corps avec une intensité qui la faisait fondre.
Corinne jeta un regard furtif à Nicolas, cherchant dans ses yeux une forme d’approbation. Il la regardait avec une fascination évidente, ses yeux brillants de désir. Voir son mari excité par la scène qui se déroulait sous ses yeux renforça encore son propre plaisir. Elle n’avait jamais imaginé que ce moment, si chargé de danger, pourrait aussi être le déclencheur d’une telle excitation partagée entre eux.
— Je veux que tu me montres à quel point tu le désires, Corinne, dit Alain, sa voix douce mais autoritaire.
Ses doigts remontèrent plus haut, glissant sous le tissu de sa robe, caressant la peau sensible de ses hanches avant de s’attarder sur la dentelle fine de sa culotte. Corinne sentit son souffle se couper, son corps tout entier tendu vers ce moment inévitable. Elle se laissait totalement aller, ne pensant plus qu’à ce que son corps ressentait sous les doigts experts d’Alain.
Puis, lentement, il fit glisser sa culotte le long de ses jambes, dévoilant son sexe nu sous le regard attentif de Nicolas. Corinne sentit une vague de chaleur la submerger en se rendant compte de la situation : elle était exposée, vulnérable, mais aussi plus excitée qu’elle ne l’avait jamais été. La main de Nicolas se serra doucement sur sa cuisse, un geste silencieux qui exprimait tout à la fois sa tension et son désir.
Alain, toujours agenouillé devant elle, se pencha pour déposer un baiser léger sur l’intérieur de sa cuisse, sa bouche effleurant sa peau avec une tendresse qui contrastait avec la tension de la situation. Corinne ferma les yeux, se laissant emporter par cette sensation, son corps réagissant instinctivement à chaque geste d’Alain.
— Regarde-le, Corinne, murmura Alain en levant la tête vers elle. Regarde Nicolas pendant que je te fais jouir.
Cette demande, intime et transgressive, fit monter l’excitation d’un cran. Corinne ouvrit les yeux et tourna la tête vers Nicolas. Il la fixait, son regard brûlant de désir. À cet instant, elle comprit que ce qu’ils vivaient tous les trois dépassait le simple plaisir physique. C’était un jeu de pouvoir, de domination et de complicité. Le plaisir qu’elle ressentait n’était plus seulement le sien, mais celui de Nicolas aussi, qui se délectait de chaque geste, de chaque soupir.
Alain n’attendit pas plus longtemps. Sa bouche descendit lentement entre les cuisses de Corinne, ses lèvres et sa langue explorant chaque centimètre de sa peau avec une précision exquise. Corinne laissa échapper un gémissement, incapable de contenir le plaisir qui montait en elle. Ses mains agrippèrent les draps du canapé, son corps se cambrant légèrement sous l’assaut des sensations qui la submergeaient.
Nicolas, toujours silencieux, se rapprocha un peu plus d’elle, sa main se posant sur son ventre, caressant doucement sa peau nue. Il la touchait avec une tendresse qui contrastait avec la fougue d’Alain. Ce mélange de douceur et de domination créait en elle une tempête de sensations.
Alain intensifia ses mouvements, sa langue jouant habilement avec son clitoris, tandis que ses doigts exploraient son sexe humide de désir. Corinne sentit une vague de plaisir monter rapidement en elle, son corps tout entier tendu vers cet orgasme inévitable. Chaque mouvement d’Alain la rapprochait un peu plus de cette explosion de plaisir, et savoir que Nicolas était là, qu’il la regardait, rendait chaque sensation encore plus intense.
— Tu es si excitée, Corinne, souffla Alain entre deux mouvements de langue. Tu aimes ça, n’est-ce pas ? Être prise par un autre homme sous les yeux de ton mari ?
Elle ne put répondre que par un gémissement, son esprit entièrement focalisé sur le plaisir qui montait en elle. Alain la connaissait trop bien, savait exactement comment la pousser à ses limites, et en cet instant, elle n’était plus qu’une marionnette entre ses mains expertes.
Puis, enfin, l’orgasme la submergea, la prenant par surprise. Son corps se tendit, un cri étouffé échappant à ses lèvres alors qu’une vague de plaisir intense la traversait de part en part. Alain ne s’arrêta pas, continuant ses mouvements jusqu’à ce qu’elle soit complètement submergée par l’extase.
Elle se laissa retomber contre le canapé, haletante.
Corinne, reçu l ordre de se mettre ensuite à quatre pattes sur le lit, elle sentait la tension monter dans chaque fibre de son corps. Alain, derrière elle, la pénétrait avec une lenteur calculée, chaque coup de reins envoyant des vagues de plaisir à travers son corps. Le regard de Nicolas, assis à quelques centimètres d’eux, intensifiait encore plus cette excitation. Ce moment, où elle se trouvait entre ces deux hommes, son mari et cet amant qu’ils partageaient, représentait une nouvelle frontière dans leur relation. Une frontière qu’ils étaient prêts à franchir ensemble.
La sensation du sexe d’Alain, épais et dur, s’enfonçant en elle, était déjà presque trop intense, mais le fait de sentir Nicolas si proche, ses yeux rivés sur eux, ajoutait une couche de désir qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. Alain accélérait doucement, ses mouvements gagnant en rythme et en intensité, mais sans jamais la brusquer. Il savait exactement comment la conduire à l’extase, et chaque seconde la rapprochait un peu plus de cet inévitable point de non-retour.
Nicolas, de son côté, regardait son épouse se faire prendre par cet homme plus âgé avec une fascination qui le bouleversait. Voir Corinne se donner ainsi, s’abandonner à cet autre homme sous ses yeux, éveillait en lui des désirs qu’il n’aurait jamais imaginés auparavant. Mais ce n’était pas de la jalousie. C’était une perversion partagée, une excitation croissante à l’idée de faire partie de cette expérience avec elle. Il observait silencieusement tout en se masturbant .
Alain ralentit légèrement ses coups de reins, savourant le moment, tandis qu’il se penchait vers l’avant pour murmurer à l’oreille de Corinne.
— Je vais te remplir, souffla-t-il, sa voix grave, son souffle chaud contre son cou. Et ton mari va tout nettoyer.
Corinne frissonna à ces mots, une vague de plaisir la traversant à l’idée de ce qui allait suivre. Elle avait toujours senti une étincelle de curiosité bisexuelle chez Nicolas, mais jamais elle n’aurait imaginé le voir participer à ce jeu de manière aussi directe. Pourtant, maintenant, l’idée d’être au centre de cette dynamique la rendait folle de désir. L’envie de plaire à Alain, de satisfaire Nicolas, tout se mélangeait dans un tourbillon de plaisir insoutenable.
— Tu es prête, Corinne ? demanda Alain tout en accentuant la pression de ses hanches contre elle.
— Oui… je suis prête, répondit-elle d’une voix tremblante.
Alain accéléra encore le rythme, ses coups de reins devenant plus rapides, plus profonds. Corinne, incapable de contenir ses gémissements, se laissait aller complètement, ses mains agrippant les draps tandis que son corps se préparait à recevoir l’orgasme qui montait en elle. Chaque mouvement d’Alain la poussait un peu plus loin dans cette transe de plaisir, et elle savait qu’elle n’allait pas tarder à exploser.
Nicolas, toujours assis à côté d’eux, regardait son épouse se faire prendre avec une intensité presque religieuse. Ses yeux ne quittaient pas leur union, la manière dont le sexe d’Alain s’enfonçait en elle, la manière dont Corinne répondait à chaque poussée avec un plaisir évident. Il se préparait mentalement à ce que son rôle devienne plus actif, excité par l’idée de participer à cette scène de manière encore plus intime.
Finalement, Alain laissa échapper un grognement sourd, et Corinne sentit son sexe pulser en elle. Un flot de chaleur la remplit, alors qu’Alain déversait son sperme profondément dans son ventre. La sensation de ce liquide brûlant l’envahit, et elle ne put s’empêcher de jouir à son tour, son corps se tendant sous la vague de plaisir incontrôlable qui la traversa.
Alors que Corinne tremblait encore sous l’effet de son orgasme, Alain se retira lentement, laissant son liquide s’écouler doucement hors d’elle. Il se redressa, visiblement satisfait de l’effet qu’il avait produit. Mais il n’en avait pas terminé.
— Maintenant, Nicolas, c’est à toi, dit-il calmement, un sourire en coin. Viens nettoyer ta femme.
Corinne, haletante, les jambes encore tremblantes, se laissa retomber sur le lit, ses cuisses écartées, exposant son sexe encore humide du sperme d’Alain. Nicolas, à l’instant où il entendit les mots de l’amant de sa femme, sentit une poussée de désir brut l’envahir. Sans hésitation, il se pencha en avant, son visage à quelques centimètres du sexe de Corinne. L’odeur du plaisir et du sperme mélangés monta jusqu’à lui, et son excitation devint presque insoutenable.
Doucement, il glissa sa langue le long des lèvres de Corinne, goûtant à la fois son propre plaisir et celui d’Alain. La sensation était à la fois étrangère et enivrante. Le goût du sexe de sa femme, mêlé au sperme encore chaud d’un autre homme, le rendait fou de désir. Il ne pouvait plus s’arrêter. Il lécha profondément, nettoyant chaque goutte, savourant chaque instant de ce moment pervers où les frontières de leur sexualité éclataient.
Corinne, toujours en proie aux vagues résiduelles de son orgasme, gémit à nouveau en sentant la langue de Nicolas glisser sur son sexe, nettoyant avec soin les traces d’Alain. Cette double sensation, d’avoir été prise par un homme et nettoyée par son mari, réveilla en elle un nouveau sursaut de plaisir. Elle se cambra légèrement sous les caresses de Nicolas, sa main venant agripper les draps avec force. Elle n’aurait jamais cru que ce moment pourrait l’exciter autant.
Alain, debout à côté du lit, regardait la scène avec satisfaction. Voir Nicolas nettoyer sa femme, obéissant à cet ordre implicite qu’il avait donné, lui procurait un plaisir immense. Il sentait qu’il avait pris possession non seulement de Corinne, mais aussi d’une partie de Nicolas, de leur couple. Et cela le rendait encore plus puissant. Sans prévenir Alain branla la queue de Nicolas, surpris il se laissa faire sous les yeux de sa femme l encourageant.
Après plusieurs minutes de ce jeu intense, nicolas joui sous les doigts d Alain, il releva finalement la tête, le visage rougi, les lèvres brillantes du sperme résiduel. Il regarda Corinne, encore haletante, et sourit doucement.
— C’était incroyable, murmura-t-il, sa voix rauque, encore empreinte de désir.
Corinne, à bout de souffle, se laissa retomber sur les draps, ses yeux fermés, mais un sourire satisfait aux lèvres. Ils avaient franchi une nouvelle frontière, ensemble, et malgré la perversité de la situation, ils se sentaient plus proches que jamais.
Alain, désormais habillé, se tourna vers eux, toujours avec ce sourire énigmatique.
— Je crois que vous venez de découvrir une nouvelle manière de vous aimer, dit-il doucement, en boutonnant le dernier bouton de sa chemise.
Corinne et Nicolas échangèrent un regard complice, épuisés mais satisfaits. Ils avaient exploré des territoires inconnus, et cette fusion de désirs les avait changés, pour toujours.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai particulièrement apprécié ce passage: "Nicolas, toujours assis à côté d’eux, regardait son épouse se faire prendre avec une intensité presque religieuse. Ses yeux ne quittaient pas leur union, la manière dont le sexe d’Alain s’enfonçait en elle, la manière dont Corinne répondait à chaque poussée avec un plaisir évident."
C'est exactement ce que nous ressentons, Philippe et moi. La définition même du candaulisme.
C'est exactement ce que nous ressentons, Philippe et moi. La définition même du candaulisme.
Merci pour vos commentaires encourageants. La suite arrive.
Très belle histoire, tellement proche de la réalité du candaulisme.
Merciiiii
Merciiiii
Superbe !!
Une merveille de lecture ;
Vous avez tellement bien retranscrit le plaisir si particulier du candaulisme ; le plaisir que l’on ressent à voir sa femme se faire prendre par un autre homme devant soi ; on bande dur ! on jouit fort et le plaisir (l’humiliation ?) dingue de lecher le sperme d’un autre mec
Encore, s’il vous plait
Yass
Une merveille de lecture ;
Vous avez tellement bien retranscrit le plaisir si particulier du candaulisme ; le plaisir que l’on ressent à voir sa femme se faire prendre par un autre homme devant soi ; on bande dur ! on jouit fort et le plaisir (l’humiliation ?) dingue de lecher le sperme d’un autre mec
Encore, s’il vous plait
Yass
Respect tu parles !!! 🤣😂
C’est 1 enculerie oui. 🤦♀️🤣
C’est 1 enculerie oui. 🤦♀️🤣
Merci
Belle interpretation du trio dominant dominés qui echappe a la brutalité du langage habituel, on sent le respect entre les trois complices . Vivement la suite