Soutien en maths

- Par l'auteur HDS Claire74 -
Récit érotique écrit par Claire74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Soutien en maths Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Soutien en maths
Je m’appelle Claire et je suis une fille aux cheveux blonds mi-longs, aux yeux bleus, avec un visage presque rond et une poitrine plutôt normale (85B). Ma première expérience, je la vécus alors que je me trouvai encore au lycée. C’était un jour du mois d’avril alors que le temps à l’extérieur de l’établissement était au beau fixe. Après que je fus assise aux côtés de Julien lors du cours de maths, ce dernier m’interpella à la sortie de la leçon alors qu’il nous restait encore une dernière heure de cours. Il s’approcha de moi dans mon dos et m’attrapa le bras. Lorsque je me fus retournée, je fus tout d’abord surpris de découvrir mon interlocuteur. Je n’avais que rarement des contacts avec lui et même s’il avait passé l’heure à proximité de moi, je ne lui avais quasiment pas adressé la parole. Je le regardai, les sourcils froncés, et attendit les explications à son comportement.
-Claire ? Tu voudrais bien m’aider, s’il te plait ?
-T’aider à quoi ? lui demandai-je alors.
-Pour les maths… Pour le prochain devoir surveillé…
Il est vrai que je me trouvais parmi les meilleurs élèves en maths. J’avais toujours des notes assez correctes bien que je ne faisais pas partie du trio d’élite. Je ne sus d’abord que répondre à sa demande.
-Pourquoi tu me demandes ça à moi ? me contentais-je de lui demander.
Les autres élèves de notre classe étaient déjà partis. Je lui fis signe d’avancer dans le couloir pour ne pas trop tarder pour l’autre cours.
-Ben, je sais pas, je te demande parce que t’es plutôt douée ! T’as bien compris la dernière leçon qu’on a faite ?
-Oui, oui !
-Alors, tu vois ? Donne-moi un coup de main, s’il te plait ! On peut réviser ensemble ce soir ? Le devoir surveillé est après-demain…
-Oui, je sais, il vient de le dire…
-Oui, allez ! S’il te plait ! insista-t’il.
Finalement, de par ma volonté à toujours vouloir soutenir les personnes en difficulté, j’acceptai.
-On fait comment, du coup ? m’enquis-je alors.
-On peut aller chez moi, si tu veux !
Je secouai aussitôt la tête. Il était hors de question de me rendre de cette façon-là chez un camarade de classe garçon. Surtout que l’on m’avait fait déjà beaucoup d’avances au lycée.
-Non, si on va quelque part… C’est chez moi ou en études ! affirmai-je.
-Tu veux pas rester au lycée quand même ? s’offusqua-t’il.
-Ben pourquoi pas… On pourra travailler au moins pendant une heure avant qu’il ne ferme.
-Non, je préfère réviser au calme chez toi, avec toi, si ça ne te dérange pas !
Je haussai les épaules et lui signifiai que cela m’importait finalement peu. Il sourit et me salua en soufflant un léger remerciement. Je rejoignis finalement mes amies de classe devant la salle de biologie en attente du cours suivant.

Comme convenu, je l’amenai finalement chez moi après la journée. J’habitais non loin du lycée, dans une petite maison qu’avaient achetée mes parents trois années auparavant. Nous discutâmes de la classe et de nos camarades tandis que nous nous rendions chez moi. Durant tout le trajet, je le soupçonnai néanmoins de ne cesser de me reluquer. J’étais, ce jour-là, habillée d’un chemisier de couleur blanche, d’une veste rouge d’extérieur et d’une jupe noire avec des bas foncés. Je ne lui fis toutefois aucune remarque, m’habituant peu à peu à son regard gênant.
Une fois arrivés chez moi, je le fis entrer en lui demandant bien de retirer ses chaussures. C’étaient les règles imposées par mes parents. Je fus surprise de constater que ma mère était déjà rentrée de son travail et je pris un moment pour aller lui présenter Julien et ainsi lui dire que nous partions travailler dans ma chambre. Elle le salua et s’en désintéressa rapidement retournant à son ordinateur portable pour faire les comptes. J’amenai alors Julien dans ma chambre qui se situait à l’étage puis je le fis entrer dans mon intimité.
Il sourit aussitôt en constatant que malgré le désordre qui y régnait, la chambre était typiquement féminine. Sur le lit à la couette bien arrangée, une multitude de peluches aux formes d’animaux étaient disposés en un tas confus. A quelques pas du lit, contre le mur sur laquelle s’ouvrait une fenêtre, se trouvait un bureau de bois assez large. C’était sur ce dernier que je travaillais souvent pour les cours. De l’autre côté se trouvaient, une bibliothèque encombrée de livres, mon armoire à vêtements et un meuble qui soutenait une petite télé à tube cathodique. Le sol était recouvert d’une moquette grise.
Il entra et je refermai la porte.
-C’est bien chez toi, je trouve ! se sentit-il obligé de me signaler.
-Merci !
-Je ne pensais pas pouvoir avoir la chance un jour de voir ta chambre !
-En quoi est ce de la chance de voir ma chambre ?
Je déposai mon sac vers mon bureau et me retournai pour le regarder. Il tournait la tête de tout coté.
-Je ne sais pas, j’imagine qu’il y en a plein qui veulent voir ta chambre !
Je me pinçai la lèvre et secouai la tête, dépitée.
-Bon, bouge pas, j’ai oublié de prendre une chaise pour toi. Je reviens !
Je passai alors devant lui sous son regard amusé et quittai la pièce pour aller chercher une chaise pliante dans le placard qui se trouvait à côté. Lorsque je revins, je le trouvai en train de tripoter l’une de mes peluches roses en forme de tigre. Il la déposa aussitôt, le regard coupable. Je ne relevai pas et me dirigeai vers mon bureau pour installer la chaise de l’invité.
Je m’installai sur ma chaise rembourrée en cuir en prenant bien garde de replier ma jupe correctement sous mes cuisses et l’appelai.
-Tu viens ? On commence ?
-Oui, Claire, excuse-moi !
Il se rapprocha aussitôt puis s’assit sur la chaise qui se trouvait à proximité, tout en ramenant son sac à dos sur les genoux. Il en sortit un classeur bleu.
-Bon, c’est quoi que tu n’as pas compris ?
-Tu sais le truc avec les dérivées, là !
-T’es sérieux ? T’as pas compris les dérivées.
-Non, je sais pas à quoi ça sert…
Je le fixai déconcertée.
-Tu te fiches de moi, j’espère ?
-Non, répondit-il, le sourire jusqu’aux oreilles.
Je soufflai puis me retournai pour rechercher la première page de la leçon dans mon cahier.
-Fais pas cette tête, Claire ! Je suis nul en maths, tu sais !
-Pourquoi t’as pris S, alors ?
-Je suis fort en chimie et en bio !
Je décidai de ne pas poursuivre cette conversation et relus dans le silence les premières propriétés des dérivées que je retrouvai dans ma leçon. Je commençai ensuite à lui expliquer en essayant de partir de la base. Il m’écouta longuement et tandis que je lui faisais des schémas sur un papier, je m’étonnai de pas l’entendre me poser des questions.
Lorsque je pivotai la tête dans sa direction, je constatai qu’il regardait à peine ce que j’écrivais. Il avait les yeux baissés et fixait mes cuisses, mes bas foncés et ma jupe avec une certaine envie. Je stoppai aussitôt mes explications et patientai qu’il relève la tête.
-Tu fais quoi là ? Tu m’écoutes ? demandai-je.
Il garda le silence.
-Hé !
-Sérieux, Claire ! Je comprends rien ! Ça sert à rien ! me répondit-il finalement.
-Ben pourquoi ?
-Trop compliqué !
-Mais je suis en train de t’expliquer….
-Tu veux pas plutôt faire autre chose ?
Je le fixai les yeux écarquillés.
-Tu me laisses t’embrasser ? déclara-t-il alors d’une traite.
Et il s’approcha de moi rapidement. Je n’eus que le temps de reculer le visage pour recevoir son baiser sur mon nez.
-Mais… ça va pas, non ?
Je l’observai, rouge comme une pivoine. Il recula un peu gêné de son comportement mais se ravisa aussitôt.
-Je voudrais sortir avec toi en fait…
-Et c’est pour ça que t’es venu ? m’énervai-je.
Il haussa les épaules sans savoir que répondre.
-Non, mais continue avec les maths ! Désolé ! finit-il par s’excuser. Alors tu disais que la dérivée de x, c’était quoi ?
Un peu en colère, je ne lui répondis pas tout de suite. Mais après l’avoir vu retourner à mon bureau et ouvrir son classeur sur la leçon, je choisis de poursuivre mes explications. Je savais très bien qu’il avait une mauvaise moyenne en maths et je désirais vraiment le soutenir un peu.
Ce fut au bout d’une dizaine de minutes que je sentis son premier contact. Il glissa ses doigts entre ma cuisse et ma chaise et s’agrippa au siège. Tout le haut du dos de ses doigts était en contact avec mon bas sombre. Il ne fit semblant de rien et se contentait de répéter ce que je disais pour me signifier qu’il me portait toute son attention. Je jetai un coup d’œil à sa main et jugeai que cela, après tout, ne me gênait pas. Je continuai.
Mais au bout d’un moment, il poursuivit son aventure et glissa ses doigts entre ma cuisse et ma jupe, toujours la paume sur ma chaise. Il toucha tout le haut de la garniture de mon bas jusqu’à venir presque palper ma peau nue et chaude. Je ressentis de la chaleur s’imposer en moi lorsque j’imaginai et sentit son contact sur moi. Julien n’était pas très attirant mais il faisait preuve d’agilité dans ses manœuvres d’approche. Je le laissai faire et fit semblant de ne rien remarquer. C’était la première fois qu’un garçon me touchait comme ça et cela ne manquait pas de m’exciter quelques peu.
Il fit alors tomber son crayon par terre. En le faisant exprès ou pas, je ne pus le savoir ! Mais il en profita pour reculer sa chaise après avoir poussé un juron puis se pencha en avant sous le bureau pour attraper son stylo. Il enleva sa main de ma chaise. Je me surpris aussitôt à regretter son contact pervers. Mais ce fut en se relevant qu’il alla plus loin et prit appui de sa paume sur ma cuisse, d’un air discret.
Il garda le contact tandis que je le fixais, gênée de devoir me plaindre de ce que finalement ne me dérangeait aucunement. Il se rapprocha du bureau et conserva sa main sur moi. Il me sourit et vit que je me pinçai les lèvres à cause de son contact sur ma cuisse.
-Ca va, Claire ? me tortura-t-il.
Il me caressa un moment de haut en bas tout en me posant la question.
-Ou… Oui…
-Qu’est-ce que t’as ? redemanda-t-il alors.
-Rien, rien, on continue !
Surpris de ne pas recevoir mes remontrances à cause de sa main hasardeuse, il me montra ses dents, nanti d’un rictus amical et se pencha sur son classeur pour relire l’exercice que je lui expliquais. Sa paume glissait toujours d’avant en arrière sur le tissu fin de mon bas. Je lui montrai alors les schémas de calcul pour arriver au résultat. Pendant ce temps, je sentais ses doigts s’infiltrer entre mes cuisses et sous ma jupe, presque prêts à toucher ma culotte et ma petite chatte.
-Julien ! C’est par parce que je t’autorise à me caresser les jambes qu’il faut que tu en fasses plus… On doit faire des maths, je te rappelle.
Il se redressa surpris et se ravisa en reculant aussitôt sa main.
-Quoi ? mugit-il d’un air vexé.
- Ca ne me gêne pas, mais tu ne me touches pas sous la jupe ! le prévenais-je.
-Pourquoi ? osa-til me demander.
-Parce que tu m’as demandé de t’aider. Et si c’est pas pour faire ça, je veux pas perdre mon temps….
-Ok, ok… d’accord, dit-il alors.
Il se ravisa, reposa de nouveau sa main sur ma cuisse, bien décidé à ne pas me lâcher puis redemanda à lui expliquer un autre exercice. Ce que je consentis alors même qu’il me pelotait les jambes sous le bureau. Je le sentis plusieurs fois serrer la paume contre moi pour comprimer mes cuisses avec une certaine envie. Cela me faisait presque mouiller à l’intérieur de ma culotte.
Au bout d’un certain temps, tandis que j’avais pris l’initiative d’accompagner ses mouvements caressants avec l’aide ma propre main, il la saisit et la posa sans ménagement sur sa braguette. Interloquée, je sentis la forme tendue de ce que je devinais être son sexe derrière son pantalon. Je reculai vivement le bras.
-Hé ! m’exclamai-je.
-Touche Claire ! Ne te gêne pas !
Et il reprit ma main et la déposa avec délicatesse de nouveau entre ses jambes. Je ne savais plus que faire et demeurai, immobile et perplexe.
-Alors, tu continues à m’expliquer ?
Je le regardai un moment bouche bée sans comprendre ce qu’il cherchait et il insista.
-Allez, on n’a pas fini l’exercice 103 et je suis bloqué là !
Dépassée par le contexte, je ne savais plus comment me comporter face à cette situation bizarre. Je lui obéis et repris avec lui les étapes de calcul. Il m’attrapa le dos de la main et me contraignit à lui pincer son sexe au travers de son jean. La forme devenait plus qu’encombrante. Il insista un long moment, me forçant à descendre toujours plus bas entre ses cuisses tandis qu’il semblait prendre du plaisir à mon contact tout en se désintéressant de l’exercice. Il ferma les yeux en gardant le silence alors que pour ma part, je le regardais étonnée pendant qu’il jouait de ma main sur lui.
Il ouvrit de nouveau les yeux et me demanda ouvertement :
-On arrête ?
-Arrêter quoi ? Je ne savais pas s’il parlait des attouchements ou des maths.
-On arrête les exercices ?
-Je… Je sais pas.
-On arrête ! décida-t-il pour nous deux.
Et il me lâcha la main qui demeura un moment sur lui avant qu’il ne se relève. Je ne compris rien à ce qu’il avait l’intention de faire par la suite. Il partit en direction de mon lit et s’installa assis sur le bord en me regardant en souriant.
-Viens, Claire !
-Mais qu’est-ce que tu fais ? me plaignis-je alors.
-Tu ne veux pas continuer ce qu’on faisait ? Je te montre ma queue si tu veux !
Je n’en avais jamais vraiment vu. Je me pris alors à ressentir l’envie de tout découvrir ! De voir ce à quoi ressemblait ce que je venais de toucher longuement au travers du pantalon. Je me levai donc timidement et m’approchai de lui. Il se poussa sur le côté et me fit une place. Je fus à peine à ses côtés qu’il commença à défaire son bouton et tirer sa braguette vers le bas, découvrant un slip bleu foncé.
-Tu veux vraiment la voir ?
-Oui… sors la ! me surpris-je à répondre.
-Mets- toi devant moi alors ! Je veux te la présenter, dit-il d’une voix amusé.
J’obéis à nouveau et me redressai pour me mettre à genoux sur la moquette face à ses cuisses. Il me regarda attentivement et dirigea ses deux mains contre son ventre. Délicatement, il souleva alors l’élastique de son sous-vêtement. Et petit à petit, il me fit découvrir son membre masculin dressé comme un dard.
Je vis tout d’abord le bout de son gland tout rose avec ce que je sus plus tard être le prépuce qui recouvrait à moitié son extrémité. Puis sa longueur se révéla. Je comptai bien 15 cm. Il avait la peau de son sexe plus sombre que celle de son ventre. Puis enfin, alors qu’il baissa complétement son slip d’un geste rapide, il me fit voir ses poils pubiens bruns comme ses cheveux. Il recula ses mains pour les placer en appui derrière lui et me laissa admirer son pénis dressé à cause de moi ! La situation m’échappait complétement mais tout dans son entrejambe m’attirait.
-Claire, suce-moi ! s’exclama-t-il sans réserve.
-Quoi ?
-Suce !
Je demeurai inexpressive devant lui, mon corps battant la chamade à cette demande malhonnête. Je ne savais pas comment me comporter et cela me répugnait de devoir prendre en bouche ce qui avait, semble-t-il, trainé toute la journée dans son slip étroit. Mais je pouvais à peine résister à cette attirance qui m’inondait. Il me regarda fixement, me défiant du regard.
-Vas-y, fais-le ! Je sais bien que t’en as envie.
Il m’attrapa alors d’une main ma chevelure blonde et me contraignit gentiment à me pencher sur lui. Alors que je me rapprochai, je sentis son odeur intime me remonter dans les narines. Mais je finis par me pencher par moi-même, m’affranchissant de son contact sans vraiment comprendre pourquoi . Puis maladroite, j’attrapai son sexe dans ma bouche.
Il écarquilla les yeux, visiblement surpris de me voir lui prendre le sexe pour commencer des caresses buccales. Il avait un gout fort mais je m’y habituai très vite. Ayant la seule expérience d’une sucette en bouche, je fis alors pareil. Je salivai dessus et le tétai du mieux que je le pouvais.
-Oh, bordel, c’est bon ! Je savais pas que ça faisait comme ça !
Il se mordit les lèvres, me regarda le visage et puis s’engagea dans une transe de plaisir.
-C’est ma première pipe, Claire ! Tu es ma première suceuse…
Il avança sa main sur mon épaule et essaya d’écarter mon chemisier qui était un peu lâche. Il découvrit ma peau nue et se mit à la palper du plat de la main.
-Mange ma bite, suceuse !
-Chut, soufflais-je. Pas trop fort, tais toi !
Si lui l’avait oublié, pour ma part, j’avais conscience que nous n’étions pas seuls dans la maison. Ma mère était aussi présente et je ne voulais surtout pas qu’elle entende ce que sa propre fille faisait dans la chambre avec son camarade de classe. Elle aurait honte de moi et le dirait sans aucun doute à mon père pour me priver de sortie et de visite. Mais passionnée par ma tâche, j’oubliai rapidement mes parents et continuai à téter le pénis fin dressé dans ma bouche.
-Défais les boutons de ta chemise ! m’ordonna-t-il.
J’obtempérai et en tâtant du bout des doigts je cherchai les boutons et les défit doucement sans lâcher son sexe de l’étreinte de mes lèvres. J’écartai ensuite les pans et lui découvrit ma poitrine gonflée dans un soutien-gorge de dentelles étroit et de couleur rouge et or. Mes seins formaient deux balles bien rondes enserrées dans mes bonnets légèrement rembourrés. Je l’entendis s’extasier à la découverte de mes formes de taille B.
-Oh, tu me fais bander encore plus, Claire ! Bouffe ma queue !
Je continuai en le fusillant du regard à cause de l’intensité de sa voix. Il se ravisa et se pencha légèrement en avant pour poursuivre la conversation.
-Je me branlais déjà en pensant à toi, mais cette fois ce sera tous les jours !
Je reculai aussitôt et me plaignit.
-Mais arrête ! Pourquoi tu dis ça !
-Parce que c’est vrai, tiens !
Il glissa alors en arrière sur le lit et après m’avoir observé un moment, s’allongea sans gêne dans mon tas de peluche. Je grognai aussitôt.
-Fais gaffe, tu vas les abimer !
-Oh, c’est bon, excuse-moi !
Il se redressa et finit par tous les repousser au sol avant de s’allonger sur le dos dans mon propre lit et poser sa tête contre mon oreiller qui sentait mon parfum. Il huma longuement et retira complétement son pantalon et son slip puis se reposa cul nul sur mes draps.
-Tu viens, Claire ! tapota-t-il sur ses cuisses pour m’inciter à le rejoindre.
Passionnée par le goût d’homme que j’avais encore dans ma bouche, je me levai aussitôt et grimpai à mon tour dans le lit. Passant une jambe par-dessus son corps, je m’assis sur ses cuisses avec une certaine envie et j’avançai mes mains pour toucher son pénis dur et tendu à l’horizontale.
-T’as une belle culotte, tu sais ?
Je baissai le regard pour voir ce qu’il était en train de fixer. Ma jupe était en train de faire un faux pli, si bien qu’il avait une vue imprenable sur ma culotte de tissu de couleur blanche. Il la fixa avec passion avant de me demander de la retirer.
-Tu me montres ta chatte, stp !
-Non ! soufflai-je alors. Je glissai mes doigts pour palper ses testicules afin d’en découvrir leurs textures étranges.
-Pourquoi ??? s’étonna-t-il.
-Tu verras pas ma chatte ! Je veux pas faire ça !
Il souffla, vexé, puis se reprit.
-Alors, enlève ta chemise et finis moi ! Suce moi bien fort !
Je m’offusquai de ses ordres sadiques mais il semblait avoir bien compris que tout cela ne me laissait finalement pas indifférente. Je retirai donc mon chemisier pour me mettre en soutien-gorge face à lui puis je reculai mes fesses pour me pencher à quatre pattes par-dessus son corps. Je redressai à moitié son sexe qui était bien rigide et comme je le pus, je le repris en bouche. Et honteuse, me sentant comme une trainée, je lui procurai ma fellation alors que nous nous trouvions tous deux dans mon propre lit. Il se laissa aller sans rien dire et se concentra sur le plaisir que je lui offrais malgré mon manque d’expérience. Je le suçai pendant 10 longues minutes et finalement, en dépit de ma maladresse certaine, il rouvrit les yeux et heureux attrapa la base de son pénis. Il l’agita pour se masturber directement entre mes lèvres.
-Suce, Claire, suce !!! Suce moi la bite ! Je viens… Je viens !
Et en soutien-gorge, comprenant à peine sa pulsion grandissante, je le tétai de plus en plus fort. Il lâcha un cri de plaisir tandis que quelque chose de brûlant explosa contre ma langue. Je devinai que son sperme était en train de sortir du bout de son pénis raide. Ma bouche en fut aussitôt remplie. Surprise par la quantité qu’il me délivrait, je n’eus que le simple réflexe de tout recracher : sa semence ainsi que son pénis qui continuait à envoyer des giclées puissantes. Si ce n’est le sperme chaud qui s’écoulait de mes lèvres et qui gouttait sur mon menton et contre ses testicules, je reçus plein de son foutre sur le visage car il s’astiquait toujours avec les doigts, accompagnant son éjaculation d’un flux de bonheur extrême. Et moi, incapable de poursuivre avec la bouche, il m’éclaboussa à foison le nez, le front, les joues et même ma chevelure blonde soyeuse. Puis il se tarit, les doigts dégoulinant de son sperme qu’il m’avait donné à manger et que j’avais recraché sur lui. Donnant deux derniers coups de la main, il se relâcha, épuisé par l’effort qu’il avait dû fournir pour me noyer sous sa semence.
Je le regardai, toujours penchée sur lui, tandis qu’il me fixait en souriant.
-Merci, Claire ! Tu fais ça vraiment bien !
-T’as fini ?
-Oui, c’est bon, j’en peux plus !
Je m’écartai de lui puis sortit du lit. J’avais l’intention d’aller rapidement dans la salle de bains pour me nettoyer de ses cochonneries. Alors que j’étais de dos, il souleva ma jupe une dernière fois et m’attrapa l’une de mes fesses rebondies. Il la pinça au travers de la culotte. Je fis volte-face.
-Tu veux bien que je le dise aux autres, petite suceuse.
-Je te préviens, t’as pas intérêt !
-Ouais, on verra !
Je quittai alors la chambre, inquiète de ses dernières paroles, le délaissant, son sexe à l’air et souillé de liquide gluant dans mon propre lit. Je m’aperçus le soir, qu’il avait finalement délaissé plein de son sperme sur mes draps.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
oui envie de savoir la suite

Les personnages sont attachants, ça change!
Un talent d'écriture certain (malgré quelques fautes, mais qui ne nuisent en rien à la fluidité du texte), ça fait plaisir!

Histoire Erotique
Ça m'a mis mal à l'aise.

Miam ça donne envie héhé

"Pour savoir" pardon de l'omission.

On aimerait une suite, à cet excellent texte, pour si elle enlèvera sa culotte?

Histoire Erotique
Très excitante histoire.
Continuez.
Envie d'en savoir plus.



Texte coquin : Soutien en maths
Histoire sexe : Une rose rouge
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