SOUVENIR

- Par l'auteur HDS Eric Ménard -
Auteur homme.
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Récit libertin : SOUVENIR Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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SOUVENIR
SOUVENIR


J'ai écris cette histoire suite à la perte de l'être que j'ai aimé le plus dans ma vie et sur la recommendation d'un psychologue. Cette histoire est vrai et j'espère en faire un roman si je vois que les commentaires sont positif. Aider moi en me faisant parvenir vos critiques. Je continuerai d'ajouter de nouveaux chapitres régulièrement.




Éric Ménard




CHAPITRE UN
LA RENCONTRE



J'ai très chaud, c'est notre premier jour de classe et pour faire changement la climatisation est encore défectueuse. Rien d'étonnant dans ce vieux collège, construit depuis déjà un siècle et demi, qui se trouve à être un ancien manoir seigneurial québécois. Je déboutonne ma chemise un peu pendant que le professeur de biologie finis sa présentation sur les objectifs du cours de cette année. Je jette un coup d'oeil sur l'horloge murale, il est dix heures moins cinq. Je me lève discrètement et je quitte la salle de classe car j'ai rendez-vous au bureau de la direction à dix heures pour accueillir un nouvel étudiant.

Dans le corridor, j'angoisse un peu sur ma futur rencontre. Non pas que cela soit une nouvelle expérience pour moi (on m'a choisis parce que j'ai d'excellents résultats scolaires et que je socialise facilement), mais comme je suis le premier contact avec les nouveaux étudiants, j'aime bien faire bonne impression. Depuis mon arrivée dans ce pensionnat, j'ai participé à l'intégration d'au moins une trentaine de garçon. Plusieurs sont devenu de bon amis, sinon, de bonnes relations. Ce matin, le directeur m'a remis comme d'habitude une fiche personnelle sur le futur candidat. Je la revise une dernière fois avant d'entrer dans le bureau, afin d'avoir une idée du type de personne que je vais côtoyer pour les prochain mois. La fiche contient les informations suivantes:
Mathieu Delorme. 18 ans.
1 m 90 , 89 kilo.
Yeux bleu, cheveux châtain.
Fils de l'ambassadeur de France.
L'Italie est sont dernier pays de résidence.
Plusieurs distinctions académiques et sportives.
S'exprime en langue française, anglaise et italienne.
C'est peu, mais ça promet.

Je frappe à la porte et entre. On me présente Mathieu à qui je sers la main. Il a une poigne d'enfer. Il me souri et j'admire sa parfaite dentition blanche. Des les premiers instants, il me parle en me regardant directement dans les yeux. Il n'a pas l'air timide et est il est franc. Je remarque qu'il parle français sans accent et s'exprime avec tact. Il est bien bâti (une musculature d'haltérophile que je reconnais étant moi même un adepte) et beau garçon. Le directeur nous fait remarqué en riant notre ressemblance. C'est vrai, sauf pour mes yeux qui sont d'un brun très clair et mes cheveux qui sont blond, nous nous ressemblons physiquement. Même coupe de cheveux, même taille et peut-être même poids. Nous pourrions presque nous faire passer pour frère. Je sens que l'on va bien s'entendre.

Je commence avec lui ma tournée du collège. Premier arrêt, les cellules (on appel les chambres ainsi à cause de leur couleur grise) au dernier étage. Jusqu'à l'arrivée d'un autre nouvel étudiant, il partagera ma chambre. Toutes les chambres sont aménagé pour deux. Deux tables de travail avec fauteuils, deux lits simples, deux tables de chevet, deux grandes penderies deux chiffoniers et un lavabo. Pendant qu'il s'installe, nous discutons de tout et de rien. Il me fait un clin-d'oeil. Je le trouve de plus en plus intéressant et je crois que c'est réciproque.

Deuxième arrêt, la salle de bain. Sur l'étage, il y a pour chaque lot de dix chambres, une salle de bain avec une cabine de douche, trois toilettes et trois lavabos. Je lui explique que pour que tous les pensionnaires puissions avoir accès à la douche nous devons souvent la prendre deux par deux. Notre conversation se poursuit et je trouve qu'il a un excellent sens de l'humour.

Troisième arrêt, la salle à manger. Comme il est déjà près de midi, nous passons au comptoir de service et nous asseyons une table pour manger. Une cloche sonne la fin des cours et plusieurs amis se joignent à nous. Je présente Mathieu à chaque nouvel arrivant. J'admire la façon qu'il a d'être à l'aise avec tous. Durant le repas, plusieurs questions lui sont posées sur sa vie de fils de diplomate. Il répond de bonne grace et c'est intéressant. Il nous raconte pleins d'anecdotes cocasses.

La pause du midi se termine et je l'entraîne dans les classes de l'après midi. Malheureusement, nous n'aurons plus beaucoup l'occasion de discuter jusqu'à la fin des cours.

À la fin de la journée, un groupe se forme pour une partie de volleyball de plage à l'extérieur. Nous décidons de nous y joindre pour un peu de détente. Nous montons à notre cellule pour enfiler une tenue de sport. Nous commençons à nous déshabiller chacun de notre coté. Au moment de retirer son pantalon, je constate avec surprise qu'il ne porte pas de slip. Je ne sais pas pourquoi, mais sur le coup ça me gène. Il a un corps magnifiquement musclé et son sexe est de grande taille. Je me retourne rapidement. Lui, au contraire est très à l'aise et ne se cache pas. Il me regarde me déshabiller et me complimente sur ma musculature. Je rougis et me dépêche feignant d'avoir hate de jouer la partie.

Sur le terrain, il se démarque rapidement des autres joueurs par son talent. Comme je suis moi aussi un excellent joueur, la coordination se fait rapidement entre nous deux. On se donne à fond tous les deux et bientôt nous sommes couvert de sueur. Je retire mon t-shirt et il fait de même. Encore une fois, je suis surpris de voir un si beau torse bien bronzé. On donne toute une raclé aux autres équipes. Tous les joueurs sont content de voir que nous avons un talent remarquable de plus dans le collège. À la fin de la partie, nous nous rendons tous à la salle à manger pour un rafraîchissement. Il accepte les félicitations humblement. Un à un les étudiants quittent pour les douches mais nous continuons à discuter de notre jeu. Quand il ne reste plus que nous deux, je regarde ma montre et m'aperçois que nous allons être en retard pour le repas du soir.

Nous nous dirigeons à toute vitesse au dernier étage pour la douche et comme nous sommes en retard Mathieu me propose que l'on partage la cabine de douche. Comme c'est ce qui est d'usage étant donné l'unique cabine, j'accepte pour rattraper du temps. Nous nous retrouvons donc nus comme des vers sous le jet d'eau chaude. Je me rend compte que Mathieu m'observe de nouveau du coin de l'oeil. Il me demande si je m'entraîne beaucoup parce qu'il trouve mon corps bien proportionné. Gêné encore une fois, je lui explique qu'au sous-sol du collège, nous avons à notre disposition une salle de gym avec des appareils et des poids et que je m'y rend souvent dans mes temps libres. Le fait de me voir ainsi observé et complimenté par lui, me rend d'une certaine façon mal à l'aise mais par contre me procure une certaine fierté. Nous finissons la douche en silence et retournons à la cellule nous vêtir pour le repas du soir.


CHAPITRE DEUX
LA RÉVÉLATION



De retour à notre chambre à la fin de la soirée, nous enfilons tous deux un boxer et on se met au lit tout en continuant à parler. Après longue conversation, on se dit bonne nuit et j'éteins la lampe de chevet. À cause de la chaleur, je n'arrive pas à trouver le sommeil. Je me retourne et vois que mon copain est dans le même bateau. Je lui demande alors:
Tu ne dors pas?
Non. A cause de la chaleur et toi?
Moi aussi.
Il y a autre chose.
Quoi donc?
Habituellement je dors nu.
Je lui répond en riant:
Moi aussi.
Alors veux-tu bien me dire pourquoi tous les deux on a enfilé un boxer?
Je ne sait pas... la gêne peut-être?
Ça te dérange si je le retire?
Non pas du tout, même que je vais suivre ton exemple.
J'allume la lampe et en quelques secondes nous nous retrouvons nu sur nos lit respectif en soupirant d'aise. Après une nouvelle minute de silence Mathieu me dit:
Je peux te faire une confidence?
Oui vas-y.
Habituellement avant de dormir je fait toujours quelque chose que je n'ai pas fait ce soir.
Quoi donc?
Ça risque de te choquer.
Non vas-y j'ai l'esprit ouvert.
Et bien... je me masturbe pour me détendre.
J'ai l'esprit ouvert, mais là j'avoue que je suis dérouté. Mais après tout tu es libre de faire ce que tu veux. Depuis que j'ai dix ans que je suis en pensionnat, j'ai déjà vu d'autres gars s'astiquer le manche.
D'accord, tu en es certain?
Oui.
Alors Mathieu commence à doucement à se caresser le sexe. Je vois sa queue qui commence à s'ériger lentement. Du coup, je me retrouve pal mal excité moi aussi. Je m'échauffe sérieusement. Je ressens comme une tension dans le bas du ventre. Alors il me dit avec un sourire:
- Tu bandes mon salaud. Toi aussi tu me fais bander.
Je crois que je vais t'accompagner.
Vas-y ça me ferais plaisir je me sentirais moins intimidé.
J'entame un mouvement de va et viens sur mon pénis qui devient vite plus dur encore. Mathieu qui me regarde me dit:
Tu sais que t'as une belle queue? Je la trouve très grosse.
Merci. Je trouve la tienne très bien aussi, mais c'est la première fois que j' en vois une non-circoncise en érection. Je me demande quelle différence ça fait.
Je ne sais pas.
Tu permet que je regarde de plus près?
Oui bien sûr..
Je me lève et je vais rejoindre Mathieu dans son lit. À chacun de ses mouvements de va et viens, je vois son gland qui se décalotte, et je trouve ça vraiment excitant. Au bout d'un moment il me demande:
Tu veux la prendre en main pour voir la différence?
Je peux?
Oui vas-y.
J'emprisonne alors sa queue dans ma main et avec le pouce je fais remonter et descendre son prépuce. Je caresse aussi ses abdominaux et la base de son pénis où la toison est rasée courte. Il gémis doucement et me dit:
- Pendant que tu t'occupe de ma bite je vais m'occuper de la tienne. Avec sa main il commence à me caresser et à me branler. Je porte sa main à ma bouche et j'y met de la salive pour que le mouvement soit plus fluide sur ma queue. Je resent alors toutes sortes de sensassions étranges. C'est la première fois qu'un autre me masturbe et je bande comme jamais. Il passe ma queue partout sur son visage et je sens le picotement de sa barbe. Mathieu me me dit:
Hum... de la salive tu m'en met aussi?
J'approche ma bouche de son sexe que j'ai laissé libre pour laisser couler un filet de salive dessus. Je suis trop près et mes lèvres touchent le bout de son gland. Sa queue fait un soubresaut comme si elle avait reçu une décharge électrique. Il me viens une idée et je lui demande:
Tu as déjà sucé un autre gars?
Non et toi?
Moi non plus. Tu veux qu'on essaie?
Qui commence?
Nous deux.
Comment?
Un 69.
Ok.
On s'instale tous les deux allongés sur son lit et je commence doucement à lecher sa bite en même temps je lui masse les couilles. A son tour il me rend la pareil. L'atmosphère devient de plus en plus chaude. Il me caresse les fesses. C'est tellement bon. Il met ses lèvres autour de mon gland et commence à entrer ma queue au complet dans sa bouche. Il s'étouffe. Il me dit:
-Elle est tellement grosse.
-Ne force pas trop, utilise ta main pour ce qui n'entre pas.
Il recommence, je sens sa langue tout autour de ma bite. Je trouve la sensassion vraiment extraordinaire et je bouge mon bassin pour lui donner le rythme qui me procure le plus de plaisir. Son rythme s'intensifie. Je fantasme sur son corp de dieu. De mon coté, j'essaie moi aussi d'avaler sa queue mais je n'y arrive pas. Elle est chaude et me remplis la bouche complètement. On dirait qu'elle a encore grossie. Mathieu me dit:
-Elle est bonne ma grosse queue?
-Ha oui, tu gouttes bon. Tu aimes comment je te suce?
-C'est trop bon, je n'aurais jamais imaginé ça aussi bon.
-Masse moi les couilles.
-Ah oui c'est ça, suce moi plus fort.
Au bout de quelques minutes je sens qu'il se raidi. Je lui demande:
-Qu'est-ce que tu as?
-Continue, je vais jouir!
-Alors viens dans ma bouche.
Je recommence à le sucer à pomper en redoublant d'ardeur et soudain viennent quatre jets de sperme chaud dans ma bouche que j'avale aussitôt. Ceci provoque mon orgasme, j'explose dans sa bouche. Nous gémissions tous les deux de plaisirs. Je n’en revient pas d’avoir autant jouit. Mathieu continue quand même de me lecher la queue. Nous sommes secouer de spasmes et il flotte dans l'air une odeur de sexe. Alors il se retourne et on s'embrasse. J'aime sa langue chaude et la rugosité de sa barbe naissante. L'excitation redescend lentement et je lui demande:
-Des regrets?
-Non, c'est l'expérience la plus merveilleuse que j'ai vécu. Toi, as-tu des regrets?
-Non, pour moi aussi c'était extra.
On finit par s'endormir dans les bras l'un de l'autre.

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