Souvenir d'une postière
Récit érotique écrit par Aqw12 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Souvenir d'une postière
C’est l’année de mes 50 ans que tout cela s’est passé. Moi, Madame Landa, comme tout le monde m’appelle. Employée modèle de la poste, guichetière zélée, épouse irréprochable, mère dévouée. Une petite bonne femme très BCBG. 1m56 pour 46 kilos. Une silhouette fine si ce n’est des hanches élargies par deux grossesses et qui m’encombrent d’un fessier que je trouve trop large et surtout, d’une culotte de cheval capitonnée de cellulite. Mes fesses me complexent au point que j’hésité chaque été à me mettre en maillot de bain. Je suis donc mariée et fidèle depuis plusieurs décennies et mère de deux grands enfants. J’ai une bouche très fine avec des lèvres à peine visibles, des cheveux courts, châtains méchés blonds, au brushing crêpé toujours impeccable. Je porte désormais des lunettes rectangulaires aux fines montures dorées. Ma poitrine est menue (85b) même si mes seins sont assez lourds, en poires avec des aréoles rosées très claires presque invisibles au milieu desquelles deux petits boutons roses font office de tétons. Malgré mon air naturel assez sévère, je m’efforce d’être le plus souvent souriante. On me décrit comme une bourgeoise coincée parce que je ne porte que des tenues très sérieuses : tailleurs jupes ou pantalon et chemisiers au ras du cou. Mes jupes dévoilent rarement mes genoux.
L’année de mes cinquante ans, le petit bureau de poste au cœur de la campagne Aveyronnaise dans lequel je travaille, hérite d’un nouveau chef (un receveur selon le jargon). Et c’est ainsi que je vois arriver un ancien camarade de lycée. Et pas n’importe lequel : celui qui m’a dépucelé quand j’avais 17 ans et qui fût le seul homme autre que mon mari à m’avoir honoré tout au long de ma vie. Nous étions adolescents et après m’avoir sauté une seule et unique fois, à même le sol, au pied d’un arbre en marge d’une fête foraine où nous flânions en groupe, il avait jeté son dévolu sur ma meilleure amie de l’époque et l’avait épousé quelques années plus tard. Nous nous sommes naturellement perdu de vue pendant toutes ces années.
Il se tient debout face à toute l’équipe : mes trois collègues du guichet et les six facteurs mais il ne me quitte pas des yeux pendant tout son discours d’arrivée. Il m’invite ensuite dans son bureau et nous échangeons quelques palabres du « bon vieux temps ». Les premières semaines se passent vraiment très bien et mon mari et moi acceptons une invitation à dîner à son domicile. Je retrouve donc mon ancienne copine et je constate, non sans une certaine joie, que les années l’ont plus marquées que moi. Mon chef sympathise avec mon mari, je renoue avec sa femme et nous nous échangeons des invitations pendant quelques semaines. Au bureau, il ne cesse de me vanter et de me mettre en avant ce qui commence à rendre jalouses mes collègues. De plus, comme il ne cache pas une certaine complicité et me fait souvent venir dans son bureau ou parle ouvertement de notre dernier dîner ensemble, les ragots commencent à poindre. Pourtant, rien de répréhensible ne s’est encore passé.
Il est très ambitieux pour le développement de notre bureau de poste, et il obtient l’ouverture d’un poste de conseiller financier qui se chargera de vendre des produits financiers aux clients. Il propose et appuie ma candidature pour ce poste. Lors de l’entretien d’évaluation par son supérieur hiérarchique qui me demande « mes atouts » pour réussir à ce poste, il répond à ma place avec un sourire plein de sous-entendu « Madame Landa a de très beaux atouts et je l’aiderai et les utiliser à bon escient… » Ma nomination ne calme pas les ragots, bien au contraire. Au bureau, tout le monde en est maintenant certain : je me fais baiser par le chef. Et ce dernier ne fait rien pour démontrer l’inverse, bien au contraire. Dès qu’il le peut, il me met dans l’embarras et accentue les quiproquos. Désormais, mon bureau est dans le sien ce qui n’arrange rien.
Les premiers rendez-vous chez les clients sont pris et il compte m’accompagner. Je suis tremblante dans la voiture avant mon tout premier rendez-vous commercial. Apprendre un nouveau métier à cinquante ans, c’est motivant au début mais effrayant au moment de débuter. Sur le chemin de la première ferme où nous sommes attendus par un couple d’agriculteurs qui placent leur épargne sous le matelas, je lui demande : « Comment va-t-on procéder pour les amener à prendre des placements. » Sa réponse froide me sidère et marque un tournant de ma vie : « C’est très simple, on va se servir de ton gros cul pour vendre. Tu es une belle bourgeoise coincée avec un gros derrière qui va les rendre dingues et on va utiliser ton pétard pour faire des placements ma cochonne ! » Je suis estomaquée et lui hurle dessus : « PARDON ? »
Il gare la voiture en bordure d’un champ et reprend calmement : « Calme-toi ! Ecoute, tous ces bouseux te voient comme une bourgeoise avec un balai dans le « derch’ ». Ils connaissent ton mari, certains ont leurs enfants qui ont été à l’école avec les tiens mais avec ton air hautain, ils ont toujours considéré que tu les prenais de haut. Du coup, l’idée de pouvoir te toucher les poils du cul, ça va les rendre fous et ils ne vont rien nous refuser. Tu lèveras ta jupe ou tu montreras ta chatte au bon moment et ils signeront tout ce qu’on veut ! C’est déjà pour ça que j’avais voulu te tamponner quand tu étais jeune. Tu n’étais pas la plus bandante mais comme tu faisais sans cesse ta pédante, on avait tous envie de te décapsuler. Et je suis fier d’être celui qui a décroché ta fourrure ! A ce propos, j’imagine que tu ne te rases pas la chatte ? C’est pas ton genre, n’est-ce pas ? Pas grave ils vont adorer te gratter les poils ces crétins ! Mais il faut que je te mette en condition et que je t’essaie avant. Tu es toujours en état de marche ? » Je me surprends à répondre : « Je suis tout juste ménopausée… » « Parfait, comme ça, ils ne risqueront pas de te remplir quand ils te feront une bonne saillie sans capote ! » « Parce que ça devra aller jusque-là ? » « Si la somme en jeu le justifie, bien-sûr ! On ne va pas risquer rater un contrat. S’il faut que tu te fasses monter dessus, tu te feras monter dessus ! » « Et si je refuse tout ça ? » J’ai à peine l’énergie de formuler ces réponses sans défense.
« Eh bien, tu perds ton poste et je te remets avec tes collègues qui te détestent et pensent toutes que je te saute déjà et tu expliqueras à ton mari pourquoi t’as pas gardé ton poste et le salaire qui allait avec ! Bon assez parlé, je vais te mettre une séance avant le premier rendez-vous, on a juste le temps. »
Je n’ai même pas la force de l’empêcher de glisser sa main sous la jupe de mon tailleur. Son autre main empoigne un de mes seins et sa bouche cherche la mienne. Je tourne la tête vers la vitre mais il pince alors mon sein très fort et j’abandonne mon semblant de lutte. Je le laisse m’embrasser et il le fait avec beaucoup de vice. Sa main à trousser ma jupe et il malaxe ma touffe à travers ma culotte. Il écarte le tissu et cherche mon clitoris en haut de ma fente. Il le titille tout de suite et me souffle à l’oreille : « Il est toujours aussi petit ton bouton, mais ton abricot à bien grossit depuis ces années. »
Sa main empoigne maintenant les grandes lèvres de mon sexe, mon chemisier est ouvert, un sein sortit du bonnet de mon soutien-gorge en satin noir assorti à mon slip. Il me suce le téton, me mord la poitrine, et ses doigts s’enfoncent dans ma grotte : « T’es ménopausée mais tu mouilles encore, veille salope ! » Il ressort ses doigts gluants, étale ce jus sur mon téton nu et me le suce de nouveau. « Humm, je me souvenais de ton goût ma bonne poufiasse ! »
Il bascule mon siège et me monte dessus. Sa queue cherche déjà l’entrée de ma chatte et d’un coup de rein, sans plus de ménagement que cela, il est à l’intérieur et commence à me besogner à un bon rythme. Ses mains sont passées sous mes fesses et ses doigts m’ouvrent la raie pour chercher mon anus. Je serre les fesses et proteste : « Non, pas ça, s’il te plaît ; je t’en supplie ! » « Tu me supplies ? Dois-je comprendre qu’à ton âge tu as encore le trou qui pue tout neuf ? » « Oui… » Je souffle en fermant les yeux… « Putain, ça m’excite encore plus ! Je vais te foutre la paix pour l’instant avec ça mais prépare toi parce qu’un de ces quatre, je t’ouvrirai la rondelle ma grosse pute ! » Il reprend sa saillie avec encore plus d’ardeur. Il reprend sa prise pour me remonter encore plus les genoux vers la poitrine et m’ouvrir encore un peu plus afin d’aller encore plus loin dans mon vagin. Il s’arrête, se remet sur son siège et me demande d’enlever ma culotte qu’il avait tenu écarté pour me limer. Je lui obéis et lui tant mon dessous.
« Je ne veux pas te jouir dessus aujourd’hui pour ne pas trop te souiller avant que les clients te tâtent donc je vais me finir sur ton slip et c’est toi qui va me branler avec. » Je m’exécute en masturbant son sexe enroulé de ma culotte en satin et lui demande : « Mais qu’est-ce que je vais mettre, moi après ? » Son sourie est plus explicit que des mots et je comprends donc que j’irais à ce premier rendez-vous, les fesses à l’air sous mon tailleur… Il éjacule abondamment, se rajuste et reprend la route avant même que j’ai redescendu ma jupe froissée.
Moins de 10 minutes plus tard, nous sommes garés dans une cour de ferme et deux gros chiens tournent autour de la voiture. Nous descendons de la voiture et allons à la rencontre d’un gaillard rougeau et bedonnant qui nous attend en bottes sur le perron. Il maugrée que sa femme ne débauche qu’à 18 heures de l’usine et qu’elle nous rejoindra plus tard puis crie férocement sur les deux chiens qui n’arrêtent pas de vouloir fourrer leurs truffes sous mes fesses et dans mon entrecuisses. « Laissez le faire Monsieur X ! » répond mon chef goguenard « Ce sont de bons chiens, ils ont senti la chienne que voulez-vous ! » « Elle est sûrement en chaleur, alors » répond grassement le client comme si je n’étais pas là. Nous le suivons dans sa maison.
Le ton est donné…
En entrant, mon chef me demande à l’oreille de déboutonner 3 boutons de mon chemisier. Nous nous asseyons donc autour de la table rustique d’une cuisine sombre et rudimentaire. Nous faisons face à notre hôte qui peut voir sans mal mon sillon mammaire et le haut des bonnets de mon soutien-gorge. Il nous propose un café et disparait dans une minuscule pièce. Profitant de son absence, mon chef se penche vers moi : « Tu vas le chauffer en faisant ce que je te dis. Par contre, quoi qu’il arrive, tu ne lui montre pas ta chatte et tu ne le laisse pas la toucher. Le cul, les seins, tes hanches, il touche tout ce qu’il veut mais pas ta buffarde, ok ? »Notre hôte est de retour. En me regardant avec vice, il me dit : « Alors, vous venez chez les clients maintenant ? »
« Mais oui ! » répond mon chef. « Vous connaissez Madame Landa ? » « Bien sûr, on la voit toujours derrière son guichet. Gentille mais toujours sérieuse ! » Il regarde mes seins sans aucune retenue.
« He bien, maintenant, elle vient vous voir chez vous pour les placements. Vous allez voir qu’elle est toujours aussi gentille, même très gentille… » Et il termine cette phrase en remontant une main sur ma cuisse ce qui trousse ma jupe et dévoile mes cuisses, que je tiens serrées, de façon très provocante. Le client sourit avec appétit.
« Il fait chaud chez vous. Madame Landa s’en dépoitraille, regardez ça. Vous avez les seins en feu Madame Landa me demande-t-il ? » Je n’ai pas le temps de répondre qu’il surenchérit en jetant ma culotte souillée sur la table « Remarquez, qu’elle doit avoir le feu ailleurs. Elle a tellement chaud au cul qu’elle en a enlevé sa culotte » Nouvel éclat de rire gras.
« Bien, Madame Landa va vous expliquer la raison de notre venue. »
Je sors donc une liasse de papier que je pose en face du client et je me penche en avant face à lui pour lui expliquer nos solutions d’épargne. De cette façon, mon décolleté est on ne peut plus aguicheur. Comme j’emploie des termes techniques, mon client ne suit pas bien mes explications. Mon chef me demande donc de reprendre en me rapprochant de notre hôte. Je fais donc le tour de la table et m’assois juste à côté de lui. Je le frôle, lui sourit, je joue de mes seins, quand je cherche dans mon cartable, je tends mes fesses en arrière sur la chaise, je croise et décroise sans cesse les jambes, me frotte contre tout ce que je peux, comme une chatte en chaleur. Le client n’y tient plus et il me pose une main sur la cuisse, je fais faussement l’effarouchée. Il se montre plus audacieux et cherche à empoigner mes seins.
« Allons, allons, du calme Monsieur X… » Il ne m’écoute pas et poursuit de plus belle.
« Mettez-vous sur ses genoux Madame Landa, il comprendra mieux ! » surenchérit mon chef avec l’œil lubrique et le sourire satisfait. Je pose donc doucement mon derrière sur les cuisses du monsieur. Bien entendu, il glisse une main dessous pour me tâter le fessier sas gène.
« Il est bien moelleux ton gros cul, vieille poufiasse ! » Puis il empoigne mes seins et cette fois, les malaxe, les pétris jusqu’à les faire sortir de mon soutien-gorge. Il ouvre complètement mon chemisier et me l’enlève sans douceur. Il embrasse et mords mes épaules nues et enfoui son nez dans les poils bruns de mes aisselles. Ses mains se posent maintenant sur mes cuisses et les remontent en direction de ma culotte que je n’ai plus et au moment où il touche les poils pubiens de mon sexe très fourni, je me dégage lestement et me lève d’un bond. Il se tourne alors vers mon chef :
« Combien il faut mettre sur votre truc pour pouvoir fourrer cette grosse dinde ? » Mon chef lui annonce sans sourciller une somme pour pouvoir me toucher comme bon lui semble. Pour le double, il a le droit de me violer pendant une heure.
« Le double, ça représente toute notre épargne » se défend-il.
« Je ne peux pas décider ça comme ça ! » « Mais vous avez envie de vous envoyer Madame Landa, n’est-ce pas ? » « Et comment, oui ! » « Surtout que je suis passé dessus avant d’arriver et je vous jure qu’elle vaut la cartouche. Il faut la dérouiller un peu parce qu’elle n’a pas trop servi dernièrement mais c’est encore une bonne jument !... Vous connaissez son mari peut-être bien ? » « Bien-sûr ! C’est un con ! Y a deux ans, il m’a engueulé devant tout le monde au comice agricole. C’est pour ça que ça me dirais bien de lui défoncer sa bonne-femme, faire couiner sa vieille bourgeoise en chaleur ! » Mon chef propose alors une nouvelle offre : « Pour une somme intermédiaire, vous la tripotez comme vous voulez et elle vous suce aujourd’hui. Puis, je vous laisse deux jours pour accepter de mettre le reste de la somme sur le compte. Dans ce cas-là, je vous propose de vous conduire chez elle pour la sauter, dans son lit conjugal. »
Le marché est vite conclut et le chèque sitôt fait, il m’empoigne par les hanches, me penche en avant sur la table.
« Montre un peu ton cul Mémère » Alors, je remonte ma jupe sur mes fesses et dévoile mon arrière train capitonné de cellulite et blanc comme neige.
« Vin dieu la cularde ! » Il m’empoigne le fessier à deux mains et je sens sa main calleuse et large me pétrir le cul et m’ouvrir les fesses pour voir, au milieu du sillon de poil brun, mon petit trou ridé. « Allez, viens me sucer la vieille ! » Je me laisse descendre à genou et il sort déjà face à mon visage, une queue courte mais épaisse et odorante à en vomir. Je prends sur moi et entreprend une fellation que je vais emmener jusqu’au bout puisqu’il éjaculera entre mes seins, inondant mon soutien-gorge de son jus visqueux et grisâtre.
Je me rajuste et nous repartons. Sur la petite route de la ferme, nous croisons la voiture de son épouse en train de rentrer à la maison retrouver son mari que je viens de pomper. Mon chef est satisfait : « Tu vois pourquoi je te disais que tu ne feras pas plus de 2 ou 3 RDV par jour parce qu’ils vont tous vouloir te tringler. Tu as été parfaite mais tiens-toi prête parce qu’il va revenir à la charge et ce sera pour te troncher cette fois ! »
Le lendemain matin, nous sommes dans le bureau quand le téléphone sonne sur la ligne directe du chef. Je comprends très vite qu’il s’agit du client de la veille qui veut placer le reste de son épargne. « Ravi de l’entendre Monsieur X. Comme promis, je mets Madame Landa en congés cet après-midi, je passe vous chercher à 14 heures et je vous amène chez elle pour que vous puissiez la saillir… Oui, bien entendu… mais tout à fait… je vois ça avec elle… ou plutôt, non, on lui fera la surprise ! A tout à l’heure Monsieur X. »
Après un rapide déjeuné, selon les instructions de mon chef, je me maquille un peu, dessine ma bouche d’un rouge à lèvres brillant. Ma coiffure est impeccable. Je passe une lingerie en dentelle noire sous une nuisette en satin beige. La voiture de mon chef se gare déjà devant mon domicile. J’ouvre la porte et tombe des nues. Mon chef est là, le client aussi bien sûr mais ils sont accompagnés d’un jeune garçon à qui je donne 15 ans grand maximum. Mon chef devance ma question et explique en faisant pénétrer les hommes dans mon salon : « Je vous présente Antonin, le neveu de Monsieur X. Malgré les apparences, il est majeur. Il a 19 ans mais il a eu beaucoup de problème de croissance et son traitement hormonal se poursuit mais il a encore une apparence très juvénile. Du coup, il n’y arrive pas avec les filles et son oncle vous confie son pucelage ! » « Mais il en est hors de question ! » Je proteste mais mon chef reprend : « Quand il a perdu son grand-père, l’an dernier, Antonin a hérité d’une belle somme placée au crédit Agricole, nos concurrents. Il accepte de placer cet argent chez nous en échange de vos grâces. »
Je baisse les yeux en signe d’acceptation. Le jeune binoclard s’approche de moi. Il fait à peine ma taille et à une fine moustache de duvet en dessous du nez, des boutons d’acné et les oreilles décollées mais il ne perd pas une seconde. Il me prend dans ses bras et claque mes fesses de ses deux mains puis les empoigne.
« Doucement, doucement, jeune homme. Ce n’est pas comme ça qu’on s’y prend avec une dame, voyons ! » « Ferme ta gueule, je vais te défoncer vieille putain ! » Je regarde son oncle qui m’avertit : « Il a l’air jeune mais dans sa tête, il a vraiment 19 ans et il se gave de films porno donc ne vous attendez pas à ce qu’il soit romantique »
J’avais compris puisque ses doigts passés sous mes fesses avaient déjà écarté mon slip de dentelle et fouillaient mon abricot charnu. Alors, par jeu, je le pris moi aussi dans mes bras et me mit à l’embrasser à pleine bouche. Ses attouchement brusques et maladroits commencèrent même à m‘exciter et de sentir ce jeune sexe durcir contre ma cuisse m’émoustilla d’avantage. Je décidais alors de m’offrir à ce jeune homme et de lui faire la totale pour ses débuts.
« Tu veux voir ma chatte ? T’as déjà vu une chatte en vrai ? » « Oui, je vois celle de tatie ou celle de maman quand elles sortent de la douche parfois. » « Mais ce n’est pas leurs chattes que tu vois, c’est leurs touffes de poils. Moi je te parle de la moule rose, des lèvres ouvertes, du clitoris, du vagin mouillé comme une grotte… Allez, regarde. »
Je baisse ma culotte et me jette sur le canapé. Je pose mes pieds en hauteur et ouvrent mes cuisses de façon vulgaire. « Viens la sentir, viens la gouter… » Il s’agenouille face à mon sexe poilu béant ? J’approche encore mes fesses du bord du canapé.
« Et le cul d’une femme, tu l’a déjà reniflé ? » Je saisis sa tête frêle et écrase son visage sur mon intimité. Il se branle d’une main et son oncle, en retrait, en fait de même. Il me sent, me lèche maladroitement. Je me sens trempée et j’ordonne.
« Alors, tu voulais me baiser comme une vieille putain, c’est bien ça ? Alors vas-y ! » Je m’allonge sur le canapé, il se jette sur moi, déballe mes seins, les suce les mord, les mange. D’une main, je guide sa jeune bite toute neuve vers l’entrée de ma grotte. Je pose son gland sur mes lèvres et lui murmure. « Quand tu veux rentrer, tu peux y aller. » Il râle en creusant ses reins et ma chatte accueillante inaugure cette verge. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Je l’immobilise et le regarde dans les yeux : « ça y est mon grand, tu es à l’intérieur de ma chatte ! Alors, on est comment dans une femme ? Maintenant tu peux faire ce que tu vois dans les pornos et me fourrer comme une salope ! » « Je vais te défoncer vieille poufiasse… » Il se met à me limer avec force et rage. Ses coups de reins saccadés m’amènent très vite au bord de l’orgasme mais je sens qu’il est trop besogneux pour me faire jouir.
Je lui propose alors de me mettre sur lui. Je m’empale désormais sur sa jeune queue et, en quelques va-et-vient selon mon rythme, je me mords les lèvres, je me touche les seins et je joui une première fois. Je m’affale sur lui, mes seins mou écrasés sur son torse maigre et je lui glisse à l’oreille : « Avec tes mains, attrape mon cul, écarte mes grosses fesses autant que tu peux et fais monter et descendre mon cul sur ta bite. » Il s’exécute et me conduit très vite à un deuxième orgasme. Je gémis comme une jeune fille et il explose en moi. Je le laisse se vider en faisant encore quelques mouvements de bassin. Sa queue devient molle et sort toute seule suivi d’une longue coulée de sperme qui s’échappe de mon sexe distendu.
Pas le temps de féliciter mon amant que son tonton me tire déjà par le bras.
« A moi maintenant. » Il me traîne vers ma chambre. Il me sert contre lui, me retourne et me jette à plat ventre sur le lit.
« On va voir si tu vas être aussi vaillante avec un vrai mâle vieille chienne ! »
Il se jette sur mon dos, m’ouvre les cuisses et m’enfonce sa queue sans autre forme de procès. Il commence à me secouer comme un prunier. Il me besogne avec une profonde colère. Il mélange tout : « Alors, tu fais moins la maline que derrière ton guichet quand tu me prenais de haut, morue ! Et ton connard de mari, il le sait que t’es une grosse truie, un gros trou à bites ? Je vais te faire crier moi, pétasse ! » Il s’interrompt, relève mes hanches pour me mettre à 4 pattes et me reprend de plus belle en levrette. Je sens une légère jouissance quand, au bout d’une demi-heure de pilonnage en règle, il pince mon clitoris en me tronchant en missionnaire. Pendant près d’une heure, il va ainsi me défoncer avec brutalité et jouir sur mon visage.
Les voici qui repartent satisfaits me laissant nue et épuisée sur mon lit défait. Mon chef me prévient en partant : « Demain, on a un rendez-vous dès le matin chez trois frères agriculteurs. Des vieux garçons pleins aux as… Prépare ton cul de vieille poule, on va en faire une tirelire géante de ton gros fion ma chérie ! »
L’année de mes cinquante ans, le petit bureau de poste au cœur de la campagne Aveyronnaise dans lequel je travaille, hérite d’un nouveau chef (un receveur selon le jargon). Et c’est ainsi que je vois arriver un ancien camarade de lycée. Et pas n’importe lequel : celui qui m’a dépucelé quand j’avais 17 ans et qui fût le seul homme autre que mon mari à m’avoir honoré tout au long de ma vie. Nous étions adolescents et après m’avoir sauté une seule et unique fois, à même le sol, au pied d’un arbre en marge d’une fête foraine où nous flânions en groupe, il avait jeté son dévolu sur ma meilleure amie de l’époque et l’avait épousé quelques années plus tard. Nous nous sommes naturellement perdu de vue pendant toutes ces années.
Il se tient debout face à toute l’équipe : mes trois collègues du guichet et les six facteurs mais il ne me quitte pas des yeux pendant tout son discours d’arrivée. Il m’invite ensuite dans son bureau et nous échangeons quelques palabres du « bon vieux temps ». Les premières semaines se passent vraiment très bien et mon mari et moi acceptons une invitation à dîner à son domicile. Je retrouve donc mon ancienne copine et je constate, non sans une certaine joie, que les années l’ont plus marquées que moi. Mon chef sympathise avec mon mari, je renoue avec sa femme et nous nous échangeons des invitations pendant quelques semaines. Au bureau, il ne cesse de me vanter et de me mettre en avant ce qui commence à rendre jalouses mes collègues. De plus, comme il ne cache pas une certaine complicité et me fait souvent venir dans son bureau ou parle ouvertement de notre dernier dîner ensemble, les ragots commencent à poindre. Pourtant, rien de répréhensible ne s’est encore passé.
Il est très ambitieux pour le développement de notre bureau de poste, et il obtient l’ouverture d’un poste de conseiller financier qui se chargera de vendre des produits financiers aux clients. Il propose et appuie ma candidature pour ce poste. Lors de l’entretien d’évaluation par son supérieur hiérarchique qui me demande « mes atouts » pour réussir à ce poste, il répond à ma place avec un sourire plein de sous-entendu « Madame Landa a de très beaux atouts et je l’aiderai et les utiliser à bon escient… » Ma nomination ne calme pas les ragots, bien au contraire. Au bureau, tout le monde en est maintenant certain : je me fais baiser par le chef. Et ce dernier ne fait rien pour démontrer l’inverse, bien au contraire. Dès qu’il le peut, il me met dans l’embarras et accentue les quiproquos. Désormais, mon bureau est dans le sien ce qui n’arrange rien.
Les premiers rendez-vous chez les clients sont pris et il compte m’accompagner. Je suis tremblante dans la voiture avant mon tout premier rendez-vous commercial. Apprendre un nouveau métier à cinquante ans, c’est motivant au début mais effrayant au moment de débuter. Sur le chemin de la première ferme où nous sommes attendus par un couple d’agriculteurs qui placent leur épargne sous le matelas, je lui demande : « Comment va-t-on procéder pour les amener à prendre des placements. » Sa réponse froide me sidère et marque un tournant de ma vie : « C’est très simple, on va se servir de ton gros cul pour vendre. Tu es une belle bourgeoise coincée avec un gros derrière qui va les rendre dingues et on va utiliser ton pétard pour faire des placements ma cochonne ! » Je suis estomaquée et lui hurle dessus : « PARDON ? »
Il gare la voiture en bordure d’un champ et reprend calmement : « Calme-toi ! Ecoute, tous ces bouseux te voient comme une bourgeoise avec un balai dans le « derch’ ». Ils connaissent ton mari, certains ont leurs enfants qui ont été à l’école avec les tiens mais avec ton air hautain, ils ont toujours considéré que tu les prenais de haut. Du coup, l’idée de pouvoir te toucher les poils du cul, ça va les rendre fous et ils ne vont rien nous refuser. Tu lèveras ta jupe ou tu montreras ta chatte au bon moment et ils signeront tout ce qu’on veut ! C’est déjà pour ça que j’avais voulu te tamponner quand tu étais jeune. Tu n’étais pas la plus bandante mais comme tu faisais sans cesse ta pédante, on avait tous envie de te décapsuler. Et je suis fier d’être celui qui a décroché ta fourrure ! A ce propos, j’imagine que tu ne te rases pas la chatte ? C’est pas ton genre, n’est-ce pas ? Pas grave ils vont adorer te gratter les poils ces crétins ! Mais il faut que je te mette en condition et que je t’essaie avant. Tu es toujours en état de marche ? » Je me surprends à répondre : « Je suis tout juste ménopausée… » « Parfait, comme ça, ils ne risqueront pas de te remplir quand ils te feront une bonne saillie sans capote ! » « Parce que ça devra aller jusque-là ? » « Si la somme en jeu le justifie, bien-sûr ! On ne va pas risquer rater un contrat. S’il faut que tu te fasses monter dessus, tu te feras monter dessus ! » « Et si je refuse tout ça ? » J’ai à peine l’énergie de formuler ces réponses sans défense.
« Eh bien, tu perds ton poste et je te remets avec tes collègues qui te détestent et pensent toutes que je te saute déjà et tu expliqueras à ton mari pourquoi t’as pas gardé ton poste et le salaire qui allait avec ! Bon assez parlé, je vais te mettre une séance avant le premier rendez-vous, on a juste le temps. »
Je n’ai même pas la force de l’empêcher de glisser sa main sous la jupe de mon tailleur. Son autre main empoigne un de mes seins et sa bouche cherche la mienne. Je tourne la tête vers la vitre mais il pince alors mon sein très fort et j’abandonne mon semblant de lutte. Je le laisse m’embrasser et il le fait avec beaucoup de vice. Sa main à trousser ma jupe et il malaxe ma touffe à travers ma culotte. Il écarte le tissu et cherche mon clitoris en haut de ma fente. Il le titille tout de suite et me souffle à l’oreille : « Il est toujours aussi petit ton bouton, mais ton abricot à bien grossit depuis ces années. »
Sa main empoigne maintenant les grandes lèvres de mon sexe, mon chemisier est ouvert, un sein sortit du bonnet de mon soutien-gorge en satin noir assorti à mon slip. Il me suce le téton, me mord la poitrine, et ses doigts s’enfoncent dans ma grotte : « T’es ménopausée mais tu mouilles encore, veille salope ! » Il ressort ses doigts gluants, étale ce jus sur mon téton nu et me le suce de nouveau. « Humm, je me souvenais de ton goût ma bonne poufiasse ! »
Il bascule mon siège et me monte dessus. Sa queue cherche déjà l’entrée de ma chatte et d’un coup de rein, sans plus de ménagement que cela, il est à l’intérieur et commence à me besogner à un bon rythme. Ses mains sont passées sous mes fesses et ses doigts m’ouvrent la raie pour chercher mon anus. Je serre les fesses et proteste : « Non, pas ça, s’il te plaît ; je t’en supplie ! » « Tu me supplies ? Dois-je comprendre qu’à ton âge tu as encore le trou qui pue tout neuf ? » « Oui… » Je souffle en fermant les yeux… « Putain, ça m’excite encore plus ! Je vais te foutre la paix pour l’instant avec ça mais prépare toi parce qu’un de ces quatre, je t’ouvrirai la rondelle ma grosse pute ! » Il reprend sa saillie avec encore plus d’ardeur. Il reprend sa prise pour me remonter encore plus les genoux vers la poitrine et m’ouvrir encore un peu plus afin d’aller encore plus loin dans mon vagin. Il s’arrête, se remet sur son siège et me demande d’enlever ma culotte qu’il avait tenu écarté pour me limer. Je lui obéis et lui tant mon dessous.
« Je ne veux pas te jouir dessus aujourd’hui pour ne pas trop te souiller avant que les clients te tâtent donc je vais me finir sur ton slip et c’est toi qui va me branler avec. » Je m’exécute en masturbant son sexe enroulé de ma culotte en satin et lui demande : « Mais qu’est-ce que je vais mettre, moi après ? » Son sourie est plus explicit que des mots et je comprends donc que j’irais à ce premier rendez-vous, les fesses à l’air sous mon tailleur… Il éjacule abondamment, se rajuste et reprend la route avant même que j’ai redescendu ma jupe froissée.
Moins de 10 minutes plus tard, nous sommes garés dans une cour de ferme et deux gros chiens tournent autour de la voiture. Nous descendons de la voiture et allons à la rencontre d’un gaillard rougeau et bedonnant qui nous attend en bottes sur le perron. Il maugrée que sa femme ne débauche qu’à 18 heures de l’usine et qu’elle nous rejoindra plus tard puis crie férocement sur les deux chiens qui n’arrêtent pas de vouloir fourrer leurs truffes sous mes fesses et dans mon entrecuisses. « Laissez le faire Monsieur X ! » répond mon chef goguenard « Ce sont de bons chiens, ils ont senti la chienne que voulez-vous ! » « Elle est sûrement en chaleur, alors » répond grassement le client comme si je n’étais pas là. Nous le suivons dans sa maison.
Le ton est donné…
En entrant, mon chef me demande à l’oreille de déboutonner 3 boutons de mon chemisier. Nous nous asseyons donc autour de la table rustique d’une cuisine sombre et rudimentaire. Nous faisons face à notre hôte qui peut voir sans mal mon sillon mammaire et le haut des bonnets de mon soutien-gorge. Il nous propose un café et disparait dans une minuscule pièce. Profitant de son absence, mon chef se penche vers moi : « Tu vas le chauffer en faisant ce que je te dis. Par contre, quoi qu’il arrive, tu ne lui montre pas ta chatte et tu ne le laisse pas la toucher. Le cul, les seins, tes hanches, il touche tout ce qu’il veut mais pas ta buffarde, ok ? »Notre hôte est de retour. En me regardant avec vice, il me dit : « Alors, vous venez chez les clients maintenant ? »
« Mais oui ! » répond mon chef. « Vous connaissez Madame Landa ? » « Bien sûr, on la voit toujours derrière son guichet. Gentille mais toujours sérieuse ! » Il regarde mes seins sans aucune retenue.
« He bien, maintenant, elle vient vous voir chez vous pour les placements. Vous allez voir qu’elle est toujours aussi gentille, même très gentille… » Et il termine cette phrase en remontant une main sur ma cuisse ce qui trousse ma jupe et dévoile mes cuisses, que je tiens serrées, de façon très provocante. Le client sourit avec appétit.
« Il fait chaud chez vous. Madame Landa s’en dépoitraille, regardez ça. Vous avez les seins en feu Madame Landa me demande-t-il ? » Je n’ai pas le temps de répondre qu’il surenchérit en jetant ma culotte souillée sur la table « Remarquez, qu’elle doit avoir le feu ailleurs. Elle a tellement chaud au cul qu’elle en a enlevé sa culotte » Nouvel éclat de rire gras.
« Bien, Madame Landa va vous expliquer la raison de notre venue. »
Je sors donc une liasse de papier que je pose en face du client et je me penche en avant face à lui pour lui expliquer nos solutions d’épargne. De cette façon, mon décolleté est on ne peut plus aguicheur. Comme j’emploie des termes techniques, mon client ne suit pas bien mes explications. Mon chef me demande donc de reprendre en me rapprochant de notre hôte. Je fais donc le tour de la table et m’assois juste à côté de lui. Je le frôle, lui sourit, je joue de mes seins, quand je cherche dans mon cartable, je tends mes fesses en arrière sur la chaise, je croise et décroise sans cesse les jambes, me frotte contre tout ce que je peux, comme une chatte en chaleur. Le client n’y tient plus et il me pose une main sur la cuisse, je fais faussement l’effarouchée. Il se montre plus audacieux et cherche à empoigner mes seins.
« Allons, allons, du calme Monsieur X… » Il ne m’écoute pas et poursuit de plus belle.
« Mettez-vous sur ses genoux Madame Landa, il comprendra mieux ! » surenchérit mon chef avec l’œil lubrique et le sourire satisfait. Je pose donc doucement mon derrière sur les cuisses du monsieur. Bien entendu, il glisse une main dessous pour me tâter le fessier sas gène.
« Il est bien moelleux ton gros cul, vieille poufiasse ! » Puis il empoigne mes seins et cette fois, les malaxe, les pétris jusqu’à les faire sortir de mon soutien-gorge. Il ouvre complètement mon chemisier et me l’enlève sans douceur. Il embrasse et mords mes épaules nues et enfoui son nez dans les poils bruns de mes aisselles. Ses mains se posent maintenant sur mes cuisses et les remontent en direction de ma culotte que je n’ai plus et au moment où il touche les poils pubiens de mon sexe très fourni, je me dégage lestement et me lève d’un bond. Il se tourne alors vers mon chef :
« Combien il faut mettre sur votre truc pour pouvoir fourrer cette grosse dinde ? » Mon chef lui annonce sans sourciller une somme pour pouvoir me toucher comme bon lui semble. Pour le double, il a le droit de me violer pendant une heure.
« Le double, ça représente toute notre épargne » se défend-il.
« Je ne peux pas décider ça comme ça ! » « Mais vous avez envie de vous envoyer Madame Landa, n’est-ce pas ? » « Et comment, oui ! » « Surtout que je suis passé dessus avant d’arriver et je vous jure qu’elle vaut la cartouche. Il faut la dérouiller un peu parce qu’elle n’a pas trop servi dernièrement mais c’est encore une bonne jument !... Vous connaissez son mari peut-être bien ? » « Bien-sûr ! C’est un con ! Y a deux ans, il m’a engueulé devant tout le monde au comice agricole. C’est pour ça que ça me dirais bien de lui défoncer sa bonne-femme, faire couiner sa vieille bourgeoise en chaleur ! » Mon chef propose alors une nouvelle offre : « Pour une somme intermédiaire, vous la tripotez comme vous voulez et elle vous suce aujourd’hui. Puis, je vous laisse deux jours pour accepter de mettre le reste de la somme sur le compte. Dans ce cas-là, je vous propose de vous conduire chez elle pour la sauter, dans son lit conjugal. »
Le marché est vite conclut et le chèque sitôt fait, il m’empoigne par les hanches, me penche en avant sur la table.
« Montre un peu ton cul Mémère » Alors, je remonte ma jupe sur mes fesses et dévoile mon arrière train capitonné de cellulite et blanc comme neige.
« Vin dieu la cularde ! » Il m’empoigne le fessier à deux mains et je sens sa main calleuse et large me pétrir le cul et m’ouvrir les fesses pour voir, au milieu du sillon de poil brun, mon petit trou ridé. « Allez, viens me sucer la vieille ! » Je me laisse descendre à genou et il sort déjà face à mon visage, une queue courte mais épaisse et odorante à en vomir. Je prends sur moi et entreprend une fellation que je vais emmener jusqu’au bout puisqu’il éjaculera entre mes seins, inondant mon soutien-gorge de son jus visqueux et grisâtre.
Je me rajuste et nous repartons. Sur la petite route de la ferme, nous croisons la voiture de son épouse en train de rentrer à la maison retrouver son mari que je viens de pomper. Mon chef est satisfait : « Tu vois pourquoi je te disais que tu ne feras pas plus de 2 ou 3 RDV par jour parce qu’ils vont tous vouloir te tringler. Tu as été parfaite mais tiens-toi prête parce qu’il va revenir à la charge et ce sera pour te troncher cette fois ! »
Le lendemain matin, nous sommes dans le bureau quand le téléphone sonne sur la ligne directe du chef. Je comprends très vite qu’il s’agit du client de la veille qui veut placer le reste de son épargne. « Ravi de l’entendre Monsieur X. Comme promis, je mets Madame Landa en congés cet après-midi, je passe vous chercher à 14 heures et je vous amène chez elle pour que vous puissiez la saillir… Oui, bien entendu… mais tout à fait… je vois ça avec elle… ou plutôt, non, on lui fera la surprise ! A tout à l’heure Monsieur X. »
Après un rapide déjeuné, selon les instructions de mon chef, je me maquille un peu, dessine ma bouche d’un rouge à lèvres brillant. Ma coiffure est impeccable. Je passe une lingerie en dentelle noire sous une nuisette en satin beige. La voiture de mon chef se gare déjà devant mon domicile. J’ouvre la porte et tombe des nues. Mon chef est là, le client aussi bien sûr mais ils sont accompagnés d’un jeune garçon à qui je donne 15 ans grand maximum. Mon chef devance ma question et explique en faisant pénétrer les hommes dans mon salon : « Je vous présente Antonin, le neveu de Monsieur X. Malgré les apparences, il est majeur. Il a 19 ans mais il a eu beaucoup de problème de croissance et son traitement hormonal se poursuit mais il a encore une apparence très juvénile. Du coup, il n’y arrive pas avec les filles et son oncle vous confie son pucelage ! » « Mais il en est hors de question ! » Je proteste mais mon chef reprend : « Quand il a perdu son grand-père, l’an dernier, Antonin a hérité d’une belle somme placée au crédit Agricole, nos concurrents. Il accepte de placer cet argent chez nous en échange de vos grâces. »
Je baisse les yeux en signe d’acceptation. Le jeune binoclard s’approche de moi. Il fait à peine ma taille et à une fine moustache de duvet en dessous du nez, des boutons d’acné et les oreilles décollées mais il ne perd pas une seconde. Il me prend dans ses bras et claque mes fesses de ses deux mains puis les empoigne.
« Doucement, doucement, jeune homme. Ce n’est pas comme ça qu’on s’y prend avec une dame, voyons ! » « Ferme ta gueule, je vais te défoncer vieille putain ! » Je regarde son oncle qui m’avertit : « Il a l’air jeune mais dans sa tête, il a vraiment 19 ans et il se gave de films porno donc ne vous attendez pas à ce qu’il soit romantique »
J’avais compris puisque ses doigts passés sous mes fesses avaient déjà écarté mon slip de dentelle et fouillaient mon abricot charnu. Alors, par jeu, je le pris moi aussi dans mes bras et me mit à l’embrasser à pleine bouche. Ses attouchement brusques et maladroits commencèrent même à m‘exciter et de sentir ce jeune sexe durcir contre ma cuisse m’émoustilla d’avantage. Je décidais alors de m’offrir à ce jeune homme et de lui faire la totale pour ses débuts.
« Tu veux voir ma chatte ? T’as déjà vu une chatte en vrai ? » « Oui, je vois celle de tatie ou celle de maman quand elles sortent de la douche parfois. » « Mais ce n’est pas leurs chattes que tu vois, c’est leurs touffes de poils. Moi je te parle de la moule rose, des lèvres ouvertes, du clitoris, du vagin mouillé comme une grotte… Allez, regarde. »
Je baisse ma culotte et me jette sur le canapé. Je pose mes pieds en hauteur et ouvrent mes cuisses de façon vulgaire. « Viens la sentir, viens la gouter… » Il s’agenouille face à mon sexe poilu béant ? J’approche encore mes fesses du bord du canapé.
« Et le cul d’une femme, tu l’a déjà reniflé ? » Je saisis sa tête frêle et écrase son visage sur mon intimité. Il se branle d’une main et son oncle, en retrait, en fait de même. Il me sent, me lèche maladroitement. Je me sens trempée et j’ordonne.
« Alors, tu voulais me baiser comme une vieille putain, c’est bien ça ? Alors vas-y ! » Je m’allonge sur le canapé, il se jette sur moi, déballe mes seins, les suce les mord, les mange. D’une main, je guide sa jeune bite toute neuve vers l’entrée de ma grotte. Je pose son gland sur mes lèvres et lui murmure. « Quand tu veux rentrer, tu peux y aller. » Il râle en creusant ses reins et ma chatte accueillante inaugure cette verge. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Je l’immobilise et le regarde dans les yeux : « ça y est mon grand, tu es à l’intérieur de ma chatte ! Alors, on est comment dans une femme ? Maintenant tu peux faire ce que tu vois dans les pornos et me fourrer comme une salope ! » « Je vais te défoncer vieille poufiasse… » Il se met à me limer avec force et rage. Ses coups de reins saccadés m’amènent très vite au bord de l’orgasme mais je sens qu’il est trop besogneux pour me faire jouir.
Je lui propose alors de me mettre sur lui. Je m’empale désormais sur sa jeune queue et, en quelques va-et-vient selon mon rythme, je me mords les lèvres, je me touche les seins et je joui une première fois. Je m’affale sur lui, mes seins mou écrasés sur son torse maigre et je lui glisse à l’oreille : « Avec tes mains, attrape mon cul, écarte mes grosses fesses autant que tu peux et fais monter et descendre mon cul sur ta bite. » Il s’exécute et me conduit très vite à un deuxième orgasme. Je gémis comme une jeune fille et il explose en moi. Je le laisse se vider en faisant encore quelques mouvements de bassin. Sa queue devient molle et sort toute seule suivi d’une longue coulée de sperme qui s’échappe de mon sexe distendu.
Pas le temps de féliciter mon amant que son tonton me tire déjà par le bras.
« A moi maintenant. » Il me traîne vers ma chambre. Il me sert contre lui, me retourne et me jette à plat ventre sur le lit.
« On va voir si tu vas être aussi vaillante avec un vrai mâle vieille chienne ! »
Il se jette sur mon dos, m’ouvre les cuisses et m’enfonce sa queue sans autre forme de procès. Il commence à me secouer comme un prunier. Il me besogne avec une profonde colère. Il mélange tout : « Alors, tu fais moins la maline que derrière ton guichet quand tu me prenais de haut, morue ! Et ton connard de mari, il le sait que t’es une grosse truie, un gros trou à bites ? Je vais te faire crier moi, pétasse ! » Il s’interrompt, relève mes hanches pour me mettre à 4 pattes et me reprend de plus belle en levrette. Je sens une légère jouissance quand, au bout d’une demi-heure de pilonnage en règle, il pince mon clitoris en me tronchant en missionnaire. Pendant près d’une heure, il va ainsi me défoncer avec brutalité et jouir sur mon visage.
Les voici qui repartent satisfaits me laissant nue et épuisée sur mon lit défait. Mon chef me prévient en partant : « Demain, on a un rendez-vous dès le matin chez trois frères agriculteurs. Des vieux garçons pleins aux as… Prépare ton cul de vieille poule, on va en faire une tirelire géante de ton gros fion ma chérie ! »
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