Souvenir de soirée de rugby - histoire érotique

Souvenir
Le top 14 de rugby vient de recommencer et cela nous a rappelé quelques souvenirs ; c’était il y a 25 ansA l’époque, j’étais médecin bénévole pour une équipe , alors que mon mari était l’ostéopathe ; nous étions de tous les matchs, y compris dans les vestiaires à la fin. J’avais alors 35 ans, jolie, pleine de vie , ayant beaucoup de succès auprès des hommes ( des femmes aussi). J’avais réussi à garder mes distances avec tous ces costauds et ils avaient accepté ma présence en toutes circonstances, même si parfois je devais les rappeler un peu à l’ordre. Pour nous c’était le dernier match, car mon mari avait pris des engagements avec un autre club , malgré tous nos regrets de se séparer de certains amis.
C’est d’abord au club house que nous avons fêter les résultats du club, mais aussi que le président a annoncé notre départ. Regrets, embrassades de nos amis et de certains joueurs, surtout des plus anciens. Pour nous beaucoup d’émotion et pour me donner un peu de courage, j’ai un peu abusé du champagne, ce qui me rend très souvent amoureuse.
Quand le président nous a invité à finir la soirée chez lui, j’avoue que j’aurais de beaucoup me retrouver avec mon homme, mais celui-ci avait déjà accepté. La maison était superbe, un grand parc en contrebas d’une superbe piscine et avec sur la terrasse, un buffet, chargé de canapés sucrés et aussi de boisson à profusion. Quelques dirigeants, 5 joueurs composaient la compagnie. Très vite les joueurs se sont mis à chahuter et trois d’entre eux se sont retrouvés dans la piscine tout habillés. En ressortant , leurs maillots et leurs shorts étaient collés à la peau et il était très facile de deviner, à la fois leurs musculatures impressionnantes, mais cela je le savais, mais aussi , la bosse présente au niveau du short ; sans doute sous l’effet du champagne, j’ai brusquement senti ma chatte s’humidifier ; c’est à partir de cet instant que cela a dégénéréRapide présentation : j’ai 35 ans , assez fine, malgré mes deux grossesses et mes seins , ronds et fermes se terminent par deux tétons, assez sensibles, qui quand ils pointent , deviennent très visibles ; et c’est le cas maintenant ; simplement vêtue d’une robe légère, il est facile de les découvrir sous le fin tissu et mon mari s’en ai aperçu « toi tu as envie » et en passant il me met la main aux fesses. J’ai toujours été très sage en présence des joueurs, même si certains, et ils sont présents, m’ont parfois donné des envies lors de soirée au cours de la saison, mais je ne mélange pas boulot et plaisir, même si nous sommes très libertins. Il n’y a que deux autres femmes à savoir la femme du président et celle d’un joueur, réputé pour être un fameux coureur ; toutes les deux sont en robes, simples mais de saison , autrement dit très légères et assez courtes.
Alors que nous rions de la mésaventure, bien sympa, de 3 loustics, je me retrouve, ainsi que la femme du président poussée à l’eau et nous nous retrouvons, la robe en corolle, flottant à la surface ; sans hésitation, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête , dévoilant ainsi son corps à peine caché par un string et un soutien-sein, laissant visible la totalité de sa poitrine. Son regard provocateur a suffi et la mienne suis le même mouvement, à une différence , c’est que je n’ai qu’un string et la poitrine libre de toute entrave. Mon mari a subi le même sort, à la différence c’est qu’il s’y était préparé et qu’il est totalement nu, ainsi maintenant que les trois joueurs qui nous ont rejoint dans l’eau ; connaissant mon homme, je comprends vite que la soirée va être chaude, et mon envie de sexe me remplit la chatte de cyprine.
Alors que Anne la femme du président est entourée de deux joueurs qui ne se gênent pas de la chahuter, je me retrouve avec mon homme derrière moi ; sans tenir compte de regards sur nous, il me caresse les seins, me plaquant sur le rebord de la piscine, juste à coté d’Anne dont les gémissements traduisent le plaisir qu’elle a à se faire , non seulement ploter les seins mais aussi la chatte car la main qui la fouille est visible dans l’eau claire. Quand il écarte mon string, je sens sa queue bandée le long de mon sillon, puis me faisant cambrer, il se plante dans mon abricot ; je ne peux retenir un cri de surprise d’autant plus que maintenant deux autres mains me caressent les seins ; je découvre que le troisième joueur , Mikael, vient d’avoir l’accord de mon homme et qu’il ne se gêne pas, alors que jean vient de me mettre sur le côté, offrant ainsi mon pubis aux mains et à la queue bandée qui se frotte allègrement contre mon ventre.
Anne maintenant , dressée sur le mat d’un joueur, jouit sans aucune retenue, et je ne tarde pas à la suivre. Jean s’est retiré , m’offrant ainsi à Mikael qui se dépêche de me pourfendre ; j’ai les jambes autour de son dos , accolée à la piscine et ses coups de butoirs me débordent, mon plaisir me rend folle et , alors que jean est encore près de nous, j’embrasse fougueusement ce bel et puissant amant ; c’est très rare pour moi, mais là je suis à lui, très excitée de me faire prendre devant tant de monde ; soudain je réalise que mon homme n’est plus à coté de moi, les bras autour du cou de mon pour- fendeur, je le cherche et surprise, il est très occupé avec la jeune femme, sur la margelle ; elle est à moitié nue et il l’enserre, les mains sur ses seins ; je suppose que son sexe doit se frotter contre elle, car elle se cambre à la recherche du contact. C’est à ce moment que mon amant veut se retirer, car me dit il , il ne va pas pouvoir se retenir ; mais il ne le pourra pas car j’ai envie qu’il m’ensemence et quand sa tige grossit comblant toute ma vulve, je l’encourage « oh oui remplit moi, j’ai trop envie de jouir sous tes jets ; je suis à toi, engrosse moi « soudain ses jets explosent dans mon ventre et ma jouissance éclate, bruyante, profonde, entendue par tout le monde, y compris de mon homme qui, je le vois ensuite, baise la jeune femme en levrette, et elle aussi traduit son plaisir par de profonds gémissements.
Alors que je remonte , le président m’attrape la main et m’entraine dans son salon, et m’allongeant sur le canapé, il introduit deux doigts dans la chatte pleine de semence« Cela fait trois ans que j’ai envie de te baiser, tu faisais toujours la sérieuse , mais je vois que tu caches bien ton jeu, comme ton homme vient d’enlever ma femme , après s’être tapé la jeunette, moi aussi j’ai envie de te posséder ; j’aimerais que vous restiez avec nous cette nuit, mais avant je vais te défoncer, comme tu aimes en bonne petite salope que tu es »Sous l’effet des doigts fureteurs, je n’ai pas réalisé qu’il a enlevé son pantalon quand , retirant ses doigts, il m’a possédé d’une seule traite, s’enfonçant profondément dans mes enrailles ; il a vite entendu mon plaisir , l’encourageant à me défoncer ; si sa bite n’est pas monstrueuse,par contre elle est épaisse et elle m’écarte complètement ; il vient buter au fond de ma matrice ; j’ai envie de lui et de sa force, de sa semence, ce qui ne tarde pas , sans doute trop excité d’enfin me posseder, ses jets me remplissent la grotte et quand il se retire, un long filet de sperme nous réunit encore.
Quand je ressors, pas de jean et cela fricote dans tous les coins ; seuls deux joueurs, dont Mikael récupère en sirotant une coupe. A mon passage, ils m’attrapent par le bras et je me retrouve sur leurs genoux ,nue, offerte, dégoulinante de sperme ; il ne leur faut pas longtemps pour comprendre que je suis disponible, offerte à tous les excès et ils en profitent, me plotant les seins, maltraitant mes pointes, agaçant mon clito, envahissant mon abricot gluant de semence ; Pour eux , je suis une bonne prise, et peu importe la situation, ils m’ont à leur disposition et je ne me refuse pas , bien au contraire ; écartant mes cuisses, je leur offre mon seulement la vue, mais l’entrée de mon minou béant, réclamant une nouvelle saillie car c’est le cas, j’ai envie qu’ils profitent de mon corps, simplement pour la possession, pour la sensation exquise d’avoir une queue dans mon ventre.
Plaquant Mikael sur le sol, je me plante sur sa tige à nouveau bandée, commençant un vigoureux va et viens sur cette queue qui me remplit ; je sais qu’ainsi j’offre une vue sur mon sillon et mon anneau ; le deuxième prend vite position, frottant son gland sur ma raie, lubrifiée par les écoulements de semence et il vient contre le sexe de son copain ; je comprends alors qu’il veut lui aussi ma moule et j’essaie de me libérer de cette nouvelle emprise, mais rien n’y fait ; doucement, mais inexorablement sa queue pénètre mon vagin déjà écartelé par la tige de Mikael ; la douleur est forte car les deux gaules sont de belle facture et mes parois ont du mal à les accepter ; une claque sur les fesses et je me cambre, facilitant ainsi cette double vaginale ; il vient à son tour de me pourfendre et chacun leur tour, ils me pistonnent ; j’aime cette double possession et ils savent s’y prendre ; ma jouissance est continue, profonde, et je les encourage pour qu’ils me défoncent, ce qu’ils font de plus en plus puissamment. Alors que je leur appartiens totalement, je découvre que jean nous observe, le flambeau tendu, se masturbant au-dessus de ma tête ; se baissant, il se plante entre mes lèvres et sans crier gare, il se déverse dans ma bouche, alors que les deux autres , eux aussi me remplissent la chatte ; je ne me contrôle plus et dans un long cri, risquant de m’étouffer , je hurle mon plaisir, avant de perdre mes moyens ; quand je reprends réalité, ils sont tous les trois , m’entourant en savourant leurs plaisir.
Alors que les deux compères s’éloignent, jean me raconte : « quand tu m’as vu avec la jeune femme, je la possédais, tout en te regardant ; cela m’excite toujours de te voir en train de te faire baiser ; puis j’ai pris en levrette la femme du président ; alors que je revenais vers la piscine le mari de la jeunette , accompagné de sa femme m’a rejoint et il m’a proposé d’aller dans un endroit plus calme ; c’est dans une chambre que nous nous sommes retrouvés, et alors que j’avais repris possession du minou offert, il s’est positionné derrière moi, m’emprisonnant fortement en me disant : « tu viens de t’offrir ma femme, je vais m’offrir ton cul, mais avant sodomise là » ; ressortant ma queue , douloureuse tellement elle est bandée, je lui ai percuté la rondelle ; sans trouver beaucoup de résistance, mon bassin s’est vite collé au sien, alors qu’elle encaissait ma tige en gémissant ; Son gland s’est frotté sur mon sillon ; puis prenant de la cyprine dans la chatte libérée il m’a enduit l’anneau avant de pousser sans discontinuer ; et d’un coup de rein, il m’a défloré, enfonçant sa queue dans mes entrailles ; je ne sais si tu as déjà joué avec lui, mais je t’assure que bien monté et sachant alterner les coups de butoirs, ce que sa femme encaissait elle aussi, il a su très vite nous faire jouir, se répandant en moi en de longs et puissants jets. Alors que moi , je débandais, lui est resté en moi, sa femme l’encourageant à me défoncer, comme je l’avais fait avec elle ; endurant, puissant, sa saillie a duré, me transportant plusieurs fois à la jouissance, avant de se répandre à nouveau en moi . Voilà ; je sais que tu t’es fait prendre par le président et qu’il veut que nous restions avec lui ; et je lui ai donné mon accord »Je n’ai pas besoin de lui raconter mes saillies, ma chatte dégoulinante parle pour moi « combien me dit-il ? » « toi, Mikael, le président et comme tu as pu le voir une double vaginale et j’ai encore envie de me faire prendre, mais aussi de te voir soit avec une femme soit te faisant défoncer ; je sais que nous allons passer cette nuit avec le président et sa femme « « ce que tu ne sais pas c’est que le couple sera aussi de la partie, ainsi que ton baiseur Mikael »Cela promet une belle nuit