souvenir de vacance. - histoire érotique

J’assiste sans le vouloir à une dispute entre Christiane et son mari. Je décide pour cela de me faufiler dans le couloir et d’écouter la dispute. Comme d’habitude mon oncle est torché. Ce qui fait bien mon affaire, je le reconnais.
Le lendemain j’arrive avant elle dans le leiu de rendez-vos, je suis assis le dos appuyé contre les bottes de foin. Elle prend place à côté de moi. il m’en faut pas plus pour avoir une érection, d’ailleurs elle me le fait remarquer.
-Tu es déjà dur.
-Je suis fait comme ça.
Elle commence sans attendre à caresser ma queue.
-Dis-moi Alain franchement, tu aimes mes nichons ?
-Oh oui tata !
-C’est peut-être bête pour toi, mais ça fait longtemps qu’aucun homme ne les a admirés.
Je regarde ma tante.
-J’adore vraiment tes nichons.
-Je veux t’entendre le redire.
-Tata Christiane je suis amoureux de tes beaux nichons.
En même temps que je laisse tomber ça, je tends ma main vers elle et me saisis de ses seins. Je peux sentir ses tétons durs derrière le textile de sa robe légère. Ma tante rougit magré elle.
-Tu les adores vraiment ? Tu ne me joues pas ?
-Je les aime vraiment, tata !
-Tu veux les voir, c’est ça mon gamin ! Fait-elle en déboutonnant une fois n’est pas coutûme le haut de sa robe, dévoilant par ce geste sa poitrine, libre de tout soutien-gorge. Mon excitation me dicte tout de suite de me mettre à genoux, et par la même occasion d’agripper ses nichons à pleines mains. Après les avoir bien malaxer, j’enroule mes lèvres autour d’un de ses tétons durs et je commence à le téter. J’entends ma tante gémir. Je suis en joie, mais aussi très excité de pouvoir sucer les nichons de ma tante préférée.
Au fil des secondes, elle devient comme folle, gémissant de plus belle tout en parcourant ses mains sur mes cheveux. Inutile de vous préciser qu’elle ne s’oppose à aucun moment, que je prolonge mon travaille ses seins, avec ma bouche. Puis, etpour mon plus grand plaisir, je sens sa main saisir ma queue. Au début, elle se contente seulement de la caresser. Mais alors que je suce toujours ses seins, elle commence à faire courir le gland sur son ventre, en la frottant sur elle.
-Oh oui, continu, suce mes seins petit salaud. Ta queue est si bonne dans ma main, si dure, si chaude.
Je ne peux m’empêcher de passer ma langue sur chacun des tétons durs. Elle me sourit tout en me branlant lentement. Même de cette manière, cela ne m’empêche pas d’arrivé jusqu’à l’orgasme. Un sperme tiède et collant qui gicle de partout. Je peux sentir ma tante courber ma verge vers elle alors qu’elle continue à me branler.
-Continu de jouir, donne à ta tata tout ton plaisir…
Ma tante était aux anges.
-boudou Alain, je n’avais jamais vu personne avant toi jouir autant. Écarte tes jambes !
Puis elle prend place entre elles en appuyant son dos contre ma poitrine. Elle se met sur moi, attrape ma queue et la place contre son dos. Elle regarde par-dessus son épaule et me sourit de nouveau. Elle se saisit de mes mains et les place sur ses seins. Je me mets sans ménagement à lui pétrir la poitrine, à la lui pincer et à lui tirer les tétons. Je remarque qu’elle a les mains entre ses jambes et qu’à en juger par le mouvement de ses bras et de ses gémissements, elle se branle devant moi.
Ma queue s’est soudainement durcie lorsqu’une pensée sombre jaillit dans ma tête.
-Tu sais tata, je peux t’aider à te faire du bien ?
Il s’avère que c’est ce qu’elle voulait entendre. Puisque tout de suite après, elle retire mes mains de ses seins pour les pousser lentement mais surement vers la ceinture de sa culotte. Laissant mes doigts courir librement sur sa chatte. Elle gémit de plus en plus fort, se frottant plus que jamais sur ma queue, devenue douloureuse. Intenable Christiane se met à se tortiller sur mes jambes en gémissant. Je sens sa mouillure tremper sa petite culotte. Son corps s’échauffe, la sueur coule sur son dos alors qu’elle halète sans retenue, gémit en petits pleurs au moment où elle est rattrapée par l’orgasme. Je ne suis pas peu fière d’être parvenu à faire jouir ma tante.
Comme une poupée de chiffon, elle s’effondre sur moi, les yeux clos, en respirant fort. Je retire ma main de son entrejambe trempé pour la porter à ma bouche. Léchant sans honte la mouille de Christiane.
Elle me laisse encore jouer avec elle quelques instants avant de me demander de la glisser de nouveau lentement sur son corps, mais aussi sous sa culotte. Ma queue suinte dans le dos de ma tante. Je profite de son extase pour glisser ma main à l’intérieur de son sous-vêtement. Je suis euphorique d’avoir le plaisir de sentir enfin, les poils rêches du pubis de ma tante. Mais je ne m’arrête pas là, continuant ma consultation jusqu’à atteindre les lèvres humides de sa chatte.
Elle se laisse tripoter, elle en a besoin, en gémissant et en se frottant très lentement contre mon érection mais aussi sur ma main de nouveau.
-Ooh oui ! Est-ce que tu sens comme tu fais mouillée ma chatte ? Aimes-tu ma chatte, Alain ?
Je lui chuchote un oui à son oreille. Elle gémit de ma réponse, sans honte.
-Je peux sentir aussi comme tu es dur. Fit-elle tout en gesticulant.
- Tu aimes que je me frotte contre toi ?
-Oh oui tata, continues…
- Je suis sûr que tu vas jouir !
Je suis tellement excitée qu’elle aurait pu facilement me faire partir juste en se frottant. Puis elle tend sa main derrière elle, en enroulant ses bras autour de ma tête.
-Embrasse-moi Alain. Lâche-t-elle en se tordant la tête.
Nos lèvres se rencontrent dans un baiser interdit. Si passionné. Sa langue se jette dans ma bouche. Elle lâche ma tête alors que nous continuons à nous embrasser, pour les poser sur sa poitrine, jouant avec ses propres seins, les massant et se pinçant les tétons. Elle éloigne ses lèvres des miennes pour dire :
-Je ne serais pas contre que tu me doigtes. Tu sais le faire, tu l’as déjà fait ?
-Je peux essayer.
-Oui essaye, je veux que tu me baises avec tes doigts.
Elle penche sa tête en avant pour regarder ma main dans sa culotte en gémissant, alors que mes doigts à tâtons cherche l’ouverture du puits d’amour. Elle gémit d’approbation alors que deux de mes doigts plongent dans ses entrailles.
-Je fais ça bien tata ?
-Bouge tes doigts à l’intérieur.
Je m’exécute.
-Comme ça tata ?
-Oh oui… parfait…
Elle m’embrasse à nouveau et me demande de sortir mes doigts de son antre, ce que je fais, croyant lui avoir fait mal. Mais j’ai tout faux, elle veut seulement me voir goûter son jus. Que je fais avec empressement. Ma tante me regarde mettre mes doigts dans ma bouche. Son jus de chatte est délicieux. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà elle me force d’arrêter, pour mettre mes doigts dans sa bouche à elle, avant de les remmettres de nouveau dans sa chatte pour les retirer quelques mouvements plus tard pour les mettre dans sa bouche. En faisant cela, elle commence par se doigter elle-même. Elle s’enfonce à plusieurs reprises dans sa propre chatte pour les retirer par la suite pour me les offrir à les lécher.
Notre jeu érotique ne semble plus finir, mes sombres désirs ont atteint au niveau plus élevé. Je prends alors l’initiative de baiser la chatte de ma tante avec mes doigts jusqu’à ce qu’elle soit rattraper par un orgasme.
J’adore la voir se tortiller, comme j’adore aussi, l’écouter gémir. Je sens sa chatte se resserrer alors qu’elle ferme ses cuisses sur ma main. Je devine même quand elle va jouir.
-Plus vite chérie, plus vite ! M’interpelle-t-elle dans son extase. Baise ma chatte avec tes doigts ! Oh oui, c’est ça ! Fais jouir ta tata salope !
C’est sale de l’entendre parler comme ça, mais j’adore l’entendre. Plus elle crie à haute voix et plus je peux sentir sa chatte libérer sa douceur, enduisant mes doigts de son miel chaud d’amour. Quand elle se calme, je retire mes doigts de sa chatte humide. Ma tante attrape alors mon poignet et me force à le porter à la hauteur de nos bouches. Le message est parfaitement clair pour ma part, et je me mis à la lécher.
J’ai maintenant une rage sexuelle intense que ma tante peut voir. Elle prend place sur mes genoux. Ses tétons frôlent les miens, ce qui est très agréable. J’émets même un joli gémissement. Elle commence à glisser sur mon corps. La sensation de son corps en sueur qui glisse lentement le long de ma queue m’a presque fait exploser. Elle commence à me lécher les tétons avant de les mordre légèrement, ça me rend comme fou.
-S’il te plaît tata, s’il te plaît, fais-moi jouir ! Je dois tellement jouir ! S’il te plaît tata !
Elle coule sur mon corps, je ne sais pas ce qu’elle a en tête, si elle va me branler, me faire une pipe. Je n’en ai aucune idée et je m’en fiche. Je regarde avec curiosité ma queue atteindre ses nichons, je la sents glisser lentement entre ses nichons avant que le gland ne sorte d’entre eux. Elle voit le désir dans mes yeux et elle s’arrête une seconde puis commence à frotter très lentement ses nichons sur ma queue.
Sans un mot elle me branle ma queue entre ses seins. Elle va de haut en bas. Elle n’arrête pas de me regarder dans les yeux alors qu’elle travaille ma queue de plus en plus vite entre ses nichons. Ses mamelons frôlent légèrement mon corps et mes poils pubiens, ce qui ajoute encore à l’intensité du plaisir.
Soudain je sens sa langue agaçait mon gland. Elle me jette un regard très sexy et séduisant, puis elle se remet à branler ma queue avec ses nichons. Je n’ai pas durer longtemps, car ma jouissance prend le dessus sur mon corps. En gémissant, mon sperme chaud commençait à s’échapper de ma queue. Ma tante s’est rapidement mise en équilibre d’une main et utilise l’autre pour maintenir ma queue pressée entre ses seins. Tout en continuant à me branler.
Du sperme sort de mon gland, souillant mon ventre. Il y en a partout, entre ses seins, sur sa main et sur toute ma queue. Je profite de chaque spasme. Une fois la dernière goutte sortit, ma tante lâche ma queue. Ce faisant mon sexe se tape contre mon ventre. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle se frictionne la poitrine avec mon sperme. Le faisant pénétrer dans ses pores comme si c’était une lotion.
Comme commandée par je ne sais qui, elle abaisse sa culotte, se laissant aller en arrière sur la paille, les fesses juste au bord, les genoux repliés hauts, exhibant par cette pose les poils noirs qui recouvrent sa fente. À genoux, je tends mon cou vers sa chatte. L’odeur qui s’en dégage me procure un long frisson.
Avec un plaisir certain, elle écarte les poils, exhibe aussi son trou du cul.
-Cela dit au vilain neveu d’y fourrer sa langue.
Sans prendre la peine de répondre, j’abaisse ma bouche jusqu’à son sexe, mais elle m’arrête dans mon élan.
-Vilain, il faut répondre à sa tata ?
-Oui tata, j’ai envi de mettre ma langue.
-Et où ça le vilain neveu veut mettre sa langue ?
-Dans… dans, bafouillais-je d’excitation, dans ta… enfin tu vois.
-Je veux entendre sortir de la bouche du vilain neveu, où il veut fourrer sa langue cochonne.
-Dans ta chatte tata, me meurs d’envie de te bouffer ta chatte.
Et je me met à lécher son intimitée odorant. Je fais frétiller la pointe de ma langue à l’intérieur. Je l’entends gémir, ce qui m’encourager à prolonger ma caresse buccale. J’ai aussi exploré son anus. Heureux de pouvoir y passer ma langue. De recueillir des arômes amers. Puis je lui tète le clitoris. Jamais je n’ai vue ma tante aussi enjouée. Au moment de son orgasme, elle enfonce ses ongles sur mon crâne et des cris de souris s’échappe de sa bouche entrouverte.
Ensuite, elle exige de ma part que cela reste secret entre elle et moi.
Seul couché sur le dos sur la paille, je me branle en pensant à la scène qui s’est déroulé entre ma tante et moi.