Souvenir et fantasme: Désirs fantasmés (Partie 1) - histoire érotique

Bonjour,

Cela fait maintenant très longtemps que je lis vos histoires avec une excitation toujours aussi importante ….
Je suis un homme mûr, la cinquantaine, marié très jeune, ayant une belle vie de couple pendant 20 ans, maintenant divorcé, père depuis très longtemps.
Des besoins sexuels assez important, souvent trop pour ma compagne actuelle, ce qui m’amène à souvent lire vos histoires pour assouvir ma soif …

J’ai décidé de vous faire partager quelques souvenirs et fantasmes qui m’ont donné le plus grand plaisir qu’il soit. Je ne suis pas un grand narrateur, alors je vous demanderai de bien vouloir me conseiller si vous en éprouver le besoin et aussi d’avoir la plus grande indulgence sur la tournure de mon écriture. C’est la première fois.
Je vous livre cette histoire comme elle vient à mon esprit, à l’aide de mes souvenirs et de mes fantasmes, suivant l’excitation qu’elle me donne au moment où je vous l’écris.

Bonne lecture, j’attendrais avec impatience vos commentaires.

Mon ex femme et moi avons travaillé ensemble pendant plus de 15 ans dans le milieu musical, elle comme chanteuse et moi comme musicien, il nous arrivait régulièrement de jouer dans un bar d’un petit village du sud-ouest.
Le patron de ce bar, Michel, était un homme assez corpulent, grand, bourru, un peu négligé physiquement, marié à de nombreuse reprises, disposant d’un bagou inimaginable et extrêmement dragueur.
Une vingtaine d’années de plus que notre jeune couple, à l’époque nous avions la trentaine, il ne manquait pas de perdre son regard dans le décolleté toujours vertigineux de mon ex épouse….

Petite brune d’ 1,55 m, 65 kg, des ascendances italiennes, ronde, avec un tour de poitrine indécent de 110 bonnet H , Corinne avait de belles formes accueillantes, elle disposait d’une plastique extrême généreuse à faire tourner plusieurs fois la tête des hommes, même avec un torticolis. Mais elle n’en avait pas du tout conscience, pour elle tout ce qui comptait était la rigolade et les copines.

Je la savais coquine dans le lit conjugal car elle savait répondre positivement à mes envies, mais elle ne prenait jamais l’initiative, ce qui parfois me frustrait quelque peu.
Sa poitrine était lourde, blanche avec de belles auréoles qui savaient se dresser lorsque je la titillais.
Pouvoir me perdre au milieu était un véritable délice. Son pubis restait naturel avec une belle toison assez fine. Un sexe charnu, de grande lèvres, un clitoris très sensible qui lui apportait beaucoup de plaisir lorsque la langue la fouillait longuement lors de nos ébats.

Elle adorait que je me glisse derrière elle en lui attrapant les seins et en lui faisant sentir mon sexe tendu au bas du dos en lui embrassant le coup et en lui disant au creux de l’oreille que je voulais la prendre sur le champ….
Vu notre différence de tailles, avec mon 1,80 m, il était compliqué que je puisse lui faire sentir ma verge à hauteur des fesses….donc j’étais soit au creux de son dos, soit au niveau de sa poitrine lorsque j’étais fasse à elle.
Je sais qu’elle mouillait aussitôt lorsque qu’elle me sentais dans son dos et nous en profitons à notre aise.

Tout m’était autorisé sauf une chose, qu’elle ne souhaitait pas : je ne pouvais jamais me libérer dans sa bouche.

Je la respectais et je me l’interdisais donc, ce qui ne cessait d’accroître mon envie de le faire et ce qui devenait de plus en plus obsédant pour mes pensées et mes fantasmes ….

Elle était l’objet de toutes mes envies sexuelles à l’époque.

Je savais très bien quels pouvaient être les idées qui traversaient l’esprit des hommes qui la regardaient pendant qu’elle était sur scène, ne ménageant pas ses mouvements, ses formes généreuses utilisant tout l’espace nécessaire à son expression artistique….

En l’occurrence, Michel, lui, avait sûrement une imagination débordante, puisqu’il ne manquait jamais de glisser quelqu’ allusions à ce sujet lorsque nous récupérions le cachet de la soirée à l’heure de la fermeture .

Ce soir là, Corinne devait être en phase avec ces réflexions car elle ne manqua pas d’attiser son imagination en lui répondant qu’il ne se doutait même pas de ce qui lui était possible de faire avec ses seins et qu’il ne serait sûrement pas capable de résister 10 minutes s’occupait de lui comme elle s’occupe de moi… Michel restait silencieux en la regardant le regard envieux. Ce vieux vicelard aurait bien aimé voir ca…

Ce ne fût pas ce soir là que Michel pu assouvir ces pulsions, car nous réussissions à partir relativement vite sans que cela ne dégénère heureusement.

Lors de notre retour en voiture, je ne pu m’empêcher de dire à Corinne qu’elle devrait peut être faire attention avec Michel, car même si nous le connaissions, il y avait tout de même une réputation qui disait de lui que l’homme pouvait être imprévisible.
Elle me rassura en me disant qu’elle gérait la situation et elle ne manqua pas de m’avouer que le faite d’imaginer Michel en train de saliver en pensant à ses seins et en train de se masturber, était pour elle extrêmement excitant, elle devinait qu’il devait être bien pourvu, en tout cas cela l’interrogeait. Je la sentais inquiète de se poser ces questions car l’homme la dégoûtait un peu avec son aspect négligé, mais, paradoxalement, elle paraissait excité à cette idée et ça, je savais le voir sans ses yeux.

La scène qu’elle venait de me mettre à l’esprit, me fît aussitôt avoir une erection , je bandais fort. Elle s’en aperçu sans problème et sourit en me disant qu’elle aurait sûrement aimer voir la chose si elle n’avait pas été fidèle avec moi.
Je la remercie, car l’idée qu’elle se fasse prendre par cet homme rude m’excitait assurément, mais me déplaisait beaucoup….
Pendant le reste du chemin nous ne parlions plus, tout deux absorbé par nos pensées très contradictoires.

Pour elle, la curiosité et la vision d’une partie de jambe en l’air bestiale sûrement , pour moi, le mélange de l’idée d’être trompé et celui d’avoir irrésistiblement envie de la voir se faire abuser par un autre homme, rustre comme Michel qui plus est ….

Tout le reste de la soirée , cette idée devenait obsédante, j’étais dans un état d’excitation qui m’empêchait de trouver le sommeil lorsque nous allions nous coucher.

Je sentais la respiration de Corinne près de moi, allongée, juste couverte d’un draps, m’imaginant les rêves qu’elle pouvait faire en ce moment.
Je forçais mes yeux à se fermer et commença à l’assoupir.


Corinne est seule devant le comptoir de Michel en train d’attendre le paiement de la soirée. Lui, toujours en train d’argumenter qu’il n’a pas fait un bon chiffre et qu’il ne sait pas comment il va pouvoir faire pour la payer, toujours pour repousser son départ.
Corinne s’impatiente et lui dis que puisque c’est comme ça, elle patientera et va se servir elle même un café derrière le comptoir.
Lui, passe discrètement devant l’accès à l’établissement et ferme à clef la porte.
Il retourne vers le comptoir, passe derrière elle, et va dans la cuisine pour chercher le cachet attendu.

Corinne se trouve toujours derrière le comptoir, lui tournant le dos, appuyé sur le comptoir.
Étant sûr l’estrade, surélevé par rapport au côté habituel du bar, elle se retrouve appuyée sur les coudes, suffisamment cambrée pour faire ressortir ses fesses généreuses, offrant une vision affriolante à qui pourrait l’observer de dos en ce moment.
Les lumières de la salle principale s’éteignent soudainement, seul la cuisine derrière laisse passer une faible lumière et aussitôt elle sent des bras lui entourer les hanches sans douceur.

C’est Michel.

Elle tente de le repousser.

Mais ses mains maintiennent fermement cette position. Il lui glisse à l’oreille:

- «  Ne t’inquiète pas ma petite Corinne, j’ai trouvé ton cachet, mais je vais me prendre un petit acompte pour la prochaine soirée, si tu n’y vois pas d’inconvénients. Et puis comme ça, nous allons enfin voir si je ne résiste pas 10 minutes à ton savoir faire « 

Corinne reste tétanisé pendant qu’elle l’écoute en se débattant .
Elle sent qu’il se rapproche tout près en lui parlant.
Il l’a colle littéralement contre le bar. Elle sent son sexe déjà dur contre son dos. Il est obligé de se baisser pour lui parler à l’oreille tellement elle est petite fasse à lui.
Elle ferme les yeux en imaginant son sexe gonflé dans son dos.
Elle frémit en réalisant la taille qu’il semble avoir. La fin de ses mots lui parviennent, mais elle reste obnubilé par ce pieux qui lui couvre la moitié du dos, cela la fait chaviré, elle est instantanément brûlante, elle n’ose bouger de peur de lui montrer qu’elle devient excité devant lui, qu’il semble avoir un pouvoir d’emprise sur elle.

Malgré elle, son bassin et ses fesses reculent en remontant pour tenter de sentir encore plus ce sexe lourd contre elle.
Immédiatement, Michel s’aperçoit de ce mouvement imperceptible. De son mètre quatre-vingt-dix, il se redresse et empoigne avec force les mamelons énorme des mon épouse.
Il l’a colle contre son dos, ses mains pourtant grandes, ne réussissent pas à être rassasiées des seins qu’il est en train de pétrir sans délicatesse . Ses doigts plongent dans son décolleté, sous le bustier de Corinne, il découvre deux tétons érigés et dur. Corinne ne peut retenir un gémissement de satisfaction lorsque ces doigts lui pincent les tétons. Elle adore cette sensation. Elle mouille immédiatement son entre jambes, et s’affole en se demandant comment elle va pouvoir résister, sans pour autant faire tout ce qu’elle peut pour se dégager. La curiosité et l’envie sont trop forte, elle passe une main derrière son dos pour palper sa queue coincée dans son dos.

Michel est bien trop puissant pour qu’elle le repousse. Il a l’air terriblement exité.
Elle le sent dur comme un taureau derrière elle.

Déjà une de ses mains s’est engagée sous sa jupe, sous ses reins, elle palpe ses fesses en descendant, à peine arrivé à l’extrémité de sa jupe, elle remonte aussitôt et passe sous le tissu de sa petite culotte en dentelle noir.
La cambrure naturelle de Corinne s’accentue sans qu’elle maîtrise son mouvement.
Elle n’en revient pas de la tournure des événements.
Des doigts la fouille malgré elle.
Ils glissent tout seul jusqu’à sa fente tellement elle dégouline d’envie pendant que ses seins deviennent hypersensible tellement ils sont sollicité.

Michel lui embrasse le cou en lui disant:

-«  Maintenant Corinne, tu es à moi… « 

Michel se redresse alors en se décollant de Corinne, attrape ses épaules et la retourne. Tout va très vite.
Il passe une main derrière la nuque de ma femme et de l’autre sort son sexe épais et dur juste au niveau de sa poitrine.
Corinne sent instantanément son odeur de mâle en rut. Elle ne peut faire aucun mouvement mais amorce un recul qui a pour effet d’agacer profondément Michel. Vu la différence de taille, Michel a juste à s’arquer un peu pour poser le bout de son gland sur le menton de Corinne. Il tire sur sa nuque et se positionne sur ses lèvres fermées.

- «  Ouvre la bouche. Suce moi. Tu vas aimé ma queue. Je vais te remplir la gorge tu va voir. Cela va te plaire. Tu crois que je n’ai pas remarqué comme cela te fais envie depuis quelque temps ?? Ouvre et pompe moi comme tu sais sûrement le faire « 

Corinne est éberlué de ce qui lui arrive, malgré cela elle sait qu’elle en a envie. Cette queue est telle qu’elle l’imaginait. Elle est impressionnante. Épaisse, forte, extrêmement veiné et grande. Le gland est proéminent tel un champignon, il déborde littéralement de sa tige. Son odeur est forte, un mélange de musc et de transpiration s’en dégage.
Elle est contre toute attente attirée par elle. Plus vite qu’elle ne peut l’imaginer, Corinne ouvre la bouche et laisse entrer entre ses lèvres ouvertes ce gland énorme qui pousse d’un coup violent.
Michel se met aussitôt à gémir dans un râle bestial. Il sent sa queue se raidir encore plus sous le contact humide de la langue de ma femme. Il pousse et s’enfonce jusqu’à la glotte de celle qui lui résiste depuis longtemps. Ses deux mains s’agrippe maintenant à la tête de Corinne, il s’enfonce au plus profond en forçant sa gorge. Il la force alors à maintenir un rythme de va et vient qui l’excite encore plus.
Corinne manque de souffle pendant que ce sexe trop large lui écarte en grand la bouche et force l’entrée de sa gorge. Elle a un haut le cœur et réussi à se dégager momentanément. Elle tousse et inspire rapidement avant de sentir que Michel se repositionne aussitôt dans sa gorge.
Elle se fait littéralement baiser la bouche, mais elle aspire avec force tout ce que Michel lui offre, elle ruisselle de plaisir malgré elle. Ses mains se sont posés sur les fesses de Michel pour accompagner ses mouvements de bête.

Elle pompe, elle aspire, elle tente de respirer en même temps, ses yeux laissent couler des larmes dans l’effort, elle tente de prendre en entier ce sexe qui la possède. Elle en redemande presque et devient elle aussi actrice de l’acte.

Dans un mouvement de recul, elle réussit à sortir ses deux seins de leur écrin en dentelles, elle les présente à Michel en les resserrant l’un contre l’autre, elle crache sur sa queue pour la lubrifier comme ci elle ne l’était pas assez et enserre son membre veiné et turgescent entre eux.

Aussitôt Michel se met à baiser frénétiquement cette poitrine qu’il convoite tellement. Les mains de Corinne maintiennent en pression ses seins pour que la queue qu’elle branle avec coulisse au mieux dedans, la faisant gonfler de plus en plus.
Même si ses seins sont énorme et qu’une queue normalement grande se perd déjà dedans, elle trouve le moyen de faire dépasser le gland de Michel quand il est enfoncé totalement en eux pour le prendre à chaque fois entre ses lèvres.
Elle l’aspire dès qu’il est là, Michel devient fou et se contracte en baisant encore plus fort les mamelles opulentes et la bouche de Corinne , dans un râle retentissant, Michel prend la tête de Corinne à deux mains et s’enfonce dans un ultime mouvement en avant dans sa bouche.

Sa queue à la fois coincé au entre ses seins et dans sa gorge, il décharge tout son foutre épais en long jets au fond de la bouche de ma femme. La quantité est importante, à chaque coin de ses lèvres , un mélange de sperme et de salive dégouline et coule sur ses seins …

Corinne, les yeux exorbités, contient son haut le cœur et regarde Michel.

Il maintient toujours la pression de ses deux mains et savoure l’instant. Il garde sa queue en train de battre au fond de sa gorge, en contractant le plus possible son bas ventre et ses couilles maintenant vidées, pour extraire jusqu’à la dernière goutte de son jus.
Il recule enfin doucement, son sexe est encore dure malgré l’orgasme, il se retire jusqu’à ce qu’il ne reste que son gland encore enfoncé à l’entrée de sa bouche et doucement il le rentre encore une fois en se délectant avant de sortir d’elle.


Fin de la 1ere partie