Souvenir première rencontre
Récit érotique écrit par Anibelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir première rencontre
Ça fais six mois que j’ai rencontrée Didier, c’est un amant exigeant a qui je dois obéir . Il m’a transformée aussi bien moralement que physiquement . Avant j’étais une bourgeoise sexy qui aimais exciter les hommes mais qui n’était qu’une allumeuse. Didier m’a transformée en objet de plaisir , en putain soumise.
Six mois de transformations il me model suivant son désir et a fait de moi ce que je suis aujourd’hui . Mon mari a vu cette transformation opérée sur moi de jour en jour, au début il profitait de ma nouvelle nature, mais voyant l’évolution spectaculaire il a voulue me convaincre de ne plus voir cet homme , mais rien ‘y a fait .
Didier et un homme marié militaire de carrière, beau, grand , musclé, autoritaire et macho . Il se croit irrésistible, revendique être un homme a femme et un grand baiseur. Je ne l’aime pas, si ce n’est qu’il est beau et musclé et qu’il a sus me parler avec une telle assurance et persuasion la première fois que je l’ai rencontrée.
Il m’a immédiatement mis au parfum , m’a fait ravalée ma fierté de bourgeoise , qu’il fallait pas jouer la femme honnête avec un mari trop occupé pour bien s’occuper d’elle .
Tu trompe ton mari m’a-t-il dit , alors pas de cinéma avec moi , t’es une salope une putain qui veux de la bite et moi j’ai que de la bite a te donner , t’as compris salope . Tes yeux de vicieuse en disent long , ta grande bouche semble avoir été faite pour avaler de la bite et tu vas en avaler putain.
Il n’avait vraiment rien pour me plaire et la première fois qu’il m’a dit ça je voulais partir. Mais comme j’étais dans sa voiture en pleine campagne au bord d’un étang je ne voyais pas se que je pouvais faire.
Il a commencé a m’embrasser et me caresser dans la voiture , et s’il me répugnait , j’avoues que j’aimais ça , je ne peux dire pourquoi , si s’était le fait du changement , de l’adultère qui était une première pour moi , mais sa bouche et sa langue était bonne , ses caresses commençait a me réconcilier , c’est vrais qu’il semblait doué pour s’occuper d’une femme le salaud.
J’avais bien eu des flirts depuis mon mariage, des petites aventures érotiques, mais cette fois je savais que c’était le grand saut de l’adultère. Didier venait de me le dire et dans la situation ou je me trouvais, que je sois consentante ou non, je devais y passer car l’homme ne voyait pas d’autres solutions .
Didier a décidé que nous allions faire ça sur le capot de la voiture , il m’a dit de quitter ma culotte et que désormais il m’interdisait de porter une culotte sous ma jupe. Lui , cet homme que je ne connaissais même pas m’interdisait , je ne répliquais pas mais je bouillais. Il prit sont ton d’adjudant chef pour rappeler a l’ordre de quitter ma culotte . Debout, devant le capot de la voiture je quittais mas culotte devant lui en comprenant que je dois obéir à ses ordres. Il me dit de remonter ma jupe pour lui montre ma petite chatte de pute. En même temps il déballait son muscle de baiseur qui plait soit disant tant aux femmes. Je fus impressionnée par la taille de la bête , il était monté comme un âne , et il ne bandait qu’a moitié . Je me demandais s’il allait pouvoir me prendre avec un truc aussi gros et long . Mais sa priorité était que je le suce, moi qui refuse de le faire avec mon mari , je m’accroupie devant lui et attrapais cette grosse bite nauséabonde . Ma main ne faisait pas le tour , je pris mes deux mains . lui me tirait les cheveux et me forçais contre son gland humide, il le frottait sur tout mon visage . Il me dit : Ouvre ta bouche salope ! Et il tirait ma tête par les cheveux pour y faire rentrer sa grosse bite dans ma bouche et me donner le rythme . Il me violait littéralement la bouche et m’insultait de salope, de putain , de vide couille . A un moment il m’a sortie sa bite et m’a dit : dis le que tu es une putain ! J’ai commencée a le dire , mais il m’a giflée et il m’a dit : Avec plus de conviction salope , tu dois en être sûr je veux que ça sorte d’une bouche de pute , de tes tripes, je veux que tu revendique ta condition de putain, que tu le cris , le proclame !
Il m’arrachait des cheveux tellement il tirait fort, j’avais peur de me prendre une autre gifle, et je me suis mise a crier sans m’arrêtée : je suis une pute , je suis ……………………………………….. ! Quand il m’a remis sa bite dans ma bouche je continuais dans ma tête à dire les même mots , il m’avait convaincu je me sentais une putain . Je le pompais avec acharnement, je me disais oui je suis bien une pute. Mon excitations était tellement forte que je libérais une main pour me fouiller la chatte tout en pompant Didier . Je le pompais tellement qu’il ne peut se retenir et m’envoya sa sauce dans ma gorge, j’avalais son sperme abondant comme une bonne petite pute.
J’en revenais pas , j’avais avalé pour la première fois du sperme , et je m’étais fouillé tellement j’étais excitée, cette fellation qui me répugnait au début m’avais fait prendre du plaisir .
Didier décida que nous fassions un tour de l’étang pour qu’il recharge ses batteries. Il m’avait mit dans un état d’excitation tel que je ne pensais qu’a me faire ramoner. Nous marchions sur l’allée autour de l’étang, il me dit de remonter ma jupe qu’il la trouvait trop longue, pourtant c’est une jupe courte qui m’arrive à mie cuisses. Je la remontais à sa convenance jusqu’à la limite de mes bas. Avec cette jupe raz du cul et le cul nu je me sentais dépravée, je pensais, il a raison je suis une pute.
Un pécheur était la bien tranquille , il se confondait dans le paysage . Didier me fit remarquer que l’homme me regardait avec envie . Il me dit : Tu lui ferais bien une bonne petite pipe ! ça va pas répondais-je avec violence , mais la violence appelle la violence et je recevais en retour ma deuxième gifle .
Il m’attrapais par les cheveux , et me fit mettre à genoux , il me dit : Tu ne me répond plus comme ça, ok ! Tu fera ce que je te dis, et tu ne discute pas, ok !
Il me faisait peur, il me dit de me relever et de l’embrasser pour lui demander pardon . pendant que je l’embrassai il remontait ma jupe pour montrer mon cul au pécheur . je ne protestais pas , au j’avais peur de prendre encore une gifle .
Il m’attrapa par les deux mains et me dit : Regarde moi, tu veux que je te baise , je sais que tu en as très envie de ma bite ! Pour me faire rebander tu va me montre que tu es une bonne pute ! Tu vas aller faire une pipe au pécheur, débrouille toi je veux te voir !
Je me dirigeais vers l’homme qui me regardais marcher avec difficulté, perchée sur mes escarpins hauts talons et ma jupe plus courte que le raisonnable. La honte me paralysait, j’étais à trois mètres de lui sans pouvoir dire mot. L’homme avait un grand sourire, il me regardait de haut en bas comme une marchandise. Bonjour ma belle me dit-il, je répondais bonjour . Tu veux quoi petite, je restais muette incapable de parler.
Didier s’approchait, il saluait l’homme et échangeait quelques banalités. Puis il lui dit : comment trouvez- vous ma femme ! l’homme était gêné , moi aussi , très belle dit-il ! Didier remonta ma jupe et lui dit : et ça ! L’homme regardait ma chatte avec des yeux pétillant, il avait envie de la bouffer et Didier le voyant excité lui dit : Elle vous fait envie ma petite pute , elle peut vous sucer si vous voulez .
Voila je me retrouvais à genoux devant ce type avec sa bite dans ma bouche. Elle était moins grosse que Didier, mais aussi odorante, et comme avec Didier au fur et à mesure que je le suçais, je commençais à trouver ça bon, je ne le savais pas encore, mais j’aime sucer des bites et je me fouillais la chatte en même temps. Sans que je ne le sache Didier faisait des photos de moi .
Il m’a dit de bien avaler quand l’homme a commencé à éjaculer, j’ai déglutie ma deuxième dose de sperme, je le trouvais moins salé que Didier.
Nous étions retournés à la voiture, Didier me disant que je pouvais sucer le premier venu , que je devais admettre être qu’une putain. il me faisait la leçon et je l’écoutais avec humilité, comme l’élève qui écoute son maître . Ses mots me pénétraient , ils me semblaient juste il disait la vérité, je n’avais rien à répondre je ne suis qu’une putain et je dois l’accepter.
Je voulais bien tout ce qu’il me disait, il m’avait mis le feu au cul et j’attendais qu’il me baise. Je posais ma main sur sa braguette, et lui dis oui, tu as raison je ne suis rien d’autre qu’une pute. Il est devenue fou , il m’a culbutée sur le capot de la voiture , j’ai sentie sa grosse bite pénétrer mon vagin avec difficulté . Il me remplissait le ventre , j’étais heureuse et j’ais dit une dizaine de fois : Baise moi, baise ta pute .
Il m’a vidé sa sauce au fond de mon ventre, et m’a ramené à ma voiture pour que je rentre.
Je suis rentrée heureuse, le soir même je suçais mon mari à son grand étonnement. Il s’est demandé ce qu’il m’arrivait, je voulais goûter la bite et le sperme de mon mari que je trouvais aussi délicieuse que les autres et je l’ai sucé plusieurs fois dans la nuit .
C'est depuis ce jour que la salope qui était enfouie au fond de moi est sortie . j'assume ma nouvelle condition , oui je suis une salope , oui, je suis une pute et je suis heureuse d'être ce que je suis.
Vous allez encore m'insulter, certain vont se régaler à ce jeux, mais que voulez vous je suis comme je suis et vous régalez vous.
Six mois de transformations il me model suivant son désir et a fait de moi ce que je suis aujourd’hui . Mon mari a vu cette transformation opérée sur moi de jour en jour, au début il profitait de ma nouvelle nature, mais voyant l’évolution spectaculaire il a voulue me convaincre de ne plus voir cet homme , mais rien ‘y a fait .
Didier et un homme marié militaire de carrière, beau, grand , musclé, autoritaire et macho . Il se croit irrésistible, revendique être un homme a femme et un grand baiseur. Je ne l’aime pas, si ce n’est qu’il est beau et musclé et qu’il a sus me parler avec une telle assurance et persuasion la première fois que je l’ai rencontrée.
Il m’a immédiatement mis au parfum , m’a fait ravalée ma fierté de bourgeoise , qu’il fallait pas jouer la femme honnête avec un mari trop occupé pour bien s’occuper d’elle .
Tu trompe ton mari m’a-t-il dit , alors pas de cinéma avec moi , t’es une salope une putain qui veux de la bite et moi j’ai que de la bite a te donner , t’as compris salope . Tes yeux de vicieuse en disent long , ta grande bouche semble avoir été faite pour avaler de la bite et tu vas en avaler putain.
Il n’avait vraiment rien pour me plaire et la première fois qu’il m’a dit ça je voulais partir. Mais comme j’étais dans sa voiture en pleine campagne au bord d’un étang je ne voyais pas se que je pouvais faire.
Il a commencé a m’embrasser et me caresser dans la voiture , et s’il me répugnait , j’avoues que j’aimais ça , je ne peux dire pourquoi , si s’était le fait du changement , de l’adultère qui était une première pour moi , mais sa bouche et sa langue était bonne , ses caresses commençait a me réconcilier , c’est vrais qu’il semblait doué pour s’occuper d’une femme le salaud.
J’avais bien eu des flirts depuis mon mariage, des petites aventures érotiques, mais cette fois je savais que c’était le grand saut de l’adultère. Didier venait de me le dire et dans la situation ou je me trouvais, que je sois consentante ou non, je devais y passer car l’homme ne voyait pas d’autres solutions .
Didier a décidé que nous allions faire ça sur le capot de la voiture , il m’a dit de quitter ma culotte et que désormais il m’interdisait de porter une culotte sous ma jupe. Lui , cet homme que je ne connaissais même pas m’interdisait , je ne répliquais pas mais je bouillais. Il prit sont ton d’adjudant chef pour rappeler a l’ordre de quitter ma culotte . Debout, devant le capot de la voiture je quittais mas culotte devant lui en comprenant que je dois obéir à ses ordres. Il me dit de remonter ma jupe pour lui montre ma petite chatte de pute. En même temps il déballait son muscle de baiseur qui plait soit disant tant aux femmes. Je fus impressionnée par la taille de la bête , il était monté comme un âne , et il ne bandait qu’a moitié . Je me demandais s’il allait pouvoir me prendre avec un truc aussi gros et long . Mais sa priorité était que je le suce, moi qui refuse de le faire avec mon mari , je m’accroupie devant lui et attrapais cette grosse bite nauséabonde . Ma main ne faisait pas le tour , je pris mes deux mains . lui me tirait les cheveux et me forçais contre son gland humide, il le frottait sur tout mon visage . Il me dit : Ouvre ta bouche salope ! Et il tirait ma tête par les cheveux pour y faire rentrer sa grosse bite dans ma bouche et me donner le rythme . Il me violait littéralement la bouche et m’insultait de salope, de putain , de vide couille . A un moment il m’a sortie sa bite et m’a dit : dis le que tu es une putain ! J’ai commencée a le dire , mais il m’a giflée et il m’a dit : Avec plus de conviction salope , tu dois en être sûr je veux que ça sorte d’une bouche de pute , de tes tripes, je veux que tu revendique ta condition de putain, que tu le cris , le proclame !
Il m’arrachait des cheveux tellement il tirait fort, j’avais peur de me prendre une autre gifle, et je me suis mise a crier sans m’arrêtée : je suis une pute , je suis ……………………………………….. ! Quand il m’a remis sa bite dans ma bouche je continuais dans ma tête à dire les même mots , il m’avait convaincu je me sentais une putain . Je le pompais avec acharnement, je me disais oui je suis bien une pute. Mon excitations était tellement forte que je libérais une main pour me fouiller la chatte tout en pompant Didier . Je le pompais tellement qu’il ne peut se retenir et m’envoya sa sauce dans ma gorge, j’avalais son sperme abondant comme une bonne petite pute.
J’en revenais pas , j’avais avalé pour la première fois du sperme , et je m’étais fouillé tellement j’étais excitée, cette fellation qui me répugnait au début m’avais fait prendre du plaisir .
Didier décida que nous fassions un tour de l’étang pour qu’il recharge ses batteries. Il m’avait mit dans un état d’excitation tel que je ne pensais qu’a me faire ramoner. Nous marchions sur l’allée autour de l’étang, il me dit de remonter ma jupe qu’il la trouvait trop longue, pourtant c’est une jupe courte qui m’arrive à mie cuisses. Je la remontais à sa convenance jusqu’à la limite de mes bas. Avec cette jupe raz du cul et le cul nu je me sentais dépravée, je pensais, il a raison je suis une pute.
Un pécheur était la bien tranquille , il se confondait dans le paysage . Didier me fit remarquer que l’homme me regardait avec envie . Il me dit : Tu lui ferais bien une bonne petite pipe ! ça va pas répondais-je avec violence , mais la violence appelle la violence et je recevais en retour ma deuxième gifle .
Il m’attrapais par les cheveux , et me fit mettre à genoux , il me dit : Tu ne me répond plus comme ça, ok ! Tu fera ce que je te dis, et tu ne discute pas, ok !
Il me faisait peur, il me dit de me relever et de l’embrasser pour lui demander pardon . pendant que je l’embrassai il remontait ma jupe pour montrer mon cul au pécheur . je ne protestais pas , au j’avais peur de prendre encore une gifle .
Il m’attrapa par les deux mains et me dit : Regarde moi, tu veux que je te baise , je sais que tu en as très envie de ma bite ! Pour me faire rebander tu va me montre que tu es une bonne pute ! Tu vas aller faire une pipe au pécheur, débrouille toi je veux te voir !
Je me dirigeais vers l’homme qui me regardais marcher avec difficulté, perchée sur mes escarpins hauts talons et ma jupe plus courte que le raisonnable. La honte me paralysait, j’étais à trois mètres de lui sans pouvoir dire mot. L’homme avait un grand sourire, il me regardait de haut en bas comme une marchandise. Bonjour ma belle me dit-il, je répondais bonjour . Tu veux quoi petite, je restais muette incapable de parler.
Didier s’approchait, il saluait l’homme et échangeait quelques banalités. Puis il lui dit : comment trouvez- vous ma femme ! l’homme était gêné , moi aussi , très belle dit-il ! Didier remonta ma jupe et lui dit : et ça ! L’homme regardait ma chatte avec des yeux pétillant, il avait envie de la bouffer et Didier le voyant excité lui dit : Elle vous fait envie ma petite pute , elle peut vous sucer si vous voulez .
Voila je me retrouvais à genoux devant ce type avec sa bite dans ma bouche. Elle était moins grosse que Didier, mais aussi odorante, et comme avec Didier au fur et à mesure que je le suçais, je commençais à trouver ça bon, je ne le savais pas encore, mais j’aime sucer des bites et je me fouillais la chatte en même temps. Sans que je ne le sache Didier faisait des photos de moi .
Il m’a dit de bien avaler quand l’homme a commencé à éjaculer, j’ai déglutie ma deuxième dose de sperme, je le trouvais moins salé que Didier.
Nous étions retournés à la voiture, Didier me disant que je pouvais sucer le premier venu , que je devais admettre être qu’une putain. il me faisait la leçon et je l’écoutais avec humilité, comme l’élève qui écoute son maître . Ses mots me pénétraient , ils me semblaient juste il disait la vérité, je n’avais rien à répondre je ne suis qu’une putain et je dois l’accepter.
Je voulais bien tout ce qu’il me disait, il m’avait mis le feu au cul et j’attendais qu’il me baise. Je posais ma main sur sa braguette, et lui dis oui, tu as raison je ne suis rien d’autre qu’une pute. Il est devenue fou , il m’a culbutée sur le capot de la voiture , j’ai sentie sa grosse bite pénétrer mon vagin avec difficulté . Il me remplissait le ventre , j’étais heureuse et j’ais dit une dizaine de fois : Baise moi, baise ta pute .
Il m’a vidé sa sauce au fond de mon ventre, et m’a ramené à ma voiture pour que je rentre.
Je suis rentrée heureuse, le soir même je suçais mon mari à son grand étonnement. Il s’est demandé ce qu’il m’arrivait, je voulais goûter la bite et le sperme de mon mari que je trouvais aussi délicieuse que les autres et je l’ai sucé plusieurs fois dans la nuit .
C'est depuis ce jour que la salope qui était enfouie au fond de moi est sortie . j'assume ma nouvelle condition , oui je suis une salope , oui, je suis une pute et je suis heureuse d'être ce que je suis.
Vous allez encore m'insulter, certain vont se régaler à ce jeux, mais que voulez vous je suis comme je suis et vous régalez vous.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je serai mal placée pour te jeter la pierre. J'ai raconté comment mon jeune amant Rachid avait fait de moi une "salope intégrale".
Rien à dire, Annie, tu es la meilleure vide-couilles du quartier, c'est sûr !
J'adore ta manière de jouir quand tu sens le sperme te remplir le ventre. Tu me rappelles une magnifique baiseuse qui disait ça, et puis aussi «je ne peux rien refuser à un homme qui me touche les seins», avec qui j'ai vécu il y a bien longtemps.
À ma prochaine visite, j'ai envie de te bouffer le cul, la raie, la rondelle, tout. Je sais que tu n'as pas de culotte, alors il suffit que tu remontes tes cuisses, que ton mari les tienne bien ouvertes pour moi, et je te dévore le tout.
J
J'adore ta manière de jouir quand tu sens le sperme te remplir le ventre. Tu me rappelles une magnifique baiseuse qui disait ça, et puis aussi «je ne peux rien refuser à un homme qui me touche les seins», avec qui j'ai vécu il y a bien longtemps.
À ma prochaine visite, j'ai envie de te bouffer le cul, la raie, la rondelle, tout. Je sais que tu n'as pas de culotte, alors il suffit que tu remontes tes cuisses, que ton mari les tienne bien ouvertes pour moi, et je te dévore le tout.
J
salope / pute / chienne que préferes tu?