Souvenirs d'ado 3
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Souvenirs d'ado 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mes vacances se déroulaient à merveille : baisée par le voisin puis par joshep, l’ami de ma grand-mère, que rêvez de plus ?
Mais de même que l’appétit vient en mangeant, le besoin de sexe vient en baisant. Donc le lendemain, je retournais au pied de mon cerisier préféré attendre Christian, le voisin. Cette fois-ci, j’étais habillée de façon plus sage : un polo (sans soutif comme dab) une culotte et un short. Il ne pourra pas me reprocher de ressembler à une pute.
Je commençais à désespérer quand enfin je l’ai vu arriver. Il a enjambé la clôture et m’a rejoint au pied de l’arbre.
- Tu as compris la leçon à ce que je vois. T’as tenue est correcte aujourd’hui.
Il s’est approché de moi et pour la première fois il m’a embrassé à pleine bouche. Que j’ai aimé ce baiser, le mélange de nos langues, de nos salives… J’étais collée à lui, il devait sentir mes pointes de seins déjà bien irisées contre son torse. J’avais envie qu’il me prenne là, tout de suite.
- Viens, je t’emmène…- Où ça ?
- Chez moi, ma femme travaille aujourd’hui, je vais te faire l’amour dans un lit…Je l’ai suivi sans hésiter et nous avons enjambé le grillage et me tenant par la main, il m’a entraîné vers sa maison. Nous avons longé la piscine et là qu’elle ne fût pas ma surprise de voir Karine, sa fille que je connaissais un peu (elle est un peu plus âgée que moi), allongée sur un transat, exhibant ses magnifiques seins nus. J’ai eu un mouvement de recul qui n’a pas échappé à Christian.
- T’inquiètes pas, elle est au courant. Elle ne dira rien. De mon côté je couvre ses frasques, je lui sers d’alibi quand il faut et nous sommes quittes !
Rassurée, je l’ai suivi dans sa superbe maison.
- Viens, ici dans la chambre d’amis nous serons bien. Le lit est suffisamment grand pour nos ébats !
Il avait tout prévu : le lit était défait, il avait mis une alèse pour ne pas salir les draps…- Approche ! enlève ton polo.
Je m’exécutais bien volontiers car enfin, il s’intéressait à mon corps, à mes seins qu’il avait totalement négligé avant-hier. Il a ôté lui aussi son t-shirt et m’a attiré contre lui. Le contact de mes nichons sur son torse m’a littéralement électrisé. J’étais de nouveau complètement à sa merci, prête à tout pour lui.
Il m’a lui-même enlevé mon short et ma culotte et j’étais enfin nue dans ses bras. Il m’a alors embrassé sur tout le corps, commençant par ma bouche, puis mon cou, mes seins qu’il a tété goulument. Il m’a alors fait allongé sur le lit puis a continué son exploration : mon ventre, mon nombril qu’il a léché avant de descendre jusqu’à ma petite touffe blonde. Ma chatte était déjà bien humide quand il est venu la sucer. Sa langue fouillait mon con, titillait mon clito bandé, léchait mon anus m’arrachant un cri de plaisir. J’étais prête, tout mon être réclamait sa bite, mais lui prenait son temps. Après s’être déshabillé, Il a voulu que je le suce mais cette fois-ci il ne m’a pas forcé à faire une gorge profonde. Au contraire, il préférait que je lèche sa hampe, ses burnes et que j’excite juste son gland turgescent.
Sa queue était devenue énorme et j’avais envie qu’il me l’enfile dans la chatte.
- Je t’en supplie, prends moi maintenant, j’en peux plus !
Je me suis allongée sur le lit, jambes largement ouvertes, j’attendais sa bite. Je n’avais même pas conscience de l’obscénité de ma pose. Je voulais juste être baisée !
- Je vais te prendre ma petite salope, mais pas comme ça. Mets-toi à 4 pattes sur le lit. Je vais te prendre en levrette.
Je n’avais jamais été niquée dans cette position, mais j’ai obéi sans rechigner. Christian est venu derrière moi. Il m’a placée au bord du lit. Lui est resté debout. Il a commencé à m’embrasser le cul, ma moule, mon fion puis il introduit sa langue dans ma fente dégoulinante de cyprine. Enfin, j’ai senti son gland pénétrer mes grandes lèvres et s’enfoncer dans mon vagin. Il me tenait par les hanches et me pilonnait par des va et vient de plus en plus fort, de plus en rapide. Son braquemard remplissait pleinement ma chatte. Il a alors lâché mes hanches et a pétri mes petits nibards. Il a pris mes tétons entre ses doigts et la étirés. J’avais mal, mais c’était tellement bon ! Ses coups de boutoirs étaient de plus en plus violents, ses couilles battaient contre mes fesses. J’ai eu plusieurs orgasmes successifs, jamais je n’avais connu une telle jouissance. Enfin, il s’est bloqué au fond de ma matrice et j’en senti 3 ou 4 longs jets de sperme chaud je répandre en moi.
- Haaaa ! Salope, que c’est bon !
Je reprenais lentement conscience et c’est là que je me suis aperçue que Karine était dans la chambre. Elle nous regardait baiser. Elle avait glissé une main dans son slip de bain et se masturbait sans vergogne.
- Tiens Karine, Claire est à toi le temps que je récupère. Joue un peu avec elle.
Je n’ai pas eu mon mot à dire : Karine a ôté sa culotte, et j’ai pu voir qu’elle était totalement épilée. Elle est montée sur le lit et a commencé à m’embrasser sur la bouche tout en caressant doucement mes seins. J’étais toujours à 4 pattes et elle m’a fait m’allonger sur le plumard. Elle s’est couchée sur moi, sa chatte contre la mienne, ses seins, deux merveilleux obus en forme de poires, contre mes nibards. Sa langue a forcé l’entrée de ma bouche et elle m’a roulé une pelle délicieuse. C’était la première fois que je couchais avec une fille et mon dieu que c’était agréable. Sa peau était douce, soyeuse, ses pointes de seins étaient durs comme la pierre et labouraient ma petite poitrine. Et sa chatte, collée à la mienne, nos mouilles se mélangeant…- Tu as déjà sucé une cramouille ?
- Noooon, jamais.
- Alors, viens entre mes cuisses et lèche moi.
Karine s’est allongée sur le lit, compas ouvert et j’ai commencé à embrasser sa fente.
- Entre ta langue. Baise-moi avec ta langue !
Je ne me suis pas fait prier plus longtemps et je suis partie à l’exploration de son abricot. Malgré mon inexpérience, j’ai très vite trouvé son clito que j’ai titillé de la pointe de la langue, avant de l’aspirer. Son petit bouton a vite pris du volume et ressemblait à une petite bite. Karine était aux anges et mouillait abondamment. J’aurai aimé qu’elle m’en fasse autant, mais Christian qui se paluchait en regardant la scène, est intervenu :- C’est bon les filles, je reprends la main.
Karine m’a embrassé une dernière fois à pleine bouche, puis elle a remis sa culotte.
- Allonge-toi sur le côté, Je vais venir derrière toi.
Je ne savais pas ce qu’il voulait faire, mais je m’en foutais, j’étais prête à tout, même au pire ! Et c’est au pire que j’ai eu le droit.
- Vous m’avez terriblement excité toutes les deux, alors Claire c’est toi qui va prendre ma queue dans ton cul.
- Non Christian, pas ça, je n’ai jamais fait. Je suis vierge par là.
- Encore mieux. Je vais te dépuceler l’anus !
Je savais que ce n’était pas la peine de résister, alors je me suis mise sur le côté comme il le voulait.
- Karine, tiens lui la jambe en l’air que je l’encule.
Karine m’a levé la jambe et mon fion était offert à cet homme. Il a approché son pieu contre mon petit trou plissé et a légèrement appuyé. Je sentais son gland forcé le passage. Il craché sur mon anus pour le lubrifier puis il a continué à me pénétrer. Le gland était maintenant entièrement rentré. J’avais mal, une larme coulait, mais je n’osais me plaindre. Subitement, d’une violente poussée, son engin m’a totalement pénétrée. Je sentais sa queue dans mes entrailles. J’avais mal, ça me brulait, mais en même temps, c’était bon, tellement bon.
Il a alors commencé à me pilonner le cul, lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je criais sans me retenir, mais je ne saurais dire si c'était de douleur ou de plaisir. Les deux certainement. Il se retirait de mon fion entièrement puis m’enculait à nouveau à fonds d’un seul coup. Sa grosse bite coulissait désormais sans problème dans mon étroit fourreau. C’est au fond de mes entrailles qu’il a lâché sa purée.
- Putain que ça fait du bien ! Qu’est-ce que tu es serrée ! Le passage est fait pour les suivants !
Je restais étendue sur le lit, épuisée. J’avais mal au cul, ma chatte dégoulinait, mais j’étais comblée. Dans la même journée, j’avais connu ma première expérience lesbienne et j’avais été enculée pour la première fois.
Il me restait une semaine de vacances et je me suis partagée entre Joseph, le compagnon de mamie que j’ai forcé à me sodomisé malgré ses réticences et Christian mon voisin qui m’a fait découvrir plein de nouvelles positions. Malheureusement, Karine est partie avec des amis et je n’ai pas pu refaire l’amour avec elle.
Mes vacances se déroulaient à merveille : baisée par le voisin puis par joshep, l’ami de ma grand-mère, que rêvez de plus ?
Mais de même que l’appétit vient en mangeant, le besoin de sexe vient en baisant. Donc le lendemain, je retournais au pied de mon cerisier préféré attendre Christian, le voisin. Cette fois-ci, j’étais habillée de façon plus sage : un polo (sans soutif comme dab) une culotte et un short. Il ne pourra pas me reprocher de ressembler à une pute.
Je commençais à désespérer quand enfin je l’ai vu arriver. Il a enjambé la clôture et m’a rejoint au pied de l’arbre.
- Tu as compris la leçon à ce que je vois. T’as tenue est correcte aujourd’hui.
Il s’est approché de moi et pour la première fois il m’a embrassé à pleine bouche. Que j’ai aimé ce baiser, le mélange de nos langues, de nos salives… J’étais collée à lui, il devait sentir mes pointes de seins déjà bien irisées contre son torse. J’avais envie qu’il me prenne là, tout de suite.
- Viens, je t’emmène…- Où ça ?
- Chez moi, ma femme travaille aujourd’hui, je vais te faire l’amour dans un lit…Je l’ai suivi sans hésiter et nous avons enjambé le grillage et me tenant par la main, il m’a entraîné vers sa maison. Nous avons longé la piscine et là qu’elle ne fût pas ma surprise de voir Karine, sa fille que je connaissais un peu (elle est un peu plus âgée que moi), allongée sur un transat, exhibant ses magnifiques seins nus. J’ai eu un mouvement de recul qui n’a pas échappé à Christian.
- T’inquiètes pas, elle est au courant. Elle ne dira rien. De mon côté je couvre ses frasques, je lui sers d’alibi quand il faut et nous sommes quittes !
Rassurée, je l’ai suivi dans sa superbe maison.
- Viens, ici dans la chambre d’amis nous serons bien. Le lit est suffisamment grand pour nos ébats !
Il avait tout prévu : le lit était défait, il avait mis une alèse pour ne pas salir les draps…- Approche ! enlève ton polo.
Je m’exécutais bien volontiers car enfin, il s’intéressait à mon corps, à mes seins qu’il avait totalement négligé avant-hier. Il a ôté lui aussi son t-shirt et m’a attiré contre lui. Le contact de mes nichons sur son torse m’a littéralement électrisé. J’étais de nouveau complètement à sa merci, prête à tout pour lui.
Il m’a lui-même enlevé mon short et ma culotte et j’étais enfin nue dans ses bras. Il m’a alors embrassé sur tout le corps, commençant par ma bouche, puis mon cou, mes seins qu’il a tété goulument. Il m’a alors fait allongé sur le lit puis a continué son exploration : mon ventre, mon nombril qu’il a léché avant de descendre jusqu’à ma petite touffe blonde. Ma chatte était déjà bien humide quand il est venu la sucer. Sa langue fouillait mon con, titillait mon clito bandé, léchait mon anus m’arrachant un cri de plaisir. J’étais prête, tout mon être réclamait sa bite, mais lui prenait son temps. Après s’être déshabillé, Il a voulu que je le suce mais cette fois-ci il ne m’a pas forcé à faire une gorge profonde. Au contraire, il préférait que je lèche sa hampe, ses burnes et que j’excite juste son gland turgescent.
Sa queue était devenue énorme et j’avais envie qu’il me l’enfile dans la chatte.
- Je t’en supplie, prends moi maintenant, j’en peux plus !
Je me suis allongée sur le lit, jambes largement ouvertes, j’attendais sa bite. Je n’avais même pas conscience de l’obscénité de ma pose. Je voulais juste être baisée !
- Je vais te prendre ma petite salope, mais pas comme ça. Mets-toi à 4 pattes sur le lit. Je vais te prendre en levrette.
Je n’avais jamais été niquée dans cette position, mais j’ai obéi sans rechigner. Christian est venu derrière moi. Il m’a placée au bord du lit. Lui est resté debout. Il a commencé à m’embrasser le cul, ma moule, mon fion puis il introduit sa langue dans ma fente dégoulinante de cyprine. Enfin, j’ai senti son gland pénétrer mes grandes lèvres et s’enfoncer dans mon vagin. Il me tenait par les hanches et me pilonnait par des va et vient de plus en plus fort, de plus en rapide. Son braquemard remplissait pleinement ma chatte. Il a alors lâché mes hanches et a pétri mes petits nibards. Il a pris mes tétons entre ses doigts et la étirés. J’avais mal, mais c’était tellement bon ! Ses coups de boutoirs étaient de plus en plus violents, ses couilles battaient contre mes fesses. J’ai eu plusieurs orgasmes successifs, jamais je n’avais connu une telle jouissance. Enfin, il s’est bloqué au fond de ma matrice et j’en senti 3 ou 4 longs jets de sperme chaud je répandre en moi.
- Haaaa ! Salope, que c’est bon !
Je reprenais lentement conscience et c’est là que je me suis aperçue que Karine était dans la chambre. Elle nous regardait baiser. Elle avait glissé une main dans son slip de bain et se masturbait sans vergogne.
- Tiens Karine, Claire est à toi le temps que je récupère. Joue un peu avec elle.
Je n’ai pas eu mon mot à dire : Karine a ôté sa culotte, et j’ai pu voir qu’elle était totalement épilée. Elle est montée sur le lit et a commencé à m’embrasser sur la bouche tout en caressant doucement mes seins. J’étais toujours à 4 pattes et elle m’a fait m’allonger sur le plumard. Elle s’est couchée sur moi, sa chatte contre la mienne, ses seins, deux merveilleux obus en forme de poires, contre mes nibards. Sa langue a forcé l’entrée de ma bouche et elle m’a roulé une pelle délicieuse. C’était la première fois que je couchais avec une fille et mon dieu que c’était agréable. Sa peau était douce, soyeuse, ses pointes de seins étaient durs comme la pierre et labouraient ma petite poitrine. Et sa chatte, collée à la mienne, nos mouilles se mélangeant…- Tu as déjà sucé une cramouille ?
- Noooon, jamais.
- Alors, viens entre mes cuisses et lèche moi.
Karine s’est allongée sur le lit, compas ouvert et j’ai commencé à embrasser sa fente.
- Entre ta langue. Baise-moi avec ta langue !
Je ne me suis pas fait prier plus longtemps et je suis partie à l’exploration de son abricot. Malgré mon inexpérience, j’ai très vite trouvé son clito que j’ai titillé de la pointe de la langue, avant de l’aspirer. Son petit bouton a vite pris du volume et ressemblait à une petite bite. Karine était aux anges et mouillait abondamment. J’aurai aimé qu’elle m’en fasse autant, mais Christian qui se paluchait en regardant la scène, est intervenu :- C’est bon les filles, je reprends la main.
Karine m’a embrassé une dernière fois à pleine bouche, puis elle a remis sa culotte.
- Allonge-toi sur le côté, Je vais venir derrière toi.
Je ne savais pas ce qu’il voulait faire, mais je m’en foutais, j’étais prête à tout, même au pire ! Et c’est au pire que j’ai eu le droit.
- Vous m’avez terriblement excité toutes les deux, alors Claire c’est toi qui va prendre ma queue dans ton cul.
- Non Christian, pas ça, je n’ai jamais fait. Je suis vierge par là.
- Encore mieux. Je vais te dépuceler l’anus !
Je savais que ce n’était pas la peine de résister, alors je me suis mise sur le côté comme il le voulait.
- Karine, tiens lui la jambe en l’air que je l’encule.
Karine m’a levé la jambe et mon fion était offert à cet homme. Il a approché son pieu contre mon petit trou plissé et a légèrement appuyé. Je sentais son gland forcé le passage. Il craché sur mon anus pour le lubrifier puis il a continué à me pénétrer. Le gland était maintenant entièrement rentré. J’avais mal, une larme coulait, mais je n’osais me plaindre. Subitement, d’une violente poussée, son engin m’a totalement pénétrée. Je sentais sa queue dans mes entrailles. J’avais mal, ça me brulait, mais en même temps, c’était bon, tellement bon.
Il a alors commencé à me pilonner le cul, lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je criais sans me retenir, mais je ne saurais dire si c'était de douleur ou de plaisir. Les deux certainement. Il se retirait de mon fion entièrement puis m’enculait à nouveau à fonds d’un seul coup. Sa grosse bite coulissait désormais sans problème dans mon étroit fourreau. C’est au fond de mes entrailles qu’il a lâché sa purée.
- Putain que ça fait du bien ! Qu’est-ce que tu es serrée ! Le passage est fait pour les suivants !
Je restais étendue sur le lit, épuisée. J’avais mal au cul, ma chatte dégoulinait, mais j’étais comblée. Dans la même journée, j’avais connu ma première expérience lesbienne et j’avais été enculée pour la première fois.
Il me restait une semaine de vacances et je me suis partagée entre Joseph, le compagnon de mamie que j’ai forcé à me sodomisé malgré ses réticences et Christian mon voisin qui m’a fait découvrir plein de nouvelles positions. Malheureusement, Karine est partie avec des amis et je n’ai pas pu refaire l’amour avec elle.
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