Souvenirs d'Afrique I
Récit érotique écrit par Alex-Marie Du Remblé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Souvenirs d'Afrique I
Avant toute chose, une présentation s'impose... nous sommes un couple aimant les plaisirs et après quelques années en Afrique de l'Ouest, nous sommes revenus en France. Marie est de là bas et moi Alex, de France... On s'est mariés là-bas... et nos récits sont parfois ceux de nos propres expériences érotiques, ceux de connaissances dont l'anonymat est respecté et parfois ce sont ceux des expériences que nous aurions aimé vivre avec eux... Nos récits sont parfois tapés à 2 mains et d'autre fois à 4 en fonction de nos disponibilités.
Tout a commencé alors que je me séparais de ma 1ère épouse qui était de là-bas elle aussi... J'avais déjà eu avec elle quelques expériences : trios, échangisme... en Europe : chez nous, des amis, en club et sauna aussi parfois. Mais ce n'est pas ça qui nous a séparé. C'est ainsi, qu'une nuit, je suis arrivé (c'était mon 3 ème séjour) à l'aéroport d'Abidjan, Côte d'Ivoire. Je n'y étais pas retourné depuis un certain temps...
Un ami européen d'une 50taine d'années (10 de + que moi à l'époque) m'attendait : Jacques. Grand, mince et grisonnant ; il avait fait 15 ans là-bas et, c'est avec une beauté locale : Amy qu'il m'attendait. Grande, mince avec de beaux seins nus sous un bustier ciel qui laissait son ventre au nombril percé d'une perle, nu ; de longues jambes qu'habillait un mini short taille basse en jean d où émergeaient la ficelle d'un string rouge et une nonne partie du sillon fessier de son superbe cul dont la naissance : sur la chute de rein était décorée d'un tatouage genre ceinture au motif tribal ou ethnique... Une chaîne dorée à la cheville et l'autre autour de la taille complétaient sa tenue... Elle avait... 22 ans...
Sa manière de s'habiller, son déhanché et sa forme magnifique : ce que l'on appelle là bas "une forme de guitare" ; me rappelait quelqu'un que j'avais connu 3 années plutôt dans la même ville et avec qui j'avais vécu des moments de tendresse mais aussi une passion physique et sexuelle intense : bien que plus grande qu'elle, elle ressemblait à Marie... qui devait avoir... 28 ans maintenant... Je n'avais plus de ses nouvelles depuis... La guerre a séparé bien des gens entre temps...
Jacques voulait que nous allions prendre quelques verres ensemble dans un bar un peu chic et à la mode : "Le Versailles" ce soir. C'était pour mon "Akwaba" (ma bienvenue) en langue locale... Il y avait 2 grandes chambres dans son appart : l'une avec bain et douche et l'autre avec une douche mitoyenne aux battants de saloon en guise de porte. Un grand salon salle à manger les séparaient toutes les deux et une 3éme chambre + petite : située comme celle qui allait m'accueillir : le temps que je trouve mon propre logement, à côté de la douche servait de bureau et là se trouvait une grande armoire où Amy et Jacques rangeaient leurs vêtements et qui servait aussi de bureau.
Alors que je me trouvais dans la douche, j'entendis Amy demander à son amant : "chéri, je mets quelle robe ce soir : la bleue ou la blanche ?" Il lui répondit : "montre les moi !" en sortant de la chambre torse nu... "J’arrive !" fit Amy. Belle vision... c'est vêtue seulement de son string qu'elle sortit de la chambre avec les 2 robes : une dans chaque main... elle les posa contre elle et Jacques lui dit : "la blanche ! Elle est + sexy...". "Ok ! Donc j'enlève le string rouge : on le verra trop... au fait, chéri, j'en remettrais un ou pas ?" Elle posa les 2 robes sur le fauteuil derrière elle et, tandis que mon ami en allumant sa cigarette lui répondait : " t'es pas obligée d'en mettre un, tu le sais !...", en riant ; Amy enleva son string et le lança dans le canapé : je n'en perdais pas une miette.... Elle me rappelait beaucoup Marie décidément... Elle taxa une cigarette à Jacques et il la lui alluma. Ils s'embrassèrent... Toujours nue, totalement imberbe ; elle se dirigea vers la cuisine en disant qu'elle avait soif. "Prends 3 bières fraîches alors !" lui demanda son amant... Et nue, elle sortit les verres, revint avec les bières et fit le service : s'asseyant dans le canapé... "Tu reste à poil ?" interrogea Jacques... Oui, chéri je m'habillerai après la bière... Je mis une serviette et sortit. Bien que douché, la situation et certains souvenirs ; m'excitaient : déformant un peu la serviette verte que j'avais autour de la taille... Alors que je me rendais dans la chambre, Jacques m'interpela : "mais viens boire un coup, d'abord !"... Je me dirigeais vers le salon. Amy évidemment, fixa la bosse de la serviette... Pas gênée du tout : au contraire ! elle ouvrit largement ses cuisses : m'offrant le panorama de son sexe avec délectation... Ce qui : bien entendu, ne fit pas descendre mon début d'érection... Jacques s'en amusait, lui... Se levant avants nous, la jolie salope passa volontairement devant moi : me faisant face, en me frôlant... Jacques me proposa : "Il y a plein de jolies gos' (filles) où on va aller... cependant si tu ne trouves pas à ton goût : je sais qu'en ce moment ton esprit est assez préoccupé avec ton divorce comme tu me l’as écrit ; il n'y a pas de problème... on baisera Amy à 2 : elle adore ça et... crois moi ; tu ne seras pas déçu !..." J'acceptais bien volontiers... Il ajouta : saches que tu es chez toi, ici : tu peux te promener à poil : ça gêne personne, emmener qui tu veux pour baiser et même : c'est recommandé, mais pas obligatoire (il riait...)... partager les filles avec moi et Amy, de temps en temps elle apprécie une autre chatte aussi... ; baiser Amy avec ou sans moi si elle est d'accord - mais tu lui plais bien - je crois... OK ?"... "D'accord... je retiens...". Mon sexe était on ne peut mieux dressé, maintenant... et, comme si j'étais chez moi (comme l'avait proposé Jacques) ; je me débarrassais de la serviette inutile... Il me complimenta : " t'as une sacrée bite ! Dis-donc..." Evidemment, Amy avait entendu et, toujours nue ; elle sortit du bureau... "Wouaouw ! Quel beau morceau... Hummm la go' qui va recevoir cette pine la,... : elle va être gâtée !..." Ce sera peut-être toi, tout à l'heure ma chérie..." lui fit Jacques... "J'suis partante, en tout cas !"... puis elle repartit... "Tu vois..." me dit Jacques : "... tu es sur de bien t'éclater cette nuit !" ... "Oh oui !" acquiesçais-je... Mais, le destin allait en décider autrement : en tout cas ; ce n'était pas la nuit de mon arrivée que la chère Amy allait recevoir mes 22 cm en elle...
Amy portait une robe blanche moulante à fines bretelles, dos nu avec un décolleté vertigineux sur ses seins et une découpe du tissu en forme de larme sous ses seins jusque sous le nombril. Le bas de sa robe partait en diagonale du pli de sa cuisse droite, sous la hanche jusqu'au dessus du genou gauche. Elle avait des escarpins à talons blancs. Comme convenu, elle était entièrement nue dessous... offrant ainsi son intimité aux voisins d'en face quand elle s'asseyait... Nous sommes montés dans le 4X4 de Jacques...
Ce dernier n'avait pas menti : seules ou accompagnées, presque toutes les filles étaient magnifiques et toutes très sexy... offrant leurs jambes, une chute de rein vertigineuse, ou la naissance de leurs fesses ; leurs seins parfois le tout aux regards tant leurs robes, jupes ; ensembles dénudaient leurs corps d'ébène... Quatre barres sur de petites tables rondes au milieu de la piste permettaient aux clientes qui le souhaitaient et au personnel féminin de danser sous les regards de chacun. Or, la manière de danser les danses locales est... très suggestive... et vues les tenues... de ces demoiselles... très vite, au gré des mouvements de leurs hanches et de leurs vêtements ; comme je le faisais remarquer à Jacques : " s'il y avait juste un + de lumière on n'ignorerai rien de leurs strings... quand elles en portent..." Il me conforta dans ce que je disais ajoutant : "c'est ainsi, ici maintenant : cette mode s'appelle le "Wolosso" (qui se traduirait par ce qui est vulgaire, provocant et exhibitionniste) et les filles dans le coup doivent être "wolossos", montrer et afficher, leur corps partiellement dénudé : surtout les fesses ! D’où toutes ces fringues taille basse qui montrent 30 à 70 % de leur cul et de leur string quand, comme tu le dis ; elles en portent..." Il ajouta : " il est encore plus tendance chez les gos' d'Abidjan qu'il y a 3 ans ; d'avoir plusieurs amants et de raconter en détails leurs parties de baises à leurs copines : c'est même mieux maintenant... car les parties à 3, les filles bi, l'échangisme et les partouzes sont devenus très prisés dans ce pays..." Amy compléta : " ne pas participer à tout cela te fait passer pour une "gawhaze" (paysanne, inculte bête et arriérée : pour le lecteur)..." Face à moi, en tout cas ; Amy, assise sur un pouf bas, cuisses ouvertes nous montrait (à nous et aux autres client(e)s du reste...) l'intégralité de sa chatte bien appétissante... Soudain, il y eu un mouvement qui attira mon regard ailleurs : une fille mince : belle guitare ; qui passait et se dirigeait vers le bar avec une copine... Elle avait une minuscule robe bleue électrique, agrafée derrière le cou, nouée au milieu du dos totalement dénudé ; avec un profond décolleté drapé devant sur de magnifiques seins nus entre lesquels il y avait une broche carrée dorée et sous laquelle une fente découvrait un peu son ventre... Je connaissais cette fine ceinture de perles blanches et brillantes qui entourait sa taille sous la robe... Je m'excusais et me dirigeais vers le bar que des tubes de lumières qui changeaient de couleur, éclairaient : vers elles. La fille en bleu me tournait le dos : assise sur un tabouret haut face à sa copine : vêtue, elle ; d’un ensemble noir jupe très courte, fendue de chaque côté et brassière agrafée sur une épaule en tissus transparent qui dévoilait ses seins nus, ses fesses et la forme de son string devant. Un string noir dont la lanière qui disparaissait entre deux lobes fessiers magnifiques un peu offerts aux regards était en strass argenté : ce fut ce que je vis d'abord - ce cul je le connaissais bien pour l'avoir déviergé et si souvent pris - puis la ceinture déjà reconnue... ces longues jambes, ce teint : ni ébène ni métisse mais chocolaté aussi... Je l'abordais : "excuse-moi..." elle se tourna et.... Oui, oui ! c'était-elle : Marie.... je reconnaissais son visage à l'ovale parfait, cette petite fossette au menton ; les yeux en amande, ses seins que j'embrassais, tétais des heures ; elle pivota sur le tabouret et mon regard plongea entre ses cuisses jusqu'à son con mal dissimulé par le tissu très étroit de son string d'où sortait l'une de ses lèvres intimes imberbe... Sans fermer les yeux : je la revoyais nue, ma tête entre ses cuisses, ma langue dans son sexe trempé ou qui excitait son petit trou, sa bouche montant et descendant sur ma bite dressée ; elle sur moi, dansant vicieusement sur mon pieu ou assise sur mes cuisses, moi sur elle : puis derrière elle en train de la cogner (baiser) bien à fond, puis doigtant son anus de tout mon index avant, lentement ; de passer de sa chatte béante et trempée à son cul que j'avais bien ouvert au préalable et nos cris de plaisirs quand elle cumulait les orgasmes et que je la suivais : remplissant son ventre ou ses reins de mon foutre avant d'asperger son visage, ses fesses ou ses seins ; à moins-que, comme ça lui arrivait parfois, qu'elle ne décide de me finir avec sa bouche...
Sur le coup, il n'y a pas eu de mot : moi debout entre ses cuisses ouvertes qui me serraient, elle assise : nous enlaçant et nous baisant les lèvres avec fièvre... un torrent de passion remontant dans nos artères comme presque 4ans plus tôt... J'avais reconnu cette ceinture de perles que je lui avais offerte avant mon retour en France lors d'une virée à la mer où, sur la plage ; nous avions baisé comme si nous étions seuls au monde...
(A SUIVRE......).
Tout a commencé alors que je me séparais de ma 1ère épouse qui était de là-bas elle aussi... J'avais déjà eu avec elle quelques expériences : trios, échangisme... en Europe : chez nous, des amis, en club et sauna aussi parfois. Mais ce n'est pas ça qui nous a séparé. C'est ainsi, qu'une nuit, je suis arrivé (c'était mon 3 ème séjour) à l'aéroport d'Abidjan, Côte d'Ivoire. Je n'y étais pas retourné depuis un certain temps...
Un ami européen d'une 50taine d'années (10 de + que moi à l'époque) m'attendait : Jacques. Grand, mince et grisonnant ; il avait fait 15 ans là-bas et, c'est avec une beauté locale : Amy qu'il m'attendait. Grande, mince avec de beaux seins nus sous un bustier ciel qui laissait son ventre au nombril percé d'une perle, nu ; de longues jambes qu'habillait un mini short taille basse en jean d où émergeaient la ficelle d'un string rouge et une nonne partie du sillon fessier de son superbe cul dont la naissance : sur la chute de rein était décorée d'un tatouage genre ceinture au motif tribal ou ethnique... Une chaîne dorée à la cheville et l'autre autour de la taille complétaient sa tenue... Elle avait... 22 ans...
Sa manière de s'habiller, son déhanché et sa forme magnifique : ce que l'on appelle là bas "une forme de guitare" ; me rappelait quelqu'un que j'avais connu 3 années plutôt dans la même ville et avec qui j'avais vécu des moments de tendresse mais aussi une passion physique et sexuelle intense : bien que plus grande qu'elle, elle ressemblait à Marie... qui devait avoir... 28 ans maintenant... Je n'avais plus de ses nouvelles depuis... La guerre a séparé bien des gens entre temps...
Jacques voulait que nous allions prendre quelques verres ensemble dans un bar un peu chic et à la mode : "Le Versailles" ce soir. C'était pour mon "Akwaba" (ma bienvenue) en langue locale... Il y avait 2 grandes chambres dans son appart : l'une avec bain et douche et l'autre avec une douche mitoyenne aux battants de saloon en guise de porte. Un grand salon salle à manger les séparaient toutes les deux et une 3éme chambre + petite : située comme celle qui allait m'accueillir : le temps que je trouve mon propre logement, à côté de la douche servait de bureau et là se trouvait une grande armoire où Amy et Jacques rangeaient leurs vêtements et qui servait aussi de bureau.
Alors que je me trouvais dans la douche, j'entendis Amy demander à son amant : "chéri, je mets quelle robe ce soir : la bleue ou la blanche ?" Il lui répondit : "montre les moi !" en sortant de la chambre torse nu... "J’arrive !" fit Amy. Belle vision... c'est vêtue seulement de son string qu'elle sortit de la chambre avec les 2 robes : une dans chaque main... elle les posa contre elle et Jacques lui dit : "la blanche ! Elle est + sexy...". "Ok ! Donc j'enlève le string rouge : on le verra trop... au fait, chéri, j'en remettrais un ou pas ?" Elle posa les 2 robes sur le fauteuil derrière elle et, tandis que mon ami en allumant sa cigarette lui répondait : " t'es pas obligée d'en mettre un, tu le sais !...", en riant ; Amy enleva son string et le lança dans le canapé : je n'en perdais pas une miette.... Elle me rappelait beaucoup Marie décidément... Elle taxa une cigarette à Jacques et il la lui alluma. Ils s'embrassèrent... Toujours nue, totalement imberbe ; elle se dirigea vers la cuisine en disant qu'elle avait soif. "Prends 3 bières fraîches alors !" lui demanda son amant... Et nue, elle sortit les verres, revint avec les bières et fit le service : s'asseyant dans le canapé... "Tu reste à poil ?" interrogea Jacques... Oui, chéri je m'habillerai après la bière... Je mis une serviette et sortit. Bien que douché, la situation et certains souvenirs ; m'excitaient : déformant un peu la serviette verte que j'avais autour de la taille... Alors que je me rendais dans la chambre, Jacques m'interpela : "mais viens boire un coup, d'abord !"... Je me dirigeais vers le salon. Amy évidemment, fixa la bosse de la serviette... Pas gênée du tout : au contraire ! elle ouvrit largement ses cuisses : m'offrant le panorama de son sexe avec délectation... Ce qui : bien entendu, ne fit pas descendre mon début d'érection... Jacques s'en amusait, lui... Se levant avants nous, la jolie salope passa volontairement devant moi : me faisant face, en me frôlant... Jacques me proposa : "Il y a plein de jolies gos' (filles) où on va aller... cependant si tu ne trouves pas à ton goût : je sais qu'en ce moment ton esprit est assez préoccupé avec ton divorce comme tu me l’as écrit ; il n'y a pas de problème... on baisera Amy à 2 : elle adore ça et... crois moi ; tu ne seras pas déçu !..." J'acceptais bien volontiers... Il ajouta : saches que tu es chez toi, ici : tu peux te promener à poil : ça gêne personne, emmener qui tu veux pour baiser et même : c'est recommandé, mais pas obligatoire (il riait...)... partager les filles avec moi et Amy, de temps en temps elle apprécie une autre chatte aussi... ; baiser Amy avec ou sans moi si elle est d'accord - mais tu lui plais bien - je crois... OK ?"... "D'accord... je retiens...". Mon sexe était on ne peut mieux dressé, maintenant... et, comme si j'étais chez moi (comme l'avait proposé Jacques) ; je me débarrassais de la serviette inutile... Il me complimenta : " t'as une sacrée bite ! Dis-donc..." Evidemment, Amy avait entendu et, toujours nue ; elle sortit du bureau... "Wouaouw ! Quel beau morceau... Hummm la go' qui va recevoir cette pine la,... : elle va être gâtée !..." Ce sera peut-être toi, tout à l'heure ma chérie..." lui fit Jacques... "J'suis partante, en tout cas !"... puis elle repartit... "Tu vois..." me dit Jacques : "... tu es sur de bien t'éclater cette nuit !" ... "Oh oui !" acquiesçais-je... Mais, le destin allait en décider autrement : en tout cas ; ce n'était pas la nuit de mon arrivée que la chère Amy allait recevoir mes 22 cm en elle...
Amy portait une robe blanche moulante à fines bretelles, dos nu avec un décolleté vertigineux sur ses seins et une découpe du tissu en forme de larme sous ses seins jusque sous le nombril. Le bas de sa robe partait en diagonale du pli de sa cuisse droite, sous la hanche jusqu'au dessus du genou gauche. Elle avait des escarpins à talons blancs. Comme convenu, elle était entièrement nue dessous... offrant ainsi son intimité aux voisins d'en face quand elle s'asseyait... Nous sommes montés dans le 4X4 de Jacques...
Ce dernier n'avait pas menti : seules ou accompagnées, presque toutes les filles étaient magnifiques et toutes très sexy... offrant leurs jambes, une chute de rein vertigineuse, ou la naissance de leurs fesses ; leurs seins parfois le tout aux regards tant leurs robes, jupes ; ensembles dénudaient leurs corps d'ébène... Quatre barres sur de petites tables rondes au milieu de la piste permettaient aux clientes qui le souhaitaient et au personnel féminin de danser sous les regards de chacun. Or, la manière de danser les danses locales est... très suggestive... et vues les tenues... de ces demoiselles... très vite, au gré des mouvements de leurs hanches et de leurs vêtements ; comme je le faisais remarquer à Jacques : " s'il y avait juste un + de lumière on n'ignorerai rien de leurs strings... quand elles en portent..." Il me conforta dans ce que je disais ajoutant : "c'est ainsi, ici maintenant : cette mode s'appelle le "Wolosso" (qui se traduirait par ce qui est vulgaire, provocant et exhibitionniste) et les filles dans le coup doivent être "wolossos", montrer et afficher, leur corps partiellement dénudé : surtout les fesses ! D’où toutes ces fringues taille basse qui montrent 30 à 70 % de leur cul et de leur string quand, comme tu le dis ; elles en portent..." Il ajouta : " il est encore plus tendance chez les gos' d'Abidjan qu'il y a 3 ans ; d'avoir plusieurs amants et de raconter en détails leurs parties de baises à leurs copines : c'est même mieux maintenant... car les parties à 3, les filles bi, l'échangisme et les partouzes sont devenus très prisés dans ce pays..." Amy compléta : " ne pas participer à tout cela te fait passer pour une "gawhaze" (paysanne, inculte bête et arriérée : pour le lecteur)..." Face à moi, en tout cas ; Amy, assise sur un pouf bas, cuisses ouvertes nous montrait (à nous et aux autres client(e)s du reste...) l'intégralité de sa chatte bien appétissante... Soudain, il y eu un mouvement qui attira mon regard ailleurs : une fille mince : belle guitare ; qui passait et se dirigeait vers le bar avec une copine... Elle avait une minuscule robe bleue électrique, agrafée derrière le cou, nouée au milieu du dos totalement dénudé ; avec un profond décolleté drapé devant sur de magnifiques seins nus entre lesquels il y avait une broche carrée dorée et sous laquelle une fente découvrait un peu son ventre... Je connaissais cette fine ceinture de perles blanches et brillantes qui entourait sa taille sous la robe... Je m'excusais et me dirigeais vers le bar que des tubes de lumières qui changeaient de couleur, éclairaient : vers elles. La fille en bleu me tournait le dos : assise sur un tabouret haut face à sa copine : vêtue, elle ; d’un ensemble noir jupe très courte, fendue de chaque côté et brassière agrafée sur une épaule en tissus transparent qui dévoilait ses seins nus, ses fesses et la forme de son string devant. Un string noir dont la lanière qui disparaissait entre deux lobes fessiers magnifiques un peu offerts aux regards était en strass argenté : ce fut ce que je vis d'abord - ce cul je le connaissais bien pour l'avoir déviergé et si souvent pris - puis la ceinture déjà reconnue... ces longues jambes, ce teint : ni ébène ni métisse mais chocolaté aussi... Je l'abordais : "excuse-moi..." elle se tourna et.... Oui, oui ! c'était-elle : Marie.... je reconnaissais son visage à l'ovale parfait, cette petite fossette au menton ; les yeux en amande, ses seins que j'embrassais, tétais des heures ; elle pivota sur le tabouret et mon regard plongea entre ses cuisses jusqu'à son con mal dissimulé par le tissu très étroit de son string d'où sortait l'une de ses lèvres intimes imberbe... Sans fermer les yeux : je la revoyais nue, ma tête entre ses cuisses, ma langue dans son sexe trempé ou qui excitait son petit trou, sa bouche montant et descendant sur ma bite dressée ; elle sur moi, dansant vicieusement sur mon pieu ou assise sur mes cuisses, moi sur elle : puis derrière elle en train de la cogner (baiser) bien à fond, puis doigtant son anus de tout mon index avant, lentement ; de passer de sa chatte béante et trempée à son cul que j'avais bien ouvert au préalable et nos cris de plaisirs quand elle cumulait les orgasmes et que je la suivais : remplissant son ventre ou ses reins de mon foutre avant d'asperger son visage, ses fesses ou ses seins ; à moins-que, comme ça lui arrivait parfois, qu'elle ne décide de me finir avec sa bouche...
Sur le coup, il n'y a pas eu de mot : moi debout entre ses cuisses ouvertes qui me serraient, elle assise : nous enlaçant et nous baisant les lèvres avec fièvre... un torrent de passion remontant dans nos artères comme presque 4ans plus tôt... J'avais reconnu cette ceinture de perles que je lui avais offerte avant mon retour en France lors d'une virée à la mer où, sur la plage ; nous avions baisé comme si nous étions seuls au monde...
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