Souvenirs de jeunesse (8) : un jeu dangereux

- Par l'auteur HDS PP06 -
Récit érotique écrit par PP06 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenirs de jeunesse (8) : un jeu dangereux Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs de jeunesse (8) : un jeu dangereux
Les commentaires de plusieurs lecteurs sur le récit de nos souvenirs de jeunesse m’ont incité à fouiller dans ma mémoire.

Avant de poursuivre, j’aimerais vous décrire mon épouse Martine afin que chacun puisse mieux se l’imaginer, en lisant nos souvenirs.

Martine a maintenant 58 ans, toujours belle femme, sportive, elle a gardé son corps de rêve. Nous nous sommes mariés jeunes, elle avait 22 ans, moi 25. Nous avions bien eu quelques expériences avant de nous rencontrer, mais rien de sérieux. Martine avait vécu 6 mois avec un copain, mais retournait le week end chez ses parents, moi étant en cité universitaire, je papillonnais pour faire mes premières armes, en attendant de trouver l’oiseau rare.

Je suis assez grand, 1m85 et sans être un athlète, je fais suffisant de sport pour encore aujourd’hui, avoir conserver la ligne. Les extrêmes s’attirent, le côté « petite modèle », lolita, de Martine m’a de suite attiré :1m60, 54 kg, cheveux court, brune ou plutôt châtain foncé, jolie poitrine, 85 B quand je l’ai connu, qui tenait bien dans ma main lorsque je la découvrais au cinéma ou dans la voiture en la raccompagnant chez elle. Avec la venue des enfants, elle a gagné une taille, ses décolletés plus ou moins profonds en ont profité.

Epoque bénie de notre jeunesse, les seins nus étaient admis par tous sur les plages, le soutien-gorge était devenu inutile sous un chemisier ou une robe, et la mode de la mini-jupe était passée dans les mœurs. Les femmes n’hésitaient plus à laisser apercevoir leur poitrine ou leur culotte. Martine a suivi la mode avec zèle et application, et beaucoup de bonheur, Pour aller travailler, ou recevoir des amis, ses robes laissaient souvent entrevoir le galbe ou la naissance d’un sein, un téton incrusté dans le tissu léger d’un chemisier, ou la dentelle d’une culotte.
Elle n’était pas la seule, mon regard s’attardait sur les femmes que je croisais, au bureau, avec des amis et même en famille. Mais mon plus grand plaisir a toujours été de saisir les regards suscités par Martine.

Très vite, voir mes précédents récits, je me suis aperçu que Martine avait des tendances exhibitionnistes. Il m’est souvent arrivé de la soutenir, il ne faut pas décourager les bonnes volontés. Les regards sur ses cuisses ou sa poitrine, quelques mains baladeuses, ne nous ont jamais dérangés, bien au contraire, nos ébats en rentrant chez nous montrait bien que nous partagions le même plaisir.

J’ai pris conscience il y a peu de temps, que nous avions des tendances candaulistes sans le savoir, comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Candaulisme soft, nous contentant d’exhibitionnisme, jamais passé à l’acte lui-même.

Mais, à trop vouloir faire, on peut se bruler les ailes. Nos petits jeux érotiques pouvaient déraper soit volontairement, soit au contact d’hommes plus entreprenant que les autres. Ce qui aurait pu arriver plus d’une fois.

Je pense en particulier, au mariage d’une amie de Martine. Comme vous pourrez en juger…
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Nous avions la petite trentaine et deux enfants jeunes. Invités au mariage d'une amie de Martine, nous avons laissé les enfants à ses parents, soirée tranquille sans contrainte.

Pour le plus beau jour de sa meilleure amie, Martine a choisi une tenue un peu habillée, ce qui pour une femme veut dire très déshabillée, la mode de l’époque permettait beaucoup de fantaisie : robe arrivant à mi-cuisse, décolleté exposant le galbe de la poitrine, largement échancrée sous les bras sans chercher à cacher la naissance de ses seins, dos nu, sans soutien-gorge bien entendu…
Journée radieuse, le soleil est même au rendez-vous. Pourtant je ne sais plus pour quelle raison, certainement une bêtise, Martine me fait la tête. Petites disputes de couple qui commencent sans savoir pourquoi, et qui se terminent sans savoir qui a commencé.

La mariée est belle. Après la cérémonie à la mairie, le recueillement à l’église, l’apéritif servi dans le jardin qui jouxte la salle réservée pour ce jour unique, le repas qui traine en longueur, entrecoupé des inévitables jeux qui n’amusent plus personne, et de la projection des souvenirs d’enfance des deux élus sous l’œil émus de leurs parents, le champagne coule à flot, y compris dans le gosier de Martine.

Enfin, sur le « Ahhh ! » de Claude François, la soirée dansante démarre au son d’Alexandrie-Alexandra. Il n’y a que lui pour faire l’unanimité et décider les invités à quitter leur table pour envahir la piste de danse.

La soirée dansante fait l’unanimité, musique où tout le monde danse seul sans s’occuper du voisin, slows pour les amoureux, c’est-à-dire tout le monde, et même valses pour les anciens et ceux qui savent danser.

Comme toujours, comme je danse peu, Martine s'éclate seule ou en groupe sur la piste. Les slows me sont réservés.
Il faut attendre plus d’une heure pour que le DJ daigne mettre Ma musique. Enfin, je vais pouvoir prendre ma chérie dans les bras espérant que sa bouderie est terminée. Mais elle est sur la piste, déjà dans les bras du cousin de la mariée. Petits signes d’impuissance me faisant comprendre qu’elle ne pouvait pas dire non. Compréhensif, je vais me resservir un verre et attendre… je l’observe de loin, aimant comme toujours la regarder évoluer au milieu des autres danseurs
Un slow, puis un autre, plusieurs morceaux s’enchainent. J’aimerais bien la retrouver, mais elle ne semble pas décidée à abandonner son cavalier. Elle a passé tout naturellement ses bras autour de son cou, il la tient serrée contre lui, une main la tenant fermentant dans le dos, sur la peau nue. Ils se regardent, discutent, je remarque le regard inévitablement attiré par le décolleté de Martine, dont j’imagine la poitrine plaquée contre ce beau cousin.

Je m’approche, pour réclamer mon dû. La main dans le dos a glissé vers les fesses de Martine, une main qui bouge lentement en une petite caresse discrète. J’ai l'œil, je vois vite son manège, en gros il drague tout en finesse, et Martine ne réagit pas, laisse cette main la peloter comme si elle ne s’en apercevait pas.
Dans un autre contexte, j’aurais été excité par le spectacle, nous aurions échangé un clin d’œil complice avec Martine, elle aurait laissé la main partir à la découverte de son corps. Mais lui, je ne le sens pas, et j’aimerais bien profiter de cette danse pour nous réconcilier.

Me voilà donc au milieu de la piste et d’un air le plus naturel, je demande si je peux danser avec ma femme. Martine semble contrariée, le mec s'éloigne, nous dansons enlacés. Sans trop savoir pourquoi, je fais des remarques à Martine concernant la main de son cavalier, je n’aurais pas dû, le ton ne doit pas lui plaire, elle rigole me traitant de jaloux, me disant que je vois le mal partout ... le slow se termine, la musique reprend sur un rythme plus entrainant, elle se détache de moi, sa bouderie n’est pas terminée. Sachant que je ne suis pas fan, elle retourne danser avec le groupe qui s’agite sur la piste.

Enfin une nouvelle série de slows se fait entendre. Je suis face à elle sur le bord de la piste. Au lieu de venir vers moi, elle me tourne le dos et rejoint le cousin qui se tient, comme par hasard, juste derrière elle. Sans hésiter, elle lui passe les bras autour du cou, se colle à lui. Le petit jeu recommence, une main sur les fesses, l’autre sur le dos nu. L’un contre l’autre, Il doit sentir sa poitrine, elle doit sentir son désir.
La lumière baisse, je vois clairement que profitant de l'obscurité, il dépose quelques bises dans le cou, tandis que ses caresses se font plus pressantes. Une main remonte sous les bras à la recherche des quelques centimètres carrés de peau nue dégagé par la robe. Ses doigts caressent son sein sur le côté, très vite ils se faufilent sous le tissu accentuant leur pression. Martine accepte cette caresse, elle n’a pas réagi. Un peu énervé, je me retiens, je ne veux pas faire d’esclandre devant toute la noce.

Il y a du monde sur la piste, je les perds de vue. Moment d’affolement je fais le tour de la salle, dans un sens, dans l’autre. Je demande au marié s’il l’a vu. Non. Où sont-ils ? Je me fais tout un cinéma, ils sont peut-être dans une chambre, elle allongée nue sur le lit, lui en train d’enfiler un préservatif, pour conclure avant la fin de la danse. Quelle imagination !

Et là, stupeur, dans un coin, près de l’escalier qui mène à l’étage, à l’abris des regards, je les vois. Elle appuyée contre le mur, lui une main dans le décolleté. Il lui caresse les seins à la recherche du téton qui lui prouvera que Martine n’est pas insensible à son charme,Il l’embrasse dans le cou, en essayant à plusieurs reprises d’atteindre ses lèvres. Elle tourne la tête, ouf ! Je regarde fasciné, n’osant intervenir, je me connais. Martine perd petit à petit ses défenses de femme mariée, leurs lèvres se touchent, il a gagné, ils s’embrassent à pleine bouche, j’imagine effaré la valse de leur langue.
Enhardi par ce succès, sa main quitte le décolleté de Martine pour descendre sur sa hanche, sa cuisse, et commence à relever le bas de sa robe. En remontant sur sa cuisse, il découvre qu’elle porte des bas, pas un collant. Martine, les yeux fermés, a un frisson de plaisir alors qu’il effleure la bande de chair nue, la main continue sa progression en lui malaxant les fesses, tandis que leur bouche sont toujours unis. La main quitte les fesses en suivant le chemin de l’élastique, il lui murmure quelque chose à l’oreille, je n’entends rien, mais je me doute de sa proposition.

Je ne peux laisser faire, alors que je réfléchis à la meilleure façon d’intervenir, elle le repousse gentiment faisant non de la tête. Est-ce ce qu’il lui a dit, ou sa main qui venait d’atteindre le joli papillon en dentelle ornant le devant de sa culotte, Martine semble prendre conscience de sa tenue, elle rajuste sa robe.

Martine passe alors ses mains autour de son cou, et l’embrasse d’un long baiser avant de l’entrainer sur la piste. Tout a été très vite, la série de slows n’est pas terminée, Profitant de l’obscurité qui règne encore, elle espère surement que son absence n’a pas été remarquée.

Je tourne dans l’autre sens pour ne pas les croiser, et les retrouve devant le buffet une coupe de champagne à la main. Elle m’aperçoit, petit sourire crispé, de loin elle lève son verre vers moi comme pour trinquer. Je ne bouge pas. Se sent-elle coupable ? Elle prend une coupe et viens me rejoindre « Tchin mon mari » Je lui fais la bise sur les lèvres pour trinquer. Elle a tout de même le culot de me dire « où étais-tu passé ? » sans attendre ma réponse « j’aimerais bien danser avec toi » … là elle pousse le bouchon un peu loin.
Je ne dis rien, je ne veux pas qu’elle sache que je les ai vus, pas de crise de jalousie ici, on verra chez nous. Je l’enlace et l’entraine au son du dernier slow.

La musique change, les slows ont endormi l’assistance, la lumière se rallume pour réveiller les danseurs. Machinalement, nous nous tenons enlacés en regardant les autres danser, mais je la sens rêveuse. Est-ce un hasard, son cavalier passe et repasse devant nous. Martine le suit des yeux sans rien dire. N’y tenant plus, elle me dépose un baiser rapide sur la joue et retourne danser, je la regarde virevolter, son copain est loin. Sans savoir comment, ils sont à nouveau à côté l’un de l’autre, en dansant il essaie de lui tenir la main, elle ne lutte pas trop et les voilà dans un rock endiablé.

Aux slows suivants, elle ne peut m’éviter. J’ai juste le temps d’une danse avec elle, au « changer de cavalier », elle se retrouve de nouveau dans les bras de son prince charmant. Il reprend là où ils en étaient, bras autour du cou, seins collés contre lui, main sur les fesses, et immédiatement petits bisous dans le cou tandis qu’ils s’éloignent au milieu de la piste, Son cavalier a maintenant posé une main sur son sein, enfin sur la robe. Nos regards se croisent, par défi Martine a l’air de me dire "je suis libre de faire ce que je veux", et pose sa tête sur l’épaule de son cavalier. Il continue ses caresses de plus en plus précises, de plus en plus appuyées, elle le laisse faire, au contraire, c’est elle qui se frotte à lui… se sentant à l’abris de l’obscurité de la salle.

Sans m’en rendre compte, je les surveille, je ne suis pas discret. Mais, je ne suis pas le seul à avoir remarqué ce petit manège. Son frère regarde dans la même direction que moi. Depuis quand est-il là ? Qu’a-t-il vu ? Il remarque aussi la colère que j’essaie de contenir, il passe à côté de moi et s’en s’arrêter me dit « je reviens ». Effectivement il est de retour 5 minutes après avec la mariée qui évalue vite la situation et ne voulant pas gâcher sa soirée décide d’intervenir. Elle fend le groupe de danseurs, se plante devant eux et dit à son cousin « tu me fais danser cousin », il ne peut refuser, Martine se détache de lui et entend la mariée lui dire « toi, va rejoindre ton mari », le ton sec la fait bondir.

Je la récupère sur un « vous dansez mademoiselle » désinvolte, en l’entrainant sur la piste. Mais le cœur n’y est pas, en plus c’est elle qui fait la tête.

La mariée, tout en dansant, est en grande conversation avec son cousin, elle n’a pas l’air très contente. Sans attendre la fin du morceau, elle l’entraine vers l’entrée de la salle qui a dû être pour lui la sortie, je ne l’ai pas revu de la soirée.

Nous sommes encore restés une bonne heure, plus à discuter avec les autres invités qu’à danser, je n’en avais vraiment plus envie.
En partant nous allons saluer les mariées, elle nous remercie avec un grand sourire, lorsque je lui fais la bise, je ne peux éviter de lâcher un « merci ». Elle précise à Martine « je te téléphone au retour de notre voyage de noce, vous passerez à la maison ». Aucune rancune dans sa voix, mais je vois bien que Martine lui en veut.

Dans la voiture du retour, je ne peux éviter de lui reprocher sa conduite. Elle minimise, me dit que je suis ridicule, qu’elle ne me savait pas si jaloux, qu’elle ne faisait rien de mal, qu’il avait juste poser sa main sur ses fesses et un bisou dans le cou, rien de grave.
Je ne voulais pas le lui dire, mais s’en est trop :- Et lorsque tu lui as roulé un patin, c’était aussi un simple flirt ?
Elle comprend que j’en ai vu plus que ce que je dis, d’un coup elle se calme. Profitant de l’avantage, je rajoute :- Et, tu savais qu’il y avait des chambres à l’étage ?
J’ai cru qu’elle s’arrêtait de respirer. Grand silence durant la fin du trajet.

En se couchant, elle se fait tendre, se blotti dans mes bras. Je ne réagis pas. Je ne veux pas de réconciliation sur l’oreiller, et vu l’heure, on tombe tous les deux de sommeil.

Le lendemain matin, la nuit a porté conseil, elle s'excuse, mettant son attitude sur le compte du champagne, j’aurais dû l’empêcher de boire, la protéger contre elle-même… un peu vrai mais tout de même, elle a accepté de se faire caresser toute la soirée, je ne reviens pas sur les baisers dans le coin sombre, ni les mains baladeuses. …Enfin il faut bien passer à autre chose, nous faisons l'amour pour effacer son flirt d’un soir.

A midi, nous allons récupérer les enfants chez ses parents, son frère est là. L’accueil est glacial. Dans l’après-midi, ils se sont isolés, des éclats de voix parviennent jusqu’au salon « tu exagères » « tu t’es donnée en spectacle » « il est trop gentil » … belle-maman me souris « ils sont toujours à se chamailler, comme tous les frères et sœurs », je ne relève pas.

Bien sûr j’ai oublié, Je n’en ai plus jamais reparlé à Martine. Comme on dit « il n’y a pas eu mort d’homme », la vie a repris son cours.

Quelques années plus tard, nous avons appris qu’il avait divorcé, son épouse lui ayant découvert plusieurs maitresses. Pour blaguer, je dis à Martine, « c'est bien celui qui voulait te mettre à son tableau de chasse ? » Elle n'a rien dit, juste secoué d’un petit rire forcé.


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Bonus pour la nouvelle année.

Afin de ne pas rester sur une note négative, voici en quelques lignes comment nous avons terminé le réveillon de la Saint Sylvestre cette année, il y a tout juste quelques jours. Comme quoi, la jeunesse n’a pas d’âge.

Invités par des amis au réveillon du 31 décembre en banlieue parisienne, nous avons rejoint nos amis, une dizaine de couples et quelques célibataires des deux sexes.
Toutes les femmes sont belles, c’est la fête. Martine a choisi une robe longue noire, légèrement sexy, petit décolleté sympa sans soutien-gorge, dos à moitié nu, robe fendue sur la cuisse, avec des bas noirs à résille (enfin un collant).

Minuit sonne, « bonne année », petites bises, chacun se retrouvant dans les bras les uns des autres, un verre de champagne à la main.
La musique invite les danseurs à continuer la soirée. Retour chez nous vers 4 heures du matin.

Nous devons héberger un invité, le cousin de je ne sais plus qui, qui habitait trop loin pour rentrer chez lui. Consigne de sécurité oblige après une soirée un peu arrosée.

En rentrant, fatigués, nous sommes pressés d’aller nous coucher. Martine montre la chambre d’amis à notre invité, lui donne une serviette de toilette et fonce dans notre chambre. Là, elle se déshabille, sa robe est trop longue pour notre armoire, ne voulant pas la froisser, elle va tout naturellement la pendre dans le placard du salon.
C'était sans penser que je discutais avec notre invité dans le salon justement. Nous l'avons vu arriver tenant sa robe sur un cintre, seins nus, avec seulement son collant. Petite précision : c’est un collant en voile léger qui se porte sans culotte, la maille fine, laissant bien visible sa toison brune, et de dos les fesses à peine voilées.

Elle est surprise de nous voir, mais ne se démonte pas et range tranquillement sa robe devant nous. Connaissant Martine, je me demande si elle n’a pas fait exprès. Notre invité est le plus surpris, mais surement très agréablement surpris, il ne rate rien du spectacle, ni les seins de Martine dans leur splendide nudité, ni sa chatte qu’il devait plus imaginer que voir réellement au travers le collant. Devant son air ahuri, Martine s'approche, lui fait une bise en le prenant dans ses bras et sur un "bonne nuit" retourne dans notre chambre, lui laissant ainsi admirer l'envers du décor.
Simple remarque de notre ami avant de rejoindre sa chambre "elle est charmante ta femme", qui me fait sourire.

Dans notre lit, Martine se blotti dans mes bras, constatant que cette situation m’a mis en forme. Je me sens rajeunir. Elle m’embrasse en riant avant de sombrer dans les bras de Morphée.

Il est tard, ou plutôt il est tôt cet après-midi lorsque notre ami nous quitte après avoir avalé un café réparateur. En se levant, Martine avait enfilé un peignoir plus couvrant sur sa nuisette.

Notre invité de dernière minute gardera surement un excellent souvenir de ce début d’année.

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