Souvenirs de jeunesse
Récit érotique écrit par Karen1964 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Souvenirs de jeunesse
Voici une histoire qui m'est arrivée il y a plus de 30 ans. J'avais à l'époque 19 ans, et je me souviens des détails comme si c'était hier, même si les dialogues ne sont plus dans ma tête, je vais quand même essayer de les restituer au plus près.
Je me suis rendue pour quelques jours dans la ferme de ma tante durant les vacances d'été. J'ai passé des étés entiers à cet endroit lorsque j'étais plus jeune, je connais chaque recoin à force d'y avoir joué avec mes cousins et cousines, ainsi qu'avec les enfants des fermes voisines. N'y étant plus retournée depuis quelques années, c'est avec plaisir que j'ai accepté l'invitation de ma tante et son mari d'y passer quelques jours. Leur fils Gilles, donc mon cousin, était aussi invité, avec sa femme. Gilles avait à cette époque 25 ans et s'était marié il y a 2 ans avec Martine, sa femme. Ils avaient un enfant d'un an, et Martine était à ce moment enceinte de leur deuxième enfant.
La ferme avait été rénovée et c'est dans la partie neuve que j'ai pris mes quartiers, une jolie chambre avec toutes les commoditées, alors que mon la famille de mon cousin dormait dans la chambre voisine, ma tante et son mari occupant une chambre dans la partie pas encore rénovée, plus à l'écart.
J'y suis arrivée un vendredi matin. Après avoir posé mes affaires, nous avons pris le déjeuner en familles, puis je suis allée explorer les lieux, me remémorant tous les endroits, à mon grand plaisir. Le soir nous avons dîné en famille, puis tout le monde est parti se coucher. J'étais dans mon lit en train de lire un livre, lorsque j'ai entendu mon cousin et sa femme gémir dans la chambre d'à coté. Les parois n'étant pas très épaisses, je n'entendais pas les conversations, mais leur petits cris et surtout le lit qui tapait contre le mur étaient bien perceptibles. Je dois avouer que de les entendre faire l'amour à quelques mètres de moi m'a émoustillée, et je me suis caressée en imaginant ce qu'ils faisaient de leur coté.
Le lendemain matin, nous avons passé une belle journée à manger, discuter, et faire des balades autour de la ferme. Durant l'aprés-midi je suis allée faire un tour de mon coté, afin de me remettre en mémoire les endroits de ma jeunesse. Il y a un petit étang pas trop loin de la ferme, ou je me suis baignée un nombre incalculable de fois étant plus jeune, et je m'y suis retrouvée. C'est alors que j'ai de nouveau entendu des gémissements, et je me suis approchée en restant le plus discrète possible. Derrière un bosquet j'ai aperçu mon cousin prenant sa femme debout contre un arbre de dos. Je n'ai pas pu m'empêcher des les mater sans qu'ils ne s'en rendent compte, regardant mon cousin baiser sa femme en pleine nature. Cela m'a excitée et je me suis masturbée dans mon coin, discrètement sans qu'ils ne s'en rendent compte. Puis je suis repartie, et ils ont rejoint la ferme quelques temps après moi. La soirée s'est de nouveau passée en famille, puis nous sommes allés nous coucher, chacun dans sa demeure.
Le dimanche matin ma tante et son mari, ainsi que Martine et son enfant, sont partis au marché après le petit déjeuner. Je suis restée à la ferme, n'ayant pas envie d'aller au marché. Gilles est également resté, il voulait réparer une gouttière sur une partie de la maison. Il faisait déjà une chaleur insupportable, aussi me suis-je installée dans une chaise longue sous un arbre, j'étais vêtue d'un petit top, que j'avais roulé de façon à mettre mon ventre à nu. En bas je portais un petit short moulant. Gilles travaillait sur son échelle et je voyais bien que de temps en temps il lançait des regards dans ma direction. Je ne pouvais m'empêcher de penser que je l'excitais, malgré notre degré proche de parenté. De son coté il ne portait qu'un short, et la vue de son torse musclé ne me laissait pas indifférente non plus, mais je n'aurais jamais fait un pas de plus dans sa direction. Après un moment, Gilles a dit qu'il allait prendre une douche, puis en revenant vêtu d'un débardeur en plus de son short, il m'a dit :
- On va faire un tour, j'ai terminé pour aujourd'hui, ensuite on attend le retour des autres.
- Volontiers, allons explorer les lieux.
Nous avons fait notre promenade, en nous remémorant tous les endroits connus, et en nous racontant les anecdotes y relatives. La différence d'âge de 6 ans étant immense lors de notre jeunesse, nous n'avions pas vraiment de souvenirs communs, bien qu'ayant passé nos étés au même endroit. Puis nous nous sommes retrouvés à l'étang, et je ne sais pas pourquoi, mais je lui ai dit :
- On va se baigner, il fait tellement chaud!
- Mais je n'ai pas de maillot, tu en as un ?
- Non, on y va à poil, personne ne nous verra!
Je sentais qu'il était un peu hésitant, mais je me suis rapidement mise nue, et j'ai sauté dans l'eau fraîche, un vrai bonheur par cette température. J'ai remarqué que Gilles prenait son temps pour se déshabiller, et ne voulant pas le mettre mal à l'aise, j'ai nagé dans l'autre direction afin de ne pas le regarder. Je l'ai entendu sauter dans l'eau à son tour, et nous nous sommes amusés pendant un moment à nager dans tous les sens, à nous gicler de l'eau, et à discuter, accrochés à un tronc d'arbre. Ayant pratiqué la natation depuis mon enfance, j'arrivais facilement à faire la planche dans l'eau. En le faisant, je remarquais que mes seins dépassaient de l'eau, montrant les tétons durcis par l'eau fraîche, ainsi que mon ventre et ma toison. Gilles de son coté n'y arrivait pas du tout, et m'a demandé de lui apprendre. Je lui ai expliqué comment rester en surface, et pour l'aider je l'ai porté en mettant une matin sous son dos, et l'autre lui tenant les cuisses. Ce faisant j'ai tout de suis remarqué que son sexe s'est mis à prendre du volume, et il s'est retournée en partant à l'écart. Je n'y ai pas prêté attention, et nous avons continué à nager un peu, puis il m'a dit :
- Les autres ne vont pas tarder à rentrer, on y va aussi ?
- D'accord, on s'habille et on rentre.
Je suis sortie de l'eau, et je suis allée vers mes vêtements que j'avais accrochés à une branche. c'est à ce moment que j'ai senti les mains de Gilles venir sur mon ventre, et lui se serrant contre mon dos. J'ai senti son sexe bandé contre mes fesses, ce qui je dois avouer ne m'a pas déplu. Pourtant c'était mon cousin, et je ne me voyais pas faire des choses avec lui, d'autant plus qu'il était marié avec un enfant, et que sa femme attendait le deuxième. Je lui ai dit :
- Mais Gilles, tu fais quoi ?
- Karen, tu es si belle.
- Mais non enfin, nous sommes cousins, et tu es marié, arrête ça s'il te plaît.
Ses mains sont venues prendre mes seins, et il est venu embrasser mon cou.
- Tu me donnes envie tu sais.
- Non arrête, on ne peut pas faire ça, ce n'est pas normal.
Puis sa main est descendue au niveau de ma chatte, pour me caresser mes lèvres et mon clitoris, et il m'a dit :
- Pour le moment il n'y pas de cousin ou cousine, ni de mari et femme, il n'y a que deux personnes qui en ont autant envie l'un que l'autre, d'après ce que peux sentir.
Je dois dire que j'étais terriblement excitée par la situation, malgré notre relation familiale, et pour toute réponse j'ai glissé une main dans mon dos pour empoigner son sexe, puis je me suis retournée. Voyant sa queue de près pour la première fois, je l'ai prise dans ma main, afin de décalotter son gland qui était de très grande taille, on aurait dit un champignon sur sa tige. Je lui ai dit :
- Je n'ai pas de préservatifs tu sais.
- Moi non plus...
Nous nous sommes regardés dans les yeux pendant quelques secondes, puis je me suis accroupie pour prendre son sexe dans ma bouche, afin de commencer à le sucer. Au bout de quelques minutes il m'a dit :
- Je ne vais pas résister plus longtemps si tu continues...
Alors je me suis mise à quatre pattes, lui présentant ma croupe et lui signaler que j'étais consentante, même si dans ma tête je me disais que ce n'était pas bien. Il s'est accroupi derrière moi et m'a légèrement léché ma chatte, avant de venir positionner sa queue contre mes lèvres, en frottant son gland pour le mouiller. Puis il m'a empoigné les hanches, et a poussé un grand coup en avant. Sa queue est directement rentrée au fond, tellement je mouillais d'excitation. Il m'a prise pendant quelques minutes dans cette position, je me touchais le clitoris de temps en temps pour le plaisir, et c'est alors que j'ai joui, pendant qu'il me pénétrait la chatte par derrière. Puis j'ai senti qu'il allait de plus en plus vite, et que ses doigts se crispaient sur la chair de mes hanches. Il est ressorti pour, je l'imagine, se branler et éjaculer sur mon dos, mais je lui ai dit :
- Tu fais quoi ? Tu arrêtes ?
- Non mais je vais jouir...
- Ah non alors, au point où on en est...
J'ai cambré mes fesses afin de lui montrer que je n'en avais pas assez, et il m'a pénétrée de nouveau. Je poussais mon bassin en arrière en rythme avec lui, afin de sentir sa queue me prendre. Juste quelques instants plus tard il m'a agrippée et je l'ai senti se vider en moi. Nous sommes restés un moment comme ça, et j'ai senti sa queue perdre du volume. Il s'est retiré alors que je sentais son sperme couler de ma chatte sur mes cuisses. Nous nous sommes mis debout, et j'ai vu qu'il se sentait mal, qu'on venait de faire quelquechose de pas bien. Je lui ai dit :
- Ecoute, j'ai adoré faire ça avec toi, mais il ne faut pas que ta femme ou quiconque d'autre ne soit au courant, donc on n'en reparle jamais, ok ? Ni avec d'autres personnes, ni entre nous, d'accord ?
- Oui d'accord, ça ne serait vraiment pas bien effectivement.
Nous nous sommes rhabillés, et sommes retournés à la ferme, au moment ou les autres renvenaient du marché. Je suis allée prendre une douche directement, afin de me laver de son odeur et de son sperme, et il a fait pareil. Ensuite nous avons de nouveau déjeuné en famille, comme si de rien n'était, et je suis allée faire une sieste dans ma chambre. Mon cousin et sa femme ont fait de même, et quelques minutes plus tard j'ai entendu qu'ils remettaient ça ensemble. Mon cousin était vraiment un chaud lapin d'après ce que j'ai constaté, et lors de l'apéro de l'après-midi nous nous sommes comportés comme si nous étions des cousins normaux, sans que les autres membres de la famille ne se doutent de quoi que ce soit.
Pendant toutes ces années, nous n'avons plus jamais évoqué ce moment, tout au plus un sourire complice lorsque nous nous sommes revus. Mon cousin est toujours marié avec sa femme, leurs enfants ont maintenant eu des enfants à leur tour, et elle n'a jamais su la matinée de plaisir que son mari a pris avec moi, sa cousine, lors de ce séjour.
Je me suis rendue pour quelques jours dans la ferme de ma tante durant les vacances d'été. J'ai passé des étés entiers à cet endroit lorsque j'étais plus jeune, je connais chaque recoin à force d'y avoir joué avec mes cousins et cousines, ainsi qu'avec les enfants des fermes voisines. N'y étant plus retournée depuis quelques années, c'est avec plaisir que j'ai accepté l'invitation de ma tante et son mari d'y passer quelques jours. Leur fils Gilles, donc mon cousin, était aussi invité, avec sa femme. Gilles avait à cette époque 25 ans et s'était marié il y a 2 ans avec Martine, sa femme. Ils avaient un enfant d'un an, et Martine était à ce moment enceinte de leur deuxième enfant.
La ferme avait été rénovée et c'est dans la partie neuve que j'ai pris mes quartiers, une jolie chambre avec toutes les commoditées, alors que mon la famille de mon cousin dormait dans la chambre voisine, ma tante et son mari occupant une chambre dans la partie pas encore rénovée, plus à l'écart.
J'y suis arrivée un vendredi matin. Après avoir posé mes affaires, nous avons pris le déjeuner en familles, puis je suis allée explorer les lieux, me remémorant tous les endroits, à mon grand plaisir. Le soir nous avons dîné en famille, puis tout le monde est parti se coucher. J'étais dans mon lit en train de lire un livre, lorsque j'ai entendu mon cousin et sa femme gémir dans la chambre d'à coté. Les parois n'étant pas très épaisses, je n'entendais pas les conversations, mais leur petits cris et surtout le lit qui tapait contre le mur étaient bien perceptibles. Je dois avouer que de les entendre faire l'amour à quelques mètres de moi m'a émoustillée, et je me suis caressée en imaginant ce qu'ils faisaient de leur coté.
Le lendemain matin, nous avons passé une belle journée à manger, discuter, et faire des balades autour de la ferme. Durant l'aprés-midi je suis allée faire un tour de mon coté, afin de me remettre en mémoire les endroits de ma jeunesse. Il y a un petit étang pas trop loin de la ferme, ou je me suis baignée un nombre incalculable de fois étant plus jeune, et je m'y suis retrouvée. C'est alors que j'ai de nouveau entendu des gémissements, et je me suis approchée en restant le plus discrète possible. Derrière un bosquet j'ai aperçu mon cousin prenant sa femme debout contre un arbre de dos. Je n'ai pas pu m'empêcher des les mater sans qu'ils ne s'en rendent compte, regardant mon cousin baiser sa femme en pleine nature. Cela m'a excitée et je me suis masturbée dans mon coin, discrètement sans qu'ils ne s'en rendent compte. Puis je suis repartie, et ils ont rejoint la ferme quelques temps après moi. La soirée s'est de nouveau passée en famille, puis nous sommes allés nous coucher, chacun dans sa demeure.
Le dimanche matin ma tante et son mari, ainsi que Martine et son enfant, sont partis au marché après le petit déjeuner. Je suis restée à la ferme, n'ayant pas envie d'aller au marché. Gilles est également resté, il voulait réparer une gouttière sur une partie de la maison. Il faisait déjà une chaleur insupportable, aussi me suis-je installée dans une chaise longue sous un arbre, j'étais vêtue d'un petit top, que j'avais roulé de façon à mettre mon ventre à nu. En bas je portais un petit short moulant. Gilles travaillait sur son échelle et je voyais bien que de temps en temps il lançait des regards dans ma direction. Je ne pouvais m'empêcher de penser que je l'excitais, malgré notre degré proche de parenté. De son coté il ne portait qu'un short, et la vue de son torse musclé ne me laissait pas indifférente non plus, mais je n'aurais jamais fait un pas de plus dans sa direction. Après un moment, Gilles a dit qu'il allait prendre une douche, puis en revenant vêtu d'un débardeur en plus de son short, il m'a dit :
- On va faire un tour, j'ai terminé pour aujourd'hui, ensuite on attend le retour des autres.
- Volontiers, allons explorer les lieux.
Nous avons fait notre promenade, en nous remémorant tous les endroits connus, et en nous racontant les anecdotes y relatives. La différence d'âge de 6 ans étant immense lors de notre jeunesse, nous n'avions pas vraiment de souvenirs communs, bien qu'ayant passé nos étés au même endroit. Puis nous nous sommes retrouvés à l'étang, et je ne sais pas pourquoi, mais je lui ai dit :
- On va se baigner, il fait tellement chaud!
- Mais je n'ai pas de maillot, tu en as un ?
- Non, on y va à poil, personne ne nous verra!
Je sentais qu'il était un peu hésitant, mais je me suis rapidement mise nue, et j'ai sauté dans l'eau fraîche, un vrai bonheur par cette température. J'ai remarqué que Gilles prenait son temps pour se déshabiller, et ne voulant pas le mettre mal à l'aise, j'ai nagé dans l'autre direction afin de ne pas le regarder. Je l'ai entendu sauter dans l'eau à son tour, et nous nous sommes amusés pendant un moment à nager dans tous les sens, à nous gicler de l'eau, et à discuter, accrochés à un tronc d'arbre. Ayant pratiqué la natation depuis mon enfance, j'arrivais facilement à faire la planche dans l'eau. En le faisant, je remarquais que mes seins dépassaient de l'eau, montrant les tétons durcis par l'eau fraîche, ainsi que mon ventre et ma toison. Gilles de son coté n'y arrivait pas du tout, et m'a demandé de lui apprendre. Je lui ai expliqué comment rester en surface, et pour l'aider je l'ai porté en mettant une matin sous son dos, et l'autre lui tenant les cuisses. Ce faisant j'ai tout de suis remarqué que son sexe s'est mis à prendre du volume, et il s'est retournée en partant à l'écart. Je n'y ai pas prêté attention, et nous avons continué à nager un peu, puis il m'a dit :
- Les autres ne vont pas tarder à rentrer, on y va aussi ?
- D'accord, on s'habille et on rentre.
Je suis sortie de l'eau, et je suis allée vers mes vêtements que j'avais accrochés à une branche. c'est à ce moment que j'ai senti les mains de Gilles venir sur mon ventre, et lui se serrant contre mon dos. J'ai senti son sexe bandé contre mes fesses, ce qui je dois avouer ne m'a pas déplu. Pourtant c'était mon cousin, et je ne me voyais pas faire des choses avec lui, d'autant plus qu'il était marié avec un enfant, et que sa femme attendait le deuxième. Je lui ai dit :
- Mais Gilles, tu fais quoi ?
- Karen, tu es si belle.
- Mais non enfin, nous sommes cousins, et tu es marié, arrête ça s'il te plaît.
Ses mains sont venues prendre mes seins, et il est venu embrasser mon cou.
- Tu me donnes envie tu sais.
- Non arrête, on ne peut pas faire ça, ce n'est pas normal.
Puis sa main est descendue au niveau de ma chatte, pour me caresser mes lèvres et mon clitoris, et il m'a dit :
- Pour le moment il n'y pas de cousin ou cousine, ni de mari et femme, il n'y a que deux personnes qui en ont autant envie l'un que l'autre, d'après ce que peux sentir.
Je dois dire que j'étais terriblement excitée par la situation, malgré notre relation familiale, et pour toute réponse j'ai glissé une main dans mon dos pour empoigner son sexe, puis je me suis retournée. Voyant sa queue de près pour la première fois, je l'ai prise dans ma main, afin de décalotter son gland qui était de très grande taille, on aurait dit un champignon sur sa tige. Je lui ai dit :
- Je n'ai pas de préservatifs tu sais.
- Moi non plus...
Nous nous sommes regardés dans les yeux pendant quelques secondes, puis je me suis accroupie pour prendre son sexe dans ma bouche, afin de commencer à le sucer. Au bout de quelques minutes il m'a dit :
- Je ne vais pas résister plus longtemps si tu continues...
Alors je me suis mise à quatre pattes, lui présentant ma croupe et lui signaler que j'étais consentante, même si dans ma tête je me disais que ce n'était pas bien. Il s'est accroupi derrière moi et m'a légèrement léché ma chatte, avant de venir positionner sa queue contre mes lèvres, en frottant son gland pour le mouiller. Puis il m'a empoigné les hanches, et a poussé un grand coup en avant. Sa queue est directement rentrée au fond, tellement je mouillais d'excitation. Il m'a prise pendant quelques minutes dans cette position, je me touchais le clitoris de temps en temps pour le plaisir, et c'est alors que j'ai joui, pendant qu'il me pénétrait la chatte par derrière. Puis j'ai senti qu'il allait de plus en plus vite, et que ses doigts se crispaient sur la chair de mes hanches. Il est ressorti pour, je l'imagine, se branler et éjaculer sur mon dos, mais je lui ai dit :
- Tu fais quoi ? Tu arrêtes ?
- Non mais je vais jouir...
- Ah non alors, au point où on en est...
J'ai cambré mes fesses afin de lui montrer que je n'en avais pas assez, et il m'a pénétrée de nouveau. Je poussais mon bassin en arrière en rythme avec lui, afin de sentir sa queue me prendre. Juste quelques instants plus tard il m'a agrippée et je l'ai senti se vider en moi. Nous sommes restés un moment comme ça, et j'ai senti sa queue perdre du volume. Il s'est retiré alors que je sentais son sperme couler de ma chatte sur mes cuisses. Nous nous sommes mis debout, et j'ai vu qu'il se sentait mal, qu'on venait de faire quelquechose de pas bien. Je lui ai dit :
- Ecoute, j'ai adoré faire ça avec toi, mais il ne faut pas que ta femme ou quiconque d'autre ne soit au courant, donc on n'en reparle jamais, ok ? Ni avec d'autres personnes, ni entre nous, d'accord ?
- Oui d'accord, ça ne serait vraiment pas bien effectivement.
Nous nous sommes rhabillés, et sommes retournés à la ferme, au moment ou les autres renvenaient du marché. Je suis allée prendre une douche directement, afin de me laver de son odeur et de son sperme, et il a fait pareil. Ensuite nous avons de nouveau déjeuné en famille, comme si de rien n'était, et je suis allée faire une sieste dans ma chambre. Mon cousin et sa femme ont fait de même, et quelques minutes plus tard j'ai entendu qu'ils remettaient ça ensemble. Mon cousin était vraiment un chaud lapin d'après ce que j'ai constaté, et lors de l'apéro de l'après-midi nous nous sommes comportés comme si nous étions des cousins normaux, sans que les autres membres de la famille ne se doutent de quoi que ce soit.
Pendant toutes ces années, nous n'avons plus jamais évoqué ce moment, tout au plus un sourire complice lorsque nous nous sommes revus. Mon cousin est toujours marié avec sa femme, leurs enfants ont maintenant eu des enfants à leur tour, et elle n'a jamais su la matinée de plaisir que son mari a pris avec moi, sa cousine, lors de ce séjour.
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