Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (1)
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (1)
Je viens de terminer un stage de 6 mois en Angleterre et pour fêter mon retour ma tante m'a invité à passer un mois dans sa villa sur la Côte.
Il est plus de 22 heures lorsque tante Cécile m‘accueille à l‘aéroport et sur le chemin de la villa, elle m'ouvre que nous avons une invitée :- Mathilde est une amie de longue date qui passe quelques jours à la villa... Tu va être gâté, mon grand, c‘est une vraie cochonne... J e lui ai parlé de toi, c‘est-à-dire de nous... De nos jeux... Elle a hâte de te connaître...
À la villa, je fais la connaissance d'une dame proche de la soixantaine, encore très belle... et très forte. Malgré son âge, Mathilde n'hésite pas à s'habiller très court. Des seins énormes se dressent encore fièrement et elle sait s'habiller pour mettre l'ensemble en valeur.
Dans le grand divan dans lequel je suis affalé, je l'observe à la dérobée, par dessus le magazine que je suis sensé lire. Ma tante et Mathilde ont chacune pris place dans un fauteuil profond.
Elles devisent, tandis que je lorgne la poitrine de Mathilde et ses jambes. Elle porte une blouse très décolletée qui découvre profondément sa gorge et la naissance de sa poitrine.
Ses jambes, qu'elle croise et décroise sans cesse, sont gainées de bas clairs et, enfoncée comme elle l'est dans la chauffeuse, je peux apercevoir la bande plus sombre du nylon et le début de la cuisse dont la peau claire contraste avec le tissu sombre de la jupe.
Je peux voir les jarretelles appliquées sur ses larges cuisses. L'espace d'un éclair, j'entraperçois le triangle d'une culotte blanche. Elle ne semble pas s'en apercevoir.
Je me repais de ce spectacle que je savoure tout mon saoul. La vue fait place aux fantasmes. Cette femme mûre, il me la faut !
Mathilde croise et décroise les jambes, finissant par écarter ses fortes cuisses et j'ai le loisir de l'admirer en profondeur. Sa jupe est remontée, et je peux apercevoir la bande de chair très blanche au-dessus de la lisière de ses bas noirs.
Tout au fond, je devine sa culotte blanche. Maintenant, elle ne cherche plus à rabattre les pans de sa jupe, me laissant une vue imprenable sur ses jambes, ses larges cuisses jusqu'au renflement que dessine entre elles son sexe moulé dans le fin tissu de sa culotte.
Je bande comme un âne. Mathilde jette un regard dans ma direction. Ses yeux s'attardent sur l’érection qui gonfle mon short... et elle écarte largement les genoux, m'exhibant sans vergogne son entrecuisses... Son slip, plaqué sur la bosse volumineuse de son pubis, s'insinue dans sa fente et disparaît complètement dans le périnée, entre les fossettes de la naissance des fesses.
J'échange un regard avec ma tante. Son regard me fait comprendre qu'elle va prendre la direction des opérations : - Pierre, Mathilde me dit avoir du mal avec des lettres qu'elle doit rédiger en anglais... Comme tu maîtrises cette langue mieux que moi, tu auras sûrement la gentillesse de l'aider... Qu'en dis- tu ma chérie?
- Si Pierre accepte, alors très volontiers...
Bien-sûr que j‘accepte, d‘autant plus que j'ai le loisir d'admirer sa croupe de jument qu‘elle balance dans l‘escalier pour gagner sa chambre.
Déjà, je l'imagine devant moi, en levrette, la culotte à mi-cuisses.
***Je me réveille tard, et en arrivant sur la terrasse, je trouve Mathilde seule devant son petit-déjeuner :- Cécile a dû se rendre en ville... Une affaire urgente à régler, m‘a-t-elle dit... Elle sera de retour dans l‘après-midi...
Je ne suis pas dupe : cette “ affaire urgente“ est bien-sûr un prétexte de ma tante pour nous laisser seuls, Mathilde et moi. Je crois que celle-ci le soupçonne aussi lorsque elle ajoute :- Comme ça, nous serons bien tranquilles pour... travailler...
Nous nous installons au salon, Mathilde étale une liasse de feuillets sur la table : - J'ai fait quelques brouillons, j'espère n'avoir pas commis trop de fautes...
Je lui dicte les corrections à effectuer. Lorsque je lève les yeux, il me semble que l'échancrure de son chemisier s'est davantage ouverte.
Concentrée et attentive, Mathilde écrit. Mes yeux plongent dans le sillon de ses gros seins, quand son stylo roule sur le bois du bureau et tombe sur la moquette.
Je me penche sous la table pour le reprendre et je découvre alors un spectacle plus qu'excitant : les cuisses croisées de Mathilde, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse une jarretelle noire.
Elle décroise et recroise ses jambes, je vois nettement le haut de ses cuisses, son porte-jarretelles et, un instant furtif, la dentelle blanche et ajourée d'une culotte minuscule.
Je reste ainsi contemplant les jambes gainées de Mathilde, quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de mon stylo.
En me relevant, je vois que Mathilde me sourit d'un regard en coin, parfaitement complice.
- Alors, ça t‘as plu ?
- Euh... Et bien je...
- Oh, tu veux dire que ça te fais bander?
- Euh... oui ...
- Tu veux revoir ? Inutile de faire tomber le stylo cette foi s- ci...
Je me penche de nouveau... Mathilde relève la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je peux voir son entrecuisse, la lisière des bas et les jarretelles lui barrant la peau.
Je vois sa main se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs jouer avec une jarretelle en touchant la dentelle de sa culotte tendue sur son pubis..
Je me laisse alors glisser à terre et, à quatre pattes, j‘avance sous la table vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes.
Je pose la main sur son genou, faisant crisser le bas et lui caresse doucement la cuisse. Je vois et entends son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière plus qu'érotique. La fragrance de son entrecuisse m'excite de plus en plus.
Progressant encore, je pose mes lèvres sur sa cuisse, l'embrassant par- dessus son bas, puis l'autre jambe, de la même façon. Je ne me pose plus de question, elle me laisse faire. Je continue à remonter, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux.
Elle avance son bassin vers moi, ma bouche atteint sa motte, se pose sur la dentelle du slip. Je hume son parfum et sens son désir. Je tourne la tête pour embrasser et lécher la peau nue de ses cuisses en haut des bas. C'est elle qui écarte de son doigt sa culotte pour me faire découvrir sa chatte aux lèvres épaisses et humides.
Je plaque dessus ma bouche et mes lèvres. J'ouvre son con de ma langue et cherche le clitoris dur, excité, émergeant de sa gangue.. Je commence à la lécher et à lui sucer le bouton.
J'avale délicieusement le jus de son excitation. Elle soupire, gémit, écarte ses cuisses, la jupe de son tailleur relevée. Elle pose maintenant un pied sur la table pour être encore plus écartée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir.
D'un coup d'oeil, je la vois dégrafer son chemisier, se toucher les seins d'une main, l' autre se posant sur ma tête. Elle grogne : - Oui... oui, mets-moi tes doigts...
Sans plus d'hésitation, je lui enfonce mon index dans la chatte et commence à coulisser tout en mangeant son abricot, aspirant son bouton bandé. Avec mon majeur, je lui caresse la raie, excitant sa rosette frémissante, ma bouche plaquée sur son con trempé.
Soudain, je la sens, puis la vois se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s'ensuit. Mathilde jouit sous ma langue, deux doigts enfoncés dans sa chatte.
Elle reprend ses esprits, je me relève. Je vois son regard viser la bosse de ma braguette. Je suis tendu à craquer devant elle, impudiquement offerte, cuisses écartées, exhibant ses bas avec ses jarretelles, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu' elle continue d'exciter d'une main .
- Approche, Pierre...
Elle met sa main sur ma braguette et serre ma queue tendue à travers le tissu. Elle baisse la fermeture éclair de mon pantalon et dégrafe ma ceinture.
- II a l'air bien gros et dur, ton engin... Cécile ne m'a pas menti...
Elle sort ma bite de mon slip, se penche dessus et de sa langue commence à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main.
Et, d'un coup, elle l'avale jusqu'à la gorge et commence à me sucer, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l'enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir luisante de salive.
Je sens que je ne vais pas tarder à exploser, elle le sent aussi. Elle se lève et s'assied sur la table, cuisses écartées devant moi : - Viens là...
Je m ' approche, viens entre ses cuisses. Elle glisse ma queue à l'intérieur de son bas, sous la jarretelle et me branle ainsi, soupesant et malaxant mes couilles de l‘autre main.
Je caresse ses seins et les pelote en même temps, me penche pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres et, soudain, trop excité par la situation, sentant ma queue glisser entre sa peau chaude et le voile du bas qui la serre, j'explose et inonde sa cuisse de sperme.
J'ai l'impression qu’elle jouit de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais diffuse et profonde. Les yeux chavires par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le suc. Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse, souillant son bas noir.
Elle me sourit, se retourne, se penche et sa jupe relevée sur ses reins, elle me tend sa croupe : - Maintenant, fais-le moi... Fort... J'en ai besoin !
Je la pousse vers un fauteuil sur l'accoudoir duquel elle se plie. La vision de ses larges fesses tendant la soie de sa culotte me redonne une vigueur que je ne contrôle plus.
Je la maintiens d'une main par la nuque et empoigne sa culotte que je baisse. Arrivée à mi-cuisse la soie ne résiste pas à la traction. Le bruit du tissu se déchirant décuple mon excitation. La splendeur de ses fesses d'une blancheur lourde d' albâtre s'épanouit dans la pénombre.
Je me mets à genoux derrière elle. Insensible aux propos incohérents qu'elle grommelle j'écarte d'une main ses cuisses et les maintenant avec mes genoux.
Mes doigts s'enfoncent dans la fourche de ses jambes, écartent les replis de chairs humides. De mon autre main, je dirige mon sexe tendu, me fraie un chemin et m'enfonce dans son ventre.
C'est avec un long râle qu’elle accueille ma bite : - Ahh ! Oui ! Tu es gros, tu es dur, tu es fort !
Mathilde ne parle plus, crispée, tendue comme un arc, elle pousse ses reins à la rencontre de mon pieu. Pendant plusieurs minutes, nous luttons en une joute charnelle de plus en plus complice. Nos souffles à l'unisson résonnent dans la pièce. Sous le choc des assauts, nos corps glissent sur le tapis où ils se mêlent dans une parodie inconsciente de lutte.
Bras, bouches, cheveux, ventres... nos chairs s'entremêlent, s'épousent, se repoussent, fusionnent en une brutale et torride union. Sentant mon foutre jaillir de mes couilles, Mathilde se raidit, se tend à se rompre et, ensemble, râlant et geignant, nous éclatons en une jouissance interminable qui nous laisse tout aussi exténués. Repus... pour le moment, car cela ne fait que commencer.
Il est plus de 22 heures lorsque tante Cécile m‘accueille à l‘aéroport et sur le chemin de la villa, elle m'ouvre que nous avons une invitée :- Mathilde est une amie de longue date qui passe quelques jours à la villa... Tu va être gâté, mon grand, c‘est une vraie cochonne... J e lui ai parlé de toi, c‘est-à-dire de nous... De nos jeux... Elle a hâte de te connaître...
À la villa, je fais la connaissance d'une dame proche de la soixantaine, encore très belle... et très forte. Malgré son âge, Mathilde n'hésite pas à s'habiller très court. Des seins énormes se dressent encore fièrement et elle sait s'habiller pour mettre l'ensemble en valeur.
Dans le grand divan dans lequel je suis affalé, je l'observe à la dérobée, par dessus le magazine que je suis sensé lire. Ma tante et Mathilde ont chacune pris place dans un fauteuil profond.
Elles devisent, tandis que je lorgne la poitrine de Mathilde et ses jambes. Elle porte une blouse très décolletée qui découvre profondément sa gorge et la naissance de sa poitrine.
Ses jambes, qu'elle croise et décroise sans cesse, sont gainées de bas clairs et, enfoncée comme elle l'est dans la chauffeuse, je peux apercevoir la bande plus sombre du nylon et le début de la cuisse dont la peau claire contraste avec le tissu sombre de la jupe.
Je peux voir les jarretelles appliquées sur ses larges cuisses. L'espace d'un éclair, j'entraperçois le triangle d'une culotte blanche. Elle ne semble pas s'en apercevoir.
Je me repais de ce spectacle que je savoure tout mon saoul. La vue fait place aux fantasmes. Cette femme mûre, il me la faut !
Mathilde croise et décroise les jambes, finissant par écarter ses fortes cuisses et j'ai le loisir de l'admirer en profondeur. Sa jupe est remontée, et je peux apercevoir la bande de chair très blanche au-dessus de la lisière de ses bas noirs.
Tout au fond, je devine sa culotte blanche. Maintenant, elle ne cherche plus à rabattre les pans de sa jupe, me laissant une vue imprenable sur ses jambes, ses larges cuisses jusqu'au renflement que dessine entre elles son sexe moulé dans le fin tissu de sa culotte.
Je bande comme un âne. Mathilde jette un regard dans ma direction. Ses yeux s'attardent sur l’érection qui gonfle mon short... et elle écarte largement les genoux, m'exhibant sans vergogne son entrecuisses... Son slip, plaqué sur la bosse volumineuse de son pubis, s'insinue dans sa fente et disparaît complètement dans le périnée, entre les fossettes de la naissance des fesses.
J'échange un regard avec ma tante. Son regard me fait comprendre qu'elle va prendre la direction des opérations : - Pierre, Mathilde me dit avoir du mal avec des lettres qu'elle doit rédiger en anglais... Comme tu maîtrises cette langue mieux que moi, tu auras sûrement la gentillesse de l'aider... Qu'en dis- tu ma chérie?
- Si Pierre accepte, alors très volontiers...
Bien-sûr que j‘accepte, d‘autant plus que j'ai le loisir d'admirer sa croupe de jument qu‘elle balance dans l‘escalier pour gagner sa chambre.
Déjà, je l'imagine devant moi, en levrette, la culotte à mi-cuisses.
***Je me réveille tard, et en arrivant sur la terrasse, je trouve Mathilde seule devant son petit-déjeuner :- Cécile a dû se rendre en ville... Une affaire urgente à régler, m‘a-t-elle dit... Elle sera de retour dans l‘après-midi...
Je ne suis pas dupe : cette “ affaire urgente“ est bien-sûr un prétexte de ma tante pour nous laisser seuls, Mathilde et moi. Je crois que celle-ci le soupçonne aussi lorsque elle ajoute :- Comme ça, nous serons bien tranquilles pour... travailler...
Nous nous installons au salon, Mathilde étale une liasse de feuillets sur la table : - J'ai fait quelques brouillons, j'espère n'avoir pas commis trop de fautes...
Je lui dicte les corrections à effectuer. Lorsque je lève les yeux, il me semble que l'échancrure de son chemisier s'est davantage ouverte.
Concentrée et attentive, Mathilde écrit. Mes yeux plongent dans le sillon de ses gros seins, quand son stylo roule sur le bois du bureau et tombe sur la moquette.
Je me penche sous la table pour le reprendre et je découvre alors un spectacle plus qu'excitant : les cuisses croisées de Mathilde, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse une jarretelle noire.
Elle décroise et recroise ses jambes, je vois nettement le haut de ses cuisses, son porte-jarretelles et, un instant furtif, la dentelle blanche et ajourée d'une culotte minuscule.
Je reste ainsi contemplant les jambes gainées de Mathilde, quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de mon stylo.
En me relevant, je vois que Mathilde me sourit d'un regard en coin, parfaitement complice.
- Alors, ça t‘as plu ?
- Euh... Et bien je...
- Oh, tu veux dire que ça te fais bander?
- Euh... oui ...
- Tu veux revoir ? Inutile de faire tomber le stylo cette foi s- ci...
Je me penche de nouveau... Mathilde relève la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je peux voir son entrecuisse, la lisière des bas et les jarretelles lui barrant la peau.
Je vois sa main se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs jouer avec une jarretelle en touchant la dentelle de sa culotte tendue sur son pubis..
Je me laisse alors glisser à terre et, à quatre pattes, j‘avance sous la table vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes.
Je pose la main sur son genou, faisant crisser le bas et lui caresse doucement la cuisse. Je vois et entends son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière plus qu'érotique. La fragrance de son entrecuisse m'excite de plus en plus.
Progressant encore, je pose mes lèvres sur sa cuisse, l'embrassant par- dessus son bas, puis l'autre jambe, de la même façon. Je ne me pose plus de question, elle me laisse faire. Je continue à remonter, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux.
Elle avance son bassin vers moi, ma bouche atteint sa motte, se pose sur la dentelle du slip. Je hume son parfum et sens son désir. Je tourne la tête pour embrasser et lécher la peau nue de ses cuisses en haut des bas. C'est elle qui écarte de son doigt sa culotte pour me faire découvrir sa chatte aux lèvres épaisses et humides.
Je plaque dessus ma bouche et mes lèvres. J'ouvre son con de ma langue et cherche le clitoris dur, excité, émergeant de sa gangue.. Je commence à la lécher et à lui sucer le bouton.
J'avale délicieusement le jus de son excitation. Elle soupire, gémit, écarte ses cuisses, la jupe de son tailleur relevée. Elle pose maintenant un pied sur la table pour être encore plus écartée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir.
D'un coup d'oeil, je la vois dégrafer son chemisier, se toucher les seins d'une main, l' autre se posant sur ma tête. Elle grogne : - Oui... oui, mets-moi tes doigts...
Sans plus d'hésitation, je lui enfonce mon index dans la chatte et commence à coulisser tout en mangeant son abricot, aspirant son bouton bandé. Avec mon majeur, je lui caresse la raie, excitant sa rosette frémissante, ma bouche plaquée sur son con trempé.
Soudain, je la sens, puis la vois se crisper, se tendre. Une longue plainte, un feulement s'ensuit. Mathilde jouit sous ma langue, deux doigts enfoncés dans sa chatte.
Elle reprend ses esprits, je me relève. Je vois son regard viser la bosse de ma braguette. Je suis tendu à craquer devant elle, impudiquement offerte, cuisses écartées, exhibant ses bas avec ses jarretelles, ses seins sortis des bonnets de son soutien-gorge, qu' elle continue d'exciter d'une main .
- Approche, Pierre...
Elle met sa main sur ma braguette et serre ma queue tendue à travers le tissu. Elle baisse la fermeture éclair de mon pantalon et dégrafe ma ceinture.
- II a l'air bien gros et dur, ton engin... Cécile ne m'a pas menti...
Elle sort ma bite de mon slip, se penche dessus et de sa langue commence à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main.
Et, d'un coup, elle l'avale jusqu'à la gorge et commence à me sucer, alternant les coups de langue, la branlant avec sa main, l'enfonçant à fond dans sa gorge, pour la faire ressortir luisante de salive.
Je sens que je ne vais pas tarder à exploser, elle le sent aussi. Elle se lève et s'assied sur la table, cuisses écartées devant moi : - Viens là...
Je m ' approche, viens entre ses cuisses. Elle glisse ma queue à l'intérieur de son bas, sous la jarretelle et me branle ainsi, soupesant et malaxant mes couilles de l‘autre main.
Je caresse ses seins et les pelote en même temps, me penche pour les lécher, les sucer, sentant les pointes dures entre mes lèvres et, soudain, trop excité par la situation, sentant ma queue glisser entre sa peau chaude et le voile du bas qui la serre, j'explose et inonde sa cuisse de sperme.
J'ai l'impression qu’elle jouit de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais diffuse et profonde. Les yeux chavires par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le suc. Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse, souillant son bas noir.
Elle me sourit, se retourne, se penche et sa jupe relevée sur ses reins, elle me tend sa croupe : - Maintenant, fais-le moi... Fort... J'en ai besoin !
Je la pousse vers un fauteuil sur l'accoudoir duquel elle se plie. La vision de ses larges fesses tendant la soie de sa culotte me redonne une vigueur que je ne contrôle plus.
Je la maintiens d'une main par la nuque et empoigne sa culotte que je baisse. Arrivée à mi-cuisse la soie ne résiste pas à la traction. Le bruit du tissu se déchirant décuple mon excitation. La splendeur de ses fesses d'une blancheur lourde d' albâtre s'épanouit dans la pénombre.
Je me mets à genoux derrière elle. Insensible aux propos incohérents qu'elle grommelle j'écarte d'une main ses cuisses et les maintenant avec mes genoux.
Mes doigts s'enfoncent dans la fourche de ses jambes, écartent les replis de chairs humides. De mon autre main, je dirige mon sexe tendu, me fraie un chemin et m'enfonce dans son ventre.
C'est avec un long râle qu’elle accueille ma bite : - Ahh ! Oui ! Tu es gros, tu es dur, tu es fort !
Mathilde ne parle plus, crispée, tendue comme un arc, elle pousse ses reins à la rencontre de mon pieu. Pendant plusieurs minutes, nous luttons en une joute charnelle de plus en plus complice. Nos souffles à l'unisson résonnent dans la pièce. Sous le choc des assauts, nos corps glissent sur le tapis où ils se mêlent dans une parodie inconsciente de lutte.
Bras, bouches, cheveux, ventres... nos chairs s'entremêlent, s'épousent, se repoussent, fusionnent en une brutale et torride union. Sentant mon foutre jaillir de mes couilles, Mathilde se raidit, se tend à se rompre et, ensemble, râlant et geignant, nous éclatons en une jouissance interminable qui nous laisse tout aussi exténués. Repus... pour le moment, car cela ne fait que commencer.
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